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WWIII : La Seule préoccupation de nos Politiques est la lutte contre DAESH et l'Islam qui se radicalise autour des attentats à répétition, conséquences des agressions de l'Occident sur l'Orient. Anne Hidalgo est chez elle dans Notre Dame, on prie et on tue le Sarrazin. Le pouvoir d'achat, la décadence de la France et sa vente à la découpe, l'immigration sauvage, le grand remplacement par des populations moins exigentes, les vrais sujets de la société décadente.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

Anne Hidalgo qui assiste aux Messes (noires) et qui est très à l'aise à Notre Dame pour l'égalité des femmes (entre celles qui sont bien payées et stupides, et celles qui sont intelligentes et indigentes), déclare : « je suis athée. Donald Trump est si stupide, mon dieu, mon dieu ! Inspectrice du travail au noir et bonne à rien, elle se vautre dans son incompétence et sa nullité.
« Pour une athée, Mme Hidalgo peut-elle nous expliquer à quel dieu elle fait référence ? A moins que ce soit cela « la stupidité ». (Dans la même veine que la bravitude). Gouverné par des idiots, pour lesquels le bon Peuple croyant en l'avenir radieux, qu'ils nous réservent, on va finir par devenir des cons. (ma mère)
Message perdu pour la France et pour les Français qui en redemandent :
Posté par Le Taz le

Ces pseudos élites, l’avant-garde de la république comme ils le disent eux-mêmes, ce vivier de parasites omniprésents et incompétents dans la politique et les médias français commence doucement à nous courir sur le fil. Les vrais racistes ce sont eux et personne d’autre !

A tous les français : vous avez l’occasion de vous débarrasser de cette vermine en 2017, alors ne ratez pas le coche cette fois-ci, Sarkozy, Juppé, Fillon, Copé, Hollande, Valls, Macron, tous ces gens font partie de ce système de l’avant-garde de la république, vous savez donc ce qu’il vous reste à faire. Cette avant-garde a envahi la France d’africains et de musulmans, elle vous a volé votre indépendance, elle à piller votre économie, elle a détruit vos valeurs chrétiennes, elle a détruit vos valeurs familiales, elle a détruit votre culture, elle a détruit vos frontières, elle a détruit votre économie, elle a détruit votre système de santé, elle a détruit votre système d’éducation, elle a détruit votre armée. IL EST GRAND TEMPS QUE VOUS FASSIEZ LE MENAGE !

Attentats en Espagne: messe en hommage aux victimes à Notre-Dame de Paris. Nous remplissons grâce à Dieu et à Daesh les 42000 églises de France, devant la consternation de l'Islam radical, qu'il est bon et juste de bombarder leurs Mosquées.
En ayant fait venir en France par nos bombardements répétés, et par nos ONG qui vont chercher à la sortie de leurs maisons détruites, les réfugiés, à qui on donne des conditions attractives de venue en France, nos Politiques, n'ont plus qu'à gérer les conflits résultants, désormais le seul avenir pour la France.
Le Peuple Français est à nouveau soudé, autour des objectifs de miséricorde (sorte de dague ou poignard à lame mince, à deux tranchants ou à section carrée, que l'on enfonce dans le Sarrazin (farine)).

Les Politiques nous entraînent de gré ou de force, là où nous ne voulons pas aller. Aujourd'hui la France est coupée en deux, d'un côté la Résistance, de l'autre côté les pilleurs mafieux et au beau milieu, le chancre mou de ceux qui acceptent jour après jour la dégradation de leurs conditions.

AFP / GEOFFROY VAN DER HASSELT. Hommage aux victimes des attentats en Espagne pendant la messe en la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 20 août 2017

Un hommage a été rendu aux victimes des attentats en Espagne pendant la messe de dimanche soir à la cathédrale Notre-Dame de Paris, en présence de la maire de la capitale française Anne Hidalgo.

Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, a souhaité que la messe soit dédiée aux victimes de la "folie meurtrière" des attentats en Catalogne de jeudi et de vendredi, qui ont coûté la vie à 14 personnes, a déclaré l'évêque auxiliaire de la capitale, Denis Jachiet, qui officiait.

La ministre chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, et des représentants de l'ambassade d'Espagne à Paris ainsi qu'un prêtre espagnol étaient également présents.

Rappelant les attentats qui avant Barcelone ont aussi frappé Nice, Londres ou Paris, Mgr Jachiet a estimé que "toutes ces grandes villes européennes, ces lieux cosmopolites" étaient "la cible privilégiée des terroristes islamistes car ils sont un symbole du brassage de nations et des cultures".

La messe a été également dédiée aux victimes de l'attentat de Ouagadougou et des terribles inondations en Sierra Leone.

Dimanche matin, Barcelone a rendu hommage aux victimes des attentats en Catalogne dans sa célèbre cathédrale de la Sagrada Familia, en présence de près de 2.000 personnes qui venaient mater la cérémonie des faux-culs, bien décidés à en remontrer aux Arabes dont les Printemps ne sont pas synonymes de renouveau bienveillant.

Le conducteur de la camionnette de Barcelone identifié par la police espagnole

Sur son compte Twitter, la police de Catalogne a annoncé que le terroriste de Barcelone ayant conduit la camionnette sur Las Ramblas avait été identifié par les forces de l'ordre. Son identité n'a néanmoins pas encore été officiellement révélée. 

Selon du ministre de l'Intérieur du gouvernement régional Joaquim Forn sur Catalunya Radio, Younes Abouyaaqoub, un marocain de 22 ans, restait, le 21 août, le principal suspect. L'invasion Marocaine donne ses fruits, avec son Imam en fuite.

La conquête musulmane de la péninsule Ibérique se déroule entre 711 et 726 après celle de l'Afrique du Nord par le califat Omeyyade. Avant l'arrivée des musulmans, la péninsule Ibérique était dominée par les Wisigoths.

Les armées de Tariq ibn Ziyad débarquent à Gibraltar dans la péninsule ibérique, à la tête d'une armée composée de Berbères, et font chuter le royaume wisigoth lors de la bataille du Guadalete en 711, contre l'usurpateur Rodéric.

La conquête résulte dans la destruction du royaume Wisigoth et l'établissement de l'émirat de Cordoue sous Abd ar-Rahman I. Elle donne naissance à l'espace appelé Al-Andalus. La conquête marque l'extension du califat omeyyade en Espagne.

L'Espagne musulmane, ou Al-Andalus, commence en 711 et finit en 1492.

La Commission européenne contre le racisme et l’intolérance (ECRI) est un mécanisme créé par le premier Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des Etats membres du conseil de l’Europe (octobre 1993). La mission de l’ECRI est de combattre le racisme, la xénophobie, l’antisémitisme et l’intolérance au niveau de la grande Europe sous l’angle de la protection des droits de l’homme et de la compassion avec les victimes de Daesh et de leurs assassins. L’ECRI est composée de membres indépendants et impartiaux choisis pour leur autorité morale et leur expertise reconnue dans le traitement des questions relatives à la lutte contre le racisme et l’intolérance. Le programme d’activités de l’ECRI est composé de trois volets : approche pays-par-pays ; travaux sur des thèmes généraux ; relations avec la société civile.

