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WWIII : QUI a trahit la France en Mai 1940 et en Mai 2017. La Nazification de l'Europe. Les Guerres des Francs-Maçons.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

 

Nicolas Bonnal

par Nicolas Bonnal

Pourquoi l’establishment anglo-américain favorisa le nazisme.

Si pour reprendre la vulgate imbécile Vladimir Poutine a fait élire Donald Trump (pourquoi ne pas désigner le changement climatique ?), on va rendre la politesse, mais avec des preuves. Les élites anglo-américaines ont fabriqué le nazisme.

Guido Giacomo Preparata, dans son passionnant Conjuring Hitler, explique comment les élites anglo-saxonnes – l’establishment anglo-américain de Carroll Quigley – ont utilisé le nazisme pour détruire la vieille Europe et empêcher l’unification eurasiatique.L'obsession de la diplomatie anglo-américaine est le contrôle de l'île-monde de McKinder; on manipule l'hostilité germano-russe du Kaiser à Merkel et on maintient sa suprématie. Selon Preparata:

« Une analyse détaillée de l'émergence du nazisme pourrait révéler que l'arrivée des nazis au pouvoir n'a jamais été le fruit du hasard. La thèse du livre suggère que pendant quinze ans (1919-1933), les élites anglo-saxonnes ont corrompu la politique allemande avec l'intention de créer un mouvement réactionnaire, qu'ils pourraient ensuite mettre en place comme pion pour leurs intrigues géopolitiques. »

On veut donc après la guerre un mouvement réactionnaire, et antisémite, en Allemagne, susceptible d'être utilisé comme pion, et encore:

« Lorsque ce mouvement a émergé, immédiatement après la Première Guerre mondiale, sous la forme d'une secte religieuse et antisémite déguisée en parti politique — le Parti national socialiste —, les clubs britanniques l'ont surveillé de près et l'ont endossé de manière semi-officielle en 1931, lorsque la République de Weimar fut démantelée par la Grande Crise, et l'embrassa finalement, avec ruse, tout au long des années 1930. Donc, bien que l'Angleterre n'ait pas inventé l'hitlérisme, elle a néanmoins créé les conditions permettant à un tel phénomène d'exister… »

Tout cela, explique Preparata, est voulu par cet establishment anglo-saxon qui, après la Deuxième Guerre mondiale, va contrôler l'Europe du charbon, de l'acier et de l'OTAN; sur ces sujets enfin balisés, on peut lire les excellents essais révisionnistes de l'universitaire Annie Lacroix-Riz.

Angela Merkel
© REUTERS/ Fabrizio Bensch/Files

« Par clubs et élites, je veux parler des fraternités établies et perpétuelles qui régnaient sur les républiques anglo-saxonnes: elles étaient (et sont toujours) formées par une agrégation de dynastes émanant des banquiers, du corps diplomatique, de la caste des officiers et de l'aristocratie au gouvernement, qui demeurent solidement enracinés dans le tissu constitutionnel des démocraties modernes. »

Preparata explique ensuite pourquoi la démocratie occidentale est un leurre:

« En fait, dans la prétendue ‘circonscription démocratique', qui représente à ce jour le modèle le plus sophistiqué de la domination oligarchique, l'électorat n'a aucun poids, et la capacité politique n'est qu'une autre expression des pouvoirs de persuasion nécessaires pour ‘construire un consensus' sur des décisions (capitales) déjà prises ailleurs. »

Puis vient la révélation de la plus grande conspiration politico-diplomatique de tous les temps, liée au fantasme de McKinder — « qui tient l'île-monde tient le monde… »: la volonté de commander à l'Allemagne et d'interdire l'unité eurasiatique, qu'on retrouve une génération après chez Brzezinski et son Grand Échiquier ou la manipulation des pays baltes dominés par des agents américains; voyez mon texte à ce sujet, repris en Italie par notre ami Maurizio Blondet).

« L'histoire racontée dans ce livre est l'histoire de l'Empire britannique, qui en 1900, craignant la puissance montante du jeune Reich allemand, a conçu en secret un plan pour un encerclement géant de la masse continentale eurasienne. L'objectif principal de ce blocus titanesque était la prévention d'une alliance entre l'Allemagne et la Russie: si ces deux puissances pouvaient se fondre dans une ‘étreinte', pensaient les intendants britanniques, ils seraient possesseurs d'une forteresse de ressources, d'hommes, de connaissances et de forces militaires qui mettraient en danger la survie de l'empire britannique dans le nouveau siècle. »

L'entente germano-russe aurait évidemment changé le monde, mais on avait mieux à faire. On avait à conspirer contre la paix, contre la destinée européenne:

« À partir de cette première réalisation, la Grande-Bretagne a entrepris une campagne extraordinaire pour déchirer l'Eurasie en engageant la France et la Russie, puis l'Amérique, pour combattre les Allemands. »

A la fin de la Première Guerre mondiale, l'Angleterre abandonne le tsar à son sort et lâche aussi les russes Blancs — lisez Denikine. Les anglo-saxons aident le bolchévisme en Russie, mais ce n'est pas tout. L'Angleterre fabrique le traité effarant de Versailles, pour préserver une Allemagne puissante et furieuse. C'est ce que comprend Bainville, dans un livre qui annonce même un Hitler à venir.

Bainville, donc en 1920:

« Les Allemands devront payer le tribut principal aux Français, qui sont un tiers de moins qu'eux: quarante millions de Français ont pour débiteurs soixante millions d'Allemands… À moins que ces millions de créatures ne fussent pas attachées au même boulet, avec un seul gouvernement, peut-être demain un seul chef, pour les dresser à briser leur chaîne. »

Bainville comprend que le traité a pour but une autre guerre. Sinon il n'a pas d'autres explications — naïveté de Wilson? Incompétence des négociateurs? Allons donc!

S'aidant des études du génial sociologue américain Thorstein Veblen, Guido Preparata explique brillamment pourquoi on préserva les dangereuses élites impériales et militaires en Allemagne :

« La Première Guerre mondiale a joué le premier acte de l'attaque […] L'Allemagne avait perdu la guerre, mais elle n'avait pas été vaincue sur son propre territoire. Les élites allemandes, la structure politique et économique étaient restées intactes. Ainsi, après 1918, a commencé le second acte du siège: ressusciter en Allemagne un régime réactionnaire issu des rangs de ses militaristes vaincus. La Grande-Bretagne a orchestré cette incubation dans le but de conjurer une entité politique belligérante qu'elle a encouragée à entrer en guerre contre la Russie. »

L'Allemagne avait été affamée pendant la guerre (Ralph Raico, avec un bilan de 800 000 morts de faim tout de même). Après la guerre on la préserve unifiée (Gustave Le Bon en était scandalisé) et on laisse épargné son militarisme prussien. Cette nouvelle Allemagne serait ainsi poussée à attaquer la Russie soviétique et judéo-bolchévique (on invente les deux ennemis en fait comme en orient ou ailleurs). Et la naïveté barbare de la micro-caste nazie fait le reste. Elle se croyait adorée par les Anglais, modèle du conquérant aryen dans le monde. Julius Evola n'était pas si naïf sur les origines marchandes de la question impériale anglaise. L'empire anglais expliquera Orwell après la guerre c'est l'Océanie.

Preparata évoque avec ironie la non-acceptation du dossier du fils Ribbentrop à Eton, le collège ultra snob de l'élite britannique [la crème anglaise!]. Le fidèle pion de Montagu Norman, Hjalmar Schacht muni d'un passeport américain, comme Baldur Von Schirach, fut installé au pouvoir en Allemagne, où il réalisa les miracles financiers que l'on sait — pourquoi ne les avait-il pas réalisés avant?

Puis, comme pour contredire Quigley et sa caste british divisée sur le sujet nazi, Preparata ajoute:

« L'Angleterre a offert un spectacle fascinant en feignant devant le monde que sa classe dirigeante était divisée entre les pro-nazis et les anti-nazis, et qu'une telle scission justifiait l'absence apparente d'engagement pour combattre Hitler sur le front occidental après que l'invasion de la Pologne avait déclenché la Seconde Guerre mondiale. »

Et d'expliquer pourquoi les États-Unis ne sont pas intervenus avant, question que posera de Gaulle à Harry Hopkins d'ailleurs. Car de Gaulle accuse aussi les USA d'avoir cassé la France et aidé le Reich dès 1919 en fait. Le résultat de toute votre politique, dit-il au conseiller de Roosevelt, ce fut Hitler.

L'historien américain Frédéric R. Sanborn a aussi expliqué que tout était fait par les anglo-saxons pour qu'Hitler triomphe à Munich en 1938. On empêcha un règlement européen d'une crise européenne. La France, l'URSS et la Tchécoslovaquie — superbement bien défendue — auraient pu tacler la Wehrmacht. Roosevelt l'empêcha et ordonna aux Franco-Britanniques de céder.

Je cite Frédéric Sanborn, nous sommes le 26 septembre 1938:

« À ce moment critique, M. Roosevelt est intervenu et a saboté toute la situation. Précédemment, il avait été prié d'appliquer sa pression seulement contre l'Allemagne, mais maintenant il l'appliquait également contre les adversaires de l'Allemagne. Il était donc devenu clair que M. Roosevelt ne s'opposait pas seulement aux préparatifs militaires contre l'Allemagne : il utilisait aussi son influence auprès de ceux qui, dans les conseils divisés des gouvernements britannique et français, s'opposaient à la guerre — à ceux qui ont depuis été appelés apaisants. »

C'est donc Roosevelt qui a favorisé l'apaisement et le triomphe du poulain Hitler à Munich; Roosevelt, et Chamberlain qui vint comme à Canossa s'agenouiller à Berchtesgaden, lui le cousin du penseur raciste Houston Stewart.

Selon Sanborn: « Le bluff du Chancelier Hitler a trouvé [en Roosevelt] un supporter inattendu. »

Preparata révèle la stratégie consistant à lâcher le loup-garou nazi pendant trois ans en Russie, en échange de cette drôle de guerre à l'Ouest — Quigley le reconnaît — et d'une Méditerranée anglo-saxonne.

« La vérité était bien différente: une négociation se déroulait dans les coulisses. La Grande-Bretagne a empêché les Américains d'ouvrir un front occidental pendant trois ans, afin de permettre aux nazis de pénétrer et de dévaster la Russie, sans être dérangés, en échange de l'évacuation rapide des forces allemandes du bassin méditerranéen. »

L'Allemagne nazie, avec une France fasciste, une Italie fasciste, une Espagne fasciste, n'a pas su contrôler la Méditerranée! Elle se fout de qui l'Allemagne nazie? Elle occupe la France qui laisse sa flotte se faire détruire par Churchill? Et le léger Goebbels, qui dans son Journal invoque une hydrophobie de son chef!
On résume la campagne britannique:

« Pour anéantir la menace allemande, les élites dirigeantes britanniques ont monté très haut les enjeux… Ce jeu pour la suprématie anglo-américaine a coûté environ 70 millions de vies dans deux guerres mondiales: un holocauste dont l'horreur est au-delà des mots. »

La conclusion?

On sait aujourd'hui que l'Angleterre a détruit la Libye, la Syrie avec son dominion socialiste français, qu'elle est le fer de lance de l'Otan et de la guerre contre la Russie en Europe. Le général britannique Shireff a évoqué une prochaine guerre en Europe. Trump et Poutine n'ont pas encore gagné.

Rien n'est donc terminé, et Preparata note sur leur ubris aux clubs infernaux anglo-américains:

« L'Occident doit donc réfléchir à nouveau, penser qu'il y a quelque chose de bien pire que le nazisme, c'est l'orgueil des fraternités anglo-américaines dont la routine est d'inciter les monstres indigènes à la guerre et de diriger le pandémonium pour poursuivre leurs buts impériaux. »

Nota:

Ceux qui enfin veulent comprendre le message crypté des Falaises de marbre ont intérêt à lire Preparata.

Bibliographie sommaire

Bainville — Les conséquences du traité de Versailles (sur uqac.ca)
De Gaulle — Mémoires, Plon, tome troisième, p.346
F. Sanborn — Perpetual war for perpetual peace — edited by Harry Elmer Barnes chapter 3 (Mises.org)
Preparata (Guido Giacomo) — Conjuring Hitler: How Britain and America
Made the Third Reich (Pluto Press)
Quigley — The anglo-american establishment
Raico — Great Wars and Great Leaders: A Libertarian Rebuttal(2010), Ludwig von Mises Institute

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.
Qui a trahi la France en Mai 1940 et en Mai 2017?
Nicolas Bonnal

par Nicolas Bonnal

La France se sent trahie : son patrimoine spirituel et culturel est nié ou profané ; sa population est remplacée et prolétarisée ; son économie est délocalisée ; ses entreprises sont contrôlées par le capital anglo-saxon ; son armée et sa presse travaillent pour les USA.

Le pays hébété est contrôlé par une camarilla déchaînée (gare au populisme!); les attentats se succèdent dans l'in-explication générale. Le pays est décivilisé par son élite.

