WWIII : La Guerre Promise entre les BRICS et l'Occident, sur volonté de Netanyahu et de la Terre Promise d'Israël, doit avoir lieu et les Rois se disputent les actions de crémation et de shoah sur le mur des lamentations. On sera meilleur après car notre D.ieu nous aura reconnu comme les seuls à pouvoir fouler une Terre Sainte et sacrément endommagée.

WWIII : La Guerre Promise entre les BRICS et l'Occident, sur volonté de Netanyahu et de la Terre Promise d'Israël, doit avoir lieu et les Rois se disputent les actions de crémation et de shoah sur le mur des lamentations. On sera meilleur après car notre D.ieu nous aura reconnu comme les seuls à pouvoir fouler une Terre Sainte et sacrément endommagée.
La GB utilise un empoisonnement sous faux drapeau pour en accuser la Russie. Séoul appelle Washington à retirer ses forces car rien ne semble plus anormal!
Farsnews- Le président chinois a averti les Etats Unis : "En cas d’une intervention militaire contre l’Iran, la Chine entrera, immédiatement et directement, en guerre contre les Etats Unis".
Selon le bulletin du département d’état US (Europian Union Times), le Président Hu Jin Tao a affirmé le 14-12-2011, à son homologue russe et à son Premier ministre (Vladimir Poutine) que la seule voie permettant de stopper une intervention militaire américaine contre l’Iran est une action armée. Ceci restera vrai dans le temps.
Jin Tao a, également, souligné que la marine chinoise était en état d’alerte. "On fera la guerre, même si cela déclenche la troisième guerre mondiale nucléaire", a affirmé le président chinois.
Sur la promesse des USA et du Président TRUMP, de renvoyer sur Damas une salve de 59 Missiles Tomahawk ou plus, comme le 7 avril 2017, sur la base aérienne de Shayrat, les Russes
Le Chef d'ETAT-MAJOR général a fait des appels à la carte. Valery Gerasimov a conseillé à Washington de ne pas frapper avec des missiles sur Damas, nous pourrions faire de même sur Washington DC, nos sous-marins sont à côté, et si vous faites cela pendant nos Présidentielles, on vous fera un cadeau sur vos places boursières.
Suite à l’empoisonnement au Royaume-Uni d’un ancien agent double russe, la chancelière allemande et la Première ministre britannique se sont entendues à faire front uni contre la Russie.
La chancelière allemande Angela Merkel et la Première ministre britannique Theresa May se sont entretenues, mardi 13 mars, au téléphone pour répondre à ce qu’elles ont qualifié de « comportement agressif de la Russie ».
Selon Reuters, Angela Merkel a condamné l'attaque commise à Salisbury à l'aide d'un agent neurotoxique au cours d'une conversation téléphonique avec Theresa May.
Steffen Seibert, porte-parole du gouvernement allemand a annoncé que la chancelière allemande avait dit qu'elle prenait très au sérieux les estimations du gouvernement britannique, selon qui « la Russie est responsable de cette attaque ».
« Il incombe maintenant à la Russie de répondre dans les plus brefs délais aux questions du gouvernement britannique, et de dévoiler au plus vite et en détail le programme d'armes chimiques concerné à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) », a souligné Mme Merkel, cité par Reuters.
Selon les médias occidentaux, la Russie a, jusqu’ici, démenti toute implication dans l’incident de l’empoisonnement, le 4 mars, de Sergueï Skripal, 66 ans, et sa fille Ioulia, 33 ans, qui sont toujours hospitalisés dans un état critique.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que la Russie, bien que niant toute implication dans cette affaire, était prête à collaborer de manière conforme au droit international à l'enquête ouverte par le Royaume-Uni.
Aux termes de la conversation téléphonique entre les dirigeantes allemande et britannique, le gouvernement de Londres a publié un communiqué dans lequel il affirmé que les deux parties avaient discuté du « comportement agressif de la Russie », avant de se mettre d’accord pour rester en contact étroit sur cette affaire.
« Elles se sont entendues sur le fait que la communauté internationale mène une action coordonnée pour répondre à la réaction russe, sur la base des enquêtes réalisées », est-il dit dans le texte.
Reuters a rapporté que le Royaume-Uni avait donné jusqu’à mardi à minuit à la Russie pour s’expliquer sur cette affaire, après on tire.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova, tout en rejetant l'implication de son pays dans cet incident, a recommandé à Londres de ne « jamais menacer ainsi une puissance nucléaire ».
Pour ce qui est de la France à Macron, il semblerait que se dernier ne voudrait pas recevoir les premiers coups sur Paris, mais que fait la France en Mer Rouge (de sang)? si c'est pour faire du fric, on ferme les yeux, mais la Concorde est menacée si la France ne se contente pas de rester dans les domaines des arts, de la musique, des ballets, de l'Opéra, et des relations courtoises, qui nous siéent bien.
Les marines égyptienne et française ont commencé un exercice conjoint dans la mer Rouge ont indiqué, mardi 13 mars, les forces armées égyptiennes.
Selon l’agence de presse Xinhua, les exercices qui devraient durer plusieurs jours s'inscrivent dans le cadre d'un partenariat et d'une coopération militaire entre les forces armées des deux pays, explique un communiqué de l'armée égyptienne.
Un certain nombre d'unités navales égyptiennes, notamment le porte-hélicoptères Mistral, des frégates et des lance-roquettes, ont participé à l'exercice naval, aux côtés de plusieurs navires et frégates militaires français, est-il ajouté.
L'exercice conjoint a pour objectif d'améliorer la sécurité maritime et de renforcer la capacité de combat des forces navales des deux pays, dans le but d'être prêtes à exécuter toute mission conjointe, quelles que soient les circonstances, poursuit le communiqué.
Au cours de ces dernières années, les liens militaires entre Paris et Le Caire se sont resserrés. En octobre 2015, les deux pays ont signé un accord d'un montant d'un milliard de dollars portant sur l'acquisition de deux navires de guerre Mistral français, qui ont été livrés à l'Égypte en juin et en septembre 2016.
En juillet dernier, les forces armées égyptiennes ont reçu deux avions de chasse Rafale français ; il s'agissait du quatrième groupe d'appareils prévus dans le contrat, d'un montant dépassant les 5,2 milliards d'euros (6,1 milliards de dollars), signé en février 2015.
Le nombre d'avions Rafale livrés à l'Égypte est passé de 11 au total de 24 appareils stipulé dans l'accord.

