WWIII: LE PAPE FRANCOIS SE DECLARE LUI-MÊME L'ANTICHRIST, IL EST POURSUIVI PAR LE TRIBUNAL INTERNATIONAL POUR MEURTRES D'ENFANTS ET SATANISME. LES CATHOLIQUES ADORENT SATAN ET SON REPRESENTANT EN FRANCE MACRON-SATAN-JUPITER.
WWIII: LE PAPE FRANCOIS SE DECLARE LUI-MÊME L'ANTICHRIST (et non le Faux Prophète, subtilité ?), IL EST POURSUIVI PAR LE TRIBUNAL INTERNATIONAL POUR MEURTRES D'ENFANTS ET SATANISME. LES CATHOLIQUES ADORENT SATAN ET SON REPRESENTANT EN FRANCE MACRON-SATAN-JUPITER, ELU PAR L'EGLISE LUCIFERIENNE DU 30° DE LA FRANC-MACONNERIE. LE PROGRAMME EST DE METTRE L'ENFER SUR TERRE PAR LA DESTRUCTION MASSIVE DE L'HUMANITE, AU PROFIT DE QUELQUES-UNS QUI SURVIVRONT. LE PLAN DU MAÎTRE A PENSER ALBERT PIKE, MACON DU 33° EST SUIVI A LA LETTRE.
INFO PANAMZA. Réalisé par un proche des réseaux satanistes américains, le tableau installé dans le bureau d'Emmanuel Macron intègre secrètement le "sceau de Baphomet", emblème cabalistique et maçonnique. Révélations.
Le 18.10.2017 à 15h12
Éloignez de votre entourage les théoriciens de la coïncidence : la consultation de l'article présent et factuellement étayé pourrait causer sarcasmes, fureurs ou spasmes chez ces négationnistes qui s'ignorent.
Lundi après-midi, Panamza révélait une anomalie de la vie politique qui continue d'être passée sous silence par la corporation médiatique.
LE TABLEAU CHOISI PAR MACRON CONTIENT UNE ALLUSION AU CONTRÔLE MENTAL PAR LES FAKE NEWS des 10 Milliardaires qui dirigent la Presse Française et les 40000 journalistes de FRANCE dont la moitié pour le service public, pourquoi sont-ils autant?
Lundi 16 octobre, au lendemain de l'entretien accordé par Emmanuel Macron à TF1, de nombreux commentateurs de la presse ont décortiqué la décoration du bureau de l'Élysée.
À propos d'une œuvre murale dénommée "Liberté Égalité Fraternité", réalisée le 20 novembre 2015 par l'Américain Shepard Fairey en réaction aux attentats de Paris et installée à l'initiative du nouveau président de la République, un étrange élément visuel n'a pas retenu l'attention des journalistes dits professionnels.
Sous le visage de Marianne figure curieusement une étoile à 5 branches dans laquelle un regard sombre est visible.
Il s'agit là d'un motif conçu en 1998 par l'artiste, dénommé "Obey Giant" et inspiré du film de science-fiction "Invasion Los Angeles" de John Carpenter.Dans une interview, Shepard Fairey avait expliqué avoir imaginé et diffusé régulièrement ce motif «orwellien» en référence à ce film allégorique consacré à la manipulation des esprits par des extra-terrestres déguisés en êtres humains et désireux d'asservir -notamment par le contrôle de la classe politique, des médias et de la police- la population mondiale.
Le Pape a déclaré officiellement allégeance à Satan, et allégeance à DAESH, pour faire envahir l'Europe et la France par les Arabes Musulmans extrémistes, et il soutient financièrement DAESH par l'OPUS DEI, ainsi que la Reine d'Angleterre.
Boris Johnson rétablit le subventionnement d’Al-Qaïda via le CSSF
Le ministère britannique des Affaires étrangères a discrètement rétablit le subventionnement d’Adam Smith International (ASI), interrompu depuis deux mois.
En décembre 2017, l’émission Panorama (BBC) avait montré qu’ASI, soutenu par le gouvernement de Sa Majesté pour former la police dans les « zones libérées » (sic) syriennes, finançait en réalité Al-Qaïda.
Al Qaida est financé en Syrie via trois ONG Britannique.
Londres a discrètement rétablit le financement d' Adam Smith international (ASI)
Selon BBC, ASI finance Al Qaïda sous prétexte de former la police dans les zones libérés syriennes.
Sous la pression du parti travailliste Londres avait alors coupé les fonds de la plus importante ONG human...itaire du pays.
Ces fonds sont versés au soit disant maire d' Alep et aux casques blancs.
Le maire d' Alep est un Takfiriste Saoudien qui opère l' Est de la ville.
Et les casques blancs, une prétendue organisation locale, dirigée par un officier du M16.
Cette ONG a organisé des opérations militaires et des opérations de propagande.

Le Diocèse de Montpellier, son archevêché, ses fidèles, ont des passions du Christ tout à fait inattendues, ils ont des clubs de VTT et de Motos, ils discutent sur Facebook, de la meilleure façon de s'éclater en tant que Chrétien, pour récolter de l'argent en organisant des courses de VTT au profit de personnes handicapées. Le Lieu : Saint Bauzille de Montmel, au Pic Saint Léon, terrain privé, mais pas inaccessible, car la Mairie l'a squatté pour en faire un terrain de randonnées pédestres et par extension de largesses, accessible aux VTT et aux Motocross sauvages dont le diocèse est participant.
Depuis le dernier évêque de Maguelone Guillaume Pellicier II, l'église antique de Maguelone sur les bords de la Méditerranée, s'est installée sur Montpellier à Saint Pierre en changeant définitivement de nom, abandonnant lors de la réforme Protestante, la Cathédrale Antique de Marie-Madeleine à la ruine et à la désolation. Pourquoi tant de haine pour l'Eglise du Christ par un Pape Apostat et par une communauté religieuse qui s'est choisie un autre Maître?
Pour sa 3ème édition de la rando VTT « La Saintbauzilloise» qui se déroulera le dimanche 17 septembre 2017, la mairie de Saint Bauzille de Montmel propose à tous les amateurs de VTT deux parcours en garrigue. Les bénéfices de cette randonnée seront reversés à l'association « Rêves ». INSCRIPTIONS : LES INSCRIPTIONS DE LA RANDONNÉE SE FERONT SUR LA PLACE DE LA MAIRIE À PARTIR DE 7H45. TARIF comprenant l'inscription au parcours et le ravitaillement : - 5 euros/ personne pour le parcours familial (12km avec une variante de 14 km) - 10 euros/ personne pour le parcours sportif (41km) Il est interdit de publier les tracés GPS sur Internet, car les différents tracés empruntent par endroits des terrains privés, sans autorisations. RENSEIGNEMENTS : Mairie : 04 67 86 93 21 ou e-mail : mairie@saintbauzilledemontmel.
