WWIII : LA RUSSIE n'entend pas regarder passer les missiles Coréens et les Missiles Américains au dessus de son territoire. Le Président Vladimir Poutine s'en explique.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : LA RUSSIE n'entend pas regarder les missiles Coréens et les Missiles Américains passer au dessus de son territoire. Le Président Vladimir Poutine s'en explique:

La Russie n'est pas un terrain de tennis, où les balles sont renvoyées par dessus le filet, d'autant plus que ces balles sont nucléaires et que les détruire demande de la précision et du savoir faire. Les systèmes d'autodestruction des missiles peuvent aussi exploser naturellement s'ils détectent et anticipent une agression. La Russie se récolterait, dans une passe de Missiles d'agression et d'interception, une double pénalité en ayant l'explosion de deux bombes nucléaires au-dessus de son territoire, il ne lui resterait plus qu'à anticiper également, en envoyant ses propres missiles pour participer à la fête.

La logique de la première femme général, dirigeante du Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord, Lori Robinson, est déconcertante, et montre bien la désinvolture du Pays qui se permet tout, c'est à dire de considérer la Russie comme un No man's land où tout est permis, sans considération pour le Peuple Russe de pouvoir gérer lui-même, ses frontières aériennes, et sans trouver anormal qu'on utilise ce terrain contre un va-t-en guerre de Kim Jong Un, qui s'émancipe des accords de paix avec la Russie et la Chine, de devoir rester là où sa place doit-être, afin d'obtenir de la communauté internationale des subventions pour son armée et sa population.

Lori Robinson Cruise Missile considère qu'il n'y a pas d'autorisation à demander puisque d'après le traité de l'espace, il est prévu (articles 1er et 2) une liberté d'accès des États à l'espace extra-atmosphérique, sans que l'un d'entre eux puisse se l'approprier.

Le Traité de l'espace interdit (article 4) la mise en place d'armes nucléaires ou de toute autre forme d'arme de destruction massive sur l'orbite de la Terre, leur installation sur la Lune ou tout autre corps céleste, voire leur stockage dans l'espace hors de la Terre.

Ce traité limite exclusivement l'utilisation de la Lune et tout autre corps céleste à des fins non guerrières, et interdit explicitement leur usage pour tester des armes quel qu'en soit le type, conduire des manœuvres militaires, établir des bases militaires, des installations ou des fortifications. Les gouvernements terriens sont de plus interdits de s'arroger une ressource stellaire comme la leur, telle que la Lune ou une planète.

Les États s'obligent également à prêter assistance aux astronautes, quelle que soit leur nationalité (article 5).

Le traité institue (article 6) une responsabilité des États pour les activités commises dans l'espace extra-atmosphérique non seulement par des organismes gouvernementaux mais également par des entités non gouvernementales, par exception aux règles habituelles du droit international. Il indique que les activités non-gouvernementales dans l'espace, comprenant la Lune et les corps célestes, doivent obtenir l'autorisation préalable, puis la surveillance permanente de l'État membre concerné par le traité. L'État est également (article 7) responsable des dommages causés par le lancement d'un objet dans l'espace.

Les sous-marins et la marine Américaine, n'ont pas besoin de passer par le territoire des autres pour envoyer un missile à partir de la mer jaune face à la coré du nord et à Pyongyang, ou à partir de la mer du Japon, d'autant plus que la 7ème Flotte Américaine est déjà sur place.

Confirmation au premier Octobre:

USS Ronald Reagan

Un groupe aéronaval US bientôt au large de la Corée du Nord
© AP Photo/ Eugene Hoshiko

International 

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À la mi-octobre, le Pentagone enverra un groupe aéronaval vers les côtes est de la Corée du Nord, selon un fonctionnaire du ministère sud-coréen de la Défense.

Un fonctionnaire de la Défense sud-coréenne a annoncé, sous couvert d'anonymat, qu'à la mi-octobre un groupe aéronaval de la marine américaine conduit par le porte-avions USS Ronald Reagan participerait à des manœuvres conjointes américano-sud-coréennes au large des côtes est de la Corée du Nord.

