WWIII: FACEBOOK Millions de comptes supprimés, stratégie du NOM, le Chaos, Guerres Civiles et Nucléaires.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

Mark Zuckerberg veut faire de vous un Pasteur dans une guerre de religion pour le Nouvel Ordre Mondial! Le fondateur de Facebook veut s’inspirer du modèle de l’Eglise !

Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, souhaite utiliser le modèle communautaire qu’est l’Eglise. Ceci dans le but de pousser les membres des réseaux sociaux à faire de bonnes choses ensemble pour le NOM. Il avance le fait que selon des statistiques, un quart des gens n’appartiennent plus à un groupe. «Cela fait beaucoup de personnes ayant besoin de retrouver du soutien quelque part de la part de la Franc-Maçonnerie», considère Mark Zuckerberg.

Pour ce faire, il a rencontré des pasteurs pour comprendre comment les Eglises et communautés religieuses trouvaient un «sens profond» dans un monde en constante évolution. Dans une publication Facebook, Mark Zuckerberg a donné une conclusion à cette démarche: «J’ai compris combien l’appartenance à une communauté est importante, et que nous cherchons tous quelqu’un en qui nous pouvons avoir confiance».

Il a d’ailleurs rajouté qu’une Eglise selon lui, ce sont des responsables qui «créaient la culture (du groupe), donnent un filet de sécurité et prennent soin des membres de la communauté». C’est ce modèle que l’homme d’affaires souhaite utiliser pour l’avenir des réseaux sociaux.

Evangeliques.info via The Independent, le 28 juin 2017

Des millions de comptes Facebook supprimés sans raison apparente, sauf que le Nouvel Ordre Mondial dans lequel Facebook s'inscrit, a décidé de ficher la Planète, et de mettre en cohabitation les Nationalistes prêts à défendre leur Pays par les Armes, et les Terroristes Musulmans de Daesh et d'ailleurs, afin de faire le Maximum de dégâts dans les Pays dits Démocratiques sous influence des USA, pour se débarrasser d'eux par des Guerres Civiles et par des Guerres Militaires qui incluent la disparition de la Russie Nationaliste et de la Chine Communiste.

Facebook supprime donc les sites et les individus qui ne font pas partie de ces deux groupes, afin de mettre l'Europe au diapason des USA, avec comme unique prétendant à la couronne de France Emmanuel Macron, élu par les abstentionnistes.

La parade c'est une migration rapide en récupérant ses informations, et en demandant ensuite de les détruire, pour ensuite choisir des sites plus conforment à la confidentialité des informations et à leur "non-usage" à des fins criminelles.

01net  Actualités  Buzz, société

Facebook, origines troubles et liaisons dangereuses...

 10/04/2012 à 18h55 Mis à jour le 13/04/2012 à 14h05

Véritable colosse économique, Facebook est également au coeur de la vie de nombreux d'entre nous. Et pourtant, les dessous du financement initial de la société comportent de nombreuses zones d'ombre.

Hier, 9 avril 2012, Facebook annonçait le plus gros rachat de son histoire en faisant l’acquisition d’Instagram pour 1 milliard de dollars. Un investissement assez vertigineux, qui place officiellement la société dans la catégorie des ténors du Web dotés de moyens considérables. Aussi nous semble-t-il pertinent d’essayer de dresser le portrait, en clair obscur et certes parcellaire, de l’origine de ce réseau social qui compte plus de 845 millions d’utilisateurs.

Une histoire fantasmée

Malgré plusieurs livres et un film consacré à la genèse de Facebook, les origines de la société n’en finissent pas de faire fantasmer la Toile. L’histoire officielle rapporte le coup de génie d’un étudiant qui code un annuaire pour ses congénères de faculté pendant ses études. Les débordements et querelles autour de la paternité de Facebook pourraient faire oublier qu’entre sa création et son accession au statut d’acteur incontournable du Net, la société a bénéficié de l’implication et de l’expertise de la crème des « ventures capitalists » de la Silicon Valley.
Et force est d’admettre qu’au-dessus du berceau de ce qui allait devenir la plus formidable machine à collecter des informations personnelles de l’Histoire, on trouve des fées d’un genre un peu spécial.

