WWIII : Depuis l'Arabie saoudite et Israël, les Etats-Unis appellent à de nouvelles sanctions contre l'Iran. Prosélytisme! NETAYAHU invente des preuves d'activité secrète pour construire une bombe atomique en Iran. Israël en a construit 600 et veut partir en Guerre pour construire son Grand ISRAËL qui doit incorporer l'IRAN.
WWIII : Depuis l'Arabie saoudite et Israël, les Etats-Unis appellent à de nouvelles sanctions contre l'Iran. Prosélytisme! NETAYAHU invente des preuves d'activité secrète pour construire une bombe atomique en Iran. Israël en a construit 600 et veut partir en Guerre pour construire son Grand ISRAËL qui doit incorporer l'IRAN. L'IRAN est en plus le déstabilisateur de la région, selon lui et soutient le Hezbollah, et aussi les Palestiniens et la Palestine. Mais Vladimir Poutine soutient également l'IRAN contre les envolées de Netanyahu.
Le Pays du Peuple élu a une drôle de tête pour être celui qui est en relation directe avec son D.ieu tout puissant et qui a été au secours des Hébreux, dans toutes leurs épreuves, et que ceux-ci n'avaient pas besoin d'armes pour se défendre à l'exception de trompettes et de prières.
Le Sionisme dont on ne pourra bientôt plus citer le NOM, dans ce Nouvel Ordre Mondial qui n'accouche que de deux jumeaux, est depuis toujours un Antisémitisme, et pour le chasser, il est prévu de considérer que les attaques verbales aux Juifs Sionistes sont de l'Antisémitisme, alors que le pacte de transfert avec Hitler, c'est leur bébé et que Netanyahu a réhabilité HITLER en disant "qu'il ne voulait pas exterminer les JUIFS".
La promesse de D.ieu a été donnée au Peuple Juif qui a reçu à sa manière le Fils de D.ieu, sans qu'il ait de carte d'identité pour l'annoncer, et Jésus-Christ a poussé la plaisanterie à incendier les prêtres au Temple de Jérusalem, pour le commerce des offrandes qu'ils pratiquaient, et pour sa venue sur terre en tant que Roi des Juifs, se rendant même à Jérusalem, sur le dos d'un ânon, le petit d'un âne, salué par toute la population à l'aide de rameaux, pour bien montrer son humilité, dans sa fonction.
Bien entendu à l'époque, on n'avait pas les studios d'Hollywood, mais la venue d'un roi, ne se faisait pas sans apparences, et si son D.ieu était capable de le sauver au lieu de l'abandonner sur la Croix dans des souffrances immenses, c'est qu'il n'était pas Roi.
Même le bon Pape François élu de façon interdite par l'Eglise Catholique qui ne pouvait pas élire un Jésuite à la fonction suprême, tant ses derniers avaient déjà subits toutes les excommunions et les radiations, à enfoncé le clou, en disant que la Mort sur la Croix de Jésus est un échec, afin de courtiser les Juifs et les Arabes, les ignorants et les non croyants, les religions sans Dieu come le Bouddhisme ou celles de Dieux Païens, qui croient en la Pacha Mama, à la sorcellerie, aux sacrifices humains, à la Pédophilie, aux blasphèmes, à la zoophilie, à Satan-Jupiter, à Lucifer et à ses Saints.
La réaction d'un Musulman vis à vis des Mécréants, ou des GOYIM pour les Juifs, qui ne peuvent pas bénéficier de l'indulgence de DIEU, ni même avoir le même DIEU, car le leur, ne dit pas la même chose, en fonction de l'évolution des textes qu'ils ont eux-mêmes trafiqués, pour les rendre crédible a la situation actuelle. Le Pape veut réécrire la Bible, pour qu'elle convienne à tous, alors qu'elle est censée être inspirée de D.IEU qui l'aurait validé par ses serviteurs et qui l'aurait déclarée inchangée depuis la constitution des deux livres, l'ancien et le nouveau Testament. Le nouveau testament qui complète et valide l'ancien, correspond au nouvel arche d'alliance avec l'humanité, dans la mesure ou elle le respecte dans toute sa forme et son fond, et qui n'est plus réservé aux seuls Juifs, mais à ceux qui se font baptisés dans le respect et l'apprentissage de ces préceptes, et dans la foi à Jésus Christ, le seul chemin pour aller vers D.IEU sans que des Eglises ne s'approprient la voie, et sans prosélytisme tout en respectant la ligne de conduite des Eglises Primitives.
