WWIII :La Grande et Sainte Russie du Président POUTINE, 26 FOIS LA FRANCE, DEPLOIE DES MISSILES S-400 DANS LA REGION DE SAINT-PETERSBOURG.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII :La Grande et Sainte Russie du Président POUTINE, 26 FOIS LA FRANCE, DEPLOIE DES MISSILES S-400 DANS LA REGION DE SAINT-PETERSBOURG, PRES DE L'EUROPE. Syrie Idlib: jusqu'où ira la patience russe? Liban: Pétrole : Israël menace la France? Macron informé par Laosophie pour le Liban? De nombreux militaires Russes n'attendaient qu'un erreur de Paris pour s'occuper de Macron ? Moscou s'apprêterait à déployer des missiles visant l'Europe et bien sûr la France? Gilets jaunes: à quand les balles réelles? Pour Moscou ce serait un Casus Belli pour venir au secours de notre Démocratie et de leurs compatriotes dans les rues de France.

Des systèmes de missiles sol-air S-400, considérés comme l’un des fleurons de l’industrie militaire russe, ont été déployés dans la région de Leningrad (nord-ouest), a rapporté mardi le ministère russe de la Défense.

«Les systèmes les plus modernes de la défense aériennes S-400 ont été mis en position de combat dans la région de Léningrad (où se trouve Saint-Pétersbourg, ndlr) pour protéger des installations militaires, administratives et civiles», a précisé le service de presse du district militaire russe de la région Ouest, cité par l’agence russe Interfax.

Les missiles ont été fabriqués dans la région d’Astrakhan (sud) avant d’être transférés 2.000 kilomètres au nord dans la région de Leningrad, selon cette même source.

Des S-400 devraient également être déployés à partir du 15 mars près de l’enclave russe de Kaliningrad, a ajouté Interfax.

D’une portée théorique de 400 km, le S-400 est le dernier né des systèmes de défense antiaérienne et antimissile de Russie, qui le considère comme l’un des fleurons de son industrie militaire.

Il avait été vendu à l’Inde mais aussi à la Turquie, ce qui a provoqué la colère des alliés occidentaux d’Ankara au sein de l’Otan, notamment Washington, qui soulignent son incompatibilité avec les systèmes de défense de l’Alliance atlantique.

Selon Al-Masdar New, l’armée syrienne a pris pour cible la capitale provinciale du gouvernorat d’Idlib, mardi, pour la première fois cette année où elle attaquait cette ville.  

L’armée  syrienne a bombardé de manière intensive les positions de Hay’at Tahrir Al-Sham dans la ville d’Idlib avec une pléthore de missiles et d’obus d’artillerie. 

Selon Al-Masdar News, la 4ème division blindée de l’Armée arabe syrienne a utilisé des missiles sol-sol de son lanceur MLRS. En outre, l'armée arabe syrienne a lourdement bombardé la campagne de l'est du gouvernorat d'Idlib, frappant les positions des terroristes soutenus par la Turquie dans les villes de Harsh Abdeen, Sarmeen et Habeet. 

 

La veille, les avions de chasse appartenant à l’armée de l’air russe, appuyés par l’armée syrienne, avaient  bombardé les positions des terroristes dans la province d’Idlib. Lors de sa nouvelle opération aérienne, l’armée de l’air russe a utilisé les SU-34, dotés de missiles spéciaux anti-bunkers. 

 

Selon les experts politiques, de telles opérations communes des forces russes et syriennes visent à démanteler les infrastructures, les dépôts de munitions, les bases de formation militaires, les centres de commandement, les unités d’artillerie et les centres d’opération commune des terroristes. Après avoir localisé le lieu de rassemblement des terroristes, l’armée russe, jointe par la force syrienne a pris d’assaut les lieux de rassemblement des terroristes. 

Avant ces frappes, des sources d’information avaient rapporté que les unités blindées de l’armée syrienne avançaient en masse sur les axes d’Atchan et de Tal-Marq vers les régions de guerre. 

 

Auparavant, les forces aériennes russes avaient touché le 10 mars des dépôts d’armes et des positions fortifiées appartenant à des militants à Idlib, dont Mintar, Frikeh, Tell Khatab, Saraqib et Khab al-Subul. Selon des observateurs politiques, les frappes ont été lancées en réponse aux violations continues de l’accord de cessez-le-feu par les terroristes pro-turcs dans le sud d’Idlib et le nord de Hama. 

Idlib: juqu'où ira la patience russe?La Russie est visiblement en colère : pour la première fois depuis des semaines, les terroristes du Front al-Nosra qui bénéficie du soutien implicite de la Turquie ont attaqué les positions de l'armée syrienne, provoquant des raids aériens intenses de l'aviation russe et syrienne.  

