WWIII : La Guerre est consommée entre Washigton et Moscou. Le Moyen-Orient brûle. L'Orient est prêt a détruire les USA.
Russie : Réunion spéciale de « dé-dollarisation », la Chine et l'Iran ainsi que la Russie abandonnent le dollar américain. La faillite du système bancaire Mondial, basée sur l'émission constante de papier monnaie, de crédits bidons, de monnaies électroniques type "Bitcoins", pyramides de Madoff ou Ponzi, de jeux truqués comme le TRADING ou la cotation papier de l'OR, et de rachats par des Banques Centrales des actifs toxiques en compensation des dettes consommées, est annoncée. Ce n'est pas difficile pour une monnaie de singe, de privilégier un Etat, pour le pillage des autres.

Alors que le président russe Vladimir Poutine a ordonné le renvoi de 755 diplomates américains se trouvant sur son sol ainsi que la saisie de plusieurs résidences diplomatiques, il a estimé que des changements positifs dans les relations avec Washington n'étaient «pas pour bientôt», lors d'une interview sur la chaîne russe Vesti TV. Ces mesures interviennent en réaction aux nouvelles sanctions américaines prises contre Moscou par la Chambre des représentants et le Sénat américains.
Selon Vladimir Poutine, la Russie a déjà attendu assez longtemps dans l'espoir de voir la situation s'améliorer. Faute d'apaisement, Moscou affiche donc la ferme intention de ne laisser «aucun acte américain sans réponse».
«Les Américains ont pris une décision qui, il est crucial de le souligner, n'a été provoquée par rien, avec comme conséquence une dégradation des relations entre la Russie et les Etats-Unis», a par ailleurs noté Vladimir Poutine. Rappelant que ces sanctions contrevenaient selon la Russie au droit international, comme l'ont d'ailleurs affirmé plusieurs Etats parmi lesquels la France, il a invité les «pays désireux de développer leurs relations» avec la Russie à ne pas se laisser influencer par la décision américaine.
En dépit des réticences du président Donald Trump, les sénateurs américains ont voté le 27 juillet à une très large majorité en faveur de nouvelles sanctions contre la Russie, mais aussi l'Iran et la Corée du Nord, deux jours après le vote favorable de la Chambre des représentants.
Le volet du texte sur la Russie, destiné à sanctionner Moscou pour ses ingérences supposées dans la campagne présidentielle américaine de 2016, a suscité des résistances de la part du locataire de la Maison Blanche. Le texte prévoit en effet un mécanisme inédit qui déplaît au chef d'Etat américain : les parlementaires prévoient de s'arroger le droit de s'interposer si jamais le président américain décidait de suspendre des sanctions existantes contre la Russie.
Après l'adoption par le Sénat américain de nouvelles sanctions antirusses, le Président russe a enjoint 755 diplomates US de quitter la Russie, ajoutant que Moscou disposait d'un large éventail de mesures pour répondre aux Etats-Unis mais n'entendait pas pour l'heure en appliquer d'autres.
La Russie n'entend pas rester passive face aux récentes décisions de Washington, a affirmé dimanche Vladimir Poutine. 755 diplomates américains devraient quitter le territoire russe, a indiqué le Président, précisant qu'il s'agissait d'une réduction «sensible» du nombre des membres du personnel diplomatique américain en Russie.
«Du point de vue du fonctionnement de la mission diplomatique américaine, ce sera très sensible. Parce que plus de 1.000 employés, diplomates et membres du personnel technique, ont travaillé et travaillent toujours en Russie, et 755 d'entre eux devront cesser leurs activités en Fédération de Russie», a déclaré M.Poutine dans une interview au présentateur de la chaîne russe Rossiya-1 Vladimir Soloviev.

Le chef du Kremlin a ajouté que, bien que Moscou ait à sa disposition des mesures de rétorsion diverses et variées et puisse appliquer en retour de nouvelles sanctions, il n'y aura pas recours parce que cela aura un impact négatif sur les relations russo-américaines.
«Certes, nous pouvons riposter et imposer des restrictions dans les domaines de notre activité conjointe, restrictions qui seront sensibles pour la partie américaine. Mais je crois qu'il ne faut pas le faire, cela nuira au développement des relations internationales.»
