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WWIII : ISRAËL-RUSSIE, je t'aime, moi non plus. Pour NETANYAHU il faut profiter des élections Russes, mais le Président POUTINE doit venir le 21 juillet 2018 inaugurer la reconstruction de l'Eglise Antique de Saint-Bauzille de Montmel à côté de Montpellier.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : ISRAËL-RUSSIE, je t'aime, moi non plus. Pour NETANYAHU il faut profiter des élections Russes pour troubler le Jeu, mais le Président POUTINE doit venir le 21 juillet 2018 (en tant que Président)inaugurer la reconstruction de l'Eglise Antique de Saint-Bauzille de Montmel à côté de Montpellier.

Pour avoir assurer sa protection pendant les Elections Présidentielles, le Président Vladimir Poutine se rendra à Saint Bauzille de Montmel, en France, à côté de Montpellier, pour y vénérer l'Apôtre des Apôtres, la bien heureuse Sainte-Marie Madeleine, dans son Eglise Primordiale Antique, du premier siècle, bénie par le Pape Léon Premier Le Grand, en 420, d'où le nom de l'Oppidum ou promontoire Pic Saint Léon le Grand.

Concernant St Bauzille à 20km à l'est de Montpellier, l'Eglise Antique de Sainte-Marie Madeleine, Eglise de l'Apocalypse. En ces temps de la Fin, où l'Humanité pourrait complètement disparaître, le retour du Christ est attendu, et comme à son habitude, il se montrera en premier à sa Femme, qui est son Eglise.
La Femme du Christ, Marie Madeleine, y a vécu pendant 20 ans à Saint Bauzille de Montmel, de l'an 30 à l'an 50, avant d'aller dans l'Aude et en particulier à Reines les Bains. Elle a eu deux filles Audia et Flora. Ensuite elle est allée à la Grand Baume à Saint Maximin, en fin de vie.
Sainte Marie Madeleine, est arrivée dans le Languedoc, Occitanie, ou Septimanie, par la voie de la Mer, aux Saintes Maries, en pleine période Romaine et de persécution des Chrétiens. Ci-dessous sceau de la Septimanie de Marcus Licinius Crassus, le triumvir extrêmement riche.(Collection personnelle)
 

L'actuel président russe, Vladimir Poutine, a soumis mercredi 27 décembre 2017, son dossier de candidature à l'élection présidentielle, afin de pouvoir briguer en mars 2018 un quatrième mandat qui le conduirait à la tête de la Russie jusqu'en 2024. Le principal opposant à Vladimir Poutine, Navalny, est déclaré inéligible jusqu'en 2028 en raison d'une condamnation de justice. La présidentielle russe est prévue le 18 mars 2018, mais à cette date la CIA et le Mossad comptent bien pervertir les élections Russes, afin de faire nommer l'un ou l'une de leurs au Kremlin, de la même façon que Donald TRUMP a été perçu le candidat de Moscou en 2016.

Les autres candidats déjà inscrits pour la Présidentielle Russe sont le dirigeant du Parti libéral-démocrate (LDPR) Vladimir Jirinovski et le candidat appuyé par le Parti communiste (KPRF) Pavel Groudinine. Proposés par des partis représentés au parlement, ces deux candidats ne doivent pas collecter de signatures.

Cinq autres candidats potentiels attendent une décision de la commission électorale: Grigori Iavlinski (Iabloko, démocrate), Boris Titov (Parti de la croissance, libéral conservateur), Sergueï Babourine (Union populaire de Russie, national conservateur), Ksenia Sobtchak (Initiative civile, libéral) et Maksim Souraïkine (Communistes de Russie)

La campagne électorale pour la présidentielle russe du 18 mars a officiellement débuté le 18 décembre. Le premier tour doit se tenir le . Si lors du premier tour, aucun des candidats n'atteint la majorité absolue des voix, un second tour aura lieu trois semaines plus tard, le .

Le Trésor américain a rendu publique lundi une liste de 210 personnalités, politiques ou hommes d'affaires plus ou moins proches du président russe, et laissé planer la menace de sanctions envers eux s'ils ne soutenaient pas le candidat qui sera désigné par l'Amérique pour succéder à Vladimir Poutine. En agissant sur de gros industriels, le Trésor, peut promouvoir ou défaire de grosses fortunes en Russie, et le budget de Jacob Rothschild est illimité pour faire tomber le traître au Nouvel Ordre Mondial. S'il ne faisait pas cette démarche le DEEP STATE US se retrouverait ruiné et vaincu.

