WWIII : SARKOZY GARDE A VUE, L'ADMINISTRATION VIENT DE RESOUDRE UN PROBLEME DE 2007, ET PENDANT CE TEMPS IL A FALLU SUPORTER LE TRICHEUR PENDANT QUE DEUX AUTRES ONT PRIS SA PLACE ET NE SERONT CONDAMNES QU'EN 2048. AVEC CETTE ARRESTATION L'ADMINISTRATION REDORE SON BLASON POUR 20 ANS.
WWIII : SARKOZY GARDE A VUE, L'ADMINISTRATION VIENT DE RESOUDRE UN PROBLEME DE 2007, ET PENDANT CE TEMPS IL A FALLU SUPORTER LE TRICHEUR PENDANT QUE DEUX AUTRES ONT PRIS SA PLACE ET NE SERONT CONDAMNES QU'EN 2048. AVEC CETTE ARRESTATION L'ADMINISTRATION REDORE SON BLASON POUR 20 ANS. LE PARQUET AURAIT MIEUX FAIT D'ARRÊTER MACRON, ON AURAIT GAGNE DU TEMPS ET UNE GUERRE NUCLEAIRE SANS LUI CIRER LES BOTTES.
LA VRAIE QUESTION C'EST POURQUOI ONT-ILS CRAME LA FRANCE? En fin de page, nos Présidents BLING BLING qui ont tout cramé en FRANCE (avocats corrompus, juges marrons qui s'autogracient, financiers qui ont des comptes offshores, le sommet de notre Ripouxblique)
Miné par se défaite qui n'a pourtant pas manqué de financements occultes, l'ex Président des LR qui avait cramé la caisse de l'UMP et en même temps Juppé, se contente d'une garde à vue par bracelet électronique, qu'il n'est censé mettre, et d'un train de vie qui est confortable, pour avoir engraissé son administration cinq fois plus nombreuse qu'au Japon.
Mediapart dévoile les moyens dont dispose Nicolas Sarkozy, et ses prédécesseurs, en qualité d'ex-chef de l'Etat. Des chiffres qui donnent le tournis.
En décembre 2014, plusieurs députés socialistes demandaient que Nicolas Sarkozy renonce à ses avantages d'ancien président de la République, y compris à son indemnité, alors qu'il était redevenu le chef de l'UMP. Mais jusqu’à présent, la nature et le coût exacts de ces moyens financés par le contribuable sont toujours restés confidentiels.
Il travaille trois jours par semaine à l'UMP et deux jours rue de Miromesnil, où sont organisés des rendez-vous non politiques avec des personnalités diplomatiques ou de la société civile, qui ne viennent pas voir le président de l'UMP mais l'ancien chef d'État."
"Il reste ancien président", défend sa conseillère en communication Véronique Waché interrogée par le site. "La circulaire de 1985 s'applique donc comme pour Chirac et Giscard."
La rémunération du personnel est un gros poste de dépenses pour l’ex-chef d’Etat. Outre les cinq fonctionnaires mis à disposition, Nicolas Sarkozy emploie aussi cinq conseillers contractuels rémunérés entre 5.247 euros et 7.020 euros en net par mois. Parmi eux, la demi-sœur de Carla Bruni, Consuelo Remmert, "conseillère diplomatique" chargée selon Mediapart d’organiser les conférences données par Nicolas Sarkozy à travers le monde. Le coût en personnel s'élèverait au total à 1,6 million d'euros pour deux ans et demi selon le site d'investigation.
Depuis qu’il a quitté l’Elysée, Nicolas Sarkozy roule en Citroën C6V6 HDI Exclusive, achetée 44.140 euros au lendemain de sa défaite. La facture de carburant s'élève à 4.046 euros par an et l'entretien à 5.301 euros.
On apprend par exemple que l'Etat a déboursé 215.392 euros en 2014 pour la location de bureaux rue de Miromesnil, dans le 8e arrondissement de Paris, et leur entretien (frais de nettoyage, électricité, "dépenses informatiques"). On relève aussi 11.119 euros de factures de téléphones mobiles, plus 4.720 pour des fixes. Sur deux ans et demi (achat du mobilier compris), l’addition dépasse ainsi les 570.000 euros.
Ces documents, publiés sur le site Mediapart, révèlent le train de vie luxueux de Nicolas Sarkozy.
Tous les anciens présidents vivent sous perfusion de la République depuis une décision de 1985 paraphée par Laurent Fabius, Premier ministre de l’époque. Mais l’ancien élu de Grenoble a décidé d'en savoir plus. Il a obtenu des données auprès du gouvernement mercredi 14 janvier, après quatre mois d’attente et de recours. Elles lui ont été transmises par le service de Matignon, qui gère les privilèges dévolus aux trois anciens présidents (Giscard d'Estaing, Chirac et Sarkozy).
