WWIII : La Coalition Occidentale continue de Bombarder la SYRIE. Alors que les membres de l'OIAC concernant l'usage d'armes chimiques, concluent que ce n'était que des racontars de politiciens véreux, mis en scène par les studios des Casques Blancs payés par la coalition occidentale, les USA et Israël ont a nouveau attaqué ALEP.
Au cours d'une discussion téléphonique d'une heure, Hassan Rohani et Emmanuel Macron se sont entretenus de la Syrie. Mauvais présage : Quelques jours seulement après avoir été planté dans le jardin de la Maison Blanche, le chêne offert par Emmanuel Macron à Donald Trump a disparu de la pelouse. Aucune explication officielle n'a été donnée, sauf que le 12 Trump n'aura pas pris la décision de Macron. La « bromance » entre Emmanuel Macron et Donald TRUMP est finie.
WWIII : La Coalition Occidentale continue de Bombarder la SYRIE. Alors que les membres de l'OIAC concernant l'usage d'armes chimiques, concluent que ce n'était que des racontars de politiciens véreux, mis en scène par les studios des Casques Blancs payés par la coalition occidentale, les USA et Israël ont a nouveau attaqué ALEP.
30/04/2018 ce matin les terroristes de Damas sont évacués par les instances internationales avec leurs familles pour aller combattre ailleurs. Echange de prisonniers civils du village d'Ichtabraq relevant de la localité de Jisser Choughour, contre des terroristes de Daesh.
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Les avions de guerre a pilonné Kafr Zita au nord de Hama et le pilonnage d'artillerie sur Al Lataminah Nord de Hama: L'hélicoptère a pilonné le village Markabah avec les cylindres explosifs
https://syria.liveuamap.com/fr/2018/24-april-lieberman-if-syria-uses-russian-air-defense-missiles
Carte des actions actuelles sur DAMAS
Israël se dit incapable d’attaquer l’Iran
Des missiles iraniens exposés lors d\'une parade militaire en 2017.
Les responsables israéliens reconnaissent l’incapacité de ce régime d’attaquer l’Iran.
Dans une interview accordée ce dimanche au Jerusalem Post, l’ex-Premier ministre israélien, Ehud Olmert, qui avait donné en 2007 l’ordre d’attaquer la Syrie pour anéantir un réacteur nucléaire de Deir ez-Zor, vient de déclarer que Tel-Aviv est incapable d’attaquer l’Iran.
Ensuite, Tel-Aviv a même prétendu que le site en question, avait été complètement détruit; ce qui a été formellement démenti par Damas qui a précisé qu'aucun site stratégique n’existait sur cette zone.
« Concernant la Syrie, nous avons détruit sa puissance nucléaire et nous savions qu’elle aurait besoin de temps pour la reconstruire. Mais en ce qui concerne l’Iran, ses sites nucléaires se trouvent dans des endroits différents et généralement, sous terre ! Contre l’Iran, Israël est moins puissant ; il n’a pas les capacités nécessaires pour anéantir le pouvoir nucléaire de l’Iran », a écrit Jerusalem Post citant Olmert.
Ce sont là les premières déclarations faites par Ehud Olmert depuis sa libération. Condamné à 19 mois de prison pour avoir reçu des pots de vin, l’ancien Premier ministre a été libéré en juillet 2017.
Le régime israélien qui est le seul détenteur d’armes nucléaires dans la région de l’Asie de l’ouest, ne cesse de demander aux parties signataires du Plan global d’action conjoint d’annuler l’accord nucléaire conclu avec l’Iran.
À peine quelques heures après avoir lancé une offensive contre les terroristes de Daech dans l'est de l'Euphrate, les chasseurs américains ont bombardé, dans la nuit de dimanche à lundi, l'armée syrienne et ses alliés de la Résistance dans la banlieue ouest de Deir ez-Zor.
Les frappes visaient à contrer l'avancée des forces "alliées" depuis l'ouest vers l'est de Deir ez-Zor. Les raids ont fait au moins deux morts dans les rangs de l'armée syrienne et nombre de blessés.
Dans la foulée, les forces syriennes se sont retirées de quatre villages libérés samedi dans la banlieue ouest de Deir ez-Zor pour éviter de nouvelles pertes. Samedi le village d'al-Jia'a avait été repris par l'armée syrienne aux miliciens des FDS alliés des Américains.
Consécutivement à cette victoire, les chasseurs US s'étaient mis à survoler intensément l'est de Deir ez-Zor tandis que les FDS se dirigeaient vers les cités de Hajin et d'al-Sousa sur fond de l'arrivée massive d'armes et d'équipements sur la rive nord de l'Euphrate dans la banlieue de Deir ez-Zor.
Les États-Unis occupent par Daech et FDS interposés la partie est de la province pétrolifère de Deir ez-Zor.
Selon la chaîne de télévision syrienne Al-Akhbariya, plusieurs bases militaires syriennes à Homs et Alep ont été prises pour cible des attaques aux missiles. Le bilan des morts s'élèverait à près de 40 personnes tandis que le nombre des blessés dépasse les 60.
Selon une source militaire syrienne citée par SANA, les missiles ont été tirés vers 22 h 30 en direction des bases militaires provoquant des explosions en cascade.
Les entrepôts d'armes du régiment 47 de l'armée syrienne ainsi qu'un autre stock d'armements dans l'est d'Alep à al-Malikiya feraient partie des cibles visées.