Que se passe-t-il?

Nous avons vu comment les nazis furent été aidés par les puissances anglo-saxonnes. Et la débandade de notre armée en mai 40 est dans toutes les mémoires. Elle ne demandait qu'à foutre le camp, a dit Céline, qui remarquait que l'on incriminait les civils! Peu de temps après, les généraux ne furent pas saqués mais ils furent mis au pouvoir. Dans son livre sur les Gouvernants invisibles, Serge Hutin rappelait que les francisques étaient déjà là autour de Philippe Pétain à Madrid, dans son ambassade. Simone de Beauvoir parla d'une guerre bâclée par des généraux qu'on revit peu de temps après au pouvoir.

L'historienne Annie Lacroix-Riz, professeur à Paris VII, qui a étudié dix ans les archives de cette époque, explique (1):

«…quand on y regarde de plus près, on s'aperçoit que la France a saboté son réarmement exactement comme l'Angleterre. Des travaux anglais montrent que la fameuse période de réarmement accélérée de 1932 et 1938 et surtout 1939 n'a pas abouti à grand-chose. »

Elle n'hésite pas à parler de sabordage:

« Il y a eu sabordage à l'Equipement, au ministère de l'Armement assuré par Dautry et sabordage militaire puisqu'une partie de la Cagoule militaire a littéralement ouvert les frontières à l'Allemagne. »

Enfin elle évoque la trahison sur le champ de bataille, la fameuse trouée des Ardennes:

« On considère que le général Huntziger a ouvert la frontière de Sedan, ce qui explique que la France est vaincue dans la nuit du 15 au 16 mai. Gamelin avoue que tout est terminé alors que les chars ne sont même pas partis! »

Annie Lacroix-Riz ajoute:

« L'intelligence avec l'ennemi est strictement avérée, assumée par des personnages liés à la fois à la Cagoule et à la Synarchie, que vous retrouverez à tous les postes essentiels de Vichy. »

A cette époque comme à la nôtre, les élites qui sont au pouvoir au service de l'étranger ont un ennemi, le peuple:

«… pour empêcher ce peuple d'exprimer son avis, un avis qui est aussi désagréable que certains avis récemment exprimés dans notre conjoncture actuelle, on envisage d'abord d'empêcher le peuple de voter, et après, on estime qu'il vaut mieux s'aider de l'étranger pour l'empêcher de voter… »

Elle parle ensuite des comités qui encadrent la future collaboration dès les années Trente:

Le comité France-Allemagne fut fondé en 1935 par Otto Abetz, qui avait été chargé de la propagande en direction de la France au sein de la Ribbentrop Dienstelle…De sorte qu'avec ce comité, on avait quelque chose de tout à fait parallèle à ce qui a été constitué en Angleterre, dont le cœur était la Banque d'Angleterre et le milieu du gouverneur de cette banque, Montagu Norman, qui est aussi nazi qu'Edouard VIII. »

Et puis nous donnerons une autre référence plus émouvante, L'étrange Défaite de Marc Bloch, maître de l'histoire médiévale, résistant torturé et fusillé par les Allemands. Lui aussi croit à une conspiration (le mot est lâché) et l'historien qu'il est n'a pas de peine à la démontrer.

Il commence par les généraux (ceux qui gavent Céline dans les Beaux Draps):

« Victorieux, ceux-ci sont presque toujours tenus à l'écart du pouvoir; vaincus, ils le reçoivent des mains du pays qu'ils n'ont pas su faire triompher. Mac-Mahon, malgré Sedan, Hindenburg, après l'effondrement de 1918 ont présidé aux destinées des régimes issus de leurs défaites; et ce n'est pas le Pétain de Verdun, non plus que le Weygand de Rethondes, que la France a mis ou laissé mettre à sa tête. »

Il reproche son armistice à Pétain (deux millions de prisonniers de guerre tout de même — et qui ont fait quatre ans).

« Est-ce à dire qu'à ce moment même — celui, exactement, où Pétain annonça qu'il demandait l'ar¬mistice — toute défense fût devenue — impossible? Plus d'un officier pensait le contraire. »

Il taille des croupières au passage à notre sacro-saint Front populaire et son Léon poids Blum:

« Certes, je n'ai nulle envie d'entreprendre ici l'apologie des gouvernements de Front populaire. Une pelletée de terre, pieusement jetée sur leurs tombes: de la part de ceux qui, un moment, purent mettre en eux leur foi; ces morts ne méritent rien de plus. Ils tombèrent sans gloire. »

La bourgeoisie française, celle qui remplit nos bons gros ministères et nos indispensables institutions européennes, est déjà collaboratrice. Marc Bloch:

« En accablant le régime, elle arrivait, par un mouvement trop naturel, à condamner la nation qui se l'était donné. Désespérant, malgré elle, de ses propres destins, elle finissait par désespérer de la patrie. »

Ensuite Marc Bloch établit la trahison de ces élites. Il y a les irresponsables de ce qu'il appelle le coup d'Etat (l'union européenne est ce coup d'Etat permanent — repensez à Mitterrand — au service de l'oligarchie US et de son démentiel Etat profond):

«… nos chefs ne se sont pas seulement laissé battre. Ils ont estimé très tôt naturel d'être battus. En déposant, avant l'heure, les armes, ils ont assuré le succès d'une faction. Quelques-uns, certes, cherchèrent, avant tout, dans le coup d'État, le moyen de masquer leur faute. »

Et il y a les vrais responsables, les salauds comme disait Sartre à cette époque:

« D'autres cependant, dans le haut commandement, presque tous dans les rangs de l'armée étaient loin de poursuivre consciemment d'aussi égoïstes desseins. Ils n'ont accepté le désastre que la rage au cœur. Ils l'ont accepté, cependant trop tôt, parce qu'ils lui trouvaient ces atroces consolations: écraser, sous les ruines de la France, un régime honni; plier les genoux devant le châtiment que le destin avait envoyé à une nation coupable. »

On comprend pourquoi certains parlèrent de divine surprise. L'Allemagne venait remettre de l'ordre, comme l'Amérique néolibérale aujourd'hui, dans la bergerie. Dans une bio de Rommel je lisais que ce dernier était convié à tirer le gibier par des propriétaires enchantés d'avoir grâce à lui expurgé le pays des espions de Moscou et du peuple trop prolétaire. A l'époque on poursuivait le complot judéo-bolchévique comme aujourd'hui on chasse le complot russe, le hacker russe, le candidat sibérien Donald Trump. Le tout pour couvrir bien sûr le complot qui a réussi, celui de l'Etat profond US, des Bilderbergs, de la poignée de banksters qui se sucreront sur notre dos

Bibliographie

— Revue Nouvelle solidarité — 28 juillet 2006, interview avec Annie Lacroix-Riz
— Annie Lacroix-Riz, le Choix de la Défaite; de Munich à Vichy — Armand Colin
— Bloch (Marc), l'Etrange défaite (uqac.ca)
— De Gaulle, Mémoires, III, p. 81 (archive.org)

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.
Nicolas Bonnal

par Nicolas Bonnal

Suprématie russe et mécréance occidentale

Pendant qu'Hillary a maille a partir avec le FBI (tiens bon, Donald!) « l'occident » perd le nord.

La Terre. Image d'illustration

L'élite d'Ubu et les USA veulent faire la guerre à une Russie qui n'est pas née de la dernière pluie et qui n'est pas dirigée par François Hollande ou par Carla Bruni.

Nietzsche, dans Par-delà le bien et le mal, dit que l'empire russe est le seul sérieux, que lui seul a de l'avenir: «… la Russie étend ses conquêtes en empire qui a du temps devant lui et qui ne date pas d'hier — eux se transforment suivant la maxime: « Aussi lentement que possible! »

Elle a aussi la plus moderne armée du monde. Les armes russes ont fait peur au méchant monde impérialiste cette année et les rodomontades des adjudants du pentagone n'y changeront rien. Le tigre de papier-monnaie du dollar est aussi à la veille de son Armageddon.

Trump et Poutine sur un panneau d’affichage au Monténégro

Enfin, la Russie a des alliés car l'occident-oxydé est dirigé par des idiots et fait peur à tout le monde. Il faudrait faire aussi que Mystic Hillary fasse la guéguerre nucléaire à la Turquie, à l'Iran, à la Chine, au Kazakhstan, à tout le bloc de l'île-monde qui se révolte avec la Malaisie et les Philippines contre le bloc belliqueux des « fous alliés » et de leur flotte à la noix (car bien des porte-avions US sont en réparation!).
Personne ne traite mieux ces questions géostratégiques et médiatiques en Europe que Philippe Grasset. On lui laisse la parole:

« Ainsi cela commence-t-il à devenir une habitude, essentiellement depuis mars 2014 et l'investissement de la Crimée par les forces russes: les services de renseignement occidental, malgré des moyens considérables et une dialectique à mesure, ratent régulièrement les plus importantes initiatives stratégiques, même quand elles sont massives, de la Russie. (Par contre, elles ne sont pas avares, les sources proches du renseignement, de longs et péremptoires bavardages sur des opérations de communication — comme les invasions fantômes russes de l'Ukraine — qui satisfont les narrative en cours). »

 

L'occident croit ainsi en ses propres mensonges médiatiques écoutés par une minorité des populations âgées, ignares ou technophobes. Sa seule réalité est virtuelle et médiatique (ou démoniaque). Grasset encore:

« Le bloc-BAO est réellement transmuté par ses propres démons qu'il produit pour déstructurer le « reste du monde » (tout ce qui n'est pas lui) et qui finissent inéluctablement par se retourner contre lui-même…

Pour démolir le costaud Trump, on en arrive au caquetage très débile, comme celui de l'émission « c'est dans l'air », conçue pour les ploucs paniqués.
Philippe Grasset rappelle que le triomphe russe avec l'Iran est éclatant:

«… ce que les Russes ont fait avec l'Iran, sans aucune pression, en laissant intact le sens de l'indépendance et de la souveraineté nationale et par conséquent le soutien constant et loyal des Iraniens, jamais les USA ne le réussirent avec le shah Mohammed Reza Pahlavi, pourtant véritable marionnette de la CIA de son installation sur le trône en 1953 à son départ précipité à la fin de 1978. »

 

Et il souligne qu'Israël aussi comprend qui est le plus fort.

« Même les Israéliens, notamment grâce à leurs Juifs d'origine russe, finiraient bien par laisser aller leurs lubies anti-iraniennes car ils ont beaucoup appris, en une année, combien il s'agit d'être sérieux et attentif avec les Russes, et l'intérêt d'avoir de bonnes relations avec eux. »

Les relations russes et israéliennes sont d'ailleurs assez bonnes. Mais ce qu'il faut souligner c'est le génie stratégique russe, qui contraste avec la débilité larmoyante de Merkel-Juncker ou l'hystérie raide de Clinton-Obama.

Car: « La Russie, puissance et masse continentales par essence, fait « vivre » sa puissance stratégique dans son propre espace, et notamment depuis les débuts de la Guerre froide. »

François Fillon

On espère que la France s'alliera à la Russie comme le voulaient les grands voyants De Gaulle et Chateaubriand. Sans doute lui faudra-t-il un effondrement intérieur ou autre pour achever de la réveiller (car comment se réveiller avec un Juppé à la place d'un Hollande?).

Je cite pour finir un texte de l'écrivain pro-nazi Bardèche:

« C'est un nouveau venu dans la géopolitique, l'Américain Nicolas John Spykman, qui montra au président Roosevelt la naïveté de cette futurologie. L'essentiel n'est pas de posséder des territoires, mais d'être maître des lignes de communication. Plus le territoire conquis est étendu, plus la conduite de la guerre dépend des possibilités de renouvellement de matériel de la guerre. À ce moment-là, la maîtrise des mers l'emporte sur la maîtrise des continents. Il importe peu, plaidait Spykman qui fut le conseiller de Roosevelt à l'entrevue de Yalta, qu'on refuse ou qu'on abandonne des lambeaux de territoire, si l'on est le maître du chapelet d'îles, de bases et de points d'appui qui entourent comme une grande ceinture le continent euro-asiatique: car on est alors le maître de la circulation économique et stratégique dans les territoires dont la sécurité et la prospérité dépendent des mers qui les entourent. »

L'écrivain fasciste avait tort. Faire croire que des porte-avions en panne et des chaînes de télé débiles comme CNN vont soumettre l'île-monde eurasiatique, c'est se moquer du monde. 3000 soldats US en Pologne sont de la rigolade, et la Russie n'est pas la petite et teigneuse Allemagne! Le bon maître McKinder le savait, qui poursuit la Russie comme une ombre dans son œuvre géostratégique, comme Kipling dans son œuvre littéraire (relisez Kim bien sûr, et son Grand Jeu ou même l'Homme qui voulut être roi).

Les raisons cachées de la russophobie en Europe

Et un peu de Guénon pour comprendre le problème méphitique de notre occident oxydé:

« Les Vaishyas, venant en troisième lieu, prennent place au sud, et avec eux se termine la succession des castes « deux fois nées », il ne reste plus pour les Shûdras que l'ouest, qui est regardé partout comme le côté de l'obscurité. »

L'occident atlante abattu, l'Europe endormie se réveillera comme la belle de la fable.