C’était sans compter sur Raymond Avrillier, un militant de la transparence...
Financement libyen de la campagne de 2007 : Nicolas Sarkozy en garde à vue 1/14
© CHARLY TRIBALLEAU / AFP Nicolas Sarkozy au Parc des Princes fin janvier.
Entre une conférence à Dubaï sur l’éducation, quelques entrevues à son bureau parisien rue de Miromesnil et une intervention à Londres prochainement, Nicolas Sarkozy a dû honorer un rendez-vous d’un autre genre mardi 20 mars au matin. Selon nos informations, l’ancien président de la République a été placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, où il était convoqué dans le cadre de l’enquête sur le possible financement par la Libye de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.
C’est la première fois que M. Sarkozy est entendu à ce sujet depuis l’ouverture d’une information judiciaire, en avril 2013, et confiée à plusieurs juges d’instruction du pôle financier de Paris dont Serge Tournaire qui a déjà renvoyé l’ancien président devant le tribunal dans l’affaire Bygmalion. Sa garde à vue peut durer 48 heures. Il pourrait être présenté aux magistrats à l’issue de sa garde à vue afin d’être mis en examen.
Depuis la publication en mai 2012 par le site Mediapart d’un document libyen faisant état d’un financement par la Libye de Khadafi de la campagne de Nicolas Sarkozy, les investigations des magistrats ont considérablement avancé renforçant les soupçons qui pèsent sur la campagne de l’ancien chef de l’état.
Argent liquide
En novembre 2016, en pleine primaire du parti Les Républicains, l’intermédiaire Ziad Takieddine avait affirmé avoir transporté 5 millions d’euros en liquide de Tripoli à Paris entre fin 2006 et début 2007 avant de les remettre à Claude Guéant puis à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur. Mis en examen depuis pour « complicité de corruption d’agent public étranger » et pour « complicité de détournements de fonds publics en Libye », ces propos venaient confirmer ceux tenus le 20 septembre 2012 par Abdallah Senoussi, l’ancien directeur du renseignement militaire du régime libyen devant le procureur général du Conseil national de transition libyen.
Mais ce n’est pas tout. Les carnets de l’ancien ministre libyen du pétrole Choukri Ghanem mort en 2012 dans des circonstances encore troubles, récupéré par la justice française, mentionnent eux aussi l’existence de versements d’argent à destination de Nicolas Sarkozy. Bechir Saleh, l’ancien grand argentier de Kadhafi et homme des relations avec la France, récemment blessé par balle lors d’une agression à Johannesburg, avait en outre confié au Monde : « Kadhafi a dit qu’il avait financé Sarkozy. Sarkozy a dit qu’il n’avait pas été financé. Je crois plus Kadhafi que Sarkozy. »
Des circuits financiers fuligineux
Plus récemment, les policiers de l’office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales(OCLCIFF)ont remis un rapport aux magistrats dans lesquels ils détaillent, sur la base de nombreux témoignages, comment l’argent liquide a circulé au sein de l’équipe de campagne de M. Sarkozy. Jusqu’à présent les enquêteurs pensent déjà avoir remonté l’une des pistes de l’argent libyen à travers l’intermédiaire Alexandre Djouhri, alors proche de Bechir Saleh, actuellement incarcéré à Londres dans l’attente de sa possible remise à la France, et Claude Guéant mis en examen pour « faux et usage de faux » et pour « blanchiment de fraude fiscale » qui aurait acquis son appartement parisien à travers des circuits financiers fuligineux voire libyens.
La décision de placer Nicolas Sarkozy en garde à vue signifie-t-elle que les magistrats ont depuis rassemblé de nouvelles preuves du financement illicite de la campagne permettant de le mettre en cause directement ? Les autorités libyennes ont-elles finalement décidé de coopérer ? Selon nos informations, plusieurs anciens dignitaires libyens de l’époque kadhafiste auraient aussi livré de nouveaux éléments confirmant les soupçons de financement illicites.
Depuis plusieurs semaines la justice française dispose en outre de nombreux documents saisis lors d’une perquisition menée en 2015 au domicile suisse d’Alexandre Djouhri. Jusqu’ici, Nicolas Sarkozy a toujours contesté les accusations de financement illicite de sa campagne de 2007.
NOS PRESIDENTS BLING BLING QUI ONT TOUT CRAME EN FRANCE.
Ce devait être un nouveau départ. Celui d’un président «repenti», d’un homme «changé.» Mais cinq mois après son retour, Nicolas Sarkozy peine à convaincre. Pas de grande nouveauté sur le fond, pas d’évolution sur la forme. Et un come-back plombé par neuf procédures judiciaires. Bref, 75% des Français n’y croient pas. Et si le problème du nouveau président de l’UMP, réélu le 29 novembre avec 64,5% des voix, c’était l’argent ?
