WWIII : La terre bascule, les tremblements s'amplifient, les eaux débordent, le Krach boursier se met en place, tout va très bien madame la Marquise Macron, les écuries brûlent, en Marche pour refinancer les Milliardaires.
WWIII : La terre bascule, les tremblements s'amplifient, les eaux débordent, le Krach boursier se met en place, tout va très bien madame la Marquise Macron, les écuries brûlent, en Marche pour refinancer les Milliardaires sur le dos des épargnants.
Les retraités sont attaqués sur tous les fronts: économies d'épargnants, baisse des allocations mensuelles, baisse du pouvoir d'achat, augmentations des salaires des aides ménagères, infirmières et maisons de retraites.
Ceux qui ont investi dans les Bitcoins ont déjà tout perdu ou sont en voie de tout perdre. le Bitcoins est une bulle manipulée par les grandes banques pour passer à la nouvelle monnaie électronique du Nouvel Ordre Mondial, et pour dégager toutes les monnaies fiduciaires. Vous serez marqué par le sceau de la bête et vous paierez avec votre main.
1Et il se tint sur le sable de la mer. Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. 2La bête que je vis était semblable à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. 3Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort; mais sa blessure mortelle fut guérie. Et toute la terre était dans l'admiration derrière la bête. 4Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête; ils adorèrent la bête, en disant: Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? 5Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. 6Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel.
7Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre. Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation. 8Et tous les habitants de la terre l'adoreront, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l'agneau qui a été immolé. 9Si quelqu'un a des oreilles, qu'il entende! 10Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints.
11Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. 12Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. 13Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. 14Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. 15Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués.
16Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, 17et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.
Cela ne vous étonne pas trop que Macron ait été mis en place pour prendre aux épargnants et donner aux Milliardaires qui nous gouvernent, c'est dans l'ordre des choses. Nous sommes les petites mains, maintenues en laisse par une armée de fonctionnaires, dont le seul but et de nous faire travailler, pour encaisser les dividendes. Macron va jusqu'à pervertir le système, pour dire aux fonctionnaires pléthoriques, qu'on peut faire mieux en étant moins nombreux, car l'argent économisé ira dans les caisses des banques Centrales, qui sont toutes privées et qui appartiennent toutes à la famille Rothschild, dont Macron est chargé de remplir les coffres.
Le fondé de pouvoir Macron, a signé des engagements avec son employeur et doit les tenir. Avec Macron la Banque de France dépend directement des Rothschild et ne peut plus émettre de monnaie nationale. On doit payer aux entreprises dépendantes de la Banque Rothschild, des milliards de subventions, afin de les privilégier, ceci sera payé par le Contribuable, par prélèvement d'impôts, et en cas de coup dur, comme un Krach boursier, chaque déposant ne pourra plus retirer son argent, car il est donné en caution au groupe Rothschild pour assurer la faillite du système, et pour permettre au riches de payer la facture aux Banques de réassurance des risques encourus par les retournements de marchés. Les Riches ne risquent plus leur fortune, car ils ont toujours en gage de faire travailler les pauvres par une monnaie de singe, qui ne vaut pas plus que le prix du papier pour l'imprimer.
"Fondé de pouvoir" est l'appellation donnée aux fonctions de certaines personnes appartenant généralement au personnel de direction ou à des membres de l'encadrement, en particulier dans les sociétés financières, qui ont reçu le mandat de négocier et de conclure des opérations importantes. Leurs signatures engagent l'entreprise.
Le fait que dans une Convention collective, dans les statuts, le règlement intérieur d'une société, une note de service, voire dans un contrat, il soit exigé que certains actes doivent être signés conjointement par deux fondés de pouvoir. La double signature correspond au souci d'un contrôle réciproque. La double signature apparaît semblable au contreseing.
