WWIII : Jésus Christ refoule les Francs-Maçons Manipulateurs comme il a refoulé les Zélotes, bien que les fréquentant. Evangile de JUDAS
Un contenu politique affirmé mais non conforme à la vision de Christ et à son enseignement.
La réinterprétation politique que propose l'écrivain musulman Reza Aslan lui redonne une saisissante actualité, propice au Nouvel Ordre Mondial en décadence. Mais ce n'est pas la vérité révélée (voir la suite)
Elle consiste à oublier tout ce qu'enseigne le catéchisme traditionnel pour laisser surgir sous les mêmes mots un autre texte, profondément corrosif et au contenu politique affirmé. Ce qui le conduit très loin, notamment à faire de l'homme de Nazareth un véritable leader révolutionnaire qui applique un principe implacable : "Le règne de Dieu ne peut être installé sans l'anéantissement des dirigeants en place." Il n'est pas jusqu'aux Béatitudes, ces promesses splendides - au nombre de huit dans l'Evangile de Matthieu - faites aux démunis ("Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux. [...] Heureux les affligés, car ils seront consolés"), qui ne soient réinterprétées dans le sens d'un programme résolument politique. Ce Jésus-là prend facilement les traits d'un Mahomet, chef de guerre, interprétation dont les chrétiens ne sauraient s'offusquer, puisque, contrairement à l'islam, la foi chrétienne ne consiste pas en une récitation de la seule version autorisée.
Reza Aslan est l’auteur de « Zealot » (Zélote, traduit chez les Arènes), le dernier livre consacré à la vie de Jésus, qui le présente comme un insurgé illettré. Il se dit spécialiste du Nouveau testament mais n’est ni historien ni professeur de théologie. Il a surtout écrit sur le djihad et l’islam. Le but de ce musulman agnostique et voulant instituer l'Etat Islamique, la charria, et toutes les autres abominations des coupeurs de têtes et des lapidations, c'est de parfaire l' œcuménisme actuel de l'Eglise Catholique, dirigée par un Franc-Maçon, le Pape Noir, en osmose avec la coalition occidentale qui a mis en place l'état islamique, et qui fait mine de le combattre.
La façon dont Jésus est perçu, en islam, se situe entre deux extrêmes. Les juifs ont rejeté Jésus en tant que prophète, le traitent d’imposteur, tandis que les chrétiens, de leur côté, le considèrent comme le fils de Dieu et lui vouent un véritable culte. L’islam, lui, considère Jésus comme l’un des plus grands prophètes et parmi les plus indulgents avec Noé, Abraham, Moïse et Mohammed, que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur eux tous. Jésus est également considéré comme le Messie. Cela est conforme au point de vue islamique sur l’unicité de Dieu et sur le fait qu’Il soit le seul à guider l’humanité, et au rôle complémentaire qu’ont joué les missions subséquentes des messagers de Dieu.
Le message de Dieu à l’humanité, qui est de L’adorer, Lui et personne d’autre, et de vivre en conformité avec Ses commandements, a d’abord été révélé à Adam (que la paix soit sur lui), qui l’a transmis à sa progéniture. Toutes les révélations subséquentes de Noé, Abraham, Moïse, Jésus et, finalement, Mohammed comportaient essentiellement le même message. Par conséquent, l’islam considère que toutes les contradictions que l’on retrouve au sein des religions révélées, de nos jours, sont des éléments qui ont été introduits par les hommes. On ne doit donc pas s’étonner que les points de vue sur Jésus, au sein des trois grandes religions – judaïsme, christianisme et islam – diffèrent complètement.
Bien que le Coran ne présente pas un récit détaillé de la vie de Jésus, il souligne les aspects importants de sa naissance, de sa mission et de son ascension au ciel. Il prononce également un jugement sur les croyances que les juifs et les chrétiens alimentent à son égard. Voici quelques vérités que Dieu nous a révélées au sujet de Jésus, dans le Coran :
Il est né d’une mère qui était vierge
Comme les chrétiens, les musulmans croient que Marie (ou Maryam, en arabe) était une femme chaste et vierge, qui a miraculeusement donné naissance à Jésus. Sa naissance est donc un véritable miracle, puisqu’il n’a jamais eu de père. Dieu la décrit ainsi dans le Coran :
« Et fait mention de Marie, dans le Livre, quand elle alla s’isoler, loin de sa famille, dans un lieu situé à l’est. Elle étendit un voile entre elle et le monde. Nous lui envoyâmes Notre esprit, qui avait revêtu pour elle une forme humaine accomplie. Elle dit : « Je me réfugie contre toi auprès du Miséricordieux! Si tu crains Dieu, [ne m’approche point]! » Il dit : « Je ne suis qu’un messager de ton Seigneur, venu t’annoncer la naissance d’un fils pur. » Elle dit : « Comment pourrais-je avoir un fils alors qu’aucun homme ne m’a (jamais) touchée et que je ne suis point une femme de mœurs légères? » Il dit : « Ainsi sera-t-il. Cela M’est facile, a dit ton Seigneur. Et Nous ferons de lui un signe pour les gens et une miséricorde émanant de Nous. C’est une affaire déjà décrétée. » (Coran 19:16-21)
Cela ne signifie pas pour autant que Jésus soit d’esprit ou d’essence divine ni qu’il mérite notre adoration, surtout si l’on considère que la naissance d’Adam a été encore plus miraculeuse que celle de Jésus. Si sa naissance miraculeuse était la preuve que Jésus est Dieu incarné ou encore Son fils, alors Adam aurait encore plus de droit que lui à cette divinité. Mais la vérité est qu’ils étaient tous deux des prophètes ayant reçu une révélation de la part de Dieu, et qu’ils étaient tous deux Ses serviteurs, vivant en conformité avec Ses commandements.
« Certes, pour Dieu, Jésus est comme Adam, qu’Il créa de poussière (de la terre), puis lui dit : « Sois! » et il fut. » (Coran 3:59)
Il a accompli des miracles
Comme les chrétiens, les musulmans croient que Jésus a accompli des miracles. Ces miracles, cependant, n’ont pu être accomplis que par la volonté et la permission de Dieu, qui détient le pouvoir sur toute chose.
« Alors Dieu dira : « Ô Jésus, fils de Marie! Rappelle-toi Mon bienfait dont Je vous ai comblés, ta mère et toi, et comment Je t’ai fortifié du Saint-Esprit, de sorte qu’au berceau, tu parlais aux gens, de même qu’en ton âge mûr. Je t’enseignais le Livre, la sagesse, la Torah et l’Évangile. Par Ma permission, tu façonnais l’argile en forme d’oiseau; puis, tu soufflais dessus, et par Ma permission, elle devenait (un véritable) oiseau. Et tu guérissais, par Ma permission, l’aveugle-né et le lépreux. Et par Ma permission, tu faisais revivre les morts. Je te protégeais contre les enfants d’Israël quand tu leur apportais des preuves claires, et ceux d’entre eux qui ne croyaient pas disaient : « Ce n’est que de la magie évidente. » (Coran 5:110)
Dieu a envoyé tous les prophètes avec des miracles destinés à la nation chez laquelle ils étaient envoyés, afin de prouver la véracité du message qu’ils prêchaient. Ces miracles n’ont bien entendu pas été accomplis par les prophètes eux-mêmes; c’est Dieu qui les a rendus possibles, par Sa volonté. Les miracles accomplis par Jésus n’échappaient pas à cette règle. Les juifs de l’époque connaissaient bien la médecine, et les miracles accomplis par Jésus étaient de cette nature; ils prouvaient ainsi la véracité du message qu’il prêchait et étaient plus susceptibles de convaincre les juifs.
