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WWIII : Jésus Christ, en avance sur son temps, se promène à Jérusalem, en attendant qu'Hiram reconstruise le Temple en trois jours. Entre temps il envoie en France un messager du nom de Macron.

Publié le par José Pedro

Bonne Fin d'Année 2016, José Pedro.

EN TROIS JOURS JE LE RELÈVERAI
Jean 2.13-22

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Le temple de Jérusalem représentait pour les Juifs la maison même de Dieu. Yahvé y habitait. Cette perception du sanctuaire allait toutefois changer avec la venue du Messie. La présence de Dieu se déplacera vers un autre lieu. Le Seigneur Jésus y fit allusion tôt dans son ministère en Jean 2.13-22 où ses gestes et ses paroles ont causé bien des remous. Lisons ce passage.

Jean 2.13. La Pâque des Juifs était proche, et Jésus monta à Jérusalem.

14 Il trouva dans le temple les vendeurs de bœufs, de brebis et de pigeons, et les changeurs assis.

15 Ayant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs, et renversa les tables ;

16 et il dit aux vendeurs de pigeons : Ôtez cela d’ici, ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic.

17 Ses disciples se souvinrent qu’il est écrit : Le zèle de ta maison me dévore.

18 Les Juifs, prenant la parole, lui dirent : Quel miracle nous montres–tu, pour agir de la sorte ?

19 Jésus leur répondit: Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai.

20 Les Juifs dirent : Il a fallu quarante–six ans pour bâtir ce temple, et toi, en trois jours tu le relèveras !

21 Mais il parlait du temple de son corps.

22 C’est pourquoi, lorsqu’il fut ressuscité des morts, ses disciples se souvinrent qu’il avait dit cela, et ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite.

Marc 14
57Quelques-uns se levèrent, et portèrent un faux témoignage contre lui, disant: 58Nous l'avons entendu dire: Je détruirai ce temple fait de main d'homme, et en trois jours j'en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d'homme. 59Même sur ce point-là leur témoignage ne s'accordait pas.…

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JÉSUS A CHASSÉ LES VENDEURS DU TEMPLE… POURQUOI ?

On n’oserait pas l’imaginer, mais c’est l’apôtre Jean qui l’écrit dans son évangile. Jésus fit un fouet avec des cordes. Il chassa les vendeurs du temple, il renversa les comptoirs des changeurs d’argent, il jeta par terre la monnaie. Quelle violence ! … chez ce Jésus dont on a si souvent évoqué la douceur. L’enjeu doit être important. Y aurait-il eu des abus malhonnêtes, des détournements de fonds ?

L’affaire est bien plus grave que cela… En effet, on fait erreur souvent en croyant que Jésus a repoussé loin du temple les entreprises mercantiles. En quelque sorte, comme s’il s’en prenait aujourd’hui aux marchands qui proposent des savonnettes à l’eau de Lourdes ou des portefeuilles à l’effigie de Notre-Dame de Rocamadour… Ce n’est pas cela!

La présence des marchands n’était pas facultative. Les marchands étaient indispensables pour que puisse exister le culte. Il fallait bien qu’ils fournissent les bêtes qu’on offrait en sacrifice. Ce sont eux qui ont vendu à Joseph et Marie les deux petites colombes pour la présentation de Jésus au temple. Il fallait bien aussi des changeurs d’argent.

Donc la colère de Jésus n’avait pas pour but d’éloigner des marchands inutiles, mais, en faisant ce geste, il attaquait le culte lui-même. En renversant leurs comptoirs, il renversait la religion, il détruisait le temple en quelque sorte. Et quand on sait la place que tenait le Temple pour les juifs ! Il était le coeur de la nation depuis dix siècles. Lorsqu’il avait été détruit, on l’avait toujours reconstruit. Et là, on venait de trimer 46 ans pour le reconstruire encore. C’était à peine terminé, et Jésus parlait de le détruire.

L’enjeu doit être de taille. Essayons de comprendre le geste de Jésus. Qu’est-ce que Jésus voulait dire à ses contemporains ? Qu’est-ce qu’il veut nous dire aujourd’hui ? Qu’est-ce que Jésus voulait dire à ses contemporains ?

La réponse à cette question est simple – simple et mystérieuse ! –

Elle est simple puisqu’elle est en toutes lettres dans l’Évangile d’aujourd’hui. " Détruisez ce temple, dit Jésus, et en trois jours, je le relèverai ". Le temple dont il parlait, c’était son corps, c’est-à-dire sa personne. C’est comme s’il disait : " Vous pouvez détruire le temple, puisque, je suis là ! "

Jésus a l’audace de se mettre à la place du temple. 
– Le lieu de la présence de Dieu, c’était le temple : Jésus est présence de Dieu. 
– Le lieu de la parole de Dieu, c’était le temple : Jésus est la parole de Dieu. 
– Le lieu du culte rendu à Dieu, c’était le temple : Jésus rend gloire à Dieu.

Ses disciples n’ont compris ce qu’il voulait dire qu’après sa résurrection. Ils ont fait le rapprochement, d’ailleurs, avec d’autres paroles de Jésus : " L’heure vient, et c’est maintenant où vous adorerez ni au temple de Jérusalem ni au mont Garizim. Les vrais adorateurs adoreront en esprit et en vérité ! "

L’heure vient où vous reconnaîtrez ma présence à fleur de visages : " Ce que vous ferez au plus petit, c’est à moi que vous le ferez." Le corps du Christ, le temple de Dieu, c’est nous. En chassant les vendeurs du temple, ce que Jésus a voulu dire est immense.

Qu’est-ce que Jésus veut nous dire aujourd’hui?

Cette vieille histoire, nous le verrons bien, ne cesse d’interroger nos Eglises, nos communautés chrétiennes et la foi de chacun d’entre nous.

En effet, quels reproches Jésus faisait-il aux usagers du temple ?

Deux reproches :
. Le premier : " Vous faites de cette maison de prière une maison de trafic. " 
. Le deuxième : " Vous faites de loi maison de mon Père, qui est pour tous, une maison pour quelques-uns. "

Eh bien ! c’est à nous aussi que Jésus dit ce matin : " Ne faites pas de cette maison de prière une maison de trafic. "

Ne faites pas de la prière un trafic. La prière n’est pas un trafic. Prier, ce n’est pas marchander avec Dieu.

Donnant donnant, plus je donne, plus il me donnera ! Pour obtenir quelque chose de Dieu, il faut le payer cher. Non et non ! La prière n’est pas un trafic… surtout pas un trafic d’indulgences.

Qui serait ce Dieu qui attendrait d’avoir sa ration d’encens et de sacrifices pour intervenir ?
Qui serait ce Dieu qui ne se laisserait toucher qu’au terme de supplications interminables et de mortifications sévères ?

Jésus ne veut pas qu’on défigure à ce point le visage de Dieu. Il veut que la maison de son Père s’ouvre à la prière confiante de ses fils, sinon, ce serait une prière de païens. " Ne priez pas comme les païens qui s’imaginent que c’est à force de paroles… Votre Père sait ce dont vous avez besoin. "

– On ne prie pis pour qu’il sache mais parce qu‘il sait ce dont nous avons besoin.
– On ne prie pas pour qu’il agisse, mais parce qu‘on sait qu’il agit pour le meilleur. 
– On ne prie pas pour être aimé de lui, mais parce qu‘on est aimé de lui.
– On ne prie pas pour qu’il soit avec nous dans les bons ou les mauvais jours, mais parce qu‘il est avec nous.

Ce n’est pas l’homme qui agit sur Dieu, c’est Dieu qui voudrait bien agir sur le coeur de l’homme. Retenez cette comparaison, cette analogie pour illustrer ce que je vous dis là. C’est le printemps, ce matin, vous avez ouvert les volets de votre maison ou de votre appartement… Ce n’est pas vous qui avez fait lever le soleil, vous avez permis au soleil d’entrer dans la maison, de l’illuminer,

Eh bien ! quand vous priez, c’est pareil. Ce n’est pas vous qui rappelez à Dieu qu’il doit vous éclairer, mais vous lui permettez de vous éclairer. Prier, c’est ouvrir tout grand portes et fenêtres de notre coeur pour accueillir sa lumière. La prière n’est pas un trafic avec Dieu, elle est un accueil de l’amour gratuit de Dieu.

Deuxième reproche de Jésus : " Vous faites de la maison de mon Père, qui est pour tous, une maison pour quelques-uns. "

Colère de Jésus et indignation contre les prêtres de la religion juive qui entretiennent une religion basée sur l’exclusion. Le temple, dans sa construction même, signifiait cette exclusion. Il y avait une série de barrières, des filtres dont les prêtres du temple étaient les gardiens vigilants.