«Des consultations sont en cours avec les États-Unis relatives au plan d'action du groupe aéronaval conduit par le porte-avions nucléaire Ronald Reagan en mer Orientale (du Japon), aux environs du 15 octobre», a confié le militaire sud-coréen.

Le porte-avions USS Ronald Reagan doit être accompagné de plusieurs bâtiments de guerre de la base navale de Yokosuka au Japon, notamment d'un croiseur lance-missiles, d'un destroyer équipé du système Aegis, capable d'abattre tout missile balistique nord-coréen, et d'un sous-marin armé de missiles de croisière Tomahawk.

Pendant les manœuvres, les navires américains et sud-coréens auront au programme la détection des lancements de missiles nord-coréens, le suivi de la trajectoire des missiles et leur interception.

Un porte-parole du Commandement américain en République de Corée a annoncé que la date définitive de l'arrivée du porte-avions Ronald Reagan n'était pas encore établie.

«Le plus probable, c'est qu'il participera aux exercices le 20 octobre. Un planning définitif n'est pas encore établi, tout dépendra de la situation. En outre, une escale dans le port sud-coréen de Busan est prévue», a annoncé le militaire américain.

Les médias sud-coréens signalent que les exercices se dérouleront sur fond d'une extrême escalade de tensions sur la péninsule coréenne, suite aux récents essais nucléaires et balistiques en Corée du Nord.

Dans le même temps, les États-Unis et la Corée du Sud ont organisé pour la première fois des exercices conjoints de défense antiaérienne rapprochée sur la péninsule coréenne. La date des exercices et le nombre total de militaires engagés n'ont pas été précisés.

Pyongyang a récemment déclaré avoir achevé les préparatifs d'une frappe contre l'île de Guam, située dans l'océan Pacifique, qui abrite la base aérienne américaine d'Andersen et la base navale Apra Harbor.

Les autorités américaines ont, quant à elles, répondu par une démonstration de force. Des bombardiers US ont survolé une partie de la côte orientale de la Corée du Nord pour montrer que Washington dispose «de nombreuses options militaires».

Russian President Vladimir Putin reacts during a press conference in Ankara, Turkey, September 28, 2017. REUTERS/Umit Bektas Reuters

MOSCOW (Reuters) - Moscow is prepared to work with Pyongyang to try to find a peaceful resolution to the North Korean missile crisis, the Russian Foreign ministry said on Friday.

The comments came in a statement issued by the ministry after a meeting between Russian ambassador-at-large Oleg Burmistrov and Choe Son-hui, director-general of the North American department of North Korea's foreign ministry.

Choe also met with Russian Deputy Foreign Minister Igor Morgulov, the ministry said.

"The Russian side confirmed its readiness to combine efforts in the interests of finding ways to solve the problems in the region by peaceful, political and diplomatic means," it said.

(Reporting by Jack Stubbs; Editing by Andrey Ostroukh)

 

Les États-Unis pourraient abattre un missile balistique nord-coréen au-dessus de la Russie
© Sputnik. Ilya Pitalev International URL courte 746157478

Si Pyongyang franchit le point de «non-retour» en utilisant les armes nucléaires, les États-Unis seront obligés d’abattre les missiles balistiques nord-coréens au-dessus du territoire russe, a communiqué la première femme général, dirigeante du Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord, Lori Robinson.

Sur fond de tensions accrues sur la péninsule coréenne, faisant craindre une éventuelle guerre nucléaire avec Pyongyang, les experts militaires américains estiment que si la Corée du Nord osait déclencher la guerre et lancer un missile balistique, les États-Unis pourraient l'abattre au-dessus de la Russie. Ce cas de figure a donc été évoqué par la première femme général, dirigeante du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord, Lori Robinson, citée par la revue spécialisée Defense One.

Dans le même temps, l'expert de l'Institut des recherches internationales à Middlebury, Joshua Pollack, a déclaré que pour effectuer l'interception du missile ainsi que pour assurer la sécurité de la côte ouest des États-Unis, le missile pourrait être abattu par les destroyers américains dans la région russe de l'Extrême Orient.