Palantir Technologies, la « boule de cristal » de la CIA, vise la France...qui partage les infos pour ses services secrets.

On dit que sans les technologies d'analyse de données de Palantir, Ben Laden ne serait pas tombé dans les mailles du filet.

Cette licorne californienne, créée en 2003 dans le giron du renseignement américain après les attentats du 11 septembre 2001, a l'ambition d'être un instrument de prévention mondial contre le cyber terrorisme. Elle propose ses services à l'État français.

Moins de deux ans après les attaques terroristes sur les tours jumelles du World Trade Center et le Pentagone, le 11 septembre 2001 aux États-Unis, la startup Palantir Technologies est créée par le cofondateur de PayPal, Peter Thiel (via Founders Fund), l'homme d'affaires milliardaire Alexander Karp et d'autres investisseurs, avec des fonds levés auprès notamment de la société In-Q-Tel, qui investit dans des startups de haute technologie pour le compte de la CIA. On dit que sans les technologies d'analyse de données de Palantir, Ben Laden ne serait pas tombé dans les mailles du filet. Palantir a aussi des actions moins glorieuses à son actif, au point que son PDG Alexander Karp se confondit en excuses en 2011, après avoir pris pour cible Wikileaks, le site Web de Julian Assange, à la suite de ses révélations très compromettantes sur la société de surveillance orchestrée par les États-Unis... Aujourd'hui, malgré des résultats non publiés, le chiffre d'affaires de Palantir Technologies dépasserait le milliard de dollars, contre 500 millions en 2012.

Une licorne valorisée à 20 milliards de dollars

Ce n'est pas un hasard si cette société emprunte son nom à un artefact légendaire de l'auteur du livre Le Seigneur des anneaux, que Peter Thiel avait lu lorsqu'il était lycéen : le palantír est une sorte de pierre magique en forme de boule de cristal qui permet à son détenteur de voir à travers le temps et l'espace, et de dialoguer avec un autre utilisateur de palantír. C'est dans cet esprit que Palantir Technologies est partie en guerre technologique contre les criminels et les terroristes. Peter Thiel, qui en est devenu le président, a su réutiliser les technologies logicielles de PayPal, dont il fut l'un des cofondateurs en 1998 avant de revendre ce pionnier du paiement en ligne à eBay, quatre ans plus tard. Les techniques développées pour détecter les fraudes bancaires en alliant intelligence artificielle et intelligence humaine - combinaison appelée « intelligence augmentée » - ont servi à Palantir pour bâtir sa « boule de cristal » au service de la lutte antiterroriste.

Non cotée, Palantir est valorisée 20 milliards de dollars à fin octobre 2015, selon le Wall Street Journal, qui tient à jour la liste des « licornes » dépassant le milliard de dollars de valorisation. Ce qui la place en quatrième position mondiale de sa catégorie derrière... Uber (valorisé 51 milliards de dollars), le fabricant chinois de smartphones Xiaomi (46 milliards) et Airbnb (25,5 milliards). Qui aurait pu croire qu'une startup spécialisée en cybersécurité et en lutte antiterrorisme allait être mieux valorisée que Snapchat, Pinterest, Dropbox ou encore Spotify ? Il faut dire que la clientèle de Palantir Technologies, pour une grande partie américaine, est à l'origine de son succès : on y trouve la NSA (agence de sécurité nationale, pointée du doigt pour ses écoutes illégales), la CIA, le FBI, les US Marines, l'US Air Force, l'US Socom. Ses levées de fonds s'enchaînent à coups de plusieurs dizaines voire centaines de millions de dollars, pour cumuler plus de 2 milliards de dollars depuis sa création !

Palantir Technologies, dont le siège social est situé dans la Silicon Valley à Palo Alto, dispose d'une tête de pont à Londres afin de diffuser l'esprit sécuritaire des « Palantiriens » - c'est ainsi que son management nomme sa communauté - sur toute l'Europe, non seulement au Royaume-Uni, mais aussi en France, en Suède ou encore en Pologne. En France, où les attentats de janvier et de novembre 2015 font écho à ceux du 11 septembre 2001, la startup vise à s'implanter durablement en recherchant son « coordinateur du bureau des opérations » pour Paris, lequel reportera au QG londonien.