Le conseil municipal de Saint Bauzille de Montmel élu en mars 2014, s'est organisé en commissions, présentées ci-après.
Ces commissions pourront évoluer, et d’autres, municipales et extra-municipales pourront être créées, en fonction des besoins. Leur rôle est d’étudier les questions soumises au Conseil Municipal et d’instruire les dossiers en amont.
Voici la composition des commissions municipales
- Commission appels d'offres et délégation de services publics : Françoise MATHERON, Julien CAU, Lionel PEYRIERE, Stéphanie ARNAUD, Claudine BRESSON, Marie-France COUMANS Suppléant : Jean-Claude BETTON
- Commission des finances : Françoise MATHERON, Stéphanie ARNAUD, Julien CAU, Marie-France COUMANS, Lionel PEYRIERE, Claudine BRESSON. Suppléants : Jean-Claude BETTON, Céline MAURY
- Commission urbanisme : Françoise MATHERON, Julien Cau, Jean-Claude BETTON, Marie-France COUMANS, Dominique DUMENIL, Lionel PEYRIERE, Fernand SIMAO, Évelyne VAUDOIS
- Commission école et périscolaire : Françoise MATHERON, Stéphanie ARNAUD, Claudine BRESSON, Marie-France COUMANS, Dominique DUMENIL, Céline MAURY, Emanuelle PAÏS
- Commission travaux, voirie : Françoise Matheron, Lionel PEYRIERE, Jean-Claude BETTON, Julien CAU, Marie-France COUMANS, Emmanuelle PAIS, Fernand SIMAO, Dominique DUMENIL
- Commission développement économique, artisanat, tourisme : Françoise MATHERON Céline MAURY, Dominique DUMENIL, Emanuelle PAÏS, Claudine BRESSON
- Commission affaires sociales : Françoise MATHERON Stéphanie ARNAUD, Claudine BRESSON, Dominique DUMENIL. La permanence à la mairie reste assurée les jeudis matins à partir de 9h, et sur rendez-vous.
- Commission communication : Françoise Matheron, Stéphanie ARNAUD, Claudine BRESSON, Julien CAU, Marie-France COUMANS, Dominique DUMENIL, Céline MAURY, Évelyne VAUDOIS
- Commission environnement, cadre de vie : Françoise MATHERON, Lionel PEYRIERE, Stéphanie ARNAUD, Claudine BRESSON, Jean-Claude BETTON, Julien CAU, Marie-France COUMANS, Dominique DUMENIL, Céline MAURY, Emanuelle PAÏS, Fernand SIMAO, Evelyne VAUDOIS
- Commission animation, vie associative, lien social, sport : Françoise Matheron, Fernand SIMAO, Emmanuelle PAIS, Évelyne VAUDOIS, Dominique DUMENIL, Claudine BRESSON, Céline MAURY, Marie-France COUMANS, Stéphanie ARNAUD
Mme Françoise MATHERON (DIV), lors des élections municipales de 2014, a été élue maire de Saint-Bauzille-de-Montmel. Ses adjoints municipaux sont M. Laurent LEMAITRE, M. Jérôme DUSFOUR, M. Lionel PEYRIERE et Mme Stéphanie ARNAUD.
Mr Laurent LEMAITRE précise que la commune a signé une convention avec la communauté de commune du Grand Pic Saint Loup pour que son service dédié (urbanistes/juristes) instruise les demandes d’urbanisme importantes et traite les litiges concernant l'utilisation du domaine privé par la Mairie.
Mr Laurent Lemaître, premier adjoint à l’urbanisme fait un bilan du travail du service de la communauté de commune instruisant nos dossiers d’urbanisme. En effet, depuis le 1er janvier 2015, pour pallier au fait que les services de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (préfecture, DDTM, exDDE) n’instruisent plus ces dossiers depuis un an, la commune a signé une convention avec la communauté de commune du Grand Pic Saint Loup pour que son service dédié (urbanistes/juristes) instruise les demandes d’urbanisme importantes. Mr Lemaître indique que la commune est particulièrement satisfaite du travail de ce service, tant dans sa qualité que dans les délais, courts. Ce service propose les arrêtés motivés d’acceptation/refus d’autorisations d’urbanisme, la commission d’urbanisme les analyse, propose elle-même une position et in fine son président Mr Lemaître, délégataire, et Mme la Maire restent seuls décisionnaires. Les éléments apportés par ce service pour l’appréciation de ces autorisations d’urbanismes sont particulièrement précis et pertinents. Les 21 autres communes conventionnées sont également particulièrement satisfaites. Mr Lemaître fait le point sur les projets de lotissement de la Draille du Font de la Vie (Concept Promotion) et de Favas (Opus Developpement). Le permis de construire a été approuvé pour le premier. Le permis d’aménager a été accordé pour le second. Les réservations concernant ce projet sont proches de 50% des lots, ce qui devrait permettre au promoteur de démarrer les travaux de voierie. Mr Lemaître indique que la commission poursuit son travail de contrôle et de demande de régularisation de toutes les constructions illégales constatées, dans un esprit d’égalité et d’équité. Quelles que soient leurs tailles, toutes les situations sont traitées afin que les habitants restent égaux dans leurs droits et dans leurs participations (acquittement des taxes d’aménagement dues et des taxes locales dues). Enfin Mr Lemaître indique que la commission d’urbanisme entamera le 13 avril la réflexion sur la deuxième modification du Plan Local d’Urbanisme, rendue nécessaire par la loi ALUR.
Les conseillers municipaux
- Jean-Claude BETTON
- Claudine BRESSON
- Marie-France COUMANS
- Dominique DUMENIL
- Jean-Daniel EGEA
- Céline MAURY
- Emmanuelle PAÏS
- Fernand SIMAO
- Evelyne VAUDOIS
Le diocèse et le CHU de Montpellier signe une convention-cadre de partenariat pour l’écoute et l’accompagnement des victimes et des auteurs d’actes pédophiles au sein de l’Église catholique, le 25 mai 2016 / Diocèse de Montpellier (Compte Twitter)
C’est une première en France. Une convention-cadre de partenariat, entre le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Montpelllier et l’archevêché de Montpellier, a été signée mercredi 25 mai 2016. Elle encadre la mise en place d’une cellule d’écoute et d’accompagnement à la fois pour les victimes et pour les auteurs d’actes pédophiles au sein de l’Église catholique.