L'opposant russe et avocat Alexeï Navalny, appelle au boycott de l'élection présidentielle de mars 2018, et pour arriver à son résultat il promet des bouteilles de Vodka aux Russes. Navalny, qui dit avoir «créé le plus important mouvement politique de masse de l'histoire récente de la Russie avec plus de 200 000 volontaires», a appelé à une mobilisation nationale contre la tenue des élections, le 28 janvier.

Principale figure de l'opposition, Alexeï Navalny s'attaque une nouvelle fois à Vladimir Poutine, qu'il soupçonne de vouloir devenir «empereur à vie» de toutes les Russie. Dans un entretien à l'AFP, Navalny appelle au boycott de l'élection présidentielle, prévue en mars 2018. «Ces élections ne sont pas des élections, et mon rôle va maintenant consister à expliquer que cette procédure, qu'ils qualifient d'élections, consiste de fait à renommer Poutine». Il a déclaré vouloir «convaincre les gens qu'il est impossible de reconnaître ces élections ou ce régime».

À en croire les sondages, le président sortant, Vladimir Poutine, est assuré d'emporter le scrutin présidentiel russe, dont le premier tour aura lieu le 18 mars prochain. L'homme, qui compte environ 80% d'opinions positives parmi la population russe, conduirait ainsi son quatrième mandat présidentiel depuis 1996, après un passage au poste de premier ministre, échangé avec Dmitri Medvedev, élu président le temps d'un mandat en 2008.

Faire tomber Donald TRUMP, pour relations incestueuses avec la Russie, du fait d'un Krach Boursier qu'on lui imputerait et qui a déjà commencé, en ruinant de nombreux Américains, pourrait conduire à renforcer  l'opposition Russe à Vladimir Poutine. 

Le député européen du Front national Bruno Gollnisch se rendra à Moscou le 18 mars, à la demande des autorités russes, pour veiller au bon déroulement de l'élection présidentielle, qui est qualifiée de "supercherie" par les opposants au favori de ce scrutin Vladimir Poutine.

"Veiller à la pluralité des candidatures". "J'ai donné mon accord aux autorités russes pour partir à Moscou le 18 mars en tant qu'observateur étranger", a déclaré mardi Bruno Gollnisch. "Je dois aller dans plusieurs bureaux de vote pour observer le scrutin et veiller à la pluralité des candidatures et à la sincérité du vote", a ajouté le responsable frontiste.

Pas de vrai concurrent pour Poutine. Le président Vladimir Poutine, arrivé au Kremlin en 2000, et sans réel concurrent, devrait remporter un quatrième mandat qui le maintiendrait au pouvoir jusqu'en 2024, sauf énorme surprise. Son principal opposant, Alexeï Navalny, a été déclaré inéligible en octobre en raison d'une condamnation pénale qu'il estime avoir été orchestrée par le Kremlin.

Pavel Nikolaïevitch Groudinine serait son challenger(en russe : Павел Николаевич Грудинин) est un homme d'affaires et un homme politique russe né le 20 octobre 1960 à Moscou. Groudinine est le candidat du Parti communiste de la fédération de Russie à l'élection présidentielle de 2018.

Après des études en ingéniérie agricole, Groudinine commence sa carrière professionnelle en 1982 comme ingénieur mécanicien dans un sovkhoze de la région de Moscou. En 1996, il devient directeur de la ferme devenue privée.

Groudinine commence sa carrière politique en 1997 quand il est élu à la Douma de l'oblast de Moscou.

D'abord proche de Vladimir Poutine et du parti Russie unie, il s'en éloigne pour se rapproche du Parti communiste.

Groudinine est choisi par le Parti communiste comme candidat à l'investiture du Parti communiste pour l'élection présidentielle de 2018.

81% des Russes sont prêts
à voter Poutine aux présidentielles

Les élections présidentielles se rapprochent, la liste des candidats les plus solides est globalement posée et les Russes peuvent faire leur choix. Celui-ci est simple, clair, sans équivoque : ils veulent la stabilité, ne recherchent pas le risque et votent V. Poutine, qui devrait passer au 1er tour.

L’institut de sondage Vtsiom a publié son dernier sondage sur les présidentielles russes à venir. Voici les données.