Deux appels d'offre récents de l'Etat Français

Selon La Lettre A du 19 novembre dernier, la licorne californienne vient de soumissionner à deux appels d'offres de l'État français sur le traitement massif de données publiques. Le premier a été lancé par les services du Premier ministre - via le Secrétariat général pour la modernisation de l'action publique (SGMAP) -, pour un accord-cadre sur le traitement des mégadonnées (ouvertes ou non) des administrations françaises. Le second de ces marchés publics émane de la Direction générale des finances publiques (DGFP) pour le traitement des données fiscales. Et le tout sous haute (cyber) sécurité et avec le soutien de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi).

Reste que Palantir Technologies n'a pas le monopole des technologies de surveillance internationales, loin de là : IBM et son « i2 Analyst's Notebook », la startup israélienne Fifth Dimension, la société californienne Forensic Logic, mettent leur solution d'interprétation de données au service... des services du renseignement. Toutes rêvent de prévenir les (cyber) crimes pour éviter qu'ils ne soient commis, comme dans le film Minority Report.

Les sociétés françaises Qosmos, cofinancée par Bpifrance, et Amesys, filiale de Bull (Atos), se sont, elles, fait connaître en collaborant avec les régimes dictatoriaux de Kadhafi, à la fin des années 2000, et de el-Assad au début des années 2010. Pour le meilleur et pour le pire.

Page d'accueil du site Web de Palantir.

Palantir, un acteur discret mais capital...

Co-fondée en 2004, entre autres, par Peter Thiel et le Dr. Alex Karp, son PDG actuel, Palantir est une société de sécurité informatique bâtie sur les fondations du « noyau anti-fraude » de PayPal, le site que Peter Thiel a revendu à eBay en 2002.
Palantir a bénéficié, lors de sa création, d’une injection de capital provenant dIn-Q-Tel, le fonds d’investissement capital risque de la CIA, dont le but n’est pas de réaliser des profits, mais « de fournir un avantage technologique aux services de renseignement américains ».

Au-delà de l’analyse et des conseils d’experts, la société propose deux produits principaux : des outils d’analyse, l’un à destination des gouvernements, Palantir Government, et l’autre pour les institutions financières, Palantir Finance.

Des outils souvent décrits comme essentiels par de nombreuses agences gouvernementales américaines, afin d’exploiter des données prélevées de manière douteuse et même illégale par HBGary.

Comme lont dévoilé les Anonymous, Palantir avait pris part à l’élaboration d’un projet – présenté sous en-tête Palantir – visant à espionner, attaquer et décrédibiliser Wikileaks et ses soutiens dans la presse. Dans cette affaire, Palantir ne s’était certes pas directement engagée à fournir des solutions offensives, mais « seulement » ses services d’analyse de données, qui auraient le cas échéant servi à exploiter des données prélevées dans des circonstances douteuses, voire illégales. 
Palantir occupe aujourd’hui les anciens locaux de Facebook.

Des bonnes fées très spéciales

Facebook, tout comme son créateur, fut choisi parmi de nombreux autres projets concurrents et bénéficia d’une première injection de capital de l’investisseur Peter Thiel. Surnommé « le parrain de la mafia PayPal » par la presse financière américaine, Thiel devint le premier angel investor de la société, lui fournissant les moyens nécessaires à son développement.

Mais au moment de son entrée dans Facebook, Thiel avait déjà un impressionnant parcours derrière lui. Il venait de passer près de trois ans à monter Palantir Technologies (Cf. encadré).

Très actif politiquement, M. Thiel, également membre du désormais célèbre groupe d'influence Bilderberg, fréquente les plus hauts échelons de l’appareil sécuritaire américain, et des personnages comme Michael Chertoff, l’ancien directeur du Department of Home Security est parmi ses relations proches. 
Autre venture capitalist hors normes à s’être penché sur le berceau de la startup, Jim Breyer et son fonds d’investissement Accel Partners. Au moment de son entrée dans la danse, Breyer, qui est toujours un membre du conseil d’administration de Facebook, siégeait à celui de la NVCA, pour National Venture Capital Association, une organisation rassemblant des fonds d’investissement spécialisés dans les nouvelles technologies, aux côtés de Gilman Louie, créateur et premier directeur d’In-Q-Tel et d’Anita K. Jones, elle aussi membre du comité d’administration d’In-Q-Tel, et ancienne directrice du DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), l’agence de recherche avancée de la défense américaine.