Qui est l'imam marocain soupçonné d'être derrière la cellule djihadiste de Catalogne ? ce réseau d'Imams Européens protégés par l'ECRI,NAZI!

Nos Politiques sont si fier de leur donner la Légion d'Honneur comme à Tariq Ramadan!

Soupçonné d'avoir radicalisé et amené des jeunes à former la cellule djihadiste à l'origine des attentats de Barcelone et Cambrils, l'imam Abdelbaki Es Satty est notamment passé par la Belgique et peut-être la France.
Abdelbaki Es Satty est maintenant dans tous les journaux, à commencer par El Pais qui lui consacre sa Une dans son édition du 21 août. Le journal espagnol affirme que les enquêteurs se penchent sur les «connexions internationales» de cet imam marocain avec, notamment, de possibles réseaux en Belgique et en France.
Du deux-pièces décrépi où résidait Abdelbaki Es Satty - loué 150 euros par mois, selon son colocataire - on a vue sur la montagne boisée des Pyrénées et les toits de tuiles de la jolie petite ville catalane de Ripoll, à 90 kilomètres au nord de Barcelone.
«Mardi matin [le 15 août], il était parti en disant qu'il s'en allait en vacances au Maroc», raconte le vendeur de fruits sur les marchés Nordeen El Haji, 45 ans, venu vivre il y a quatre mois dans l'appartement. Mais depuis le 15 août, Abdelbaki Es Satty a disparu. La police a évoqué la possibilité qu'il ait péri le 16 août dans l'explosion d'une maison à Alcanar, en Catalogne, où la cellule à l'origine des attaques de Barcelone et de Cambrils préparait «un ou plusieurs attentats».
«Il parlait peu, passait son temps sur son ordinateur dans la chambre, avait un vieux téléphone portable sans internet, peu de livres», dit Nordeen El Haji.
Sur un meuble se trouve encore le mandat de perquisition des lieux daté du 18 août, soit quelques heures après les deux attentats aux voitures-bélier qui ont fait 14 morts et plus de 120 blessés en Catalogne (nord-est de l'Espagne).
Sorti de prison
Le journal El Mundo a cité des sources antiterroristes selon lesquelles Abdelbaki Es Satty avait séjourné en prison «où il avait noué une amitié particulière avec Rachid Aglif, dit El conejo (le lapin), condamné à 18 ans» pour participation aux attentats djihadistes dans des trains de banlieue qui avaient fait 191 morts à Madrid le 11 mars 2004.
«L'imam avait eu un problème judiciaire, mais pas lié au terrorisme», a déclaré le 20 août le chef de la police catalane, Josep Lluis Trapero.
Selon El Mundo, Abdelbaki Es Satty avait été incarcéré en lien avec un trafic de drogue, du haschich, entre Ceuta et Algesiras (sud).
«Cet imam était normal et ordinaire quand il était en public», affirme à l'AFP Mohamed Akhayad, un électromécanicien marocain de 26 ans, qui fréquentait la nouvelle salle de prières ouverte en 2016 où il prêchait. «S'il a mangé le cerveau de ces jeunes, c'est en cachette, dans un endroit secret», poursuit-il en évoquant les spéculations de la presse espagnole au sujet de l'emprise qu'il aurait pu exercer sur certains jeunes de Ripoll.
«Il était très solitaire, fréquentait plus des jeunes que des personnes de son âge», souligne, anonymement, un Marocain de 43 ans.
Passé par la Belgique, peut-être la France
Dans la rue où vivait le religieux, un Catalan de 64 ans, Francesc Gimeno, peintre décorateur, affirme qu'Abdelbaki Es Satty avait la réputation d'être très islamiste, voulait que tous les Marocains pensent comme lui, mettait la religion au-dessus de tout. Il l'accuse aussi d'avoir voulu obliger les femmes marocaines de la ville à se couvrir.
«C'est un mensonge», réagit Hammou Minhaj, 30 ans, secrétaire marocain de la communauté musulmane de Ripoll «Annour». «Ici à la mosquée, il ne disait pas ça. En dehors, je ne sais pas», ajoute-t-il. Selon lui, Abdelbaki Es Satty était arrivé en 2015 à Ripoll, puis était allé en Belgique en tant qu'imam avant de revenir à Ripoll. «Il avait commencé en avril 2016 comme imam dans notre nouvelle mosquée», dit-il. Cependant, fin juin 2017, Abdelbaki Es Satty avait demandé trois mois de vacances pour partir en vacances au Maroc.
L’imam a bien séjourné en Belgique en 2016, dans la commune de Machelen, dans la grande banlieue de Bruxelles entre janvier et mars 2016, selon le maire de la commune limitrophe de Vilvorde, Hans Bonte, qui supervise la police municipale des deux communes. Le quotidien El Pais évoque aussi la France en Une et assure que les analystes pensent qu'il a peut-être été mis en relation dans ces pays avec des membres de l'Etat islamique.

 

Des entreprises britanniques aident Daech à financer ses attaques contre l’Occident.

entreprise-cardiff

 
Le groupe terroriste Daech a bénéficié d’un réseau d’entreprises, liées à un bureau à Cardiff, pour expédier des équipements militaires de qualité en Espagne ainsi que pour financer des projets terroristes contre l’Occident, selon une série de documents du FBI auxquels a eu accès The Sunday Times.

« La technologie de surveillance expédiée en Espagne, où 14 personnes ont été tuées, jeudi soir, dans un attentat inspiré par Daech, est apparemment liée au développement par ce groupe takfiriste de drones armés. Selon le FBI, cette technologie est capable d’identifier le lieu des cibles. Une entreprise affiliée a été exploitée pour transférer des milliers de livres en espèces à destination d’un extrémiste américain vivant au Maryland qui avait dit, plus tôt, qu’il rêvait de massacrer les gens dans une église. D’autres achats ont été également acheminés par des sociétés à Cardiff, dont des programmes de suppression des bugs informatiques et des logiciels destinés à faciliter le tir de roquettes. Les enquêteurs disent que “killobama77” est le mot de passe d’un courriel appartenant auxdites entreprises. Des cargaisons, destinées à l’Espagne, ont été livrées, à l’été 2015, à une adresse à Madrid, selon les documents d’un tribunal aux États-Unis, mais personne ne sait qui les a reçues ou si elles sont toujours en Espagne », indique The Sunday Times dans son édition du 20 août.

« L’une des entreprises qui a expédié du matériel de surveillance à Madrid semble avoir été mise en place en utilisant la fausse identité d’un actionnaire appelé Peter Soren. Ce nom serait un alias pour Siful Sujan, un informaticien et homme d’affaires, qui a quitté, il y a trois ans, le sud du Pays des Galles, avec sa famille, pour rejoindre Daech en Syrie. Il a été tué, plus tard, par une frappe aérienne sur Raqqa, capitale de facto de Daech en Syrie ».