Le début du krach ? Qu'en pense l'or ? LES NOTES DE SIMONE WAPLER Nous sommes au début du grand krach, nous lirons bientôt dans les médias : "tout a commencé avec le bitcoin qui avait dépassé les 20000 dollars en Décembre 2017 et qui se négocie actuellement à moins de 6000 dollars, sachant que c'est une bulle qui n'a profité qu'à ceux qui le manipulaient et qui tirent les ficelles, en spéculatif pur, et non pas à ceux qui croyaient en tirer avantage"... Le Bitcoin est soutenu par les Milliardaires qui l'ont mis en lice comme Microsoft, JP Morgan Chase et Intel, il est combattu par la Chine qui a débranché les "Mines" à Bitcoins, et par la Russie L'essor du bitcoin marque à la fois la folie spéculative qui règne 10 ans après la crise financière de 2008 et la défiance grandissante du public à l'égard des manœuvres des banquiers centraux. Le bitcoin est – selon moi – non pas une monnaie, mais un réseau de transaction libre et ouvert dont la promesse est de ne pas être pollué par les banques centrales. Les Banques Centrales utilisent le Bitcoin comme prétexte a couler l'économie, et à se servir sur les comptes des épargnants, pour s'approprier tous les fleurons de l'économie, du commerce, de l'industrie, qui appartiendront aux Banques une fois que les actionnaires auront rendu l'âme par une déferlante de dettes et plus aucun profits pour en garder la propriété. Avec l'instauration de monnaies fiduciaires sans lien avec l'or ou l'argent, tout est devenu dette. Votre "argent" en banque n'est qu'une reconnaissance de dette de la banque à votre égard. Transférer de l'argent en bitcoin revient donc à adhérer à un club de gens solvables (chacun paye ses bitcoins comptant) qui souhaitent effectuer des transactions entre eux sans que les unités de comptes utilisées dépendent des caprices d'une banque centrale. Cela est ma version du bitcoin, mais la plupart des gens qui se sont récemment rués sur cette monnaie virtuelle on simplement vu que "ça montait" et par conséquent ils voulaient "en être". La chute du bitcoin a été suivie d'une chute des marchés actions, le tout sur fond de chute lente des obligations (lorsque les taux montent les obligations baissent). Est-ce le début du grand krach et d'une nouvelle crise financière ? Nous savons que tout est trop cher et que tout est bulle : actions, obligations, immobilier... mais ce n'est pas une raison suffisante, cela fait longtemps que tout est trop cher, probablement depuis 2015. Depuis trois ans, tous ces actifs trop chers n'ont pas cessé de le devenir encore plus. Le chroniqueur britannique Nick Hubble se penche sur une batteries d'indicateurs et ce qu'ils peuvent nous indiquer de la situation présente. Il conclut que la meilleure façon de rester investi est d'acheter ce qui aujourd'hui n'est pas cher.Il conclut que la meilleure façon de rester investi est d'acheter ce qui aujourd'hui n'est pas cher. Ce qui m'amène à l'or. L'or est à la fois un bitcoin matériel et tangible. Ceux qui ont de l'or sont solvables car ils possèdent un actif financier qui n'est pas de la dette. L'or n'est pas cher... Voici un graphique montrant l'évolution de l'or (en jaune) de l'argent (en gris) et des indices Dow Jones (en bleu) et S&P 500 (en rouge). J'ai choisi exprès un graphique de très long terme qui commence en 1970, sachant que le dollar a été décroché de l'or en août 1971. C'est à cette date que nous avons basculé dans le créditisme, un système où la monnaie est devenue du crédit (et donc de la dette). L'or ne souffre pas des hausses de taux de la Fed Il faut bien comprendre la nature de l'environnement dans lequel l'or grimpe. Parce que ces conditions sont sur le point de se répéter. Voici un graphique de Bloomberg qui vous montre que le prix de l'or a réagi à la hausse à chaque relèvement des taux d'intérêt au cours de ces dernières années. Cela nous laisse penser que le marché haussier de l'or ne fait que commencer et que peut-être une poussée d'inflation commence à se former, comme dans la période 1970-1980. A cette époque, les taux d'intérêt montaient mais en retard sur l'inflation. Des rendements nets négatifs (le rendement d'un placement quelconque diminué de l'inflation) ont alors poussé les gens à se réfugier dans l'or. Krach ou pas, l'or (et l'argent) à moyen terme semble donc une très bonne option aujourd'hui. En achetant de l'or maintenant :
