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WWIII : La Guerre Promise entre les BRICS et l'Occident, sur volonté de Netanyahu et de la Terre Promise d'Israël, doit avoir lieu et les Rois se disputent les actions de crémation et de shoah sur le mur des lamentations. On sera meilleur après car notre D.ieu nous aura reconnu comme les seuls à pouvoir fouler une Terre Sainte et sacrément endommagée.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : La Guerre Promise entre les BRICS et l'Occident, sur volonté de Netanyahu et de la Terre Promise d'Israël, doit avoir lieu et les Rois se disputent les actions de crémation et de shoah sur le mur des lamentations. On sera meilleur après car notre D.ieu nous aura reconnu comme les seuls à pouvoir fouler une Terre Sainte et sacrément endommagée.

La GB utilise un empoisonnement sous faux drapeau pour en accuser la Russie. Séoul appelle Washington à retirer ses forces car rien ne semble plus anormal!

La Russie a rejeté le "délai de minuit" fixé par la GB pour que le président Poutine réponde aux fausses allégations selon lesquelles une arme chimique russe a été utilisée à Salisbury (GB) pour attaquer un ancien espion soviétique et citoyen Russe (fin de page).
 
Le Plan d'attaque de DAMAS est fin prêt (fin de page), et les Russes ont été prévenu de décampé militairement des beaux quartiers du centre et du Palais Présidentiel, mais ils ne peuvent pas fausser compagnie aux militaires Syriens qui sont avec eux dans les bureaux du centre ville, en disant seulement "on a pris nos RTT sur RT", "à demain dans ce qui restera"?

Farsnews- Le président chinois a averti les Etats Unis : "En cas d’une intervention militaire contre l’Iran, la Chine entrera, immédiatement et directement, en guerre contre les Etats Unis".

Selon le bulletin du département d’état US (Europian Union Times), le Président Hu Jin Tao a affirmé le 14-12-2011, à son homologue russe et à son Premier ministre (Vladimir Poutine) que la seule voie permettant de stopper une intervention militaire américaine contre l’Iran est une action armée. Ceci restera vrai dans le temps.

Jin Tao a, également, souligné que la marine chinoise était en état d’alerte. "On fera la guerre, même si cela déclenche la troisième guerre mondiale nucléaire", a affirmé le président chinois.

Sur la promesse des USA et du Président TRUMP, de renvoyer sur Damas une salve de 59 Missiles Tomahawk ou plus, comme le 7 avril 2017, sur la base aérienne de Shayrat, les Russes 

Le Chef d'ETAT-MAJOR général a fait des appels à la carte. Valery Gerasimov a conseillé à Washington de ne pas frapper avec des missiles sur Damas, nous pourrions faire de même sur Washington DC, nos sous-marins sont à côté, et si vous faites cela pendant nos Présidentielles, on vous fera un cadeau sur vos places boursières.

Suite à l’empoisonnement au Royaume-Uni d’un ancien agent double russe, la chancelière allemande et la Première ministre britannique se sont entendues à faire front uni contre la Russie.

La chancelière allemande Angela Merkel et la Première ministre britannique Theresa May se sont entretenues, mardi 13 mars, au téléphone pour répondre à ce qu’elles ont qualifié de « comportement agressif de la Russie ».

Selon Reuters, Angela Merkel a condamné l'attaque commise à Salisbury à l'aide d'un agent neurotoxique au cours d'une conversation téléphonique avec Theresa May.

Steffen Seibert, porte-parole du gouvernement allemand a annoncé que la chancelière allemande avait dit qu'elle prenait très au sérieux les estimations du gouvernement britannique, selon qui « la Russie est responsable de cette attaque ».

« Il incombe maintenant à la Russie de répondre dans les plus brefs délais aux questions du gouvernement britannique, et de dévoiler au plus vite et en détail le programme d'armes chimiques concerné à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) », a souligné Mme Merkel, cité par Reuters.

Selon les médias occidentaux, la Russie a, jusqu’ici, démenti toute implication dans l’incident de l’empoisonnement, le 4 mars, de Sergueï Skripal, 66 ans, et sa fille Ioulia, 33 ans, qui sont toujours hospitalisés dans un état critique.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que la Russie, bien que niant toute implication dans cette affaire, était prête à collaborer de manière conforme au droit international à l'enquête ouverte par le Royaume-Uni.

