WWIII : L'Antipape de la Mort et des Guerres de Religions, sous Hitler l'Eglise était aux côtés des bourreaux, le Pape Noir n'en finit pas de trahir.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : L'Antipape de la Mort et des Guerres de Religions: sous Hitler,  l'Eglise était aux côtés des bourreaux, le Pape Noir n'en finit pas de trahir partout où il va, même avec les Rohingyas.

Ansarullah , le Hezbollah et le Hamas décident de protéger la Mosquée Al- Aqsa en rentrant dans Jérusalem. Le Pape avait négocié discrètement avec Trump, pour mettre le feu aux poudres. Une aubaine pour la Coalition Occidentale afin de trouver un prétexte à la guerre Nucléaire et à détruire cette mosquée dans le cadre de la répression Palestinienne, par une bombe nucléaire attribuée aux Arabes.

En ce moment la Guerre civile s'installe à Gaza, et à Jérusalem. (voir la vidéo ci-dessous)

Le Président Vladimir Poutine, qui vient d'annoncer son intention de se représenter à la Présidence de la Russie, a tout de suite envoyé un message aux Palestiniens: "je suis à vos côtés, comme aux côté de l'Iran si Trump revient sur l'accord Nucléaire, où s'il engage avec Israël une nouvelle guerre en Palestine pour ses colonisations".

Le président du haut comité révolutionnaire au Yémen, Mohammad Ali al-Houthi, a affirmé que la décision du président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem AlQuds comme la capitale d’’Israël’, « constitue une nouvelle agression américaine contre la nation (Oumma) ».

M.al-Houthi a expliqué que « Trump n’aurait pas pris cette décision sans une complicité avec certains régimes arabes, dont à leur tête le régime saoudien ».

Il a dans ce contexte réitéré « la solidarité du peuple yéménite avec le peuple palestinien », annonçant que « le peuple yéménite est prêt à défendre la mosquée d’AlAqsa, en dépit de la poursuite de l’agression saoudo-US à l’encontre de notre peuple ».

Jérusalem: les Palestiniens en colère, le Hamas appelle à une intifada

 AFP / MOHAMMED ABED Des manifestants palestiniens brûlent des portraits de Donald Trump et Benjamin Netanyahu après la décision du président américain de reconnaître Jérusalem comme la capital d'Israël, le 7 décembre 2017

Les Palestiniens ont appelé jeudi à une grève générale et à des manifestations dans les territoires occupés pour protester contre la reconnaissance américaine de Jérusalem comme la capitale d'Israël, alors que le Hamas se prononçait pour une nouvelle intifada contre cette initiative potentiellement explosive.

Les dirigeants palestiniens revendiquent Jérusalem-Est, occupée puis annexée par Israël en 1967, comme la capitale de l'Etat auquel ils aspirent. Israël proclame tout Jérusalem, Ouest et Est, comme sa capitale "éternelle et indivisible".

La communauté internationale s'est gardée de reconnaître Jérusalem comme capitale. Pour elle, la question du "statut final" de Jérusalem, l'une des plus épineuses en vue d'un règlement de ce vieux conflit, doit être négociée entre Israéliens et Palestiniens.

Jeudi, les groupes palestiniens ont appelé à une grève générale dans les Territoires et à Jérusalem-Est, partie palestinienne de la ville annexée et considérée comme occupée par la communauté internationale. Les magasins sont restés fermés dans la matinée, les écoles également.

Des manifestations sont prévues à la mi-journée à Ramallah, qui fait office de capitale politique palestinienne, à Bethléem, également en Cisjordanie occupée, et au cours de la journée en différents points de la bande de Gaza, territoire reclus soumis à un rigoureux blocus israélien.

AFP / Ahmad GHARABLIDes drapeaux américain et israélien sur la façade de la mairie de Jérusalem, le 7 décembre 2017

Le mouvement islamiste Hamas, qui gouverne la bande de Gaza, a appelé à un nouveau soulèvement populaire.

"On ne peut faire face à la politique sioniste soutenue par les Etats-Unis qu'en lançant une nouvelle intifada", a déclaré le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh.

L'armée israélienne a annoncé le déploiement de bataillons supplémentaires en Cisjordanie, ce qui représente a priori plusieurs centaines de soldats.

- 'Cercle de feu' -

Passant outre aux mises en garde venues de toutes parts, le président américain Donald Trump a rompu avec ses prédécesseurs et la communauté internationale en annonçant mercredi cette décision historique aux conséquences imprévisibles et en ordonnant le futur transfert de l'ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem.

AFP / SAUL LOEBLe président américain Donald Trump, le 6 décembre 2017 à la Maison Blanche, à Washington

M. Trump, justifiant son geste notamment par sa volonté de tenir une promesse de campagne à la différence de ses prédécesseurs, s'est attiré une vaste réprobation à travers le monde.

