WWIII : LA GUERRE SE FERA POUR LE GRAND ISRAËL ET POUR LES ASPIRATIONS DU PEUPLE JUIF SIONISTE SATANISTE.
WWIII : LA GUERRE SE FERA POUR LE GRAND ISRAËL ET POUR LES ASPIRATIONS DU PEUPLE JUIF SIONISTE SATANISTE.
LES HAREDIM SONT NON SIONISTES ET LE SIONISME EST LEUR ENNEMI COMMUN.(Voir le Rabbin Shmiel Mord)
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a réaffirmé dimanche qu’Israël n’était pas l’État-nation "de tous ses citoyens", mais "uniquement du peuple juif", excluant la population arabe du pays, en pleine campagne pour les élections législatives du 9 avril.
M. Netanyahu a réagi dimanche matin sur son compte Instagram à une polémique entraînée par des propos de la comédienne Rotem Selah, tenus la veille sur ce réseau social. Il a également évoqué le sujet en ouverture de la réunion hebdomadaire du cabinet.
L’actrice et mannequin très populaire avait écrit un texte défendant les droits de la minorité arabe, qui représente 17,5% de la population, affirmant que "l’Etat d’Israël est l’Etat de tous ses citoyens".
M. Netanyahu a réagi en déclarant que tous les citoyens, y compris les Arabes, jouissaient de l’égalité des droits, mais a rappelé l’existence d’une loi controversée, adoptée l’année dernière, selon laquelle Israël est l’État-nation du peuple juif.
"Israël n’est pas l’État de tous ses citoyens", a écrit M. Netanyahu, "car selon la loi fondamentale sur la nation que nous avons adoptée, Israël est l’État-nation du peuple juif - et uniquement du peuple juif".
"Comme vous l’avez écrit, il n’y a pas de problème avec les citoyens arabes d’Israël. Ils ont les mêmes droits que nous et le gouvernement du Likoud a investi plus dans le secteur arabe que tout autre gouvernement", a-t-il ajouté à propos de son parti de droite.
M. Netanyahu a été accusé par l’opposition d’avoir diabolisé les Arabes israéliens avant les élections, dans le but d’augmenter le taux de participation des électeurs de droite.
La droite affirme pour sa part régulièrement que les députés arabes israéliens sont des agents de la cause palestinienne.
Sous la menace d’une inculpation pour corruption, M. Netanyahu fait face à une alliance politique centriste dirigée par l’ancien chef d’état-major de l’armée, Benny Gantz, et l’ancien ministre des Finances, Yair Lapid.
Selon M. Netanyahu, les Israéliens ont le choix entre "Bibi" (son surnom) et "Tibi", du nom du député arabe israélien Ahmed Tibi, ancien conseiller du leader palestinien Yasser Arafat, qui pourrait selon lui soutenir un gouvernement dirigé par M. Gantz, hypothèse pourtant hautement invraisemblable.
La participation des partis arabes à une majorité de gouvernement est en effet exclue. Mais ils pourraient bloquer la formation d’une majorité.
Les Arabes israéliens sont majoritairement des Palestiniens qui sont restés sur leurs terres après la création d’Israël en 1948 et qui soutiennent la cause palestinienne.
M. Netanyahu est à la tête de ce qui est perçu comme le gouvernement le plus à droite de l’histoire d’Israël et souhaite la formation d’une coalition similaire à l’issue du scrutin.
Netanyahu a réhabilité Hitler, et le contrat de transfert des Juifs en Palestine de 1933.
A PROPOS DES JUIFS ANTISIONISTES:
« La Promesse de la Terre, selon les rabbins, doit s’accomplir par le Messie, miraculeusement et surnaturellement, sans armes et sans guerre, avec l’accord de toutes les nations intéressées »
Emmanuel LEVYNE Revue TSEDEK nov. 68
1° LES ANTISIONISTES juifs religieux contre la création d’Israël
Il faut quand même souligner ici, que certains Juifs religieux, profondément antisionistes, condamnent au nom de leur foi en Dieu la création d’un Etat juif, aussi bien dans le passé que dans le présent, et ils s’érigent avec des accents mystiques d’une violence extrême contre les pratiques « génocidaires » de leurs coreligionnaires
Après la victoire « miraculeuse » de la guerre, nous avons pu faire la découverte des juifs résolument antisionistes à travers une revue le TSEDEK, nous nous contenterons de citer cet article, cette profession de foi que nous ferons suivre d’une des dernières prise de position des juifs anti-sioniste
« La Promesse de la Terre, selon les rabbins, doit s’accomplir par le Messie, miraculeusement et surnaturellement, sans armes et sans guerre, avec l’accord de toutes les nations intéressées. Je veux bien de la Promesse d’une Terre mais non d’une Terre arrosée du sang des pauvres et des innocents …. Je rejette l’Etat d’Israël – la souveraineté des hommes – parce que j’ai choisi la souveraineté de l’Eternel, qui seule est juste et peut être une source de bonheur et de paix pour l’humanité. Car comme l’a dit si bien Nicolas Berdiaeaeff, Dieu est humain, mais l’homme est inhumain ; et tout humanisme athée dégénère toujours et se métamorphose en antihumanisme. Comme nous le disons dans nos prières juives quotidiennes : « Nous n’avons pas d’autre souverain qui délivre et qui sauve que Toi l’Eternel ».L’Etat d’Israël, comme tout Etat, prétend le contraire, il contredit l’Eternel et le nie, c’est pourquoi je ne puis affirmer Dieu et ma foi juive sans lui dire : non… Les Etats Unis sont une nation agressive et exterminatrice de naissance, de nature. Comme Israël, dont les ancêtres ont déjà une première fois exterminé les peuples palestiniens – les cananéens – pour se constituer en nation et en Etat. Comme les Etats Unis nous n’avons acquis le droit à l’existence, que nation souveraine, qu’en supprimant ce droit à d’autres peuples. Après deux mille ans d’exil qui nous avaient purifié de ce crime national…. voici que nous recommençons de plus belle…. Les Palestiniens sont absolument innocents, ils paient les crimes et les fautes des Européens et des Occidentaux. Ils sont crucifiés pour les péchés, dont nous ne sommes pas exempts….» (Emmanuel LEVYNE Revue TSEDEK nov. 68)).