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

Nicolas Bonnal
La Russie libre face au retour du fascisme en Occident.

par Nicolas Bonnal

70 ans après la victoire sur le nazisme, la Russie fait face au fascisme américain et au Nouvel Ordre Mondial.

La rapidité avec laquelle l'Espagne s'est soumise au diktat américain dans l'affaire du navire de guerre russe à Ceuta montre que l'on n'est pas face à un pays libre mais à une colonie soumise au fascisme américain et au Nouvel Ordre Mondial. Et d'obéir comme un seul homme à Washington et à ses sbires britanniques (quand rendront-ils Gibraltar aux espagnols d'ailleurs?).

Ce n'est pas la première fois que la vieille et sainte Russie doit faire face à une poussée d'urticaire occidentale. Une demi-douzaine de nations fascistes l'ont attaquée en juin 41 pour se partager ses dépouilles. Elle n'a fait ensuite que se défendre, et « on a prétendu après que cette défense était une conquête » (Murray Rothbard). C'est Tolstoï qui rappelle dans Guerre et paix que la Russie tsariste fut attaquée par une partie de l'Europe, pas seulement par Napoléon.

Menée par une presse ruinée, déshonorée et hystérique, la campagne de russophobie accompagne ce qu'il est convenu d'appeler le nouvel ordre mondial, et qui se manifeste par les cinq traits suivants:

— Une liquidation des États-nations en Europe, qui accompagne une extermination des pays arabes libres. L'Algérie est prochaine sur la liste. Le pouvoir est remis chaque fois aux frères musulmans des puissances anglo-saxonnes, le pétrole à qui l'on devine.
— Une liquidation agressive et obsessionnelle de toutes les cultures et de la polarité sexuelle.
— Une liquidation des économies avec le TTIP obligatoire et abolition du cash, l'interdiction apocalyptique un beau jour de toutes les transactions (le fameux 666) non ordonnées.
— Une invasion obligatoire de miséreux venus des pays détruits par l'OTAN et les mercenaires financés par la péninsule arabique.
— Une soumission des peuples par la techno-passivité et le terrorisme médiatique, qui passe par la diabolisation des partis populistes, de la Russie ou du tiers-monde (ce mot a toujours pour nous sa dignité, et on l'a oublié) encore libre.

Il est possible qu'une guerre nucléaire limitée soit envisagée par le pentagone et une partie de nos élites dérangées pour faciliter la mise en place de ce Nouvel Ordre Mondial.

Le rôle presque sacré de la Russie accompagne dans ce cadre apocalyptique la folie guerrière occidentale. Il signifie l'élection de la Russie comme terre de la liberté, paradoxe pour un pays marqué par une tradition autocrate. Mais Dostoïevski disait déjà dans son Journal que la Russie est haïe par les bourgeoisies occidentales car elle est progressiste. Et il ne faut pas oublier c'est grâce à la Russie que le nazisme a été vaincu et que le progrès social a eu enfin lieu en Occident (voyez mon livre à ce sujet). Le prolétariat européen dut ses trente glorieuses et sa bonne fortune à l'Armée Rouge et à la peur bourgeoise du communisme. Dès que cette peur eut disparu, en 1989, la bourgeoisie écrasa les classes moyennes et inférieures, remplaça les populations (chapitre III du Prince de Machiavel), délocalisa les usines, détruisit la culture, sabota l'humanisme. Joe Stieglitz pense comme nous à ce sujet.
Mais je retrouve la prophétie de Dostoïevski:

« Dès que l'Européen verra que nous recommençons à nous estimer nous-mêmes, il nous estimera aussi. Plus fort sera notre développement dans le sens russe, plus puissante sera notre influence sur l'âme européenne. En revenant a notre nature vraie, nous prendrons enfin l'apparence d'humains et ne ressemblerons plus à des singes imitateurs. On nous considérera alors comme des hommes capables d'action et non plus comme des fainéants internationaux infatués d'Européanisme et de faux libéralisme. »

C'est bien pour cela que la Russie est populaire aujourd'hui dans plein de partis et de couches populaires de la population en Europe, effarés par la tournure fasciste que prennent nos affaires (interdire les médias russes, ignorer les Brexit, interdire les partis populistes, fasciser les syndicats ? Calmez-vous les petits!).

Emmanuel Todd écrit lui en 2002 :

« Rien n'interdit a priori d'imaginer une Russie libérale et démocratique protégeant à son tour la planète contre une Amérique tentant de raffermir une posture globalement impériale. »

La Russie révèle au monde la puissance factice américaine, qui repose comme la magie noire d'ailleurs sur le virtuel, le sémiotique (la monnaie de singe ou les images violentes).

Emmanuel Todd :

« Après la Seconde Guerre mondiale, chaque pas approchant ensuite l'armée américaine d'une confrontation avec le véritable vainqueur terrestre de ce conflit, la Russie, a révélé la fragilité militaire fondamentale des États-Unis. En Corée, l'Amérique n'a qu'à moitié convaincu, au Vietnam pas du tout; le test face à l'Armée rouge n'a heureusement pas eu lieu… »

Néanmoins il ne se faisait pas d'illusions :

« Le maintien d'un certain niveau de tension entre États-Unis et Russie devait empêcher le rapprochement entre Europe et Russie — la réunification de la partie ouest de l'Eurasie — en préservant le plus longtemps possible l'antagonisme hérité de la guerre froide. »

Et Todd ajoute sur cette vocation non-bourgeoise (vérifiez, tout bourgeois hait Poutine) de la Russie :

« La Russie est de tempérament universaliste… les paysans russes fraîchement alphabétisés du XXe siècle ont spontanément perçu les hommes comme a priori égaux… Le bolchevisme a aspiré vers ses cercles dirigeants les minorités de l'empire: baltes, juifs, géorgiens, arméniens. Comme la France, la Russie a séduit par sa capacité à considérer tous les hommes comme égaux. »

Nos lecteurs doivent aussi découvrir des chroniqueurs redoutant ou dénonçant l'hégémonie US et sa général Orwell. Découvrez sur le NYT Ross Douthat (il y dénonce le 23.10.2016 la folie de l'élite), sur Il Giornale Piero Ostellino, sur ABC Juan Manuel Prada. Eric Hazan dans le monde juif rédigeait un texte courageux sur la crainte de Poutine d'une résurgence du nazisme en Europe 16 octobre 2014. Ce système n'est pas antisémite pour l'instant, mais il se sert du terrorisme ou de l'humanitarisme pour justifier ses guerres. On va voir ce qui va se passer si la « générale Orwell » Hillary se fait élire grâce aux médias et aux machines à voter financées par Soros, ce sinistre roi du monde dont le nom signifie le cercueil en grec ancien.

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Bibliographie

Dostoïevski _Journal d'un écrivain
Nicolas Bonnal — Lettre ouverte à la vieille race blanche
Emmanuel Todd_Après l'Empire
John Hobson — Imperialism, a study
Rothbard — A libertarian manifesto

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

Les Anglo-Saxons ne nous ont jamais considérés comme des alliés.

De Gaulle refusait de célébrer le débarquement anglo-américain en Normandie. Ce fameux 6 juin (sixième jour du sixième mois du sixième an de la Guerre…) était considéré par lui comme une occupation à venir de l'Europe et une mise à l'écart de la France du fait de ses élites collaboratrices. La bourgeoisie française aux ordres de l'étranger, comme dit un jour Jean-Pierre Chevènement dans un discours inspiré, changerait simplement de patron. D'allemand, il devenait américain. Aujourd'hui il est les deux.

Charles de Gaulle (au centre) en visite à Moscou

© Sputnik. A. Polikashin

Parlons du débarquement. Le Général en parle très bien dans ses Mémoires (tome II). Il redoute beaucoup les intentions de Roosevelt. Et voici ce que De Gaulle déclare à Alain Peyrefitte en 1964:

« La France a été traitée comme un paillasson! Churchill m'a convoqué d'Alger à Londres, le 4 juin, il m'a fait venir dans un train où il avait établi son quartier général, comme un châtelain sonne son maître d'hôtel. Et il m'a annoncé le débarquement, sans qu'aucune unité française n'ait été prévue pour y participer. Nous nous sommes affrontés rudement. Je lui ai reproché de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volonté européenne (il appuie). »

Churchill, de mère américaine, et qui fut l'homme des Etats-Unis avant d'être celui de l'Angleterre (balayé aux élections de 1945, il laissa son pays ruiné, soumis et sans ses Indes…) répond vertement au Général:

« Il m'a crié de toute la force de ses poumons: « De Gaulle, dites-vous bien que quand j'aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large! »

Et le Général de conclure de façon comminatoire:

« Et vous voudriez que j'aille commémorer leur débarquement, alors qu'il était le prélude à une seconde occupation du pays? Non, non, ne comptez pas sur moi! »

Ensuite il donne sa leçon d'histoire, et celle-ci est à considérer avec attention (j'ai déjà évoqué ce passage étonnant!):

« Charles-de-Gaulle: « Le débarquement du 6 juin, ç'a été l'affaire des Anglo-Saxons, d'où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s'installer en France comme en territoire ennemi! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s'apprêtaient à le faire en Allemagne! Ils avaient préparé leur AMGOT qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l'avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis. »

En effet, les billets de l'AMGOT commencèrent à circuler à cette époque d'occupation militaire, qui annonçaient l'euro. Et, comme s'il avait prévu un jour la énième trahison des élites françaises, le Général explique à son ministre:

« Les Français sont déjà trop portés à croire qu'ils peuvent dormir tranquille, qu'ils n'ont qu'à s'en remettre à d'autres du soin de défendre leur indépendance! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naïve, qu'ils paient ensuite par des ruines et par des massacres! Il faut les encourager à compter sur eux-mêmes! »

Aujourd'hui nous comptons inexplicablement en France sur l'OTAN. Mais de Gaulle explique que pour les Américains, toute concession doit mener à une capitulation. Et il dit même que Roosevelt voulait simplement « dominer l'univers ». Cette guerre à laquelle il poussa délibérément les Européens (dixit Chamberlain et l'ambassadeur Kennedy, père de JFK) l'y aura bien aidé!

Et de conclure magnifiquement:

« Allons, allons, Peyrefitte! Il faut avoir plus de mémoire que ça! Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons! Dites-le à vos journalistes. »

En 1944, il rencontre à Washington « l'homme qui veut dominer l'univers », Roosevelt. Et cela donne dans ses mémoires ces lignes étonnantes sur le Nouvel Ordre Mondial américain avec ses bases et son parlement:

« Il est vrai que l'isolationnisme des États-Unis est, d'après le Président, une grande erreur révolue. Mais, passant d'un extrême à l'autre, c'est un système permanent d'intervention qu'il entend instituer de par la loi internationale. Dans sa pensée, un directoire à quatre: Amérique, Russie soviétique, Chine, Grande-Bretagne, réglera les problèmes de l'univers. Un parlement des Nations Unies donnera un aspect démocratique à ce pouvoir des « quatre grands ». Mais, à moins de livrer à la discrétion des trois autres la quasi-totalité de la terre, une telle organisation devra, suivant lui, impliquer l'installation de la force américaine sur des bases réparties dans toutes les régions du monde et dont certaines seront choisies en territoire français. »

Les bases US partout… Et le président visionnaire (un visionnaire à la Chaplin ou presque) d'ajouter:

«…le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, l'appui offert par Washington, l'existence des bases américaines, vont susciter, en Afrique, en Asie, en Australasie, des souverainetés nouvelles qui accroîtront le nombre des obligés des États-Unis. »

De Gaulle prend peur et explique (comme il a raison!) que l'on risque d'assister à la mort de l'Europe de l'Ouest, ce qu'il appelle lui l'Occident. Mais qui peut alors en « Occident » résister à Roosevelt? L'Occident est la terre de la mort et du hors-caste, rappelle Guénon dans ses Symboles de la Science sacrée.

Et de Gaulle sait que Roosevelt le considère comme un gêneur:

« Bref, sous les manières courtoises du patricien, c'est sans bienveillance que Roosevelt considérait ma personne. »

La « nouvelle vedette du monde », comme dit de Gaulle ailleurs, impose ses conceptions (qui ne sont hostiles alors ni à la Russie ni à la Chine). La guerre se termine, vite remplacée par notre Guerre Froide, formulée par Churchill dans son discours sur le rideau de fer. L'Empire et le Pentagone comprennent qu'il ne faut jamais être à court d'ennemi. On est à l'époque de 1984, lorsqu'Orwell explique que le pouvoir océanien (une subtile allusion à Cromwell en fait) a besoin de créer son Goldstein — et aussi ses conspirations et attentats —pour bien se maintenir en place! Goldstein annonce ainsi le russe, le chinois, le communiste, l'islamiste, ces nécessaires ennemis de toujours qui justifient 50% des dépenses militaires de la planète et les centaines de bases US.

