WWIII : JUIFS et ARABES, vous êtes invités par des JUIFS et des ARABES à quitter la France, et ce serait pour votre bien! ayez pitié des Français qui ne sont pour rien, dans ces décisions.
Henrico Macias paraît bien informé, il demande aux Juifs et aux Arabes de quitter la France, avant qu'il ne soit trop tard pour eux. Aux Français on pourrait également leur demander de quitter les grandes villes et Paris. Aux Arabes, aux Musulmans, le message ci-dessous demande que s'ils veulent rester en France, ils doivent vivre en petites communautés dans des villages très retirés.
Mais ce même message les invite s'ils veulent retrouver leur liberté et leur dignité, de rejoindre le Pays qu'ont quitté leurs parents, pour combattre une force maléfique, personnalisée dans le Pouvoir actuel, et dans les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial, Nouvel Ordre Mondial qui rencontre tellement de résistances, du fait que les BRICS s'y opposent, et que nos politiciens encartés dans des sectes diaboliques, ne bougent même plus le petit doigt afin de résister à un suicide collectif, qui passe par un plan d'élimination de masses, accompagné d'un mensonge permanent, afin d'imposer par le sang, leur vision du Monde qu'ils veulent pour le bien être de l'humanité.
Mohamed El-Ghazi
Courage, fuyons pour sauver nos âmes.
Autre raison invoquée pour expliquer son départ: la montée du terrorisme et, avec elle, la peur des amalgames. "En tant que musulmane, c'était très dur à vivre, je me faisais régulièrement agresser. J'ai une amie en France qui a failli se faire renverser par un chauffard raciste car elle était voilée alors qu'elle avait son enfant dans la poussette! L'homme s'est arrêté après avoir essayé de la percuter et s'est moqué d'elle et de sa tenue", confie-t-elle, expliquant se sentir enfin en sécurité au Maroc "car personne ne peut me dire de retourner dans mon pays: j'y suis déjà!".
Oum Souleyman, elle, n'a pas encore sauté le pas mais prépare activement sa Hijra. Commerçante franco-algérienne et mère célibataire d'une petite fille de trois ans, elle envisage de partir au Maroc, pays qu'elle "affectionne particulièrement". "J'ai du sang marocain du côté de ma mère, et j'y vais en tant que touriste depuis 2002", raconte-t-elle.
Après avoir vécu en Espagne et en Angleterre, Oum explique elle aussi ne pas se sentir à sa place en France, où elle estime que le climat est "hostile" envers les musulmans. "Soit nous devons vivre selon un islam 'modéré' comme ils disent, en enlevant le voile ou la barbe, soit nous sommes considérés comme des terroristes. Ils ignorent sûrement qu’il existe un juste milieu. Ce juste milieu, c’est bien nous. Nous condamnons les terroristes fermement mais ce n’est pas pour autant que je dois enlever mon voile pour le prouver".
"Nous ne faisons que rentrer chez nous"
Reste encore à justifier ce départ, pas toujours compris par les proches des "mohajirounes", dont les parents ou grands-parents ont souvent migré en France pour garantir à leurs enfants un avenir plus prospère. "Si nos anciens sont venus en France pour une meilleure vie, c’est ce que nous voulons aujourd'hui aussi mais en faisant un retour", explique-t-elle. "Ce sont nos racines, nous ne faisons que rentrer chez nous."
Pour Oum, néanmoins, la Hijra n’est pas une fin en soit, mais "le début d’une nouvelle vie". Avec, également, la crainte de ne pas être bien reçue dans son nouveau pays d'accueil, de ne pas trouver de travail et de logement correct, ou encore d'être prise pour "une intégriste". "Le temps d’adaptation est primordial. Certain sont déçus car ils idéalisent la Hijra et ne prennent pas le temps de se familiariser avec le climat", conclut-elle.