Pour maints analystes, M. Trump prend le risque d'ouvrir la boîte de Pandore tant Jérusalem, avec ses lieux saints pour les juifs, les chrétiens et les musulmans, constitue un sujet passionnel.

Cette décision plonge la région "dans un cercle de feu", a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui s'emploie à mobiliser le monde musulman. Même le grand allié saoudien des Etats-Unis a parlé d'acte "irresponsable".

La reconnaissance a provoqué une colère sans précédent depuis longtemps contre les Etats-Unis chez les dirigeants de l'Autorité palestinienne, internationalement reconnue et censée préfigurer un Etat palestinien indépendant.

AFP / GALI TIBBONLe Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Jérusalem, le 7 décembre 2017

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a au contraire salué un "jour historique" mercredi soir. "Le président Trump est entré à jamais dans l'histoire de notre capitale", a-t-il renchéri jeudi.

Les Etats-Unis sont à présent discrédités pour continuer à jouer le rôle de médiateur de la paix qui a été le leur pendant des décennies, a dit le président palestinien Mahmoud Abbas.

M. Trump a pris ses fonctions en proclamant sa volonté de présider à l'accord diplomatique "ultime" et ses émissaires, à commencer par son gendre Jared Kushner, s'efforcent depuis des mois de ranimer l'entreprise de paix moribonde, sans qu'on connaisse rien de leurs intentions.

- Urgence à l'ONU -

"Les Etats-Unis restent déterminés à aider à faciliter un accord de paix acceptable pour les deux parties", a assuré M. Trump.

AFP / Kun TIANDonald Trump reconnaît comme capitale d'Israël

Mais, "en tant que négociateur en chef palestinien, comment puis-je m'assoir en face de ces gens s'ils m'imposent l'avenir de Jérusalem comme capitale d'Israël", a dit le secrétaire général de l'Organisation de libération de la Palestine, Saëb Erakat. "C'est être plus Israélien que les Israéliens", a-t-il asséné.

M. Trump a affirmé que reconnaître Jérusalem comme capitale ne signifiait pas prendre position sur des questions de "statut final", en particulier le périmètre de Jérusalem en tant que capitale d'Israël.

Mais la reconnaissance est inacceptable pour les Palestiniens parce qu'elle préjuge de l'issue de négociations.

Les organisations palestiniennes ont appelé à trois "jours de rage" à partir de mercredi.

Les protestations sont restées limitées mercredi, en dehors, notamment, d'un rassemblement de milliers de personnes qui ont brûlé des drapeaux américain et israélien et chanté "mort à l'Amérique" et "mort à Israël" dans la bande de Gaza.

Mais les regards sont d'ores et déjà tournés vers vendredi, jour de grande prière hebdomadaire sur l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, occasion de manifestations et de troubles dans les périodes de tensions.

Un porte-parole de la police israélienne a indiqué à l'AFP que cette dernière n'avait pour l'instant pas modifié son dispositif à Jérusalem.

Le même jour, le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir en urgence à la demande de huit pays, dont l'Egypte, la France et le Royaume-Uni.

Jérusalem AlQuds: le Hezbollah irakien menace; l’Ayatollah Sistani et S.Sader réagissent


sistani
 

Le haut dignitaire religieux irakien, l’Ayatollah Sayed Ali Sistani a condamné la décision de Trump sur AlQuds, qui a porté atteinte au sentiment des centaines de millions d’arabes et de musulmans.

Et de souligner: la décision de Trump ne changera pas la réalité sur le fait que la ville d’AlQuds est occupée et dont la souveraineté doit être restituée aux Palestiniens.

Le grand Ayatollah a en outre appelé la nation (Oumma) au déploiement des efforts et à l’unification des rangs dans ce sens.

Pour sa part, le Hezbollah irakien a menacé jeudi de s’attaquer aux forces américaines présentes dans le pays après la reconnaissance par les Etats-Unis de Jérusalem AlQuds comme la capitale d’ « Israël ».

« La décision de Trump (Donald Trump, le président américain) concernant Al-Quds (Jérusalem) légitime le fait de frapper les forces américaines en Irak », a affirmé Akram al-Kaabi, chef du mouvement al-Noujaba (Hezbollah irakien) dans un communiqué.

« La décision folle de Trump de faire de Jérusalem la capitale des sionistes ravive le soulèvement pour éliminer cette entité du corps de la nation islamique », a-t-il ajouté.

Officiellement, le Pentagone a affirmé que 5.262 militaires se trouvaient en Irak mais selon d’autres chiffres donnés de source militaire américaine ils seraient autour de 9.000.