67% des Russes sont certains d’aller voter, 11% devraient y aller, 15% ne savent pas, 3% certainement n’iront pas et 4% ont décidé de ne pas aller voter. Cela remet en cause l’idée d’un désintérêt de la population pour ces élections, puisqu’environ 80% devraient y participer. Il est vrai que les élections présidentielles sont les élections phares dans les pays où le président gouverne, puisque de lui va dépendre le cours politique du pays.

En ce qui concerne les candidats, s’il fallait voter aujourd’hui, V. Poutine recevrait 81,1% des voix, P. Groudinine 7,6%, V. Jirinovsky 4,2%, K. Sobchak 0,7%, G. Iavlinsky 0,6% et B. Titov 0,4%. Par ailleurs, 0,4% des électeurs envisagent un vote nul, ce qui confirme l’absence de nécessité de restaurer le vote "contre tous". En ce qui concerne les intentions de vote, trois remarques :

•Les candidats de la traditionnelle "opposition libérale" n’arrivent toujours pas à convaincre, soit parce qu’ils sont trop marqués par l’idéologie des années 90 que la population n’a pas envie de voir revenir (Iavlinsky ou Titov, qui n’arrivent pas à renouveler le discours), soit parce qu’ils répondent aux attentes de leurs sponsors - étrangers et se positionnent en faux du consensus social (Sobchak pour qui la Crimée est ukrainienne, soutient le mouvement homosexuel ...).

•Le fait que Groudinine soit passé devant Jirinovsky s’explique de plusieurs manières. Il y a une lassitude certaine de l’électorat face au burlesque de Jirinovsky devant les caméras. Pour sa part, Groudinine bénéficie de l’effet de surprise, qui relance un peu l’électorat et lui permet de remonter de quelques points le score que faisait Ziouganov dans le sondage de décembre (3,3%), mais il est encore bien loin du score de Ziouganov à la présidentielle de 2012 (17,2%). Et nous sommes également très loin des déclarations grandioses de Groudinine affirmant près de 50% de soutien dans la population ... si les élections sont honnêtes. Espérons qu’il ne tombera pas dans le travers de l’opposition radicale.

•Le score sans appel de V. Poutine s’appuie le bilan, tant intérieur qu’extérieur : les salaires sont corrects, payés à temps, les pensions ne sont plus ridicules, les prix sont maîtrisés, l’économie est soutenue par l’Etat et sort de la crise. Les électeurs font alors le choix de la stabilité, n’ont pas envie de prendre le risque de perdre cet acquis par une expérimentation. Cela ne signifie pas qu’ils soient satisfaits de tout, des critiques continuent face à la politique sociale ou économique du gouvernement, mais il y a une différence entre vouloir mieux et remettre en cause ce qui existe. Quant au bilan international, il est sans appel : la Russie est revenue sur la scène internationale. La population fait ainsi le choix d’un pays fort et souverain.

Pour la CIA, il faut détruire Vladimir Poutine, par tous les moyens, y compris le suicide en voiture, où son chauffeur préféré a trouvé la mort sur une autoroute de Moscou. Tous les déplacements du Président Poutine vont être scrutés à la loupe, pour viser le moment opportun. Il n'y a plus aucune importance pour que la CIA soit mêlée à un attentat contre Vladimir Poutine, puisque les révélations, la propagande Américaine, ne se gênera plus de le traiter comme un danger au Nouvel Ordre Mondial, et à la Paix dans le Monde, ce qu'il est assurément, vu du côté Américain.

La ville de Saint-Pétersbourg, objet d'attentas à répétition, est a éviter, car la moins sûre des villes de Russie, quant à l'organisation des opposants armés à Poutine.

Il semblerait qu'on veuille également atteindre le Président Vladimir Poutine pour détournements d'argents et enrichissement personnel, en faisant de lui l'Homme le plus riche du Monde au détriment du Peuple Russe qui peine et qui ne gagne pas dans les mêmes proportions.

Russie: Alexeï Navalny arrêté en pleine manifestation de l'opposition à Moscou
mediaDes partisans de l'opposant Alexeï Navalny réunis à Moscou pour prôner le boycott de l'élection présidentielle de mars prochain, ce dimanche 28 janvier 2018.Alexander NEMENOV / AFP

Situation tendue en Russie ce dimanche 28 janvier 2018. L'opposant principal au pouvoir, Alexeï Navalny, appelait à manifester dans une centaine de villes. Mais la police fait pression sur le candidat écarté de la présidentielle de mars prochain. Alors qu'il appelle au boycott du scrutin, il a été interpellé à Moscou, a-t-il annoncé sur Twitter.