Le point de vue du judaïsme sur Jésus de Nazareth repose sur un double postulat : d'une part la judéité de Jésus de Nazareth, d'autre part l'opposition fondamentale entre le judaïsme et le christianisme. L'un des principes de foi du judaïsme est en effet l'affirmation d'un Dieu unique, sans aucun intermédiaire ni associé (shoutaf). La croyance en Jésus en tant que divinité, partie de divinité ou fils de Dieu est donc incompatible avec le judaïsme, de même que sa messianité ou sa prophétie.
Les juifs ayant partagé une ou plusieurs de ces croyances, dont les judéo-chrétiens de l'Église primitive, furent exclus par les Sages avec les minéens. Pour cette raison, des questions telles que l'existence historique de Jésus et les autres sujets concernant sa vie sont considérés comme hors de propos dans le judaïsme.
La plupart des Juifs et des Musulmans croient en Jésus uniquement en tant que prophète pour certaines de ses prophéties et non en Christ (oint par Dieu et Fils unique de Dieu). Christ [kʁist] (du grec χριστός / christós) est la traduction du terme hébreu מָשִׁיחַ (mashia'h, dont dérive le nom français « Messie »), signifiant « l’oint [du Seigneur] », c’est-à-dire une personne consacrée par une onction divine. Les deux dernières lettres de Christ (st) ne sont généralement pas muettes ; elles se prononcent habituellement.
La Vérité sur Jésus est connue par de nombreux textes anciens, et appartenances à la communauté des Esséniens, suite à la découverte des manuscrits de la mer morte, également appelés manuscrits de Qumrân, berceau des esséniens, entre 1945 et 1947 et ultérieurement. Ces manuscrits ont été enfuis dans des jarres en l'an 70, à la destruction du second Temple de Jérusalem par Titus.
Jésus Christ est Essénien, et le frère de communauté de Jean Le Baptiste ainsi que son cousin, qui l'a baptisé dans les eaux du Jourdain. Dans le judaïsme, le mikvé est un bain rituel utilisé pour l'ablution nécessaire aux rites de pureté. L'immersion totale du corps dans l'eau du mikvé fait partie du processus de conversion au judaïsme. On y voit généralement l'ancêtre du baptême chrétien. Dans l'esprit de la Torah et dans les rites d'immersion juifs demandés à Moïse par YHWH (D.ieu), l'immersion représente l'engloutissement dans l'eau d'un corps qui a été touché par l'impur (péché originel).
Ce rituel s'appuie sur une symbolique que Carl Gustav Jung et d'autres psychanalystes rapprochent de la vie intra-utérine, immersion évoquant tout à la fois la purification, la mort et la (re-)naissance.
Pour tout chrétien, la référence est le baptême de Jésus par Jean le Baptiste dans le Jourdain, décrit dans l'évangile selon Matthieu : Jésus arrivant de Galilée paraît sur les bords du Jourdain, et vient à Jean pour se faire baptiser par lui. Jean voulait l'en empêcher et disait : " C'est moi qui ai besoin de me faire baptiser par toi et c'est toi qui viens à moi!", mais Jésus lui répondit: " Pour le moment, laisse-moi faire ; c'est de cette façon que nous devons accomplir ce qui est juste". Alors Jean le laisse faire. Dès que Jésus fut baptisé, il sortit de l'eau ; voici que les cieux s'ouvrirent et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et des cieux une voix disait: " Celui-ci est mon Fils bien-aimé : en Lui j'ai mis tout mon amour." (Matthieu chap. 3 versets 13 à 17). Le rite du baptême a provoqué la disparition de la circoncision rituelle, sans totalement faire disparaître cette notion, alors spiritualisée.
Côté Baptême, le Christ ressuscité préférait l'immersion, mais un Baptême suivant une des trois grandes religions (Chrétienne, Juive et Musulmane), n'est pas un obstacle majeur. Par contre côté contenu des Religions, il s'avère que le Christ ressuscité ne sait pas à quelle porte frapper. Il est venu pour accomplir la Loi de Dieu:
Matthieu 5:17 Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. | ||||
... la Loi ou les Prophètes je ne suis pas venu les anéantir mais les accomplir Darby Bible Ne pensez... mais lorsque les temps ont été accomplis Dieu a envoyé son Fils né d une femme né sous la loi Colossiens 2 16 17 Que...Matthieu 5:17 Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu ...
|
|
A ce jour, le Baptême peut-être donné par n'importe quel Baptisé, et il suffit de dire "je te Baptise au nom du Père, au Nom du Fils, et au nom de l'esprit Saint, en versant de l'eau sur le front, afin de faire rentrer un enfant dans la communauté de Jésus Christ. Le Baptême est à la fois le moment où Jésus vient habiter en nous et en même temps notre propre naissance à la vie de Dieu.
les petits enfants ont aussi une vie spirituelle
Il faut savoir que les tout-petits ont réellement une " vie spirituelle ", c'est à dire de sensibilité à Dieu, d'amour pour lui. Si les parents prient avec leurs jeunes et même très jeunes enfants, ils découvriront cette vie spirituelle de leurs enfants. Ils recevront eux même un grand encouragement à leur vie avec le Christ en voyant la confiance des enfants. Ils recevront des lumières de l'Esprit saint à travers des réflexions des enfants (voir l'enfant parlant du baptême dans le tout premier paragraphe de cette brochure).
Dieu n'est pas la propriété des adultes. Il connaît une façon de parler au cœur des enfants bien avant l'âge de raison :" Je te bénis , Père, Seigneur du Ciel et de la terre, d'avoir caché cela aux sages et aux intelligents et de l'avoir révélé aux tout-petits ".
(évangile de Saint Luc, 10, v.21)
Le chemin, la vérité, la vie Jean 14,6-14
À cet endroit de l'Évangile de Jean, le discours après la Cène devient dialogue, puisque, après avoir conversé avec Pierre (13,38), Jésus s'adresse ici à Thomas, puis à Philippe.
"Seigneur, disait Thomas, nous ne savons même pas où tu vas, comment pourrions-nous en savoir le chemin?" Et Jésus de répondre par une phrase insondable, où l'on ne peut entrer que le cœur grand ouvert: "Moi, je suis le chemin et la vérité et la vie".
Il est le chemin parce qu'il est la vérité.
