WWIII : POUTINE NE REPLIQUE PAS POUR LE MOMENT SUR LES ATTAQUES D'ISRAËL EN SYRIE. IL SE RESERVE POUR DES ACTIONS PLUS GRAVES.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : POUTINE NE REPLIQUE PAS POUR LE MOMENT SUR LES ATTAQUES D'ISRAËL EN SYRIE. IL SE RESERVE POUR DES ACTIONS PLUS GRAVES.

Il attend de voir ce que les négociations avec les pays Arabes donnent, et notamment la négociation  de faire basculer ce qui reste de la Cisjordanie et de Gaza dans le Sinaï Egyptien. Dans la période actuelle Netanyahu veut renvoyer des milliers de migrants illégaux dans le Sinaï, car ils viennent en Israël par cet endroit. La seconde possibilité pour Poutine c'est de redonner la Crimée aux Juifs en cas de conflit grandissant avec le Monde arabe, et de Guerres qui entraîneraient un rejet total du Peuple Juif au milieu des Arabes.

(la greffe n'aurait alors pas prise entre les Sionistes, alliés d'Hitler, pour l'accord de transfert du peuple juif en Palestine, Hitler est alors considéré comme le Parain d'Israël et Netanyahu, a démenti sa responsabilité de la shoah pour l'attribuer au grand mufti d'Israël).

 

L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie d'Hitler, arrivé au pouvoir le 30 janvier 1933.

L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'État allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands. Les accords fonctionneront jusqu'en 1939, jusqu'à ce que les Sionistes voient dans les camps de concentration un moyen de faire payer les Allemands à la fin de la Guerre, et d'obtenir la Palestine comme dette de Guerre, sans conditions.

Poutine n'est pas intervenu quand un Jet MIG 21Syrien a été abattu au dessus du Golan le 23 Septembre 2014, pas plus quand la DCA syrienne a abattu un chasseur israélien dans le ciel de Quneitra, au sud de la Syrie le 14 septembre 2016. Le positionnement des S300 et 400, avait incité chacun à la prudence.

De par sa mère Poutine est Juif, il a vécu entouré de voisins Juifs dans son enfance, et a une amitié pour les Juifs. Jusqu'à ces derniers temps il entretenait de très bonnes relations avec Jacob Rothschild, mais pour ne plus rien lui devoir, il a rembourser intégralement la dette de la Russie, et s'est fait qualifié de traître au Nouvel Ordre Mondial, que tous les Pays avaient à un moment donné accepté, dans la mesure ou l'hégémonie des USA et des Banquiers serait partagée entre l'Orient et l'Occident. Le président Xi-Jimping, de la Chine avait même proposé un partage du leadership Américain pour gérer le Monde.

La Crimée est l'ancienne terre des Juifs Ashkénazes ou Khazars, ce qui ferait pour eux un retour aux sources sachant qu'ils représentent 80% des Juifs, les autres étant des Juifs Séfarades. Les Ashkénazes descendent des juifs qui ont fui la Palestine après la conquête musulmane en 638 après J.C. Entre ces deux communautés, il existe un racisme et une race de sous-hommes pour ceux issus de l'Afrique. Dans l'ADN Juif on n'a plus retrouvé de descendance Sémite.

Pourquoi Poutine « autorise-t-il » Israël à bombarder la Syrie ?

2015-09-15_13h17_31-150x112Par le Saker – Le 18 janvier 2018 – Source The Saker

Informationclearinghouse a récemment publié un article de Darius Shahtahmasebi intitulé « Israel Keeps Bombing Syria and Nobody Is Doing Anything About It » [Israël continue de bombarder la Syrie et personne ne fait rien]. Suite à cette publication, j’ai reçu un courriel d’un lecteur, qui me pose la question suivante : « Poutine permet à Israël de bombarder la Syrie. Pourquoi ? Je suis troublé par les actes de Poutine – est-ce qu’il soutient discrètement l’entité sioniste ? J’apprécierais vos commentaires à ce sujet. J’ai aussi entendu – mais je ne suis pas en mesure de le confirmer – que les immigrants juifs en Palestine occupée sont les meilleurs persécuteurs des Palestiniens – il faut en faire beaucoup pour dépasser des gens comme Netanyahou. Merci de commenter. » Alors que dans son article, Darius Shahtahmasebi se demande pourquoi le monde ne fait rien pour arrêter les Israéliens (« Pourquoi l’Iran, la Syrie et / ou le Hezbollah au Liban n’ont-ils pas répliqué directement ? »), mon lecteur est plus précis et se demande pourquoi Poutine (ou la Russie) en particulier non seulement permet à Israël de bombarder la Syrie mais « soutient » même éventuellement l’entité sioniste.

Je vois souvent cette question dans des courriels et dans des commentaires, donc j’ai voulu traiter cette question aujourd’hui.

Premièrement, nous devons examiner quelques hypothèses importantes sous-entendues par cette question. Ces hypothèses sont :

  1. Que la Russie peut faire quelque chose pour arrêter les Israéliens ;
  2. Que la Russie devrait (ou est même moralement obligée de) faire quelque chose.

Permettez-moi d’abord de dire que je ne suis absolument pas d’accord avec ces deux hypothèses, en particulier la seconde. Prenons-les l’une après l’autre.

Hypothèse 1 : la Russie peut stopper les attaques israéliennes sur la Syrie

Comment ? Je pense que la liste des options est assez évidente. Les options russes vont de l’action diplomatique (comme les protestations et condamnations privées et publiques, les tentatives de faire passer une résolution au Conseil de sécurité de l’ONU) à l’action militaire directe (abattre un avion israélien, les « peindre » avec un radar d’engagement pour essayer de les effrayer ou, au moins, essayer d’intercepter des missiles israéliens).

Essayer de raisonner avec les Israéliens ou leur faire écouter l’ONU a été tenté par de nombreux pays depuis des décennies et s’il y a une chose qui ne fait plus aucun doute, c’est que les Israéliens se fichent totalement de ce que tout le monde dit. Donc leur parler n’est qu’un gaspillage d’oxygène. Et les menacer ? Effectivement, je pense que ça pourrait marcher, mais à quel risque et à quel prix ?