Le Pape François a déclaré que l’œuvre de Jésus sur la croix avait été un échec.

Le message que le Pape François a prêché à la cathédrale Saint-Patrick de New York était choquant. Le Pape, le « vicaire du Christ » autoproclamé, a prêché le message de l’échec de Jésus sur la croix.
« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; Mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. » (1 Corinthiens 1:18)
Comme beaucoup de gens, j’ai manqué le message que le Pape a prêché dans la cathédrale Saint-Patrick, parce qu’il n’était pas diffusé en direct en ce qui me concerne. Et, honnêtement, j’étais beaucoup plus intéressé dans une perspective de prophétie dans ce qu’il allait dire à Washington et à l’Organisation des Nations Unies. Donc, je n’ai pas pris la peine de jeter un coup d’œil et d’entendre ce qu’il a prêché dans la cathédrale Saint-Patrick. Lorsque je l’ai fait, je suis presque tombé de ma chaise.
Tout d’abord, le Pape François a donné une acclamation à ses « frères et sœurs musulmans » quand il a dit que : « Je tiens à exprimer deux sentiments pour mes frères et mes sœurs musulmans : Tout d’abord, mes salutations alors qu’ils célèbrent la fête du sacrifice. » Dans le cas où il ne le saurait pas, l’Islam enseigne clairement que leur dieu, Allah, n’a pas de fils ; aucun. Donc, pour un chrétien, être un frère ou une sœur spirituelle avec un musulman est impossible. Le Coran déclare hardiment que Dieu n’a pas de fils :
« Il n’est pas digne pour Allah de prendre un fils ; Qu’il soit exalté ! Quand Il décide d’une chose, Il dit seulement : « Sois » et elle est. » (Sourate 19:35,36)
Le Pape François a été courtisé par les musulmans dans les tentes du Vatican depuis un certain temps déjà. En novembre 2014, il a prié dans une mosquée à Istanbul ; En décembre 2014, le Pape François a défendu l’Islam comme une « religion de paix » ; Et, il y a quelques semaines, le Pape a donné l’ordre à tous les Catholiques de l’Europe de prendre des migrants musulmans pour qu’ils vivent avec eux dans leurs maisons, alors que les Chrétiens d'Orient, martyrisés, n'ont fait l'objet d'aucune empathie particulière.
Mais, il ne s’est pas arrêté là, loin de là. Le Pape François a déclaré que l’œuvre de Jésus sur la croix avait été un échec.
Peut-être que les paroles les plus choquantes et les plus spectaculaires jamais sorties de la bouche d’un pape proviennent du Pape parlant de « l’échec de la croix ». Quoi ?? C’est parce que Jésus est allé sur la croix, que nous avons le salut. C’est à cause de la croix que nous avons maintenant accès au Père et un plein pardon pour nos péchés. C’est à cause de la croix que le Ciel, et non l’Enfer, est notre destination. Voici ce qu’il dit :
« La croix nous montre une autre façon de mesurer le succès. La nôtre est de planter les graines. Dieu voit les fruits de nos travaux. Et si, parfois, nos efforts et nos œuvres semblent échouer et ne pas produire de fruits, nous devons nous rappeler que nous sommes des disciples de Jésus-Christ, et sa vie, humainement parlant, s’est soldée par un échec, l’échec de la croix. »
C’était çà, sans aucun autre mot. Vous pourriez vous attendre qu’il dise quelque chose comme« alors que la croix semblait être un échec pour ses disciples, la croix a été en fait une victoire … » ou quelque chose comme ça. J’ai entendu cela prêché à plusieurs reprises dans les églises. Mais, la chose est que, lui, n’a pas dit cela. Il a tout simplement déclaré que la vie de Jésus sur la croix s’est « soldée par un échec », ce qui est un mensonge complet et total. Comment pouvait-il s’arrêter là, dans la défaite, en déclarant que la croix avait été un échec ? Qu’il n’en ait pas révélé un tout petit peu plus dépasse l’imagination ! Le Pape, le « vicaire du Christ » autoproclamé, prêchant un message de l’échec de Jésus sur la croix. Honnêtement, les mots me manquent en ce moment.