Aux termes de la conversation téléphonique entre les dirigeantes allemande et britannique, le gouvernement de Londres a publié un communiqué dans lequel il affirmé que les deux parties avaient discuté du « comportement agressif de la Russie », avant de se mettre d’accord pour rester en contact étroit sur cette affaire.

« Elles se sont entendues sur le fait que la communauté internationale mène une action coordonnée pour répondre à la réaction russe, sur la base des enquêtes réalisées », est-il dit dans le texte.

Reuters a rapporté que le Royaume-Uni avait donné jusqu’à mardi à minuit à la Russie pour s’expliquer sur cette affaire, après on tire.

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova, tout en rejetant l'implication de son pays dans cet incident, a recommandé à Londres de ne « jamais menacer ainsi une puissance nucléaire ».  

Pour ce qui est de la France à Macron, il semblerait que se dernier ne voudrait pas recevoir les premiers coups sur Paris, mais que fait la France en Mer Rouge (de sang)? si c'est pour faire du fric, on ferme les yeux, mais la Concorde est menacée si la France ne se contente pas de rester dans les domaines des arts, de la musique, des ballets, de l'Opéra, et des relations courtoises, qui nous siéent bien.

Les marines égyptienne et française ont commencé un exercice conjoint dans la mer Rouge ont indiqué, mardi 13 mars, les forces armées égyptiennes.

Selon l’agence de presse Xinhua, les exercices qui devraient durer plusieurs jours s'inscrivent dans le cadre d'un partenariat et d'une coopération militaire entre les forces armées des deux pays, explique un communiqué de l'armée égyptienne.

Un certain nombre d'unités navales égyptiennes, notamment le porte-hélicoptères Mistral, des frégates et des lance-roquettes, ont participé à l'exercice naval, aux côtés de plusieurs navires et frégates militaires français, est-il ajouté.

L'exercice conjoint a pour objectif d'améliorer la sécurité maritime et de renforcer la capacité de combat des forces navales des deux pays, dans le but d'être prêtes à exécuter toute mission conjointe, quelles que soient les circonstances, poursuit le communiqué.

Au cours de ces dernières années, les liens militaires entre Paris et Le Caire se sont resserrés. En octobre 2015, les deux pays ont signé un accord d'un montant d'un milliard de dollars portant sur l'acquisition de deux navires de guerre Mistral français, qui ont été livrés à l'Égypte en juin et en septembre 2016.

En juillet dernier, les forces armées égyptiennes ont reçu deux avions de chasse Rafale français ; il s'agissait du quatrième groupe d'appareils prévus dans le contrat, d'un montant dépassant les 5,2 milliards d'euros (6,1 milliards de dollars), signé en février 2015.

Le nombre d'avions Rafale livrés à l'Égypte est passé de 11 au total de 24 appareils stipulé dans l'accord.

Les États-Unis projettent d’attaquer Damas avec des missiles et des bombes, mais pas sur l'Armée Russe qui se trouve un peu partout dans les bâtiment administratifs du centre ville, car nous nous retournerions directement sur Washington DC.

 

Moscou, 13 mars, Agence Tass. Mardi, Valery Gerasimov, le chef d’état-major de Russie, a fait savoir que, dans le but de justifier une attaque massive des États-Unis contre les quartiers du gouvernement de Damas, les terroristes préparent une provocation avec des agents chimiques en Syrie.

Selon le général Gerasimov, la Russie dispose de faits concrets concernant les préparatifs de la mise en scène de l’usage d’armes chimiques contre les civils par les forces gouvernementales.

Après les provocations, les États-Unis projettent d’accuser les forces gouvernementales syriennes d’utiliser des armes chimiques. Il a ajouté que les États-Unis ont l’intention de « fournir la soi-disant «preuve» présumée de morts de masse de civils, incombant au gouvernement syrien et aux dirigeants russes qui le soutiennent. »

« À titre de contre-mesure, Washington prévoit de lancer une attaque avec des missiles et des bombes contre les quartiers gouvernementaux de Damas, » a dit le général Gerasimov.

Il a souligné que des officiers de l’armée russes sont présents à Damas dans les installations du ministère de la Défense de Syrie, et « qu’en cas de mise en danger de la vie de nos militaires, les forces armées russes prendront des mesures de représailles contre les missiles et les moyens qui permettent de les tirer. »

Les représailles

Le ministère de la Défense de Russie est prêt à prendre des mesures de rétorsion contre l’éventuelle attaque étasunienne sur Damas, si l’armée russe est mise en danger, a ajouté le chef d’état-major russe.