Selon le plus haut gradé russe, après les provocations, les États-Unis projettent d’accuser les forces gouvernementales syriennes d’avoir recours à des armes chimiques.
Moscou, 13 mars, Agence Tass. Mardi, Valery Gerasimov, le chef d’état-major de Russie, a fait savoir que, dans le but de justifier une attaque massive des États-Unis contre les quartiers du gouvernement de Damas, les terroristes préparent une provocation avec des agents chimiques en Syrie.
Selon le général Gerasimov, la Russie dispose de faits concrets concernant les préparatifs de la mise en scène de l’usage d’armes chimiques contre les civils par les forces gouvernementales.
Après les provocations, les États-Unis projettent d’accuser les forces gouvernementales syriennes d’utiliser des armes chimiques. Il a ajouté que les États-Unis ont l’intention de « fournir la soi-disant «preuve» présumée de morts de masse de civils, incombant au gouvernement syrien et aux dirigeants russes qui le soutiennent. »
« À titre de contre-mesure, Washington prévoit de lancer une attaque avec des missiles et des bombes contre les quartiers gouvernementaux de Damas, » a dit le général Gerasimov.
Il a souligné que des officiers de l’armée russes sont présents à Damas dans les installations du ministère de la Défense de Syrie, et « qu’en cas de mise en danger de la vie de nos militaires, les forces armées russes prendront des mesures de représailles contre les missiles et les moyens qui permettent de les tirer. »
Le ministère de la Défense de Russie est prêt à prendre des mesures de rétorsion contre l’éventuelle attaque étasunienne sur Damas, si l’armée russe est mise en danger, a ajouté le chef d’état-major russe.
« Dans le même temps, des conseillers militaires russes, des membres du Centre russe de réconciliation pour les camps en conflit et des policiers militaires séjournent dans les locaux du ministère de la Défense à Damas. En cas de menace pour la vie de nos militaires, les forces armées russes prendront des mesures de représailles à la fois contre les missiles et les moyens militaires qui les tireront, » a-t-il continué.
Selon le général Gerasimov, « les évolutions visant à toujours plus normaliser la situation dans la capitale syrienne se poursuivent. »
Selon des rapports antérieurs, des groupes armés illégaux bombardent au mortier les positions des forces gouvernementales syriennes et les quartiers résidentiels de Damas et de ses banlieues.
Original : http://tass.com/world/993678
Une guerre USA/Russie est plus que probable, si les USA s'attaquent aux BRICS et la CHINE part immédiatement en Guerre contre les Etats-Unis. (Kommersant, journal Russe.)