Attali, le mentor à Macron, celui qui impose sa ligne Politique à la France avec le CRIF, prévient : « l’Europe est condamnée à être dépecée, saignée et assassinée »
L’élection européenne semble aujourd’hui pour beaucoup une figure imposée de la politique, où on demande à intervalles réguliers aux citoyens du continent d’aller voter pour des députés qu’ils ne connaissent pas, dont ils ne savent rien de l’action ; et qui ne sont, pour la plupart, que des gloires du passé ou des faux espoirs de l’avenir. Rien n’est plus vide de sens.
Cela l’est plus encore quand on sait qu’un tel Parlement sert surtout à participer d’une façon fictive au choix des membres d’une Commission et à l’établissement de lois, qui sont en fait, à la fin, des décisions des gouvernements nationaux, prises dans d’interminables et d’obscurs sommets.
Et plus encore quand on réalise que ces instances européennes, une fois en place ne s’occupent que de sujets économiques limités, dans une optique ultralibérale, qui encourage la compétition entre Européens, à tous les niveaux, poussant au moins-disant fiscal et social et ne faisant rien, ou presque rien, pour construire des projets communs.
Je ne dis « presque rien », parce que l’Union Européenne a quand même construit des projets communs qui méritent qu’on les soutienne, tels la PAC, Erasmus, Eureka, l’euro, la cour européenne de justice et quelques autres.
Il est temps de renverser la table, et de faire beaucoup plus, face aux principaux enjeux du monde :
Dans les dix ans qui viennent, les Etats-Unis et la Chine vont se renforcer dans les secteurs clés de l’avenir ; les Africains, les Indiens, les Russes, les Indonésiens, vont commencer à apparaître comme des concurrents et non plus seulement des clients. D’innombrables menaces écologiques vont croître. Des migrations innombrables vont se déclencher, dans un monde de plus en plus nomade. Et nous, Européens, ne pourront plus attendre de personne qu’on nous aide à nous défendre face à ces menaces et ces concurrences. Nous sommes devenus une proie et non plus un partenaire. Condamnés, si nous ne faisons rien, à être dépecés, saignés, assassinés. Sans que nul ne vienne à notre secours.
Alors, pourrions-nous en nous divisant nous défendre mieux ? Une France, une Allemagne, une Italie, une Espagne, une Hongrie seule pourrait-elle affronter ces périls ? Non évidemment. Il nous faut mettre en commun nos moyens de défense, notre police des frontières, nos moyens de recherche fondamentale et appliquée. Il nous faut changer notre politique de la concurrence pour favoriser la constitution de géants européens. Il nous faut harmoniser au plus haut nos protections sociales et notre fiscalité des entreprises. Il nous faut nous doter d’un budget d’investissement d’au moins 3 % du PIB de l’Union, en le réservant à la recherche, aux investissements technologiques, éducatifs, sociaux, agricoles, territoriaux et écologiques. Il nous faut modifier radicalement les conventions fiscales internationales qui limitent la base fiscale des GAFA et de leurs équivalents chinois.
Cette mise en commun des moyens de nous défendre nuira-t-elle à notre identité nationale ? Non évidemment. C’est très malhonnête de le prétendre. Cette mise en commun ne touchera ni à notre langue, ni à notre culture, ni à notre éducation, ni à l’autonomie de nos territoires, ni à notre conception de la laïcité. Surtout si la France consacre enfin les moyens nécessaires à la promotion de la Francophonie, si oubliée, si méprisée par tous les dirigeants et tous les diplomates, depuis cinquante ans. Elle nous permettra, en plus, de mieux défendre nos intérêts dans le monde, et de peser sur les grands enjeux écologiques, sociaux, financiers, éthiques, politiques mondiaux, dont nous sommes de plus en plus absents.
C’est de tout cela qu’il faut débattre maintenant. C’est cela que demandent toutes les jeunesses d’Europe, enviées de celles du monde entier. C’est à cela que des dirigeants audacieux, ayant le sens du long terme, le goût du risque, devraient, se consacrer. S’ils existent.
j@attali.com
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Attali
http://www.attali.com/geopolitique/pour-leurope-renverser-la-table/
https://blogs.lexpress.fr/attali/2019/03/03/pour-leurope-renverser-la-table/
Article : L’Express
Le discours de haine talmudique à la base du génocide des non-juifs
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Une affiche célèbre de la guerre civile russe
qui montrait comment était perçu Trotsky le plus sanguinaire des bolcheviques juifs |
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Vingt millions de goys russes furent exterminés par les bolcheviques juifs Personne ne parle de cet holocauste |
Par cette ruse grotesque mais efficace, démasquer la haine devient un acte de haine et les révélations sont stoppées net.


Yitzhak Shapira, co-auteur de Torat Hamelech |