Cette cellule, à la demande du diocèse de Montpellier, sera animée par le Centre de ressources pour les intervenants auprès des auteurs de violences sexuelles Languedoc-Roussillon (CRIAVS-LR) du CHU de Montpellier (Pôle Urgences) qui est spécialisé dans la prise en charge et l’accompagnement des auteurs et des victimes de violences sexuelles.
Son équipe pluridisciplinaire (psychiatres, psychologues, juristes…) avait déjà effectué, à la demande du diocèse, des actions de prévention des violences sexuelles, et notamment de la pédophilie. Elle a donc été sollicitée par Mgr Pierre-Marie Carré, archevêque de Montpellier, pour mettre en place une cellule de ce type. La convention-cadre de partenariat entre le CHU et l’archevêché de Montpellier prévoit aussi les modalités d’intervention du CRIAVS-LR auprès des victimes et des auteurs.
De telles cellules d’écoute sont destinées, dans chaque diocèse, à faciliter la prise de parole des victimes, comme cela a été décidé par le conseil permanent des évêques le 11 avril, à la suite des révélations de nouveaux cas de pédophilie au sein de l’Église catholique en France.
Il est important pour l’équipe du CRIAVS, dirigée par le psychiatre Mathieu Lacambre, que cette cellule d’écoute « puisse s’organiser avec des professionnels aguerris, soignants et juristes, indépendants de l’Église », peut-on lire dans le communiqué de presse du diocèse de Montpellier. Après évaluation, « une prise en charge spécialisée est proposée de manière individuelle, familiale ou en groupe de parole, articulant psychothérapie et, si nécessaire, prescription de psychotrope ».
Cette cellule d’écoute a la particularité de s’adresser autant aux victimes qu’aux auteurs. Pour cela, une ligne téléphonique dédiée a été ouverte (07.68.55.00.43) et financée par le diocèse. Et une procédure d’accueil et d’évaluation est organisée. Après un premier échange par téléphone, un entretien est en général organisé avec des membres de la cellule d’écoute, au CHU de Montpellier ou dans un bureau du diocèse en fonction du souhait du demandeur. À ce jour, sept personnes déjà ont pu être reçues en un mois.
C’est Wayne Bodkin (06 43 43 47 72), responsable de la communication du diocèse de Montpellier et doctorant en psychothérapie (sa thèse porte sur « les violences sexuelles commises par des femmes et non des curés »), qui pilote cette cellule d’écoute. Celle-ci est composée d’une équipe de psychologues, psychiatres et juristes, visant ainsi à répondre au mieux aux « différentes problématiques ». La première fois que je lui ai parlé au téléphone, il pensait que je pouvais faire quelque chose pour le Diocèse de Montpellier et pour son archevêque un peu trop Carré, comme Cicéron, il m'a dit "On voit qu'un ami est sûr quand notre situation ne l'est pas, et m'a demandé de téléphoner à toute la hiérarchie Catholique dont seul le père Alain Hees m'a semblé avoir de la compassion pour son prochain, tout en indiquant que Saperlipopette serait mieux à même de m'écouter"
« L’objectif est double, peut-on encore lire dans le communiqué de presse : recueillir la parole des victimes et des auteurs, puis les orienter de façon individualisée en fonction des besoins et de la demande ».
« Le diocèse de Mende (Lozère) nous a demandé d’être leur cellule d’écoute et d’accompagnement », précise à La Croix Wayne Bodkin.
Pour les 7 clochers de notre paroisse, nous avons la chance d'avoir une équipe de 9 prêtres, à laquelle se joint un séminariste.
Pour les connaître, il vous suffit de consulter leur biographie.
Pour les contacter directement, un formulaire est à votre disposition ci-dessous, ou un numéro de téléphone.
Au service de la paroisse Cathédrale, les prêtres sont disponibles pour vous rencontrer, et vous confesser.
Abbé Michel PLAGNIOL
Curé de la paroisse Cathédrale, archiprêtre de la cathédrale Saint-Pierre
disponible à ND des Tables, lundi 17h30-18h15, et sur RDV
Contacter le Père Michel PLAGNIOL
Abbé Laurent GRÉGOIRE
Vicaire paroissial
disponible à Saint-Denis, mardi 17h-17h45
et à ND des Tables, jeudi 17h30-18h15
Abbé Cyril BEZZINA
Vicaire paroissial et référent de St-Denis
disponible à Saint-Denis, jeudi et vendredi sur RDV
et à ND des Tables, vendredi 17h30-18h15
Contacter le Père Cyril BEZZINA
Abbé Raphaël DUCHAMP
Vicaire paroissial et responsable de la pastorale des jeunes
disponible sur RDV au 04 67 66 04 12
Contacer le Père Raphaël DUCHAMP
Abbé Jean-Marie PALUKU
Vicaire et prêtre étudiant
disponible à ND des Tables, mardi 17h30-18h15
et à Saint-Roch, mercredi 17h-17h45
Contacter le Père Jean-Marie PALUKU
Chanoine Jacques BÉTOULIÈRES
Recteur de la basilique Notre-Dame des Tables
disponible à ND des Tables, mercredi à 17h30
Contacter le Père Jacques BÉTOULIÈRES
Abbé Pierre TREILLET
Prêtre coopérateur référent à Saint-Léon /quartier des Beaux-Arts
disponible à Saint-Léon, jeudi à 18h
et à Saint-Denis, vendredi 17h -17h45
Contacter le Père Pierre TREILLET
Abbé André RUIZ
Prêtre coopérateur
disponible sur RDV au 04 67 66 04 12
Abbé Joseph AMADIEU
Vicaire pour le rite en latin, référent de Sainte-Eulalie
disponible sur RDV au 04 67 40 10 28
Lire sa biographie
Contacter le Père Joseph AMADIEU
La 3ème édition du Pélé VTT Gard-Hérault se prépare. De nombreux séminaristes de notre diocèse seront présents pour accompagner les 160 jeunes au départ. Prions donc pour tous ces participants, jeunes à vélo, staff, accompagnateurs et organisateurs. Sous le regard de Marie, bonne route à cette 3ème édition !