Source: PressTV

Les imbéciles ne savent que se recueillir, des proies bien élevées, qui sont bien menées, en troupeau par leur berger qui n'est autre que Satan.

«L’Europe est perdue» : le grand rabbin de Barcelone encourage les juifs à songer à « Israël »

rabbin_barcelone
Les Juifs d'Europe appellent à l'Alya, Alyah, Aliyah est un mot hébreu (עליה ou עלייה, pluriel alyoth) signifiant littéralement « ascension » ou « élévation spirituelle ». Ce terme désigne l'acte d'immigration en Terre sainte (Eretz Israël, en hébreu) par un juif. Les immigrants juifs sont ainsi appelés Olim. Au contraire, le fait pour un Juif d'émigrer en dehors de la Terre d'Israël, est appelé Yérida (ירידה : « descente ») et les émigrants juifs sont les Yordim.
Le Plan Franc-Maçon est en train de se mettre en place, la religion unique Juive, avec un Messie fils de Satan, et un Dieu Lucifer, doit conquérir le Monde Civilisé, pour le rendre impropre à la consommation, et livré à des créatures sataniques et des dégénérés, idolâtres et fanatisés, que l'on emmènera sur l'autel comme offrande au D.ieu ayant comme statue, entre autres, le Veau d'Or, veau que les Français adorent.

Après les attentats de Catalogne revendiqués par la milice wahhabite terroriste Daech,  et qui ont coûté la vie à 14 personnes et blessé plus d’une centaine d’autres, le grand rabbin de Barcelone a encouragé les juifs de la région à ne pas répéter les erreurs des juifs «algériens ou vénézuéliens» et à se préparer à quitter l’Europe, «avant qu’il ne soit trop tard». Pour les Juifs d'Israël, l'Europe et la France en particulier est aux mains des Francs-Maçons athées.

«Je le dis à mes confrères : ne pensez pas que vous êtes ici [à Barcelone] pour de bon, et je les encourage à acheter des propriétés en Israël», a confié Meir Bar-Hen à l’agence de presse JTA («Jewish Telegraphic Agency», basée à New York). Dans ce même entretien, il a estimé que les attaques en Espagne avaient mis en évidence la présence de «franges radicales» parmi la population musulmane de la région. Il a en outre jugé que les autorités espagnoles étaient timorées dans leur traitement du terrorisme.

Le rabbin a notamment pris pour exemple, afin d’étayer ses propos, le cas de l’autorisation accordée par les autorités espagnoles à l’écrivain palestinien membre de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) Leïla Khaled, d’entrer sur son territoire, alors que cette dernière avait été impliquée dans un détournement d’avion en 1969 et une tentative d’en détourner un second en 1970, au nom de la cause palestinienne.

Selon RT, l’opinion de Meir Bar-Hen n’est pas partagée par toutes les instances communautaires juives locales.
Ainsi, la Fédération des communautés juives d’Espagne (FCJE) a publié un communiqué le 17 août, dans lequel elle enjoint les Espagnols de confession juive à «faire confiance aux forces de l’ordre du pays qui travaillent chaque jour à empêcher les fanatiques et les islamistes de semer le chaos et la souffrance». Le FCJE a aussi demandé aux responsables politiques de traiter de manière intelligente et déterminée le fanatisme, dans le sens de la «liberté et de la démocratie».

Loge : Eugène Varlin - Orient de Lyon-Villeurbanne Date : NC
Athéisme et Franc Maçonnerie