« On vient de m'arrêter. Cela n'a aucune importance. Venez sur Tverskaïa. Vous n'êtes pas venus ici pour moi, mais pour vous et votre futur », a tweeté Aleweï Navalny ce dimanche. La police s'était d'abord rendue à son domicile, mais il n'y était pas. C'est donc en pleine manifestation qu'elle a dû l'interpeller.

L'opposant s'était rendu rue Tverskaïa, dans le centre de Moscou, où il n'a pas pu rejoindre ses partisans réunis place Pouchkine. « Voleurs ! Vous avez cinq minutes pour partir ! », a-t-il lancé. Puis : « Ça y est, ils arrivent, ils sont déjà là », alors qu'une dizaine de policiers se précipitaient vers lui pour l'intercepter.

Ses soutiens ont tenté en vain de s'interposer, et Alexeï Navalny a été emmené de force dans un camion aux vitres fumées. Près de 90 personnes auraient été arrêtées, selon un décompte réalisé à 11 h GMT par le site spécialisé OVD-Info. Plusieurs milliers d'opposants avaient répondu à l'appel dans le pays.

La place Pouchkine était l'un des deux lieux de rassemblement des partisans d’Alexeï Navalny à Moscou. Les manifestants se sont déplacés de cette place vers une autre, située à quelques centaines de mètres, revenant ensuite sur leurs pas. Une manifestation circulaire, peu de slogans, quasiment pas de panneaux.

Le simple fait de porter une pancarte peut en effet entraîner une arrestation, le rassemblement étant de facto considéré comme illégal par les autorités russes et par la police, qui a été déployée massivement sur les deux places et le long de l’avenue qui les relie, explique notre correspondant, Daniel Vallot.

A la mi-journée, malgré la forte présence policière, les partisans de M. Navalny se disaient déterminés à défiler et à dire leur opposition à un scrutin qu’ils qualifient de supercherie. « Nous appelons au boycott de cette élection, car sans la participation de Navalny elle n’aura aucune légitimité », confiait un participant.

Les manifestants sont souvent très jeunes. Il s'agit de lycéens, d'étudiants pour la plupart, qui sont conscients du risque encouru, le risque d’arrestation. « Nous sommes prêts à prendre ce risque, disent-ils, pour défendre la démocratie face à un système qui ne respecte pas nos droits. »

Il faut sans doute une certaine dose de détermination et de courage pour braver de la sorte les autorités russes à l'appel d'Alexeï Navalny. Toutes les personnes qui ont osé battre le pavé des rues de la capitale russe ce dimanche risquent en effet des peines d'incarcération pouvant aller jusqu'à un mois ferme.

Je n’aurais pas pu rester chez moi, il fallait que je vienne ici, c’est notre destin d’être ici. Notre génération ne comprend pas que nos conditions de vie soient aussi mauvaises. Les plus âgés se souviennent des années 1990 et pensent que la Russie de Poutine est dans une meilleure situation. Mais notre génération est née alors que Poutine était président, nous avons vécu toute notre vie avec Poutine au pouvoir et nous avons besoin d’autre chose. Nous avons besoin de la liberté d’expression, et nous voulons une vie meilleure, c’est tout! Si je suis venu ici, c’est que cette situation me met en colère. Nous ne voulons pas de Poutine. Nous pensons qu’il n’est pas notre président légitime 

Urgent:
Présidentielle russe 2018: trois candidats dont Vladimir Poutine déjà en lice
© Sputnik. Sergueï Gouneïev Russie URL courte
7200

Vladimir Poutine, qui entend briguer son 4e mandat présidentiel, n’a pas encore reçu son certificat de candidat, mais la commission électorale russe a déjà pris une décision concernant son enregistrement.

La Commission électorale centrale (CEC) de Russie a officiellement inscrit mardi Vladimir Poutine comme candidat à la prochaine présidentielle qui aura lieu le 18 mars, remettant le certificat de candidat de M.Poutine au juriste Sergueï Kabychev, responsable de son groupe de soutien.