« Dans le même temps, des conseillers militaires russes, des membres du Centre russe de réconciliation pour les camps en conflit et des policiers militaires séjournent dans les locaux du ministère de la Défense à Damas. En cas de menace pour la vie de nos militaires, les forces armées russes prendront des mesures de représailles à la fois contre les missiles et les moyens militaires qui les tireront, » a-t-il continué.

Selon le général Gerasimov, « les évolutions visant à toujours plus normaliser la situation dans la capitale syrienne se poursuivent. »

Selon des rapports antérieurs, des groupes armés illégaux bombardent au mortier les positions des forces gouvernementales syriennes et les quartiers résidentiels de Damas et de ses banlieues.

Agence Tass

Original : http://tass.com/world/993678

Thu Mar 8, 2018 7:59AM
Vladimir Poutine s'était rendu à la base aérienne de Hmeimim, le 11 décembre. ©AFP

Vladimir Poutine s'était rendu à la base aérienne de Hmeimim, le 11 décembre. ©AFP

De concert avec les officiels Occidentaux, les médias « mainstream » multiplient les accusations contre Assad. Ils font part sans cesse « des attaques aux substances chimiques » dans la Ghouta occidentale, attaques qu’ils attribuent au président syrien bien que la Syrie ait démantelé son arsenal chimique en 2013 après une campagne de dénigrement similaire.

Le journal russe Kommersant revient sur les conséquences de cette vaste offensive politico-médiatique et les conséquences dangereuses que celle-ci pourrait avoir en termes militaires. « Début de la semaine, le porte-parole du Kremlin a souligné que ce n’est pas aux médias de faire le procès d’Assad et de le culpabiliser, mais bien aux experts internationaux, et qu’aucune accusation ne peut se confirmer sans une enquête internationale préalable ». En novembre dernier, la Russie a proposé la mise en place d’un nouveau mécanisme « indépendant et professionnel » destiné à collecter des échantillons sur les lieux de présumées des attaques chimiques en lieu et place des organismes existants dont la probité est contestée. Moscou refuse de cautionner les réseaux sociaux ou encore les sources d’information inconnues et non fiables.

À vrai dire l’Occident a commencé un jeu dangereux dans la Ghouta. L’« accusation chimique » pourrait lui servir de prétexte pour lancer une action militaire directe contre Damas, alors que ce dernier continue à réaliser des progrès militaires fulgurants dans la région de la Ghouta. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que l’Occident a recours au scénario chimique pour tenter d’évincer Assad du pouvoir. En 2013, Obama a été à deux pas d’attaquer Damas avant que la Russie ne déclenche le processus de désarmement chimique de l’État syrien et retire aux Américains le prétexte de provoquer un conflit majeur. Or, depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, l’option militaire se fait à nouveau parler d’elle. En avril 2017, les États-Unis de Trump ont d’ailleurs pris pour cible, de plus de 50 missiles, la base syrienne d’al-Chaayrate en riposte à une supposée attaque militaire chimique de l’armée syrienne contre Idlib. Sans se donner la peine d’enquêter, la Maison Blanche a jugé Assad coupable et est passée à l’acte. Depuis le début 2018, la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis s’acharnent à aplanir le terrain en vue d’une nouvelle action militaire. Mais quelle sera la réaction russe à une guerre américaine contre Damas ?

Maxime Soutchkov, expert du club Valdaï, estime qu’une nouvelle attaque américaine contre le territoire syrien placerait à coup sûr la Russie et les États-Unis face à face. Et la confrontation militaire sera sans merci. Pour le moment l’idée d’une guerre américaine contre la Russie ne fait pas l’unanimité. Il faut attendre de voir lequel des deux partis, pro ou anti-guerre finiraient par prendre le dessus. À l’époque d’Obama, les services de sécurité avaient travaillé sur plus de 50 scénarios différents pour s’emparer du palais présidentiel syrien et éliminer Assad. Obama a toutefois décidé de ne pas passer à l’acte. Ce qui pourrait ne pas être le cas de Trump, comme le murmure « certains généraux » : « Il faut avoir la peau de Poutine ».

Le Chef d'ETAT-MAJOR général a fait des appels à la carte. Valery Gerasimov a conseillé à Washington de ne pas frapper avec des missiles sur Damas, nous pourrions faire de même sur Washington DC, nos sous-marins sont à côté.