Dans 24h, le départ de notre 3ème édition sera donné à Sauteyrargues, en route pour Notre-Dame des Grâces à Gignac ! Pour l'heure, on se prépare, n'oubliez-pas également le 17 Septembre journée du patrimoine à Saint Bauzille de Montmel (vu dans les réseaux sociaux de VTT du 34 affiliés au Diocèse de Montpellier !)
Le nom de Maguelone vient tout simplement de celui de Marie-Madeleine (
Que l'on détruise sous le catholicisme l'Eglise de l'Apôtre des Apôtres qu'est Marie Madeleine, femme du Christ, qui a vécu 20 années dans ces murs, et que l'on détruise l'Ancienne Cathédrale de Maguelone, que l'on donne dans une première phase aux Protestants en 1536 pour en faire une caserne de la Guerre de Religions entre Catholiques et Protestants, mais avec des frontières poreuses entre les uns et les autres, et dans une seconde phase elle sert de carrière au Canal du Midi, afin de faire sombrer l'Eglise du Christ, qui était également celle de sa femme Marie Madeleine, et celle des 7 Eglises de l'Apocalypse en Turquie, qui dépendaient de Saint Bauzille de Montmel au Pic Saint Léon, pour restructurer l'Eglise des origines autour de Saint Pierre de Rome, et d'un culte païen qui fut intégré avec l'Eglise de Constantin, cela ce conçoit.
Mais que l'on continue au XXIème siècle, de détruire des Pierres, pour détruire le Christ et sa présence dans le Catholicisme au profit d'une mère Marie dite la PACHA MAMA ou la terre mère, et que le Pape finisse par avouer qu'il est l'Antichrist, sans que personne ne bouge, c'est dire la foi des Chrétiens et des catholiques qui ne croient plus rien, c'est insupportable.
Les seuls qui souhaitent soutenir la reconstruction de l'Eglise Antique de Marie Madeleine à Saint Bauzille de Montmel, sont des membres de l'Eglise Orthodoxe et de la proximité du Président Valdimir Poutine, qui pourrait venir le 21 Juillet 2018, si la terre ne s'est déjà pas changée en brasier. A ce jour le Président Poutine ne nous a pas infirmer sa venue par l'ambassade Russe de Paris en la personne du second diplomate Russe en France Artem Studennikou dont la vidéo est ci-jointe.
Que devons nous penser de tous les couvents, de toutes les communautés religieuses, de ceux qui prient encore Dieu, et notre Seigneur Jésus Christ, de ceux qui ne veulent pas voir, de ceux qui ne veulent rien entendre, de ceux qui continuent comme si de rien n'était, de la misère qui empêche de penser à autre chose, qu'à la routine quotidienne de se procurer de quoi manger, de quoi payer son loyer, de quoi élever ses enfants, de quoi penser qu'eux sauront ce qu'il faut faire ou ce qu'il reste à faire. Pour certains le lot quotidien des sacrifices rituels de la vie, afin d'exister, rempli leur univers, sans même penser au lendemain qui vient sans qu'on l'appelle, et qui renouvelle son lot de problèmes.
Le problème des Cathos, c'est qu'ils n'ont pas de bible, ou qu'ils ne l'ouvrent pas, et surtout ne la comprenne pas. Aucune étude collective de la Bible n'est faite sinon réciter des paraboles que l'on interprète de la façon que l'on veut dans le missel restreint qui est mis à disposition pour réciter des chants et participer à la chorale, en pensant intérieurement que tout cela est bien et suffisant pour comprendre des gestes et des comportements à avoir pendant la Messe, et éventuellement au confessionnal pour se faire pardonner ce qui semble grave ou véniel, en fonction de son état intérieur, et de son amour propre à ne pas se dévoiler à un curé qui pourrait le répéter. L'endoctrinement de l'Eglise Catholique pour être efficace et ne rien dévoiler, réside dans l'aplomb des curés et des diacres, pour faire valoir comme en Politique le bien fondé de son action et de son hardiesse audacieuse mêlée de culot et d'effronterie, pour valoriser son action et fédérer son entourage.
N'est pas disciple de Jésus-Christ qui veut, or par manque de vocations, depuis 40 ans, l'Eglise recrute dans le milieu des Pédophiles et des Pédérastes, c'est son choix et cela donne ces résultats. Qui pense avoir le titre de disciple de Jésus-Christ?
Pour comprendre ce que veut dire être « disciple du Christ », nous devons voir ce que signifie être disciple avant le Christ et dans l’antiquité grecque. Dans le monde grec, le disciple choisit lui-même un maître «didaskalos» pour approfondir une philosophie ou une science. Le disciple ou élève donne un salaire à son maître. Le disciple, dans ce sens, «est celui qui apprend». C’est ainsi qu’on parle des disciples des grands philosophes, par exemple, Platon est disciple de Socrate…
Le judaïsme va aussi développer ce modèle d’école et de relation entre maître et disciple, en particulier pour la formation religieuse et intellectuelle des jeunes dans différentes écoles rabbiniques. Le maître est appelé Rabbi, qui signifie littéralement « éminence », appelé «sage», « ancien », voir même « père ». Autour de ces maîtres, il y a eu plusieurs écoles. Ils apprenaient les Écritures, la Doctrine du Judaïsme, la Loi de Moïse…
Deux choses caractérisaient la méthodologie de ces écoles : Écouter et voir. Le disciple devait non seulement écouter l’enseignement du Rabbi, mais il devait aussi regarder comment il vit et fait pour l’imiter. Les rabbis récitaient les Écritures et apprenaient à les interpréter. Tout ceci se faisait oralement, et les disciples prenaient des notes, comme dans les écoles actuelles presque ! Le disciple pouvait accueillir un prestige selon l’autorité et la renommée du Rabbi. C’est dans ce sens que Saint Paul ne se prive pas de montrer le prestige de la qualité de sa formation reçue à l’école du maître Gamaliel. « Je suis Juif, né à Tarse en Cilicie, mais élevé ici dans cette ville, où, à l’école de Gamaliel, j’ai reçu une éducation strictement conforme à la Loi de nos pères ; j’avais pour Dieu une ardeur jalouse, comme vous tous aujourd’hui». (Ac 22, 3)
Le substantif « disciple » (mathètès) est repris 294 fois dans le Nouveau Testament pour parler du groupe des personnes qui suivaient Jean-Baptiste, et surtout ceux qui suivaient Jésus. Par exemple, dans un récit de controverse : « Comme les disciples de Jean le Baptiste et les pharisiens jeûnaient, on vient demander à Jésus : ‘Pourquoi, alors que les disciples de Jean et les disciples des pharisiens jeûnent, tes disciples ne jeûnent-ils pas ?’»(Mc2, 18). Dans les évangiles, Jésus a été considéré lui aussi comme un Rabbi et plusieurs disciples étaient autour de lui. Mais Jésus est un rabbi totalement différent des autres. Si dans les écoles philosophiques et rabbiniques, le disciple choisissait l’école et son maître et lui donnait un salaire, il y a une rupture radicale avec Jésus, qui, avec une autorité divine « appelle et choisit » lui-même ses disciples, comme Dieu faisait dans l’Ancien Testament en appelant les prophètes :
« Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. » (Jn 15, 16)
Jésus ne reçoit aucun salaire mais c’est lui qui fixe les règles et les conditions du recrutement. Il est l’unique maître, et ses disciples ne peuvent pas devenir des maîtres. C’est pour cela qu’il leur défend de ne jamais se faire appeler « rabbi », « maître » ou « père » : « Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères. Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux. Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ. » (Mt 23, 8-10). Ceci suppose une nouvelle appartenance et un nouveau style de vie qui doit caractériser chaque baptisé.