«En théorie, on peut imaginer qu'arrive le moment où les dommages causés par les tentatives d'exercer des pressions sur la Russie seront comparables aux conséquences négatives liées à certaines restrictions dans notre coopération. Mais, si cela survient un jour, nous pourrons alors considérer d'autres options de riposte. Mais j'espère que cela n'ira pas jusque là. Pour le moment, j'y suis opposé», a résumé le dirigeant russe.
Le Sénat américain a approuvé jeudi la proposition de loi portant sur de nouvelles sanctions contre la Russie, l'Iran et la Corée du Nord. Le document a été soutenu par 98 voix contre deux. Le texte sera ensuite envoyé au Président Donald Trump, qui pourrait toutefois y opposer son véto.
Le président russe Vladimir Poutine s’en est pris une nouvelle fois au billet vert qui domine injustement le marché international des changes.
Les politiques extrêmes des États-Unis et les irrégularités liées à l’usage du dollar poussent de plus en plus les États à envisager de remplacer le billet vert. L’un de ces États est la Russie dont le président prévoit « un affaiblissement croissant de la monnaie américaine dans les années à venir ». Cité par Sputnik, Poutine affirme que la prise de conscience des autorités politiques et des populations à travers le monde finira par déloger le dollar et le remplacer par une autre monnaie.
Les irrégularités des monnaies imposées et ne reposant sur aucune contrepartie sinon la confiance qu'on a en elle et au Pays qui l'émet et la garanti, devraient donner au moins au citoyen Français un avantage en ne payant plus d'impôts, puisque les fonctionnaires qui travaillent sans créer du PIB, de la croissance, et globalement des richesses, devraient être payé par cette monnaie de singe, sans obliger le Peuple et les entreprises, à en donner de leurs revenus par des impôts.
La Monnaie se dévalue par rapport aux autres monnaies en fonction de sa compétitivité face aux autres monnaies. Plus on fourni des biens et des services peu chers, plus on est compétitif sur le Marché, et plus le peuple est exploité, sauf si on a recours à une robotisation intelligente, qui améliore le quotidien de tous, ce qui est loin d'être gagné, car les robots pourraient également nous éliminer, comme le prévoient les grands penseurs de l'Humanité, les Humanistes qui ne croient qu'en l'Homme, et les Elites qui ne pensent qu'à pouvoir s'en débarrasser.
« Il est parfaitement possible que le dollar cède sa place dans un proche avenir à une monnaie de substitution. Le processus de dépréciation du dollar a déjà commencé, mais il est encore tôt de parler de sa mise à l’écart, car le marché électronique des changes n’est ni contrôlé ni géré comme il le faut et qu’aucune des monnaies présentes ne pourrait constituer un bon substitut au billet vert »
De nombreux analystes prévoient la fin de l’empire du dollar dans un proche avenir vu les fluctuations du billet vert sur les marchés mondiaux et les effets nocifs que ces fluctuations génèrent à l’échelle des économies nationales. De nombreux États se sont déjà engagés dans le processus de l’élimination du dollar en signant des traités monétaires bilatéraux qui substituent leur monnaie nationale au billet vert. Le recours abusif de Washington au régime de sanctions contre l’Iran et la Russie a d’ailleurs accéléré cette tendance. Selon certains économistes, l’une des raisons qui a poussé l’administration Obama à ouvrir le dialogue nucléaire avec l’Iran, réside dans cette même propension à fonder le commerce international sur une monnaie autre que le dollar. Au plus fort des sanctions, l’Iran a signé des contrats avec des pays émergents (Chine, Inde, Russie) qui écartaient le dollar.
De toutes façons, ceux qui seront les garants de la monnaie, sans contrepartie sur l'Or ou sur un étalon quelconque, basé sur le travail et la rareté, seront également les fossoyeurs de l'Humanité, car il ne sera jamais tenu compte qu'à un salaire égal, on fera un travail égal.
On a bien vu qu'aux USA en 2009, La FED, ou Banque centrale des USA, a perdu 9000 Milliards de dollars, qui sont allés dans les services spéciaux et secrets des USA ou DEEP STATE, afin de mener toutes les actions louches et non autorisées par la partie légale du Congrès et de la Présidence.
Le 5 Mai 2009, Alain Grayson questionne l’Inspecteur Général, Elisabeth Coleman,de la FED sur les 9,7 trillions de dollars qui ont disparu et sur ceux ou celui qui ont bénéficié de cet argent. Car selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
Ces cinq minutes de vidéo proviennent d’une audition du Congrès où l’Inspecteur Général de la FED, Elisabeth Coleman est interrogée par le Membre Du Congrès, Alain Grayson, le 5 mai 2009, sur les sommes d’argent énormes dont la FED est responsable.