Il est à lui seul toute la vérité que Dieu révèle aux hommes, toute la vérité sur Dieu qui se révèle. Tout ce qu'on peut dire du Père est déjà dit par le Fils; tout ce qu'on peut connaître du Père est pleinement manifesté dans le Fils: Jésus est chemin de connaissance, chemin de vérité.
Il est aussi le chemin parce qu'il est la vie.
Toute la vie que le Père offre aux hommes est déjà donnée dans son Fils: "Telle est en effet la volonté de mon Père, dit Jésus, que quiconque voit le Fils et croit en lui, ait la vie éternelle" (6,40). Tout homme en marche vers le Père est en route vers la vie, et il la trouve déjà en rencontrant le Christ. Jésus est chemin de vie: il est déjà la vie, lui qui mène à la vie.
Jésus est à la fois la vérité et la vie, parce que, à la fois, il manifeste le Père et introduit les hommes dans sa communion; mais tant que nous sommes pèlerins vers la gloire, Jésus est pour nous la vérité et la vie sur le mode du chemin, du chemin à suivre, sur le mode du passage, du passage obligé.
"Personne ne va au Père que par moi", dit Jésus. Si donc nous avons l'impression d'être perdus dans notre quête de Dieu, si nous revenons, de loin en loin, devant les mêmes impasses, si nous sommes tentés de perdre courage parce que toute route s'efface, il suffit, pour retrouver le chemin, de s'ouvrir de nouveau à la vérité de Jésus et de recevoir comme un pauvre la vie qu'il nous offre.
Il suffit même de voir Jésus pour voir le Père, de connaître Jésus pour connaître le Père, si l'on regarde résolument avec les yeux de la foi. Et c'est ce que Jésus révèle à Philippe. À sa demande: "Seigneur, montre-nous le Père!", il répond: "Je suis avec vous depuis si longtemps, et cependant, Philippe, tu ne m'as pas connu?" Il y avait donc, tout au long de la vie de Jésus, quelque chose à connaître, quelqu'un à reconnaître, au travers et au-delà de ses paroles et de ses actes. Il y a, encore aujourd'hui, à reconnaître dans le Jésus des Évangiles, non seulement l'envoyé de Dieu, mais la manifestation parfaite du Père. Il faut reconnaître en Jésus, que l'on voit agir, que l'on entend parler, le Fils éternel venu "raconter" Dieu (1,18), le Bien-Aimé qui peut dire: "Je suis dans le Père et le Père est en moi. Les paroles que je dis, je ne les dis pas de moi-même: le Père, demeurant en moi, accomplit ses propres œuvres".
C'est à cause de cette communion indicible que Jésus est vérité de Dieu; c'est à cause de cette intimité que Jésus est vie de Dieu pour les hommes. De son vivant sur terre, déjà Jésus était habité par la gloire de Dieu; cheminant parmi nous il était déjà chemin vers le Père, lien immédiat avec le Père. À plus forte raison nous mène-t-il jusqu'au Père, maintenant qu'il est assis pour toujours à sa droite et qu'il attire à lui tous les hommes.
Jean 8:42
Jésus leur dit: Si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est de Dieu que je suis sorti et que je viens; je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. 43Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. 44Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge. 45Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas.
Jean 14
…19Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; mais vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi. 20En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous. 21Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime; et celui qui m'aime sera aimé de mon Père, je l'aimerai, et je me ferai connaître à lui.…
Actes 5:31 Dieu l'a élevé par sa droite comme Prince et Sauveur, pour donner à Israël la repentance et le pardon des péchés. | |
... que la grâce et la paix te soient données de la part de Dieu le Père et de Jésus Christ notre Sauveur ... comme Sauveur du monde Jude 1 25 Dieu seul notre Sauveur par Jésus Christ n... de David que Dieu selon sa promesse a suscité à Israël un Sauveur qui est Jésus Ésaïe 43 3 11 Car ... |
Galates 3
26Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ; 27vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. 28Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ. 29Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse.
Il a étudié au monastère du Carmel.
Selon Épiphane et Flavius Josèphe, le mont Carmel a été le fief des Esséniens qui venaient d'un endroit de Galilée appelé Nazareth ; si ce groupe d'Esséniens est parfois appelé Nazaréens, il ne faut pas le confondre avec la secte des Nazôréens, qui a suivi les enseignements de Jésus, mais associés avec celui des Pharisiens. Les membres des groupes américains modernes, qui se réclament être Esséniens, mais qui sont considérés par les chercheurs comme n'ayant aucun lien avec ce groupe historique, considèrent le mont Carmel comme ayant une grande importance religieuse à cause de la protection qu'il a offert au groupe des Esséniens historique.
Tacite relate que Vespasien est monté sur le mont Carmel pour consulter l'oracle qui s'y trouvait ; Tacite rapporte qu'il y avait un simple autel, sans présence de temple.
Pour FLAVIUS JOSÈPHE, les ESSÉNIENS sont la troisième «secte» de la société juive de PALESTINE, derrière les PHARISIENS ancêtres du judaïsme rabbinique nés à la suite de la destruction du Temple et qui deviendra le JUDAÏSME actuel, et les SADDUCÉENS. Il classe à part ce qu'il appelle la IVe philosophie, le mouvement GALILÉEN (futur mouvement ZÉLOTE) qui disparaîtra rapidement.
Alors que PHARISIENS, ZÉLOTES et SADDUCÉENS s'organisaient comme des partis politico-religieux au sein de la Synagogue, les ESSÉNIENS (Essênoï, chez PHILON toujours Essaïoï), tout en appartenant, par les origines ethniques de leurs membres, au peuple juif, s'en étaient radicalement séparés quant à la doctrine, au culte, au mode de vie, et, tenus pour infidèles par l'Eglise d'ISRAËL, excommuniés par elle, considérés par leurs compatriotes comme des renégats de l'âme hébraïque, menaient leur existence de quasi-Trappistes en-dehors du QAHAL.
En matière de doctrine, de vie, de mœurs , de culte, l'ESSÉNISME est même totalement étranger à la tradition juive, au pharisaïsme comme au SADDUCÉISME.
D'autre part, des Pseudépigraphes comme les LIVRES D'HÉNOCH et des Jubilés se présentent saturés d'ESSÉNISME ; on peut se demander si jadis, sous leur forme primitive, ils n'ont pas, en tout ou en partie, appartenu au trésor des ESSÉNIENS.
Les esséniens (du grec : εσσήνοι, « essēnoi » ; εσσαίοι, « essaioi » ; ou οσσαίοι, « ossaioi ») sont un mouvement du judaïsme de la période du Second Temple qui a prospéré à partir du iie siècle av. J.-C. et dont l'existence est attestée au ier siècle en Palestine.
Au ier siècle, les esséniens sont mentionnés dans Apologia pro Judæis (« Apologie en faveur des Juifs ») et Quod omnis probus liber sit (« Tout homme vertueux est libre ») de Philon d’Alexandrie (v.12 av. J.-C.-v.54), dans la Guerre des Juifs et les Antiquités judaïques de Flavius Josèphe (v.37-v.100), ainsi que dans une courte notice figurant dans l'Histoire naturelle de Pline l’Ancien (23-79).