Les Évangiles nous décrivent la diversité des modalités d’appel des disciples de Jésus. Quelques exemples nous permettront de voir que nous tous, malgré notre diversité, nous sommes appelés et envoyés par le seul et unique Maître. Dans l’évangile de Jean nous avons un beau récit qui montre comment on « devient disciple de Jésus », « pour faire » des disciples, en partant du témoignage.
« Le lendemain encore, Jean se trouvait là avec deux de ses disciples. Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu». Les deux disciples entendirent ce qu’il disait, et ils suivirent Jésus. Se retournant, Jésus vit qu’ils le suivaient, et leur dit : « Que cherchez-vous ?» Ils lui répondirent : « Rabbi – ce qui veut dire : Maître –, où demeures-tu ? » Il leur dit : « Venez, et vous verrez. » Ils allèrent donc, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. André, le frère de Simon-Pierre, était l’un des deux disciples qui avaient entendu la parole de Jean et qui avaient suivi Jésus. Il trouve d’abord Simon, son propre frère, et lui dit : « Nous avons trouvé le Messie » – ce qui veut dire : Christ. André amena son frère à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et dit : « Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras Kèphas » – ce qui veut dire : Pierre. Le lendemain, Jésus décida de partir pour la Galilée. Il trouve Philippe, et lui dit : « Suis-moi. » Philippe était de Bethsaïde, le village d’André et de Pierre. Philippe trouve Nathanaël et lui dit : « Celui dont il est écrit dans la loi de Moïse et chez les Prophètes, nous l’avons trouvé : c’est Jésus fils de Joseph, de Nazareth.» Nathanaël répliqua : « De Nazareth peut-il sortir quelque chose de bon ? » Philippe répond : « Viens, et vois. » Lorsque Jésus voit Nathanaël venir à lui, il déclare à son sujet : « Voici vraiment un Israélite : il n’y a pas de ruse en lui. » Nathanaël lui demande : « D’où me connais-tu ? » Jésus lui répond : « Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu. » (Jn 1, 35-49). Dans ce récit, l’appel se fait par le témoignage, un contact direct, le bouche à oreille… mais celui qui décide en dernier lieu, c’est Jésus qui appelle et le disciple prend la décision libre de le suivre…
Jésus a appelé des hommes et des femmes tellement différents les uns des autres. Un jour, il rencontre un jeune homme riche qui voulait obtenir la vie éternelle. Jésus l’appela pour qu’il devienne son disciple, mais l’attachement à ses richesses crée un blocage en lui : « Une seule chose te fait encore défaut : vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres et tu auras un trésor dans les cieux. Puis viens, suis-moi.» Mais entendant ces paroles, l’homme devint profondément triste, car il était très riche. » (Lc 18,21-23).
Il y a aussi des femmes dans ce cercle de disciples du Christ. « Ensuite, il arriva que Jésus, passant à travers villes et villages, proclamait et annonçait la Bonne Nouvelle du règne de Dieu. Les Douze l’accompagnaient, ainsi que des femmes qui avaient été guéries de maladies et d’esprits mauvais : Marie, appelée Madeleine, de laquelle étaient sortis sept démons, Jeanne, femme de Kouza, intendant d’Hérode, Suzanne, et beaucoup d’autres, qui les servaient en prenant sur leurs ressources. » (Lc 8, 1-3).
Jésus n’oubliait pas les enfants parce qu’il savait bien que les enfants pouvaient aussi devenir ses disciples, parce que les enfants savent parfois être mieux à l’écoute et plus convaincants que les adultes. Il nous est dit dans l’évangile de Luc : « Laissez les enfants venir à moi, et ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas. » (Lc 19, 16-17)
Trois conditions pour être disciple : Suivre, apprendre et imiter
Le vrai disciple conjugue et déploie ces trois verbes dans sa relation avec le Christ.
1. Suivre Jésus
On le voit à plusieurs appels dans l’évangile: «En passant, il aperçut Lévi, fils d’Alphée, assis au bureau des impôts. Il lui dit : «Suis-moi. » L’homme se leva et le suivit » (Mc 2, 14). Plus tard, il est dit d’André et de son frère «Comme il marchait le long de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et son frère André, qui jetaient leurs filets dans la mer ; car c’étaient des pêcheurs. Jésus leur dit : « Venez à ma suite, et je vous ferai pêcheurs d’hommes.» Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent. » (Mt 4, 18-19).