Introduction :
Loin d’être exhaustive sur la question du lien à déterminer entre athéisme et franc maçonnerie, cette modeste planche a au moins eu le mérite de me permettre de « tailler » un peu ma pierre et d’être au clair avec moi-même et avec mes convictions profondes, et j’espère qu’elle suscitera le débat entre nous.
Je vais procéder en trois temps.
Tout d’abord, je vais tenter de préciser le sujet et de donner une définition acceptable du mot « athéisme » et de ses dérivés (ou des notions qui gravitent autour).
Puis, dans un deuxième temps, je tenterai d’appréhender l’athéisme à travers le prisme de 3 siècles de maçonnerie moderne.
Enfin, je vous ferai part de mes réflexions et de mes interrogations quant aux véritables finalités de la franc-maçonnerie: doit-elle oeuvrer pour une société athée et « postchrétienne » ?
1) Qu’est-ce qu’être athée ?
Le mot « athée » vient du grec théos (= dieu) auquel on a rajouté le préfixe privatif « a ».
Littéralement, en grec, a-théos signifie « sans dieu ». On note au passage comme le souligne le philosophe Michel Onfray que la construction du mot « athée » suppose une négation, un manque, un trou, une démarche d’opposition. Et qu’aucun terme n’existe pour qualifier positivement la personne (je cite l’auteur) « qui ne sacrifie pas aux chimères […] et résonne au-delà de la pensée magique et des fables ».
Quoi qu’il en soit, l’athéisme est une réponse négative à l’existence de Dieu et suppose donc que, a contrario, certains croient en une entité nommée « Dieu ».
Avant d’aller plus loin dans la définition de l’athéisme, il m’a semblé nécessaire comme préalable de chercher une définition la plus exacte possible de ce qu’il est convenu d’appeler « Dieu » puisque l’athéisme se construit comme une amputation linguistique vis-à-vis de Dieu.
Qu’est ce que Dieu ? Nul ne le sait. A défaut de savoir ce qu’est Dieu, nous pouvons préciser ce que nous entendons par le mot qui sert à le désigner.
Quand on lui posait la question « croyez vous en Dieu ? », Einstein répondait « Dites moi d’abord ce que vous entendez par Dieu ; je vous dirai ensuite si j’y crois. »
La définition qui m’a semblé la plus complète est celle d’André Comte-Sponville : « J’entends par Dieu un être éternel, spirituel et transcendant (à la fois extérieur et supérieur à la nature), un être qui aurait consciemment et volontairement créé l’univers. Il est supposé omniscient et omnipotent. C’est l’être suprême, créateur et incréé (il est cause de soi), dont tout dépend et qui lui ne dépend de rien. [Dieu] c’est l’absolu en acte et en personne ».
Cela ne nous avance pas beaucoup pour savoir si Dieu existe ou non. A cette question, je veux être clair (à la question de savoir si Dieu existe ou pas) : aucune science ni aucun savoir ne répond. Dieu existe-t-il ? Nous ne le savons pas et ne le saurons probablement jamais. C’est pourquoi, pour l’homme se pose la question d’y croire ou non. (puisqu’il ne sait pas, il peut y croire ou ne pas y croire). D’où l’athéisme. L’athée serait celui qui ne croit pas en dieu. Cette définition a eu pour conséquence néfaste d’assimiler l’athéisme à ce qui est en fait de l’agnosticisme. J’entends par agnostique celui qui pense que l’existence de Dieu est du domaine de l’inconnaissable (en grec gnosis = connaissance).
L’agnostique est souvent confondu avec l’athée car les deux ont en commun de ne pas croire en Dieu.
Mais l’athée va plus loin : lui il croit que Dieu n’existe pas. L’athéisme est une croyance.
L’agnostique ne croit pas (au sens de croyance) que Dieu existe, mais il ne croit pas non plus qu’il n’existe pas. Il refuse de se prononcer sur un sujet qui pour lui est par définition inconnaissable. Voici comment le professeur Jacquard explique la différence selon lui entre athéisme et agnosticisme : « Je ne suis pas athée mais agnostique. Athée, cela veut dire : je sais que Dieu n’existe pas. Moi, je n’en sais strictement rien ».
Pour résumer, contrairement à l’agnosticisme qui serait un athéisme en négatif (« je ne crois pas en Dieu ») et malgré sa construction privative et négative (a-théos), l’athéisme serait une croyance positive (« je crois que Dieu n’existe pas »). L’athéisme suppose une franche affirmation de l’inexistence de Dieu.
Michel Onfray va plus loin. Pour lui, l’athéisme est bien plus que de croire que dieu n’existe pas. C’est aussi lutter contre les valeurs et les institutions associées à Dieu, au premier rang desquelles les religions.
En effet, pour de nombreux athées, leur athéisme ne se limite pas à savoir si Dieu existe ou non ; mais c’est aussi un moyen de lutter contre les dogmes des églises. Ce combat contre la prégnance de la religion dans la vie quotidienne va devenir progressivement celui de nombreux frères dans l’histoire de la maçonnerie et de la franc-maçonnerie française en particulier.
2) L’athéisme dans l’histoire maçonnique.
En étant quelque peu réducteur concernant l’évolution historique de la franc-maçonnerie moderne, on peut dire qu’en gros, de très chrétienne à ses débuts, la franc-maçonnerie a évolué (surtout dans les pays latins) vers le déisme puis l’agnosticisme et même vers l’athéisme puisque aujourd’hui de nombreux maçons affirment ne pas croire en Dieu.
Pourtant, tout avait bien commencé entre Dieu et la franc-maçonnerie, puisque ce sont même des ecclésiastiques qui sont à l’origine des confréries de bâtisseurs. Bâtisseurs qui d’ailleurs élevaient principalement des églises et des cathédrales à la gloire de Dieu financées par l’Eglise. Les relations entre maçons et ecclésiastiques étaient basées sur la confiance, le respect et le besoin mutuels. De plus, Dieu était présent dans l’esprit des maçons en tant que « Grand Architecte de l’Univers », ce qui ne pouvait que satisfaire les hommes d’église. Dans les textes anciens certains affirmaient même (je cite) « que Dieu a bien été le tout premier maçon puisque c’est lui qui a « fabriqué » la lumière. Il ne lui restait qu’à choisir le 1er grand maître : ce fut l’archange saint Michel. Adam est considéré comme le premier « initié » ».
Ainsi, à ses débuts, tout dans la maçonnerie renvoie aux valeurs et à la symbolique chrétiennes.
Lors de la création de la Grande Loge à Londres en 1717, jour de la St Jean, les loges sont évidemment chrétiennes. En 1723, le pasteur James Anderson rédige le Livre des constitutions (que nous appelons Constitutions d’Anderson), livre où sont rassemblés les écrits et les chartes concernant la franc-maçonnerie et qui nous sert de référence encore aujourd’hui.
Voici ce qui est dit dans les Constitutions d’Anderson « en ce qui concerne Dieu et la religion » : « Un maçon est obligé, de par sa tenure (terme féodal obligation contractée par le détenteur d’un fief) – d’obéir à la loi morale ; et s’il comprend bien l’Art, il ne deviendra jamais un athée stupide , ni un libertin irréligieux. »
On voit bien là qu’aux débuts de la maçonnerie moderne, l’athéisme est non seulement inexistant chez les frères, mais surtout, qui plus est, le terme est associé à une insulte. L’athée c’est l’immoraliste, l’amoral.
Mais en même temps qu’elles dénoncent « l’athée stupide », les Constitutions d’Anderson font preuve d’emblée d’un formidable esprit de tolérance quant à la question religieuse. En effet, elles indiquent que « Bien que dans les temps passés, les maçons fussent astreints dans chaque pays, de pratiquer la religion du dit pays, quelle qu’elle fût, on estime désormais plus opportun de ne point leur imposer d’autre religion, que celle sur laquelle tous les hommes sont d’accord, et de leur laisser toute liberté, quant à leurs opinions particulières. Il suffit donc qu’ils soient des hommes bons et loyaux, gens d’honneur et de probité, quelles que soient les confessions ou les convictions qui les distinguent ». Ici est affirmé la relativité de toutes les religions. Et quand elle s’implante en France dans les années 1720, la franc-maçonnerie témoigne d’une grande tolérance notamment vis-à-vis des protestants à une époque où être protestant est encore un délit.
L’église catholique ne peut admettre cette tolérance : tolérer, c’est accepter l’erreur, les idées fausses, alors que pour elle il n’existe qu’une seule vérité. Ainsi, dès 1738, le pape Clément XII, à travers sa bulle « In Eminenti », interdit aux catholiques d’adhérer à la franc maçonnerie. En 1751, son successeur Benoît XIV y ajoute la menace de l’excommunication à l’égard des catholiques qui adhèrent à la franc-maçonnerie ou la favorisent. A cette époque, les loges françaises, tout en restant déistes et affirmant leur foi en l’être suprême, Grand Architecte de l’Univers, sont de plus en plus imprégnées par l’ « esprit des Lumières », glorifiant la science et la tolérance.
C’est surtout au XIX ème siècle et dans le sillage des principes de 1789, notamment à partir de 1860, moment où fleurit le positivisme agnostique d’Auguste Comte, que les maçons s’interrogent sur leurs obligations religieuses. De plus, leur combat pour la République leur vaut les virulentes attaques de l’église catholique. Ce qui a pour effet de précipiter vers les loges tous les ennemis de l’église. C’est surtout vrai dans les pays catholiques du sud de l’Europe – Italie, Espagne, Portugal, France – où la maçonnerie voit affluer des bastions d’anticléricaux affirmés.