Si nous sommes au début du krach, l'or pourrait connaître un recul car les investisseurs professionnels qui en ont peuvent être contraints de le vendre pour éponger leurs pertes. Mais ces mêmes investisseurs en ont beaucoup moins qu'en 2008. Ils n'ont pas acheté un actif qui baisse depuis 2012. Donc les ventes et le recul seront bien plus limités que lors de la crise de 2008. LES NOTES DE BILL BONNER
La panique obligataire s'étend "Les valeurs US chutent à mesure que les ventes de bons du Trésor s'accélèrent", titrait Bloomberg la semaine dernière. Dans le même temps, le bitcoin a dégringolé vers les 8 000 $ – effaçant près de 100 Mds$ de sa valeur en seulement 24 heures. Le prix du bon du Trésor américain à 10 ans a plongé, faisant passer son rendement au-delà des 2,75% Déjà, le taux fixe de crédit immobilier à 30 ans – dont l'évolution suit celle du rendement du T-Note à 10 ans – est passé de 3,7% il y a un an à 4,2% aujourd'hui. Sur un prêt de 200 000 $, cela revient en gros au montant promis en baisses d'impôts. Le gouvernement donne. Le gouvernement reprend... Et le gouvernement fait un beau gâchis. Les autorités ont orchestré un cycle du crédit aux proportions grotesquement exagérées – et maintenu les taux d'intérêt bien trop bas pendant bien trop longtemps. A présent, elles se retrouvent avec une économie croulant sous les dettes... alors que le cycle de taux se retourne. Quelques petits points de base, ça ne semble pas grand-chose. Mais lorsqu'il faut emprunter – chacun d'entre eux est douloureux. Lorsque vous avez 67 000 Mds$ de dettes, quelques points de base peuvent être un véritable désastre. Pour être plus précis, si les frais augmentaient d'1%, cela ajouterait 670 Mds$ à la charge annuelle de la dette des Etats-Unis. Il y a quelques jours, nous avons vu que le gouvernement US se retrouverait dans un sacré pétrin si d'aventure les taux d'intérêt augmentaient à un modeste 5%. Nous disions que cela viendrait ajouter 600 Mds$ de dollars au coût d'une dette de 30 000 Mds$ – un montant que les Etats-Unis devraient atteindre d'ici 10 ans. Un lecteur nous a écrit en demandant où nous avions été à l'école. Si un taux de 5% s'appliquait à l'intégralité de ces 30 000 Mds$, cela représenterait des intérêts de 1 500 Mds$, non 600 Mds$. Les autorités US collectent environ 3 500 Mds$ de revenus fiscaux. Dans ces conditions, payer autant d'intérêts serait hors de question. Des problèmes toxiques Et ce n'est qu'un début. Quand les ennuis arrivent, ils arrivent rarement seuls. Au lieu de ça, comme un gang d'adolescents de Baltimore, la hausse des taux d'intérêt amènera avec elle tout une bande de problèmes toxiques. Comme nous l'avons vu, en chiffres bruts, l'économie ne se porte pas mieux aujourd'hui que sous Barack Obama. Les taux de croissance sont à peu près identiques. Mais les actions sont au sommet d'une échelle branlante... et la dette grimpe en flèche. Le Bureau du budget du Congrès avertit que l'augmentation des dépenses fédérales et les réductions d'impôts videront le Trésor d'ici mars. Les autorités ont prévu d'émettre 1 300 Mds$ d'obligations en seulement neuf mois – et pour l'instant, elles suivent leur calendrier. Mais qui achètera ces obligations ? Pas la Fed. Elle devrait poursuivre son resserrement quantitatif (vendre des obligations au lieu de les acheter)... du moins jusqu'à ce que l'échelle finisse par basculer. Pas les consommateurs. Ils n'ont pas d'argent. Une dette record avec un revenu disponible