Tout d’abord, alors que j’ai toujours dit que les forces terrestres de l’armée israélienne sont assez mauvaises, ce n’est pas le cas de leurs forces aériennes. En fait, leur bilan est assez bon. Maintenant, si vous regardez où sont les défenses aériennes russes, vous verrez qu’elles sont toutes concentrées autour de Khmeimim et Tartous.  Oui, un S-400 a une très longue portée, mais celle-ci dépend de beaucoup de choses, y compris la taille de la cible, sa section radar transversale, ses capacités de guerre électronique, la présence d’avions spécialisés dans la guerre électronique, l’altitude, etc. Les Israéliens sont des pilotes compétents qui ont une grande aversion pour le risque et sont donc très prudents dans ce qu’ils font. Enfin, les Israéliens savent très bien où sont les Russes et où sont leurs missiles. Je pense qu’on pourrait dire avec assez de certitude que les Israéliens veillent à garder une distance de sécurité minimale entre eux et les Russes, ne serait-ce que pour éviter tout malentendu. Mais admettons que les Russes aient eu la chance d’abattre un avion israélien – quelle serait la réaction probable d’Israël à un tel tir ? Dans cet article, Darius Shahtahmasebi écrit : « Est-ce parce qu’Israël aurait plus de 200 bombes nucléaires, toutes ‘pointées sur l’Iran’ et que l’Iran et ses alliés ne peuvent pas grand chose pour faire face à une telle menace ? ». Je ne vois pas les Israéliens faire usage d’armes nucléaires contre les forces russes, cela ne signifie cependant en aucune manière que les Russes, lorsqu’ils traitent avec Israël, ne devraient pas considérer le fait qu’Israël est une puissance nucléaire gouvernée par des mégalomanes racistes. Concrètement, cela signifie ceci : « La Russie (ou tout autre pays) doit-elle risquer un affrontement militaire avec Israël pour la destruction de quelques camions ou d’un dépôt d’armes et de munitions ? » À mon avis, la réponse évidente est « non ».

Alors que c’est le genre de calculs que les États-Unis ignorent tout simplement (du moins officiellement – d’où les bruits de sabre contre la RPDC), la Russie est gouvernée par un homme sain d’esprit et responsable qui n’a pas l’habitude de se lancer tête baissée dans un conflit, d’où la décision russe de ne pas riposter en nature quand les turcs ont abattu un SU-24 russe. Si les Russes n’ont pas exercé de représailles contre les turcs, ils ne vont assurément pas attaquer les Israéliens lorsque ceux-ci attaquent une cible non russe !

Il y a aussi des questions purement factuelles à considérer : même si certains systèmes de défense aérienne russes sont très avancés et pourraient abattre un nombre X d’avions israéliens, ils sont loin d’être suffisamment nombreux pour empêcher toute l’armée israélienne de les saturer. En fait, tant Israël que le CENTCOM ont tout simplement un tel avantage sur l’assez petit contingent russe qu’ils pourraient tous deux écraser les défenses russes, même s’ils pourraient subir des pertes au cours du processus.

Donc oui, les Russes pourraient probablement stopper une ou quelques attaques israéliennes, mais si les Israéliens décidaient de s’engager dans une campagne aérienne soutenue contre des cibles en Syrie, il n’y a rien que les Russes pourraient faire à moins d’entrer en guerre contre Israël. Donc là aussi un principe stratégique s’applique totalement : vous ne voulez jamais lancer un processus d’escalade que vous ne pouvez ni contrôler ni gagner. Dit simplement, cela signifie : si les Russes contre-attaquent, ils perdent et les Israéliens gagnent. C’est vraiment aussi simple que cela (les stratèges en chambre ne le savent apparemment pas).

Et cela demande un examen critique de la seconde hypothèse.

Hypothèse 2 : la Russie a le devoir moral de stopper les attaques israéliennes contre la Syrie

C’est celle qui me laisse le plus perplexe. Pourquoi quelqu’un penserait-il que la Russie doive une quelconque protection à quiconque partout sur la planète ? Pour commencer, quand quelqu’un est-il venu la dernière fois à l’aide de la Russie ? Je ne me rappelle pas que quelqu’un, au Moyen-Orient, ait proposé son soutien à la Russie sur la Tchétchénie, la Géorgie ou, d’ailleurs, en Ukraine ! Combien de pays du Moyen-Orient ont-ils reconnu l’Ossétie du Sud ou l’Abkhazie (et comparez cela avec le cas du Kosovo !) ? Où était l’« aide » ou l’« amitié » des musulmans pour la Russie lorsque des sanctions lui ont été imposées ou que le prix du pétrole a chuté ? Rappelez-moi exactement comment les « amis » de la Russie lui ont exprimé leur soutien pour, disons, le Donbass ou la Crimée ?

Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi la Russie a une obligation morale avec la Syrie ou l’Iran ou le Hezbollah lorsque pas un seul pays musulman ou arabe n’a fait quoique ce soit pour aider le gouvernement syrien à lutter contre les takfiris ? Où est la Ligue arabe ? Où est l’Organisation de coopération islamique ?

N’est-ce pas un fait que la Russie a fait plus en Syrie que tous les pays de la Ligue arabe et de l’OCI réunis ?

D’où vient ce sentiment des Arabes et des musulmans du Moyen-Orient qui leur dit qu’un pays lointain, aux prises avec une masse de problèmes politiques, économiques et militaires qui lui sont propres doit faire plus que ce que font les voisins immédiats de la Syrie ?

Poutine est le président de la Russie et il est tout d’abord responsable envers le peuple russe à qui il doit expliquer toutes les pertes et chaque risque qu’il prend. Il me semble qu’il a absolument raison lorsqu’il agit d’abord pour défendre le peuple qui l’a élu et non quelqu’un d’autre.