Avec quel meilleur moyen le Pape François pourrait-il mettre fin à un «sermon» dont le discours d’ouverture appelle « frères et sœurs » les musulmans reliés à l’enfer qui rejettent le Christ, et dont le point principal est « l’échec de Jésus sur la croix », qu’en priant Marie et en demandant ses bénédictions :
« Chers frères et sœurs, dans quelques instants, nous allons chanter le Magnificat. Confions à Notre-Dame le travail que nous avons été chargés de faire. Unissons-nous pour remercier Dieu pour les grandes choses qu’il a faites … »
Le Pape François, en ce qui me concerne, conserve bien son titre de faux prophète … et j’en suis certain.
Source : Now The End Begins.com
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
Depuis l'Arabie saoudite et Israël, les Etats-Unis appellent à de nouvelles sanctions contre l'Iran. Prosélytisme! et suivisme de NETANYAHU.
29 avr. 2018, 22:14
© Saudi Press Agency / Reuters
Mike Pompeo lors de son arrivée en Arabie saoudite le 28 avril.
Le nouveau chef de la diplomatie américaine a affiché en Arabie saoudite et en Israël la ligne dure de son pays vis-à-vis de Téhéran. Pendant ce temps, Paris, Londres et Berlin se sont entendus pour apporter leur soutien à l'accord sur le nucléaire.Les 28 et 29 avril, le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo s'est rendu en Arabie saoudite puis en Israël, deux alliés stratégiques de Washington qui considèrent l'Iran comme leur ennemi. Il a ensuite rejoint Amman pour des entretiens qui auront lieu le 30 avril avec des responsables jordaniens.
«L'Iran doit être stoppé»: Washington, Riyad et Tel-Aviv font front
Peu après l'arrivée du chef de la diplomatie américaine sur le sol saoudien, Washington a annoncé la couleur. «Nous appelons les nations du monde à sanctionner tout individu et entité associé au programme balistique de l'Iran», a lancé Brian Hook, conseiller de Mike Pompeo, à des journalistes le soir du 28 avril.
Le nouveau chef de la diplomatie américaine n'a pas adouci le ton lors de sa rencontre avec les autorités saoudiennes, accusant, selon l'AFP, l'Iran d'être «le plus grand sponsor du terrorisme dans le monde», de vendre «des armes aux Houthis [que combat l'Arabie saoudite] au Yémen», de diriger «des campagnes de piratage informatique» ou encore de soutenir «le régime meurtrier d'Assad» en Syrie.
Le lendemain, à Tel-Aviv, Mike Pompeo a affiché la même ligne hostile à Téhéran, à l'issue d'un entretien avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou : «L'ambition de l'Iran reste de dominer le Moyen-Orient.» Le Premier ministre israélien a pour sa part accusé l'Iran de vouloir «avaler un pays l'un après l'autre», avant de poursuivre : «[Téhéran] doit être stoppé, son projet de bombes nucléaires doit être stoppé, son agression doit être stoppée.»
Macron et Rohani s'entendent pour défendre l'accord sur le nucléaire iranien
L'accord sur le nucléaire iranien de 2015 (qui a pour but de stopper le programme nucléaire militaire de Téhéran en échange de la levée des sanctions économiques) conclu par six grandes puissances (Etats-Unis, Chine, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) avec l'Iran, a également été au menu des discussions à Riyad, comme à Tel-Aviv.
«Si nous ne pouvons pas le modifier, [Donald Trump] s'en retirera», a fait savoir Mike Pompeo en Israël, alors que le président des Etats-Unis ne cache pas sa nette opposition au texte, qu'il juge «horrible».
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Mais, alors que Mike Pompeo assurait à Riyad que Washington allait «continuer à travailler» avec ses «alliés européens» pour «corriger» l'accord sur le nucléaire, le président iranien Hassan Rohani s'entretenait par téléphone avec son homologue français. Selon la présidence iranienne, durant la conversation, Téhéran a répété que le texte n'était «en aucune manière négociable». D'après un communiqué de l'Elysée, cité par Reuters, les deux dirigeants se seraient entendus pour œuvrer dans les prochaines semaines au maintien de l'accord.