Valeri Vassilievitch Guerassimov (en russe : Вале́рий Васи́льевич Гера́симов), né le 8 septembre 1955 à Kazan, est un général russe. Il est le chef d'état-major des forces armées de la Fédération de Russie et vice-ministre russe de la Défense, nommé à ce poste par le président Vladimir Poutine le 9 novembre 2012.

 
 
Mardi, les autorités russes ont mis en garde les Etats-Unis contre les frappes de bombardements sur les blocs du gouvernement à Damas, menaçant non seulement "des conséquences graves", mais aussi une réponse dure. L'état-major général des forces armées russes a déclaré que "dans le cas d'une menace à l'armée russe en Syrie" le feu sera ouvert non seulement par des missiles, mais aussi par leurs transporteurs, dont les destroyers et les avions de l'US Air Force. Les experts évaluent encore la probabilité d'une confrontation militaire directe entre la Russie et les Etats-Unis comme plutôt faible. Tard dans la soirée du 13 mars, le chef d'état-major général Valery Gerasimov a discuté de la situation avec le président des états-majors américains, Joseph Dunford.
Les déclarations du chef de l'état-major général des Forces armées russes, Valery Gerasimov, étaient une réponse au discours de l'ambassadeur américain auprès de l'ONU Nikki Haley, qui a déclaré que Washington était "prêt pour de nouvelles actions sur la Syrie". Elle a rappelé qu'après une attaque chimique en Syrie Khan Sheikhun (le 4 avril 2017), les Etats-Unis ont frappé à la base aérienne de Shayrat, qui, selon la Maison Blanche, a attaqué le président syrien Bachar al-Assad. actions ". Rappelons que deux destroyers USS Ross et Porter ont lancé le lancement de 59 missiles de croisière Tomahawk qui ont entraîné la mort de quatre militaires syriens, ainsi que la destruction partielle d'avions (MiG-23) et l'infrastructure de Shayrat de la mer Méditerranée près de Crète.
 

L'état-major estime qu'une histoire similaire peut se répéter dans Eastern Gut. Mardi, le général Gerasimov a déclaré que les militants préparaient une provocation avec une utilisation étagée d'armes chimiques, que les États-Unis utilisent alors comme une excuse pour attaquer les districts gouvernementaux de Damas. "A cette fin, nous avons rassemblé des figurants de femmes, d'enfants et de personnes âgées venues d'autres régions pour représenter les victimes d'un incident chimique", explique le général. "Les militants des Casques blancs ( Kommersant ) et les équipes de tournage avec l'équipement de la transmission vidéo par satellite ». En outre, selon le commandant, dans la zone d'Aftriss, libéré des militants, un laboratoire pour la production d'armes chimiques a été trouvé, qui devait être utilisé dans la mise en scène. Après cela, les États-Unis prévoient de blâmer les troupes gouvernementales pour l'utilisation de substances interdites, et Washington, à titre de mesure de représailles, peut frapper une frappe de missile-bombardement sur les quartiers de Damas.

"Les conséquences seront les plus lourdes", a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Dans le même temps, le général Gerasimov a rappelé qu'à Damas, des conseillers militaires russes, des représentants du Centre pour la réconciliation des parties belligérantes et de la police militaire menaçaient: "En cas de menace de mort, nos militaires répondront aux missiles et aux porte-avions appliquer. " Ainsi, pour la première fois, le chef de l'état-major a classé les destroyers et les avions américains en cibles potentielles de destruction au cas où ils seraient impliqués dans le bombardement de Damas.
 Selon l'interlocuteur militaire-diplomatique de Kommersant, les informations sur la provocation imminente ont été reçues par la partie russe à travers des canaux de reconnaissance, et ont ensuite été revérifiées à travers un réseau d'agents. Selon lui, les capacités de défense aérienne russe à Khmeimim (où se trouvent la division S-400 Triumph et les systèmes de missiles antiaériens Pantsir-C1) et Tartous (batterie S-300V4) permettent de couvrir les installations militaires russes de l'air. Avec Damas, la situation est plus compliquée, admet l'interlocuteur de Kommersant: malgré le fait que les experts russes aient aidé les forces armées syriennes à réparer les systèmes de défense aérienne soviétiques (C-125 et S-200) en 2015, leurs capacités ne suffiront pas à repousser un missile impact. C'est pourquoi la Russie a mis en garde les États-Unis contre les frappes non seulement sur les missiles, mais aussi sur leurs transporteurs. Dans le même temps, un regroupement de la marine russe dans la mer Méditerranée sera bientôt reconstitué par la frégate de la flotte de la mer Noire, l'amiral Essen transportant des missiles de croisière Caliber-NK. Cependant, comme la source de "Kommersant" à l'état-major principal des états de la marine russe, c'est une rotation planifiée des navires du groupe: "Mais les Américains devraient se rendre compte qu'un tel missile est capable de vaincre les cibles navales, y compris les destroyers." Cependant, dans la soirée, le général Gerasimov a appelé le président du Comité de commandement suprême des États-Unis, Joseph Dunford, en discutant de la situation à East Gut avec lui, ayant accepté, comme le rapporte le ministère de la Défense, de "poursuivre les contacts".
 