 

Sur fond d'un déploiement plus étendu de l'armée turque dans le nord de la Syrie, le ministre russe des Affaires étrangères russe a reporté sa visite en Turquie. La Turquie semble demander désormais à ce que des parties autres que l'Iran et la Russie adhèrent à l'accord sur Idlib. Sergueï Lavrov qui aurait dû se rendre en Turquie pour négocier avec son homologue turc de la situation prévalant à Idlib et pousser Ankara à « œuvrer activement » en faveur de la mise en œuvre intégrale du mémorandum sur Idlib signé par les deux pays, vient de pousser cette visite. Les États-Unis ont-ils fait un point en éloignant un peu plus Ankara de Moscou?  

La visite du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, en Turquie a été reportée au 18 mars en raison de ce que le communiqué de la diplomatie russe a nommé les « changements apportés à l’emploi du temps du ministre », a annoncé lundi le ministère russe des Affaires étrangères. 

 

« En raison des modifications apportées à l’emploi du temps du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, nous informons du report de sa visite de travail en Turquie afin de participer à la septième session du Groupe de planification stratégique conjoint dirigé par les ministres des Affaires étrangères des deux pays, du 12 au 18 mars conformément à la partie turque », a annoncé le ministère. 

 

Le 6 mars, le chef de la diplomatie russe avait dénoncé Ankara pour "sa tergiversation dans la mise en vigueur de l’accord de Sotchi à Idlib surtout pour la non-réalisation de la clause de l’accord sur le retrait de tous les terroristes soutenus par la Turquie de la zone démilitarisée de la province nord-ouest". 

 

Lors de la réunion de jeudi dernier, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, avait indiqué que les ministres envisageaient d’échanger des opinions sur tous les points de l’ordre du jour bilatéral. Elle avait ajouté qu’au cours des prochains pourparlers, les ministres prévoyaient de procéder à un échange de vues approfondi sur un large éventail de questions internationales et régionales, notamment la réglementation syrienne, la coopération dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, la situation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, Transcaucasie, Asie centrale, Ukraine, région de la mer Noire. 

 

Avec le report de la visite du ministre russe des A.E., ces dossiers resteront tous en suspens, remarquent les médias russes qui reconnaissent que la Russie fera tout pour sauver l'accord sur Idlib : « Des manœuvres navales turco-russes ont ainsi été menées la semaine dernière en mer Noire en présence des bâtiments turcs qui ont amarré au port de Novorossiisk le 06 mars. C'est un signe que la Russie ne veut pas couper les liens avec Ankara. Parallèlement les raids aériens anti-terroristes de l'aviation russe se multiplient à Hama, et dans la banlieue d'Idlib, ce qui envoie à Ankara le signal suivant : la patience russe a des limites ». 

ACTE XVII LA FRANC-MACONNERIE CIBLEE 

 

1-France: 75.000 pistolets et 51 millions de cartouches? 

Selon un avis de marché public émis par le ministère des Armées, l’État prévoit d’acquérir 75.000 pistolets semi-automatiques et 51 millions de cartouches. Les MAC 50 et MAS G1 devraient ainsi être remplacés par un nouveau pistolet semi-automatique. 

 

En outre, 9.000 pistolets d'entraînement, 25.000 valises anti-écrasement, 800 outillages de simbleautage laser font partie de ce marché public, indique le portail actu 17. 

 

Les fournisseurs ont jusqu'au 12 avril prochain pour se manifester. Ils auront alors 48 mois pour livrer la commande. 

La France compte acquérir 75.000 pistolets et 51 millions de cartouches, et Pourquoi donc? 

 

Source: Sputnik 

 

2-France : la franc-maçonnerie attaquée !! 

Le temple des francs-maçons du chef-lieu des Hautes-Pyrénées a été attaqué par un groupe de gilets jaunes dans la soirée du samedi 9 au dimanche 10 mars. 

Comme le rapportent le Huffington Post citant les médias locaux, "La loge maçonnique du Grand Orient de France, située au 7 rue Léon Dalloz, a vu sa porte fracturée et de nombreux objets détruits. En revanche il n'y aurait pas eu de vol", précise France Bleu. 

 

La manifestation nocturne de l'acte XVII des Gilets jaunes tarbais s’était pourtant déroulée dans un calme relatif. Mais, au fil des heures dans les rues de Tarbes, la mobilisation nocturne des Gilets jaunes a soudain dérapé. Aux alentours de minuit, alors qu’il ne restait qu’une petite centaine de manifestants dans le centre-ville, une voix s’est élevée : « on va à la gendarmerie et chez les Francs-Maçons! ». 

 

Assistons-nous à une mutation du mouvement ? 

 

Source: Strategika 51 et Huffington Post 

 

3-Avant le Brexit, le déficit commercial se creuse encore en France ! 

Selon Reuters, le déficit commercial français s'est creusé en janvier pour atteindre 4,2 milliards d'euros, contre 3,6 milliards en décembre, en raison notamment d'un recul des exportations automobiles et des produits pétroliers raffinés, ont annoncé les douanes vendredi. 