  • Dehors, le parvis des païens, les non-juifs n’avaient accès que là,
  • à bonne distance, les femmes,
  • puis les juifs,
  • puis le saint des saints pour le grand prêtre.

L’un des piliers de la religion juive de l’époque était la distinction entre le pur et l’impur. Jésus vient au contraire proclamer que, pour Dieu, il n’y a pas d’exclus. Il vient annoncer un Dieu dont l’amour est offert à tous, sans distinction, sans restriction.

Où en sommes-nous dans notre Église aujourd’hui ? L’Église devrait être cette réserve de coeur dans laquelle les hommes se sentent reconnus, non étiquetés, pardonnés, aimés. Elle devrait être accueillante à tous, … à tous, même les accidentés de la vie.

L’Église devrait être accueillante aux accidentés de la vie, même les accidentés de l’amour et du mariage, même les accidentés de la morale. Une seule condition, que chacun, chacune, dans l’Église, ait le désir, le goût, l’espérance d’être un jour guéri.

Votre place est ici. Dieu vous accueille en sa maison.

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Deux importants versets

J’aimerais débuter en faisant porter votre attention sur deux versets. Le premier est le verset 19. Jésus leur répondit: Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. Cette déclaration a son importance dans le NT puisqu’on y fait référence à trois reprises.

Elle a d’abord été utilisée contre Jésus à son procès devant le sanhédrin. Selon deux faux témoins, Jésus aurait menacé de détruire le temple de Jérusalem tout en prétendant pouvoir le rebâtir. Celui–ci a dit : Je puis détruire le temple de Dieu, et le rebâtir en trois jours (Matthieu 26.61). On l’employa ensuite en signe de moquerie lors de la crucifixion du Christ. Les passants lui crièrent, Toi qui détruis le temple, et qui le rebâtis en trois jours, sauve–toi toi–même (Matthieu 27.40). Elle fut mentionnée une troisième fois dans le but de condamner Étienne à mort. Car nous l’avons entendu dire que Jésus, ce Nazaréen, détruira ce lieu, et changera les coutumes que Moïse nous a données (Actes 6.14). Des faux témoins accusèrent Étienne d’avoir parlé contre le temple en reprenant les paroles de Jésus concernant sa démolition.

La deuxième phrase que je voudrais souligner se trouve au v. 17. Ses disciples se souvinrent qu’il est écrit : Le zèle de ta maison me dévore. ‘Le zèle pour la maison de Dieu.’ Le mot ‘zèle’ (zelos) provient du verbe primaire zeo qui signifie ‘bouillir’ ou ‘chauffer’. Il est généralement utilisé pour de l’eau qu’on chauffe jusqu’au point d’ébullition. Dans notre phrase, il est employé métaphoriquement et décrit un individu dont l’esprit est dans un tel état d’agitation que cela le consumait. Cette ferveur était comme un feu qui ‘rongeait’ (Bible Martin) sa chair. Telle était la condition que causait son souci pour la maison de Dieu. Quand il découvrit ce qui se passait dans le temple, il fut rempli d’une indignation si intense qu’il avait le sentiment d’avoir en lui un feu qui le faisait bouillir et le dévorait.

Un temple profané

Essayez de vous représenter le temple et ses activités cette journée-là. On était aux approches de la fête de Pâques. Jésus monta à Jérusalem et trouva dans la cour du temple des marchands faisant du commerce. Au lieu d’être une maison consacrée au culte de l’Éternel, le temple était devenu ce que Jésus appela au v. 16 ‘une maison de commerce’. Il les accusa d’avoir transformé le centre religieux juif en une maison de troc. Mais comment l’esprit des affaires du monde a-t-il bien pu pénétrer un endroit aussi sacré?

L’explication est facile. Les gens qui venaient adorer Dieu avaient besoin d’animaux en vue de leurs sacrifices. On pouvait les acheter aux abords même du bâtiment. En outre, tous devaient s’acquitter d’un impôt pour le fonctionnement du temple. Afin de payer leurs dépenses, ceux qui arrivaient des pays étrangers échangeaient leur monnaie contre celle qui avait cours à Jérusalem. Ce service était offert par les changeurs, moyennant un prélèvement. Toutes ces transactions se faisaient en dehors des murs du temple jusqu’au jour où les sacrificateurs ont commencé à s’y intéresser. Leurs yeux étaient fixés sur les gains réalisés par les marchands. Désirant tirer les mêmes profits, ils ont permis à ce commerce de s’installer à l’intérieur du temple mais en s’assurant de garder le monopole des activités. La cour des Gentils était ainsi devenue un carrefour commercial où vendeurs et acheteurs trouvaient leurs intérêts. Quel criant contraste avec la sainteté du lieu! On a peine à imaginer un centre à caractère spirituel où le bétail, les ordures et le tapage du trafic se mêlaient à la prière et l’adoration.

Devant une telle scène, il n’est pas difficile de comprendre la sévérité du geste de Jésus contre les commerçants. Ayant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs, et renversa les tables (v. 16).

Personne ne s’attendait à une telle réaction de colère. Les disciples eux-mêmes en furent frappés. Voyant ce qui se passait, ils ont alors mis en rapport le geste de Jésus et le Psaume 69.10. Ses disciples se souvinrent qu’il est écrit : Le zèle de ta maison me dévore (v. 17). Dans cette phrase tirée du Psaume 69, le psalmiste se plaignait d’être persécuté par ses amis et sa propre famille à cause de son zèle pour défendre l’honneur de la maison de Dieu. Il s’est attiré reproches, insultes, hostilité, moqueries, dérision, pour avoir subordonné tout intérêt personnel au bien et à la gloire du Dieu d’Israël. Les disciples ont compris davantage le sens de cette partie des Écritures à la vue du zèle déployé par leur Maître. Jésus, tout comme le psalmiste, avait un ardent désir de préserver la pureté dans l’adoration de Dieu. 

Je le relèverai

Examinons maintenant ce verset dans le contexte de l’évangile de Jean. Le zèle de ta maison me dévore. Nous avons dit que ‘le zèle de ta maison’ décrivait le souci de Jésus pour le temple, le centre principal d’adoration du peuple hébreux. Jésus l’appelle ‘la maison de mon Père’ au v. 16. Jusqu’ici, tout va bien. Mais le texte se complique par la suite.

Répondant aux Juifs qui demandaient un miracle, le Seigneur dit ceci. Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai (v. 19). Cette énigmatique déclaration soulève plusieurs questions. Si Jésus était sincèrement soucieux du temple, pourquoi parle-t-il de le détruire? L’idée de raser un sanctuaire ne peut pas faire autrement que de choquer ceux qui le fréquentent. N’avait-il pas déjà suffisamment fait pour purifier le temple en chassant les négociants d’animaux et les changeurs? Pourquoi en suggérer la démolition?

Si la signification des premiers mots du verset n’est pas entièrement claire, celle des derniers l’est encore moins. En trois jours je le relèverai. Quelle est cette chose que Jésus prétend pouvoir relever en trois jours? Est-ce qu’il parle toujours du temple ou doit-on penser à quelque chose d’autre? Le v. 21 précise que le temple dont parlait Jésus, c’était son corps. Les Juifs dirent : Il a fallu quarante–six ans pour bâtir ce temple, et toi, en trois jours tu le relèveras! Mais il parlait du temple de son corps (vv. 20-21). Que doit-on en conclure?

Avec ces deux derniers versets, vv. 20-21, la cohérence du passage devient difficile à suivre. On nous dit que le zèle de Jésus pour la maison de Dieu le consumait. La maison de Dieu est ce temple pour lequel Hérode le Grand a mis quarante-six ans à restaurer. Et Jésus dit à ses auditeurs, ‘Que le temple soit détruit. Vous verrez qu’en trois jours, je le rebâtirai.’ Jésus rebâtira quoi en trois jours? Logiquement, ce devrait être le temple dont il parle de démolir dans la même phrase. Pourtant, au v. 21, il est bien écrit que Jésus faisait allusion à son propre corps. Et au verset suivant, nous lisons que la résurrection du Christ remit dans la mémoire des disciples cette parole qu’ils n’avaient jusque-là pas comprise – il parlait de la résurrection de son corps au troisième jour.