 

Page d'accueil du site Web de In-Q-Tel.

Doutes légitimes

Facebook est ainsi directement ou indirectement lié à plusieurs hauts personnages de l’appareil sécuritaire américain. La plupart des investissements d’In-Q-Tel étant par nature secrets, il est impossible de déterminer avec exactitude les modalités, l’ampleur et les bénéficiaires de ses opérations de financement. Il y a fort à parier que l’organisation utilise, outre ses investissements « déclarés », des montages financiers complexes pour dissimuler la nature de ses opérations, comme tous les services de renseignement de la planète. Certes, cela ne prouve rien, si ce n’est un conflit d’intérêt évident affectant plusieurs mécènes et gros actionnaires de Facebook, entre leur responsabilité envers les usagers du site, et leurs nombreuses activités sécuritaires consistant à prélever et à analyser un maximum d’informations.
Or, l’appétit des hautes sphères de la Défense et de l’appareil de renseignement américain pour l’information et plus de contrôle n’est pas un secret. Difficile d’imaginer que pour les pontes du DARPA et de la NSA, le réseau social n’était qu’une startup comme les autres.

Surveillance 2.0

La révélation de l’existence du « Total Information Awareness Office » avait provoqué un tollé aux États-Unis, forçant le Congrès à lui couper tous crédits financiers en septembre 2003, alors que sa création datait de janvier de la même année. L’objectif de cette agence du DARPA visait à s’assurer « une connaissance complète de l’information » en captant et en mettant en relation tous les flux d’informations électroniques.

 

 

Nathan Sommelier

Nul ne sait, cependant, si les activités de l’agence se sont poursuivies sous d’autres modalités. Tout juste sait-on que les logiciels développés dans le cadre du TIAO ont été transférés vers dautres agences, en particulier la NSApour National Security Agency. Peut-on dès lors s’étonner que certains mauvais esprits voient en Facebook  le successeur ou fils spirituel du TIAO, qui aurait accompli l’exploit d’amener les gens à se ficher eux-mêmes avec le sourire ? 
Quoi qu’il en soit, nous n’en aurons probablement jamais le cœur net, si l’on se fie à un récent développement dévoilant la nature des relations entre la NSA et un autre acteur high-tech, Google, hors d’atteinte de toute requête FOIA (Freedom of Information Act, la loi américaine sur la liberté d’information), donc secrètes. 
Ecœuré par l’adoption systématique, et non pas d’une approche ciblée ponctuelle, d'un stockage et d'une analyse de tous les flux d'informations, un ancien haut gradé de la NSA affirmait récemment que « les États-Unis sont désormais à deux doigts dun régime totalitaire ». 

Dans ce contexte, et même si Facebook n’a été affecté qu’à la marge par ce monde interlope et farouchement secret, on peut s’interroger sur la pertinence de confier des données personnelles et relationnelles à une telle organisation, dans un monde où les frontières entre services grand public et surveillance peuvent être si floues, mouvantes et perméables. D’autant que cette perméabilité pourrait devenir officielle, se voir légitimer, si la loi Cispa, que viennent de proposer deux élus républicains, devenait réalité.


Carte des interactions Facebook au niveau mondial.

Au-delà du multiculturalisme : le cosmopolitisme ?
voir Joseph Yvon Thériault 

Par son étymologie, citoyen du monde, le cosmopolitisme prétend à un certain déracinement par rapport à l’appartenance à une cité particulière. En s’appuyant sur le constat de certains milieux libéraux américains selon lesquels les États-Unis seraient, depuis leur fondation, un microcosme du cosmopolitisme — le multiculturalisme apparaissant une sorte de parenthèse dans ce cheminement historique —, le présent texte se propose de démontrer comment un tel cosmopolitisme est essentiellement nationaliste. Tout cela tend à confirmer l’hypothèse que le cosmopolitisme comme les concepts qui visent à rendre lisibles ces phénomènes ont besoin, de manière paradoxale, d’un lieu pour se réaliser.