Suivre Jésus librement est la condition pour être disciple, mais c’est Jésus qui fixe les exigences. « Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à soi-même, qu’il prenne sa croix et qu’il me suive » (Lc9, 23). Car malheureusement, il y a toujours la tentation de suivre le Christ pour des raisons erronées. Par exemple
- La foule qui suivait Jésus pour être nourrie : «Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés » (Jn 6, 26),
- Des disciples qui voulaient recevoir une récompense, comme Pierre « Alors Pierre prit la parole et dit à Jésus : «Voici que nous avons tout quitté pour te suivre : quelle sera donc notre part ? » (Mt 19,27),
- Des disciples qui cherchent un chemin de facilité comme Pierre qui veut empêcher le Christ d'affronter la mort en croix, et qui est « recadré » par Jésus lui-même l’appelant à se mettre derrière lui et non pas devant, pour reprendre sa place de disciple. « À partir de ce moment, Jésus commença à montrer à ses disciples qu’il lui fallait partir pour Jérusalem, souffrir beaucoup de la part des anciens, des grands prêtres et des scribes, être tué, et le troisième jour ressusciter. Pierre, le prenant à part, se mit à lui faire de vifs reproches : « Dieu t’en garde, Seigneur ! cela ne t’arrivera pas. » Mais lui, se retournant, dit à Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! Tu es pour moi une occasion de chute : tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes. » (Mt 16, 21-23)
- Ceux qui cherchaient le pouvoir, comme les fils de Zébédée, Jacques et Jean et qui ont dû se convertir de cette motivation en suivant Jésus : « Alors la mère des fils de Zébédée s’approcha de Jésus avec ses fils Jacques et Jean, et elle se prosterna pour lui faire une demande. Jésus lui dit : « Que veux-tu ? » Elle répondit : « Ordonne que mes deux fils que voici siègent, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton Royaume. » Jésus répondit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire ? » Ils lui disent : « Nous le pouvons. » (Mt 20, 20-22). On le voit aussi quand les disciples se disputent pour savoir qui était le premier parmi eux.
2. Apprendre :
La deuxième étape dans la vie d’un disciple, c’est « apprendre » c’est-à-dire accueillir un enseignement. Ceci caractérise les premiers chrétiens qui étaient assidus à l’enseignement des apôtres et de ceux qui avaient appris eux-mêmes de Jésus. Ici se pose la question des moyens que nous prenons pour approfondir notre foi : catéchèses, formations, lecture spirituelle, groupe de réflexion, lecture biblique, appartenance à un mouvement spirituel ou d’études…
3. Imiter
Imiter le Christ, c’est mettre en pratique son enseignement. Cela ne veut pas dire reproduire de manière identique un modèle ou une pratique. Imiter le Christ, c’est vivre, témoigner d’une vie pardonnée et aimée par le Christ. Imiter le Christ, c’est chercher à faire la volonté du Père chaque jour, mettre en pratique le commandement de l’Amour dans notre vie. La finalité de l’enseignement est la mise en pratique, l’obéissance, la conformité de notre vie à l’enseignement de Jésus.
Saint Paul nous dit que nous devons être des imitateurs du Seigneur « Oui, cherchez à imiter Dieu, puisque vous êtes ses enfants bien-aimés. Vivez dans l’amour, comme le Christ nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous, s’offrant en sacrifice à Dieu, comme un parfum d’agréable odeur. Comme il convient aux fidèles la débauche, l’impureté sous toutes ses formes et la soif de posséder sont des choses qu’on ne doit même plus évoquer chez vous ; pas davantage de propos grossiers, stupides ou scabreux – tout cela est déplacé – mais qu’il y ait plutôt des actions de grâce.» (Eph 5, 1-5).
La foi chrétienne n’est pas une morale. Elle est une rencontre avec Jésus. Mais, comme disciple, être derrière le Christ, c’est vivre et agir selon sa volonté, comme il a agi et fait la volonté du Père… Il n’est pas possible de vivre la foi chrétienne sans sa morale, c’està-dire, la dimension de l’imitation. Quand on a rencontré le Christ, on vit selon ce qu’il nous prescrit. Aujourd’hui, beaucoup de gens justifient leur manque de foi ou leur non-pratique (excuse non valable) à cause du contre-témoignage que rendent certains chrétiens qui ne vivent pas toujours selon le commandement de l’Amour...
Les traits caractéristiques d’un disciple de Jésus
1. Une relation d'amitié
Demeurer avec Jésus : Après l’appel, le premier trait qui caractérise un vrai disciple du Christ est la relation qu’il établit avec lui. Dans l’évangile Jean, 15, 1-17, cette relation d’amitié est comparée au lien existant entre la vigne et les sarments. Comme le fait d’être uni à la vigne permet au sarment de donner beaucoup de fruits, de même, seule une relation intime avec le Christ permet aux disciples de porter du fruit en abondance. Cette relation est aussi définie dans l’institution des Douze : «Puis, il gravit la montagne, et il appela ceux qu’il voulait. Ils vinrent auprès de lui, et il en institua douze pour qu’ils soient avec lui et pour les envoyer proclamer la Bonne Nouvelle avec le pouvoir d’expulser les démons » (Mc3, 13-15).
Il est clair que les disciples sont appelés pour vivre une étroite relation d’amitié avec le Maître, rester avec lui, demeurer dans sa maison, pour ensuite seulement être envoyés prêcher. Dans l’évangile de Jean, les disciples de Jean répondent à la question de Jésus : « Que cherchez-vous ? » Ils lui répondirent : « Rabbi –Maître– où demeures-tu ? » Il leur dit : « Venez, et vous verrez » Ils allèrent donc, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. » (Jn 1,38-39).
2. Un vrai disciple persévère dans la relation avec Jésus
Une des grandes caractéristiques d’un vrai disciple est la persévérance. Le disciple persévère et dure dans le temps malgré les épreuves. Nombreux sont ceux qui, en effet, commencent à suivre Jésus avec générosité, mais, très peu sont ceux qui persévèrent. Demeurer dans l’amour du Christ, c’est durer dans le temps malgré les déceptions, les épreuves et les découragements. Dans l’évangile de saint Jean, Jésus insiste sur « le tenir bon », le « demeurer dans la relation ».
«Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour… » (Jn 15, 10).
Persévérer dans notre relation au Christ n’est pas facile chaque jour. Nous le voyons dans les foules qui suivaient Jésus et qui l’ont abandonné. L’un des moments le plus difficile de la vie de Jésus est l’abandon par beaucoup de ses disciples, après l’enseignement de Jésus sur le pain vivant « Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui. De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. » Voilà ce que Jésus a dit, alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm. Beaucoup de ses disciples, qui avaient entendu, déclarèrent : « Cette parole est rude ! Qui peut l’entendre ? » […] À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent et cessèrent de l’accompagner. » (Jn 6, 54-66).