Créé en 1773, le Grand Orient de France décide en 1877 de supprimer de sa constitution les références à l’existence de Dieu et à l’immortalité de l’âme. La croyance en Dieu devient facultative, alors qu’elle était auparavant une condition sine qua non. Conséquence immédiate : la loge mère d’Angleterre déclare le GODF « irrégulier », car dissident par rapport aux préceptes d’origine.
Cette décision d’abolir l’obligation pour les frères de croire en Dieu est à l’origine d’un schisme entre les maçonneries latines d’un côté - France, Belgique, Italie, Amérique du Sud - qui se proclament « libérales » (libéral au sens d’accueillant croyants et non croyants) et les maçonneries anglo-saxonnes d’un autre côté qui « restent fidèles aux obligations dogmatiques ». : aucun athée ou agnostique ne peut y postuler.
Quoiqu’il en soit, la décision de G.O. de supprimer l’obligation faite aux loges de travailler « à la gloire du Grand Architecte de l’Univers », va accentuer l’opposition entre l’église et la franc maçonnerie. Le combat pour la République, l’Anticléricalisme et l’appartenance maçonnique se confondent souvent. Le sénateur radical Noël Delpech, Grand Maître du Grand Orient, déclare même en 1902 que la maçonnerie recrute « les cadres de l’armée républicaine ». La République radicale et franc maçonne l’emporte : elle sépare l’Eglise et l’état en 1905. Un fossé profond est creusé.
A tel point qu’en 1917, le pape benoît XV rappelle « l’interdiction aux fidèles, sous peine d’excommunication, d’adhérer à une secte maçonnique ou autre, se livrant à des machinations contre l’Eglise ou les pouvoirs civils légitimes ».
Pourtant, sous l’influence de nombreux frères catholiques, et suite aux deux guerres mondiales, la position de l’Eglise s’adoucit après guerre. En effet, lors du concile de Vatican II (1962-1965) les personnalités religieuses réunies autour du pape (Jean XXIII puis Paul VI), se montrent plus conciliantes à l’égard des maçons qui « croient en Dieu ».
Cependant, si la position de l’élise catholique à l’égard de la maçonnerie s’est assouplie, elle n’en est pas tout à fait claire et de gros malaises subsistent. En 1983, le cardinal Ratzinger (futur Benoît XVI) « gardien de la foi » n’hésite pas à condamner « l’appartenance aux associations maçonniques ».
Pour résumer, malgré un apaisement apparent entre l’Eglise et la franc-maçonnerie (effectivement ces dernières années des prêtres sont entrés dans des loges, surtout à la Grande Loge Nationale de France, et on a pu assister dans des églises à des funérailles de dignitaires maçons et connus comme tels) car il a toujours existé des maçons catholiques, il n’en reste pas moins que dans l’évolution historique globale de la maçonnerie française, on est passé grosso modo de la croyance pleine et entière en un dieu révélé à un déisme « éclairé » et un relativisme religieux, ensuite à un scepticisme puis à une remise en cause de l’existence de Dieu parfois même radicale.
Aujourd’hui de nombreux frères, notamment au Grand Orient se déclarent athées. Notre loge en est l’exemple le plus frappant et je ne je pense pas que beaucoup de frère de l’atelier pourraient affirmer croire en l’existence de Dieu.
J’en arrive à la 3ème partie de mon exposé :
3) Quelles sont les finalités de la franc-maçonnerie en général et de notre obédience en particulier de ce point de vue ?
Doit-elle oeuvrer pour une société athée qui placerait l’homme au centre de tout et non plus Dieu et les valeurs qui y sont associées ?
En effet, aujourd’hui, on peut se poser la question : devant le bilan des sociétés monothéistes,
en tant que francs-maçons comment ne pas être athées ?
Dostoïevski, dans les Frères Karamazov, disait que « si Dieu n’existe pas, alors tout est permis ». Dans cette affirmation, on associe la haine, le vol, le viol, le meurtre, le mal à ceux qui se réclament de l’absence de Dieu pour se permettre de commettre l’immonde. Et à contrario, on serait tenté de reprendre ce que dit Michel Onfray dans son Traité d’Athéologie : « Parce que Dieu existe, alors tout est permis… ». En effet, , depuis plusieurs millénaires, l’affirmation d’un Dieu unique, violent, jaloux, querelleur, intolérant a généré plus de haine, de sang, de morts, de brutalité que de paix…
Le fantasme juif du peuple élu qui légitime le
colonialisme, l’expropriation de terres, l’animosité entre les peuples, puis la théocratie autoritaire et armée ; le christianisme qui justifie les croisades, l’Inquisition, les guerres de religion, la St Barthélemy, les bûchers, la mise à l’Index, mais aussi le colonialisme planétaire justifié par l’évangélisation, le génocide des amérindiens et la toute puissance temporelle du Vatican depuis des siècles dans le moindre détail de la vie quotidienne ; la revendication claire à presque toutes les pages du Coran d’un appel à détruire les infidèles, leur religion, leur culture – au nom d’un Dieu miséricordieux ! Tout ceci est bien la preuve que justement, à cause de l’existence de Dieu tout est permis – en lui, par lui, en son nom.
Si l’existence de Dieu prémunissait un temps soit peu contre la bêtise, la haine et le mal, alors les croyants du monde entier seraient des exemples de moralité et de vertu. Comment ne pas être athée devant la démesure du mal et la médiocrité de l’homme ?
En fait, je crois que poser la question ainsi ne me paraît absolument pas pertinent. Pourquoi devrait-on lier le mal et la bêtise humaine à l’existence ou non de Dieu ? Certes, il existe des salopards croyants mais tout comme il existe des salopards non croyants. Que viendrait faire Dieu là-dedans ? On peut critiquer – et même en tant que maçons on se doit de critiquer – l’idée que les hommes se font de Dieu, leur fanatisme religieux, leurs organisations sectaires, mais est-ce que les pires exactions commises en son nom tendraient-elles à prouver la non existence de Dieu ? Je ne pense pas. Ce sont les sectes religieuses, donc les hommes, qui commettent ces exactions, ce n’est pas Dieu. Toute religion, par définition est humaine. Que toutes aient du sang sur les mains, cela pourrait rendre misanthrope, mais cela ne saurait suffire à justifier l’athéisme.
Il me semble que la principale erreur de Michel Onfray (et avec lui de nombreux athées) c’est de confondre athéisme et anticléricalisme. Je cite encore Michel Onfray : « Mon athéisme s’active quand la croyance privée devient affaire publique et qu’au nom d’une pathologie  mentale personnelle (NB : croire en Dieu) on organise pour autrui le monde en conséquence ». Ici Onfray nous donne une magnifique justification de la raison d’être de l’anticléricalisme. Nous devons nous battre – qui plus est, nous autres maçons qui refusons le dogmatisme – nous devons nous battre donc contre l’emprise temporelle, sociale, culturelle des églises sur les personnes. Mais qu’est-ce que cela a à voir avec le fait de croire ou ne pas
croire à l’existence de Dieu ? En quoi cela répond à la question de savoir si Dieu existe ou non ?
En fait, pour nous maçons, je crois que la question de savoir si Dieu existe ou pas est très secondaire. Pourquoi attacher tellement d’importance à une question dont nous ne pouvons pas connaître la réponse, sur laquelle nous ne pouvons ni agir ni penser ? Croyants et incroyants, nous ne sommes ici séparés que par ce que nous ignorons. Cela n’annule pas les désaccords, mais en relativise la portée. Il serait fou d’attacher davantage d’importance à ce que nous ignorons qui nous sépare, plutôt qu’à ce qui nous rapproche : ce qui nous rapproche c’est notre nature humaine et les valeurs humanistes qui nous permettent de vivre ensemble.
Et ce vivre ensemble est garanti par un concept et une valeur essentielle pour nous franc maçons qui s’appelle la laïcité.
C’est ce qu’exprime Henri Pena-Ruiz dans son Qu’est-ce que la laïcité ? : « Certains hommes croient en un dieu. D’autres en plusieurs. D’autres se tiennent pour agnostiques et refusent de se prononcer. D’autres enfin sont athées. Tous ont à vivre ensemble. Et cette vie commune, depuis la 1ère Déclaration des droits de l’homme, doit assurer à tous à la fois la liberté de conscience et l’égalité des droits ».
Conclusion :
Pour conclure, comme j’ai tenté de le démonter, croire ou ne pas croire en Dieu, cela n’a que peu d’importance. La question pour l’individu est passionnante, mais pour la société là n’est pas l’essentiel.
Il est cependant intéressant de souligner que croire que Dieu existe ou croire que Dieu n’existe pas, dans les deux cas ce sont des croyances. De la croyance à la certitude et au dogme, il n’y a qu’un pas. Et en tant que maçon du Grand Orient et donc profondément attaché à l’adogmatisme, je me refuse personnellement à me prononcer sur l’inconnaissable.
Mais mon agnosticisme ne se veut pas une position frileuse ou de confort. Je me reconnais comme un agnostique radicaliste. Agnostique car sur la question de Dieu je ne sais pas, mais radicaliste car concernant l’emprise des religions sur les corps et les esprits, certains combats méritent d’être menés.
Pour moi, en tant en tant que maçon, ce qui vaut la peine d’être défendu c’est ce qui unit et ce qui libère les individus.
Ce qui unit les individus c’est la laïcité. Elle seule garantie les croyances ou non croyances de chacun, en interdisant à l’une et à l’autre de s’imposer par la force.
Ce qui libère l’individu est ce qui permet à chacun d’exprimer sa liberté de conscience (en combattant tous les cléricalismes) et d’exprimer sa spiritualité (en combattant tous les dogmatismes).