«Nous avons passé une étape complexe et importante. Nous avons presque 315.000 signatures. Nous sommes reconnaissants à tous les électeurs qui ont fait confiance à notre candidat, aux collecteurs de signatures qui ont réalisé un grand travail et aux notaires qui ont certifié les listes», a indiqué M.Kabychev devant les journalistes.

 

© Sputnik. Anton Denissov
Certificat de candidat à la présidentielle délivré à Vladimir Poutine

Il a promis de transmettre le jour même le certificat de candidat à M.Poutine.

Début décembre, Vladimir Poutine a annoncé qu'il se présenterait comme candidat indépendant à la présidentielle du 18 mars 2018. En Russie, pour devenir candidat à la présidence, il faut soit être proposé par un parti réuni en congrès, soit se présenter comme candidat indépendant. Dans le deuxième cas, le candidat doit réunir un comité de soutien d’au moins 500 personnes et collecter entre 300.000 et 315.000 signatures d'électeurs (7.500 maximum par région).

Au total, le groupe de soutien a recueilli 1,6 million de signatures en faveur de M.Poutine dont 314.837 ont été envoyées à la CEC. Selon le vice-président de la commission Nikolaï Boulaïev, seules 232 signatures reçues, soit 0,39%, ont été invalidées ce qui représente le plus petit nombre de signatures non conformes lors des campagnes présidentielles en Russie.

Vladimir Poutine devient le premier candidat indépendant officiellement inscrit et le troisième candidat en lice, après le dirigeant du Parti libéral-démocrate (LDPR) Vladimir Jirinovski et le candidat appuyé par le Parti communiste (KPRF) Pavel Groudinine. Proposés par des partis représentés au parlement, ces deux candidats ne doivent pas collecter de signatures.

Cinq autres candidats potentiels attendent une décision de la commission électorale: Grigori Iavlinski (Iabloko, démocrate), Boris Titov (Parti de la croissance, libéral conservateur), Sergueï Babourine (Union populaire de Russie, national conservateur), Ksenia Sobtchak (Initiative civile, libéral) et Maksim Souraïkine (Communistes de Russie)

La campagne électorale pour la présidentielle russe du 18 mars a officiellement débuté le 18 décembre. 

Experts : risque d’escalade entre la Russie et Israël© By Marc -
Les experts s’alarment d’un risque d’escalade entre la Russie et Israël à propos de la Syrie
La rencontre entre le Premier Ministre Biyamin Netanyahu et le Président russe Vladimir Poutine, la semaine dernière, n’a pas semblé résoudre quoi que ce soit dans les divergences d’objectifs des deux pays en Syrie, et il demeure peu évident que le status-quo puisse se prolonger indéfiniment.

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu (left) and Russian President Vladimir Putin meet in Moscow in late January. Credit: Kobi Gideon/GPO.

Le Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahu (à gauche)et le Président russe Vladimir Poutine se sont rencontrés à Moscou fin Janvier. Credit: Kobi Gideon/GPO.

(5 février  2018 / JNS) La rencontre entre le Premier Ministre Biyamin Netanyahu et le Président russe Vladimir Poutine, la semaine dernière, n’a pas semblé résoudre quoi que ce soit dans les divergences d’objectifs des deux pays en Syrie, et il demeure peu évident que le status-quo puisse se prolonger indéfiniment

Les avions russes ont encore augmenté le rythme de leurs attaques en Syrie lundi, quelques jours après que les rebelles syriens aient abattu un de leurs avions SU 25 et tué son pilote dans un échange de tirs contre lui.

“La Russie tente de restaurer le contrôle du régime Assad sur la Syrie, de sécuriser ses bases militaires, de démontrer la supériorité de ses armes en gardant un oeil sur l’augmentation potentielle de ses ventes d’armes et de développer ses modalités de projection de sa puissance sur le Moyen-Orient”, déclare à JNS, Ariel Cohen, un chercheur important du think tank du Conseil Atlantique.

Le résultat de ce rôle accru de la Russie dans la région est négatif pour Israël, selon Cohen, également directeur du Centre Géopolitique des Ressources Naturelles et de l’Energie à l’Institut d’Analyse de la Sécurité Internationale à Washington D.C.

L’Iran ont tiré avantage de la couverture apportée par la Russie dans la guerre en Syrie pour tenter de transférer clandestinement plus d’armements avancés que jamais à travrs le pays vers le Hezbollah au Liban.

