WWIII : MAUVAISES HEURES POUR ISRAËL SURTOUT SI NETANYAHU EST RECONDUIT. LES JUIFS NE CESSENT DE PAYER LA POLITIQUE D'APARTHEID D'ISRAËL, PAYS PALESTINIEN A 90% DE POPULATIONS ISSUES DE CELLES D'IL Y A 2000 ANS.
WWIII : MAUVAISES HEURES POUR ISRAËL SURTOUT SI NETANYAHU EST RECONDUIT le 9 Avril 2019, TEL-AVIV FRAPPE. LES JUIFS NE CESSENT DE PAYER LA POLITIQUE D'APARTHEID D'ISRAËL, PAYS PALESTINIEN A 90% DE POPULATIONS ISSUES DE CELLES D'IL Y A 2000 ANS. NETANYAHU N'EST PAS TOUT: LA POLITIQUE D'EXTRÊME DROITE FASCISTE D'ISRAËL AVEC SES ALLIES FASCISTES EUROPEENS ET DE MACRON EN PARTICULIER POUSSE CE PAYS A SE FAIRE DETRUIRE, VRAISEMBLABLEMENT PAR LA RUSSIE, SINON PAR L'IRAN INTERPOSE, GRAND ALLIE DE LA RUSSIE ET DE LA CHINE. GOLAN : PRELUDE A UN AFFRONTEMENT GENERALISE.
La Russie s’est vivement opposée à la décision de la Maison-Blanche de reconnaître la souveraineté d’Israël sur les hauteurs du Golan.
Oleg Morozov, membre de la Commission des Affaires étrangères de la Chambre haute du Parlement russe, a déclaré, jeudi 21 mars, que la Russie n’accepterait jamais la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan. « Trump nuit à la communauté internationale et au monde arabe », a-t-il martelé.
Nasrallah rencontre une délégation de Gaza, la Résistance se prépare
Tue Mar 26, 2019 4:56AM

Au cas d'une guerre ouverte contre Israël, le Hezbollah et Gaza riposteront de concert. (Photo: les logos du Hezbollah et du Hamas)
À peine quelques heures après l'annonce d'une reconnaissance américaine de l'occupation du Golan, une délégation de la Résistance islamique, Hamas, est arrivée à Beyrouth où elle a rencontré le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Lors d'un point de presse conjoint avec l'Israélien Netanyahu, Donal Trump a laissé entendre que sa décision, largement dénoncée à travers le monde pour avoir violé le droit international, visait surtout à permettre à Israël de positionner son armée dans la région occupée du Golan à effet de contrer "l'Iran et le Hezbollah".
Le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah (D) et le vice-président du bureau politique de la Résistance palestinienne, Saleh al-Arouri, le 25 mars 2019 à Beyrouth au Liban. ©Fars News

La décision de Trump, selon les experts, ne fera qu'accélérer le processus de fusion et de cohésion inter-Résistance. Au moment où l'Américain signait une déclaration légalement sans intérêt sur la reconnaissance de l'annexion du Golan par Israël, la colonie israélienne de Sderot encaissait une salve de missiles et de roquettes tirés depuis Gaza.
Seyyed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah libanais, a ainsi reçu, lundi 25 mars, une délégation de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas, dirigée par le vice-président du bureau politique du mouvement, Saleh al-Arouri. Les deux parties se sont penchées sur les coopérations bilatérales et sur une coordination rapprochée concernant divers sujets.
Quelques 70 missiles ont été tirés contre la Palestine occupée en représailles aux raids israéliens.
Selon les sources d’information, « les dernières évolutions dans la région, en Palestine et à Gaza ont été "prioritairement" abordées lors de cet entretien ».
La rencontre entre le secrétaire général du Hezbollah et la délégation du Hamas intervient en pleine période de confrontation et d'escalade opposant Israël à la Résistance. Des régions de la bande de Gaza ont été frappées par l’armée israélienne dans la nuit de lundi à mardi. Mais les frappes ont été loin de produire les effets escompté.
Il y a deux jours, DEBKAfile, site proche de l'armée israélienne, affirmait que les États-Unis s'apprêtaient à soutenir militairement l'annexion du Golan par Israël. Il énumérait ainsi les "six" bases militaires que les États-Unis auraient implantées de part et d'autre des frontières syro-irakiennes pour en découdre avec l'armée syrienne et ses alliés de la Résistance. À en croire le site, trois de ces bases sont plantées en Irak, à Ramadi (Al-Anbar), à K1 (Kirkouk), à Ayn al-Assad. Côté syrien, les bases américaines sur quoi Israël compte pour se faire aider au cours d'une future confrontation avec l'axe de la Résistance, se trouvent, toujours selon DEBKA, à Al-Tanf, à Raqqa, et à Hassaka. Toujours selon le site, "ces six points constituent le Centre du commandement et du contrôle militaire US étendus sur 1500 kilomètres depuis le centre irakien jusqu'au nord de la Syrie et son sud" et DEBKA d'ajouter : "Le nouveau déploiement de l’armée américaine en Syrie et en Irak donne corps à l’affirmation du président Trump selon laquelle le moment est venu de reconnaître la souveraineté israélienne sur le Golan".

Bases US (DEBKAfile)
Mais le plan de guerre américano-israélien a décidément du plomb dans l'aile : un soutien militaire aérien à Israël ne suffira pas à contrer une riposte d'envergure de la Résistance qui inclurait à la fois la Syrie, l'Irak, le Liban, mais aussi et surtout Gaza et la Cisjordanie. Si une confrontation venait à éclater, le front sud, le front nord et le front intérieur israélien sera embrasé.
Lundi 25 mars, un avant-goût de ce que le régime de Tel-Aviv aura à subir a été donné par les combattants palestiniens qui ont tiré deux missiles de haut précision contre une dizaines colonies sionistes du nord de Tel-Aviv. Depuis les abris sous-terrain sont ouverts. Le secrétaire général du Hezbollah a affirmé au mois de décembre que la Résistance possédait des missiles de haute précision qui sauront bien choisir leur cible.