Devons-nous alors comprendre l’affirmation ‘Je le relèverai après trois jours’ dans le sens d’une prédiction que Jésus allait se relever d’entre les morts le troisième jour? S’il en est ainsi, son zèle pour la maison de Dieu, le temple, ne serait-il pas tout compte fait un zèle pour sa propre résurrection, puisque l’idée du temple est appliquée à son corps au v. 21? Rappelez-vous ce verset. Mais il parlait du temple, de son corps. On a l’impression que dans cette supposition, il y a quelque chose qui cloche. Si vous éprouvez ce sentiment, vous n’avez pas tors. Mais où est l’erreur?

Nous notons plusieurs problèmes ici. D’abord, l’association entre le temple de Jérusalem et le corps physique de Christ ne se trouve tout simplement pas dans la Bible. Il y a un verset en 1Corinthiens 6.19 où Paul enseigne que le corps de chaque croyant constitue le temple du Saint-Esprit. Mais il n’y a rien dans la parole de Dieu qui fait ce genre d’analogie entre le corps de Jésus et le temple de Dieu.

Observez aussi la forme du verbe au v. 19. Il est conjugué à la forme active. ‘Je le relèverai. Je, Jésus, vais le relever.’ Si le mot ‘le’ dans ‘Je le relèverai’ s’entend du corps du Christ, cela signifie que Jésus se serait ressuscité lui-même. Or le NT ne présente jamais cet acte à la voix active. La résurrection de Jésus d’entre les morts est toujours rapportée au passif. Jésus est l’objet qui subit la résurrection. Nous en avons un exemple dans le passage même, au v. 22. C’est pourquoi, lorsqu’il fut ressuscité des morts… Quand Jésus fut ressuscité, les disciples se rappelèrent ses paroles et en comprirent le sens.

Il y a donc ici un contraste. La phrase du v. 19 est à la forme active. ‘Je le relèverai.’ Par contre, au v. 22, elle est à la forme passive. ‘Il fut ressuscité des morts.’ On peut se poser cette question : Est-ce que le v. 19 et le v. 22 parlent de la même chose? Il me semble que nous sommes en présence de deux idées différentes. Mais alors, qu’est-ce que Jésus va relever? En quoi consiste ce corps? Et quel est ce temple dont il se préoccupe tant?

Maison, temple, corps

En analysant ce passage, nous découvrons trois mots ayant tous un lien commun. Ces trois mots sont ‘maison,’ ‘temple,’ et ‘corps’. Au v. 16, nous avons ‘la maison de mon Père.’ Aux vv. 19 et 20, nous avons le mot ‘temple,’ détruire et bâtir le temple. Et au v. 21, le terme ‘corps’ est employé, le corps de Jésus. Maison, temple, corps. Quel lien voyez-vous? Si vous parcourez le NT à la recherche de ces trois mots, vous allez remarquer qu’ils font référence à plusieurs endroits à une même réalité : l’église. Les mots ‘maison, temple, corps’ sont tous des termes qui sont utilisés en rapport avec l’église de Christ.

Prenez par exemple 1Timothée 3.15. Paul dit à Timothée, … Afin que tu saches, si je tarde, comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l’Église du Dieu vivant… La maison de Dieu est définie ici comme l’église du Dieu vivant.

En 1Corinthiens 3.16, Paul écrit, Ne savez–vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous? Les croyants ont été assemblés, comme église, pour former le temple de Dieu.

En Éphésiens 1.22-23, Paul exprime cette grande pensée. Il (Jésus) a tout mis sous ses pieds, et il l’a donné pour chef suprême à l’Église, qui est son corps Paul montre aux Éphésiens que l’église est le corps de Christ.

Maison, temple, corps, trois mots intimement associés à l’église. Nous commençons à y voir un peu plus clair. En effet, certains éléments semblent suggérer que l’église constitue une notion sous-entendue de notre passage en Jean 2. Est-il alors permis de penser qu’en disant ‘Je le relèverai’, Jésus avait à l’esprit l’apparition de son église? Oui, parfaitement! Il existe une liaison étroite entre la résurrection du Christ et la naissance de l’église. Élaborons davantage ce point de vue.

La nouvelle création de Dieu

Vous savez, je me suis souvent demandé comment l’apôtre Paul en est venu à utiliser l’expression ‘corps du Christ’ pour l’appliquer à l’église. En 1Corinthiens 12.27 par exemple, il écrit, Or vous êtes, vous (l’église de Corinthe), le corps du Christ… En Christ, vous formez collectivement un corps. Si Paul a tiré ce concept des Écritures, il y a tout lieu de croire qu’il se serait inspiré de notre verset en Jean 2.21. Mais il parlait du temple de son corps.

 Parallèlement à cela, savez-vous comment Paul a eu l’idée de comparer le croyant à une ‘nouvelle création’? C’est en effet ce qu’il écrit en 2Corinthiens 5.17. Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. Je suis presque certain qu’il s’était à nouveau inspiré de l’enseignement de Jésus. J’aimerais vous montrer les bases de cette opinion. Et vous pourrez voir comment tout cela se rapporte à l’église.

Regardez une nouvelle fois la déclaration du Seigneur au v. 19. … Et en trois jours je le relèverai. Lorsque nous comparons cette phrase à un verset en Marc 14, le résultat est surprenant. Voici ce que nous lisons en Marc 14.58.

Marc 14.58. Nous l’avons entendu dire: Je détruirai ce temple fait de main d’homme, et en trois jours j’en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.

Ce témoignage a été rapporté par de prétendus témoins lors de la comparution de Jésus devant le sanhédrin. L’accusation était fausse car elle déformait les propos de Jésus. Le Seigneur n’a jamais dit, ‘Je détruirai le temple.’ Il avait parlé à la deuxième personne du pluriel. Détruisez ce temple… ‘Vous, détruisez ce temple, et je le remettrai debout en trois jours.’

Mais regardez cette phrase de plus près. Il y a quelque chose dans le contenu qui me fait croire qu’elle n’était pas entièrement contraire à la vérité. Ce qu’il y a de remarquable, c’est l’espèce de commentaire qui accompagne l’affirmation et que les témoins ne pouvaient pas avoir inventé. Écoutez à nouveau leurs paroles. Nous l’avons entendu dire: …en trois jours j’en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme. Voilà de quoi nous faire réfléchir. Un bâtiment qui ne sera pas fait de main d’homme. Comment ce concept leur est-il venu? Il est difficile de penser que les témoins aient pu fabriquer une telle expression. Selon toutes probabilités, cette partie du témoignage est authentique. Il fallait qu’elle provienne de la bouche même de Jésus.

Tous les édifices qui nous entourent ont été construits par des mains humaines. Mais celui que Jésus bâtira ne le sera pas. Il ne sera pas érigé avec les matériaux de construction de ce monde. Qu’est-ce que cela veut dire?

Nous avons, dans le NT, un autre verset qui emploie la même expression ‘pas fait de main d’homme.’

Hébreux 9.11. Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est–à–dire, qui n’est pas de cette création.

Une structure n’ayant pas été fabriquée par des mains humaines ne peut être qu’une réalité spirituelle. Jésus est le souverain sacrificateur des hommes pécheurs. Sa venue sur terre a en quelque sorte détruit le tabernacle construit par les hommes et en usage dans l’AT. Jésus l’a remplacé par un tabernacle céleste. C’est pourquoi l’auteur de la lettre aux Hébreux précise que ce sanctuaire n’appartient pas à notre monde – il ‘n’est pas de cette création.’ S’il n’est ‘pas de cette création,’ son apparition sur terre doit être considérée comme une nouvelle création. Et c’est précisément ce terme que Paul utilise en 2Corinthiens 5.17. ‘Si vous êtes en Christ, vous êtes une nouvelle création. Et ensemble, vous formez le temple de Dieu. Ce temple n’est pas l’œuvre des hommes. Il ne fait pas partie de cette création-ci. Il s’agit d’une entité totalement nouvelle.’

Civils fuyant Alep-Est réfugiés dans un camp du gouvernement syrien à Djibrine, le 30 novembre 2016, photo ©Reuters/Omar Sanadiki

La vision qui consumait Jésus

Nous comprenons maintenant davantage ce qui consumait Jésus en Jean 2. Quand le Seigneur entra dans le temple, il y trouva des vendeurs et des changeurs mêlés à une grande foule. Il constata avec consternation la désacralisation du temple. Ce sentiment le rongeait profondément. Le temple de Jérusalem, ce magnifique temple, allait être détruit. Il en avait fait la prédiction en Luc 19.41-44. Mais avant qu’il ne soit dévasté, une nouvelle structure sera érigée. Et cette structure sera une nouvelle création de Dieu sur terre, engendrée par la résurrection du Christ. Par la mort et la résurrection du Seigneur, un autre temple sera construit. Ce temple sera le corps du Christ sur la terre, c’est-à-dire, son église.