Fahd, lui, a choisi de revenir en France après deux ans de Hijra à Casablanca. Célibataire à l'époque, il est revenu dans l'Hexagone pour des raisons professionnelles. "Ma Hijra a été à la hauteur de mes attentes. Je suis parti seul au Maroc pour la stabilité politique et sociale du pays, et mon intégration s'est faite très rapidement", explique-t-il. "Je n'ai pas eu de complications avec les autorités marocaines, mais beaucoup avec les autorités françaises", ajoute Fahd sans donner plus de détails. Une chose est sûre: il voudrait renouveler l'expérience, mais à long terme cette fois-ci, et avec sa famille.
Elément déclencheur
Mariam, mouhajira franco-marocaine originaire de la région parisienne, ancienne responsable de communication dans une entreprise de finance française, est installée au Maroc depuis deux ans. Elle porte le voile intégral depuis sept ans, après avoir opéré un retour à l'islam il y a une dizaine d'années. "J’ai toujours été fière d’être française mais le jour où j’ai voulu vivre ma foi, j’ai ressenti un rejet incroyable", raconte-t-elle.
"Entre le temps où j’ai mis le voile et mon mariage, la tension montait en France. Au début, le problème était le port du voile au travail, mais il y a eu tellement de faits divers que les musulmans ont commencé à être rejetés de manière extrême et radicale" estime-t-elle. "Ma vie n’était qu’une lutte contre le racisme et l’islamophobie".
"L’élément déclencheur de ma Hijra est le jour où j’étais avec mon fils Abdellah qui avait 8 mois. J’étais enceinte du deuxième. Je faisais la queue dans un supermarché quand un enfant m’a vue et à crié: 'Fantôme!' Sa mère n’a même pas réagi. Elle ne l’a pas corrigé pour lui dire que ce n'était pas poli. J’ai tellement pleuré ce jour-là... J’ai donc décidé de rentrer chez moi, au Maroc".
Crainte des suspicions
Comme Oum, qui craint d'être prise pour une intégriste au Maroc, Mariam explique que porter la burqa, qui ne fait pas partie de la culture marocaine, n'est pas toujours vue d'un bon oeil, notamment dans les quartiers aisés de Rabat où elle se rend parfois, ou par les autorités marocaines qui ont renforcé, depuis les attentats de Casablanca en 2003, la surveillance des milieux salafistes.
"On a reçu beaucoup de visites. Ils disent parfois qu'ils sont des amis de mon mari, qui rentre très souvent en France pour le travail. Ils m’arrêtent dans la rue pour s’assurer que je ne suis pas un homme et nous posent beaucoup de questions", explique-t-elle.
Malgré cela, elle ne souhaite pas rentrer en France. "Les autorités françaises sont encore plus strictes. Ils peuvent t’arrêter sur un coup de tête et mettre tes enfants dans un foyer. Une sœur qui préparait sa Hijra au Maroc a vécu le même scénario: les autorités l’ont arrêtée et ont pris ses enfants en l’accusant de vouloir aller en Syrie pour rejoindre Daech".
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Dernière modification : 27/07/2016
Le prêtre Jacques Hamel, 86 ans, tué mardi dans son église, à Saint-Etienne-du-Rouvray, par deux hommes se revendiquant du groupe État islamique (EI), était un homme "très actif" , "toujours présent" pour les autres.
Le père Jacques Hamel, âgé de 86 ans, était un homme bon, qui a "toujours été au service" des autres, a déclaré, mardi 26 juillet, Philippe Maheut, le vicaire général du diocèse de Rouen. Cet écclésiastique, né en 1930 à Darnétal, une commune de Seine-Maritime, a été égorgé dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. L'homme, ordonné prêtre en 1958 avait fêté son jubilé d'or en 2008.
Il officiait depuis 10 ans en tant que prêtre auxiliaire dans cette église de Saint-Étienne-du-Rouvray. "Il était toujours présent pour célébrer les baptêmes, les mariages, les obsèques, pour rencontrer des personnes. C'était quelqu'un de très actif", a ajouté le vicaire.