Un million de musulmans prêts à la guerre civile en France
Publié le 19 septembre 2016 - par  - 130 commentaires - 101 640 vues
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L’Institut Montaigne, un cercle de réflexion (think tank au budget de 3 millions d’euros provenant de contributions de 90 entreprises) vient de publier sous la direction de Hakim el Karaoui, Un islam français est possible[1].

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El Karaoui, originaire d’une grande famille tunisienne vivant en France (père, professeur d’anthropologie juridique sur l’islam à la Sorbonne, mère professeur de mathématiques financières à Polytechnique, oncle Premier ministre de Tunisie de 1989 à 1999), marié à Delphine Pagès, chercheuse à l’Institut national des langues et civilisations orientales, ancien élève de l’Ecole normale supérieure de Saint-Cloud, titulaire d’un DEA de géopolitique sur la Palestine, a été conseiller de Jean-Pierre Raffarin quand il était Premier ministre, puis celui de Thierry Breton, ministre des Finances.

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Directeur chez Rothschild & Cie, il est aujourd’hui associé (partner, dit-on dans ce milieu) du cabinet de conseil en stratégie Roland Berger Strategy Consultants, chargé notamment du développement du cabinet en Afrique.

Il est membre du conseil scientifique de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration qu’il a contribué à créer lors de son passage à Matignon auprès de Jean-Pierre Raffarin.

Proche d’Emmanuel Todd, il a soutenu Ségolène Royal au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2007 via une tribune publiée par Le Monde: «Chiraquien mais pas sarkozyste!».

Ceci n’est qu’un aperçu du C.V. du personnage. Un hors sol typique avec un nom très marqué en cette fin de France sur «fond de terrorisme islamique, d’immigration massive, d’interrogation identitaire» comme l’écrit Richard Millet à propos de Madame el Kohmry. J’ajoute avec lui: «Ne pas le voir, et surtout ne pas le dire, relève de l’aveuglement volontaire comme de la servitude, trop aisément supposée volontaire dans ce qu’il reste de peuple français

Les médias se sont gargarisés du travail d’el Karaoui.

Ils l’ont instrumentalisé, pas dans un sens islamophobe comme il veut nous le faire croire, mais dans celui de la plus parfaite islamo-collaboration.

La plupart n’ont saisi qu’un chiffre : 5,6. Ce serait le pourcentage de musulmans en France, loin des 10 à 12 % donnés par les « islamophobes ». Mais ce prétendu faible pourcentage fait tout de même près de quatre millions d’agents d’Allah à l’intérieur de nos frontières.

On apprend dans ce rapport que la moyenne d’âge des musulmans sur notre territoire est de 35,8 ans contre 53 ans pour les chrétiens et 43,5 ans pour ceux sans religion, Le Monde s’est dépêché de titré: «Les musulmans de France, une population jeune et diverse».

Parlons-en de la diversité.

92 % mange halal, 65 % sont pour le port du voile partout (surtout à l’école où les collégiennes musulmanes ne comprennent pas qu’il soit interdit par une loi).

On fait mieux côté diversité.

Mais là n’est pas le plus alarmant.

El Karaoui partage les musulmans en trois groupes.

Le premier baptisé «majorité silencieuse», représenterait 46 % des prosternés vers La Mecque. Ils auraient un système de valeurs «en adéquation avec la société française, qu’ils contribuent d’ailleurs à faire évoluer par leurs spécificités religieuses». Ces spécificités se sont les prières de rues, les mosquées qui poussent plus vite que les champignons dans nos sous-bois, les tabassages de mécréants et de jeunes femmes en short?

Le deuxième groupe est celui des «conservateurs». 25 % du total. «Fiers d’être musulmans, ils revendiquent la possibilité d’exprimer leur appartenance religieuse dans l’espace public. Très pieux (la charia a une grande importance pour eux, sans passer devant la loi de la République), ils sont souvent favorables à l’expression de la religion au travail, et ont très largement adopté la norme halal comme définition de « l’être musulman ». Ils rejettent très clairement le niqab et la polygamie et acceptent la laïcité». Où? Dans les zones où ils sont encore minoritaires?