qui chute La seule raison pour laquelle il y a de la croissance, c'est que les consommateurs sont prêts à sacrifier leur sécurité financière. Au lieu d'épargner, ils dépensent. Ces dépenses viennent abonder le côté positif du registre du PIB. La dette supplémentaire n'apparaît pas du tout. Ce qui ne signifie pas pour autant qu'elle n'existe pas... La dette des ménages américains a atteint un nouveau record – plus de 15 000 Mds$. Ces 30 dernières années, elle s'est développée deux fois plus rapidement que les salaires. A présent, toute augmentation de 1% des taux d'intérêt, appliquée à l'intégralité de la somme due, générerait 150 Mds$ de charges supplémentaires. C'est là que les calculs se compliquent un peu. Les Etats-Unis comptent environ 120 millions de ménages. Soit un coût annuel supplémentaire de 1 250 $ environ par foyer. Où les ménages obtiendraient-ils cette somme ? Leur épargne a été ponctionnée pour continuer de faire avancer l'économie. Les revenus disponibles moins les mises de fonds personnelles – c'est-à-dire l'épargne – ont chuté à 2,4%, au dernier compte. C'est le plus bas niveau depuis 2005. Et cela laisse la plupart des ménages complètement démunis face aux revers financiers. Le site WolfStreet.com a examiné l'état de santé des ménages américains [les chiffres proviennent de la Fed] :
Bah... Pas de quoi s'inquiéter, n'est-ce pas... les réductions d'impôts mettront 1 000 $ dans les poches de l'Américain moyen. Mais dès qu'il aura détourné son attention, les intérêts et l'inflation reprendront ces 1 000 $... et plus encore. LES NOTES DE NICK HUBBLE
Plus vus depuis 2007... C'est la rengaine... Le nombre d'indicateurs "à des niveaux qu'on n'avait plus vus depuis 2007" ne cesse d'augmenter. Mais cela nous permettra de conclure en étudiant une opportunité d'investissement qui se présente aujourd'hui. Fin janvier 2017, la probabilité d'une baisse de 2% des actions en février 2018 n'était que de 10% A la liste des indicateurs (déjà nombreux) dans le rouge, on peut ajouter les prix des options à fin janvier. Les options sont de précieux indicateurs du futur ainsi que des outils d'investissement fort utiles. Le nombre de candidats pour un même poste atteint des plus-hauts records au Japon. Si l'inflation surgit dans le pays de la déflation, le marché obligataire japonais pourrait connaître quelques turbulences. Selon lui, le modèle de valorisation Shiller CAPE, également utilisé par Tim Price, suggère que l'investisseur en actions américaines au prix d'aujourd'hui enregistrera une perte de 2% au cours des 10 prochaines années, après inflation. Ce n'est pas aussi mauvais que d'acheter une voiture neuve... mais une perte de 2% sur dix ans, ce n'est pas très engageant. |
La banque d'affaires américaines controversée étudie la possibilité d'acheter et de vendre des bitcoins et d'autres monnaies virtuelles. De son côté, le PDG de la banque

Goldman Sachs envisage de spéculer sur le bitcoin pour le compte de ses clients.
KAREN BLEIER / AFP
Goldman Sachs étudie la possibilité d'acheter et de vendre des bitcoins et d'autres monnaies virtuelles, a détaillé la source sous couvert d'anonymat. La firme pourrait à cet effet constituer une équipe de traders comme elle en a pour d'autres produits financiers comme les devises (dollars, euros, yens...), les actions ou les obligations. La réflexion est encore à un stade préliminaire, a ajouté la source. Aucun calendrier n'a encore été arrêté et il n'est pas certain que la banque se lance finalement sur ce terrain, a prévenu la source.
L'aventure dans le bitcoin, monnaie au cours très volatil, pourrait être une bonne opportunité pour Goldman Sachs dont le courtage autrefois fort lucratif traverse une période difficile. Près de 70 hedge-funds investissent actuellement dans les crypto-monnaies, selon le cabinet Autonomous Next, et chaque jour sont échangés pour environ 750 millions de dollars de bitcoins.