Les experts estiment que la probabilité d'une confrontation militaire directe entre la Russie et les Etats-Unis est faible. Le politologue Mikhaïl Troitski estime que le président américain Donald Trump doit montrer sa propre détermination, mais Moscou ne réagira probablement pas de façon symétrique au bombardement, "surtout si Washington donne un avertissement précoce de ses plans". "Les attaques américaines contre la Russie et les médias sont appliquées par la télévision et les médias, mais dans le contexte réel des hostilités, les Américains essaient très fort de ne pas toucher les représentants russes par hasard", a déclaré le colonel Viktor Murakhovsky. Et le rédacteur en chef du dossier de la défense de Moscou, Mikhaïl Barabanov, rappelant l'attaque contre Shayrat, estime qu'il y a une part de rhétorique dans les déclarations des parties. "Mais dans ce cas, tout est plus grave à cause des prochaines élections", note l'expert. "Jusqu'au 18 mars, les Américains ne tireront pas sur le bombardement, et Moscou et Damas espèrent enfin serrer les chaudières à East Gut".
Ivan Safronov, Alexandra Djordjevic pour 

Et si Poutine est réélu avec 73% de voix russes?

Et si Poutine est réélu ...

Le Washington Institute, qui est un Think tank américain, évoque les élections présidentielles en Russie et ses conséquences pour la région expliquant que Washington et ses alliés s'attendent parfaitement à ce qu'en cas de réélection, Vladimir Poutine poursuive sa position anti-occidentale.

Alors que Poutine s'apprête à remporter les élections présidentielles qui se tiendront le 18 mars prochain il semblerait que le Kremlin compte s'appuyer davantage sur ses installations militaires et renforcer sa position anti-occidentale afin de gagner en crédibilité et en légitimité. Cela signifie que l'Asie de l'Ouest restera la zone principale de la rivalité d'influence entre l'Occident et la Russie.

En ce qui concerne la perspective des relations bilatérales entre la Russie et la Syrie, le rapport écrit : " Bien que Moscou annonce depuis quelques mois son retrait des territoires syriens, sa présence militaire dans ce pays est très importante du point de vue géopolitique. La Russie a réalisé de considérables investissements dans les infrastructures de l'énergie et des ressources naturelles syriennes au cours de la guerre et au début de l'année 2017. Les deux compagnies russes Evro Polis et Stroytransgaz ont signé des contrats avec le gouvernement de Damas. Alexandre Novak, le ministre russe de l'Énergie a conclu des contrats avec le gouvernement syrien et les deux pays ont discuté du renouvellement des infrastructures de télécommunication ".

" Même si la Russie ne possédait pas les ressources nécessaires pour s'investir en Syrie, l'absence des pays concurrents, lui ouvre la voie pour s'intégrer dans ce pays. En dépit de l'échec des pourparlers de paix à Astana et à Sotchi et la création de conseils consultatifs avec la Turquie et l'Iran, Moscou poursuivra une politique régionale dans laquelle les USA n'auront aucune place ", continue le rapport.

" La Russie n'envisage pas de réduire ses relations avec l'Iran à moyen terme. En dépit des divergences de vue, les deux parties ont réussit de s'accorder sur une politique qui vise à réduire l'influence américaine dans la région. Certains analystes iraniens et russes sont d'avis qu'en 2018, les deux parties se concentreront sur l'aspect économique de leur coopération et les entreprises russes seraient en cours de signer des accords avec l'Iran et d'accroître leurs activités pétrolières dans ce pays ", ajoute le rapport du Washington Institute qui plus loin évoque l'impact des relations irano-russes au Moyen-Orient pour dire que tout dépendra de leur stratégie dans le règlement de leurs divergences