Pyongyang a récemment déclaré avoir achevé les préparatifs d'une frappe contre l'île de Guam, située dans l'océan Pacifique, qui abrite la base aérienne américaine d'Andersen et la base navale Apra Harbor.

Les autorités américaines ont, quant à elles, répondu par une démonstration de force. Des bombardiers US ont survolé une partie de la côte orientale de la Corée du Nord pour montrer que Washington dispose «de nombreuses options militaires», a annoncé samedi dernier le Pentagone.

Plus réelle que jamais: la guerre USA-Corée du Nord sur le point d’éclater?
Plus réelle que jamais: la guerre USA-Corée du Nord sur le point d’éclater?
© AP Photo/ Ahn Young-joon International
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Un conflit armé entre la Corée du Nord et les États-Unis est maintenant une possibilité bien «réelle». De nombreuses personnes y trouveraient la mort ou seraient blessées, a déclaré RUSI, un think tank influent spécialisé dans la défense et la sécurité au Royaume-Uni.

Une guerre dévastatrice déclenchée par une des deux puissances nucléaires, que sont les États-Unis et la Corée du Nord, pourrait commencer d'une minute à l'autre, prévient le Royal United Services Institute (RUSI) dans un rapport auquel The Independent se réfère.

«La guerre est maintenant une possibilité réelle. Tenant compte du progrès rapide de la Corée du Nord en matière de programmes de missiles et nucléaire, le temps n'est pas du côté de la diplomatie», indique le rapport.

Selon des experts, la Corée du Nord effectuerait une invasion à grande échelle, et la guerre ne serait «ni chirurgicale, ni courte».

 

En prévision de l'attaque par l'un des deux pays, le Royaume-Uni n'aurait à sa disposition que quelques heures «tout au plus» pour décider de quelle manière réagir.
Comme le signale Malcolm Chalmers, l'auteur du rapport, Donald Trump est le plus susceptible de déclencher la guerre.

Pyongyang a récemment déclaré avoir achevé les préparatifs d'une frappe contre l'île de Guam, située dans l'océan Pacifique, qui abrite la base aérienne américaine d'Andersen et la base navale Apra Harbor.

Les autorités américaines ont, quant à elles, répondu par une démonstration de force. Des bombardiers US ont survolé une partie de la côte orientale de la Corée du Nord pour montrer que Washington dispose «de nombreuses options militaires», a annoncé samedi le Pentagone.

L’Otan rejette le désarmement nucléaire

Le lendemain du jour où le président Trump exposait aux Nations Unies un scénario de guerre nucléaire, menaçant de “détruire totalement la Corée du Nord”, s’est ouverte aux Nations Unies, le 20 septembre, la signature du Traité sur la prohibition des armes nucléaires. Voté par une majorité de 122 états, il engage à ne pas produire ni posséder des armes nucléaires, à ne pas les utiliser ni menacer de les utiliser, à ne pas les transférer ni à les recevoir directement ou indirectement, avec l’objectif de leur totale élimination.

Le premier jour le Traité a été signé par 50 états, parmi lesquels Venezuela, Cuba, Brésil, Mexique, Indonésie, Thaïlande, Bangladesh, Philippines, Etat de Palestine, Afrique du Sud, Nigéria, Congo, Algérie, Autriche, Irlande et Saint Siège (qui l’a ratifié le jour même). Le Traité entrera en vigueur s’il est ratifié par 50 états. Mais le jour-même, où il a été ouvert aux signatures, l’Otan l’a bruyamment rejeté. Le Conseil nord-atlantique (formé par les représentants des 29 états membres), dans la déclaration du 20 septembre, soutient qu’”un traité qui n’engage aucun des états en possession d’armes nucléaires ne sera pas effectif, n’augmentera pas la sécurité ni la paix internationales, mais risque de faire l’opposé en créant des divisions et des divergences”. Il clarifie ainsi sans demi-mots que “nous n’accepterons aucun argument contenu dans le traité”.