L’Inspecteur Général évite de répondre à chaque question demandée. En fait, elle semble en savoir moins que le Membre du Congrès Grayson, mais reconnaît que des trillions de dollars ne peuvent pas être retrouvés.
Car, effectivement, selon les informations de Bloomberg, des trillions de $ de crédits ont été prolongés par la FED.
On s’inquiétait pour la dette US, qui vient de dépasser les 11300 milliards de dollars US , mais on découvre avec stupéfaction que la banque centrale des USA, la “Federal Reserve”, qui n’est en fait rien d’autre qu’un cartel constitué par les plus grands établissements bancaires des États-Unis d’Amérique, aurait égaré pas moins de 9000 milliards de dollars !
Disparus. Volatilisés. Plus aucune trace de ce qui représente une dette supplémentaire de 30 000 dollars par citoyen des USA.
Pourquoi les grands médias n’en ont pas en parlé ? Que fera l’Administration Obama pour résoudre cela ? Qu’elle est la responsabilité de l’administration Bush ?
Cette histoire est-elle une "Secret Story" de la finance internationale ?
Article LePost - http://www.lepost.fr/article/2009/06/25/1593446_la-secret-story-des-9000-milliards-de-egares-par-la-reserve-federale-fed.html
L’Ukraine devra payer sa dette de 3 mds USD à Moscou sur décision d’un tribunal londonien
La Haute Cour de justice de Londres a obligé l'Ukraine à rembourser sa dette de trois milliards de dollars à la Russie et une partie des frais judiciaires d'environ 3,7 millions de dollars, a annoncé mercredi le ministère russe des Finances.
L'Ukraine devra payer la moitié de cette somme d'ici le 20 septembre 2017.
En plus, Kiev sera obligé de rembourser 75 millions de dollars d'intérêts et de payer une amende pour le non-paiement de la dette calculée à partir du 21 décembre 2015.
«Chaque jour de retard de paiement coûtera plus de 673.000 dollars aux contribuables ukrainiens», a précisé le ministère russe.
L'affaire se concentre sur trois milliards de dollars que Moscou a prêtés à Kiev en décembre 2013 pendant la présidence de Viktor Ianoukovitch, qui a été évincé lors du coup d'État de l'Euromaïdan en 2014. Le prêt financier russe à l'Ukraine a été effectué sous la forme d'euro-obligations règlementé par le droit anglais.
L'Ukraine a servi sa dette jusqu'à la fin de 2015 avant de se déclarer en défaut de paiement. Les nouvelles autorités ukrainiennes ont alors essayé de présenter la dette comme un simple endettement commercial. Kiev affirmait que la Russie devrait participer à sa restructuration sous les mêmes conditions que les créanciers particuliers. Mais Moscou insistait sur le caractère souverain de la dette.
Le Fonds monétaire international (FMI) a confirmé le statut de la dette comme souveraine.
Après que l'Ukraine n'a pas remboursé la dette le 20 décembre 2015, la Russie a intenté un procès devant les tribunaux anglais.
Moscou a également offert à Kiev un plan d'allégement de cette dette, en vertu duquel il pourrait rembourser le montant en trois versements de un milliard de dollars (920 M EUR) pendant trois ans. Cependant, l'Ukraine a refusé de payer, prétendant que l'argent était un crédit politique que le pays avait été contraint de prendre.
La messe est dite. Israël est à la fois le principal belligérant et le principal bénéficiaire dans ce conflit et il est hors de question d’arrêter la guerre maintenant.
Tel Aviv se méfie au plus point de Trump et ne cache plus son aversion vicérale pour Vladimir Poutine. Il lui reste certes l’Arabie Saoudite, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne aux côtés de ses protégés djihadistes mais ses alliés ne peuvent plus rien faire tant la machine s’est enrayée. Le grand allié US s’embourbe dans un trés grave conflit interne tandis que les pays du Golfe se déchirent comme au temps pré-islamiques. L’Union européenne? Israël s’en est toujours moqué et pourtant c’est tout ce qui reste…Autant dire rien. L’échec en Syrie marque celui de toutes les opérations hybrides menées avec des groupes islamistes crées par les services spéciaux israéliens et saoudiens dans la région.