La GB utilise un empoisonnement sous faux drapeau pour en accuser la Russie

La Russie a rejeté le "délai de minuit" fixé par la GB pour que le président Poutine réponde aux fausses allégations selon lesquelles une arme chimique russe a été utilisée à Salisbury (GB) pour attaquer un ancien espion soviétique et citoyen Russe. Le ministre russe des Affaires étrangères, M. Lavrov, a déclaré que la Russie ne répondrait pas à cet ultimatum britannique avant que des échantillons de l'arme chimique présumée ne soient reçus comme les protocoles de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OPCW) et la convention sur le armes chimiques (CWC) l’exigent explicitement. 
Selon http://www.whatdoesitmean.com/index2509.htm
Pour bien comprendre ce dernier mouvement de guerre du "Deep State" anglo-américain contre le président Trump et la Russie, il faut remonter au mois de juin (2017) lorsque l'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger a rencontré en privé le président Poutine pour lancer un canal de communication privé et discrétionnaire entre le président Poutine et le président Trump.  Ce canal a été activé il y a quelques semaines, lorsque le 8 février, Kissinger avait rencontré le président Trump à la Maison Blanche pour discuter de la Corée du Nord. Il conseillait à Trump de «pivoter vers la Russie». Déjà, en 1972, Kissinger avait déclaré: «En ce moment, nous avons besoin des Chinois pour corriger et discipliner les Russes. Mais à l'avenir, ce serait l'inverse. "
En septembre dernier (2017), le président du Joint Chiefs of Staff, le général Joseph Dunford, a averti que la Chine était devenue la plus grande menace pour les États-Unis. Ce conseil (du 8 février) de Kissinger au président Trump a été reçu au Kremlin comme étant un geste de paix audacieux lancé vers le président Poutine.
Suite à ce conseil de Kissinger, les Américains ont exploré la «possibilité» d'une rencontre entre le président Trump et le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un à Vladivostok (Russie), où Kissinger a supervise en 1974 le sommet historique sur le contrôle des armements entre le président Gerald Ford et le secrétaire général soviétique Leonid Brejnev. Cette possibilité est devenue une réalité sans précédent la semaine dernière, lorsque le président Trump a annoncé le 8 mars qu'il rencontrerait Kim Jong-un , le chef de la Corée du Nord.
Ainsi, le «Deep State» et ses alliés mondialistes européens sont maintenant confrontés à leur pire cauchemar (éviter la guerre mondiale), car le président Trump, pourrait parvenir à la dénucléarisation de la Corée du Nord. Si cet objectif est atteint, Trump pourrait  gagner le prix Nobel de la paix. Afin d’éviter cela, les élites occidentales anti-Trump se sont donc regroupées derrière Theresa May pour créer cet empoisonnement  «faux drapeau» destiné à discréditer la Russie et à pousser le monde vers une guerre totale.
En témoignant devant le Conseil de sécurité russe ce matin 13 mars, au sujet de cet événement sous "faux drapeau", Nikolay Kovalev (l'ancien directeur du Service fédéral de sécurité (FSB)) a déclaré que les "empreintes digitales" de cet empoisonnement révélaient sans contestation l’implication services de renseignement britanniques dans l’assassinat de Sergei Skripal et de sa fille Yulia dans la ville britannique de Salisbury le 4 mars. Sans fournir aucune preuve, les Britanniques ont annoncé de manière risible l'utilisation d'un agent neurotoxique soviétique nommé Novichok.
Mais la Russie n'avait aucune raison de tuer un ancien espion qui avait pleinement coopéré lors de son arrestation, et qui avait vécu en Grande-Bretagne pendant 8 ans. Même si la Russie avait voulu faire une telle chose, elle aurait utilisé la méthode occidentale consistant à payer des voyous pour l'abattre (comme cela a été fait pour Seth Rich [1]). Aucun service de renseignement sérieux n'utiliserait une des armes chimiques les plus dangereuses et compliquées jamais conçues pour tuer une seule personne. Les propagandistes du «Deep State», y compris les grands médias menteurs en Occident, ont omis d'informer leurs peuples que l'année dernière, en 2017, la Russie avait complètement détruit toutes ses armes chimiques et que l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (dont les États-Unis et la Grande Bretagne sont membres) a salué cela comme " étape importante".