Netanyahu a déclaré au cours de sa rencontre avec Poutine que l’Iran tente “de transformer le Liban en un vaste site de production de missiles – un site pour fabriquer des missiles de précision contre l’Etat d’Israël. C’est quelque chose que nous sommes pas prêts à tolérer”.

Cohen a expliqué que les défenses anti-aériennes russes basées en Syrie couvrent la grande majorité du territoire israélien, font sévèrement obstacle à la liberté des opérations des forces aériennes israéliennes. Deuxièmement, la Russie est uen bien meilleure position pour espionner et collecter des renseignements militaires sur Israël. Et troisièmement, la présence russe en Syrie rend le Levant plus sûr pour l’Iran, alors même qu’il représente une menace stratégique et existentielle pour l’Etat Juif.

“Tout cela met la Russie en position d’arbitre stratégique vis-à-vis de Jérusalem – lui permettant de décider jusqu’à quel degré, la liberté de manœuvre d’Israël peut s’étendre dans la région”, dit-il.

“Pour la première fois depuis l’effondrement de l’Union Soviétique, Moscou est à égalité avec Washington, quant à sa capacité de dicter son agenda politique et militaire à la région Est de la Méditerranée”, conclut Cohen.

Anna Borshchevskaya, détentrice de la chaire Ira Weiner à l’Institut de Politique du Porche-Orient de Washington (le WINEP), affirme que les objectifs actuels de la Russie en Syrie demeurent de préserver le pouvoir d’Assad, et à tout le moins, de maintenir un partenariat étroit avec l’Iran et d’assurer que les intérêts de Moscou demeurent protégés.

Quoiqu’il en soit, les objectifs de la Russie semblent, de toute évidence, contraires aux intérêts d’Israël dans le pays, qui est plus focalisé sur ses capacités à déjouer les tentatives de renforcements de l’Iran et du Hezbollah en Syrie. En tant que tels, cela pourrait avoir suffisamment de potentiel pour envenimer les tensions entre les deux pays.

“Il serait douteux que Poutine cherche à provoquer une crise bilatérale avec Israël ; au contraire, les bonnes relations sont importantes pour lui, mais il n’est pas non plus évident de savoir combien de temps il peut maintenir l’équilibre qu’il a instauré jusqu’à présent en termes de bonnes relations aussi bien à l’égard de l’Iran que d’Israël.

Borshchevskaya a poursuivi en ajoutant que “les intérêts d’Israël apparaissent contredire de plus en plus les intérêts de Poutine et, alors qu’aucun camp ne cherche à déboucher sur une crise bilatérale, une escalade est tout-à-fait possible”.

Les attaques Israéliennes en Syrie, à la fois, contribuent et portent préjudice aux intérêts russes 

Yuri Teper, un expert israélien de la Russie qui, jusqu’à récemment, était chercheur post-doctorat à l’Institut Kennan de l’Université Hébraïque de Jérusalem, a déclaré que “Permettre à Israël d’agir en Syrie affaiblit l’image omnipotente de la Russie en Syrie parmi ses alliés et ses ennemis, mais cela contribue à limiter l’étendue de ces attaques contre le régime Assad”.

Cependant, la Russie a aussi un intérêt à permettre la poursuite de ces frappes israéliennes, dit-il. D’abord, la détermination d’Israël à agir en Syrie quand ses intérêts nationaux sont en jeu signifie que les options de la Russie sont limitées si elle veut éviter une confrontation directe avec l’Etat Juif.

Ensuite, les relations de la Russie avec l’Iran ne sont pas ausi étroites que certains experts et médias le font paraître. Ces deux pays rivalisent pour le pouvoir en Syrie et leurs objectifs dans la région différent (aussi).

“En permettant à Israël d’attaquer les capacités et infrastructures stratégiques du Hezbollah” ajoute Tepper, “la Russie met un frein à l’influence de l’Iran et rend le régime syrien plus dépendant des capacités des forces aériennes russes”.

Par ARIEL BEN SOLOMON

jns.org

Adaptation : Marc Brzustowski

Nouvelle frappe d’Israël sur le centre chimique de Jamraya©
Reportages syriens : de nouvelles attaques israéliennes ont pris le Centre de Jamraya (près de Damas) pour cible
Selon des reportages dans les médias syriens officiels (contrôlés par Assad), les systèmes de défense du pays auraient tenté de répliquer à “une nouvelle agression” lancée par Israël contre le centre chimique et de fabrication de missiles de Jamraya, déjà attaqué deux fois en 2013 et très récemment, en fin 2017. Ce centre de développement d’armes de destruction massives aurait été confié à la direction du Hezbollah, selon certains experts.