‘Détruisez ce temple fait de main d’homme, et en trois jours j’en reconstruirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.’ Les mots ‘en trois jours’ ont manifestement trait à la résurrection du Christ. Par cette déclaration, Jésus annonce la disparition du temple matériel avec ses sacrifices et l’apparition d’un autre temple. Ce nouveau temple, de nature spirituelle, sera l’église, le corps de Christ. Il sera élevé sur la base de sa résurrection.

Au moment où Jésus a prononcé ces mots, l’église n’avait pas encore fait son apparition. On associe généralement la naissance de l’église à la Pentecôte lorsque le Saint-Esprit descendit sur les apôtres. Mais la notion de ‘naissance’ dans ce cas-ci devrait être comprise plutôt librement puisqu’un regroupement de croyants existait déjà. Quelques semaines à peine après la crucifixion, les disciples se sont mis à répandre la bonne nouvelle de la résurrection et s’adjoignirent graduellement un groupe de fidèles partageant la même foi en Jésus, le Messie promis. Il serait peut-être plus juste de considérer la Pentecôte comme le moment où la communauté chrétienne, déjà présente, fut réunie en une entité fonctionnelle et vivante.

Comment devenons-nous membres de l’église aujourd’hui? Paul enseigne en 1 Corinthiens 12.13 que le baptême du Saint-Esprit fait du croyant un membre du corps de Christ. Car aussi nous avons tous été baptisés d’un seul Esprit pour être un seul corps… Le renouvellement du Saint-Esprit a pour effet de placer en Christ chaque croyant, faisant de lui un membre de son corps, et l’unissant par la même opération à tous les autres enfants de Dieu. Le baptême symbolise extérieurement cette incorporation. En étant morts en Christ, nous mourrons au péché. Lorsque nous sommes ressuscités en lui, l’activité régénératrice de l’Esprit se manifeste alors en nous.

Qu’est-ce que cela signifie dans la pratique? Cela signifie que nous ne sommes plus tenus sous le joug du pouvoir du péché. C’est à cela que Jésus faisait allusion en Jean 8.36 quand il dit, Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres. Libres de quoi? Libres de l’esclavage du péché. Nous avons la certitude que la puissance de la résurrection est à l’œuvre en nous lorsque nous constatons que le péché n’a plus d’emprise sur nous. Ainsi tous ceux qui sont morts et ressuscités avec Christ par le baptême savent qu’ils possèdent maintenant le pouvoir de vivre une vie libre, caractérisée par la justice et l’amour.

Le système des sacrifices de l’Ancienne Alliance a été rendu inutile par le parfait sacrifice d’expiation de Jésus. Il s’est offert lui-même pour les péchés du monde, une fois pour toutes. Le temple de Jérusalem n’avait donc plus sa raison d’être. Aujourd’hui l’église est devenue le temple de Dieu. Au lieu d’habiter dans le temple juif, Dieu vit maintenant dans le cœur de tout croyant, dans le temple spirituel du corps de Christ.

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Hiram, la mort d'un Bâtisseur,
ou le mythe fondateur de la Franc-maçonnerie Universelle…et pour la Franc-Maçonnerie il existe aussi le mythe fondateur du Christ qui n'est pas mort sur la Croix, et qui n'est pas D.ieu, ce qui permet à la Franc-Maçonnerie de se substituer à D.ieu pour notre plus grand bien?

Je souhaite pouvoir vous entretenir ici du mythe fondateur de notre Ordre et de sa profonde symbolique mise en exergue par la mort d’Hiram, le Bâtisseur…

Comme il se doit, toute association humaine a en effet besoin d'un mythe fondateur pour pouvoir se développer. Et pour se faire, le mythe fondateur de la Franc-maçonnerie est donc l'assassinat d'Hiram par trois mauvais Compagnons…

Chronologiquement, les événements qui ont amené la conspiration contre le Grand Maître Hiram Abiff et qui ont abouti à son assassinat, ont eu pour origine l'arrivée de la Reine de Saba qui fut attirée à la Cour de Salomon pour tous les récits relatifs à son admirable sagesse ainsi qu’à la splendeur du temple qu'il s'apprêtait à construire.

En effet, le roi Salomon étant sur le point de construire un temple à la gloire de l'Éternel ; il rencontra d’emblée beaucoup de difficultés pour pouvoir s’adjoindre les services d’ouvriers habiles et compétents afin d’élaborer et d'exécuter la partie architecturale de l'entreprise qui était effectivement d’une telle ampleur, qu'il jugea nécessaire de demander soutien à son ami et allié : Hiram, roi de Tyr.

D\ fait, à cette époque, la main-d’œuvre de certains constructeurs, parmi les plus aptes et expérimentés, étaient les Tyriens (ainsi que les Sidoniens) qui, à ce moment, étaient déjà de longue date considérés comme de véritables artistes ayant de surcroît une profonde culture spirituelle.

Admis notoirement comme étant les meilleurs bâtisseurs dans le monde, Hiram accepta donc en toute confiance et envoya à leur secours une abondance d'hommes et de matériaux qui devraient être utilisés pour la construction du Temple.

Et, parmi les premiers, il y eut un artiste distingué, à qui fut confiée la surintendance de tous les ouvriers…

C’est ainsi que le roi Salomon demanda à ce que soit engagé Hiram de Sor [Tyr] : lequel était le fils d'une veuve de la tribu de Nephtali.

Le père de celui-ci était, quant à lui, également un homme de Sor : artisan de son état et celui-là même qui avait achevé le bronze d’Hiram ainsi que tout l'ouvrage qu'il avait dû ériger en son temps pour le roi Salomon dans la Maison du Seigneur.

À noter en aparté, qu’il ne faut évidemment pas confondre, Hiram (roi de Tyr) : lequel envoya hommes et matériaux à Jérusalem afin d’y construire le palais pour David et le temple de Salomon – avec Hiram : l'architecte du temple de Salomon envoyé lui-même par le roi de Tyr.

Le Maître Hiram étant encore également appelé : Hiram Abi, Hiram Abiff, Huram ou aussi Adonhiram.

La base biblique étant quoi qu’il en soit très succincte à ce propos et les Rituels Maçonniques ont en outre été considérablement développés par la suite, pour en extraire le texte initial et ainsi, créer la légende de l'assassinat d'Hiram.

L'une des versions les plus anciennes de ce récit apparaît d’ailleurs dans l'Ordre des Francs-Maçons trahis et leurs secrets révélés (en 1744) : sous la révélation de Adonhiram ou Adoram ou encore (plus simplement et tel que tous les SS\ et FF\ le connaissent sous le nom couramment simplifié d’Hiram), à qui Salomon ayant donné l'intendance des travaux de son Temple auprès d’un si grand nombre d'Ouvriers à payer, qu'il ne pouvait lui-même effectivement pas les connaitre tous (…)

C’est de la sorte que Hiram, convint avec chacun d'eux, des Mots, des Signes et des Attouchements différents, pour mieux pouvoir les distinguer et être ainsi assuré de leur allégeance aux principes fondamentaux de ce qui, universellement, unit (à défaut parfois de vraiment les réunir…) tous les Francs-Maçons du globe.

Mais la plus belle version de la légende d'Hiram reste sans nul doute celle qu'écrivit par ailleurs Gérard de Nerval (en 1850), dans son Voyage en orient…

Par son récit, Nerval ay effectivement donné à la Franc-maçonnerie spéculative (tant francophone qu’étrangère) l'un de ses plus beaux textes…

Sans dévoiler la cérémonie de l'exaltation à la maîtrise, il peut toutefois être permis de signaler que l'assassinat d'Hiram en constitue le principal élément.

Et Nerval a su transcrire, avec un réel talent, tout ce qui caractérise l'Humanité : l’amour, la passion, le fanatisme, l’envie, la jalousie, l’amour propre, l’orgueil et la lâcheté, notamment (…)

Et ce condensé des sentiments humains constitue effectivement la trame du récit Nervalien, mais aussi le mythe-fondateur de la Franc-maçonnerie spéculative.

Ainsi et quoi qu’il en soit, ou même en fut, la Franc-maçonnerie révèle-t-elle, par le mythe d'Hiram, qu'elle souhaite pouvoir rassembler ce qui est épars au sein de tous les êtres humains : quelles que soient leurs forces et/ou leurs faiblesses.

Et par la méditation ainsi que la remise en cause perpétuelle, Elle apprend aux Hommes à dominer leur nature autant que leurs instincts.