 

Le commerce extérieur français est loin d'avoir retrouvé des couleurs. La détérioration de la balance commerciale est également très visible pour le pétrole raffiné, en raison d'un recul des ventes. 

Du côté de l'industrie automobile, les chiffres se dégradent après une nette amélioration en décembre. "Cela s'explique par le repli partiel des exportations qui l'emporte sur la nouvelle baisse des importations." 

 

4-L’Iran près des eaux américaines ! 

La marine iranienne enverra des navires de guerre dans l’Atlantique pour le début de la nouvelle année iranienne qui commence en mars. 

La flottille se composera de deux à trois vaisseaux, dont le navire-citerne Khark et surtout le destroyer Sahand, doté de missiles téléguidés. Ils devraient amarrer dans un pays d’Amérique latine, possiblement le Venezuela. 

La République islamique d’Iran cherche ainsi à répondre à la présence intimidante dans le golfe Persique des portes-avions des États-Unis. 

La route la plus directe pour le groupe naval iranien sera de passer par le Canal de Suez pour rejoindre la Méditerranée puis l'océan atlantique, pour possiblement jeter l’ancre au Venezuela. 

Source: Journal de Montréal 

Liban: Israël menace la France?L'heure est grave pour les entreprises pétro-gazière françaises au Liban : Le Français Jean-Pierre Lacroix qui préside au sous-secrétaire de l’ONU, chargé des opérations de maintien de la paix au Liban (Finul) devrait bien transmettre le message à ses supérieurs.  

 

Lors d'une rencontre avec le président libanais, ce dernier a évoqué tour à tour deux dossiers comme si ces deux dossiers étaient bien imbriqués : le tracé des frontières maritimes du Liban, ce qui reste bien lié à la question de l'intégrité des réserves offshore libanais que pille Israël mais aussi la violation du ciel libanais par  ce même régime israélien qui a usé et abusé de l'espace aérien du pays du Cèdre pour frapper la Syrie. Ce n'est pas sans raison que le vieux routier de la politique libanaise aborde ces questions parallèlement et simultanément en présence d'un cadre français.  

 

Lors de la réunion avec ce responsable du maintien de la paix des Nations-Unies, Aoun a exprimé sa "frustration" devant le refus par "Israël de démarquer sa frontière maritime avec le Liban" : "Le Liban fait toujours face à l'opposition d'Israël à délimiter la frontière maritime dans la Zone économique exclusive, en dépit des propositions qui ont été faites à ce sujet".  

 

Puis il s'en est pris à l'impunité de Tel-Aviv qui depuis des années se permet de violer le ciel libanais, et ce, au mépris de la résolution 1701 sans que l'ONU, et en d'autres termes ses alliés occidentaux, y compris la France, y réagissent de manière effective. "Il faut que les agressions maritimes, aériennes et terrestres d’Israël contre la souveraineté du Liban cessent", a affirmé Aoun. 

 

Les analystes politiques relèvent d'importants contrats signés en février 2018 au Liban. Le pays avait signé un premier contrat d’exploration et de production d’hydrocarbures offshore avec le consortium composé des compagnies pétrolières Total (France), Eni (Italie) et Novatek (Russie) pour le bloc 9 et le bloc 4 (centre-ouest). Israël revendique également une partie du bloc 9 outre les empiétements qu'il a déjà effectué sur les richesses gazières libanaise. Pour de nombre d'analystes, la double remarque du président Aoun est bien significative, alors que ce dernier s'apprête à se rendre à Moscou où il devra parler à la fois coopération militaire et énergétique. La nature des discussions et des accords à venir pourrait faire pencher le secteur énergétique libanais en faveur des Russes et/ou en défaveur des Français, si ces derniers ne prouvent pas  les liens privilégiés qu'ils disent avoir avec le Liban. 

 

À vrai dire, Aoun n'irait pas terminer sa visite en Russie sans évoquer le dossier de la Défense anti-aérienne libanaise que les pays occidentaux en général et la France en particulier ont depuis toujours refusé au Liban dans le stricte objectif d'assurer sa vulnérabilité. Avec l'entrée en scène de la Russie, tout peut basculer aussi bien au niveau de l'exploitation des gisements gaziers offshore libanais que les capacités militaires du pays. La France semble bien comprendre ce risque: le mois dernier le PDG de Total, Patrick Pouyanné a annoncé au Financial Times qu'Israël était «trop complexe» pour tout investissement. Alors que le régime de Tel-Aviv dit vouloir concurrencer la Russie sur le marché énergétique européenne, cette annonce très mal prise en Israël a été interprétée comme un signe d'entente en direction de Moscou. Mais il faut plus : la France devra aussi montrer qu'elle est un vrai partenaire du Liban, partenaire énergétique mais aussi militaire, fait constater Hanif Ghafari l'analyste des questions européennes.