En passant, Poutine a été très clair sur la raison pour laquelle il ordonnait une intervention militaire russe (très limitée) en Syrie : pour protéger les intérêts russes en tuant, par exemple des takfiris fous en Syrie pour ne pas devoir les combattre ensuite dans le Caucase et dans le reste de la Russie. À aucun moment et en aucune manière, un responsable russe ne s’est référé à une quelconque obligation de la Russie à l’égard de la Syrie ou de tout autre pays dans la région. C’est vrai, la Russie a soutenu le président Assad, mais ce n’était pas en raison d’une obligation envers lui ou son pays mais parce que les Russes ont toujours insisté sur le fait qu’il était le président légitime de la Syrie et que seul le peuple syrien avait le droit de le remplacer (ou de le garder). Et c’est bien sûr, dans l’intérêt national russe de montrer que contrairement aux États-Unis, la Russie soutient ses alliés. Mais rien de tout cela ne signifie que la Russie est maintenant responsable de protéger la souveraineté de l’espace aérien ou du territoire syrien.

En ce qui me concerne, le seul pays qui a fait davantage pour la Syrie que la Russie est l’Iran et, au lieu de montrer leur gratitude, les pays arabes « remercient » les Iraniens en conspirant contre eux avec les États-Unis et Israël. Hassan Nasrallah a parfaitement raison lorsqu’il traite tous ces pays de traîtres et de collaborateurs de l’Empire anglosioniste.

Il y a quelque chose de profondément immoral et hypocrite dans ces constantes pleurnicheries que la Russie devrait faire plus alors qu’en réalité la Russie et l’Iran sont les deux seuls pays à faire quelque chose de significatif (et le Hezbollah, bien sûr !).

Maintenant, permettez-moi d’aborder quelques questions fréquemment posées.

Question 1 : mais la Syrie, l’Iran et le Hezbollah ne sont-ils pas des alliés de la Russie ?

Oui et non. Objectivement oui. Formellement non. Ce que cela signifie est que tandis que ces trois entités ont des objectifs communs, elles sont également indépendantes et certains de leurs objectifs ne sont pas partagés par les autres. En outre, elles n’ont pas de traité de défense mutuelle et c’est pourquoi ni la Syrie, ni l’Iran ni le Hezbollah n’ont riposté à la Turquie lorsque les Turcs ont abattu le SU-24 russe. Même si certains pourraient être en désaccord, je dirais que cette absence de traité de défense mutuel formel est une très bonne chose ne serait-ce que parce qu’il empêche les forces russes ou iraniennes en Syrie de devenir des forces qui, si elles sont attaquées, exigeraient une réponse immédiate de l’allié. Dans une situation aussi dangereuse et explosive que celle du Moyen-Orient, le genre de souplesse conférée par l’absence de toute alliance formelle est un grand avantage pour toutes les parties impliquées.

Question 2 : cela signifie-t-il que la Russie ne fait rien ou même qu’elle soutient Israël ?

Bien sûr que non ! En fait, Netanyahou s’est même rendu à Moscou pour émettre toutes sortes de menaces et il est retourné à la maison sans rien (des sources russes rapportent même que les Israéliens ont fini par crier contre leurs homologues russes). Rappelons ici quelque chose qui devrait être évident pour tout le monde : l’intervention russe en Syrie a été une catastrophe absolue, totale et complète pour Israël (je l’explique en détail dans cet article). Si les Russes se souciaient le moins du monde des intérêts israéliens, ils ne seraient jamais intervenus en Syrie, pour commencer ! Cependant, cette politique russe au Moyen-Orient (ou ailleurs) ne signifie pas du tout que la Russie peut tout simplement ignorer la puissance très réelle des Israéliens, non seulement à cause de leurs armes nucléaires mais également à cause de leur contrôle de facto du gouvernement étasunien.

Question 3 : donc que se passe-t-il vraiment entre la Russie et Israël ?

Comme je l’ai expliqué ailleurs, la relation entre la Russie et Israël est très complexe et se situe à des niveaux multiples et rien entre ces deux pays n’est vraiment noir ou blanc. D’une part, il existe un lobby pro-Israël puissant en Russie, que Poutine a affaibli au fil des années, mais seulement par petites étapes. La clé pour Poutine est de faire ce qui doit être fait pour faire avancer les intérêts russes mais sans provoquer une crise politique interne ou externe. C’est pourquoi les Russes font certaines choses, mais plutôt tranquillement.

Tout d’abord, ils réhabilitent les défenses aériennes syriennes vieillissantes, non seulement avec des mises à jour informatiques, mais aussi avec du nouveau matériel. Ils forment aussi, évidemment, les équipages syriens. Cela ne signifie pas que les Syriens pourraient fermer leur ciel à l’aviation israélienne, mais que peu à peu, les risques d’attaquer la Syrie augmentent chaque mois. Nous ne le remarquons pas, mais j’ai confiance qu’une analyse soigneuse montrera que la valeur des types de cibles que les Israéliens attaqueront diminuera et diminuera encore, signifiant que les Syriens deviendront toujours plus capables de défendre leurs ressources les plus importantes.

Ensuite, il est assez évident que la Russie, l’Iran et le Hezbollah travaillent en synergie. Par exemple, les Russes et les Syriens ont intégré leurs défenses aériennes, ce qui signifie qu’aujourd’hui les Syriens peuvent « voir » beaucoup plus loin que leurs propres radars le leur permettraient. En plus, il faut considérer le nombre de missiles de croisière américains qui n’ont jamais atteint la base aérienne syrienne que Trump voulait bombarder : il est plus ou moins admis aujourd’hui que c’était le résultat des contre-mesures de guerre électronique russes.

Enfin, il est clair que les Russes « couvrent » politiquement le Hezbollah et l’Iran en refusant de les traiter comme des parias, ce qu’Israël et les États-Unis exigent depuis le début. C’est la raison pour laquelle l’Iran est traité comme un acteur clé du processus de paix soutenu par les Russes, tandis que les États-Unis et Israël ne sont même pas invités.