La déclaration britannique risible que la Russie a utilisé l’agent neurologique Novichok de l'ère soviétique (qui a plus d'une centaine de variantes structurelles, le plus dangereux étant A-232 ) pour attaquer une personne, fait mine d’ignorer le développeur soviétique de cette arme chimique, le scientifique Vil Mirzayanov. Durant les 26 ans de supervision de la production d'armes chimiques en Union Soviétique, il a démontré que, même sous les protocoles de sécurité les plus stricts, les agents neurotoxiques de Novichok ne pouvaient jamais être manipulés sans danger, en raison de ses complications binaires. Même les utilisateurs les plus expérimentés pouvaient s'attendre à mourir. C'est pourquoi il préconisait la destruction totale des programmes de toutes les armes chimiques soviétiques, comme il le détaille dans son livre révolutionnaire de 2008 intitulé "Secrets d'État: Chronique d'initié du programme russe d'armes chimiques".
Pour son courage moral, le Docteur Vil Mirzayanov a reçu le prix spécial de la Fondation Cavallo en 1993, ainsi que le prix Heinz R. Pagels des droits de l'homme des scientifiques de 1994 de l'Académie des sciences de New York et de nombreux autres prix.
Dans son article de 2009 intitulé «Les formules chimiques de Novichok ne sont pas des armes terroristes», il a clairement démontré pourquoi personne ne pourrait jamais utiliser les agents neurotoxiques Novichok en écrivant :
Au GOSNIIOKhT, le centre russe de développement des armes chimiques où j'ai travaillé pendant 26 ans, tous les scientifiques et ingénieurs, y compris les chefs de département et de laboratoire, devaient passer des examens de sécurité chaque année. Le personnel technique devait les passer tous les six mois. La rigueur de la mesure technique dans les laboratoires et les usines qui produisaient des armes chimiques était sans précédent. Même dans ces circonstances, il y avait beaucoup de victimes et les conséquences étaient souvent mortelles. Mon ami Andrei Zheleznyakov est mort après avoir été empoisonné avec l'agent A-232 de Novichok, même s'il était très expérimenté et observait toutes les mesures de sécurité.
Une autre raison pour laquelle il est impossible aux terroristes d'utiliser des agents chimiques (comme l'agent Novichok 232) est qu'ils ne peuvent pas les utiliser pour fabriquer des armes.
Les armes chimiques sont des agents chimiques transportés dans des bombes sophistiquées ou des fusées qui ont des systèmes de livraison fiables ou des lanceurs.
Dans le cas des armes binaires, deux produits chimiques doivent être mélangés parfaitement pendant le vol. Le mélange et la température doivent être soigneusement contrôlés. Seul le personnel militaire spécialisé peut les utiliser avec un risque minime d'empoisonnement ou de mort.
En outre, il est impossible d'envoyer des agents chimiques dans des enveloppes, comme quelqu'un l'a fait avec des spores d'anthrax aux États-Unis.
Il est donc évident qu’aucun être humain sensé ne va transporter le Novichok (parce qu'il est impossible à manipuler sans mourir), et que nous avons ici aussi une grossière opération sous faux drapeau du gouvernement britannique.
Tout en traitant de la folie britannique entourant leur "faux drapeau" autour du Novichok, les responsables russes se sont alarmés (12/3) hier lorsque le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson (que Trump avait mis sur la touche en négociant avec la Corée du Nord) s'est déchaîné, déclarant son soutien aux Britanniques avec son affirmation que l'empoisonnement de l'espion britannique "venait clairement de Russie", sans aucune preuve entre ses mains. Il a même ordonné à son ambassadrice auprès de l’ONU, la virago Nikki Haley, de menacer de frappes la Syrie. Mais la Russie a prévenu des "conséquences graves" de telles frappes, en déclarant: "Mme. Haley devrait comprendre que c'est une chose d'exploiter de manière  irresponsable le micro au Conseil de sécurité de l'ONU ; et que c'est autre chose quand les armées russes et américaines ont des canaux de communication à travers lesquels il est clairement indiqué ce qui peut être fait et ce qui ne doit pas être fait."
L'amiral Essen, une frégate de la marine russe armée d'armes nucléaires, tire des missiles de croisière au large de la Syrie
 