Historiquement donc : les travaux touchant à leur fin, trois Compagnons désireux de s'attribuer les privilèges du Maître, se postèrent chacun devant une porte du temple...

Le premier demanda le mot de passe au Maître qui lui répondit qu'il n'était pas possible de l'obtenir sans autre forme et qu'il fallait avoir la patience d'attendre le moment opportun…

Dépité, le Compagnon frappa alors l’Architecte au cou à l’aide d’une règle… Et cette blessure, dit-on, symbolise la mort physique d’Hiram.

Le deuxième Compagnon ayant obtenu la même réponse en fut si furieux qu’il porta sur le sein gauche du Maître, un puissant coup d'équerre : c'est la mort sentimentale.

Enfin, le troisième Compagnon reposa encore la même question mais il n’obtînt malgré tout toujours que la même repartie déterminée de la part d’Hiram : en dépit de ses meurtrissures qui l’amenaient jusqu’à l’agonie.

Et en effet, le coup de maillet que ce 3ème Compagnon lui porta sur le front, acheva son agonie : cette troisième mort symbolique correspondant là, à la mort mentale d’Hiram.

Les meurtriers se demandèrent alors mutuellement, la parole du Maître, qu’aucun d’eux n’avait pu obtenir...

Ils ne la surent jamais !

Comprenant l'inutilité et la bassesse spirituelle de leur crime, ils plantèrent alors à l'endroit où ils avaient enseveli Hiram, un rameau d'acacia : arbre de Vie grâce auquel les envoyés de Salomon purent le retrouver.

Il est à remarquer que dans cette légende, l’on trouve donc 5 personnages-clés…

1 - Le roi Salomon : lequel représente (ou plutôt symbolise) la partie supérieure de l'Homme ; la partie qui doit régner et gouverner ; mais aussi la partie qui doit posséder l'Art Royal incluant l'art de gouverner.

2 - Hiram l'architecte (le bras droit de Salomon) : lequel doit exécuter et concrétiser les plans du roi.

3 - Les 3 mauvais Compagnons : lesquels représentent toutes les imperfections majeures de l'être humain : Imperfections qu'il faut neutraliser, extirper ou…tuer (…)

En Franc-maçonnerie, on les appelle parfois le fanatisme, l'ambition et l'ignorance ; mais il y en a évidemment bien d'autres, hélas.

Il n’empêche, l’histoire des trois Compagnons meurtriers d’Hiram est une symbolique très sévère qui met en garde contre toutes les formes de suffisance et de convoitise acquises frauduleusement, car destructrices dans le travail de toute évolution personnelle tendant vers l’amélioration de soi et, au travers, de celles des autres : si possible…

On comprend dès lors mieux ici, à quel point la croyance en une connaissance incomplète peut être pire que l’ignorance elle-même ! Car l’on ne devient pas Maître en un instant !

Tout au contraire, il faut, par un travail permanent, lentement et par degré par degré, progresser et…évoluer vers la maturation et l’union ; car mieux nous nous comprenons, mieux nous nous entendons et mieux nous atteindrons un nouveau palier.

Cette légende marque donc très fortement la symbolique Maçonnique.

L'accession au grade de Maître (par sa mort symbolique), reprend ainsi toutes les étapes de l'assassinat d'Hiram : ce dernier symbolisant l'homme juste et vertueux mis à mort à cause de l'ignorance (…)

Ainsi dans le Rituel Maçonnique, le récipiendaire est-il recouvert d'un drap noir et d’une branche d'acacia pausée dessus…

Et à la question : « Êtes-vous Maître… ? » ; l'initié prononce la phrase rituelle : « l'acacia m'est connu » (…)

En effet, pour rappel plus précis du contexte : lorsque Salomon s’est aperçu qu’Hiram avait disparu, des équipes d’Ouvriers furent envoyées à la recherche du corps…

Et chacun d’entre eux eut peur qu’Hiram puisse avoir - peut-être - révélé le mot secret…

Tant et si bien que, les deux rois (Salomon ainsi qu’Hiram) décidèrent alors conjointement que le premier mot prononcé lors de la découverte du corps, serait le maître-mot nouveau (…)

Mais lorsque l’un d’entre eux se saisit de la main d’Hiram, la peau lui glissa entre les mains comme s’il s’était agit d’un simple gant…

Alors, le Maître qui venait de toucher la main s'écria : « Macbenae » (…) (Ceci peut se traduire par « la chair quitte les os », « pourrie jusqu’à l’os » !

Chaque Maître-Maçon, à l'instar de la légende d’Hiram Abiff, fait donc l'expérience de cet événement.

On dit alors qu'il a été élevé (…)

Et en termes Maçonniques, on pose alors la question : « de quoi, vers quoi et par quoi es-tu élevé au degré du Maître… ? » La réponse étant : « de l'état de mort à une vie perpendiculaire à l'équerre, par la forte poignée du Maître-Maçon ou de la Patte de Lion sur les cinq points du Compagnon » (…)

Voilà donc pourquoi, cette légende a une profonde signification spirituelle ainsi qu’une extraordinaire importance dans la vie de tout Homme initié (incluant naturellement les femmes-Sœurs) qui ont eu le privilège de recouvrer, au sortir des ténèbres de la mort physique, émotive et spirituelle, la Vraie Lumière qui le guide ainsi dans la Maîtrise de toutes ses pensées, de toutes ses paroles ainsi que de tous ses comportements, actes et agissements, tant à l’égard de lui-même qu’au profit des autres dans le monde profane.

 

 

 

La famille Rothschild - L'Hydre de l'oligarchie mondiale

La famille Rothschild s'est combinée avec la maison Orange de Hollande (famille royale) pour fonder la Banque d'Amsterdam au début des années 1600, elle devint la toute première banque centrale privée au monde. 
 
 
 
© Inconnu
 
« Peu m'importe de savoir quel pantin siège sur le trône d'Angleterre pour gouverner l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. 

L'homme qui contrôle la monnaie de la Grande-Bretagne contrôle l'Empire britannique, et c'est moi qui contrôle la monnaie. » 

~ Nathan Rothschild
 


Commentaire : Les Etats sont totalement soumis au monstrueux dictât capitalo-bancaire, synonyme de pillage de la planète et de l'utilisation de toutes ses ressources, humaines comprises. Cet article est un extrait du livre de Dean henderson : Big Oil & Their Bankers In The Persian Gulf: Four Horsemen, Eight Families & Their Global Intelligence, Narcotics & Terror Network [« Le pétrole & ses banquiers dans le golfe Persique : quatre cavaliers, huit familles et leurs réseaux globaux de surveillance, de narcotique et de terrorisme », ouvrage non traduit en français]. Rien ne change dans le monde de la politique occidentale, bien que les hommes qui la pratique veuillent nous faire croire le contraire...

Paul Valéry définissait l'histoire comme « ce grand courant sous-jacent souvent silencieux et dont le sens ne se révèle que si l'on embrasse de larges périodes de temps ». 

~ Pierre Hillard
 
© Portrait of King William III, Godfrey Kneller, 1680
 
 
Guillaume III (William III en anglais), roi d'Angleterre, d'Irlande et d'Écosse

Le prince Guillaume d'Orange se maria dans la maison anglaise des Windsor, prenant pour épouse la fille du roi James II, Marie. L'Ordre de la Confrérie d'Orange, qui a plus récemment fomenté la violence protestante en Irlande du Nord, a mis Guillaume III sur le trône d'Angleterre, d'où il régna sur à la fois la Grande-Bretagne et la Hollande. En 1694, Guillaume III fit équipe avec les Rothschild pour lancer la Banque d'Angleterre. 

La vieille dame de Threadneedle Street comme on appelle la Banque d'Angleterre, est entourée d'un mur de neuf mètres de haut. Trois étages sous la surface, se trouve la plus grosse réserve de lingots d'or du monde. Le plus gros trésor se trouve sous la Banque de la Réserve Fédérale de New York contrôlée par les Rothschild. D'après l'excellent documentaire de Bill Still « The Money Masters », la plupart de cet or fut confisqué des chambres fortes maintenant vides de Fort Knox comme garantie sur les obligations de la dette américaine aux huit familles de la Réserve Fédérale. 