La place centrale de Kiev

Cette lutte contre le mal suppose un chef autoritaire. Vingt ans plus tard, le Général de Gaulle tient encore ses propos qu'approuveraient Vladimir Poutine et les leaders des BRICS:

« Les Américains font croire que ne pas être d'accord avec eux, si vouloir rompre l'alliance atlantique et mettre en danger la liberté de l'Occident. Cuba leur est montée à la cervelle. En Amérique du Sud, en Europe, en Asie, tout le monde en colonne par deux derrière l'Oncle Sam, sinon gare à vous! (Rire.) Ce serait contraire à la solidarité et à la morale! Voyons, Peyrefitte, c'est de la rigolade! »

Et le Général de Gaulle de conclure avec une belle inspiration:

« Le grand problème, maintenant que l'affaire d'Algérie est réglée, c'est l'impérialisme américain. Le problème est en nous, parmi nos couches dirigeantes, parmi celles des pays voisins. Il est dans les têtes. »

Albert Pike et le plan luciférien de gouvernement mondial.

La lettre du général Albert Pike à Giuseppe Mazzini du 15.08.1871 fut révélée par le Commodore William Guy Carr (1895-1959) dans son livre « Pawns in the Game » (« Des Pions sur l’Échiquier », Éd. Canadienne éditée en 1954 par la « National Federation of Christian Laymen »).

Cet officier de marine canadienne faisait partie de l’équipe formée par l’amiral britannique Sir Barry Domville, ancien chef de la « Naval Intelligence », retraité en 1936 et plus tard incarcéré par W. Churchill comme antibelliciste.

Celle ci traite du schéma « Crise, Guerre, Révolution » des 3 guerres mondiales suivies des 3 grandes révolutions qui doivent marquer le XXe siècle.

L'objectif recherché derrière la mise en œuvre de Trois Guerres Mondiales Jean Lombard, historien, écrivait en 1984 : " Si l'on permet le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale, la dévastation sera si considérable que les Internationalistes en arriveront à prétendre que seul un Gouvernement Mondial soutenu par une force de police internationale permettra de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux, rendant impossible de nouvelles guerres.

Cet argument paraîtra logique à de nombreuses personnes... " (La face cachée de l'histoire moderne, p. 553) Oui, tout le plan vise cet unique objectif : imposer un Nouvel Ordre Mondial avec sa Religion Universelle... le culte de Lucifer ! Le 14 juillet 1889, Albert Pike déclarait, par exemple, aux 23 Suprêmes Conseils du monde (les chefs de la Franc-Maçonnerie universelle) : " la véritable et pure religion philosophique est la croyance en Lucifer.

" ('The Freemason" du 19/1/1935) La Première Guerre Mondiale devait permettre aux Illuminati de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de transformer ce pays par la mainmise du Communisme athée. Les divergences « naturelles », attisées par les Agents des Illuminati entre les Empires Britannique et Allemand devaient servir à fomenter cette guerre.

Le conflit terminé, le Communisme devait se constituer et être utilisé pour détruire les autres gouvernements et affaiblir les religions. Albert Pike [1809-1891], 33e degré, grand commandeur du Rite écossais du Sud, fonda sa propre obédience luciférienne : le « New Reformed Palladian Rite » destiné à appuyer le Mouvement Révolutionnaire Mondial (Jean Lombard, « La face cachée de l’Histoire moderne »).

La Deuxième Guerre Mondiale devait être fomentée en jouant  sur les divergences entre Fascistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l’Etat souverain d’Israël put s’établir en Palestine.

Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la puissance du Communisme International devait arriver au niveau de celle de la Chrétienté tout entière. Arrivé à ce point, il devait être contenu et mis en réserve jusqu’à son utilisation pour le dernier cataclysme social.

Quelle personne informée pourrait nier que Roosevelt et Churchill ont réalisé cette politique ? La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman.

La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’Etat d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique.

Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours au Proche, au Moyen Orient et à l’Extrême Orient ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ?

Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu’après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres : « Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement.

Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »

 

“ … mais des deux défaites subies par la France, la militaire et sociale, profiteront à la fois les financiers cosmopolites et les disciples de Karl Marx, tandis que les promoteurs du « World Revolutionary » mouvement, Giuseppe Mazzini et son homologue nord-américain, le général Albert Pike \[1809-1891], dans leur lettre du 15.08.1871, traitent du schéma « Crise, Guerre, Révolution » des 3 guerres mondiales suivies des 3 grandes révolutions qui doivent marquer le XXe siècle. A. Pike, 33e degré, grand commandeur du Rite écossais du Sud, fonda sa propre obédience luciférienne : le « New Reformed Palladian Rite » destiné à appuyer le Mouvement Révolutionnaire Mondial (cf. Jean Lombard, « La face cachée de l’Histoire moderne », pp. 552-554, 1984, et les pages 555-556 du tome 2 de l’éd. espagnole). ”

“ [B]La Première Guerre Mondiale[/B] devait permettre aux Illuminati de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de transformer ce pays par la mainmise du Communisme athée. Les divergences « naturelles », attisées par les Agents des Illuminati entre les Empires Britannique et Allemand devaient servir à fomenter cette guerre. Le conflit terminé, le Communisme devait se constituer et être utilisé pour détruire les autres gouvernements et affaiblir les religions.

“[B]La Deuxième Guerre Mondiale[/B] devait être fomentée en jouant sur les divergences entre Fascistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l’Etat souverain d’Israël put s’établir en Palestine. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la puissance du Communisme International devait arriver au niveau de celle de la Chrétienté tout entière. Arrivé à ce point, il devait être contenu et mis en réserve jusqu’à son utilisation pour le dernier cataclysme social.

“ Quelle personne informée pourrait nier que Roosevelt et Churchill ont réalisé cette politique ?

“ [B]La Troisième Guerre mondiale[/B] doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’Etat d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique.

“ Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours au Proche, au Moyen Orient et à l’Extrême Orient ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ?

“ Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu’après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres : ”

« Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »

Général considéré comme l’un des plus grands francs-maçons, Pike a écrit quelques-uns des rituels et réécrit les autres de la franc-maçonnerie. Et cela du 4e au 33e degré. Pike a occupé le poste, tant envié, de Pontife of Universal freemasonery (tête mondiale de la franc-maçonnerie), et a été à la tête des [LINK=http://www.crashdebug.fr/index.php/dossiers/99-dossiers/1195-soldats-jetables-comment-le-pentagone-triche-sur-les-veterans-blesses]Illuminatis[/LINK] durant les années 1870. Cet homme, fut grand prêtre de l’église satanique et l’un des fondateurs du KU KLUX KLAN. (Albert Pike fonda en 1867 à Nashville l’ORDRE DES CHEVALIERS DU KU KLUX KLAN”, il fut le “grand dragon” et, par conséquent, le chef du Ku Klux Klan. Le KKK utilise aussi la croix de Malte comme emblème, on trouve à sa tête d’éminents francs-maçons). Il fut choisi par Mazzini pour prendre la tête des opérations illuminatiques en Amérique.

Durant la période allant de 1859 à 1871, il mit sur papier les détails d’un plan fantastique qui devait lui permettre d’établir ” un [LINK=http://www.crashdebug.fr/index.php/dossiers/99-dossiers/1357-le-nouvel-ordre-mondial-vu-par-mecanopolis]Nouvel Ordre Mondial[/LINK] “. Dans son ouvrage ” [LINK=http://books.google.fr/books?id=mSE0maflFn0C&dq=morals+and+dogma&pg=PP1&ots=t-GAqY1fO5&sig=Nd5TmKd5aI4o8vGd1GkkDppjVzM&hl=fr&prev=http://www.google.fr/search%3Fq%3DMorals%2Band%2BDogma%2B%26ie%3Dutf-8%26oe%3Dutf-8%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official%26client%3Dfirefox-a&sa=X&oi=print&ct=title&cad=one-book-with-thumbnail#v=onepage&q&f=false]Morals and Dogma[/LINK] ” (véritable Bible dans les plus hautes sphères franc-maçonniques) destiné aux adeptes de la secte initiés au plus haut niveau, il explique ses buts et façons d’y arriver.

La force, dit-il, doit être : blindée, dirigée contre la population qui elle doit être ” managée “. Pour cela il faut employer la force économique, gérer l’intellect des masses, attaquer les institutions en place, travailler contre les religions en place…(…) ! ” La force doit avoir un cerveau et une loi : les Illuminatis ! ” Pike aimait à dire que : ” Lucifer est Dieu et que Jésus est contre Dieu ” ! Il expliqua dans son ouvrage que pour mettre en place un tel système de contrôle, il fallait trois guerres mondiale. Lors de la troisième guerre, beaucoup plus discrète et plus mentale, il n’y aurait plus qu’à lâcher les nihilistes et les athées en créant un formidable cataclysme social, en créant des désillusions dans la chrétienté, et en mettant le monde dans un état permanent d’anxiété et de peur…

[I][B]Voici un extrait du discours de PIKE du 4 juillet 1889, destiné aux membres du 32e degré du “Rite écossais” :[/B][/I]

[I]“Nous vénérons un Dieu qui est, en fait, un Dieu qu’on prie sans superstition. Nous tous, initiés de haut grade, devons continuer à vivre notre religion dans la pureté de l’enseignement de Lucifer. Si Lucifer n’était pas Dieu, serait-il calomnié par Adonaï (le Christ) dont les actes témoignent de cruauté, de haine envers son prochain (…) et de rejet de la science ? Oui, Lucifer est Dieu et Adonaï est aussi, hélas, Dieu.[/I]

[I]La loi éternelle dit qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blancheur sans noirceur, car l’absolu ne peut exister que dans deux Dieux. (…) C’est pour cela que l’enseignement du satanisme est de l’hérésie. La vraie religion philosophique, c’est la foi en Lucifer, le Dieu de la lumière mis au même rang qu’Adonaï. Mais Lucifer, Dieu de la lumière et du bien, se bat pour les hommes contre Adonaï, Dieu de l’obscurité et du mal”. ( Gary Allen : “Die Insider”, p. 222)[/I]

On peut lire, d’ailleurs, cette citation, en anglais et en français, dans le dossier de Pike qui se trouve à la bibliothèque du Rite écossais à Washington D.C.

[B]Remarque sur Bill Clinton :[/B]

Concernant le président BILL CLINTON (ex-gouverneur d’Arkansas) : Le journal “Neue Solidarität” nous informe dans son article sur le Ku Klux Klan que “le prêtre W.0. VAUGHT était un franc-maçon du 32e degré du Rite écossais (c.-à-d. “maître du secret royal”)”. Il fut le maître spirituel et le père adoptif de BILL CLINTON et coopéra avec lui. En tant que gouverneur d’Arkansas, un Etat où est fortement enracinée la tradition spirituelle d’Albert Pike, Clinton soutint la peine de mort et la fit appliquer plusieurs fois : Dans la pratique, cela signifie l’exécution de Noirs et de pauvres. Ainsi que le fils de Vaught le déclarait récemment, Clinton et Vaught ont la même conception religieuse qui permet de tuer des prisonniers et des foetus (spécialement d’enfants noirs). Clinton est aussi membre du “[LINK=http://www.crashdebug.fr/index.php/dossiers/99-dossiers/1189-soldats-jetables-comment-le-pentagone-triche-sur-les-veterans-blesses]Council[/LINK][LINK=http://www.crashdebug.fr/index.php/dossiers/99-dossiers/1189-soldats-jetables-comment-le-pentagone-triche-sur-les-veterans-blesses] On Foreign Relations[/LINK]”, de la “Commission trilatérale”, des “[LINK=http://www.crashdebug.fr/index.php/dossiers/99-dossiers/2372-video-nwo-complot-bilderberg-les-guerrriers-du-web]Bilderberger[/LINK]” (dont le rôle est expliqué plus loin) et membre à vie de l’ordre des francs-maçons de “De Molay”. \[Discours prononcé par Lyndon LaRouche au Schiller-Institut :
dans “Neue Solidarität” du 16 septembre 1992
“Neue Solidarität” : “Clinton : Ein neuer Carter” (11 novembre 1992)
“Neue Solidarität” : Sonderbericht über den Ku Klux Klan (Ausgabe 1992) ]

C’est après la mort de Mazzini, que Pike choisit un autre Illuminati nommé Lemmi Adrien qui fût ensuite suivi, entre autres, par : Lénine et Trotsky… Tous ces hommes furent financés par des banques internationales chapeautées par le billet vert américains.

http://www.crashdebug.fr/index.php/dossiers/2947-la-lettre-d-albert-pike-et-son-plan-machiavelique

La loge de thulé du Franc-Maçon Hitler, ou les délires du 3e reich.....

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La Société Thulé ou l'ordre de Thulé (en allemand Thule-Gesellschaft) a été une société secrète allemande de Munich, qui à l'origine était un groupe d'études ethnologiques s'intéressant tout spécialement à l'Antiquité germanique et au pangermanisme aryen. Ses mythes racistes et occultistes inspirèrent le mysticisme nazi et l'idéologie nazie.