Le mouvement al-Noujaba, né en 2013,  regroupe près de 1.500 militaires et fait partie du Hachd al-Chaabi, créé en 2014 pour combattre l’organisation takfiro-wahhabite Daesh.

Pour sa part, le chef du courant sadriste, Sayed Moqtada Sader, a appelé l’Arabie saoudite à mettre fin à sa guerre contre le Yémen, la Syrie et le Bahreïn. Il a dans ce contexte appelé Ryad à envoyer les avions des forces de la coalition qu’il dirige (dans sa guerre au Yémen) pour libérer Al-Quds. Sayed Sadr a en outre appelé le gouvernement irakien à fermer l’ambassade américaine.

De son côté, le ministre des Affaires étrangères, Ibrahim Jaafari, a convoqué l’ambassadeur américain en Irak pour protester contre la décision américaine.

FIASCO, COUARDISE ET LARMES DE CROCODILE…
Oui : Fiasco, Couardise et Larmes de crocodile, tel est le triste bilan du voyage surmédiatisé, qui s’est soldé par une défaite inavouée, due à une lâcheté sous cape, qui met à nu les intentions d’un pape qui n’a en tête qu’une seule obsession : éradiquer l’Islam ! C’est en plein génocide de ces pauvres Rohingyas qu’il conclut l’accord d’inaugurer une ambassade Vaticane avec Aung San Suu Kyi en Birmanie. Cette visite inédite, s’annonçait délicate, dit-on partout, dans un pays bouddhiste doublement accusé d'épuration ethnique contre la minorité musulmane des Rohingyas : le Human Watch et les Nations-Unis. L’impossible retour des Rohingyas expulsés, ou qui ont fui la violence de la Birmanie pour le Bengladesh est définitif, hélas, mais presque personne n’en parle. On laisse faire, on laisse passer comme pour la Palestine.
Depuis la naissance de l’Etat islamique, diaboliquement préparé, béni, guidé et orienté par les Etats-Unis et l’Union Européenne, dans cette ignoble chasse à l’Islam imposée par Vatican II, les Rohingyas se sont vus indexés comme minorité ethnique indésirable, parce que musulmane, et subirent ce criminel génocide tout comme les Palestiniens.
Ce n’est point pour l’amour de Dieu que l'administration américaine pris la défense des Rohingyas en pointant le génocide : elle craint que le fait de réprimander les dirigeants birmans, sur leur violence contre les Rohingyas, ait une incidence sur la stabilité du pays et son nouveau gouvernement, constitué depuis peu, dirigé par la belle Aung San Suu Kyi. Car de lourdes sanctions pourraient ralentir et inverser la transition délicate du pays vers la tant de fois fameuse « démocratie » américaine, et risqueraient de pousser la Birmanie à se rapprocher de la Chine…
L’armée birmane et la Chine ont décidé la construction d’un port en eaux profondes et une autoroute allant vers Kunming en Chine, accompagnés d’un gazoduc et d’un oléoduc. Les États-Unis voient cela d’un très mauvais œil et souhaitent retarder au maximum ces travaux qui permettraient aux cargos Chinois de ne plus emprunter le très dangereux détroit de Malacca. L’amitié entre la Chine et la junte ne plaît pas du tout aux meneurs du jeu !
La minorité chrétienne :
Charles Bo, archevêque de Rangoun, premier cardinal du pays depuis 2015, a été reçu samedi 25 septembre au Vatican, avant le voyage du pape, et lui a fait ses recommandations : éviter le mot Rohingya, en parlant des « musulmans de l'État Rakhine » ; ajouter à son programme une discrète rencontre avec le chef de l'armée birmane, Min Aung Hlaing, accusé par les organisations de défense des droits de l’Homme d’être le principal responsable de la campagne de répression, et un des hommes les plus puissants du pays, qui s’oppose inconditionnellement au retour des Rohingyas, la plus grande population apatride au monde.
Si de nombreux médias se sont scandalisés que le pontife romain ait soigneusement évité de prononcer le mot « Rohingyas », ou « s’il a donné sa langue au chat sur cette question », comme le dit justement un des comptes rendus, pour ne pas mettre à dos ses fidèles chrétiens avec la communauté bouddhiste majoritaire, car s’il venait à évoquer le sujet d’une façon distincte, cela attiserait les tensions. Ce que redoutent la minorité catholique ! Mais cela n’empêche que les raisons de cette fourberie soient claires et nettes : Les quelques 700.000 catholiques de Birmanie – cette poignée qui représente presque 1% des 51 millions d’habitants du pays -, qui ont longtemps été discriminés par la junte birmane, espèrent beaucoup de cette visite, espèrent le feu vert pour commencer leur mission d’évangélisation...