La vérité est simple : les Russes ne s’opposeront pas directement aux Israéliens, mais ce qu’ils feront est de renforcer tranquillement l’Iran et le Hezbollah, ce qui est non seulement plus sûr mais aussi plus efficace.

Conclusion

Nous vivons dans une société amochée et dysfonctionnelle qui, après des décennies de domination étasunienne, confond la guerre et l’agression avec la force, qui accepte implicitement l’idée qu’un « grand pays » est celui qui, régulièrement déchaîne sa violence et qui recourt toujours à la force armée pour riposter à une attaque. Je soutiens que les dirigeants russes et iraniens sont beaucoup plus raffinés que ça. Cela vaut aussi pour le Hezbollah, d’ailleurs. Vous souvenez-vous quand les Israéliens (avec la complicité évidente de certains membres du régime syrien, d’ailleurs) ont assassiné Imad Mughniyeh?  Le Hezbollah a promis de se venger, mais jusqu’à présent, presque dix ans plus tard, il ne l’a pas fait (ou du moins pas officiellement). Certains diront que les menaces du Hezbollah étaient des paroles en l’air – je ne suis pas du tout d’accord. Lorsque Hassan Nasrallah promet quelque chose, vous pouvez le tenir pour acquis. Mais les chefs du Hezbollah sont suffisamment sophistiqués pour riposter au moment opportun et à leurs propres conditions. Et pensez aux Iraniens qui, depuis la Révolution islamique de 1979, ont été dans la ligne de mire des États-Unis et d’Israël et qui n’ont jamais donné à aucun d’eux de prétexte pour les attaquer.

Lorsque vous êtes beaucoup plus puissant que votre adversaire, vous pouvez être stupide et répondre par la force brute, imbécile. Au moins à court ou moyen terme. Finalement, comme nous le voyons avec les États-Unis aujourd’hui, ce genre de stupidité agressive a l’effet inverse et finit par être contre-productif. Mais lorsque vous êtes plus petit, plus faible ou encore en train de recouvrer votre force potentielle, vous devez agir avec beaucoup plus de prudence et de finesse.  C’est pourquoi tous les adversaires de l’Empire anglosioniste (y compris le Hezbollah, la Syrie, l’Iran, la Russie, la Chine, Cuba, le Venezuela) font tout leur possible pour éviter d’utiliser la force contre les Anglosionistes, même quand elle serait tout à fait méritée. La seule exception à cette règle est Kim Jong-un, qui a choisi une politique de menaces hyperboliques qui, bien qu’elle soit peut-être efficace (il semble s’être montré plus malin que Trump, du moins jusqu’à maintenant), est aussi très dangereuse et aucun des pays de l’Axe de la résistance ne veut y participer.

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Les Russes, les Iraniens et le Hezbollah sont devenus « adultes » (en termes politiques), et Assad apprend très vite, et tous comprennent qu’ils affrontent un « singe avec une grenade à main » (cela s’applique totalement aux dirigeants israéliens et américains), qui combine une personnalité mauvaise, un tempérament emporté, un cerveau primitif et une grenade à main assez grande pour tuer tout le monde dans la pièce. Leur tâche est d’immobiliser le singe sans qu’il tire sur la goupille. Dans le cas des attaques israéliennes contre la Syrie, la responsabilité première de répondre d’une manière ou d’une autre incomberait soit à la cible des attaques (généralement le Hezbollah) soit au pays dont la souveraineté a été violée (la Syrie). Et tous deux pourraient, théoriquement, riposter (avec des missiles tactiques par exemple). Pourtant, ils ont choisi de ne pas le faire, et c’est l’approche sage et correcte. Quant aux Russes, ce n’est tout simplement pas leur affaire.

Addendum 1

Une dernière chose. Ne vous y trompez pas : la propension des Israéliens (et des Américains !) à recourir à la force comme substitut à la diplomatie est un signe de faiblesse et non de force. Plus précisément, leur usage de la force, ou sa menace, est le résultat de leur incompétence diplomatique. Alors que pour l’esprit non averti, l’usage systématique de la force peut apparaître comme l’expression de la puissance, l’histoire montre que la force brutale peut être vaincue lorsqu’elle n’est pas contestée directement, mais combattue par d’autres moyens. C’est, nécessairement, un processus lent, beaucoup plus lent qu’une « victoire rapide » (la plupart du temps tout à fait théorique), et néanmoins inéluctable. En termes purement théoriques, l’usage de la force peut grosso modo avoir n’importe lequel des autres résultats. Parfois l’usage de la force est vraiment la seule solution, mais je soutiens que le dirigeant politique sage ne recourra à elle que lorsque toutes les autres options ont échoué et lorsque des intérêts vitaux sont en jeu. Dans toute autres situation, « une mauvaise paix est préférable à une bonne guerre ».