Enfin, voici les «autoritaires», 28 % du cheptel. Majoritairement jeunes, peu qualifiés et peu insérés dans l’emploi, ils vivent dans les quartiers populaires périphériques des grandes agglomérations. Ils sont favorables au port du niqab, à la polygamie, contestent la laïcité, considèrent que la loi religieuse passe avant la loi de la République. Ils ont une vision “dure” des pratiques religieuses.

Si l’on ne retient que 28% de musulmans finalement proches de l’Etat islamique (ce que l’Institut Montaigne appelle «les autoritaires»), cela fait un million de personnes qui vivent en France, souvent grâce à la solidarité que le gouvernement nous impose, qui haïssent le pays, sont fans de la charia à tous les étages. Si l’on ajoute les 22% de «conservateurs», nous voilà face à deux millions de musulmans qui n’attendent que l’appel de l’imam pour hurler leur «Allahou Akbar» et passer à l’action.

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Ce n’est plus à l’opération “Ronces” que l’armée doit se préparer pour déloger 15 000 fichés S mais à l’opération “déstockage massif”. Et elle ne réussira peut-être pas seule à la mener à bien.

Marcus Graven

[1] http://www.institutmontaigne.org/fr/publications/un-islam-francais-est-possible

Depuis de nombreux mois, les services de l’état major français élaborent précisément quels sont les scénarios possibles afin de prévoir et répondre aux mieux aux attaques des islamo fascistes sur le territoire national.

L’un d’entre eux, le plus crédible aujourd’hui pour les militaires, est celui d’une guerre civile totale avant les élections présidentielles de 2017.

Cette information rejoint et va dans le sens de celles produites depuis quelques semaines par Jean-Paul Ney (l’armée prête à prendre le pouvoir avec un gouvernement faible en cas de guerre) et d’Éric Zemmour (l’armée planifie avec Tsahal la reconquête des quartiers islamistes). Le peuple sera t-il très bientôt en mesure de vérifier la pertinence des travaux de Laurent Obertone dans son dernier ouvrage Guérilla et d’Ivan Rioufol dans La Guerre Civile Qui Vient ?

« Tout le monde se demande ce que les gens savaient vraiment. Qui savait ? Qui savait quoi ? Tout le monde savait ! Nos parents, nos professeurs. C’est pas ça la question. La question c’est : pourquoi avez-vous laissé faire ça ? Et mieux encore, pourquoi ne vous êtes-vous pas suicidé en le découvrant ? » *

Tels sont les propos de l’un des étudiants en droit assistant au procès événement de la gardienne SS Hanna Schmitz accusée d’avoir laissé brûler 300 femmes dans une église à la fin du troisième Reich. « Au début, je croyais à ce procès, je le trouvais génial. Je crois que c’est qu’une diversion. On choisit 6 femmes, on les traîne en justice et on dit : les voilà les criminels, les voilà les coupables. Tout ça parce que l’une des victimes a écrit un livre. C’est pour cela que c’est elle qui est jugée et personne d’autre. Tu sais combien il y avait de camps en Europe ? » *

En 2016 à nouveau tous savent et que font-ils ?

* Extraits du film The Reader

@ Sébastien COLIN pour Europe Israël News.

George Soros, bête noire des nationalistes et souverainistes

Le financier américain est devenu la bête noire de politiciens de Washington à Skopje, en passant par Moscou.

Il est accusé d'avoir soutenu un coup d'Etat en Macédoine et des manifestations en Hongrie, quand ce n'est pas d'avoir fabriqué la crise migratoire vers l'Europe : le financier américain George Soros est devenu le bouc émissaire privilégié d'un nombre croissant de dirigeants aux penchants autoritaires.

Du Kremlin à Skopje, la capitale macédonienne, en passant par les coulisses du pouvoir à Washington , le milliardaire d'origine juive hongroise, âgé de 86 ans, est la cible idéale de nationalistes et souverainistes en tout genre avec ses organisations destinées à promouvoir une "société ouverte" .

Dernier avatar en date : le vote mardi par le Parlement hongrois d'une loi controversée renforçant le contrôle sur les ONG bénéficiant de financements étrangers, qui le vise tout spécifiquement.