Historique

Origines

Elle tire son nom de Thulé, partie la plus septentrionale d'Europe et lieu mythique pour les anciens Grecs et Romains. Le nom de Thulé figure notamment dans l'Énéide du poète romain Virgile, et il est généralement admis que l'Ultima Thulé des anciens Grecs désignait les terres les plus au nord et tout particulièrement la Scandinavie. Certains membres de ce groupe pensaient que Thulé était ce qui subsistait d'un continent aujourd'hui disparu, appelé Hyperborée, et que ce continent était le berceau de la race aryenne. « Ultima Thulé » aurait été la capitale du premier continent colonisé par les Aryens.

Au départ, Thulé était une société de recherches ethnographiques. Sous la direction du professeur Félix Niedner, elle édita, à partir de 1912, une compilation en vingt-quatre volumes, Altnordische Dichtung und Prosa (en français Prose et poésie de l'Antiquité nordique). La guerre de 1914-18 dispersa ses collaborateurs. Un grand nombre en furent victimes. La paix revenue, le groupe se reforma, mais prit une orientation nouvelle sous l'influence de l'écrivain et professeur d'histoire Paul Rohrbach, qui a publié de nombreux ouvrages relatifs à l'Asie et au pangermanisme. Ce fut aussi Paul Rohrbach qui introduisit le Dr Karl Haushofer dans le groupe Thulé et qui finalement lui en confia la direction. Un autre membre influent fut Dietrich Eckart, lequel y introduisit le théoricien nazi Alfred Rosenberg. Jusque-là le groupe Thulé n'était qu'une sorte d'académie dilettante, légèrement snob.

La Société Thulé, elle, a été créée par le faux baron Rudolf von Sebottendorf le 17 août 1918. Diffusée à Munich, l'idéologie de cette société prônait l'antisémitisme1, l'antirépublicanisme, le paganisme et le racisme. Son symbole, la croix de Wotan, divinité pré-germanique, n'est pas sans rappeler la croix gammée. Le salut de Thulé « Heil und Sieg » (Salut et victoire) fut repris par Hitler qui le transforma en « Sieg Heil ». Ce salut, en liaison avec le bras levé, était un rituel magique utilisé pour la formation de voltes. Himmler y a largement puisé son fantasme d'une société allemande blonde aux yeux bleus, à l'image des anciens héros germaniques. Chef des SS, il participa aussi bien à la solution finale qu'à une autre opération moins connue, celle du « Lebensborn ». Il s'agissait d'un lieu où les femmes allemandes au physique conforme aux idéaux du nazisme pouvaient « rencontrer » des soldats SS.

Des liens ont été imaginés avec l'hypothétique Société du Vril.

Vers 1923, Rudolf Hess, revenu à Munich, devient l'un des animateurs de l'Ordre de Thulé, dont Hermann Göring est l'un des membres les plus célèbres. L'étrange voyage de Hess, considéré alors comme le dauphin de Hitler, vers le Royaume-Uni en 1941, expédition par laquelle il voulait négocier une paix séparée et qui a abouti à son incarcération, aurait selon certains un rapport avec son appartenance à la Société Thulé et aux desseins de cette organisation à ce moment de la guerre.

Évolution et fin

Avec la croissance du NSDAP, le déclin de la société Thulé s'explique très bien vers 1937. Sebottendorf se serait suicidé en se jetant dans le Bosphore en 1945. Une résurgence de La Société Thulé apparut discrètement au Chili parmi les réfugiés nazi qui avaient pris la "Route des Rats", un réseau préparé de longue date pour faire s'évader les criminels du Reich.

Idéologie

L'idéologie de l'Ordre était fondée sur la croyance en l'existence de surhommes et d'une race humaine supérieure : les Aryens qui auraient vu le jour dans l'hypothétique Hyperborée. L'un de ses textes de référence est les Protocoles des Sages de Sion. Ce texte fut repris par Adolf Hitler comme pièce maîtresse de la propagande antisémite du Troisième Reich et par Alfred Rosenberg dans son ouvrage Le Mythe du XXe siècle.

L'idéologie professée par la société Thulé s'inspire d'un corpus d'éléments ésotériques et mystiques puisés dans l'Ariosophie de Guido von List, chez Jörg Lanz von Liebenfels, un autre faux baron s'appelant simplement Lanz, Rudolf von Sebottendorf, Helena Petrovna Blavatsky, Arthur de Gobineau, et des théories aryano-centristes de certains archéologues allemands.

Selon plusieurs auteurs grecs et latins, il aurait existé dans des temps très reculés un continent situé à l'Extrême-Nord, qu'ils appelaient Hyperborée (Ultima Thulé), lequel aurait été peuplé d'hommes transparents. Ceux-ci, en s'alliant aux autres hommes, auraient donné naissance à des êtres humains de plus en plus opaques, mais leurs descendants auraient néanmoins conservé leurs facultés, supérieures à celles des humains ordinaires.

Un des paradoxes de cette société est que plusieurs membres lisaient le Talmud dans le but de pratiquer l'occultisme et de formuler une théosophie anti-juive, alors que le Talmud est pourtant essentiel à la religion juive.

Liste controversée des membres

Personne ne connaît exactement la liste complète des membres, ce qui a amené certains auteurs à échafauder des théories diverses sur l'adhésion de personnalités à une « section secrète » de la société Thulé notamment au sein de l'élite SS.

Des auteurs comme Werner Gerson dans l'ouvrage cité ci-après, Jacques Bergier dans le Matin des Magiciens, et Trevor Ravenscroft dans la Lance du Destin, rapportent que les membres de Thulé, considéraient Rudolf Steiner et ses disciples comme leurs pires ennemis. Steiner a été Secrétaire général de la section allemande de la Société théosophique, avant la fondation de la Société Thulé. Comme certains membres de la Société Thulé auraient aussi été membres de la Société théosophique, l'amalgame était facile.

René Alleau affirme avoir découvert en Allemagne la liste des membres de la Société Thulé, publiée en 1933 par R. von Sebottendorf, laquelle comprend 226 noms, mais pas celui de Rudolf Steiner. Dans sa liste, von Sebottendorf ne mentionne pas Hitler comme membre de la Société Thulé, mais écrit en 1933, qu'il fut fréquemment « l'hôte de la Thulé ».

Quelques-uns des autres membres cités par divers auteurs sont : Rudolf von Sebottendorf, Adolf Hitler, Jörg Lanz von Liebenfels, Guido von List, Hermann Göring, Heinrich Himmler, Rudolf Hess, Alfred Rosenberg, Julius Streicher, Hans Frank, Bernhard Stempfle, Theo Morell.

 
 
La société secrète THULÉ a entraîné Hitler, par des rituels sataniques, pour devenir l’Antéchrist

Cette organisation occulte a influencé toutes les loges maçonniques et les sociétés secrètes allemandes des années 1920
                                                                                                                                                      de George Preda

Dans l’ascension d’Hitler et les événements qui ont précédé la deuxième guerre mondiale, ainsi qu’au cours de celle-ci, les aspects occultes et la magie noire ont joué un rôle très important. Bien que l’histoire officielle ne leur accorde pas trop d’importance, ces éléments occultes ont pleinement contribué au drame auquel la société humaine a été confrontée à la moitié du XX-ème siècle (nous parlons de la deuxième guerre mondiale). Seulement en déchiffrant et en mettant face à face tous les indices de nature occulte nous pouvons vraiment comprendre comment il a été possible que cette conflagration politique ait lieu et quelles sont les forces qui se sont trouvées derrière elle.
 
Ces dernières années ont été publiées de plus en plus d’informations qui donnent le contour du même scénario : l’appartenance d’Hitler à des sociétés secrètes qui pratiquaient la magie noire ont facilité son ascension politique et l’acquisition de certaines capacités charismatiques, qui l’ont aidé à manipuler la population civile et les militaires du troisième Reich. En même temps, ses plans de contrôler le monde ressemblent beaucoup à la politique du „Nouvel Ordre Mondial” et ont certainement été en accord total avec les plans de la franc-maçonnerie mondiale.
 
Des détails inédits viennent configurer le paysage bizarre des préoccupations d’Hitler pour la magie noire et l’occultisme: on parle du fait qu’il a été le possesseur d’un fragment de la lance qui est supposée avoir tué Jésus (la CIA aurait réussi à voler ce fragment même avant la défaite d’Hitler), des magiciens tibétains présents dans son entourage, de l’importance qu’il accordé aux prédictions astrologiques, etc. Le symbole spécifique au nazisme est la variante inversée (donc maléfique) de l’ancien symbole spirituel, profondément bénéfique, de la svastika. Il paraît que les occultistes du siècle passé avaient identifié dans la personne d’Hitler, dès les années ’30, comme l’Antéchrist.
 
Non seulement Hitler, mais aussi tous les personnages importants de l’Allemagne Nazie faisaient partie des sociétés secrètes et des loges maçonniques, ayant une orientation vers le satanisme et la magie noire. Surtout après 1920, l’occultisme et les rituels sataniques, de magie noire ont proliféré dans les milieux politiques allemands. Sur la base de ces informations il a été affirmé que la deuxième guerre mondiale a été une sui generis rituel satanique avec un immense nombre de victimes sacrifiées au bénéfice des forces de l’obscurité et du mal.
 
Certains auteurs mentionnent la division de la société Thulé en deux branches, l’une purement occulte, dite ésotérique, à laquelle appartenait, paraît-il, le célèbre Rudolf Steiner, le fondateur de la doctrine anthroposophique et une branche „exotérique” avec des préoccupations de conspirations politiques.
 
La conspiration orchestrée par l’Ordre Thulé
 
L’influence de l’ordre Thulé sur les événements de l’Allemagne des années 1918-1920 qui ont mené à la formation du Parti Nazi (National Socialiste) et l’élection d’Adolf Hitler comme leader de celui-ci et leader du troisième Reich n’a jamais été exercée ouvertement, la société ne se manifestant pas visiblement sur la scène politique. Tous ses symboles (le poignard et la svastika) se retrouvent pendant la „contre-révolution” de 1919, et son idéologie (la partie qui pouvait être rendue publique) est l’idéologie même du troisième Reich.
 
Après la révolution communiste de Bavière en 1918, la Société Thulé est devenue le centre de la sous culture contre-révolutionnaire. Un réseau d’espionnage a été organisé avec des caches pour les armes. Les enceintes du club Thulé sont devenues le nid de la résistance de la révolution.
 
Le Parti des Ouvriers a été créé par Anton Drexler avec l’accord de la loge Thulé, et Hitler a été au début un simple espion infiltré par les membres Thulé dans ce Parti. Il est bientôt devenu un membre actif et influent. Après quatre mois de l’entrée d’Hitler dans le Parti des Ouvriers, celui-ci change son nom en Parti National-Socialiste des Ouvriers (connu aussi comme le Parti Nazi) et adopte le symbole de la svastika inversée (le symbole de la société Thulé) comme emblème.
 
À partir de 1919 la société Thulé a généré la formation d’un grand nombre de groupements secrets et de loges maçonniques auxquelles appartenaient tous les personnages politiques et militaires importants, sans savoir qu’ils étaient ainsi entrés dans la ligne d’influence contrôlée par l’Ordre Thulé.
 
En novembre 1919, la société fait une de ses quelques déclarations publiques: „Nous allons lutter jusqu’à ce que la svastika triomphe à la fin de cette époque sombre”. Avec d’autres groupements ultranationalistes, Thulé a entraîné des combattants et a accumulé en secret des armes. Non pas par hasard, pendant la contre-révolution qui a fait venir au pouvoir le Parti Nazi, les armes les plus usuelles étaient les poignards avec le signe de la svastika sur le manche (les deux des symboles du groupement Thulé).
 
Le masque spirituel de l’idéologie Thulé
 
Apparemment, la société Thulé croyait dans "la communication avec une hiérarchie des Supra hommes – Les Chefs Secrets du Troisième Ordre". La qualité qui rendait ces êtres des supra hommes était leur spiritualité occulte. Même le nom choisi – Thulé – provient de la dénomination traditionnelle d’un centre spirituel secret où est stockée la spiritualité planétaire et où vivent les grands sages qui veillent sur notre planète. D’autant plus, ils croyaient en la Doctrine Secrète de Mme Blavatsky, dans laquelle elle affirme que certains supra hommes ont survécu à la destruction de l’Atlantide, en gardant le haut niveau de conscience qu’ils possédaient à l’époque. Ces supra hommes étaient les Ariens.
 
Ces deux croyances ont été combinées en une seule par la Société Thulé et Hitler, étant complètement inversées et perverties, et culminant avec le génocide de la Deuxième Guerre Mondiale. Lorsqu’un groupe de gens introduit dans la structure de ses idées dites spirituelles le fait qu’ils sont de façon inhérente supérieurs à un autre groupe de gens, le génocide est inévitable. Trevor Ravenscroft, l’auteur de l’excellent ouvrage “The Spear of Destiny” (La lance du Destin) révèle les pratiques magiques utilisées par cette société secrète, qui prouvent de façon indubitable le fait que là il ne s’agit ni de spiritualité, ni d’idéaux élevés, mais purement et simplement de satanisme et de démence.
 