Vladimir Poutine s'était rendu à la base aérienne de Hmeimim, le 11 décembre. ©AFP
De concert avec les officiels Occidentaux, les médias « mainstream » multiplient les accusations contre Assad. Ils font part sans cesse « des attaques aux substances chimiques » dans la Ghouta occidentale, attaques qu’ils attribuent au président syrien bien que la Syrie ait démantelé son arsenal chimique en 2013 après une campagne de dénigrement similaire.
Le journal russe Kommersant revient sur les conséquences de cette vaste offensive politico-médiatique et les conséquences dangereuses que celle-ci pourrait avoir en termes militaires. « Début de la semaine, le porte-parole du Kremlin a souligné que ce n’est pas aux médias de faire le procès d’Assad et de le culpabiliser, mais bien aux experts internationaux, et qu’aucune accusation ne peut se confirmer sans une enquête internationale préalable ». En novembre dernier, la Russie a proposé la mise en place d’un nouveau mécanisme « indépendant et professionnel » destiné à collecter des échantillons sur les lieux de présumées des attaques chimiques en lieu et place des organismes existants dont la probité est contestée. Moscou refuse de cautionner les réseaux sociaux ou encore les sources d’information inconnues et non fiables.
À vrai dire l’Occident a commencé un jeu dangereux dans la Ghouta. L’« accusation chimique » pourrait lui servir de prétexte pour lancer une action militaire directe contre Damas, alors que ce dernier continue à réaliser des progrès militaires fulgurants dans la région de la Ghouta. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que l’Occident a recours au scénario chimique pour tenter d’évincer Assad du pouvoir. En 2013, Obama a été à deux pas d’attaquer Damas avant que la Russie ne déclenche le processus de désarmement chimique de l’État syrien et retire aux Américains le prétexte de provoquer un conflit majeur. Or, depuis l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, l’option militaire se fait à nouveau parler d’elle. En avril 2017, les États-Unis de Trump ont d’ailleurs pris pour cible, de plus de 50 missiles, la base syrienne d’al-Chaayrate en riposte à une supposée attaque militaire chimique de l’armée syrienne contre Idlib. Sans se donner la peine d’enquêter, la Maison Blanche a jugé Assad coupable et est passée à l’acte. Depuis le début 2018, la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis s’acharnent à aplanir le terrain en vue d’une nouvelle action militaire. Mais quelle sera la réaction russe à une guerre américaine contre Damas ?
Maxime Soutchkov, expert du club Valdaï, estime qu’une nouvelle attaque américaine contre le territoire syrien placerait à coup sûr la Russie et les États-Unis face à face. Et la confrontation militaire sera sans merci. Pour le moment l’idée d’une guerre américaine contre la Russie ne fait pas l’unanimité. Il faut attendre de voir lequel des deux partis, pro ou anti-guerre finiraient par prendre le dessus. À l’époque d’Obama, les services de sécurité avaient travaillé sur plus de 50 scénarios différents pour s’emparer du palais présidentiel syrien et éliminer Assad. Obama a toutefois décidé de ne pas passer à l’acte. Ce qui pourrait ne pas être le cas de Trump, comme le murmure « certains généraux » : « Il faut avoir la peau de Poutine ».
Le Chef d'ETAT-MAJOR général a fait des appels à la carte. Valery Gerasimov a conseillé à Washington de ne pas frapper avec des missiles sur Damas, nous pourrions faire de même sur Washington DC, nos sous-marins sont à côté.
Valeri Vassilievitch Guerassimov (en russe : Вале́рий Васи́льевич Гера́симов), né le 8 septembre 1955 à Kazan, est un général russe. Il est le chef d'état-major des forces armées de la Fédération de Russie et vice-ministre russe de la Défense, nommé à ce poste par le président Vladimir Poutine le 9 novembre 2012.