dimanche matin, en hommage aux victimes, on célébrait une messe à la Sagrada Família de Barcelone. Un commentateur précisait que la basilique était ouverte à tous : on notait, en effet, malgré la tendance indépendantiste de la Catalogne, la présence conjointe des autorités royales, espagnoles et catalanes : l’Espagne était unie dans la douleur. Mais aucun reporter n’a fait mention de quelque responsable musulman. C’est tout dire !

Dans les heures qui ont suivi l’attentat, on a entendu, sur les chaînes d’information continue françaises, des journalistes reprendre des invités qui osaient prôner plus de fermeté contre les terroristes islamiques, recommandant de les « éradiquer » plutôt que de s’efforcer de les « déradicaliser ». Ces prétendus représentants de la conscience universelle se rendent-ils compte que leur absence de lucidité est le meilleur allié des islamiques ? En désarmant les esprits, on fait le lit du fanatisme.

On constate aussi que les autorités catalanes répètent à l’envi que « Barcelone doit rester une ville ouverte et joyeuse ». Certes, mais pas à n’importe quel prix ! Un gouvernement digne de ce nom doit prendre toutes les mesures pour protéger ses compatriotes. Fût-ce au prix de quelques contraintes. Les mesures prises en France sont parfois considérées comme insuffisantes : on est effaré de l’absence de précautions qui semble régner à Barcelone.

En utilisant les termes d’« obscurantisme », de « radicalisme », de « dérive », il reconnaît implicitement la responsabilité de l’islam dans ces attentats. Laissons aux spécialistes le soin de déterminer si ce dévoiement est intrinsèque à cette religion ou s’il est accidentel. Il reste que, si l’on veut éviter que le soupçon de terrorisme se porte sur l’ensemble des musulmans, il faut condamner sans réserve ceux qui se réclament de l’islam pour commettre leurs exactions. Dalil Boubakeur montrera-t-il l’exemple ?

Paradoxalement, les réactions – assez rares – des responsables musulmans sont presque plus engagées. Ainsi, le recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, condamne cette « violence aveugle », ce « déferlement de haine porté par une horde de nihilistes » et dénonce « cet ignoble acte terroriste [qui] doit renforcer tous ceux qui luttent contre l’obscurantisme et le radicalisme dans leur détermination à éradiquer les ferments qui nourrissent cette dérive ».

Pour quelles raisons ? Par crainte d’alimenter les amalgames ou de s’aliéner le vote des populations de confession musulmane ? Pour préserver leurs bonnes relations avec des États du Moyen-Orient ? Par méconnaissance de la vocation expansionniste de l’islam ? Quoi qu’il en soit, angélisme ou calcul, la cécité des dirigeants politiques est nocive : en de telles circonstances, le silence ou l’omission sont coupables, voire criminels.

« Barbarie », « actes terroristes », « violence » : les mots n’ont pas manqué, dans la sphère politique, pour condamner le double attentat de Barcelone. (Il ne faut JAMAIS s’habituer à vivre avec le terrorisme islamique ») .

Rene Hurlemann, psychiatre, prône l’oxytocine, drogue de l’amour, pour faire accepter les migrants aux Européens

Par Matthieu Lenoir, le 18 août 2017 17 h 30 min
http://reinformation.tv/oxytocine-migrants-rene-hurlemann-europeens-lenoir-73568-2/
La propagande déversée à flots continus par les médias du système sous l’appellation fallacieuse « d’information » ne suffit pas. Pour faire passer la pilule de l’immigration de masse et de la dissolution des cultures et du catholicisme dans la tyrannie techno-marchande, voici les drogues. Des scientifiques, menés par Rene Hurlemann, professeur à Bonn, viennent de suggérer d’utiliser une combinaison de molécules chimiques et de conditionnement social pour obliger les Européens à se soumettre à l’arrivée des migrants, indique une étude réalisée par l’Université de Bonn, l’Université de Lübeck et le Laureate Institute of Brain Research aux Etats-Unis.
En état normal, les individus testés donnent déjà plus aux immigrés qu’aux autochtones pauvres
Cette étude psychosociologique, publiée par le Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) et dont le Science Daily se fait l’écho, a porté sur 183 individus auxquels on a confié 50 euros qu’ils devaient attribuer soit à des migrants soit à des personnes d’origine locale dans le besoin. Les chercheurs ont été « surpris » (premier signe de leur a priori) de découvrir que ces individus ont attribué en moyenne une somme 20 % supérieure aux immigrés. Mais le plus inquiétant, c’est que ces « chercheurs » ont établi qu’après leur avoir administré de l’oxytocine, une hormone synthétisée dite aussi « drogue de l’amour », les participants déjà bien disposés envers les immigrés leur attribuaient encore plus. Quant aux cobayes qui manifestaient « des attitudes négatives envers les migrants » ils n’étaient pas affectés par l’administration de cette drogue mais, une fois qu’on leur apprenait combien leurs semblables (une fois drogués) avaient été généreux envers les immigrés, il « offraient 74 % de plus », indiquent les « chercheurs ».
Rene Hurlemann : « Combiner oxytocine et influence des pairs » pour vaincre « les motivations égoïstes » (des seuls Européens)
Conclusion de Rene Hurlemann, professeur à la faculté de psychiatrie de Bonn, « la synergie oxytocine-influence des pairs » permet de diminuer ce qu’il qualifie de « motivation égoïste ». Pas un mot comme il se doit sur les possibles « motivations égoïstes » de migrants qui abandonnent des pays qui ont pourtant besoin d’eux pour de supposés pays de cocagne. « L’oxytocine peut ainsi améliorer l’acceptation et l’intégration des migrants dans les cultures occidentales », s’enthousiasme Hurlemann. Pas un mot donc sur l’effort que lesdits migrants pourraient fournir pour s’adapter aux pays d’accueil. Rien non plus sur la manière de traiter le fait que les communautés musulmanes instaurent des polices religieuses pour appliquer la loi islamique en Allemagne, en particulier auprès des femmes tchétchènes. Ils sont 1,2 million de migrants à avoir submergé l’Allemagne en 2016 après que Angela Merkel eut décrété qu’il n’existait « aucune limite » au nombre de « réfugiés » que son pays était susceptible d’héberger.
Il va falloir beaucoup d’oxytocine : 54 % des complots terroristes impliquent des migrants récents
Fin 2016, seuls 3 % de ces immigrés avaient trouvé du travail et le ministre fédéral des Finances reconnaissait que ce flux entraînait une dépense publique annuelle de quelque 20 milliards d’euros. L’Allemagne a par ailleurs constaté une envolée du nombre de crimes et d’actes terroristes. L’Heritage Foundation a établi que 54 % des complots terroristes ont impliqué des migrants depuis le début de la crise. Le massacre du marché de Noël de Berlin en décembre 2016 (12 morts) a été perpétré par un demandeur d’asile tunisien, Anis Amri. Pour ce type d’islamistes, l’étude dirigée par Hurlemann ne prévoit pas d’administration d’oxytocine.