Lors d'un autre entretien par téléphone, le Premier ministre britannique Theresa May, la chancelière allemande Angela Merkel et Emmanuel Macron se sont par ailleurs entendus sur le fait que l'accord actuel était «le meilleur moyen de neutraliser la menace d'un Iran doté de l'arme nucléaire».
Selon le bureau de Theresa May, les trois dirigeants ont néanmoins convenu «que des éléments importants n'étaient pas couverts» par l'accord actuel, notamment «les missiles balistiques, ce qui se passera à l'expiration de l'accord et l'activité déstabilisatrice de l'Iran dans la région».
Ces sujets recoupent trois des «quatre piliers» d'un possible nouvel accord, récemment évoqué par Emmanuel Macron auprès de Donald Trump.
Washington soutient l'Arabie saoudite au Yémen
A Riyad, l'ancien patron de la CIA a enfin réaffirmé le plein soutien de Washington à son allié saoudien concernant le conflit au Yémen, où l'Arabie saoudite est depuis 2015 à la tête d'une coalition militaire de pays arabes qui intervient contre les rebelles Houthis. Depuis le début de son intervention en mars 2015, le conflit au Yémen a fait plus de 8 750 morts, d'après l'ONU, dont de nombreux civils. La situation humanitaire sur place ne cesse d'empirer et une épidémie de choléra aurait déjà touché plus d'un million de personnes.
Mike Pompeo a par ailleurs expliqué qu'il avait aussi discuté de la possibilité de voir Riyad faire davantage pour soutenir les opérations antidjihadistes dirigées par Washington en Syrie, comme le souhaite Donald Trump.
Le prince héritier saoudien révèle que le wahhabisme a été exporté à la demande des Occidentauxhttps://francais.rt.com/international/49248-nous-avons-propage-wahhabisme-a-la-demande-des-occidentaux
«C'est un problème compliqué [...] Je veux d'abord m'assurer que nous sommes sur la même longueur d'ondes», a déclaré le secrétaire d'Etat. Au sujet de la crise qui oppose le Qatar à ses voisins du Golfe, il a insisté sur la «nécessaire unité» de ces pays afin de faire face au «défi commun» posé par l'Iran.
© Ronen Zvulun Source: Reuters

Peu après l'allocution de Benjamin Netanyahou, où il a présenté des schémas censés attester d'un programme nucléaire de l'Iran, le Parlement israélien a adopté une loi permettant au pays d'entrer en guerre sans l'accord de tout le gouvernement.
Le Parlement israélien a adopté le 30 avril une loi permettant au Premier ministre et au ministre de la Défense de décider d'entrer en guerre sans réunir le gouvernement.
Cette loi, votée à 62 voix contre 41, donne la responsabilité au cabinet restreint de sécurité de décider d'une opération militaire ou d'une guerre sans se concerter avec le reste du gouvernement.
Un paragraphe précise que le Premier ministre et son ministre de la Défense pourront décider d'entrer en guerre en cas de «conditions extrêmes».
Le projet de loi initié par la ministre de la Justice Ayelet Shaked est un amendement d'une loi fondamentale qui, auparavant, donnait au gouvernement uniquement la possibilité de décider de lancer une opération militaire avec l'accord de la majorité des ministres.
11 ministres sont membres du cabinet restreint de sécurité actuel sur les 22 ministres qui composent le gouvernement Netanyahou.
Ayelet Shaked a justifié cet amendement en expliquant devant le Parlement : «Dans la situation sécuritaire actuelle, il faut pouvoir rendre plus efficace le travail du gouvernement et du cabinet.»
Cette loi est votée dans un contexte de tensions internationales, notamment autour de l'accord sur le nucléaire iranien. Ainsi, peu avant le vote, le Premier ministre israélien a présenté des schémas, des classeurs de documents et des CD à la télévision, affirmant disposer de preuves que l'Iran entretenait un programme nucléaire secret. Téhéran a qualifié ces accusations de «ridicules», les assimilant à de la «propagande».