PLAN D'ATTAQUE US POUR FRAPPER LE PALAIS PRÉSIDENTIEL A DAMAS

Le chef d'état-major de l'armée russe, Valery Guerassimov a fait ce mardi de nouvelles révélations sur le plan de Washington visant à frapper la capitale syrienne Damas. Le général a alors affirmé que son pays dont les militaires ont une large présence à Damas ainsi que dans des bases aériennes et terrestres russes en Syrie, riposterait à toute frappe qui mettrait en danger la vie des militaires russes. 
La carte aérienne des quartiers centraux de la ville de Damas. ©Google

 

Le chef d'état-major
de l'armée russe,
Valery Guerassimov. © RT
 

 

Cette mise en garde a fait suite à un exposé où le général a porté au grand jour le plan des Américains destiné à bombarder Damas. Cité par Russia Today, le chef d'état-major russe a souligné que toute attaque aux missiles ou aux roquettes venue de la part des Américains provoquera une riposte russe et que cet avertissement inclut également la ville de Damas. Le général a affirmé disposer d’informations selon lesquelles "les terroristes s'apprêtent à lancer des attaques chimiques contre les civils " dans la banlieue de Damas pour " en accuser par la suite le gouvernement syrien soutenu par la Russie»
" Les terroristes ont déjà installé (de force) les civils dans la Ghouta orientale pour les exposer aux attaques chimiques et les casques blancs  se trouvent également sur place, "  a affirmé le chef d'état-major avant d'ajouter :" Dans la foulée, l'administration américaine accusera le gouvernement de Damas d'avoir gazé la population de la Ghouta orientale. Washington prétendra ensuite avoir à sa disposition des preuves irréfutables au sujet de l'implication de Damas et de Moscou dans le meurtre des civils".
Selon le général, " les casques blancs sont déjà à la manœuvre sous la couverture d'aide et d'assistance à apporter aux civils syriens mais en réalité, ce sont des agents qui appuient en coulisse les terroristes et font avancer les objectifs des soutiens occidentaux de ces derniers".

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Auparavant, le sénateur russe, Alexeï Pouchkov avait mis en garde contre les propos tenus par l'ambassadrice-virago US à l'ONU, Nikky Haley qui avait menacé mardi Damas de frappes aériennes au cas où des preuves surgissaient sur l'implication de l'armée syrienne dans des attaques chimiques. 
Pouchkov a twitté : " Haley est inquiète du sort des terroristes d'Al Nosra piégés dans la Ghouta orientale. Ce sont là d'ultimes efforts pour sauver les terroristes" et préserver une poche dans la banlieue de la capitale en vue des plans d'attaque à venir. 
Le président français,  en bon toutou qui suit son maître, Emmanuel Macron [1], a lui aussi mis en garde Assad en affirmant que la France frapperait Damas, comme l'avaient fait les Américains en décembre 2017, si des preuves confirment l'implication du gouvernement syrien dans des frappes chimiques. 
Lavrov se prononce sur les conséquences d'une éventuelle frappe US contre l'armée syrienne
Dans le cas d'une frappe américaine sur les Forces gouvernementales syriennes, les conséquences seront des plus graves, affirme Sergueï Lavrov en réponse à la rhétorique belliciste des États-Unis.
«Mme Haley (Nikki Haley, la représentante permanente des États-Unis à l'Onu, ndlr) doit comprendre que si se servir du microphone au Conseil de sécurité de l'Onu est une chose, le fait que les militaires russes et américains ont des canaux de communication — par le biais desquels il est strictement réglementé ce qui est permis et ce qui ne l'est pas — en est une autre», a-t-il expliqué.
Nikki Haley a menacé lundi la Syrie d'une frappe similaire à celle réalisée par Washington en avril 2017. Elle a annoncé que Washington était prêt à effectuer une nouvelle frappe sur les Forces gouvernementales syriennes, si l'Onu s'avérait incapable d'obtenir l'arrêt des offensives (contre les terroristes islamistes travaillant pour les Occidentaux, pour Israël  et pour les monarchies golfiques afin de démanteler la Syrie) dans la Ghouta orientale, banlieue est de Damas.
Fin janvier, le secrétaire d'État américain Rex Tillerson que Trump vient de virer [2], a accusé les autorités syriennes d'avoir utilisé des armes chimiques contre des civils dans la Ghouta orientale. Moscou, selon Washington, fait tout pour protéger le pouvoir de Bachar el-Assad qui continuerait à avoir recours aux armes chimiques.
Moscou a rétorqué que les accusations américaines se fondaient uniquement sur des rumeurs, sur des publications sur les réseaux sociaux et sur des témoignages de terroristes.
Les autorités syriennes ont à plusieurs reprises démenti tout recours aux armes chimiques contre les civils ainsi que contre les terroristes, en soulignant que l'ensemble des arsenaux chimiques syriens avaient été retirés du pays sous le contrôle de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).