Les catholiques de Birmanie s’éloignèrent de longue date de la scène politique. Ils sont très minoritaires et parfois considérés comme des citoyens de seconde classe. Beaucoup d’entre eux n’ont pas la carte d’identité de couleur rose, qui permet aux citoyens de Birmanie de bénéficier de tous les droits associés à la nationalité, certains ne peuvent même pas suivre d’études à l’université, bien plus, la communauté catholique n’a pas obtenu les autorisations nécessaires pour célébrer l’eucharistie, pour la seule raison : ceux qui ne sont pas bouddhistes sont considérés comme des étrangers.
Le pape et ses ouailles :
Saluant le zèle missionnaire propre à la communauté catholique bangladaise, comme dans tous les pays où ils sont minoritaires, le pape a rappelé l’importance de la collégialité pour tous les prêtres de terrain. Énumérant les priorités pastorales de l’Église bangladaise, il a commencé par évoquer la nécessité d’instaurer une proximité plus grande envers les fidèles laïcs. Ce qui signifie, en langage vaticanais, approfondir la mission, l’évangélisation et le dialogue interreligieux, car « En juin, le Vatican nous a envoyé une lettre pour nous rappeler que trop de prêtres avaient quitté le ministère ces deux dernières années », avoue le cardinal Charles Bo, archevêque de Rangoun, qui essaie d’inciter la communauté catholique à s’engager, comme lui, dans des actions caritatives ou politiques. Le pape a donc besoin de nouveaux élus pour sa mission très vaticane. « Nous aimerions maintenant que nos fidèles deviennent des apôtres et des évangélisateurs pour bâtir la paix », précise le cardinal Charles Bo. Ce qui éclair un peu trop les dessous de cette visite papale, chef d’une église qui se vide malgré les efforts clownesques qu’il fait…
Un voyage qui semble avoir une dimension très politique, car se tenant dans deux pays au cœur de la crise des Rohingyas, mais François, ce fourbe, tel qu’il s’est décrit lui-même, a su éviter les pièges pour parler à chacun et demander que chaque minorité soit respectée, invitant toutes les religions, bouddhiste en Birmanie ou musulmane au Bangladesh à œuvrer, aux côtés de l’Église catholique, pour consolider la paix ! Et qui dit « Paix vaticane » saisit le reste...
À l’issue de la rencontre interreligieuse et œcuménique à l’archevêché de Dacca le vendredi 1er décembre 2017, le Pape a rencontré quelques réfugiés Rohingyas qui se déplacèrent jusqu’à chez lui pour lui éviter de voir l’indicible souffrance de cette minorité traquée : « Si sa visite est à propos de nous, il aurait dû venir ici pour nous rencontrer et nous parler. Il devrait voir comment nous vivons, comment nous avons à peine survécu à la Birmanie », estime Hami Tusang, attendant dans la file la distribution de la nourriture dans le camp de Balukhali… Un commentaire qui dit beaucoup !
Triste ou plutôt piètre réaction mal placée, pour la première fois de son voyage, face à ces seize réfugiés et leur misère, le pape a formulé une phrase abstraite, insignifiante, rien que pour montrer au monde qu’il a eu le courage de prononcer leur nom : « La présence de Dieu, aujourd’hui, s’appelle aussi Rohingyas ». Est-ce que cela a-t-il un sens quelconque autre que fadaise ?!
L’autre aspect du voyage :
Comme pour tous les voyages du pape, surtout dans les pays où ses adeptes sont une minorité, ce voyage aussi a ses dessous : La Birmanie est un pays qui possède une richesse colossale en pétrole, gaz, bois, eau, mines de jade et de diamant. Il s’agira ainsi très diplomatiquement de faire un maximum pour que la loi birmane sur la sainte laïcité soit respectée et que les richesses soient redistribuées parmi les Big Boss de la London City, où le Vatican a sa place prépondérante.
Quatre jours après son voyage en Birmanie et au Bangladesh, le pape est revenu sur les temps fort de sa visite, confiant sa joie d’avoir pu y rencontrer une communauté catholique aussi « vivante et fervente », « levain du Royaume de Dieu » malgré son petit nombre. Puis, il ajouta être « Très touché » par sa rencontre avec seize représentants de « l’ethnie Rohingya », il a rappelé la demande de pardon qu’il leur a faite « pour nos manques et nos silences » ! Quel Honte.
Un mot pour le « Très Saint Père » : Comparez votre attitude à l’égard du génocide des Rohingyas et celle à l’égard des sionistes, pour l’amour desquels vous et votre Institution avez bafoué le Christianisme en les réhabilitant du meurtre déicide, en soutenant l’occupation et l’accaparement de la Palestine, surtout que le fameux « Don de la terre » était conditionné par l’obéissance.
Zeinab Abdelaziz 7 décembre 2017
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