Le satanisme et la magie noire, la pratique occulte de la société Thulé
 
Les membres de la société secrète Thulé étaient des satanistes qui pratiquaient la magie noire et qui étaient "préoccupés de faire descendre le niveau de conscience – à l’aide des rituels qu’ils réalisaient – au niveau de conscience des intelligences diaboliques, non-humaines, de l’univers, pour obtenir des moyens de communication avec celles-ci." (Ravenscroft, p. 161). Ravenscroft affirme aussi, que "la participation à ces rituels sadiques éveillait chez les participants des visions pénétrantes des Intelligences Maléfiques, qui accordaient à ceux-ci des pouvoirs magiques phénoménaux."
 
À l’intérieur de cette société secrète était pratiquée une forme de Magie Sexuelle qui provenait d’une loge dont le membre était Aleister Crowley. Crowley a été reconnu comme étant le principal adorateur de Satan du 19-ème siècle. "Les origines de cette magie médiévale peuvent être retrouvées chez le franc-maçon Robert Little, le fondateur de la Société des Rosicruciens en 1865.” (Ravenscroft, Spear of Destiny, p. 164-5).
 
„La société Thulé organisait régulièrement des réunions occultes, durant lesquelles ses members communiquaient avec des démons qui leur apparaissaient comme des esprits guide.  Dietrich Eckart, Alfred Rosenberg et Adolf Hitler invoquaient l’Antéchrist pour qu’il se manifeste pendant les réunions médiumniques du Groupe Thulé de Munich." (Ravenscroft, Spear of Destiny, p. 168)
 
Eckart est un autre personnage clef, parce qu’il avait la conviction que son esprit-guide lui avait confié le privilège de préparer “Le Grandiose Avenir”, l’Antéchrist. “Dès le début de leur association, Eckart a cru que Hitler était l’Antéchrist, pour cette raison il n’a manqué aucune connaissance occulte, rituelle ou perversion dans son désir d’„entraîner” Hitler pour ce rôle. Une fois que sa préparation a été complète, Hitler a été „rené”, doté du pouvoir supra personnel et avec le jugement dont il avait besoin pour accomplir le mandat qui lui avait été prédestiné." (p. Ravenscroft, p. 93-4). Hitler dans sa folie, avait comparé sa „renaissance” avec la renaissance de la croyance chrétienne.
 
Pour être plus clair, nous soulignons que “la sacralité rituelle” mentionnée ici et simulée par les membres de Thulé est une “sacralité” satanique. Les rituels sataniques sont en fait des activités néfastes réalisées pour permettre aux énergies démoniaques de se manifester dans les participants. Ces activités consistent à psalmodier de façon blasphématrice des formules de magie noire et d’autres actions de ce genre, toutes planifiées en détail, avec grand soin. Leur effet est dévastateur, à cause des forces démoniaques qui se déversent sur les participants, produisant chez eux des expériences intérieures terribles qui purement et simplement changent leur vie.
 

Ravenscroft interprète les effets de ces rituels sur Hitler: "... les perversions sexuelles ont joué un rôle central dans la vie d’Hitler... les perversions sexuelles monstrueuses ont été le centre de toute son existence, la source de ses pouvoirs médiumniques et de clairvoyance et la motivation qui se trouvaient derrière toute action à travers laquelle il s’est vengé avec sadisme sur l’humanité." (Ibid., p. 171). 

 
histoire mystique de thulé
 

La SOCIETE THULE s'occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l'AU-DELA. Mais elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l'ATLANTIDE, Thulé, l' "Ils des Bienheureux" de GILGAMESH (mythe sumérien du déluge), les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens ainsi que les anciens sanctuaires comme Stonehenge avec ses pierres dressées.

"ULTIMA THULE" aurait été la capitale du premier continent colonisé par les ARYENS. Celui-ci s'appelait " HYPERBOREE " et aurait été plus vieux que la Lémurie et l'Atlantide (continents engloutis, habités jadis par de grandes civilisations). En Scandinavie il y a une légende autour de l' "ULTIMA THULE", ce pays merveilleux dans le Grand Nord ou le soleil ne se coucherait jamais et ou vivraient les ancêtres de la race aryenne.

La qualité qui rendait ces êtres des "supra hommes" était leur spiritualité occulte. Même le nom choisi " Thulé " provient de la dénomination traditionnelle d’un centre spirituel secret où est supposée être stockée la spiritualité planétaire et où sont sensés vivre les grands sages qui veillent sur notre planète.Ils croyaient donc également en la Doctrine Secrète de madame BLAVATSKY, dans laquelle elle affirme que certains supra hommes ont survécu à la destruction de l’ATLANTIDE, en gardant le haut niveau de conscience qu’ils possédaient à l’époque. Ces "supra hommes" étaient les "ARYENS".

 

Le continent HYPERBOREE aurait été situé dans la mer du Nord et aurait été englouti lors d'une époque glaciaire. On suppose que ses habitants vinrent jadis du système solaire d'Aldébaran qui est l'astre principal dans la constellation du Taureau : ils mesuraient environ quatre mètres, avaient la peau blanche et étaient blonds aux yeux bleus. Ils ne connaissaient pas les guerres et ils étaient végétariens (Hitler aussi, d'ailleurs). D'après les prétendus textes de Thulé, les Hyperboréens étaient très en avance dans leur technoloje et ils se seraient servis des "VRIL-YA", engins volants que nous désignons aujourd'hui du nom d' "OVNIs".

Gràce à l'existence de deux champs magnétiques inversement rotatifs, ces disques volants auraient été capables de lévitation, ils auraient atteint des vitesses énormes et accompli des manoeuvres en vol, performances que nous observons également chez les OVNIs. Ils auraient utilisé la force Vril comme potentiel énergétique, c'est-à-dire comme carburant (Vril = éther, ou prana, chi, force cosmique, Orgon. Mais ce Mot est dérivé aussi du "vri-IL" akkadien qui signifie "semblable à la plus grande divinité" ou "égal à Dieu".) Ils soustrayaient donc de l'énergie gratuite au champ magnétique terrestre.

Lorsque le continent HYPERBOREE commença à s'enfoncer, les habitants se seraient mis à creuser des tunnels gigantesques dans la croûte terrestre avec de grosses machines et ils se seraient établis sous la région de l'Himalaya. Ce royaume souterrain a le nom d' "AGARTHA" ou "AGARTHI", et sa capitale s'appelle "SHAMBALLAH".

Les PERSES appelèrent ce royaume souterrain "ARIANA" ou "ARIANNE", le pays d'origine des ARYENS. Précisons ici que Karl Haushofer affirma que Thulé était en fait, l'Atlantide et il disait, contrairement à tous les autres chercheurs du Tibet et de I'Inde, que les survivants de Thulé-Arlantide s'étaient partagés en deux groupes, un bon et un méchant. Les bons qui, d'après leur oracle, prirent le nom d'AGARTHI s'installèrent dans la région de l'Himalaya, les méchants qui s'appelaient, d'après Haushofer les Shamballah et qui voulaient réduire les hommes à l'esclavage se dirigèrent vers l'Ouest. Haushofer affirmait qu'un combat durait depuis des d'années entre ceux d'AGARTHIet ceux de SHAMBALLAH, combat que reprit à son compte la Société de Thulé avec le troisième Reich représentant ceux d'AGARTHI contre ceux de SHAMBALLAH, les francs-maçons et les sionistes. C'était probablement aussi la mission de Haushofer.

Le souverain de ce royaume serait "Rigden lyepo", le roi du monde, et son représentant sur Terre serait le dalaï-lama. Haushofer était persuadé que ce royaume souterrain sous l'Himalaya était le lieu d'origine de la race aryenne. Il en aurait soi-disant eu la preuve lors de ses nombreux voyages au Tibet et en lnde.

Le signe distinctif de Thulé aurait été la svastika aux branches tournées vers la gauche. Selon les dires de lamas tibétains et du dalaï-lama en personne, les gens d'Agarthi existent encore aujourd'hui. Le royaume souterrain, qui est bien ancré dans presque tous les enseignements orientaux, se serait répandu au long des millénaires sous toute là surface de la Terre avec des centres immenses sous le Sahara, sous la montagne du Matto Grosso et sous la montagne Santa Catarina au Brésil, sous le Yucatan au Mexique, sous le mont Shasta en Californie, en Angleterre, en Egypte et en Tchécoslovaquie.

Hitler aurait eu particutièrement à coeur de trouver les entrées du royaume souterrain d'AGARTHA et d'entrer en contact avec les descendants des " hommes-Dieu " aryens d'Aldébaran-Hyperborée. Dans les légendes et les traditions de ce royaume souterrain, on rapporte, entre autres, qu'il y aura sur notre globe une méchante guerre mondiale (la troisième) qui prendra fin à cause de tremblements de terre et d'autres cntastrophes naturelles y compris le renversement des pôles qui entraîneront la mort des deux tiers de l'humanité. Après cette "dernière" guer re, les différentes races de l'intérieur de la Terre se réuniont de nouveau avec les survivants de la surface du globe et introduiront l' "AGE D'OR" millénaire (l'ère du Verseau). Hitler voulait créer un "AGARTHA" ou l' "ARIANA" à la surface de la Terre avec la race des maîtres aryens, et ce lieu devait être l'Allemagne. Durant le Troisième Reich, il y eut deux grandes expéditions des SS dans les Himalayas pour trouver des entrées du royaume souterrain. D'autres expéditions eurent lieu dans les Andes, dans les montagnes du Matto Grosso et de Santa Catarina au Brésil, en Tchécoslovaquie et en Angleterre.

Et puis certains auteurs affirment que les gens de Thulé croyaient qu'indépendamment du système de tunnels et de villes souterraines, la Terre était CREUSE, avec deux grandes entrées, l'une au pôle Nord et l'autre au pôle Sud. On s'en référa aux lois de la nature : "tel le microcosme, tel le macrocosme". Qu'il s'agisse d'une cellule du sang, d'une cellule du corps ou d'un ovule, d'une comète ou d'un atome, ils ont tous un noyau et une cavité entourée d'une enveloppe, la "corona radiata", la vie propre se passe donc à l'intérieur. Les gens de Thulé en avaient conclu que la Terre devait être constituée selon le même principe. Même les druses confirmaient ce fait, car se sont des cavités rocheuses dont la vie propre, c'est-à-dire les minéraux et cristaux, se trouve à l'intérieur.

La Terre devrait, par conséquent, être creuse aussi - ce qui correspondrait, d'ailleurs, aux dires des lamas tibétains et du dalai-lama - et elle devrait avoir un noyau, un soleil central qui confère à son intérieur un climat régulier et une lumière solaire permanente.

La vraie vie de notre planète se passerait à l'intérieur de celle-ci, la race des maîtres vivrait au-dedans et les mutants à la surface. Ce serait la raison qui explique pourquoi nous ne pouvons découvrir aucune vie sur les autres planètes de notre système solaire puisque les habitants y vivraient aussi à l'intérieur. Les entrées principales seraient au pôle Nord et au pôle Sud, pôles traversés par la lumière du soleil central qui crée les "aurores boréales", les prétendues lumières des pôles. La masse solide occuperait plus de volume à l'intérieur de notre planète que la masse des eaux. D'après l'explorateur des pôles Olaf Jansen et d'autres explorateurs, l'eau à l'intérieur serait de l'eau douce, ce qui expliquerait que la glace de l'Arctique et de l'Antarctique n'est pas constituée deau salée mais d'eau douce. Cette thèse sur la constituticon de notre Terre est étayée par les témoignages des explorateurs des pôles Cook, Peary, Amundsen, Nansen, Kane et aussi par l'amiral E. Byrd. Ils eurent tous les mêmes expériences étranges qui ne concordent pas avec les théories "scientifiques" établies :

Tous constataient que le vent s'échauffait au-dessus du 76ème degré de latitude, que les oiseaux volaient au-dessus de la glace en direction du Nord et que des animaux, tels que les renards, se dirigeaient dans la même direction, qu'on trouvait de la neige colorée et grise qui, en fondant, livrait un pollen de fleurs multicolores ou de la cendre volcanique. La question se pose : D'où vient la pollen de fleurs qui se trouve au pôle Nord ? D'où vient la poussière volcanique puisque aucun volcan n'est signalé sur les cartes officielles disponibles ? De plus, il arrivait à certains des chercheurs de se trouver parfois dans une mer d'eau douce, et tous relatent avoir aperçu deux soleils à un certain moment du voyage. En outre, ils trouvèrent des mammouths à la chair encore fraîche et dont l'estomac contenait, parfois, de l'herbe fraîche.

Pour les gens de Thulé, ces mythes sur la TERRE CREUSE étaient, manifestement, assez étoffés pour être pris au sérieux. Une expédition au moins, eut lieu, pendant la Deuxième Guerre mondiale, en Antarctique.