Le Conseil nord-atlantique prive ainsi de leur autorité les parlements nationaux des pays membres, en les privant de la souveraineté de décider de façon autonome d’adhérer ou pas au Traité Onu sur l’abolition des armes nucléaires. Il annonce en outre que “nous appellerons nos partenaires et tous les pays ayant l’intention d’appuyer le traité à réfléchir sérieusement sur ses implications” (lire : nous les ferons chanter pour qu’ils ne le signent ni le ratifient).

Le Conseil atlantique-nord rappelle que le “but fondamental de la capacité nucléaire de l’Otan est de préserver la paix et décourager l’agression” et que “tant qu’existeront des armes nucléaires, l’Otan restera une alliance nucléaire”. Il assure cependant le “fort engagement de l’Otan pour la pleine application du Traité de non-prolifération nucléaire”.

Celui-ci est au contraire violé, entre autres, par les bombes nucléaires étasuniennes B61 présentes dans cinq pays non-nucléaires -Italie, Allemagne, Belgique, Hollande et Turquie. Les nouvelles bombes nucléaires B61-12, qui remplaceront à partir de 2020 les B61, sont en phase avancée de réalisation et, une fois déployées, pourront être “transportées par des bombardiers lourds et par des avions à double capacité” (nucléaire et non-nucléaire).

La dépense USA pour les armes nucléaires augmente en 2018 de 15% par rapport à 2017. Le Sénat a alloué, le 18 septembre, pour le budget 2018 du Pentagone environ 700 milliards de dollars, 57 milliards de plus que requis par l’administration Trump. Ceci grâce au vote bipartisan. Les démocrates, qui critiquent les accents belliqueux du président Trump, l’ont dépassé quand il s’est agi de décider de la dépense pour la guerre : au Sénat 90% des représentants démocrates ont voté avec les républicains pour augmenter le budget du Pentagone plus que ce que Trump avait demandé. Des 700 milliards alloués, 640 servent à l’achat de nouvelles armes -surtout les stratégiques pour l’attaque nucléaire- et à augmenter les soldes des militaires ; 60 aux opérations guerrières en Afghanistan, Syrie, Irak et ailleurs.

L’escalade de la dépense militaire étasunienne entraîne celle des autres pays membres de l’Otan sous commandement USA. Italie comprise, dont la dépense militaire, des actuels 70 millions d’euros par jour, devra monter vers les 100. Démocratiquement décidée, comme aux USA, avec un vote bipartisan.

Manlio Dinucci

Russian President Vladimir Putin participates in BRICS summit

Pressure on Russian Media Abroad Unacceptable - Putin La pression sur les médias russes à l'étranger est inacceptable - Poutine
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According to Kremlin spokesman Dmitry Peskov, Russian President Vladimir Putin called the current pressure on Russia-based media abroad unacceptable. Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitry Peskov, le président russe Vladimir Poutine a qualifié les pressions actuelles sur les médias basés à la Russie à l'étranger inacceptables.

During Putin's meeting with the Russian Security Council, both the president and the council declared pressure on the Russian media abroad unacceptable, underlining that it has increased recently. Au cours de la réunion de Poutine avec le Conseil de sécurité russe , le président et le conseil ont déclaré que la pression exercée sur les médias russes à l'étranger était inacceptable, soulignant qu'elle avait augmenté récemment.

"The issue of continuing and sometimes increasing pressure on Russian media in some foreign countries was also touched upon during the meeting," Peskov said. "La question de la pression continue et parfois croissante sur les médias russes dans certains pays étrangers a également été abordée lors de la réunion", a déclaré Peskov.

"It was noted that such actions against our media are unacceptable," Peskov stressed. "Il a été noté que de telles actions contre nos médias sont inacceptables", a souligné Peskov.

The day before, Margarita Simonyan, the RT editor-in-chief stated that RT broadcaster was asked to register as a foreign agent. La veille, Margarita Simonyan, l'éditeur en chef de RT a déclaré que le radiodiffuseur RT était invité à s'inscrire en tant qu'agent étranger. Otherwise, it might face restrictions that would make it unable to continue work in the United States. Sinon, cela pourrait faire face à des restrictions qui rendraient incapable de continuer à travailler aux États-Unis.