Addendum 2

Contrairement aux hallucinations des néocons, la Russie n’est absolument pas une « URSS renaissante » et Poutine n’a aucun désir de reconstruire l’Union soviétique. En plus, il n’y a pas d’électorat significatif en Russe pour ce genre de plans « impériaux » (c’est vrai, il y a toujours quelques fous partout, mais en Russie ils sont, Dieu merci, une minorité impuissante). De plus, la nouvelle Russie n’est définitivement pas un pays « anti-USA » au sens où elle essayerait de contrer tout geste impérial ou hégémonique des États-Unis. C’est peut-être évident pour beaucoup, mais je reçois tant de questions sur la raison pour laquelle la Russie ne fait pas plus pour contrer les États-Unis en Afrique, en Amérique latine ou en Asie, que je pense qu’il est, hélas, toujours important de rappeler à tout le monde un principe de base du droit international et du bon sens : les problèmes du pays X doivent être réglés par le pays X. La Russie n’a, pas plus que les États-Unis, à « résoudre » les problèmes du pays X. En outre, les problèmes du pays X sont généralement mieux traités par les voisins immédiats de ce pays, et non par des superpuissances messianiques mégalomanes qui croient qu’elles devraient « projeter leur puissance » parce qu’elles sont « indispensables » ou parce que leur « destinée manifeste » leur a confié la « responsabilité » de « diriger » le monde. Toute cette terminologie n’est que l’expression d’une mentalité impériale pathologique et délirante qui a coûté à la Russie et à l’Union soviétique un prix effroyable en argent, en énergie, en ressources et en sang (par exemple l’intervention soviétique en Afghanistan a été justifiée par l’évocation du « devoir internationaliste » de l’Union soviétique et du peuple d’aider une « nation sœur »). Alors que ce genre d’absurdité est toujours 100% dominante dans les pauvres vieux États-Unis, elle est absolument rejetée dans la Russie moderne. Malgré toute la crédibilité personnelle de Poutine auprès du peuple russe, même lui ne pourrait pas s’en tirer en essayant d’intervenir militairement, encore moins contrôler la planète entière, à moins que les intérêts russes vraiment vitaux ne soient menacés (la Crimée a été un de ces très rares cas). Certains le déploreront, personnellement je m’en réjouis, mais la vérité est que « les Russes n’arrivent PAS ».

The Saker         

Cet article a été rédigé pour Unz Review

Aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites

La plupart des gens qui emploient à tout va le mot antisémitisme n’ont jamais tenu de livre d’Histoire dans leurs mains et n’ont pas vraiment étudié l’origine et la provenance du judaïsme et de son passé.

Les « Juifs » d’Europe orientale ne furent à aucun moment de leur histoire les légendaires « dix tribus perdues d’Israël », comme ils se plaisent à le raconter. Ce mensonge historique est maintenant solidement prouvé. Des recherches implacables ont montré que les « Juifs » d’Europe  ne peuvent légitimement se réclamer d’un seul ancêtre ayant mis un pied sur le sol de Palestine pendant l’ère biblique. La recherche a également révélé que les « Juifs » d’Europe orientale ne furent jamais des « Sémites », ne sont pas aujourd’hui des « Sémites », ni ne pourront jamais être considérés comme des « Sémites », même avec toute l’imagination qu’on voudra. Cette enquête exhaustive rejette de manière irréfutable la croyance généralement admise selon laquelle les « Juifs » d’Europe orientale sont « le peuple élu », suivant l’expression consacrée de nos prédicateurs. La recherche dénonce cette thèse comme la plus fantastique des fabrications de l’histoire. II est apparemment important de parler de ce sujet brûlant pour mettre certaines choses au clair.

Il faut ajouter qu’aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites, mais sont un mélange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et n’ont pas de liens génétiques avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures et les Magyars. Comment est-ce possible ?

Comment, et par qui, l’origine et l’histoire des Khazars et du Royaume de Khazarie, ont été si bien cachées pendant tant de siècles ? Quelle mystérieuse force a été capable pendant une multitude de générations, de rayer les origines et l’histoire des Khazars de tous les livres d’histoire, et ce dans tous les pays du monde, alors que l’histoire des Khazars et de leur royaume repose sur des faits historiques incontestables ? Si vous voulez comprendre pourquoi les Russes, les Anglais et plus tard les Allemands ont voulu chasser les juifs de leurs pays, vous devez en connaître la raison. Quelqu’un dans les livres d’Histoire nous a-t-il expliqué pourquoi on a persécuté les juifs et chassés de différents pays ?

Pourquoi les a-t-on chassés de tous les pays et pas un autre peuple ? Pourquoi n’y- a-t-il pratiquement que des juifs qui ont participé à la révolution bolchevique ? Car ils l’ont planifiée, financée et faite ! Pourquoi les médias sont-ils entre des mains juives, les banques aussi ? Pourquoi en 1995 aucun juif ne peut entrer en Malaisie ?

Depuis 40 ans le terme antisémitisme nous fait froid dans le dos dès qu’on prononce le mot juif. On a fait croire à l’opinion publique occidentale, contrôlée par les médias, dominés par les juifs khazars, que le terme d’antisémitisme s’appliquait presque exclusivement aux juifs. En réalité un juif d’aujourd’hui est aussi sémite qu’un Américain est Grec.

 

Les Khazars sont un peuple d’origine turque, dont la vie et l’histoire sont très proches du développement de l’histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils étaient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6ème siècle ils s’établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des Varègues. Le royaume khazar était à son apogée et menait constamment la guerre. Il n’y eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire à la mer Caspienne, et du Caucase à la Volga.

 

Au 8ème siècle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaïsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. Les deux exigeaient des Khazars qu’ils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres à l’Islam. Les Khazars choisirent le judaïsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siècles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et à la fin du 9ème siècle tous les Khazars étaient de religion juive. Ce fut Obadiah, un successeur de Bulan sur le trône, qui renforça le royaume et affermit la religion juive. II invita des savants à s’établir dans son royaume, fonda des synagogues et des écoles. Le peuple fut introduit à la Bible et au Talmud Les Khazars utilisaient l’écriture hébraïque. Mais leur langue restait la même.

Les Khazars étaient des païens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse était un mélange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolâtriques pratiqués en Asie par les nations païennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siècle. Les excès sexuels que pratiquaient les Khazars pour « célébrer » leurs cultes religieux les amenèrent à un degré de dégénérescence morale que leur roi ne pouvait plus tolérer. Au VIIe siècle, le roi Bulan décida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolâtriques, et choisit l’une des trois religions monothéistes (qu’il connaissait très peu), pour religion d’état. Après avoir fait venir des représentants des trois religions monothéistes, le roi Bulan rejeta le christianisme et l’islam, et choisit comme future religion d’état le culte religieux connu à l’époque sous le nom de « talmudisme », et aujourd’hui connu et pratiqué sous le nom de « judaïsme ». Cet événement est attesté par de nombreux documents.