Interrogé par Libération, le père Auguste Moanda Phuati, curé de la paroisse de Saint-Etienne-du Rouvray depuis cinq ans, décrit Jacques Hamel comme quelqu’un de "chaleureux, simple, vivant modestement", et "très apprécié de la population". Le père assassiné le secondait à la paroisse et célébrait la messe pendant lorsqu’il était absent. "J’ai appris ce qu’il s’était passé en allumant la télévision", raconte le prêtre, bouleversé, avant d'ajouter : "[Nous n'avions] jamais reçu de menaces".
"À la mosquée, on est abasourdis"
Kalminthe Gomis, un habitant de Saint-Étienne-du-Rouvray et fidèle de l'église où officiait le prêtre Jacques Hamel, a raconté aux Observateurs de France 24 qu'il était "un homme très gentil, très impliqué dans la vie de la commune". Puis il poursuit : "Il prêtait souvent des salles à d’autres communautés religieuses, que ce soit des catholiques d’autres églises ou la communauté musulmane."
Jacques Hamel célébrait son office quand deux hommes ont pénétré dans l'église avant de l'égorger. Les assaillants ont été abattus par la Brigade de recherche et d'intervention (BRI). L'attaque a été revendiquée par le groupe État islamique (EI).
Le président du Conseil régional du culte musulman de Haute-Normandie, en charge de la mosquée de Saint-Étienne-du-Rouvray, s'est dit "effaré par le décès de mon ami". "Je ne comprends pas, toutes nos prières vont vers sa famille et la communauté catholique", a déclaré Mohammed Karabila. "C'est quelqu'un qui a donné sa vie aux autres. On est abasourdis à la mosquée", a-t-il ajouté.
Cette nouvelle attaque survient après une série d'attentats qui a visé ces derniers mois les symboles de l'identité française : ses lieux de sorties, ses terrasses, la fête du 14-Juillet et désormais sa culture judéo-chrétienne.

Pour les Catholiques, ces pratiques sont inacceptables : Agression d’un prêtre par la police : il faut des sanctions !
Cela ne s’est pas passé en République populaire de Chine mais à Paris dans le 15e arrondissement, en l’église Sainte-Rita que d’aucuns souhaitent détruire et remplacer par un parking. L’intrusion des forces de l’ordre a eu lieu alors que la messe était en cours de célébration.
Les fidèles présents ont été gazés et le prêtre a dû consommer les saintes espèces afin de s’assurer qu’elles ne soient pas profanées ! Tout ceci survient une semaine à peine après le martyre du Père Hamel.
Réagissez immédiatement en signant votre pétition
adressée au Ministre de l’Intérieur :
Monsieur le Ministre,
Ce mercredi 3 août en procédant à l’évacuation de l’église Sainte-Rita à Paris, les forces de l’ordre ont interrompu la célébration de la messe, agressé le prêtre et gazé les fidèles présents. Afin de s’assurer que les saintes espèces ne soient pas profanées le célébrant a dû les consommer dans l’urgence.
Les images du prêtre maintenu au sol par la police – alors qu'i était vêtu des ornements liturgiques - ont fait le tour du monde, couvrant la France de honte.
En interrompant par la violence l’exercice du culte divin et en s’en prenant physiquement à un homme de Dieu, vos fonctionnaires ont commis un double sacrilège.
Je suis indigné(e) par le contraste offert entre le traitement brutal réservé à des fidèles inoffensifs et la tolérance dont font preuve les pouvoirs publics à l’encontre des mosquées salafistes qui abritent, quant à elles, des individus susceptibles de réaliser des actes de terrorisme.
Le sacrilège commis en l’église Sainte-Rita est d’autant plus scandaleux que la communauté catholique est en deuil, une semaine à peine après le martyre du Père Hamel. A cette occasion le chef de l’État avait déclaré : « attaquer une église c’est profaner la République »
A présent, Monsieur le Ministre, les mots ne suffisent plus ! Je vous demande de prendre des sanctions sévères contre ceux qui ont rendu possible un tel scandale.
La révocation du Préfet de police de Paris s’impose et j’espère que vous y procéderez sans attendre.
La mission de la police est de protéger les églises, pas de les prendre d’assaut !
Vous assurant de ma vigilante considération,
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