"Soros est présenté comme le responsable de tous les bouleversements politiques. Il fait un excellent bouc émissaire pour des régimes de plus en plus autoritaires", relève l'expert allemand Ulf Brunnbauer. "Il représente le capitalisme" aux yeux de ses détracteurs et est de fait "le parrain financier de nombreuses organisations", ajoute ce spécialiste de l'Europe de l'Est et du Sud-Est.

OSF, fondation très active

Classé 29e fortune mondiale par le magazine Forbes , George Soros agit à travers sa très active fondation OSF (Open society Foundations), créée en 1984 et accusée par ses détracteurs d'ingérence politique via la défense d'une société libérale et multiculturelle.

Les pays de l'ancien bloc communiste sont depuis l'origine le champ d'action privilégié de l'OSF, qui y a déversé des milliards d'euros au profit de réformes de la finance, de la santé, de la justice et de l'éducation, de la promotion du droit des minorités et de la lutte contre la corruption.

La haine de la Hongrie

Les attaques se sont intensifiées depuis le début de l'année en Hongrie, son pays natal, où le Premier ministre Viktor Orban l'accuse sévèrement dans chacun de ses discours. Dès avril, le dirigeant hongrois avait fait voter à la hâte une première loi menaçant le maintien à Budapest de l'université d'Europe centrale (CEU) cofondée par l'homme d'affaires en 1991 pour former les élites post-communistes.

Les attaques contre George Soros sont devenues plus frontales encore, avec une campagne gouvernementale d'affichage présentant le financier sous la forme d'un marionnettiste tirant les ficelles d'un responsable politique de l'opposition, dans un visuel qui rappelle fortement les caricatures antisémites.

"Ses origines (religieuses, ndlr) n'ont aucun rapport avec le problème central, qui est qu'un nombre croissant de gouvernements (...) voient les réseaux de Soros comme une menace pour la démocratie", a assuré Zoltan Kovacs, le porte-parole du gouvernement hongrois, dans un texte intitulé "Mythes et faits sur la Hongrie et George Soros".

Viktor Orban - qui bénéficia d'une bourse Soros lorsqu'il était un étudiant anticommuniste- a récemment accusé son ancien bienfaiteur d'utiliser des ONG "prédatrices" pour inonder l'Europe de réfugiés musulmans et créer un "empire transnational".

"L'homme qui fit sauter la Banque d'Angleterre"

Né à Budapest en 1930, Georges Soros a survécu aux nazis et fui l'occupation soviétique avant de faire fortune aux Etats-Unis dans la finance spéculative. Non sans s'attirer les critiques.

En 1992, il est devenu "l'homme qui fit sauter la Banque d'Angleterre" en déclenchant une attaque spéculative d'ampleur contre la livre sterling. Dix ans plus tard, il est condamné en France pour délit d'initié.

Ses ennemis se recrutent en Macédoine, que l'ex-Premier ministre nationaliste Nikolas Gruevksi a voulu "désorosiser"; en Pologne, où le chef de la droite, Jaroslaw Kaczynski, lui a reproché de vouloir créer des "sociétés sans identité"; en Roumanie, où la majorité sociale-démocrate a allégué que le magnat avait téléguidé l'hiver dernier des centaines de milliers de manifestants contre un allègement de la législation anticorruption.

La Russie a interdit en 2015 sur son territoire la fondation OSF, dont le créateur a soutenu les "révolutions de couleur" en Europe centrale et orientale, comme en Ukraine.

"Férocité" sans précédent

De l'autre côté de l'Atlantique, le site internet d'information Breitbart, dont le cofondateur, Steve Bannon, est un proche du président américain Donald Trump, publie des mises en cause quasi-quotidiennes de George Soros.

La crise migratoire qui a touché l'Europe en 2015 et 2016 a encore accentué le clivage, plusieurs organisations financées par l'OSF ayant des activités de soutien aux réfugiés.

Directeur de l'OSF pour la région Europe/Asie, Leonard Benardo constate "la férocité" sans précédent des attaques. Une preuve selon lui que "vous pouvez avoir des élections en grande partie libres et équitables tout en nourrissant de grandes angoisses vis-à-vis de l'idée de société ouverte".

Source AFP


En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/030382708429-george-soros-bete-noire-des-nationalistes-et-souverainistes-2095234.php#D5X7ff1tpJRdtC8U.99

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