Le philosophe et chroniqueur judéo-alexandrin Philon et l'historien judéo-romain Josèphe rapportent qu'il existait des esséniens en grand nombre, et que plusieurs milliers vivaient dans la Judée romaine. Pour Flavius Josèphe, les esséniens sont la « troisième secte » de la société juive de Palestine, avec les pharisiens et les sadducéens. Il décrit les esséniens comme des communautés d'ascètes, volontairement pauvres, pratiquant l'immersion quotidienne et l'abstinence des plaisirs du monde.
Après que les manuscrits de la mer Morte découverts aux alentours de Khirbet Qumrân, le berceau des Esséniens, eurent été attribués « aux esséniens », cette dernière mention est devenue très célèbre. Flavius Josèphe, Philon d'Alexandrie et Pline l'ancien les mentionnent sous des noms différents : « εσσήνοι » (« essēnoï »), εσσαίοι (« essaioï), ou οσσαίοι (« ossaioï ») et que l'on rassemble sous le nom d'esséniens. Au ive siècle, l'évêque chrétien Épiphane de Salamine, spécialiste des « hérésies », c'est-à-dire des autres groupes religieux proches du christianisme, utilise la forme « ossaioï » pour désigner le groupe à qui Elkasaï a prêché pour former les elkasaïtes, qu'il désigne par ailleurs sous l'appellation de communautés « osséennes » ou « sampséennes »
Les esséniens ont acquis une renommée dans les temps modernes à la suite de la découverte, à partir de 1947, d'un vaste groupe de documents religieux connus sous le nom de « manuscrits de la mer Morte », dont une centaine – « sur 870 » – pourraient être esséniens, ou d'un mouvement proche se donnant, dans une trentaine de manuscrits, le nom de « Yahad » (« Unité », « Alliance ») . Toutefois, cette identification ne fait pas consensus.
Lorsque les Romains, devenus la grande puissance de la région, succédèrent aux Séleucides, ils accordèrent au roi asmonéen régnant, Hyrcan II, une autorité limitée, sous le contrôle du gouverneur romain de Damas. Les juifs, hostiles au nouveau régime, multiplièrent les insurrections au cours des années suivantes. C'est Mattathias Antigone qui fit la dernière tentative de restaurer la gloire de la dynastie asmonéenne. Sa défaite et sa mort mirent fin au régime des Asmonéens (40 av.) et le pays devint une province de l'Empire romain.
En 37 av., Hérode, gendre d'Hyrcan II, fut nommé roi de Judée par les Romains. Jouissant d'une autonomie quasi illimitée pour les affaires intérieures du pays, il devint l'un des monarques les plus puissants de la partie orientale de l'Empire romain. Grand admirateur de la culture gréco-romaine, Hérode lança un vaste programme de construction comprenant les villes de Césarée et Sébastia et les forteresses d'Hérodion et de Massada.
Il restaura également le Temple et en fit l'un des édifices les plus magnifiques de l'époque. Mais en dépit de toutes ses réalisations, Hérode ne parvint pas à gagner la confiance et le soutien de ses sujets juifs.
Dix ans après la mort d'Hérode (4 av.), la Judée passa sous administration romaine directe. La colère croissante contre la suppression systématique de la vie juive dégénéra en violences sporadiques qui culminèrent dans une révolte de grande envergure en l'an 66 de l'ère chrétienne. Des forces romaines supérieures menées par Titus finirent par l'emporter, rasant Jérusalem (an 70) et réduisant le dernier bastion de Massada (an 73).
Les pharisiens (dont l'apôtre Paul était un parfait représentant jusqu'à sa conversion sur le chemin de Damas) donneront naissance, après la dispersion du peuple juif, au judaïsme rabbinique qui se confond jusqu'à nos jours avec le destin du peuple juif. Dans ce paysage en pleine accélération dramatique, les zélotes (du grec zêlotai,traduction de l'hébreu qanna'im, qui signifie "zélés") se réclament de grands personnages bibliques, justiciers et réformateurs intransigeants. Proches d'une définition de la foi qui est aussi celle des pharisiens, ils se distinguent de ces derniers par leurs méthodes d'action, radicales voire fanatiques, car ils combattent activement les Romains et considèrent que la détermination guerrière la plus absolue est un moyen de précipiter l'avènement du Messie. En 66, un sacrifice païen effectué devant la synagogue de Césarée sert d'étincelle à la révolte juive, qui s'étend à Jérusalem. Les zélotes, qui parviennent à rassembler leurs compatriotes, infligent une sévère défaite à la XIIe légion romaine et prennent temporairement le contrôle de la Ville sainte. Le philosophe et historien Ernest Renan assimilera ce soulèvement à "un accès de fièvre qu'on ne peut comparer qu'à celui qui saisit la France durant la Révolution". La réplique romaine sera effroyable et se soldera par la destruction complète du Temple et la dissémination des juifs.
C'est donc à ce courant extrémiste que Reza Aslan veut faire adhérer Jésus, en s'appuyant sur de nombreux indices, effectivement troublants, mais en empruntant un chemin biographique qui ne manquera pas d'être critiqué (voir l'interview du frère Olivier-Thomas Venard, page 58). Certaines des paroles du Christ restent jusqu'à ce jour mystérieuses, voire dérangeantes : "N'allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre. Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive." Mais le choix d'Aslan, qui consiste à se passer de l'interprétation spirituelle pour en rester au mot à mot, produit des effets de distorsion. Pour les chrétiens, cette parole à consonance guerrière est la définition même du combat intérieur, du déchirement des âmes semblable à celui que produirait une lame. La suite de ce passage suffit à la montrer : "Car je suis venu opposer l'homme à son père, la fille à sa mère et la bru à sa belle-mère : on aura pour ennemis les gens de sa famille" (Matthieu X, 35-36). Il n'y a là rien qui s'apparente à une guerre, mais tout d'un conflit sur la foi qui divisera, en effet, le monde juif d'une maison à l'autre et séparera douloureusement les chrétiens et les juifs. Sinon, pourquoi Jésus aurait-il dit à ses disciples : "Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups" (MatthieuX,16)?
Plus solide est la mention, dans l'entourage de Jésus, de certains disciples qui présentent toutes les caractéristiques des zélotes - Simon le Zélote et Judas l'Iscariote le trésorier des Apôtres, c'est lui qui recevait les dons et qui assumait les dépenses, mais leur appartenance semble, en l'occurrence, clairement assumée par les Evangiles. Les Zélotes étaient envieux, aimaient l'argent et les belles choses, il revendiquaient le pouvoir, et n'hésitaient pas à être des brigands. L'Iscariote, un ami d'enfance de Jésus, en est un exemple, pour 30 deniers il a trahi. Il est allé au palais d'Hannah, il y pénétra en courant, et dit au vieil Hannah et à Caïphe du Sanhédrin, qui fixe le sens exact des prophéties, pour éviter les aberrations des vulgaires, et sur demande de sa femme Lia, qui n'aimait pas son existence de nomade et de mendiant, "je viens vous le livrer". "Dis ce que tu veux", et l'Iscariote répondit "j'ai besoin présentement de 30 pièces d'argent" et demanda également son retour à Capharnaüm. Judas posa alors la question "Qu'en ferez-vous?", "tu le sais bien, nous le livrerons à notre Justice"...