 

Les Khazars sont les ancêtres des Israéliens

Heinrich Graetz

Quand le roi Bulan fut convertit au VIIe siècle, il décréta que les caractères hébreux qu’il avait vus dans le Talmud et dans d’autres documents hébreux, seraient dorénavant adoptés comme l’alphabet du langage khazar. Les caractères hébreux furent donc tant bien que mal utilisés pour transcrire phonétiquement le langage des Khazars. Les Khazars adoptèrent les lettres de la langue hébraïque, simplement afin de se doter d’un moyen de transmettre leurs discours par écrit. Cette décision n’est aucunement l’indice d’une origine raciale commune avec les Hébreux, pas plus qu’elle ne fut motivée par des raisons politiques ou religieuses.

Beaucoup de membres de la famille royale se réfugièrent en Espagne, d’autres en Hongrie, mais la majorité resta dans leur pays. (Jewish Encyclopedia, Volume IV, article on Chazars, page 1-5). Le professeur H. Graetz explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mélange de sensualité et d’inceste. Après Obadiah il y eut un grand nombre de rois khazars, et d’après leur droit, il devait être juif. Pendant un grand laps de temps les souverains d’autres nations n’eurent pas connaissance de la conversion du royaume khazar, et quand ils l’apprirent, ils crurent que le royaume abritait les descendants des 10 tribus. Ces informations ne sont pas secrètes, elles proviennent d’un dictionnaire, The jewish Encyclopedia. Et cela prouve, mis à part 5 à 6 % de la population juive d’aujourd’hui, qu’il n’y a pas de liens directs avec les Hébreux. Donc ce ne sont pas des Sémites !
Les juifs d’origine khazars les plus connus aujourd’hui sont les Rothschild. Leur nom vient de l’enseigne (Schild en allemand) rouge (Rot), le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs à Francfort.

Maintenant il est possible de répondre à une question importante : Pourquoi est ce que ce sont les juifs qui ont planifié la révolution bolchevique, qui l’ont faite et financée ? Que voulaient les juifs en Russie ?
Pour les raisons énoncées ci-avant, il est compréhensible que les Khazars, chassés par la monarchie russe, aient voulu reconquérir leur Russie.

Pour plus d’informations, dressons la liste des noms juifs/ khazars des leaders de la révolution bolchevique :

Chernoff / Von Gutmann ; Trotzki / Bronstein ; Martoff / Zederbaum ; Kamhoff / Katz ; Meshkoff / Goldenberg ; Zagorsky / Krochmal ; Suchanov / Gimmer ; Dan / Gurvitch; Parvus / Helphand ; Kradek / Sabelson ; Zinovjeff / Apfelbaum ; Stekloff / Nachamkes ; Latin / Lurye ; Ryazanoff / Goldenbach ; Bogdanoff / Josse ; Goryeff / Goldmann ; Zwewdin / Wanstein ; Lieber / Goldmann ; Ganezky / Fuerstenberg ; Roshal / Solomon. (Die Absteiger, Des Griffin)

De plus, les présidents de l’Union Soviétique, Lénine, Staline, Khroutchev, Gorbachev, Eltsine, même le leader d’extrême droite Jirinovsky, sont des juifs khazars !

Il est primordial de comprendre cela, car c’est bien la preuve que la notion d’antisémitisme n’a rien à voir avec ces juifs-là, elle est donc complètement déplacée. Tout le monde arabe par contre, est d’origine sémite. Le bon terme serait antisioniste. Ce sont donc ceux qui disent que les juifs sionistes d’aujourd’hui n’ont pas de rapport avec les Hébreux qui ont raison. Et ils n’ont dix fois pas le droit à un État d’Israël en Palestine ! En clair, les habitants actuels d’Israël n’ont pas de raisons et pas de droit de vivre dans un état israélien, car ils ne sont pas d’origine hébraïque ou israélite. Les juifs modernes pourraient revendiquer, tout au plus, une partie de la Russie.

Un expert de plus en la matière est Alfred Lilienthal, qui dans son livre The Zionist Connection  montre à l’aide de documents, que la naissance de l’État d’Israël en 1948 a été l’aboutissement d’intrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infâmes compagnons, en Angleterre et aux USA.

Ce n’est un secret pour personne que le droit de l’État sioniste à une terre s’appuie sur une loi internationale (une résolution de l’ONU de 1947 sur la répartition de la Palestine, et non pas sur l’origine hypothétique du peuple juif ou sur le pacte mythique d’Abraham avec le Dieu Yahvé ! Cette résolution a été obtenue de force par les Khazars.

Toutes les décisions viennent de New York. La plupart de nous savent qu’il y a plus de juifs à New York qu’à Jérusalem, que New York appartient à des juifs khazars (pas seulement les banques ou la Réserve Fédérale, mais aussi des immeubles, des terrains, des hypermarchés, etc.)

Le Rabbin Stephen Wise nous confirme dans son autobiographie que cette déclaration de Lilienthal est un fait historique. Jusqu’à aujourd’hui les Arabes ont été bafoués et trompés autant qu’il se peut. (Challenging Years, page 186).

Vu sous cet angle, les juifs modernes, les Khazars, sont les plus grands antisémites, car ils torturent les peuples arabes, qui sont les véritables Sémites, en menant des guerres, à travers les banques juives internationales et -les magnats du pétrole. Comprenez-vous tout, clairement ? Comprenez-vous que tout ce que vous entendez dans les médias ou que vous regardez, est le contraire de la vérité ?

Aussi la politique sioniste est-elle le fruit du travail des Khazars et non des Hébreux. Celui qui combat les sionistes n’est pas antisémite. Il est au plus antisioniste.
Même le terme Sion a été faussé par les Khazars. Les juifs s’attribuent la montagne Sion comme la montagne où habite le peuple dominateur, ce qui est grotesque. Dans la Nouvelle Bible de Jérusalem, Psaume 48, il est dit : Il est grand le Seigneur, il est comblé de louanges, dans la ville de notre Dieu, sa montagne sainte. Belle et altière, elle réjouit toute la terre. L’Extrême- Nord, c’est la montagne de Sion, la cité du grand roi. Le mot Sion est mal traduit. En hébreu on lit Sion, et on décrit la montagne Sin (sumérien), qui parle de la montagne du Nord – d’après les Templiers (Societas Templi Marcioni), la montagne de minuit, l’Allemagne actuelle. Et le Psaume 48 le dit bien : La montagne de Sion se trouve loin dans le Nord!