Paradoxalement, la CIA soutenait, financait, formait et armait les groupes armés les plus violemment anti-américains et anti-occidentaux…Un tropisme que Trump veut supprimer à ses risques et périls car l’État profond ne le lui pardonnera jamais.
Yémen: les forces marines détruisent un destroyer émirati 30 juillet 2017

Les forces de la marine yéménite et celles des forces des comités populaires ont affirmé avoir détruit , ce samedi un destroyer émirati au large de la côte ouest du Yémen, a rapporté l’agence d’informations iraniennes Fars news.
Une source militaire de la Marine a expliqué que » les forces spéciales ont visé directement » le navire.
Lundi 24 juillet, les forces de la marine yéménite et celles des comités populaires, ont détruit un bateau de guerre appartenant aux forces de l’offensive saoudienne sur la côte ouest du pays alors qu’il tentait de brouiller les radars du Yémen.
Le 25 Juin dernier, la Marine yéménite a détruit une embarcation militaire de débarquement appartenant aux forces de l’offensive saoudienne au large des côtes du gouvernorat de Mokha, au sud-ouest de la province de Taiz.
Le 14 du ce mois-ci, la Marine yéménite a détruit un navire de guerre des EAU au large des côtes de Mokha.
Au total, les forces yéménites ont détruit 11 destroyers et navires militaires, et plus de 10 fregates militaires, depuis le début de l’offensive saoudienne contre le pays, selon Fars News.
Source: Médias
Les organisateurs du Hajj reçus par le Guide suprême. Le Hajj capoterait-il? ce qui serait le détonnateur de la Guerre.

À l’approche de la semaine du Hajj, le Guide suprême de la Révolution islamique a rencontré, ce dimanche 30 juillet, les organisateurs du grand pèlerinage à la Mecque.
Lors de cette rencontre, le Guide suprême a affirmé que le grand pèlerinage à la Mecque est la meilleure occasion pour exprimer l’opinion de l’Ummah islamique.
En allusion aux évènements de ces derniers jours à Qods, il a déclaré que les Israéliens, de plus en plus insolents, se réservaient le droit d’empêcher les vrais propriétaires de la mosquée al-Aqsa d’y avoir accès.
« Où est-ce que les musulmans peuvent-ils mieux se prononcer sur la mosquée al-Aqsa ? Où peut-on prendre position envers la présence lâche des États-Unis dans la région ? Les cérémonies du Hajj offrent le lieu idéal pour tout cela », a-t-il fait remarquer.
L’Ayatollah Khamenei a également évoqué la grande importance de la sécurité des pèlerins du Hajj :
« Nous n’oublierons pas les problèmes survenus pendant le Hajj de 1394 [Drame de Mina, bousculade des pèlerins en septembre 2015]. C’est la responsabilité du pays administrateur des lieux saints des musulmans d’assurer la sécurité des pèlerins. Les autres pays doivent aussi se montrer exigeants, quant il s’agit de la sécurité des pèlerins. »
Ayatollah Khamenei calls on Hajj pilgrims to take stand on al-Aqsa

Leader of the Islamic Revolution Ayatollah Seyyed Ali Khamenei says Muslims should use the Hajj rituals this year to take a united stance against Israeli efforts to control the al-Aqsa Mosque.
Tensions are still high at Islam's third holiest site in Jerusalem al-Quds where Israel deployed troops last week to restrict access to Palestinian worshipers but had to retreat amid fears that the standoff could turn to a large-scale revolt.
"The Zionists have become emboldened and rude, giving themselves the right to get tough with the owners of the al-Aqsa Mosque and prevent them," Ayatollah Khamenei told a group of officials in charge of annual Hajj in Tehran Sunday.
"Where can the Islamic Ummah find a better venue than Hajj to comment on the al-Aqsa Mosque? Where is the place to take a position against the mischievous presence of America in the region? Hajj is the best venue," the Leader added.
Ayatollah Khamenei also recommended that the pilgrims focus on the issue of unity, saying no one should do anything which may help create friction.
The Leader further asked pilgrims to participate in congregational prayers in the Masjid al-Haram in Mecca which surrounds Islam's holiest site and the Masjid al-Nabawi which is the second holiest site to Muslims, situated in Medina.