Dans un autre livre récemment paru, Jésus (Seuil), le théologien suisse Hans Küng, camarade d'études d'un certain Joseph Ratzinger, rappelle fort utilement que "Jésus est en personne le programme du christianisme". C'est pourquoi il y aura encore de nombreuses polémiques sur la vie méconnue de Jésus, sur ses paroles énigmatiques, sur ses années de silence... Blaise Pascal a résumé au mieux le débat, qui ne s'éteindra pas : "Il y a assez de lumière pour ceux qui ne désirent que de voir, et assez d'obscurité pour ceux qui ont une disposition contraire." Le christianisme poursuit sa course, tant il est vrai qu'il est fondé sur la liberté de chacun et qu'à ce titre il demeure tout aussi subversif après deux millénaires.
La franc-Maçonnerie peut-être le Bien comme le Mal. Les affairistes au dessus des Lois et corrompus par des pratiques de pots de vins, d'ententes illicites, de marchés truqués, de favoritisme, d'atteinte à l'intégrité humaine, c'est aussi la Franc-Maçonnerie des oubliettes de la République, voleurs, prévaricateurs, concussionnaires, ennemi du peuple, traîtres à la patrie. Malheureusement la Franc-Maçonnerie et ceux qui y entrent ne le font pas pour de bonnes raisons. Le Franc-Maçon doit être intègre, aimant son prochain, recherchant la vérité, libre de s'exprimer et de dénoncer les injustices.
La Franc maçonnerie est l’école de la tolérance et de la vertu, vertu au sens de morale, car nous en avons bien besoin de cette morale qui nous structure et nous permet le bien vivre ensemble, qui nous éduque et permet à chacun et à chacune d’entre nous d’exprimer ses différences, de nous en enrichir, tout en nous retrouvant sur des bases solides et fermes, celles de l’initiation .
Voyons d’abord ce qu’est-ce que la morale ? C’est l’ensemble de ce qu’un individu s’interdit à lui-même, non pour augmenter son bonheur ou son bien être, ce qui ne serait qu’égoïsme, mais pour tenir compte des intérêts ou des droits de l’autre, mais pour n’être pas un » salaud « , mais pour rester fidèle à une certaine idée de l’humanité et de soi. La morale répond à la question, que dois-je faire ? C’est l’ensemble de mes devoirs , autrement dit des impératifs que je reconnais légitimement – quand bien même il m’arrive comme tout à chacun de les violer. C’est la loi que je m’impose à moi-même , ou que je devrais m’imposer, indépendamment du regard d’autrui et de toute sanction ou récompense attendue. Une action n’est bonne que si le principe auquel elle se soumet peut être érigé en loi universelle : agir moralement c’est agir de telle sorte que tu puisses désirer, sans contradiction, que tout le monde se soumette aux mêmes principes que toi. Cela rejoint l’esprit des évangiles, ou l’esprit tout court, tel que Rousseau le définit » fais à autrui comme tu veux qu’on te fasse « .
Il s’agit de ne pas être indigne de ce que l’humanité a fait de soi et de nous, il s’agit de faire bien l’homme, comme disait Montaigne, et dûment, autrement dit de réaliser au mieux notre humanité en faisant, quand nécessaire, notre devoir. Cela ne tient pas lieu de bonheur, et c’est pourquoi la morale n’est pas tout, cela ne tient pas lieu d’amour, et c’est pourquoi la morale n’est pas l’essentiel. Mais aucun bonheur n’en dispense , mais aucun amour n’y suffit : c’est dire que la morale toujours reste nécessaire.
La FRANC MACONNERIE n’est pas le système D , ni une solution miracle, c’est une école d’éveil, d’écoute, de respect, et surtout de travail . Ce qu’elle peut proposer aux hommes et aux femmes , un espace et un outil, un lieu et une méthode .
Le lieu, c’est la loge elle –même, l’espace philosophique où le temps d’une tenue des hommes et des femmes se réunissent , lieu temporel et spirituel, situé dans l’espace et dans le temps, lieu de rencontre entre des êtres humains que les conditions de vie, les activités professionnelles, les croyances religieuses, les convictions politiques, les nationalités tenaient éloignés les uns des autres, lieu d’un échange véritable , d’un échange qui suppose la reconnaissance en chaque homme de la liberté et la présence en lui de la raison, mais aussi du respect et de la générosité d’esprit et de cœur . Dans le même temps, il ne peut y avoir de dialogue si l’on ne pense pas que le désir le plus profond de l’homme est désir de vérité et si on ne reconnaît pas à chaque conscience la liberté de chercher la vérité . Tout dialogue implique une tolérance réciproque et l’idéal de la tolérance n’est pas un idéal dépassé ; Et certes aujourd’hui, beaucoup nous disent rechercher et souhaiter le dialogue avec les autres hommes. Mais cherchent-ils ou souhaitent-ils un dialogue authentique ? Ou seulement sa caricature ? Ce qu’ils souhaitent le plus souvent, c’est de parler eux-mêmes et qu’on les écoute , ce qu’ils veulent le plus souvent c’est la « mort « de l’autre conscience, c’est-à-dire la soumettre à leur propre opinion . Voilà pourquoi beaucoup de dialogues ressemblent à une polémique et souvenons-nous que polémique vient du polémos qui signifie guerre. Sous prétexte de dialogue, nous assistons à la guerre de tous contre tous, à des efforts de domination des uns sur les autres . Le véritable dialogue consiste aussi à s’écouter l’autre s’enrichir de sa pensée et à rechercher l’épanouissement de chaque conscience dans la recherche commune de la vérité.
La Loge maçonnique nous offre un lieu et un outil, l’initiation est un chemin , un processus, qui veut amener le franc maçon des ténèbres à la lumière, l’aider à opérer une conversion de son regard intellectuel vers la Connaissance , conversion qui ne doit pas toucher seulement le savoir, le connaître, mais l’être intérieur de l’homme, car c’est par l’initiation, la recherche incessante de la vérité que l’homme pourra se rendre libre. La Loge est en ce sens outil et œuvre de libération . La pensée symbolique veut amener le Maçon à comprendre que le monde de l’ici et du maintenant , celui de l’apparence, n’est pas le tout du monde, qu’il existe autre chose derrière le voile de l’apparence , que l’être est au-delà de l’objet.