L’argent qui est au cœur de toutes les enquêtes qui le concernent de près ou de loin : les affaires Bygmalion, Karachi, celle des très onéreux sondages de l’Elysée, l’arbitrage Tapie, les rétrocommissions sur une vente d’hélicoptères au Kazakhstan… L’argent de ses conférences à l’étranger, de ses riches amis.
Ses revenus de cadre dirigeant. «J’ai fait de la politique pendant trente ans et je n’ai jamais touché un centime !», a-t-il récemment asséné à un visiteur médusé. Mais ce n’était pas si mal. A l’Elysée, il s’était octroyé un salaire de 19.331 euros net, soit 173% de plus que Jacques Chirac. Quant à son patrimoine, il avait déclaré au début de son mandat 2,5 millions d’euros en assurance vie. Redevenu un citoyen ordinaire, il touche une confortable retraite d’environ 15.000 euros par mois (il cumule sa pension de député, de conseiller général et de président). Ainsi que les dividendes (4.800 euros mensuels en 2013) versés par son cabinet d’avocats, Arnaud Claude et Associés, dont il détient toujours 34% des parts.
Ses conférences jackpots. Qui vendent les secrets Nationaux et les usages des collaborateurs prévaricateurs. Mais c’est surtout grâce à ses fameuses conférences payées à l’étranger que Nicolas Sarkozy a «fait du fric», comme il en rêvait. Un de ses hôtes en Amérique latine raconte : «Dans le secteur, c’est le Français le plus cher, juste devant DSK : il demande entre 100.000 et 130.000 euros pour un discours de 45 minutes, auxquels il faut ajouter des billets en première pour lui et son officier de sécurité.» Sa cote serait supérieure s’il maîtrisait l’anglais. Il peut assurer quelques bons mots en VO, mais rien de plus. Bilan : avec une vingtaine de speechs, en Corée, au Qatar, au Congo, ses prestations lui ont rapporté près de 2 millions d’euros. A l’instar de Tony Blair, son «parrain» dans ce business, c’est le Washington Speakers Bureau qui vend sa personne. Tandis qu’à Paris, Consuelo Remmert, la demi-sœur de Carla Bruni, coordonne cet agenda pour 7.000 euros mensuels. Elle appartient au staff payé par l’Etat auquel a droit l’ancien président : 2 chauffeurs et 7 collaborateurs.
Ses entrées dans les palaces. «Il mène une vie très simple», assure Franck Louvrier, son ancien communicant à l’Elysée. Assez chic quand même. Vérification faite, Nicolas Sarkozy continue de fréquenter les palaces, comme le Royal Monceau, pour sa somptueuse piscine dessinée par Philippe Starck (190 euros l’entrée), ou la table trois étoiles du Bristol. Et s’il a rangé sa Rolex trop voyante, c’est pour la remplacer par une Patek Philippe, à 43.000 euros, offerte par son épouse. La collection de ce grand fan de montres compterait deux Rolex, une Girard-Perregaux, deux Breitling et une Breguet. «Il vient de loin, vous savez, explique son ami Laurent Dassault. Quand je l’ai connu il y a trente ans, il prenait le métro et il n’avait pas honte.» Vu comme ça… Côté logement, ce n’est pas mal non plus. Grâce à Carla Bruni, il occupe un hôtel particulier – l’ancien domicile d’Hubert Boukobza, le roi des Bains Douches – pour un loyer très modeste vu le lieu. Près de 6.000 euros par mois selon nos informations.
Ses derniers amis patrons. Dans le monde impitoyable du business, il ne compte plus beaucoup de soutiens, à part ses copains Laurent Dassault et Dominique Desseigne, P-DG du groupe Lucien Barrière, qui l’accueille parfois au Normandy. Ils sont aussi ses voisins villa Montmorency, dans le XVIe. «Sarkozy a déçu les chefs d’entreprise, résume un conseiller en communication de plusieurs grands noms du CAC 40. Très peu d’entre eux le fréquentent encore et ils préfèrent que ça ne se sache pas.» Ah qu’elle semble loin l’époque du Fouquet’s ! Vincent Bolloré ne l’invite plus sur son yacht et Martin Bouygues ne l’emmène plus en vacances. Ce dernier ne s’est jamais remis de l’attribution de la quatrième licence mobile à Xavier Niel : «Sarkozy a assuré qu’il n’y était pour rien, que c’était une décision de Fillon, témoigne un ancien de Matignon. C’était faux et Bouygues l’a toujours su.» Heureusement qu’il y a Jean-Claude Darmon pour lui prêter son jet. «Il a fait quelques trajets en 2013», nous a confirmé l’ex-argentier du football. Autre fournisseur d’avion privé : Stéphane Courbit. Pas de chance, l’avion appartenant à sa société, l’homme d’affaires fait l’objet d’une enquête pour abus de biens sociaux.