"While billions of dollars are spent to create disunity, friction and hostility among Muslims, Muslims should be careful not to help this effort, because each Islamic nation that contributes to this plot will be a partner in the consequences of this great sin."

Ayatollah Khamenei described the Hajj pilgrimage as “the epitome of grandeur, unity, integrity and power of the Islamic Ummah.”
The Leader stressed that the security of pilgrims is very important and must be guaranteed. “The pain left in the hearts of Iranians due to the 2015 Hajj tragic incidents is unforgettable,” he said.
Ayatollah Khamenei was referring to two deadly incidents in September 2015, when more than 100 pilgrims lost their lives after the collapse of a massive construction crane into Mecca’s Grand Mosque and about 4,700 people who died later in a human crush, according to the figures provided by Iran.
The Leader said the ritual of the "disavowal of disbelievers" which was always emphasized by the late founder of the Islamic Republic Imam Khomeini is an opportunity to declare positions on the subjects on which there is consensus among the Islamic Ummah.
"One of these issues is the case of al-Aqsa Mosque and al-Quds, which these days because of the insolence, brazenness and wickedness of the usurious and fake Zionist regime, has become the focus of attention more than before.
"The meddling and mischievous presence of America in the Islamic countries and the region and the creation of Takfiri terrorist groups is another important issue that Muslim nations should take a stand on during the Hajj," Ayatollah Khamenei said.
"More mischievous and wicked than all terrorist currents is the American regime itself," the Leader added.
Pendant ce temps, la Chine fête les 90 ans de son Armée populaire
Le leader communiste nord-coréen Kim Jong-Un s’est targué que l’ensemble du territoire des États-Unis est « à portée de tir (...) n’importe où, n’importe quand », après ce nouveau tir de missile balistique intercontinental (ICBM), le deuxième en un mois, jugé par les experts capable de toucher la côte est, y compris New York.
« Je suis très déçu par la Chine. Nos stupides anciens dirigeants l’ont laissée engranger des milliards de dollars par an, pourtant ils ne font RIEN pour nous avec la Corée du Nord, hormis parler », a écrit M. Trump. « Nous ne permettrons plus que cela continue. La Chine pourrait facilement résoudre ce problème ! », a ajouté le président américain.

La Chine, principale alliée de Pyongyang, a certes condamné le tir en soulignant qu’elle « s’oppose aux violations par la Corée du Nord des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU ».
Mais le secrétaire d’État américain Rex Tillerson a estimé pour sa part qu’« en tant que soutiens économiques du programme nucléaire balistique » de Pyongyang, Pékin, et également Moscou, portaient une « responsabilité spéciale » dans l’aggravation de cette menace.
En réaction, les États-Unis et la Corée du Sud ont mené un exercice militaire en utilisant des missiles tactiques (ATACMS) sol-sol américain et des missiles balistiques sud-coréens Hyunmoo II.
Des bombardiers américains B-1B ont également participé aux opérations, qui ont duré un peu plus de 10 heures, aux côtés de chasseurs sud-coréens et japonais. « Si nous y sommes amenés, nous sommes prêts à répondre avec une force rapide, létale et écrasante au moment et à l’endroit que nous déciderons », a déclaré dans un communiqué le Général Terrence O’Shaughnessy, commandant des forces aériennes armées américaines dans le Pacifique.
Jusqu’ici, la stratégie américaine – qu’il s’agisse de l’administration de Donald Trump ou de Barack Obama – n’a pas porté ses fruits : malgré un renforcement des sanctions internationales à l’ONU et des pressions sur la Chine, Pyongyang a poursuivi ses programmes militaires balistique et nucléaire.
Kim Dong-Yub, de l’Institut des études extrême-orientales de l’Université Kyungnam, pense que Pyongyang pourrait avoir réussi à miniaturiser des charges jusqu’à 750 kg, ce qui donnerait une portée de 10.000 km à un missile.
« En tenant compte de la rotation de la Terre, cela signifie qu’il pourrait atteindre non seulement des villes de l’ouest mais également New York et Washington », dit-il à l’AFP.
Parade du 30 Juillet 2017, tous prêts à détruire les USA et l'Europe si elle s'en mêle.