Malgré son recul sur sa politique de « porte ouverte », Angela Merkel a informé l’agence des migrations de l’ONU, voici quelques jours seulement, que l’Union européenne « peut admettre » au moins 40.000 nouveaux arrivants, alors même que les (vrais) réfugiés syriens commencent à rentrer chez eux. Et cela bien que, selon un sondage publié ces jours-ci par Die Welt établisse que 69,8 % des Allemands considèrent que les migrants traversant la Méditerranée n’ont rien de réfugiés légitimes et qu’il convient de les renvoyer dans leurs pays d’origine. Il va falloir des grandes quantités industrielles d’oxytocine pour neutraliser les réflexes de survie des peuples européens.
Yémen: la guerre biologique de la CIA.
Yémen: la guerre biologique

Outre le bombardement systématique des infrastructures de base, des systèmes d’approvisionnement en eau et en électricité, des dispensaires, des centres d’assainissement, des silos de stockage des aliments et du réseau routier, il s’avère que le bacille Vibrio cholerae (souche O139 apparue pour la première fois au Bangladesh en 1992) contaminant les populations yéménites est génétiquement modifié.

On est donc en présence d’une guerre biologique en plus d’une terrible guerre conventionnelle comprenant toute la panoplie moderne des bombes et des missiles Air-Sol, y compris les FAE (Fuel Air Explosive) et d’autres bombes expérimentales que certains analystes ont assimilé à des micro-bombes nucléaires tactiques, a été utilisée.

Ryad n’a nullement toléré que son territoire soit la cible de missiles Scud lancés par les forces de l’ex-président yéménite Ali Abdallah Saleh, un survivant du printemps arabe et le principal allié des Houthis.

source: https://strategika51.wordpress.com/2017/08/20/yemen-la-guerre-biologique/

États-Unis. Révélations onze mois après la vague d'attentats, les USA s'expérimentent sur le Yémen. Anthrax : la piste mène au Pentagone et à la CIA. L'Humanité

Les bacilles du charbon venaient de laboratoires préparant la guerre biologique. Le FBI n'a toujours pas trouvé l'auteur des attentats. Un chercheur suspect numéro 1 de la presse.

Cinq morts, une douzaine de personnes contaminées, une psychose déferlant sur les États-Unis dans la crainte d'une attaque aux armes biologiques. Onze mois après, le coupable n'est toujours pas arrêté. Le FBI " traîne des pieds ", selon la présidente de la Fédération des scientifiques américains, Barbara Hatch Rosenberg. Docteur en biologie à l'Université de l'État de New York, elle collabora à la Maison-Blanche au temps de Clinton. Elle n'est pas la seule à trouver étrange le comportement de la police.

Le portrait robot du criminel, tracé depuis décembre, implique un chercheur ayant accès à une souche du Bacillus anthraxis, produit dans les laboratoires fournisseurs du Pentagone et de la CIA à Fort Detrick, dans le Maryland. Un personnage étrange correspondant à cette description a été découvert : le Dr Steven J. Hattfield. Pour le FBI, il n'est qu'" une personne intéressante ". Pas coupable, il a donné une conférence de presse pour assurer qu'il n'était pour rien dans le courrier mortel et protester contre le harcèlement dont il était victime.

Est ce bien au FBI qu'on traîne des pieds ? au ministère de la Justice ? ou à la Maison-Blanche ?

Tout a commencé le 18 septembre 2001, une semaine après la terrible hécatombe du World Trade Center. Tom Brokaw, le présentateur du journal du soir, reçoit une lettre contenant une poudre blanche. C'est du bacille du charbon, une maladie qui peut provoquer la mort en quelques jours. D'autres missives du même genre suivront dans le courrier des médias et de sénateurs. Cinq personnes décéderont, dont deux postiers. Une douzaine seront contaminées. Des lettres contenant de la poudre inoffensives sont envoyées par le même expéditeur, depuis le New Jersey.

Le président George Bush y voit aussitôt la main d'al Qaeda. Un laboratoire des taliban, en construction, est découvert opportunément dans une grotte des montagnes proches de Kandahar. Un rapprochement est également opéré avec les questions qu'aurait posées l'un des pilotes kamikazes du World Trade Center sur l'utilisation des avions des sociétés d'épandage de pesticides.

· la Maison-Blanche, le délire présidentiel lance des accusations tous azimuts. Contre l'Irak, qui posséderait des armes biologiques et serait le fournisseur des taliban. Dans la foulée, Bush désigne Cuba, un " état voyou " qui fabriquerait le bacille. Fidel Castro répond en proposant à une commission d'enquête de sénateurs américains de venir visiter les laboratoires cubains. Washington en restera là. La Chine, la Syrie, la Libye, la Corée du Nord sont ajoutées à la liste noire. Washington veut donner une dimension internationale à une affaire qui vient " justifier " sa stratégie planétaire de guerre au terrorisme et d'intervention préventive.

Au plan national, l'angoisse conduit deux sénateurs Bill Frist et Edward Kennedy à présenter en janvier un projet de loi développant les moyens de défense, de surveillance et de santé publique. Adopté trois mois plus tard à l'unanimité. La paranoïa s'étend encore. Et pourtant...

Un pays avait été oublié dans la liste des " rogue countries ", les États voyous.

En décembre, les recherches avaient déjà établi que les souches de Bacillus anthraxis utilisées avaient été produites, deux ans auparavant, dans un laboratoire de Fort Detrick, qui met au point depuis 1969 des armes biologiques à partir du virus Ebola, de la variole et d'anthrax.