Ses frais de bouche à l’Elysée. L’ancien hôte de l’Elysée aime se moquer des «costumes mal ajustés» de François Hollande. C’est sûr, avec lui, la vie au «Palais» avait une autre allure. Le député socialiste René Dosière a comparé les trains de vie présidentiels. Résultat : Sarkozy dépensait plus en fleurs (+ 47%), frais de bouche (+ 20%) et, surtout, en sondages : 1,5 million d’euros engloutis chaque année, soit 40.000 euros par semaine, empochés par la société de son ex-ami Patrick Buisson sans mise en concurrence. Quant à ses déplacements, «ils coûtaient 126.000 euros en moyenne, trois fois plus que pour Hollande, calcule le député. C’est simple, il embarquait avec lui des dizaines de collaborateurs, ce qui l’obligeait à prendre l’Airbus.» Dépensier, vraiment ? «J’ai passé dix ans à ses côtés, il ne s’est jamais soucié du prix de quoi que ce soit , assure un de ses anciens lieutenants. Avec lui, c’est “l’intendance suivra”».
Les casseroles qui ne vont pas lui coûter grand-chose. Le détachement a du bon. Car dans la désormais célèbre affaire de fausses factures Bygmalion, l’ex-président jure n’avoir jamais rien su. Rien entendu. Sa campagne de 2012 aurait pourtant dépassé le plafond autorisé de 18 millions d’euros, payés par l’UMP de surcroît. Devra-t-il les rembourser ? Pas de risque. Une amende de 365.615 euros a déjà été payée par l’UMP en 2013 (le montant du dépassement constaté à l’époque). «Une seconde sanction n’est pas possible», assure-t-on à la Commission des comptes de campagne. Au pire, cette bête de scène risque 150.000 euros d’amende pour financement illégal de campagne. Pour les autres affaires judiciaires, il est protégé par l’immunité présidentielle ou concerné de loin (Karachi). Seule l’enquête sur les écoutes – on le soupçonne d’avoir tenté d’influencer un juge – peut l’inquiéter. Mis en examen pour, entre autres, «corruption active», il risque une amende pouvant aller jusqu’à 1,5 million d’euros.
Sa campagne low-cost pour l’UMP. Pour reconquérir l’UMP, l’ancien chef d’Etat ne pouvait compter sur les finances d’un parti endetté à hauteur de 74 millions d’euros. Son budget ? Les 200.000 euros récoltés par son microparti (l’Association de soutien à l’action de Nicolas Sarkozy). Alors fini les parfums de truffe, le champagne et les loges luxueusement insonorisées. Bonjour salles des fêtes, chaises pliantes et jus de fruit MDD. Ainsi fin octobre, au complexe sportif Guy Drut de Saint-Cyr-sur-Loire, les petites mains se démenaient-elles pour égayer les lieux : un grand tissu bleu masquait les murs un peu tristes, quelques drapeaux fatigués, bleu, blanc, rouge et européens, rappelaient la République. «On paie même nos billets de train», nous confiait un bénévole venu de Paris. Mais la conversion du candidat à la rigueur budgétaire n’est pas complète. Voir le loyer de son QG parisien, de 6.000 euros mensuels. «Mon local ne coûte que 1.700 euros par mois», tacle son adversaire Bruno Le Maire. A l’UMP, ou ce qu’il en restera, le préféré des militants a promis de «tout revoir du sol au plafond». Attention quand même à la facture.
Emmanuelle Andreani
6.000 euros le loyer de son hôtel particulier
Au vu des prix du XVIe arrondissement, l’un des plus chers de Paris, l’hôtel particulier du couple Bruni-Sarkozy est plutôt bon marché.
100.000 euros de cachet négocié par ses agents
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Pour vendre au mieux ses talents d’orateur à l’étranger, il passe par les gérants du Washington Speakers Bureau, Christine Farrell et Harry Rhoads.
26 euros son plat chez l’Italien
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Il a ses habitudes dans cette sympathique trattoria, également fréquentée par Johnny Hallyday. Son plat fétiche : l’escalope au marsala (photo E-press photo.com)
12.000 euros le prix du trajet en jet offert par son ami
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L’ex-argentier du football, Jean-Claude Darmon, lui a prêté son Falcon 900, repeint en argenté, pour «quelques voyages en 2013», nous a-t-il confirmé.
43.000 euros la Patek Philippe donnée par Carla
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Moins clinquant que sa Rolex, ce modèle en or blanc coûte quatre fois plus cher. Sarkozy possède sept autres montres, le tout estimé à 100.000 euros.
6.000 euros par mois le QG de 85 mètres carrés
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Le 3 pièces qu’il a choisi pour sa campagne est certes situé dans le coûteux VIIIe arrondissement de Paris. Mais le loyer a été mal négocié (photo E-press photo.com)