Être disciple n’est pas toujours facile. C’est parfois un chemin de croix, une épreuve, pour diverses raisons. Il n’est pas toujours facile de rester dans une équipe quand on n’arrête pas de prendre des coups, quand nous avons un curé qui ne nous écoute pas, quand les décisions de l’Église ne répondent pas à nos attentes ou nos aspirations, quand nous sommes pris par le découragement. Mais c’est dans ces circonstances que nous sommes appelés à manifester notre fidélité au Christ qui, «avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout » (Jn 13, 1)
Ce qui nous fait durer dans cette relation, c’est la certitude que c’est Lui qui nous a aimés le premier et que son amour est toujours donné, quoiqu’il arrive. Alors, demeurer dans l’amour du Christ est une réponse de la liberté du disciple à l’amour de Jésus : « Voici en quoi consiste l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés, et il a envoyé son Fils en sacrifice de pardon pour nos péchés » (1 Jn 4, 10).
3. Le vrai disciple fixe Jésus, le Maître sans perdre de vue ses frères et sœurs.
Cette caractéristique se voit dans le regard de Jean-Baptiste qui témoigne et donne à Jésus ses premiers disciples : « Le lendemain encore, Jean se trouvait là avec deux de ses disciples. Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit : « Voici l’Agneau de Dieu.» Les deux disciples entendirent ce qu’il disait, et ils suivirent Jésus » (Jn 1, 35-36).
La scène est très belle. Jésus passe et Jean pose son regard sur lui, et s’adresse en même temps à ses disciples pour témoigner « Voici l’Agneau de Dieu ». Ceci est très important dans la vie de chaque disciple. Comme Jean-Baptiste, nous devons porter et tourner notre regard vers Dieu sans s’éloigner de nos frères et sœurs. Le frère et la sœur sont les premiers bénéficiaires de notre relation avec le Seigneur et de notre regard fixé sur Jésus. Notre relation avec le Christ doit être mis au service de nos frères et sœurs, pour qu’ils découvrent et fassent eux aussi l’expérience de l’amour de Dieu.
La foi authentiquement chrétienne ne m’éloigne pas de l’homme (contrairement au prêtre et au lévite de la parabole du Bon samaritain, ceux-ci ne touchent pas l’homme tombé sous les coups des bandits pour ne pas être impurs car leur foi et la Loi le leur interdisaient). La foi chrétienne nous rapproche des hommes et des femmes pour qu’ils reçoivent les bienfaits de l’amour dont nous sommes les témoins. C’est cela que saint Paul exprime quand il dit « Alors que nous aurions pu nous imposer en qualité d’apôtres du Christ, au contraire, nous avons été pleins de douceur avec vous, comme une mère qui entoure de soins ses nourrissons. Ayant pour vous une telle affection, nous aurions voulu vous donner non seulement l’Évangile de Dieu, mais jusqu’à nos propres vies, car vous nous étiez devenus très chers » (1Thes 2, 7-8)
4. Le disciple conduit les autres à Jésus.
Jean-Baptiste n’est pas préoccupé d’augmenter le nombre de ses propres disciples, son fan club ! Bien au contraire, il indique de manière claire que c’est Jésus qu’il faut suivre. Le disciple de Jésus, à la suite de Jean-Baptiste, est libre et détaché de toute tentation d’autosatisfaction, de l’affirmation du succès personnel. Il ne peut se servir du nom de Dieu pour se glorifier soi-même. Il ne se sert pas de ses frères et sœurs pour une réalisation personnelle, et ne doit pas se servir de Dieu. A la suite de Jean-Baptiste, le vrai disciple cherche Jésus pour l’indiquer aux frères et sœurs… et cela pour être les bénéficiaires de son Amour. « Il ne s’agit pas pour nous d’exercer un pouvoir sur votre foi, mais de contribuer à votre joie, car, par la foi, vous tenez bon. » (2 Co 1, 24)
5. Le vrai disciple fixe Jésus qui « passe »
Les évangiles présentent souvent Jésus en mouvement, qui passe d’un lieu à un autre, d’une ville à une autre, annonçant partout la Bonne Nouvelle. Ainsi en est-il dans la vie du vrai disciple : il doit sans cesse être derrière Jésus qui passe devant lui. La vie spirituelle du disciple n’est jamais quelque chose de statique et d’arrêté, mais une réalité dynamique, qui chemine, qui cherche, toujours en croissance vers une plus grande connaissance du mystère du Christ Jésus qui est sans cesse devant nous, comme un but, un idéal à atteindre et non pas une réalité passée, à contempler avec nostalgie. Le vrai disciple n’est jamais «déjà arrivé », mais est toujours en chemin avec les hommes et les femmes de son temps.
6. Le vrai disciple sait écouter les autres
Le disciple sait laisser parler Jésus qui est le Verbe fait chair, puis se met au service de cette Parole. Le disciple écoute beaucoup, mais parle peu. Il ne court pas mais fait courir la Parole par son témoignage. Le vrai disciple sait que l’annonce de la Bonne Nouvelle n’est pas d’abord une question de parole, mais de manière, d’amour, du cœur que l’on met dans l’annonce de cette Bonne Nouvelle. Ce qu’on dit par le langage non verbal est plus important parce qu’il donne sens et crédibilité aux paroles et touche plus le cœur. L’amour n’a pas besoin de beaucoup de parole mais se nourrit de regards, de gestes. Et quand le disciple écoute, il apprend le langage de l’autre. Une des choses qui m’a toujours marqué dans la formation des missionnaires, c’est l’insistance à apprendre la langue et la culture des gens à qui on veut annoncer la Bonne Nouvelle. Cela répond à la logique de l’incarnation. Pour nous sauver, Dieu s’est fait l’un de nous. Cela veut dire que nous devons nous mettre à l’écoute du monde, de la société, de nos interlocuteurs avant de leur parler de Jésus. Pour cela, il nous faut parfois prendre le temps, avoir de la patience, respecter le rythme de l’autre, écouter sa soif et sa faim… Saint Paul nous montre l’importance de l’écoute de la culture des autres quand il arrive à Athènes : « Alors Paul, debout au milieu de l’Aréopage, fit ce discours : « Athéniens, je peux observer que vous êtes, en toutes choses, des hommes particulièrement religieux. En effet, en me promenant et en observant vos monuments sacrés, j’ai même trouvé un autel avec cette inscription : “Au dieu inconnu.” Or, ce que vous vénérez sans le connaître, voilà ce que, moi, je viens vous annoncer. Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qu’il contient, lui qui est Seigneur du ciel et de la terre, n’habite pas des sanctuaires faits de main d’homme ; il n’est pas non plus servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, le souffle et tout le nécessaire…..Quand ils entendirent parler de résurrection des morts, les uns se moquaient, et les autres déclarèrent : « Là-dessus nous t’écouterons une autre fois. » C’est ainsi que Paul, se retirant du milieu d’eux, s’en alla. Cependant quelques hommes s’attachèrent à lui et devinrent croyants. Parmi eux, il y avait Denys, membre de l’Aréopage, et une femme nommée Damaris, ainsi que d’autres avec eux. » (Ac 17, 22-25, 32-24)
7. Le vrai disciple pose des questions , et donne moins de réponse
A la suite de Jésus, le vrai disciple ne donne pas de réponses toutes faites. Il pose d’abord des questions : « Que cherchez-vous ? » demande Jésus aux disciples de Jean qui le suivent. « Que veux-tu que je fasse pour toi ? », Il ne s’agit pas d’une question rhétorique comme quand nous demandons de manière machinale « comment ça va ?» tout en poursuivant notre discours sans attendre la réponse de l’autre. La question du disciple naît d’un cœur préoccupé par le bien de l’autre, qui veut prendre soin de l’autre, d’un désir et d’un cœur compatissant et plein d’amour. La question d’un vrai disciple naît d’une prédisposition à l’écoute et à l’accueil de l’autre, pour ensuite le mettre en chemin vers le Christ et vers les autres.