Le Rite, quant à lui, veut permettre au Maçon, de retrouver une discipline, une Règle, une Loi . La fonction du Rite comme celle de l’initiation et du symbolisme est d’entraîner le maçon à dépasser le profane pour aller vers le sacré, à le conduire de l’homme de la nature à l’homme de l’esprit. L’initiation, le symbole, le rite permettent au FM de se dépasser lui-même et de créer les conditions de ce dépassement, de reconnaître que l’homme qu’il est n’est pas l’être réduit à soi et séparé, mais relié au Cosmos, aux autres hommes . La situation du maçon est complexe , il y a toujours une distance entre ce qu’il est et ce qu’il veut être, ce qu’il doit être. Elle signifie la distance qu’il y a entre la réalité et l’idéal et qu’il doit faire entrer cet idéal dans la réalité. Dans l’âme du maçon, il existe une sorte de mélange de certitude et de doute, car le FM est à la fois un être habité par la foi et un être habité par le doute. Il croit à la Vérité, à la Justice, au Bien, au Bon, au Beau, mais il doute dans sa lucidité de jamais les atteindre, et les réaliser dans leur intégralité et leur totalité. Ainsi une certitude qui se nourrit de son doute et un doute qui se nourrit de sa certitude, dans une sorte de tension dialectique, car la FM ne prétend pas nous apporter en quelque domaine que ce soit , une vérité totale, absolue et définitive, car l’homme n’est qu’un homme , fini, imparfait, et souvent aveugle. Mais ce même homme est aussi tension, désir d’infini et de perfection. Dès lors sa fonction est de lui apporter une méthode pour l’éclairer, de lui indiquer une direction, de lui montrer un chemin, et de susciter en lui une espérance . La loge, disions-nous au début de cette planche est un lieu, mais plus qu’un lieu, elle est une sorte de Havre, de Port, une Porte vers la Lumière.
Malheureusement la pègre et le milieu des truands se sont infiltrés dans les Loges et la vie politique de façon à profiter au maximum du système en toute impunité, et de réaliser les pires crimes de l'humanité, sous couvert d'une apparence d'éthique, de principes et de valeurs. Ces Francs-Maçons là agissent en toute impunité dans les arcanes de la République, se retrouvent dans les Lois scélérates, les Jugements, les actes et les méfaits. Ils sont tous infiltrés d'une manière ou d'une autre dans la Politique, il s'arrogent les bonnes places, et ils détruisent les initiatives individuelles. Ils trichent, ils volent, ils s'infiltrent, ils obèrent la dette de l'Etat jusqu’à la ruine, ils favorisent le démantèlement et le chaos de la France, c'est leur devise: Ordo Ab Chao
Le mécanisme de la suzeraineté occulte
Le pape Léon XIII décrit la franc-maçonnerie
Léon XIII écrivait dans son encyclique du 19 mars 1902 (« Parvenu à la 25e année ») :
Une secte ténébreuse que la société porte depuis longtemps dans ses flancs comme un germe mortel, y contamine le bien-être, la fécondité et la vie. Personnification permanente de la révolution, elle constitue une sorte de société retournée, dont le but est d’exercer une suzeraineté occulte sur la société reconnue et dont la raison d’être consiste entièrement dans la guerre à faire à Dieu et à son Église.
Il n’est pas besoin de la nommer, car à ses traits tout le monde a reconnu la Franc-Maçonnerie, dont nous avons parlé de façon expresse dans notre encyclique Humanum genus du 20 avril 1884 en dénonçant ses tendances délétères, ses doctrines erronées et son œuvre néfaste.
Embrassant dans ses immenses filets la presque totalité des nations et se reliant à d’autres sectes qu’elle fait mouvoir par des fils cachés, attirant d’abord et retenant ensuite ses affiliés par l’appât des avantages qu’elle leur procure, pliant les gouvernants à ses desseins, tantôt par ses promesses et tantôt par ses menaces, cette secte est parvenue à s’infiltrer dans toutes les classes de la société.
Elle forme comme un État invisible et irresponsable dans l’État légitime.
Pleine de l’esprit de Satan qui, au rapport de l’Apôtre, sait au besoin se transformer en ange de lumière, elle met en avant un but humanitaire, mais elle sacrifie tout à ses projets sectaires ;
Elle proteste qu’elle n’a aucune visée politique, mais elle exerce en réalité l’action la plus profonde dans la vie législative et administrative des États et tandis qu’elle professe en paroles le respect de l’autorité et de la religion elle-même, son but suprême, comme ses propres statuts en font foi, est l’extermination de la souveraineté et du sacerdoce en qui elle voit l’ennemie de la liberté.
On ne saurait mieux décrire le mal dont souffre notre société française actuelle : cette suzeraineté occulte, cet État invisible et irresponsable dans l’État légitime qui exerce l’action la plus profonde dans la vie législative et administrative de la nation.
Le plan maçonnique : la république universelle
Le dernier Convent du Grand Orient de France de 1933, par l’organe du F∴ Antonelli, son grand orateur, nous donne le plan de ce travail. Il dit, en effet :
Comme au cours du XVIIIe siècle, la F∴ M∴ a préparé la civilisation de démocratie individualiste qui a fait le XIXe siècle, elle doit aujourd’hui, par ses travaux spéculatifs, par son action de vigilance, préparer la démocratie sociale et internationale de demain.
Dans cette grande bataille pour la défense des principes démocratiques et la reconstruction d’une nouvelle cité humaine, elle doit être l’animatrice. »
Suzeraineté occulte de la Franc-Maçonnerie dans le domaine politique par la démocratie individualiste au XIXe et XXe siècles, nous n’en voyons que trop les pernicieux résultats.
Suzeraineté occulte dans le domaine social et économique et bientôt sur l’humanité tout entière par l’établissement de la République universelle, telles seront les trois parties de cette enquête objective.
Franc-maçonnerie : force manipulatrice
Il est impossible pour la Franc-Maçonnerie de dominer directement. Les esprits droits se cabreraient, les consciences libres se révolteraient et une réprobation unanime démolirait le Temple. La subtilité et l’habile audace de la secte a toujours consisté à agir par personne interposée. Nous l’étudierons en détail par la suite quand nous démonterons cette machine. Pour le moment, arrachons le voile et découvrons la manœuvre.
L’institution à travers laquelle la Franc-Maçonnerie agit, a nom : système démocratique. Nous verrons les francs-maçons eux-mêmes déclarer que par la Démocratie ils exercent un pouvoir qui n’a pas été défini par Montesquieu et il faudra bien aboutir à discerner ce qui se cache pour eux sous le terme démocratie qu’ils arborent comme un drapeau.
Au sens strict du mot, la démocratie est un régime politique particulièrement ordonné à l’exercice des libertés, régime qui peut prendre de multiples formes et dont la Suisse et la Belgique nous donnent des exemples relativement stables.
La Franc-Maçonnerie a subvertí cette notion simple en y introduisant un complexe d’idées confuses ou hypertrophiées, d’erreurs graves : liberté au sens maçonnique, souveraineté du peuple, volonté générale, égalité, primat de l’individu, notion abstraite du citoyen, etc.
Tout est ainsi déformé et utilisé pour confondre ou superposer le peuple, la nation, l’État, le gouvernement, en telle manière que l’origine du pouvoir politique est à la fois partout et nulle part, et par conséquent celui-ci peut émaner d’une source occulte avec impunité.