La Syrie a déjà accusé deux fois Israël d’avoir frappé son centre de développement d’armes chimiques par le passé,selon le journal saoudien Al-Hayat. Il faut dire que, depuis 2013, derrière Obama, le monde prétendu “libre” s’est obstiné à laisser une libre exploitation par Assad de ses missiles chimiques, si l’on excepte une frappe américaine en avril 2017 contre la base de Sheyrat (59 Tomahawks)
C’est tôt à l’aube du mercredi 07 février qu’Israël aurait à nouveau frappé dans les faubourgs de Damas, selon les médias d’Etat syrien, dont le dictateur a récemment menacé Israël de représailles contre l’aéroport civil international Ben Gurion.

La Syrie prétend que ses systèmes de défense anti-aérienne auraient répliqué, soit pour tenter d’intercepter des missiles, soit directement contre les avions de Tsahal. Ce qui tendrait à confirmer qu’ils se trouvaient dans l’espace aérien syrien, et pas au-dessus du Liban (?).

Ce centre “scientifique” de recherche sur le meurtre de masse se trouve à Jamrya.

Previous attack in Jamraya, also attributed to Israel

Une attaque précédente à  Jamraya, également attribuée à Israël

Les informations circulant sur les réseaux sociaux parlent d’au moins trois fortes explosions entendues dans la zone du grand Damas. Certains reportages non-confirmés parlent aussi de missiles syriens tirés sur les missiles pour les intercepter, ainsi que sur les avions israéliens.
Un F-16 israélien, le 31 Décembre, 2015 (Ofer Zidon/Flash90)

L’armée israélienne ne commente pas ce type d’imputation d’incidents.

Le premier Ministre et certains hauts-responsables de la défense se sont, en général, contentés de confirmer qu’Israël est susceptible d’entreprendre toutes les actions que nécessite la défense de ses intérêts sécuritaires et nationaux, chaque fois qu’une nouvelle “ligne rouge” est franchie, c’est-à-dire en cas d’attaque délibérée ou accidentelle contre le Golan ou à partir du sud de la Syrie, ou lors de transferts de convois d’armes vers le groupe terroriste Hezbollah, au Liban ou ailleurs.

D’autres actions préventives contre l’Iran ou le groupe terroriste Hezbollah se dértoulent en parallèle à ces raids aériens qui ont lieu au rythme de l’accélération par l’Iran de ses transferts d’armes en vue de son installation durable aux portes d’Israël.

Avec Ynet, Debka et agences dont Liad Osmo|Publié le :  02.07.18 , 08:29
« PERDRE SON IDENTITE SPIRITUELLE EST UN АRRET DE MORT POUR N’IMPORTE QUEL PAYS »

 

 

« Cher Vladimir Vladimirovitch, chers participants à cette cérémonie solennelle, 

Le saint prince Vladimir a abordé la question du choix de la religion de façon très pragmatique. Il a envoyé ses ambassadeurs afin de comprendre où, comment, on servait Dieu. Cela témoigne de l’absence de fausseté du prince, son aspiration à aborder d’une façon extrêmement honnête et objective la question la plus importante, à savoir le choix de la foi.  

Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où les vérités sont érodées. La voie dont les adeptes sont nombreux, sans en être conscients, est le relativisme de la vérité, c’est la quasi-religion du monde contemporain ; tout a droit à l’existence parce que, en fait, il n’existe pas de vérité inébranlable, éternelle. 

 Si le prince Vladimir avait pensé comme certains de nos contemporains, il n’aurait jamais fait son choix, il serait devenu païen ou serait devenu chrétien à titre personnel, au niveau personnel, mais n’aurait pas baptisé la Russie. Alors, il n’y aurait pas eu de Rous’, de Russie, ni d’État orthodoxe russe, ni de grand Empire russe, ni de Russie contemporaine.  

Mais il ne cherchait pas l’office liturgique pompeux ou le confort spirituel, que donne souvent la religion, il recherchait la Vérité avec une majuscule, il a trouvé et aimé la figure du Christ, qu’Il a connu dans le saint Baptême, comme lumière, vérité et vie.  