Cette intervention de Benjamin Netanyahou, fervent détracteur de l'accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015, survient quelques jours avant le 12 mai, date à laquelle Donald Trump, lui aussi opposé au texte actuel, doit annoncer si les Etats-Unis quittent ou non l'accord.
Par ailleurs, le ministre israélien de la Défense Avigdor Lieberman a averti le 26 avril que son pays s'en prendrait à toute tentative d'«implantation militaire» iranienne en Syrie, après une attaque dans ce pays le 9 avril attribuée à l'Etat hébreu.
A plusieurs reprises, Israël a mené des attaques contre des positions de l'armée syrienne ou des convois d'armes présentés comme provenant d'Iran et destinés au mouvement chiite libanais Hezbollah, qui lutte contre les groupes terroristes en Syrie au côté de Damas.
Israël adopte une loi facilitant l'entrée en guerre dans des «conditions extrêmes»
Avec AFP : A grand renfort de schémas, Netanyahou accuse à la TV l'Iran d'avoir un programme nucléaire secret. 30 avr. 2018, 19:19 © Amir Cohen Source: Reuters
Netanyahou présente, en direct à la télévision le 30 avril, des graphiques censés "prouver" un programme nucléaire iranien
Dans un discours en direct à la télévision, le Premier ministre israélien, virulent détracteur de l'accord international sur les activités nucléaires de l'Iran, a présenté des graphiques, accusant Téhéran d'entretenir un programme nucléaire secret.
A la télévision depuis Tel Aviv le 30 avril, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a assuré qu'Israël disposait de nouvelles «preuves concluantes» d'un programme secret visant l'Iran à se doter de l'arme nucléaire.
Devant un écran diffusant des photos et des vidéos et affichant à un moment, en gros caractère le texte «l'Iran a menti», il a présenté schémas et graphiques afin d'appuyer ses accusations, comme six ans plus tôt devant l'ONU. Il en a déduit que l'accord international sur le nucléaire iranien conclu en 2015 était «basé sur des mensonges» et donc, invalide.
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A côté de l'écran, se dressait une étagère remplie de classeurs de documents. S'il ne les a pas dévoilés au public, Benjamin Netanyahou a affirmé détenir les «copies exactes» des archives nucléaires iraniennes.
Netanyahou «connu pour ses spectacles ridicules», selon Téhéran
Quelques instants après la diffusion de l'allocution du Premier ministre israélien, la télévision publique iranienne a rejeté en bloc les accusations de ce dernier, les qualifiant de «propagande». L'agence de presse publique iranienne IRNA a même ajouté que Benjamin Netanyahou était «connu pour ses spectacles ridicules».
Le ministre iranien des Affaires étrangères Javad Zarif s'est pour sa part fendu de tweets, dans lesquels il a affirmé : «Le garçon qui ne peut s'empêcher de crier au loup recommence. Pas découragé par le fiasco de son cartoon devant l'Assemblée générale de l'ONU [en 2012].»
Opposé à l'actuel accord sur le nucléaire iranien, le Premier ministre israélien, s'exprimait à moins de deux semaines de la date butoir fixée par le président des Etats-Unis Donald Trump pour décider du sort de cet accord conclu en 2015. Le dirigeant étasunien a plusieurs fois fait part de son opposition au texte actuel, qu'il qualifie d'«horrible».
Après une rencontre avec le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo le 29 avril, Benjamin Netanyahou n'avait pas mâché ses mots concernant l'Iran, son principal rival géopolitique dans la région. Il avait estimé que les tentatives présumées de Téhéran de se doter de l'arme nucléaire représentaient «la plus grande menace» pour le monde.
Le même jour, en parallèle, les dirigeants de la France, du Royaume-Uni et de l'Allemagne ont affirmé dans une déclaration conjointe qu'ils souhaitaient défendre l'accord actuel sur le nucléaire iranien, selon eux «le meilleur moyen» de s'assurer que l'Iran n'obtienne pas d'armes nucléaires.
Un remake de 2012 ?
En 2012, Benjamin Netanyahou s'était déjà distingué à la tribune de l'ONU en présentant à l'assemblée un dessin représentant une bombe sur lequel il avait dessiné une ligne rouge au marqueur. Il avait alors demandé à l'Assemblée générale d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire.
© Lucas Jackson Source: Reuters