C’est le sens des questions que nous pouvons poser aux autres quand ils frappent aux portes de nos églises ou de nos centres paroissiaux. Non pas des questions inquisitrices, comme des juges qui mènent une enquête, mais comme des disciples qui veulent comprendre et voir les traces de Dieu dans l’histoire des hommes et femmes qui s’approchent de nous. En nous intéressant à leur vie de couple, leur vie de parents, leur vie professionnelle… ils se rendent eux-mêmes compte qu’elles ont du sens, qu’il y a des traces de Dieu dans leur vie.
8. Le vrai disciple a une maison, une communauté
Le vrai sujet de la mission d’un disciple, c’est une famille, une communauté. Le vrai disciple du Christ devrait pouvoir dire : « Venez et voyez », pour que les autres aillent vers le Christ, vers l’Église, vers notre communauté locale. « Viens et tu verras » combien nous nous aimons dans notre communauté, dans notre service, dans notre équipe, dans notre mouvement… Jésus avait dit clairement : «Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » (Jn 13, 34-35). L’amour fraternel, l’unité dans la communauté des disciples n’est jamais quelque chose de déjà acquis, mais une réalité à rechercher sans cesse, une finalité vers laquelle tout disciple doit cheminer. Nous devrions veiller à ce que nos communautés « donnent envie » à ceux qui voudraient s’en approcher.
Conclusion : La Joie de L’évangile (120-121)
120. « En vertu du Baptême reçu, chaque membre du Peuple de Dieu est devenu disciple missionnaire (cf. Mt 28, 19). Chaque baptisé, quelle que soit sa fonction dans l’Église et le niveau d’instruction de sa foi, est un sujet actif de l’évangélisation, et il serait inadéquat de penser à un schéma d’évangélisation utilisé pour des acteurs qualifiés, où le reste du peuple fidèle serait seulement destiné à bénéficier de leurs actions. La nouvelle évangélisation doit impliquer que chaque baptisé soit protagoniste d’une façon nouvelle. Cette conviction se transforme en un appel adressé à chaque chrétien, pour que personne ne renonce à son engagement pour l’évangélisation, car s’il a vraiment fait l’expérience de l’amour de Dieu qui le sauve, il n’a pas besoin de beaucoup de temps de préparation pour aller l’annoncer, il ne peut pas attendre d’avoir reçu beaucoup de leçons ou de longues instructions. Tout chrétien est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l’amour de Dieu en Jésus Christ ; nous ne disons plus que nous sommes « disciples » et « missionnaires », mais toujours que nous sommes « disciples-missionnaires ». Si nous n’en sommes pas convaincus, regardons les premiers disciples, qui immédiatement, après avoir reconnu le regard de Jésus, allèrent proclamer pleins de joie : « Nous avons trouvé le Messie » (Jn 1, 41). La samaritaine, à peine eut-elle fini son dialogue avec Jésus, devint missionnaire, et beaucoup de samaritains crurent en Jésus « à cause de la parole de la femme » (Jn 4, 39). Saint Paul aussi, à partir de sa rencontre avec Jésus Christ, «aussitôt se mit à prêcher Jésus » (Ac 9, 20). Et nous, qu’attendons-nous ?
121. Assurément, nous sommes tous appelés à grandir comme évangélisateurs. En même temps employons-nous à une meilleure formation, à un approfondissement de notre amour et à un témoignage plus clair de l’Évangile. En ce sens, nous devons tous accepter que les autres nous évangélisent constamment ; mais cela ne signifie pas que nous devons renoncer à la mission d’évangélisation, mais plutôt que nous devons trouver le mode de communiquer Jésus qui corresponde à la situation dans laquelle nous nous trouvons. Dans tous les cas, nous sommes tous appelés à offrir aux autres le témoignage explicite de l’amour salvifique du Seigneur, qui, bien au-delà de nos imperfections, nous donne sa proximité, sa Parole, sa force, et donne sens à notre vie. Ton cœur sait que la vie n’est pas la même sans lui, alors ce que tu as découvert, ce qui t’aide à vivre et te donne une espérance, c’est cela que tu dois communiquer aux autres. Notre imperfection ne doit pas être une excuse ; au contraire, la mission est un stimulant constant pour ne pas s’installer dans la médiocrité et pour continuer à grandir. Le témoignage de foi que tout chrétien est appelé à donner, implique d’affirmer, comme saint Paul : « Non que je sois déjà au but, ni déjà devenu parfait ; mais je poursuis ma course […] et je cours vers le but » (Ph 3, 12-13).
Témoignages : Accusations de viol, de meurtre et de détournement d’enfants contre le pape François
Deux adolescentes ont revendiqué avoir été violées par le Pape François lors de leur participation à des sacrifices d’enfants. Huit témoins oculaires ont confirmé les allégations, grâce aux preuves présentées cette semaine à la Cour de Justice de Droit Commun de Bruxelles.

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samedi 10 août 2013
ICLCJ - 04/08/13