Les difficultés dans l’économie et la politique existent dans n’importe quelle société, mais perdre l’identité spirituelle, c’est l’arrêt de mort de tout pays, c’est sa condamnation, même s’il paraît puissant. C’est pourquoi, pour Vladimir, la question du choix de la foi était identique à celui de la question du destin du peuple qu’il aimait.  

Si Vladimir n’avait pas eu l’expérience personnelle de l’amour envers le Christ, mais avait été dirigé exclusivement par des considérations politiques ou autres, le peuple ne l’aurait pas cru. Vladimir n’était pas un intrigant politique ou un homme retord ou à double face, il était toujours entier et sincère – tant quand il était dans l’erreur et tombait dans l’iniquité que lorsqu’il trouva la plénitude de la vérité dans la foi orthodoxe et devint saint.  

Ce monument rappelle à tous ceux qui le regardent :  

« Et toi es-tu sincère dans ta foi et dans ton amour envers la Patrie, le peuple, comme le saint prince Vladimir ? Ou bien tu veux te distancer de tous et de toute chose pour tes propres avantages et tes intérêts égoïstes ? » 

Mais le chrétien, c’est celui qui suit le Christ non pas seulement dans la commodité et le confort, mais toujours.  

Le véritable disciple du Christ ne peut souffrir dans son cœur seulement pour ses proches, mais il souffre aussi pour sa ville, son pays, le monde entier, et aucune Eglise Antique qui a contribué à sa foi ne peut lui être interdite, et sa venue dans cette Eglise ne peut être attribuée à du Prosélytisme, y renoncer, c'est reconnaître que les Satanistes ont raison. 

 Le plus terrible malheur du monde contemporain, ce ne sont pas les crises économiques et politiques, mais un manque aigu, devenu déjà chronique, d’amour l’un envers l’autre, envers notre Créateur et envers toute la création.  

Nul ne peut revoir le choix du prince Vladimir sans détruire sa propre identité civilisationnelle. Dire que le prince Vladimir a fait les choses n’importe comment, ce n’est pas autre chose que de s’endormir à l’ombre d’une cathédrale et se réveiller dans la forêt près d’un feu, sans savoir ni lire ni écrire.  

Hélas, c’est le choix que font ceux qui veulent retourner dans la jungle de l’ignorance païenne et échanger la lumière de la vérité contre l’obscurité de l’existence préchrétienne 

Vladimir, dans la conscience populaire était le « Soleil rouge », c’est ainsi que l’on appelle seulement ceux que l’on aime fortement. Il n’a pas eu peur de changer radicalement la direction du développement de la société, parce qu’il aimait le peuple et croyait qu’il serait compris et que l’on viendrait à sa suite. Il n’a pas essayé d’évaluer tous les risques et les dangers de changer la foi, parce que pour lui ce n’était pas une décision tactique ou stratégique, mais l’acquisition de la vérité pour toujours, pour lui-même et son peuple.  

Et on n’adopte pas la vérité par calcul ; elle cesse alors d’être vérité. C’est la détermination, le zèle envers le Christ, et l’observation totale de l’Évangile, qui a apparenté Vladimir aux apôtres, bien qu’entre eux se soit écoulé un millénaire. Si nous pensons qu’aujourd’hui, nous ne devons rien choisir, contrairement à ce que fit alors Vladimir, nous sommes grandement dans l’erreur. Notre choix, peut-être, n’est pas aussi énorme et perceptible, mais sa conséquence n’est pas inférieure à celui-ci.  

Chaque jour, nous choisissons pour qui et pour quoi nous vivons, de quoi nous emplissons notre vie, c’est là un choix de foi, dont dépend non seulement le destin de chacun d’entre nous, mais aussi du monde entier.  

Le monument au saint prince Vladimir, c’est le symbole de l’unité de tous les peuples dont il est le père, à savoir les peuples de la Russie historique qui vivent maintenant dans les frontières de nombreux États. Le monument au père peut se trouver partout où vivent ses enfants, il n’y a pas ici de contradiction. Mais il est mauvais que les enfants oublient qu’ils ont un père. 

Source :http://orthodoxie.com/le-patriarche-de-moscou-cyrille-perdre-son-identite-spirituelle-est-un-%d0%b0rret-de-mort-pour-nimporte-quel-pays/ 

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