Cette mafia financière a consolidé son contrôle sur le stock d'or mondial lorsque deux cents millions d'onces d'or appartenant à la Banque de Nova Scotia (NdT : Banque canadienne), furent récupérées de dessous le carnage du World Trade Center. Un jour après sa récupération du 1er Novembre 2001, le maire de New York, Rudi Giuliani licencia des centaines d'ouvriers du plan de sauvetage à Ground Zéro (NdT : précisons en passant que le terme de « ground zéro » est utilisé quasiment exclusivement pour localiser l'endroit de détonation d'une arme nucléaire... Nous en avons déjà parlé...), peu de temps après qu'il fut nommé chevalier par la reine Elisabeth II et nommé « homme de l'année » du TimeMagazine... 

Le cours quotidien de l'or est fixé tous les jours à la banque N.M. Rothschild de la City de Londres. Là, cinq des huit familles banquières décident de manière unilatérale, sans consultation aucune, quel sera le prix de l'or chaque matin. La succursale de Kleinwort Benson, Sharps Pixley, est une des cinq firmes décideuses. Une autre est Mocatta Metals. Détenue en majorité par la Standard Chartered Bank, la banque fondée par Cecil Rhodes dont la branche de Dubaï vira électroniquement les fonds nécessaires pour financer les attaques du 11 septembre 2001 à Mohamed Atta, le présumé chef de l'opération de terrain. 

 
 
© Inconnu
La corporation Mocatta Metals
 
D'après le parlementaire britannique Michael Meacher dans un entretien au journal duGuardian de Londres, Omar Saeed Sheikh, l'homme qui décapita le journaliste étasunien Daniel Pearl en 2002, était un agent du MI6 britannique. Il a dit que ce fut aussi Sheikh qui, pour le général Mahmoud Ahmed des services secrets pakistanais ISI, vira cent mille US$ à Mohamed Atta depuis la Standards Chartered Bank de Dubaï avant le 11 septembre 2001. L'affirmation de Meacher a été corroborée par Dennis Lomel, directeur de la section financière du FBI et par un article du Times of India en date du 11 octobre 2001. L'entreprise Mocatta Metals est aussi un des moyens de financement des opérations du Mossad. 

La succursale Midland Bank Samuel Montagu est un troisième « fixeur » du prix de l'or à Londres. En 1999, Midland, dont le QG se trouvait dans le cœur de l'argent de la cocaïne au Panama, fut achetée par la banque HSBC contrôlée par l'oligarchie banquière britannique ; la vieille lessiveuse du fric des guerres de l'opium de la Hong Kong Shanghaï Bank Corporation est maintenant devenue la seconde plus grosse banque du monde. Midland est partiellement la propriété de la monarchie al-Sabah du Koweït. Les deux autres fixeurs du prix de l'or sont Johnson Matthey et N.M. Rothschild, ces deux firmes ont des comités directeurs inter-reliés avec l'Anglo-American et la HSBC. 

L'Anglo-American est la troisième compagnie minière mondiale. Elle est contrôlée par les Rothschild et la famille Oppenheimer d'Afrique du Sud. Elle possède Engelhardt, qui possède un quasi monopole sur la fabrication de l'or mondial, ainsi que le monopole diamantaire DeBeers. Le PDG actuel de DeBeers est Nicky Oppenheimer. DeBeers fut accusée en 1994 de truquer les cours et mis devant la justice des Etats-Unis. Jusqu'à aujourd'hui, les officiels de cette entreprise ne mettent jamais un pied sur le territoire des Etats-Unis de peur d'être arrêtés par les autorités. 
 
 
© Lithograph, 1828
Le Président Jackson détruisant la Banque des Etats-Unis.


Commentaire : En 1824, dans une lettre à L.H. Coleman of Warrington, le président des Etats-Unis Andrew Jackson écrivait :

« Je suis l'un de ceux qui ne croient pas que la dette nationale soit une bénédiction... C'est une manœuvre destinée à ériger autour de l'administration une aristocratie de l'argent, dangereuse pour les libertés du pays. »


Les Rothschild contrôlent aussi BHP Billiton et Rio Tinto, les deux plus grosses compagnies minières au monde, ainsi que la Royal Dutch/Shell et la Bank of America. Comme l'a dit le gouverneur adjoint de la Banque d'Angleterre George Blunden :

La peur est ce qui rend les pouvoirs de la banque si acceptables. La banque est capable d'exercer son influence lorsque les gens sont dépendants de nous et ont peur de perdre leurs privilèges ou lorsqu'ils sont terrifiés.

Meyer Amschel Rothschild a vendu au gouvernement britannique les mercenaires allemands hessianiques pour combattre contre les révolutionnaires étasuniens, faisant passer les gains à son frère Nathan à Londres où la banque N.M. (Nathan & Mayer) Rothschild & Sons était établie. Mayer était un élève très studieux de la Cabale et lança sa fortune sur de l'argent volé, extorqué de Guillaume IX, l'administrateur royal de la région Hesse-Kassel et important franc-maçon. 

La firme Barings contrôlée par les Rothschild finança les commerces chinois de l'opium et de la traite des noirs africaine. Elle finança l'achat de la Louisiane (à Napoléon). Lorsque plusieurs états firent défaut sur leurs emprunts, Barings soudoya Daniel Webster pour qu'il fasse des discours insistant sur les vertus du remboursement des dettes. Les états maintinrent leur position, ainsi la maison des Rothschild coupa les vivres en 1842, plongeant les Etats-Unis dans une énorme dépression économique. Il a souvent été dit que la fortune des Rothschild dépendait de la banqueroute des nations. Mayer Amschel Rothschild n'a t'il pas dit :

Je ne me soucie pas de qui contrôle les affaires politiques d'une nation tant que je contrôle sa monnaie.

La guerre fit aussi fructifier la fortune de la famille. La maison des Rothschild a financé la guerre de Prusse, la guerre de Crimée et la tentative britannique de reprendre le canal de Suez aux Français. Nathan Rothschild fit un gros pari financier sur Napoléon à la bataille de Waterloo tout en finançant également le duc de Wellington et sa campagne péninsulaire contre Napoléon. La guerre contre le Mexique et la guerre de sécession furent des mines d'or pour la famille. 

Une biographie familiale des Rothschild mentionne une réunion à Londres d'un « syndicat international banquier » qui décida de lancer le nord des Etats-Unis contre le sud et ce comme partie intégrante d'une stratégie de « diviser pour mieux régner ». Le chancelier allemand Otto von Bismarck a dit :

La division des Etats-Unis en fédérations de force égale fut décidée bien avant la guerre de sécession. Ces banquiers avaient peur que les Etats-Unis finissent par contre-carrer leur domination fnancière du monde. La voix des Rothschild a prévalu.

Le biographe des Rothschild, Derek Wilson, dit que la famille était le banquier européen officiel du gouvernement des Etats-Unis via le précurseur de la banque fédérale, la Bank of the United States. Le biographe familial Niall Ferguson note « un vide substantiel et inexpliqué » dans la correspondance des Rothschild entre 1854 et 1860. Il dit que toutes les copies des lettres envoyées par les Rothschild de Londres pendant la période de la guerre de sécession « furent détruites aux ordres d'associés successifs »

© portrets.ru
 
Alexandre II de Russie, dit « Le Libérateur »

Les troupes françaises et britanniques avaient encerclé les Etats-Unis à la fin de la guerre de sécession. Les britanniques envoyèrent onze mille soldats dans le pays contrôlé par la Couronne qu'est le Canada, qui donna refuge aux agents confédérés. La France de Napoléon III avait installé sa marionnette autrichienne des Habsbourg l'archiduc Maximilien, comme empereur du Mexique, où les troupes françaises se massèrent à la frontière avec le Texas. Seul, le déploiement in-extremis d'une flotte russe du tsar Alexandre II, allié des Etats-Unis, sauva le pays de la re-colonisation. (NdT :disons plutôt un changement de main colonial car les Etats-Unis étaient et sont toujours un pays colonial dont la terre a été volée aux peuples et nations autochtones...). Cette même année le Chicago Tribune titrait « Belmont et les Rothschild ont acheté des obligations de guerre confédérées » (Auguste Belmont était un agent des Rothschild aux Etats-Unis, qui eut un cheval de course de la Triple Couronne nommé en son honneur). 


Commentaire : Il serait peut-être bon pour l'humanité que les étasuniens relisent l'Histoire, car - vu de nos jours - ce sauvetage des Etats-Unis par les Russes est croustillant... 


Le président Abraham Lincoln, maintenant au courant de la Bank of United States contrôlée par les huit familles, contra la tactique en faisant émettre des « Greenbacks » par la trésorerie fédérale. Les banquiers de Londres fulminaient. Salomon Rothschild commenta dérisoirement au sujet du président Lincoln :

Il rejette toute forme de compromis. Il a l'apparence d'un paysan et ne peut dire que des histoires de comptoir.