Lorsqu'en 1532 les conquérants espagnols sous la direction de Pizarro arrivèrent en Amérique du Sud, les indigènes les appelèrent les Vicarochas (maîtres blancs). Dans leur légende, il est question d'une race de maîtres géants a la peau blanche qui, des siècles plus tôt, descendaient du ciel avec des "disques volants". Ces derniers avaient régné longtemps sur une partie de leurs villes et avaient ensuite disparu, après avoir promis de revenir. Les indigènes crurent voir le retour des Vicarochas dans les Espagnols à la peau claire et leur remirent donc, au début, leur or. Il se passa la même chose au Tibet et dans d'autres régions des Himalayas lorsque les premiers voyageurs blancs arrivèrent. Les Tibétains les regardaient médusés en leur demandant pourquoi ils venaient d'en bas (du pied des montagnes) puisqu'ils arrivaient d'habitude d'en haut.

 

L'idéologie des dirigeants allemands du Reich était, en fait, basée sur le thème d' El Shaddaï qui eut pour conséquence la persécution des Juifs, sur la révélation d'Isaïe, sur le savoir des templiers. Ces thèmes étaient sous-jacents dans toutes les actions entreprises, y compris dans le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale...

Hitler et Thulé

ADOLF HITLER était initié à la Franc-Maçonnerie comme un moyen de recueillir davantage d'influence et le pouvoir, mais il n'a obtenu que le second degré et plus rien, il n'y a en fait aucune preuve à l'appui. Franc-Maçonnerie comme aujourd'hui était un ordre de fraternité d'affaires, politiques et autres de haut niveau de connexions. Son initiation a été principalement sous la direction de Maître Eckhart, mais ADOLF HITLER était opposé aux idéaux de la Franc-Maçonnerie humaniste.

Fin octobre 1918, Sebottendorf donna la mission aux frères de loge KARL HARRER et ANTON DREXLER de former un cercle de travailleurs. Celui-ci devint, plus tard, le parti des travailleurs allemands, le DAP (Deutsche Arbeiterpartei). La revue de la Société Thulé était le " Völkischer Beobachler " (l'Observateur du peuple). Il fut directement repris par le NSDAP qui se forma à partir de la DAP. En octobre 1918, le jeune occultiste et ésolériste ADOLF HITLER (qui s'appelait, en fait, Adolf Schicklgruber; Hitler était le nom de jeune fille de sa mère) rentre dans le DAP, le parti de THULE, et il est remarqué pour ses talents d'orateur.

 

Trevor Ravenscroft décrit dans "Der Speer des Schicksals" (L'épée du destin) ce qu'a aussi rapposé un ami de jeunesse d'Hitler, WAUFER JOHANNES STEIN qui devint, plus tard, le conseiller du franc-maçon WINSTON CHURCHILL : Hitler, déjà grand adepte du mysticisme à l'âge de 20 ans, essaya d'atteindre des niveaux de conscience élevés à l'aide de drogues. Par l'intermédiaire du libraire PRETZSCHE à Vienne, adepte du mysticisme germanique et de la doctrine de la race des maîtres aryens qui en découlait, Hitler se forgea les bases de sa vision future du monde et avec son aide, il fit usage du "peyolt", drogue hallucinogène pour accéder à l'illumination mystique.

 

Hitler, déjà dépendant de drogues quand il était jeune homme, prit de forts narcotiques toute sa vie. D'après le journal de bord de son médecin personnel, THEODOR MORELL, Hitler reçut pendant les six ans que dura la guerre des injections de différents calmants, de strychnine, de cocaïne, de dérivés morphiniques et d'autres drogues.

A cette époque-là, Hitler eut aussi connaissance des "protocoles des sages de sion
", ce qui le renforça dans son aversion pour les juifs. Puis Hitler fut engagé par le DAP, le parti de Thulé, comme orateur électoral et apprit, plus tard, à bien lire et écrire gràce à DIETRICH ECKART, anti-bolchevique et frère de la Société Thulé. Il l'introduisit dans les cercles munichois et berlinois, et Hitler adopta presque en totalité les conceptions de la Société Thulé. En 1924, lorsque Hitler se trouva en prison à Landsberg à la suite du putsch munichois manqué, Haushofer passa plusieurs heures par jour avec lui à lui transmettre ses théories et ses projets. Il lui passa, entre autres, le livre de lord Bulwer-Lytton " THE COMING RACE " (La race à venir).

La description de Bulwer-Lytton d'une race aryenne hautement développée qui vit sous terre est presque identique à celle que nous venons de parler. Dans son livre les vaiseaux en forme de soucoupe jouent un rôle essentiel. Il y eut, de plus, la publication du livre de Ferdinand Ossendowski "Bêtes, hommes et dieux" qui dévoila les légendes d'Agartha et de Shamballah. Hitler était, de fair complètement absorbé par sa recherche du royaume souterrain et par la doctrine de la race aryenne propre aux membres de la Société Thulé.

HAUSHOFER et HESS prirent en charge l'instruction politique d'Hitler. A Landsberg, Hitler écrivit "MEIN KAMPF" en faisant un amalgame des théories de Haushofer, des pensées de Rosenberg et de la propagande politique. Rudolf Hess s'occupait de la formulation exacte et et tapait le texte à la machine. L'influence de KARL HAUSHOFER désigné comme le "grand magicien du troisième Reich" montre quel rôle jouèrent le mysticisme et l'occultisme dans le Reich. On prêtait à Haushofer le "don de prophétie", c'est la précision de ses prédictions qui lui fit bénéficier d'une ascension fulgurante dans les milieux influents occules de l'époque d'avant-guerre en Allemagne.

Jack Fisherman écrit à ce sujet dans " The Seven Men of Spandau " que RUDOLF HESS, entre autres, était complètement obnubilé par les idées et les théories de Haushofer. Son voyage étrange en Angleterre le prouve. Haushofer avait en effet, fait un rêve ou "il apercevait Rudolf Hess traversant les couloirs de chateaux anglais et apportait la paix aux deux plus grandes nations nordiques". Et comme Hess était persuadé de la justesse des prophéties de Haushofer, il suivit ce rêve à la lettre.

Les dirigeants du troisième Reich prirent à leur compte, l' "équipement" magique de la Société Thulé. Le salut de Thulé "Heil und Sieg" (Salut et victoire) fut repris par Hitler qui le transforma en " Sieg Heil ". Ce salut, en liaison avec le bras levé, est un rituel magique utilisé pour la formation de voltes. Franz Bardon a décrit en détail les voltes magiques et leurs utilisations. Franz Bardon, appelé aussi Frabato, fut, pour moi, le magicien allemand le plus connu (1909-1958). Hitler lui proposa des postes élevés dans le gouvernement à condition qu'il mette à sa disposition ses talents de magicien pour l'aider à gagner la guerre. En outre, Bardon devait révéler à Hitler les adresses des 98 autres "99èmes loges" répandues sur Terre. Lorsque celui-ci refusa de l'aider, il fut soumis aux pires tortures. (Frabalo, Franz Bardon, p. 173)

Mais les Allemands ne furent pas tes seuls à utiliser les rites magiques à des fins politiques. Le "signe de la victoire" des Anglais, signe avec les doigts écartés, ne fut connu jusqu'en 1940 que par les plus grands des initiés des hauts grades franc-maçonniques. Lorsque WINSTON CLIURCHILL, franc-maçon d'un grade élevé, craignit, en 1940, que l'Angleterre ne soit ensorcelée par le signe magique d'Hitler qui avait, apparemment, du succès (le salut à Hitler), son mentor en magie, le sataniste ALEISTER CROWLEY, lui conseilla de contrecarrer ce danger par le signe magique des doigts écartés.

Les SS appelés aussi l' ORDRE NOIR n'était nullement un régiment de police mais un véritable ordre religieux avec une structure hiérarchique. Qui aurait pu penser que ce brutal parti nazi était un ordre sacré ? Une telle affirmation peut paraître ridicule après coup mais ce n'est pas la première fois dans l'histoire qu'un ordre sacré est responsable d'actes d'une atrocité sans nom. Les Jésuites, mais aussi les Dominicains qui dirigeaient l'inquisition au Moyen Age, en sont des exemples éclatants. L'ORDRE NOIR était la manifestation concrète des conceptions ésotériques et occultes de la Société Thulé.

A l'intérieur des SS se trouvait une autre société secrète, l'élite, le cercle le plus intime des SS, les SS "SOLEIL NOIR". Notre soleil tournerait autour du SOLEIL NOIR un grand soleil central, le SOLEIL PRIMORDIAL qui est représenté, par la croix aux branches isocèles. Cette croix fut dessinée sur les avions et les chars du troisième Reich.

La Société Thulé et ceux qui allaient devenir, plus tard, les SS travaillèrent en étroite collaboration non seulement avec la colonie tibétaine à Berlin, mais aussi avec un ordre de magie noire tibétain. Hitler était en contact permanent avec un moins tibétain aux gants verts qui était désigné comme le "gardien de la clef" et qui aurait su où se trouvait l'entrée de l'Agartha (l'Ariana).

Le 25 avril 1945, les Russes découvrirent les cadavres de six Tibétains disposés en cercle dans une cave berlinoise, au milieu se trouvait celui de l'homme aux gants verts. On aurait dit un suicide collectif. Le 2 mai 1945, après l'entrée des Russes à Berlin, on trouva plus de 1.000 hommes morts qui étaient, sans aucun doute, originaires des régions himalayennes et avaient combattu avec les Allemands. Que diable faisaient donc des Tibétains à des milliers de kilomètres de chez eux dans des uniformes allemands?

D'innombrables jeunes hommes furent formés par le "SOLEIL NOIR" pendant le troisième Reich, ils étaient consacrés dans le château-fort de Wewelsburg et envoyés au Tibet pour y continuer à survivre et se préparer à affronter le grand combat final de cette fin de siècle.

D'après les dires de Fraftz Bardon, Adolf Hitler était aussi membre d'un' loge "F.O.G.C." (ordre franc-maçonnique de la centurie d'or), connue, en fait, comme la 99ème loge. En ce qui concerne les 99èmes loges, il y en a 99 disséminées dans le monde et chacune est composée de 99 membres. Chaque loge est sous la domination d'un démon et chaque membre a un propre "démon" bien à lui. Le démon aide la personne à acquérir argent et puissance mais, en échange, l'âme de cette personne est tenue de servir ce démon après sa mort. De plus, chaque année, un membre se voit sacrifier au démon de la loge, en vertu de quoi un nouveau membre est admis. Les membres des 99èmes loges sont aussi des dirigeants très influents dans l'économie et la finance et sont plus présents aujourd'hui que jamais. Les loges F.O.G.C., c.-à-d. les 99èmes loges SATANIQUES.

Franz Bardon confirma qu'Hitler et l'ordre de Thulé ne furent qu'un instrument entre les mains d'un groupe de magiciens noirs tibétains. Seul celui qui sait cela est en mesure de comprendre la phrase d'Hitler lors de son discours du 30 janvier 1945 :
"Ce n'est pas "I'Asie centrale"" qui sortira victorieuse de cette guerre mais l'Europe et à la pointe de celle-ci la nation qui, depuis 1.500 ans, s'est révélée comme la puissance prédominante capable de représenter l'Europe contre l'Est et qui la représentera aussi dans l'avenir :je parle de notre grand Reich allemand, la nation allemande !" (extrait de "Hitler-Reden und Proklamationen 1932-1945" - Discours et proclamations d'Hitler de 1932 à 1945 - de Max Domarus).

Ce qu'est devenu Hitler a suscité beaucoup de mythes. D'après les dires de Franz Bardon et Miquel Serranos (ex-embassadeur chilien en Autriche), Hitler s'est enfui en Amérique du Sud avec l'aide de la 99ème loge. On dit même que le cadavre que l'on trouva et dont la denture a été identifiée comme étant fausse par le dentiste d'Hitler aurait été placé là par la 99ème loge.

Un journal allemand à grand tirage publia le 5 mars 1979 que l'on avait trouvé l'avion privé d'Hitler dans la jungle en Amérique du Sud. Joseph Greiner (auteur de "Das Ende des Hitler-Mythos" - "La fin du mythe Hitler") affirme qu'Hitler a décollé avec son avion le 30 avril 1945 de l'aéroport de Tempelhof à Berlin. Ce qui me semble le plus probable, au cas ou il a survécu, c'est qu'il s'est servi des engins volants développés par la "SOCIETE VRIL", pour quitter l'Allemagne. Qu'Hitler soit mort ou non à cette époque-là, depuis lors, en tout cas, c'est certain !

Karl Haushofer, après avoir échoué dans sa "mission", a, d'abord, assassiné sa femme le 14 mars 1946 avant de se faire "Hara-kiri" ainsi qu'il l'avait juré aux " BONNETS JAUNES ". Il y eut aussi une autre société secrète qui annonça la venue d'un Messie aryen, la "SOCIETE EDELWEISS". Hermann Göring, le responsable des finances des nazis, en était membre.