Le système démocratique ainsi offre des facilités qui servent considérablement la Franc-Maçonnerie : l’anonymat, une représentation facile à obtenir, un élément sentimental pour le peuple qui peut s’imaginer régir lui-même l’État par le bulletin de vote une fois tous les quatre ans, une possibilité d’action dans les assemblées où tout le monde paraît libre, alors que ce sont les manœuvres des comités, secrets ou non, qui triomphent, etc.
Ces qualités servent admirablement la Franc-Maçonnerie car, par elles, elle peut agir anonymement, occultement, et se mentir à elle-même en déclarant qu’elle travaille pour le bien du peuple.
Le mot peuple dont se sert la Franc-Maçonnerie a été magistralement analysé par Augustin Cochin. Il a repris les récits officiels des historiens révolutionnaires et vigoureusement décomposé ces « on », ce « peuple », cette « volonté générale », cet anonyme qui n’est qu’un mythe, mais un mythe nécessaire pour faire aboutir la manœuvre. Il en est résulté que cette « Nation » n’est que la volonté d’une minorité résolue, d’un cercle intérieur de meneurs ; des « enthousiasmes populaires » n’éclataient pas quand le courrier qui devait apporter les circulaires d’agitation manquait…
Les grosses ficelles de la Révolution française
Cochin alla plus loin ; il constata que, de 1769 à 1789, des centaines de petites sociétés se mirent à proliférer dans toutes les villes du Royaume Français, semblables aux Loges dans l’état actuel. Ces sociétés, affiliées toutes au Grand Orient, agirent de concert, élevèrent les mêmes plaintes en même temps, firent l’opinion en un mot. Quand s’ouvrirent les États Généraux, les « sociétés de pensée » eurent leur plan de travail tout prêt et purent poursuivre méthodiquement leur agitation.
Au milieu de juillet, au moment de la « grande peur»,toute la France, paraît-il, se croit menacée par des brigands et prend les armes ; à la fin de juillet, toute la France se rassure, il n’y a plus de brigands…
En novembre 1788, toute la France demande le doublement du Tiers aux États ; et en janvier le vote par tête.
Unanimité touchante ! Elle a fait illusion aux générations qui suivirent et qui y virent un ensemble parfait dans la volonté populaire.
Les ficelles étant démontées, nous n’y apercevons que le jeu assez odieux du Grand Orient de France.
Le F∴ Gaston Martin dans son ouvrage sur la Franc-Maçonnerie française et la préparation de la Révolution, a écrit des pages extrêmement suggestives, qu’il faudrait pouvoir citer en entier, sur cette action profonde exercée par la Maçonnerie sur les masses. En voici un extrait :
Dans ces sociétés patriotiques, il est toujours possible de discerner un double public : les meneurs et la masse ; les agitateurs et les exécutants, les chefs et la troupe […]
A ces auditoires naïfs, prompts à l’enthousiasme et à la colère, il faut des orateurs incisifs et directs, bien plus que des penseurs profonds. C’est pour eux que se créent spontanément […] les formules concentrées dont la Révolution abusera. La devise républicaine « Liberté, Égalité, Fraternité », qui est aussi la devise maçonnique, mais dont celle-ci n’avait pas jusqu’ici arrêté la ligne prophétique, est une création de cette nature-là […]
Quel bon public en effet que celui-là ! Tout neuf, ardent, prêt à donner avec ferveur son sang à la cause, il ne demande qu’à être guidé. Il subit au maximum les impressions fugitives du moment et de l’ambiance. Il est tout entier à qui sait le prendre par la magie colorée de son Verbe. Si les Loges demeurent le sanctuaire où s’élabore le dogme, la société populaire en est le complément nécessaire : le temple où la parole du maçon-prêtre se répand en ferments d’action sur la masse mystique des fidèles.
C’est par ce canal que la Maçonnerie atteignit le gros Tiers.
[Gaston Martin, La F∴ -M∴ française et la préparation de la Révolution, p. 140-142.]
[…] Cette « volonté générale » qui nous asservit depuis plus d’un siècle, en l’examinant de près qu’est-ce sinon la volonté de la dictature maçonnique anonyme et sournoise « la République à couvert » comme elle s’appelle elle-même ?
C’est la Franc-Maçonnerie elle-même qui va nous répondre.
Laissons-la parler.
G. Michel, introduction de l’ouvrage
La France sous l’étreinte maçonnique
édité par la Fédération Nationale Catholique
(du général de Castelneau)
Actes des apôtres
Alphée, Simon le Zélote, et Jude, fils de Jacques. 1.14 Tous d'un commun accord persévéraient dans la prière, avec les femmes, et Marie, mère de Jésus, et avec les frères
www.info-bible.org/lsg/44.Actes.html
Evangile selon Luc
Simon, appelé le zélote; 6.16 Jude, fils de Jacques; et Judas Iscariot, qui devint traître. 6.17 Il descendit avec eux, et s'arrêta sur un plateau, où se trouvaient une foule
www.info-bible.org/lsg/42.Luc.html
Pharisaïsme
Les Pharisiens se définissent avant tout comme un mouvement de stricte observance religieuse. Ils passent en effet, selon la formule de Flavius Josèphe, « pour l’emporter sur les autres Juifs par la piété et, par une interprétation plus exacte de la Loi ». Ils font ainsi de la surenchère par rapport à la pratique commune. Leur objet c’est, selon la formule d’un de leurs docteurs, « de faire une haie à la Torah ».
C’est précisément parce que la haie dressée par eux autour de la Torah les mettait à l’abri d’un syncrétisme véritable que les Pharisiens ont pu se montrer accueillants à des influences du dehors. Ils intègrent à leur enseignement des notions absentes des plus anciens écrits de la Bible.
Leur capacité à faire évoluer le dogme juif tient au rôle qu'ils dévoluent à la Loi orale. En effet, ils vont au-delà du texte écrit et au nom de la tradition orale, révélée à Moïse en même temps que la Loi écrite, ils le précisent et l’enrichissent. Leur soumission à la Loi orale les place en opposants aux sadducéens qui ne reconnaissent pas son autorité. Elle impliquera le développement de la synagogue comme lieu où l'on interprète la loi. La pharisaïsme est ainsi à l'origine du rabbinisme et de la mise par écrit de la Loi orale dans le Talmud.
À l'inverse des zélotes, les pharisiens s'impliquent peu dans la politique. Ils sont disposés à accepter une occupation étrangère pour autant que la liberté de culte leur soit garantie mais ils sont intraitables sur ce point et rejoindront la lutte armée chaque fois que cette liberté sera entravée.