La plupart des gens en Europe répondraient à la question sur la signification du judaïsme, sans sourciller, que le judaïsme est la religion des juifs, donc leur système de valeurs, leur foi. Ils diraient que c’est la religion de l’Ancien Testament et qu’ils s’appuient sur les enseignements de Moïse. La plupart répondraient dans ce sens, ce qui sonne bien. Malheureusement ce n’est pas la vérité ! Des banques ?

Donnez moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait les lois! Amschel Mayer Rothschild (1743-1812)

Les Khazars les plus puissants et les plus célèbres sont les Rothschild, des Talmudistes zélés. Voici un petit aperçu de leur histoire :

Moïse Amschel Bauer, un joaillier et cambiste nomade, d’origine khazare, s’établit dans la ville où son fils Mayer Amschel Bauer vit le jour en 1743, à Francfort, en Allemagne. Il accroche une enseigne rouge au-dessus de son magasin, de la rue des juifs, le signe des Khazars. C’est Mayer Amschel qui changea son nom plus tard et prit le nom d’enseigne rouge. Après la mort de Moïse Bauer, Amschel Bauer commence un apprentissage dans la banque Oppenheimer à Hanovre et devient rapidement un junior partner. La pierre angulaire de la richesse de Rothschild est le fait qu’il connaît le général Von Estorff qui, à cette époque, s’occupait de la messagerie de la banque. (De nos jours les liens sont encore très étroits entre la maison Rothschild et la banque Oppenheimer). C’est par lui qu’il devient conseiller proche du prince Guillaume de Hanau. En 1770 il épouse Gutele Schnaper, qui a 17 ans, et fonde une famille de 5 garçons et 5 filles.

Rothschild, agent du marchand de chair humaine Guillaume de Hanau, qui loue ses troupes à tous les gouvernements, élabore les plans pour fonder les Illuminati de Bavière, (d’après les dires de l’officier de renseignements de la marine royale canadienne, William Guy Carr) et désigne Adam Weishaupt pour s’occuper de leur développement. À l’aide d’une somme de 3 millions $, qu’il soutire au prince Guillaume, il décide de développer ses affaires sur une plus grande échelle Il devient le premier banquier international ! Mayer Amschel lègue cet argent à son fils Nathan, qui gère les affaires de la famille à Londres et qui s’enrichit en prêtant de l’argent au duc de Wellington, quadruplant sa richesse. Fort de cette richesse, les Rothschild ouvrent des succursales à Berlin, Vienne, Paris et Naples, où ils mettent leurs fils aux commandes. Londres a été et reste toujours le siège principal des Rothschild.

Dans le testament de Mayer Amschel il est précisé que toutes les positions clé doivent être occupées par des membres de la famille, et que ceux-ci, pour conserver le patrimoine et la richesse, doivent se marier entre cousins et cousines du premier et deuxième degré. La règle a été assouplie plus tard, quand d’autres banques juives sont apparues, et que les Rothschild ont marié leurs enfants à ces familles d’élite, pour agrandir la fortune. On sait que les Rothschild étaient des Talmudistes fanatiques, que le contenu du Talmud faisait partie des lectures quotidiennes. Des magiciens de la finance et des fins calculateurs, poussés par un instinct diabolique jusqu’au succès de leurs agissements secrets, c’est ainsi que le biographe Frederic Morton décrit Mayer Amschel et ses cinq fils. Ils n’avaient aucune pitié envers les Goyim (les étrangers) dans tout ce qui touchait leurs affaires. Après leur succès à Waterloo, ils se mirent à la conquête des ÉtatsUnis. Ils perdirent le premier round, quand le président Jackson décida de fermer la Bank of the United States, qu’ils avaient fondée, en mettant son veto. Mais ils ne lâchèrent pas prise. Ils excitèrent la haine des deux côtés pendant la guerre civile américaine de 1861-1865, financèrent les deux côtés àtravers leur banques de Paris et de Londres.

En 1914 leurs deux agents principaux, Kuhn Loeb & Co et J. P. Morgan & Co, étaient bien établis aux USA. Jacob Schiff prit le commandement et appuya, à l’aide de ses relations avec les représentants allemands des Rothschild, la banque M. M Wartburg de Hambourg et d’Amsterdam, l’édification de l’empire de Rockefeller, la Standard 011, les chemins de fer d’Edward Harriman, et les aciéries de Carnegie.
En 1907 ils provoquèrent en Amérique la plus importante crise monétaire de cette époque, à travers les banques Kuhn Loeb & Co, J. P. Morgan & Co, et M. M. Wartburg, dont la conséquence fut la création de la banque centrale privée des Rothschild, la Federal Reserve Bank, avec leur agent et collaborateur de Kuhn Loeb & Co, Paul Wartburg à sa tête. (Paul Wartburg était aussi le président de I. G. Farben).

Jacob Schiff était pour les Rothschild le financier et le coordinateur de la révolution bolchevique et le financier personnel des Khazars (Trotzki et ses rebelles), afin de permettre (comme il y a 1000 ans) que les Khazars reviennent au pouvoir en Russie. Nous savons par les plans de Mazzini et de Pike que tout allait comme prévu, et qu’on avait monté de toutes pièces un scénario de guerre froide pour endormir l’opinion publique. On peut affirmer, sans exagérer, que la Russie, l’Armée rouge, appartient aux détenteurs de l’emblème des Khazars, à ceux qui portent son nom, les Rothschild.