Les Protocoles des Sages de Sion sont sûrement authentiques

juifAvant d’entreprendre le commentaire des Protocoles des Sages de Sion, nous estimons utile de les embrasser d’un coup d’oeil d’ensemble et de les résumer pour mettre en pleine lumière leur plan, leur but, leur menace.
Car, malgré les dénégations trop intéressées d’Israël, ces documents restent l’expression vivante de la situation actuelle du monde, que le péril judéo-maçonnique mène infailliblement à la ruine totale, s’il n’est pas conjuré sans atermoiements comme sans complaisances.
Dans de telles extrémités, il est de l’intérêt commun de peser la valeur de ces procès-verbaux et d’en extraire les instructions pratiques d’où découle impérieusement le devoir de l’heure présente, à moins de n’avoir plus à coeur les intérêts de la famille, de la patrie et de l’Eglise. C’est donc un court résumé et une analyse des Protocoles que nous présentons d’abord à nos lecteurs.
Les Protocoles des Sages de Sion viennent, en effet, de dévoiler dans le monde entier que le péril judéo-maçonnique est aujourd’hui une question de vie ou de mort pour tous les peuples. Ces « Protocoles » sont une partie notable des procès-verbaux des vingt-quatre séances tenues au premier Congrès Sioniste à Bâle, en 1897, sous la présidence du Dr Theodor Hertzl, appelé par les Juifs « le Prince d’Exil ».
Ces conférences résument le plan de domination mondiale élaboré par la race juive depuis sa dispersion, lors de la prise de Jérusalem par Titus. Il serait puéril de croire que les « Protocoles » soient la première rédaction des aspirations d’Israël et de ses efforts séculaires ; ils n’en sont que l’expression plus développée, comme aussi plus actuelle, parce que les événements contemporains en confirment la réalisation (1).
Ces documents furent dérobés à l’instigation de hauts fonctionnaires russes, et une des copies fut remise à Serge Nilus en 1901 par le maréchal de la noblesse de Chern (Russie centrale), Alexis Nicolajevitch Souchotin. Une autre copie tomba entre les mains d’un célèbre écrivain et polémiste russe, C. Butmi. Nilus et Butmi traduisirent les « Protocoles » dans la langue russe. Les traducteurs et les éditeurs qui ont reproduit ces Procès-Verbaux se sont servis de préférence de la traduction de Nilus, parce qu’elle suit fidèlement les comptes-rendus des vingt-quatre séances sionistes.
Les principales éditions de Serge Nilus datent de 1902. Puis, 1905, c’est celle du British Museum que nous avons fait collationner. Ensuite 1911, sur laquelle M. Gottfried zur Beek, le directeur éminent de l’Auf Vorposten, a fait la traduction allemande. Une édition de 1917 reproduite par les traductions américaine de Boston et polonaise de Varsovie. Enfin, une dernière édition russe de Nilus parut en 1920 à Berlin ; nous la possédons.
Les Juifs nient l’authenticité de ces « Protocoles ». Il fallait s’y attendre. Mais leurs arguments ne sont pas des preuves. Les uns ont voulu faire passer Nilus pour un moine exalté et sans autorité. Or Serge Nilus était un professeur estimé qui habitait encore l’Ukraine au début de la guerre, et nous avons de ceci le témoignage de Russes actuellement à Paris, qui l’ont fréquenté dans ces dernières années. D’ailleurs nous avons dit que Nilus n’est pas l’unique traducteur des « Protocoles ».
D’autres ont prétendu que les premières éditions n’ont produit aucun effet en Russie. C’est vrai. Mais il faut ajouter que les Juifs les ont fait disparaître à peu près complètement, qu’en particulier l’édition de 1917, chargée sur un wagon, fut jetée sur le quai de la gare et brûlée par une troupe d’hommes qui disparurent ensuite ; que le juif Kerenski, arrivé au pouvoir, fit rechercher tous les exemplaires des « Protocoles » à Petrograd et à Moscou ; qu’il suffit enfin, en Russie, d’être trouvé possesseur de ce document pour être mis à mort. A la suite d’articles du Morning Post, la première édition anglaise fut également boycottée à Londres par les Juifs.
Catho vs FMOr, quel intérêt auraient-ils à agir de la sorte si ces comptes-rendus étaient une oeuvre apocryphe et sans apparence de vérité ? (2). La grande objection porte sur l’invraisemblance de transcrire de tels projets dont les manuscrits peuvent toujours tomber dans des mains ennemies. L’objection est plus spécieuse que probante. Tout plan ne saurait être mis au point que par l’écriture. Les deux grands complots maçonniques qui préparèrent les « Protocoles » furent assurément les écrits des lluminés de Weishaupt en Bavière et l’Instruction de la Haute-Vente en Italie. Tous les deux furent rédigés dans les moindres détails ; tous les deux furent trouvés et plus tard livrés à la publicité.
Les journaux hongrois du mois d’août 1920 apprenaient de Maramarossziget (située dans le territoire hongrois occupé par les Roumains) que les Juifs y sont consternés. Des mains inconnues ont dérobé les archives de la Société locale israélite sur la politique mondiale. Naturellement, il s’agit d’un vol politique par lequel les auteurs ont voulu se documenter sur les intrigues internationales d’Israël. Aussi les Juifs de Maramarossziget sont-ils effrayés et ont-ils promis plus d’un demi-million de couronnes aux autorités roumaines si celles-ci réussissaient à faire restituer les lettres si compromettantes de ce ghetto.
Ce dernier cas est singulièrement semblable à celui des « Protocoles ». Encore est-il que si leur authenticité ne peut se prouver rigoureusement, elle est puissamment appuyée par les événements qu’ils prédisaient, dont nous sommes les témoins aujourd’hui et qui menacent de nous faire les victimes de demain.
Le traducteur anglais écrit dans sa Préface : « Il est impossible de lire aujourd’hui aucune des parties de ce volume sans être frappé de la forte note prophétique qui les remplit toutes, non seulement en ce qui concerne la Sainte Russie d’autrefois, mais encore au point de vue de certains développements sinistres qui se peuvent observer dans le monde entier à l’heure actuelle. Gentils, prenez garde ! ».
Nous lisons aussi dans l’édition allemande : « Ce qui s’est passé depuis la publication de Nilus : la guerre mondiale et le renversement des trônes en Russie, en Autriche-Hongrie et en Allemagne ; le Chaos, but désiré des Francs-Maçons, d’où sortira la Ligue humanitaire, sous la direction judéo-maçonnique projetée depuis deux cents ans, tout cela apparaît aujourd’hui dans une clarté si terrible, qu’il n’est nullement besoin d’expliquer pourquoi nous traduisons et publions les « Protocoles » des Sages de Sion. Nous espérons que leur publication fera ouvrir les yeux sur les dangers de la Franc-Maçonnerie et de la Juiverie, et incitera à prendre les mesures définitives avant que notre patrie et la culture germanique soient complètement anéanties. »
Le Morning Post du 19 juillet 1920, fait remarquer que les « Protocoles » ajoutent à la prédiction du grand mouvement révolutionnaire en Russie, en Allemagne et en Hongrie, les moyens qui devaient l’amener : les guerres, la vie chère, la corruption des gouvernements, l’emploi des agents juifs qu’on retrouve partout et dont les principaux sont désormais connus.
Relevons enfin le passage suivant de l’Epilogue du traducteur polonais : « Les causes et les buts de la Grande Guerre qui a ébranlé la terre presque entière, le développement du bolchevisme en Russie, le mouvement spartakiste en Allemagne, même certaines clauses spéciales du traité de paix, tout cela trouve ici sa raison, tout cela apparaît comme la conséquence logique de l’action de cette mystérieuse main qui dirige les destinées du monde. Et cette main, ce sont les Juifs. »
Ce que nous avons dit est une preuve suffisante à l’appui de notre affirmation que les secousses et les bouleversements dont souffre de nos jours le monde entier sont l’oeuvre des Juifs et la réalisation d’un plan bien déterminé dont tous les détails ont été étudiés avec soin et qui tend à un but nettement spécifié. C’est de ce plan satanique que nous présentons ici l’analyse. Tous ceux qui l’ont découvert ont jeté un cri d’alarme.
Même en Amérique, le traducteur de Boston écrit : « Le but visé, déjà indiqué dans la traduction, est d’appeler l’attention du peuple américain sur un document qui peut jeter une lumière importante sur le mouvement bolcheviste international qui menace directement les intérêts vitaux des Etats-Unis. »
Qu’il nous suffise d’ajouter que le pays sur lequel pèse plus lourdement cette menace judéo-maçonnique est le nôtre. Entre tous les peuples, la France est le point de mire et la cible des Juifs et des Maçons. Connaître les « Protocoles » et déjouer leur plan est donc une oeuvre éminemment française. A nous de l’entreprendre à temps et de la mener à bonne fin.
Mgr Ernest Jouin – Le péril judéo-maçonnique (1932) – Téléchargez les Protocoles
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(1) Nous tenons de source sûre que les « Protocoles » étaient rédigés en langue hébraïque, et que la traduction française qui fut remise à Nilus fut faite à cause de l’ignorance de cette langue hébraïque par un grand nombre des congressistes sionistes à Bâle en 1897, à commencer par Theodor Hertzl et Max Nordau.
(2) Le grand éditeur de New-York, M. Putnam, avait déjà chez le relieur plusieurs milliers d’exemplaires des « Protocoles » traduits en anglais. Les Juifs empéchèrent cette publication par la menace de ruiner l’éditeur.
Les gens nous détestent parce que nous les bombardons.

C’était un acte inexcusable de sauvagerie qui a certainement terrorisé la population. Ce que l’on considère moins, ce sont les attaques dans lesquelles beaucoup plus de civils meurent, se produisant presque quotidiennement plutôt que rarement, et produisant un sentiment constant de terreur et d’effroi.

Ceux-là sont les civils qui se trouvent sous les bombes américaines et alliées dans des endroits comme la Syrie, le Yémen, l’Afghanistan, la Somalie et ailleurs. La semaine dernière, les attaques américaines et de la « coalition » en Syrie ont tué plus de 200 civils et fait beaucoup plus de blessés.

En fait, même si l’intervention des États-Unis en Syrie était censée protéger la population contre les attaques du gouvernement, les frappes aériennes dirigées par les États-Unis ont tué plus de civils au cours du mois écoulé que les frappes aériennes du gouvernement Assad. C’est comme un médecin qui tue son patient pour le sauver.

Croyons-nous vraiment que nous luttons contre le terrorisme en terrorisant des civils innocents à l’étranger? Combien de temps faudra-t-il pour que nous acceptions le fait que le «dommage collatéral» n’est qu’un autre mot pour «meurtre»?

Le soi-disant succès du récent sommet du G7 en Sicile était un accord général pour s’unir pour la «lutte contre le terrorisme». Ne sommes-nous pas en «guerre contre le terrorisme» depuis 16 ans?

Ce que cela signifie vraiment, c’est une surveillance accrue de civils innocents, une répression de la liberté d’expression et de l’Internet, et beaucoup plus de bombes larguées à l’étranger. Si nous faisions plus que ce que nous avons fait jusqu’ici, cela suffira-t-il ? Même pas !

Après 16 ans de lutte contre le terrorisme, c’est encore pire qu’avant de commencer. Cela peut difficilement être considéré comme un succès. Ils prétendent qu’une plus grande surveillance de la part du gouvernement nous donnera la sécurité. Mais le Royaume-Uni est déjà l’état de surveillance le plus intrusif du monde occidental. L’attaquant de Manchester était sûrement sur l’écran du radar.

Selon les rapports de presse, il était connu des services de renseignement britanniques, il avait voyagé et peut-être été formé à la fabrication de bombes en Libye et en Syrie, les membres de sa famille ont averti les autorités qu’il était dangereux, et il a même déployé des drapeaux terroristes sur sa maison.

Que lui fallait-il faire de plus pour signaler qu’il pourrait être un problème? Pourtant, même en ce Royaume Uni Orwellien, les autorités ont raté tous les indices. Mais il y a encore pire.

Le gouvernement britannique a effectivement accordé la permission à ses citoyens d’origine libyenne de se rendre en Libye et de se battre avec Al-Qaïda pour renverser Kadhafi.

Après des mois de bataille et d’endoctrinement, il a ensuite accueilli ces ressortissants radicalisés au Royaume-Uni. Et nous sommes censés être surpris et choqués qu’ils attaquent?

Le vrai problème est que Washington et Londres s’intéressent davantage au changement de régime à l’étranger que n’importe quel retour de bâton qui pourrait survenir au reste d’entre nous chez nous.

Ils ne se préoccupent pas du prix que nous payons pour leurs actions en matière de politique étrangère. Aucune grande annonce de nouvelle volonté de «lutter contre le terrorisme» ne peut réussir si nous ne comprenons pas ce qui cause réellement le terrorisme. Ils ne nous détestent pas parce que nous sommes riches et libres. Ils nous haïssent parce que nous sommes là-bas, en train de les bombarder.

 Source : AhlulBayt News Agency

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