Sadducéen
On désigne généralement par sadducéens les membres d'un des quatre grands courants du judaïsme antique de l'ancienne Judée (avec les pharisiens, les esséniens et les zélotes), entre le IIe siècle av. J.-C. et le Ie siècle,
Les sadducéens rejettent l'interprétation de la Torah faite par les Pharisiens et plus exactement le Talmud qui s'en suivra. L'historien Flavius Josèphe, dont on peut penser qu'il penche pour les sadducéens, résume ainsi cette opposition : «Les Pharisiens ont transmis au peuple certaines règles qu'ils tenaient de leurs pères, qui ne sont pas écrites dans les lois de Moïse, et qui pour cette raison ont été rejetées par les saducéens qui considèrent que seules devraient êtres tenues pour valables les règles qui y sont écrites et que celles qui sont reçues par la tradition des pères n'ont pas à être observées.» (Antiquités juives, XIII-297)
Mais il ne faut pas croire que les sadducéens étaient littéralistes. A ce titre, le Talmud parle d'un «livre sadducéen des décrets[9]». Leur spiritualité se résume ainsi[10] : «tout en ayant leur propre exégèse orale, les sadducéens rejetaient certaines traditions extra-bibliques et en particuliers celles des autres mouvements.»
Cette spiritualité amenèrent les sadducéens à se séparer des pharisiens sur certaines questions, dont : la résurrection des morts.
Esséniens
Les Esséniens étaient les membres d'une communauté juive, fondée vers le IIe siècle av. J.-C.
Ils se considéraient comme des gens de race sacerdotale, ou les alliés de ces derniers. Cela expliquerait leur fidélité fondamentale à la religion de leurs ancêtres juifs, et leur vénération extrême à l'égard du Temple de Jérusalem, dans lequel pourtant ils ne célébraient pas, parce qu'ils l'estimaient occupé par des usurpateurs.
Le plus marquant dans cette communauté était la mise en commun et la répartition des biens de la collectivité selon les besoins de chaque membre. Le shabbat était observé strictement, comme la pureté rituelle (bains à l'eau froide et port de vêtements blancs). Il était interdit de jurer, de prêter serment, de procéder à des sacrifices d'animaux, de fabriquer des armes, de faire des affaires ou de tenir un commerce.
Les membres, après un noviciat de trois ans, renonçaient aux plaisirs terrestres pour entrer dans une sorte de vie monacale. Leur alimentation était particulière en ce qu'elle ne devait pas subir de transformation, par la cuisson par exemple. Leur nourriture se composait essentiellement de pain, de racines sauvages, et de fruits. La consommation de viande était interdite. Ils vivaient selon des règles strictes.
Lors de la destruction du Temple et lors du chaos qui sévit en Judée à la fin du premier siècle, les Esséniens ne réussirent pas à conserver leur identité, tandis que la communauté juive de la Diaspora s'organisait autour des pharisiens survivants, donnant ainsi naissance à la tradition du judaïsme rabbinique. Il est probable que l'établissement de Qumrân représentait une survivance précaire du mouvement essénien. En 70, après la destruction de leur établissement par les légions romaines, puis la ruine de Jérusalem, les Esséniens disparurent complètement. Il demeure fort peu vraisemblable qu'ils se soient mêlés ou fondus dans la secte des pharisiens, fidèles du Temple, qui représentaient plutôt pour eux leurs ennemis.
Zélotes
Le courant des Zélotes « se définit par un nationalisme intransigeant et agressif. Appelant de tous leurs vœux l’instauration du Royaume, ses tenants estiment devoir en hâter la venue par la violence. L’étranger est pour eux l’ennemi. ils dressent des embuscades, manient le poignard – d’où le nom de sicaires qu’on leur donnait parfois –, entretiennent en Palestine un climat d’insécurité et d’agitation chroniques.Ils sont, de façon très directe, à l’origine de la révolte de 66-70
Flavius Josèphe affirme que le leader nationaliste Judas de Gamala fut à l'origine d'une « quatrième secte » (après les Sadducéens, les Pharisiens et les Esséniens), qu'il décrit ainsi :
« Judas fut l'auteur de la quatrième secte. Elle s'accorde en toutes choses avec celle des Pharisiens, excepté que ceux qui en font profession soutiennent qu'il n'y a que Dieu seul que l'on doive reconnaître pour Seigneur et pour Roi. Ils ont un si ardent amour pour la liberté que les genres de mort les plus extraordinaires, les supplices les plus atroces, qu'ils subissent eux-mêmes ou laissent souffrir aux personnes qui leur sont les plus chères, les laissent indifférents pourvu qu'ils n'aient à donner à nul homme le nom de Seigneur et de Maître.
Comme bien des gens ont été témoins de la fermeté inébranlable avec laquelle ils subissent tous ces maux, je n'en dirai pas davantage, non de crainte de ne pas être cru, mais plutôt de peur que mes paroles ne donnent une idée trop faible du mépris avec lequel ils supportent la douleur. » (Flavius Josèphe, Antiquités Judaïques, XVIII, 2).
Partisan de composer avec la puissance romaine, Flavius Josèphe reproche amèrement aux Zélotes leur fanatisme qui est selon lui à l'origine de la catastrophe.
Vers l'époque de la chute du Temple (70), leurs chefs sont Jean de Gischala et Eliazar. Ce dernier, après la destruction de Jérusalem, prend la tête de l'armée de Massada avec 960 personnes - les guerriers, les femmes et leurs enfants - faisant face aux légions romaines estimées à 15 000 hommes. Préférant mourir que de se rendre, les derniers Zélotes se suicidèrent avec leurs familles, laissant aux Romains un sentiment d'amère victoire.
Les Publicains
Pendant la période romaine, les publicains (du latin publicanus) bénéficiaient de contrats publics, en regard desquels ils fournissaient l’armée romaine, géraient la collection des taxes portuaires et supervisaient les projets de constructions publiques. Des preuves de l’existence des publicains se trouvent à partir du IIIe siècle av. J.-C., bien qu’il soit généralement convenu qu’ils existaient même bien plus tôt dans l’histoire romaine. Ils exerçaient également comme collecteurs d’impôts pour la République Romaine (et plus tard pour l’Empire), offrant leurs services au Sénat à Rome pour obtenir les contrats de collection des divers types de taxes.
Ils doivent faire l'avance des sommes à collecter et recouvrer leur fond et leur commission qui, selon les auteurs antiques, pouvaient être substantiels. Ils étaient organisés en "syndicat" et constituaient, en raison du montant des sommes collectées, un ordre puissant. Cette fonction était incompatible avec la dignité sénatoriale, elle pouvait être exercée par des chevaliers. Les baux de fermage étaient passés avec eux par les censeurs pour cinq ans.
Leur pratique usurière (taux d'intérêts à 45%) seront dénoncés par Lucullus et Gabinius.
Sous l'Empire, leur activité décroît petit à petit et leur rôle est remplacé par la récolte directe des impôts par les censeurs et les procurateurs et questeurs. Jules César commence cette réforme en diminuant les fermages sur l'Asie.
Sous l'Empire, les publicains étaient perçus le plus souvent comme des collecteurs d’impôt par les habitants des provinces. Cependant, leur rôle dans les services publics, en particulier dans les projets de constructions, était encore très significatif. Avec la croissance de l’administration impériale, leur rôle dans ce domaine aussi bien que leur importance en général déclina très rapidement.
Ils étaient souvent mal vu par le peuple juif parce que considéré comme collaborateurs des romains.
Évangile de Judas
Autres liens Francs-Maçons