The Russian Foreign Ministry commented on the US Department of Justice's demands to register RT America channel's services provider as a foreign agent under FARA, saying that every move in relation to a Russian media will have a relevant response. Le ministère russe des Affaires étrangères a commenté les exigences du ministère américain de la Justice visant à enregistrer le fournisseur de services de la chaîne de RT Amérique en tant qu'agent étranger en vertu du FARA, affirmant que chaque déménagement par rapport aux médias russes aura une réponse pertinente.

 

Earlier in September, the US Department of Justice asked a RT contractor in the United States to register under Foreign Agents Registration Act (FARA), while in June US congressmen introduced the Foreign Agents Registration Modernization and Enforcement Act bill, which would broaden the scope of FARA to include RT, by expanding DoJ authority to investigate attempts to "unlawfully influence the political process." Plus tôt en septembre, le ministère de la Justice des États-Unis a demandé à un entrepreneur de RT aux États-Unis de s'inscrire en vertu de la Loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA), alors qu'en juin, les membres du Congrès des États-Unis ont présenté le projet de loi de la Loi sur la modernisation et l'application de l'enregistrement des agents étrangers qui élargirait la portée de FARA pour inclure la RT, en élargissant l'autorité de DoJ pour enquêter sur les tentatives d'«influencer illégalement le processus politique».

On September 11, RT America channel's service provider in the US received a letter from the US Department of Justice demanding that the company should register under the Foreign Agents Registration Act (FARA). Le 11 septembre, le fournisseur de service de RT America Channel aux États-Unis a reçu une lettre du ministère américain de la Justice demandant à la société de s'inscrire en vertu de la Loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA). The letter was received amid discussions on a bill in the US lower house aimed at amending requirements for registration of foreign agents under FARA. La lettre a été reçue au cours des discussions sur un projet de loi dans la chambre basse des États-Unis visant à modifier les conditions d'enregistrement des agents étrangers en vertu du FARA.

The bill, among other things, empowers the US DOJ, including the Federal Investigation Bureau (FBI), to identify and prosecute organizations that "illegally" try to influence the political processes in the United States. Le projet de loi, entre autres, habilite le DOJ des États-Unis, y compris le Bureau fédéral des enquêtes (FBI), à identifier et à poursuivre les organisations qui «illégalement» tentent d'influencer les processus politiques aux États-Unis.

The same day it was reported that the FBI had questioned former Sputnik employee Andrew Feinberg as part of the investigation of reports that the news outlet allegedly acted as a Russian propaganda agency in violation of FARA. Le même jour, il a été signalé que le FBI avait interrogé l'ancien employé de Sputnik, Andrew Feinberg, dans le cadre de l'enquête sur les rapports selon lesquels l'appareil de presse aurait agi comme une agence de propagande russe en violation du FARA.

It was claimed that the FBI had access to Sputnik's working correspondence from Feinberg and another former employee of Sputnik's Washington bureau, Joseph John Fionda. On a prétendu que le FBI avait accès à la correspondance de travail de Spoutnik de Feinberg et d'un autre ancien employé du bureau de Washington de Sputnik, Joseph John Fionda. The FBI itself has not responded to Sputnik's inquiry on whether it was conducting an investigation into the news agency. Le FBI lui-même n'a pas répondu à l'enquête de Sputnik sur la question de savoir s'il mène une enquête sur l'agence de presse.

In response, Kremlin spokesman Dmitry Peskov denounced the move as contradicting pluralism and freedom of the press , while Russian Foreign Ministry spokeswoman Maria Zakharova highlighted that Moscow "reserves the right to respond to the outrageous actions of the American side." En réponse, le porte-parole du Kremlin, Dmitry Peskov, a dénoncé le mouvement en contradiction avec le pluralisme et la liberté de la presse , tandis que la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a souligné que Moscou «se réserve le droit de répondre aux actions scandaleuses du côté américain».