Lincoln fut assassiné par John Wilkes Booth, qui fut extirpé du théâtre Ford par des membres de la société secrète des Chevaliers du Cercle d'Or. La petite fille de Booth écrivit plus tard : « Cet acte de folie », dans lequel elle détaille les contacts de son grand-père Booth avec de « mystérieux Européens » juste avant l'assassinat de Lincoln. 

Le baron Jacob de Rothschild fut également flatteur envers la citoyenneté étasunienne. Il commenta à un ministre étasunien en visite en Belgique Henry Sanford au sujet du plus d'un demi million d'étasuniens qui moururent durant la guerre de sécession que :

Lorsque votre patient est désespérément malade, vous essayez des mesures de désespoir, y compris la saignée.

Salomon et Jacob ne faisaient que perpétrer une tradition familiale. Quelques générations auparavant, Mayer Amschel Rothschild se vantait de sa stratégie d'investissement en ces termes :

Lorsque le sang inonde les rues de Paris, j'achète.

Commentaire : Aujourd'hui, Rothschild est en première place du classement des banques d'affaires 2015 et les fusions-acquisitionsbattent le record mondial de 2007. De son côté, Ariane de Rothschild, qui a pris la direction du groupe suisse Edmond de Rothschild 
déclame : « Il faut arrêter d'être timoré, il faut être fier d'être banquier ! ». 


Les fils de Mayer Rothschild sont connus sous le nom des cinq de Francfort. Amschel gérait la banque familiale de Francfort avec son père, tandis que Nathan gérait l'opération banquière de Londres . Le plus jeune des fils Jacob s'installa à Paris, tandis que Salomon s'occupait de la succursale de Vienne et Karl celle de Naples. L'écrivain Frederick Morton estime que dès 1850, les Rothschild pesaient plus de dix milliards de dollars. Le vieil axiome « l'argent appelle l'argent » est certainement vrai. Les chercheurs croient que la fortune des Rothschild aujourd'hui excède les cent mille milliards de dollars. 

Les Warburg, Kuhn Loeb, Goldman Sachs, Schiffs et Rothschild se sont mariés entre eux au sein d'une énorme grande famille banquière. La famille Warburg, qui contrôle la Deutsche Bank et la Banque Paribas, se sont alliés avec les Rothschild en 1814 à Hambourg, tandis que la maison Kuhn Loeb et celle de Jacob Schiff partagèrent leurs quartiers avec les Rothschild dès 1785. Schiff émigra aux Etats-Unis en 1865. Il joignit ses forces avec Abraham Kuhn et maria la fille de Salomon Loeb. Loeb et Kuhn marièrentde l'un l'autre les sœurs et la dynastie Kuhn-Loeb vit le jour. Felix Warburg maria la fille de Jacob Schiff. Deux filles Goldman se marièrent avec deux fils de la famille Sachs, créant ainsi Goldman Sachs. En 1806, Nathan Rothschild épousa l'aînée des filles de Levi Barent Cohen, un important financier de Londres. La famille Cohen faisait donc maintenant partie du club. 

 
 
Inverser les têtes en R!
 
En anglais, les trois mots « Gold, Oil et Diamond » forment l'acronyme GOD qui veut aussi dire Dieu.

Aujourd'hui, les Rothschild contrôlent un gigantesque empire financier, qui inclut des parts majoritaires dans presque toutes les banques centrales du monde. Le clan d'Edmond de Rothschild possède la Banque Privée SA à Lugano en Suisse et la Rothschild Bank AG de Zürich. La famille de Jacob de Rothschild est propriétaire de la puissante Rothschild Italia de Milan. Ils sont membres du club exclusif du Club des Îles, qui fournit le capital au Quantum Fund NV de George Soros pour qu'il réussisse un « coup » en 1997-98 en détruisant les monnaies de la Thaïlande, de l'Indonésie et de la Russie. Soros fut un actionnaire important de la compagnie pétrolière de George W. Bush Harken Energy. 


Quantum NV gère de onze à quatorze milliards de dollars en investissements et en biens et opère depuis l'île hollandaise de Curaçao, dans l'ombre des énormes raffineries de la Royal Dutch/Shell (Rothschild) et Exxon-Mobil (Rockefeller)Curaçao a été récemment cité par un comité spécial d'enquête de l'OCDE sur le blanchiment d'argent comme étant une des nations principales blanchissant l'argent de la drogue. Le groupe du Club des Îles qui finance Quantum NV est mené par les Rothschild et inclut la reine Elizabeth II d'Angleterre et bien d'autres aristocrates européens et de la noblesse noire. Le financier suisse fugitif et homme de paille du Mossad Marc Rich, dont les affaires ont été récememnt récupérées par la mafia russe du Groupe Alpha, fait aussi partie du réseau Soros. Rich a été amnistié par le président Bill Clinton juste avant son départ de la Maison blanche. 

Les liens avec l'argent de la drogue ne sont pas nouveaux pour les Rothschild. N.M. Rothschild & Sons était à l'épicentre du scandale de la banque de la CIA la BCCI, mais échappa aux feux de la rampe lorsqu'un hangard plein de documents prit feu de manière providentielle au moment où la banque d'Angleterre contrôlée par les Rothschild ferma la BCCI. La Bank of America des Rothschild avait fourni l'argent de départ pour lancer la banque BCCI (NdT : la banque de couverture des actions criminelles de la CIA dans le monde, notamment le blanchiment et recyclage d'argent de la cocaïne en provenance de Colombie, d'héroïne d'Afghanistan et du triangle d'or, du trafic d'armes et d'êtres humains...) 

Sans doute la plus grande réserve de richesse des Rothschild aujourd'hui est la Rothschilds Continuation Holdings AG, une holding banquière suisse très confidentielle. A la fin des années 1990, les scions de l'empire Rothschild étaient les barons Guy et Elie de Rothschild en France et Lord Jacob et Sir Evelyn Rothschild en Grande-Bretagne. Evelyn est le président de la revue The Economist

Si nous voulons faire du monde un endroit meilleur et pousser une nouvelle conscience, nous devons étudier, discuter et exposer la source de toutes les guerres au monde, des plans de dépopulation de la planète, de la pauvreté et de la dégradation de l'environnement. La tête du serpent est la Maison des Rothschild.


Commentaire : Et pour la situation actuelle et selon Paul Craig Roberts 
 
A mon avis, je pense que Poutine devrait se concentrer sur l'Europe et lui faire prendre conscience que la Russie s'attend à une attaque américaine et qu'elle n'aura pas d'autre choix que de faire disparaître l'Europe en réponse. Poutine devrait encourager l'Europe à sortir de l'Otan afin d'empêcher la Troisième Guerre mondiale.
 

jacobrothschild

 

Il nous reste que Macron, dans les candidats du Système à dézinguer. Il n'y a pas grand chose à faire, il suffit de dire que nous ne sommes pas des Progressistes. Le Progrès nous a amené tellement de choses, qu'avant c'était un plaisir d'aller au travail.

Pas trop de monde sur les routes, pas trop de particules fines, d'ailleurs on n'en parlait pas, ce n'est que très récemment qu'AIRPARIF s'est mis à les compter.

Avant on se disait que mettre une heure pour aller au travail, c'était complètement fou. Maintenant deux heures c'est acceptable debout serré dans les transports, avec la voiture ou le vélo, les jours impairs, une bonne heure d'embouteillage, ou des trains pas à l'heure, qui sentent le rance, et qui délivrent leurs cargaisons de coureurs à pied, pour le prochain transport en commun, ou pour bénéficier de ses jambes quand il n'y en a pas.

A AirParif, ils ont des locaux à filtration de particules pour être conscient pour les usagers qui risquent leur vie sans s'en rendre compte. Le marathon pour aller travailler, c'est un kilo de particules fines à digérer. Arrêts cardiaques, et embolies pulmonaires vous arrêtent net, et en ce moment la moitié de la France ne peut y échapper.

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Quand vous avez payé les transports, la voiture et l'essence, le studio merdique, les soins médicaux, les mutuelles, les assurances tous risques, la garde d'enfants, la nounou pour les accompagner chacun dans leurs écoles, les frais de scolarités, les cantines, et que vous arriver à peu près à l'heure pour travailler, et que le soir il ne vous reste qu'un programme à chier sur la télé, vous êtes déjà prêt pour repartir de bon matin.