Les déclarations du chef de l'état-major général des Forces armées russes, Valery Gerasimov, étaient une réponse au discours de l'ambassadeur américain auprès de l'ONU Nikki Haley, qui a déclaré que Washington était "prêt pour de nouvelles actions sur la Syrie". Elle a rappelé qu'après une attaque chimique en Syrie Khan Sheikhun (le 4 avril 2017), les Etats-Unis ont frappé à la base aérienne de Shayrat, qui, selon la Maison Blanche, a attaqué le président syrien Bachar al-Assad. actions ". Rappelons que deux destroyers USS Ross et Porter ont lancé le lancement de 59 missiles de croisière Tomahawk qui ont entraîné la mort de quatre militaires syriens, ainsi que la destruction partielle d'avions (MiG-23) et l'infrastructure de Shayrat de la mer Méditerranée près de Crète.

L'état-major estime qu'une histoire similaire peut se répéter dans Eastern Gut. Mardi, le général Gerasimov a déclaré que les militants préparaient une provocation avec une utilisation étagée d'armes chimiques, que les États-Unis utilisent alors comme une excuse pour attaquer les districts gouvernementaux de Damas. "A cette fin, nous avons rassemblé des figurants de femmes, d'enfants et de personnes âgées venues d'autres régions pour représenter les victimes d'un incident chimique", explique le général. "Les militants des Casques blancs ( Kommersant ) et les équipes de tournage avec l'équipement de la transmission vidéo par satellite ». En outre, selon le commandant, dans la zone d'Aftriss, libéré des militants, un laboratoire pour la production d'armes chimiques a été trouvé, qui devait être utilisé dans la mise en scène. Après cela, les États-Unis prévoient de blâmer les troupes gouvernementales pour l'utilisation de substances interdites, et Washington, à titre de mesure de représailles, peut frapper une frappe de missile-bombardement sur les quartiers de Damas.

Ivan Safronov, Alexandra Djordjevic pour
Et si Poutine est réélu avec 73% de voix russes?

Le Washington Institute, qui est un Think tank américain, évoque les élections présidentielles en Russie et ses conséquences pour la région expliquant que Washington et ses alliés s'attendent parfaitement à ce qu'en cas de réélection, Vladimir Poutine poursuive sa position anti-occidentale.
Alors que Poutine s'apprête à remporter les élections présidentielles qui se tiendront le 18 mars prochain il semblerait que le Kremlin compte s'appuyer davantage sur ses installations militaires et renforcer sa position anti-occidentale afin de gagner en crédibilité et en légitimité. Cela signifie que l'Asie de l'Ouest restera la zone principale de la rivalité d'influence entre l'Occident et la Russie.
En ce qui concerne la perspective des relations bilatérales entre la Russie et la Syrie, le rapport écrit : " Bien que Moscou annonce depuis quelques mois son retrait des territoires syriens, sa présence militaire dans ce pays est très importante du point de vue géopolitique. La Russie a réalisé de considérables investissements dans les infrastructures de l'énergie et des ressources naturelles syriennes au cours de la guerre et au début de l'année 2017. Les deux compagnies russes Evro Polis et Stroytransgaz ont signé des contrats avec le gouvernement de Damas. Alexandre Novak, le ministre russe de l'Énergie a conclu des contrats avec le gouvernement syrien et les deux pays ont discuté du renouvellement des infrastructures de télécommunication ".
" Même si la Russie ne possédait pas les ressources nécessaires pour s'investir en Syrie, l'absence des pays concurrents, lui ouvre la voie pour s'intégrer dans ce pays. En dépit de l'échec des pourparlers de paix à Astana et à Sotchi et la création de conseils consultatifs avec la Turquie et l'Iran, Moscou poursuivra une politique régionale dans laquelle les USA n'auront aucune place ", continue le rapport.
" La Russie n'envisage pas de réduire ses relations avec l'Iran à moyen terme. En dépit des divergences de vue, les deux parties ont réussit de s'accorder sur une politique qui vise à réduire l'influence américaine dans la région. Certains analystes iraniens et russes sont d'avis qu'en 2018, les deux parties se concentreront sur l'aspect économique de leur coopération et les entreprises russes seraient en cours de signer des accords avec l'Iran et d'accroître leurs activités pétrolières dans ce pays ", ajoute le rapport du Washington Institute qui plus loin évoque l'impact des relations irano-russes au Moyen-Orient pour dire que tout dépendra de leur stratégie dans le règlement de leurs divergences
La GB utilise un empoisonnement sous faux drapeau pour en accuser la Russie
PLAN D'ATTAQUE US POUR FRAPPER LE PALAIS PRÉSIDENTIEL A DAMAS
La carte aérienne des quartiers centraux de la ville de Damas. ©Google |
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Le chef d'état-major de l'armée russe, Valery Guerassimov. © RT |