La politique du président Trump au Moyen-Orient élargi commence à se concrétiser. Alors que, jusqu’ici les États-Unis et leurs alliés tentaient de détruire les États et d’imposer le chaos, ils légitimisent désormais les alliances contre les jihadistes. Si dans le discours, l’Iran, la Syrie et le Hezbollah sont toujours des ennemis à vaincre, dans la pratique ils deviennent des partenaires. À terme, cette nouvelle donne pourrait permettre aux États de la région de repousser les sociétés multinationales hors du champ politique et de rétablir la paix.
De droite à gauche (mode de lecture des images en langue arabe) : le président Bachar el-Assad (République arabe syrienne), le secrétaire général sayyed Hassan Nasrallah (Hezbollah), le général Mohammed Ali Jafari (commandant en chef des Gardiens de la Révolution), le président Michel Aoun (République du Liban), le Premier ministre Haïder al-Abadi (République d’Irak). Frères par les armes contre les jihadistes.
Petit à petit, la politique étrangère du président Trump se met en place. Concernant le Moyen-Orient élargi, il est parvenu, avec l’aide de son conseiller de sécurité nationale le général H.R. McMaster et de son directeur de la CIA Mike Pompeo, à mettre fin aux programmes secret d’aide aux jihadistes.
Contrairement aux sous-entendus du Washington Post, si cette décision a bien été prise avant la rencontre Trump-Poutine au G20, elle l’a été en réalité un peu plus de deux semaines auparavant, lors de la préparation du sommet de Riyad, mi-mai. Son objectif n’était pas de s’agenouiller devant le Tsar de Russie, ainsi que le prétend la classe politique washingtonienne, mais de mettre fin à l’usage du terrorisme, ainsi que Donald Trump l’avait déclaré durant sa campagne électorale.
Les insinuations mensongères du Washington Post ont été reprises par toute la presse occidentale. Peut-être ce fait est-il imputable à l’esprit grégaire des journalistes occidentaux, peut-être et plus sûrement, il montre que les grands médias sont détenus par des partisans de la guerre au Moyen-Orient et contre la Russie.
Les révélations bulgares sur l’existence d’un vaste réseau de trafic d’armes, mis en place par le général David Petraeus alors qu’il était encore directeur de la CIA, en 2012, et poursuivi par lui depuis son bureau du fonds de placement KKR laissent pantois sur la puissance des facteurs de guerre.
17 États au moins ont participé à cette opération « Bois de Sycomore », dont l’Azerbaïdjan qui a assuré le transport de 28 000 tonnes d’armes et Israël qui a fourni de faux documents de destination finale. Selon toute vraisemblance, David Petraeus et KKR ont été aidés par le secrétaire général adjoint de l’Onu, Jeffrey Feltman. Bien sûr, ce gigantesque trafic, sans précédent dans l’Histoire de par son volume, ne donnera lieu à aucune poursuite judiciaire, ni dans les États concernés, ni au plan international.
Clairement, depuis 4 ans, les peuples du Levant se battent non seulement contre des États, mais avant tout contre un consortium de sociétés privées mutinationales, incluant les médias internationaux, et de puissances étatiques moyennes qui donnent ensemble des ordres à de petits États chargés du sale boulot.
Quoi qu’il en soit, les difficultés rencontrées par Donald Trump pour imposer sa volonté à la CIA et au Pentagone ainsi que l’existence de ce réseau parallèle, mi-public mi-privé, permettent d’entrevoir la complexité de sa tâche dans un ordre mondial subverti par des intérêts privés.
Dans un premier temps, l’offensive des armées irakienne et syrienne pour rétablir la route de la soie n’a pas été stoppée par les Forces états-uniennes, malgré divers incidents.
L’offensive lancée par l’Armée arabe syrienne, avec le Hezbollah et en coordination avec l’Armée libanaise, dans le Jurd d’Ersal est le premier fruit visible de la nouvelle politique de Washington. Tout en critiquant vertement la présence du Hezbollah, le Premier ministre libanais Saad Hariri a, à la demande de l’Arabie saoudite, autorisé son Armée, à participer à l’opération. C’est la première fois, qu’officiellement les deux armées, libanaise et syrienne, et la Résistance agissent ensemble. Riyad, sans désarmer face au Parti de Dieu et à l’Iran, a considéré qu’il convenait de travailler avec le Hezbollah et d’en finir prioritairement avec les jihadistes.
En définitive, cette guerre, qui devait détruire les États de la région, prend la direction opposée : l’unité des forces iraniennes, irakiennes, syriennes et libanaises.
Source
Al-Watan (Syrie)