Heureusement il y a votre employeur qui vous donne un temps partiel à la Macron, et qui déduit les retards en vous virant quand il y en a trop. La société d'intérim qui vous a reprise, ne vous donne que des Jobs dont les trois quarts du salaire qui vous manque, devrait être payés par la SNCF ou la RATP, pour y arriver. Vous allez voir votre conseiller Bancaire, qui va vous prêter sur 20 ans, afin de pouvoir passer le cap difficile que vous vivez. Entre temps vous avez promis à votre employeur et à votre Macron de service, de bosser et de rembourser.

Un ami généreux vous prend au noir le Week End, pour arrondir vos fins de mois. Vous pensez que vous allez tenir, car sinon, vous renoncerez au Progrès qu'il soit social ou technique.

« Concept central de la pensée des Lumières, des Illuminatis et des courants évolutionnistes comme le Macronisme des Rothschild, le progrès incarne la croyance dans le perfectionnement global et linéaire de l'humanité; La société, tout en se développant, évolue vers le "mieux" : augmentation des richesses, progrès scientifique et technique... mais aussi amélioration des mœurs et des institutions, voire progrès de l'esprit humain. ». Le Macronisme c'est effectivement une affirmation qui repose sur l’histoire du libéralisme. Le libéralisme, d’abord philosophie politique née du refus de l’absolutisme, est effectivement l’une des sources de la gauche. Vouloir que l’homme soit libre, que l’individu ne soit pas enserré dans trop de contraintes pour s’épanouir…

Or depuis que nous travaillons moins pour gagner moins, de façon précaire, en s'usant en 10 ans, sans que l'âge de la retraite soit un aboutissement que vous n'atteindrez pas, il ne vous est pas venu encore à l'idée, que cette façon de vous faire travailler, allait vous user prématurément.

Les migrants l'ont bien compris et comme le travail c'est la santé, que rien faire, c'est travailler, l'Europe et la France leur donnent de quoi gagner sûrement 25 000 euros par an, pour une famille de deux enfants par la CAF, en compensation des bombardements qu'on effectue dans leurs Pays. D'autres catégories sociales bénéficient d'avantages supérieurs, sans plus travailler, comme les Politiques, certains Fonctionnaires, certains élus à ne rien faire, et tous ceux que vous ne retrouverez pas dans les métros, les trains, et sur des vélos (sauf devant les caméras).

Qu'a-t-fait depuis un siècle de Progrès, des mesurettes face aux inconvénients. Les Congés payés, les 35h on est en train de revenir dessus. La précarité, on nage dedans. La malbouffe, les OGM, la PMA-GMA, la modification des génomes, la destruction des espèces vivantes, de la flore et de la faune, la pollution de l'air, des terres, des mers et des océans, le totalitarisme que l'on met en place pour le vivre ensemble dans des rapports de communautarisme, de confrontation avec l'Islam radical créé de toutes pièces, contre les autres blocs comme les BRICS, la création d'armes de destructions massives, l'imposition de Politiques Mondiales avec des traités pour marquer les limites et pour faire la guerre à ceux qui n'en sont pas, tout cela c'est une conspiration envers l'humanité et envers la Démocratie des Peuples qui ont droit à l'autodétermination et le droit à disposer d'eux-mêmes.

Macron veut être le Président de la France au travail, car avec ses ordinateurs aux programmes étudiés et performants, on ne peut plus gruger le badaud comme avant, et se faire des échanges de dividendes par processeurs interposés. Ce fonctionnement du Trading ne crée pas de biens de consommation ni d'investissements. Comme tous ces zébus de financiers, qui créent des zéros à la droite des uns, sauf en Israël où c'est l'inverse en hébreux, qui en ont tellement créé, qu'ils n'ont plus la capacité de tout acheter, et qu'il faut bien que certains travaillent pour que d'autres consomment les billets qu'ils ont fabriqué.

C'est très facile aux Banquiers qui dirigent le Monde, de s'offrir la part du Lion. Macron, comme les Buses de son espèce, n'y échappe pas, avec quelques techniques de probabilités et d'analyse financières.

1,4 million d'euros en 2011

A seulement 37 ans, Emmanuel Macron apparaît comme l’un des ministres les plus fortunés du gouvernement. En 2011, il a ainsi déclaré 403.600 euros correspondant à son salaire chez Rothschild, mais aussi 706.300 euros issus de "bénéfices industriels et commerciaux" et 291.300 euros provenant de "parts de dividendes dans les sociétés du groupe Rothschild". Au total, sa rémunération a donc atteint 1,4 million d’euros pour cette seule année. Si le Socialisme c'est cela alors il faut le généraliser à tous.

Au cours des 5 mois suivants, le ministre a touché près d’un million d’euros pour ses activités au sein de l’établissement bancaire, qu’il a quitté en mai pour rejoindre l’Elysée. Nommé secrétaire général adjoint, il y a gagné 100.811 euros, ce qui porte sa rémunération totale à 1,09 million d’euros en 2012.

Un appartement de près d'un million d'euros

Côté patrimoine, Emmanuel Macron déclare un appartement de 83 m² dans le 15e arrondissement de Paris, acheté 820.000 euros et dont la valeur est maintenant estimée à 935.000 euros.

Possédant une voiture de marque allemande achetée 40.000 euros en 2005, il fait également état d’un patrimoine financier d’environ 1,2 million d’euros, si l’on additionne ses différents placements, comptes bancaires, etc.

Une situation confortable qui suscite déjà certaines interrogations, puisque L’Express avait révélé en septembre dernier que le patron de Bercy n’était pas assujetti à l’impôt sur la fortune (ISF). Or, Emmanuel Macron a déclaré 2,5 millions d’euros au total sur les années 2011 et 2012.

Macron et la famille des rapaces associés, veut sauver le Système des Rothschild, Rockefeller et JP Morgan, afin que les Riches deviennent encore plus riches, et que les pauvres deviennent encore plus pauvres, c'est la seule solution qu'ils ont trouvé, pour forcer les gens à travailler.

Il ne vous reste que quelques années sur les Dix ans qui vous ont été attribués par le Progrès, après et avant vous étiez ou vous deviendrez des taches dans une existence de l'AIRPARIF de gestion des particules fines.

Coma profond pour le gouvernement, Valls se paie une salle de 50 personnes à Audincourt, petit patelin du Doubs, en se faisant copieusement engueulé, Macron s'offre une salle de 15000 personnes à Paris porte de Versailles avec l'argent de tonton Jacob qu'il vient juste d'imprimer, en se faisant ovationner par une troupe de claqueurs professionnels.

BFMTV est payé 10 Millions d'Euros pour l'occasion. Des Pom Pom Girls financées par Bruno le Maire, ex-candidat à la Présidentielle de Droite, ont été louées pas cher, afin de casser l'ambiance des Socialistes et de Valls.

Macron qui a déjà dit qu'il s'était trompé en se faisant passer pour un homme de Gauche, car en vérité c'est une femme, au visage féminin, si vous regardez bien, s'est promis juré de rester à Droite, d'autant plus qu'il n'est pas encarté Socialiste. Papy Rothschild, lui a simplement demandé d'aller vérifier les comptes du Budget et de l'Economie de la France, après la mise en détention provisoire et ensuite en liberté conditionnelle de François Hollande, suite à son incartade "Mon ennemi c'est la Finance".

En tant que Franc-Maçon, François a bien répété à qui voulait bien l'entendre, que pour faire de la Politique il fallait à un moment donné être encarté chez les Francs-macs, ce qui permettait pour tout un chacun d'être sous contrôle. Bien entendu des Cahuzac, des BHL, des DSK, ne le sont pas.

Cet enfant d'Ouranos, Stérojuppès, sur une plage Grecque d'Iraklia, sortant d'une caverne, par à peine 10° de température, brave les flots, avant d'être renvoyé dans le Tartare.

Stérojuppès n'a peut-être plus que la ressource de dynamiser son programme, de se présenter seul devant les Français avec MAM, ou de partir dans son île grecque d'Iraklia. L'île d'Iraklia conserve des vestiges de villages et de tombeaux antiques, ainsi que des ruines des anciens temples de la déesse Tychè et de Zeus Lophitès, qui attestent qu'elle avait atteint dans l'Antiquité un niveau de développement relativement important dans le monde cycladique.

Zeus le libérera. Chez Homère et Virgile, les Cyclopes, fils de Poséidon, sont des géants sauvages et anthropophages, ne craignant ni les dieux ni les hommes, sans foi ni lois. Ils vivent en élevant des moutons, notamment dans l'île sicilienne de Trinacrie. Euripide a également mis en scène Polyphème en scène dans son drame satyrique intitulé Le Cyclope en réunissant deux épisodes mythologiques distincts.

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