Le 17 décembre, Ari Fleisher, porte-parole de la Maison-Blanche, reconnaît que les recherches sont maintenant tournées vers une " source domestique ". Selon Barbara Rosenberg, le FBI savait depuis trois mois d'où venait le bacille, seul un chercheur ayant la capacité de le cultiver, de le dérober et de la transporter. Or, il n'y en a qu'une douzaine dans ce cas. Le tour est vite fait dans les laboratoires secrets du Pentagone.

" Ce type sait trop de choses que les États-Unis sont embarrassés de rendre publiques ", déclare Barbara Rosenberg dans un article publié le 8 février par Salon.

Parmi les spécialistes de Fort Detrick, un nom surgit : celui du Dr Steven J. Hattfield, quarante-huit ans, accrédité secret-défense pour les recherches sur les armes biologiques. Il a participé en 1999 à la rédaction d'un rapport mettant en garde contre une attaque terroriste par dissémination du bacille d'anthrax, où il se plaint de l'impréparation des États-Unis à une riposte.

On découvre alors que Hattfield a quitté les services du Pentagone, où il travaillait depuis 1969, pour un engagement en Rhodésie (aujourd'hui le Zimbabwe). Il se met, dans les années quatre-vingt, au service du pouvoir raciste contre l'insurrection anticolonialiste. Des journaux américains affirment qu'une épidémie de charbon inexpliquée a fait deux cents morts dans des tribus africaines au moment de son séjour. Dans la capitale de la Rhodésie, il habitait dans le quartier de Greendale, proche de l'université où il enseignait. Les lettres au bacille, expédiées aux États Unis, portent comme adresse d'expéditeur " Greendale School ", un lieu inconnu en Amérique.

Hattfield part ensuite en Afrique du Sud où, révèle le 1er juillet un journal local, le Daily Dispatch, il devient l'ami d'Eugène Terreblanche, chef d'un parti fasciste qui mène des raids terroristes contre les populations soutenant l'African National Congress dans sa lutte contre l'apartheid. Il rentre aux États-Unis en 1995, à l'Institut national de la santé, et reprend du service au laboratoire de Fort Detrick en septembre 1997 pour le Pentagone et la CIA, peu regardants sur la qualité de leurs collaborateurs (à moins qu'il n'ait jamais cessé d'être en mission pour le Pentagone...). Les services secrets s'intéressent à la possibilité d'utiliser le bacille du charbon pour liquider des chefs d'États et des personnalités désignées comme ennemis des intérêts américains. Hattfield restera à Fort Detrick jusqu'en 1999, rejoignant ensuite une société privée qui travaille elle aussi pour le Pentagone.

Autres détails sur le passé obscur de ce spécialiste : il affirme dans sa biographies être titulaire d'un doctorat, être membre de la Société royale de médecine britannique, avoir été enrôlé dans les forces spéciales américaines. Tout est faux...

Le 25 juin, une perquisition a lieu dans l'appartement de Steven Hattfield, à Frederick, la commune qui abrite Fort Detrick. Son ordinateur est saisi. Seconde perquisition le 1er août, avec des chiens renifleurs, tandis que les télévisions et leurs hélicoptères filment la scène en direct. Son accréditation secret-défense lui est retirée. Il est suspendu de la société qui l'emploie mais garde son salaire de 150 000 dollars. Les appartements de sa compagne et de son ex-compagne, les restaurants où il s'est rendu récemment, sont aussi visités par la police avec ses chiens.

Cette médiatisation le pousse à réagir au cours d'une conférence de presse, où il proteste contre cette mise en accusation sans aucune preuve. Il n'aurait, dit-il, rien à voir avec les attaques à l'anthrax. Le directeur du FBI, Richard Mueller, refuse de le désigner comme suspect. La police fédérale fait savoir qu'elle ne veut pas se retrouver dans la situation de l'attentat commis lors des JO d'Atlanta, quand, à la suite de fuites organisées par le FBI, un gardien du village olympique avait été désigné coupable puis s'était révélé être totalement innocent : la bombe avait été placée par un membre d'un mouvement extrémiste de droite.

L'enquête se poursuit pour rechercher l'auteur de lettres identiques à celles qui contenaient le bacille envoyées en 1997 et 1999. L'une de ces fausses menaces fut adressée de Londres au sénateur Tom Daschle, qui en reçut une vraie en novembre dernier. Or le docteur Hattfield se trouvait à la même époque à Londres, en visite dans un centre de " biodéfense ", écrit le New York Times. Décidément...

Pour quelles raisons le FBI traînerait-il des pieds ? Parce que les pistes du coupable mènent à Fort Detrick, au laboratoire du Pentagone et de la CIA ? Cherche-t-on à dissimuler la fièvre de recherches sinistres qui se poursuivent comme un défi à un projet de Convention internationale proposant d'interdire les armes biologiques ? Une convention que le président Bush a définitivement sabordé l'année dernière parce qu'il refusait qu'une commission de contrôle viennent un jour vérifier ce que tramaient les labos américains. Quels secrets inavouables dissimule la mise en scène de cette ténébreuse affaire ?

Jacques Coubard

La pourriture au pouvoir:

Posté par Schibi le

J’ai honte d’être française je ne reconnais plus mon pays. Les politiques tous des pourris ils ne pensent qu’à leur profit personnel et surtout profiter de se faire un maximum de fric sur le dos des français surtout ceux qui ont travaillés toute leur vie et ont été honnêtes je n’ai plus confiance en aucun politique car ils méprisent le peuple ils ne pensent qu’à eux. Quant à liberté, égalité, fraternité? Liberté restreinte, égalité je n’en voit pas (retraites du privé avec celles des fonctionnaires, celles des régimes spéciaux, parlons aussi des avantages de la SNCF, EDF qui gardent leurs avantages une fois retraités alors que ces caisses sont déficitaires et renflouées par le régime général et la liste est longue etc….quant à la gauche c’est un gouvernement de dictateur, de menteur et surtout de malhonnête car il applique des lois sournoisement. ce gouvernement ne cesse de faire des leçons de morale au peuple, aux états, aux politiques etc.. Il ferait mieux de commencer par lui. Moi je n’ai pas à recevoir de conseils de ces politiques j’ai un cerveau pour réfléchir (le lavage de cerveau ce n’est pas pour moi c’est en Russie et pour une partie du peuple français qui devient un peuple de décérébrés), quant à la fraternité il n’y a que dans les drames qu’elle existe (exemple les attentats le reste du temps c’est chacun pour soi (chacun veut garder ses avantages, les efforts ceux sont pour les autres mais pas pour soi etc..la solidarité n’ est que façade on monte les jeunes contre les vieux il y aurait beaucoup à dire et à faire dans ce pays mission impossible sauf de nouveau une révolution car elle n’a pas servie à grand chose. Les français honnêtes et travailleurs n’ont plus leur place dans la société française place aux étrangers. Gouvernants racistes contre les français. Quelle tristesse et quelle honte. Bon courage pour l’avenir.