Si Goldman Sachs ouvrait une salle de marché dédiée au bitcoin, celle-ci ne servira dans un premier temps que les clients institutionnels - fonds d'investissements, assureurs, grandes entreprises - dont une partie l'a approchée récemment pour lui demander s'il était possible d'effectuer des opérations en bitcoins à leur nom, a encore indiqué à l'AFP la source.
La firme fait le pari que le bitcoin va devenir un moyen de paiement banal et non pas simplement un actif d'épargne. "En réponse à l'intérêt des clients pour les crypto-monnaies, nous sommes en train d'explorer quel est le meilleur moyen de répondre à leurs demandes sur ce segment", a déclaré à l'AFP Tiffany Galvin, une porte-parole de la banque. JPMorgan Chase, première banque américaine en termes d'actifs, semble prendre le chemin inverse. Jamie Dimon, son PDG, a déclaré en septembre que le bitcoin allait "imploser" car c'est une "escroquerie".
Le banquier le plus influent de Wall Street est allé jusqu'à avertir ses traders que ceux qui spéculeraient sur le bitcoin prendraient la porte. "Je les licencierais à la seconde. Pour deux raisons: c'est contre les du puissant fonds Bridgewater associates pour qui le bitcoin est une "bulle". JPMorgan exécute toutefois des ordres d'achats et de ventes liés au bitcoin passés par ses clients.
James Gorman, le PDG de Morgan Stanley, l'autre grande banque d'affaires américaine, est plus nuancé et fait valoir que le bitcoin est "bien évidemment très spéculatif mais pas foncièrement mauvais". Les grandes banques se sont gardées jusqu'ici de toucher directement au bitcoin, considéré comme une monnaie utilisée pour des activités illicites et plébiscitée par les malfrats et autres trafiquants parce qu'elle échappe à tout contrôle des autorités.
Dans le quotidien, des magasins et commerces acceptent timidement des bitcoins mais imposent en l'espèce des frais importants. C'est le cas par exemple dans deux restaurants français (Le Village et La Sirene) à New York où il est possible de régler son repas en monnaie virtuelle.
Le 1er septembre, le bitcoin avait frôlé le seuil des 5.000 dollars, en s'affichant à 4.921,45 dollars, du jamais-vu, mais la volonté de la Chine d'interdire les opérations de marché en crypto-monnaies a freiné cette marche en avant. Aux Etats-Unis, le gendarme de la Bourse, la SEC, envisage de durcir l'arsenal règlementaire contre les fraudes financières liées au bitcoin.
Mais la "blockchain", technologie derrière le bitcoin qui utilise des blocs de transaction codés et authentifiés s'ajoutant les uns aux autres, est largement acceptée. Elle se décline de plus en plus dans le quotidien, notamment dans la sécurité alimentaire où elle permet la traçabilité des denrées alimentaires.
Elle est réputée infalsifiable car afin de modifier une information, il faudra la changer en même temps chez tous les utilisateurs. Les grandes banques s'y intéressent parce qu'elle pourrait leur permettre de réaliser d'importantes économies et simplifier les transactions financières.
(Avec AFP)
La Russie et la Chine sont déterminées à enterrer le dollar
Alors que un milliard de dollars peut sembler peu par rapport à la dette totale de la Banque populaire de Chine de plus de 1 000 milliards de dollars ou à la dette fédérale américaine de plus de 20 000 milliards de dollars, sa signification dépasse le faible montant nominal. Il s’agit, pour les deux gouvernements – Russie et Chine – de tester le potentiel de financement par l’État de ses infrastructures, et d’autres projets, à l’abri du risque du dollar provenant d’événements tels que les sanctions financières du Trésor américain.

Article original en anglais : Russia and China Are Dead Serious About Ditching the Dollar, Russia Insider, le 24 janvier 2018.
Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone
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Chine-Russie : l’axe du basculement du monde

Hannibal GENSERIC