L'aéroport militaire al-Nirab aurait également été visé. Israël serait à l'origine de cette nouvelle frappe.
Le 9 avril, Israël a tiré 8 missiles contre l'aéroport T4 provoquant la mort de 14 personnes dont 7 conseillers militaires iraniens. L'Iran a promis une riposte cinglante sans en déclarer le moment ou le lieu.
Détails à suivre...
Hama-Alep / Un certain nombre de positions militaires dans les banlieues de Hama et Alep ont fait la cible la nuit dernière d’une nouvelle agression.
Une source militaire a déclaré à Sana que des positions militaires dans les banlieues de Hama et Alep avaient fait l’objet hier soir d’une nouvelle agression aux missiles.
Cette agression intervient dans un temps ou des informations ont été colportées sur des accords conclus pour évacuer les terroristes de Yalda, Babil, Beit Sahem et le camp de Yarmouk.
L’armée syrienne subit une nouvelle attaque de missiles
Dimanche soir plusieurs objets militaires syriens dont un dépôt d’armes ont été frappés par des «missiles ennemis», selon l’agence de presse locale qui ne précise toutefois pas les auteurs de cette attaque. Israël qui ces derniers temps a mené plusieurs frappes contre la Syrie refuse de commenter cet incident.
Les positions des forces armées syriennes situées dans les provinces de Hama et d'Alep ont été attaquées dimanche soir, fait savoir l'agence syrienne Sana en se référant à une source dans les forces de l'ordre syriennes. Les auteurs de l'attaque n'ont pas été désignés. Un dépôt d'armes touché par cette frappe a pris feu.
Selon les sources, cette attaque a été effectuée par des «missiles ennemis».
L'armée israélienne a refusé de commenter cette attaque et les informations selon lesquelles elle y avait participé. Auparavant, Israël avait à plusieurs reprises bombardé le territoire syrien sous prétexte de vouloir empêcher des groupements dont le Hezbollah qui soutient le Président syrien de s'emparer d'armes sophistiquées. Le 9 avril, Israël avait été accusé par le régime syrien et son allié iranien d'avoir mené des frappes meurtrières contre une base militaire dans le centre de la Syrie.
Une série d’explosions successives a eu lieu dans une base militaire de l'armée syrienne à Hama, après avoir été touchée par une attaque au missile. Des vidéos publiées sur Twitter permettent de l'observer en ligne.
L'armée syrienne a annoncé dimanche que des roquettes avaient frappé plusieurs bases militaires dans les provinces de Hama et Alep, dénonçant une nouvelle «agression» de ses ennemis, rapporte la télévision publique. Selon un bulletin d'information, ces attaques ont eu lieu à 22h30 heures locales.
Suite à l'attaque, plusieurs explosions successives ont été entendues dans la province de Hama, dans le centre du pays. Un dépôt d'armes touché par cette frappe a pris feu.
L'armée israélienne a refusé de commenter cette attaque et les informations selon lesquelles elle y avait participé. Auparavant, Israël avait à plusieurs reprises bombardé le territoire syrien sous prétexte de vouloir empêcher des groupements dont le Hezbollah qui soutient le Président syrien de s'emparer d'armes sophistiquées. Le 9 avril, Israël avait été accusé par le régime syrien et son allié iranien d'avoir mené des frappes meurtrières contre une base militaire dans le centre de la Syrie.
Au cours d'une discussion téléphonique d'une heure, Hassan Rohani et Emmanuel Macron se sont entretenus de la Syrie, du Yémen et, surtout, de l'accord sur le nucléaire iranien de 2015. Téhéran rappelle l'engagement des Occidentaux.
«L'accord nucléaire [...] n'est en aucune manière négociable», a prévenu Hassan Rohani le président iranien Hassan Rohani son homologue français Emmanuel Macron, lors d'une conversation téléphonique du 29 avril, selon le site internet de la présidence iranienne.
Selon le président de la République islamique, Téhéran «n'acceptera aucune restriction au-delà de ses engagements» conformes aux règles internationales après 2025, lorsque des clauses de l'accord de 2015 vont expirer.
Selon un communiqué de la présidence française, Emmanuel Macron a fait part à son homologue iranien «de son souhait que les acquis de la négociation de 2015 soient préservés et que les discussions puissent s'ouvrir sur les trois sujets additionnels indispensables que sont le contrôle de l'activité nucléaire [de l'Iran] après 2025, le programme balistique de l'Iran et les principales crises régionales.»
Nucléaire, Yémen, Syrie : les deux dirigeants ont conversé une heure au téléphone
Au cours de leur discussion téléphonique d'une heure, les deux présidents ont convenu, d'après l'Elysée, «de travailler principalement dans les prochaines semaines sur la préservation du contenu de l'accord de 2015 dans toutes ses composantes, ainsi que sur la situation au Yémen et en Syrie», crises dans lesquelles Téhéran est impliqué à différents niveaux.
Le président américain Donald Trump, fervent opposant à l'accord signé en juillet 2015, doit annoncer le 12 mai s'il se retire de l'accord nucléaire, pour réimposer ensuite les sanctions unilatérales américaines contre l'Iran suspendues depuis l'entrée en vigueur de cet accord.
Lors de sa visite aux Etats-Unis, Emmanuel Macron avait fait une série de propositions à son homologue américain pour préserver l'accord nucléaire qui deviendrait le premier des «quatre piliers» d'un futur texte.
Les responsables iraniens ont rejeté ces derniers jours toute nouvelle négociation sur ces questions.