Ce n’est que la pointe de l’iceberg des Rothschild. On comprend mieux pourquoi les 85 millions de morts du régime communiste entre 1917 et 1953 ne les ont pas touchés, alors qu’ils ont financé cette révolution. Frédéric Morton nous dit : « Aujourd’hui la famille veut donner l’image d’une existence discrète et invisible. Ce qui fait que la plupart des gens croient qu’à part la légende, il ne reste pas grand chose. Les Rothschild sont satisfaits, et se laissent porter par cette légende ». (The Rothschild, page 19). Si les juifs sont d’origine Khazars et non Sémites, Israël n’as plus de légitimité à exister.

Commençons par mettre de l’ordre dans les termes que nous utilisons tous les jours. Qui sont les Sémites ?

D’après le très conservateur et très explicite Oxford Universal Dictionary, le mot sémite a été employé pour la première fois en 1875, et décrit une personne qui appartient à la race englobant presque tous les peuples des descendants de Sem, le fils de Noah, d’après la Genèse, chapitre 10, de l’Ancien Testament, et dont la langue maternelle est une langue sémite – d’où les Akkadiens, les Phéniciens, les Hébreux, les Araméens, les Arabes, les Assyriens…

Dans le dictionnaire de Langer de l’Histoire du monde, il est dit que le terme de sémite ne s’applique pas à une race, mais à un groupe de peuples, dont la langue maternelle est sémite.
Le profane pourrait donc penser : Eh bien, les Hébreux sont donc des Sémites. C’est vrai. Les Hébreux sont des Sémites, mais on peut se demander quel est le lien entre les juifs et les Hébreux, les juifs d’aujourd’hui n’ont presque rien en commun avec les Hébreux. Regardons l’Histoire.

 

Les Hébreux ne viennent pas, comme on le dit souvent, de Chaldée. Ils vinrent en Chaldée comme étrangers, et ont été traités de la sorte, et chassés. Le pays d’origine des Hébreux est décrit dans le premier livre de Moïse comme étant la région entre Messa et Saphar, la montagne de l’est d’Ebal, c’est-à-dire la région de la pointe, le point le plus au sud de la péninsule arabe.
MoïseDans l’Ancien Testament, on peut lire, comme nous venons de le dire, que Sem était le fils de Noé, ce qui est une erreur. Cela vient du fait que Néhémie et Esdras ont pris les poèmes et les légendes du vieux Babilus, les ont recopiés et les ont adaptés selon leurs intérêts en les falsifiant. (Ils ont fait pareil avec l’histoire du roi Sargon, qu’ils ont pris comme modèle pour l’histoire de Moïse, dont la véritable histoire est complètement différente. De plus, Moïse a vécu plus de 1000 ans après Sargon.)
Les Hébreux viennent donc en vérité de ce point géographique, dont parle le premier livre de Moïse 10-30, c’est à dire de l’endroit le plus étroit de la mer Rouge, tout au sud, au pied du mont Ebal. Une nouvelle tribu s’était formée à partir de peuples différents. Le chef de cette nouvelle tribu s’appelait Abil Habr, chassé de la tribu des Schabées. La tribu prit le nom de Habrites, qui devinrent plus tard les Hébreux. D’autres hommes chassés de leur tribu vinrent se joindre à cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves évadés. Peu à peu se forma un nouveau peuple. Ali Habr fit construire une forteresse, et partit à la conquête de l’île de Bara (Perim), qui appartenait au royaume d’Égypte. Là, il fit alliance avec les tribus éthiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble ils conquirent le territoire des Maures jusqu’au lac Ugan Ugan (l’Ouganda actuel). Il fonda un royaume et c’est àcet endroit que ce peuple devint le peuple hébreu. Le centre de ce pays porte le nom de Habr, d’après Ali Habr.
Comme Ali Habr avait institué la polygamie, un peuple complètement nouveau émergea, constitué de mélanges de plusieurs types humains. Dans la force de l’âge, Ali Habr contracta une maladie sexuelle. À cette époque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina (Sinaï). Il était connu pour faire des miracles à travers des sacrifices humains qu’il destinait à un dieu sauvage. Ali le fit venir à lui. Le sorcier introduisit le rite de la circoncision et le dieu, Jaho/Yahvé/El Schaddaï, chez les Hébreux.

Ali Habr développa ses conquêtes et prépara une guerre contre le pays de Habach, dont le roi était de la famille du pharaon. Le roi appela les Égyptiens à l’aide. Le pharaon Sesostris Ier envoya une flotte et une armée, les Hébreux furent battus. Les soldats du pharaon prirent aussi la forteresse de Har Habr, triomphant de leur ennemi.

Tous les crimes des Hébreux se trouvent dans les livres de Moïse à Esther (celui-ci devrait s’appeler le livre de Mordekhaï (Mardochée), d’après le plus grand malfaiteur) de l’Écriture sainte, dont personne ne sait pourquoi elle s’appelle sainte alors qu’elle devrait s’appeler l’histoire criminelle falsifiée des Hébreux. On peut y dénombrer plus de soixante-dix massacres et génocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, l’inceste et autres atrocités. Le pire est qu’aucun de ces crimes n’est jamais puni. Au contraire, c’est Yahvé qui ordonne ces méfaits, et ils correspondent bien aux principes du Talmud. Le peuple juif s’identifie malgré tout, à part quelques exceptions, sans honte, à cette loi et à son histoire sanguinaire.

Voilà, le peuple juif se compose de deux parties, les Sefardim et les Ashkenazim. Les Sefardim sont d’origine hébraïque et ont vécu depuis l’Antiquité en Espagne (en hébreu, Séfarade), d’où ils ont été chassés au 15ème siècle. Dans l’édition de 1960 de l’Encyclopedia Judaica on trouve ces faits : En 1960 il y a 500. 000 juifs d’origine hébraïque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 millions.

Veuillez constater sur la vidéo suivante que ces animateurs TV reconnaissent cette réalité (la Vraie). Ce qui est le plus intéressant à entendre (vers la fin) c’est ceci : « Il a peut être raison, mais il n’aurait jamais du le dire »

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