Le problème, ce n’est pas Netanyahu mais les Israéliens
26 Mar 2019

Alors que les élections approchent et que Benyamin Netanyahu se présente pour un nouveau mandat, de plus en plus de voix s’élèvent pour critiquer le Premier ministre israélien. La politique aurait dérivé vers l’extrême-droite sous la barre de ce provocateur raciste. Pour le journaliste et écrivain Gideon Levy, faire porter le chapeau à Netanyahu est trop facile et trompeur. “L’apartheid n’a pas commencé avec lui et ne finira pas avec son départ“, écrit le pacifiste israélien.
Ce n’est pas le Premier ministre Benyamin Netanyahu, ou du moins pas seulement lui. On ne peut pas blâmer une personne, aussi influente et puissante soit elle, pour tous les maux. C’est pourtant ce que font ses adversaires et ses ennemis. Selon eux, le racisme, le nationalisme extrême, les divisions, les provocations, la haine, l’anxiété et la corruption… Tout cela est dû à Netanyahu.
Mais ce n’est pas le cas. Ses péchés sont innombrables et le mal qu’il a fait incommensurable. Ce serait merveilleux de l’avoir hors de nos vies. Mais le blâmer pour tout est trompeur, c’est se défiler devant les responsabilités.
Si Netanyahu est la cause de tous ces maux, alors nous pourrions tout simplement nous débarrasser de lui, et tout rentrerait dans l’ordre. Ce n’est pas le cas. Si Netanyahu est à blâmer pour tout, alors nous n’avons rien à voir avec la situation actuelle. Ce n’est pas le cas. Netanyahu a causé de gros dégâts, mais derrière lui se trouvent une nation, des électeurs et d’autres élus, pour la plupart pas très différents de lui, ainsi qu’un public, une société et des médias. La responsabilité leur incombe tout autant, sinon plus.
Pour le dire simplement, le problème, c’est le peuple. Netanyahu a des électeurs. Il y a ceux qui votent dans son sens. Il y a ceux qui ont détesté les Arabes bien avant Netanyahu. Il y a ceux qui méprisent les Noirs, détestent les étrangers, exploitent les faibles et regardent de haut le monde entier – et ce n’est pas à cause de Netanyahu. Il y a ceux qui croient qu’ils sont le peuple élu et méritent donc tout.
Il y a ceux qui pensent qu’après l’Holocauste, ils sont autorisés à faire n’importe quoi. Certains croient qu’Israël est au top mondial dans tous les domaines, que le droit international ne s’applique pas à lui et que personne ne peut lui dire quoi faire.
Il y a ceux qui pensent que les Israéliens sont des victimes – toujours des victimes, les seules victimes – et que le monde entier est contre nous. Il y a ceux qui sont convaincus qu’Israël est autorisé à faire n’importe quoi, simplement parce que c’est possible.
Il y a ceux qui ne croient qu’en la force de l’épée. Il y a ceux qui défendent l’agression, dans les territoires et sur les routes, et qui ne connaissent aucune autre langue. Il y a des niveaux d’ignorance sans précédent.
Le lavage de cerveau a atteint des niveaux inconnus dans une démocratie. Netanyahu est-il responsable de tout cela ? Allons…
Le problème est l’atmosphère, l’esprit du temps, les valeurs et les conceptions qui s’y sont enracinées au cours de plusieurs décennies de sionisme.
Netanyahu ne les a pas semés et ils ne seront pas déracinés quand il partira. Le racisme et la xénophobie sont profondément enracinés ici, beaucoup plus profondément que n’importe quel Netanyahu. Comment cela pourrait-il être attribué à l’homme de Balfour Street alors que tout a commencé bien avant qu’il ne soit choisi comme envoyé à Washington ?
L’apartheid n’a pas commencé avec lui et ne finira pas avec son départ ; il ne sera probablement même pas éraflé. L’un des pays les plus racistes au monde ne peut pas se plaindre du racisme de son Premier ministre.
Lorsque le débat public est dominé par la droite, est-ce à cause de Netanyahu ? Quand les médias sont dominés par un seul récit, dans lequel la droite devient le centre, est-ce sa faute ? Dans quelle mesure peut-on écarter les souhaits, les croyances, les valeurs et les choix d’un peuple ? Comment est-ce que tout cela peut être imputé à un seul politicien ?
Qu’il n’y ait pas d’alternative idéologique n’a rien à voir avec Netanyahu.
Que la campagne électorale ne traite que de sottises, ce n’est pas à cause de lui. Ce n’est pas sa faute si le centre-gauche a peur d’ouvrir la bouche.
Netanyahu est la meilleure chose qui puisse arriver à la politique israélienne – vous pouvez tout lui mettre sur le dos ; c’est un provocateur qui sème la peur et propage des mensonges. Mais il y a trop de gens pour acheter ce qu’il vend et ses adversaires sont trop peu nombreux. Ne faites pas de lui le bouc émissaire – nous sommes à blâmer.
Le problème n’est pas Netanyahou, mais l’admiration qu’il suscite et le vide d’opposition qui l’entoure. La provocation est pour le faible. Si les Israéliens sont si facilement influencés par leur Premier ministre, le problème c’est eux, pas lui. Netanyahu, que les gens désignent comme cynique, distille son poison dans des endroits où il sait qu’il sera capable de le répandre facilement.
Ce serait formidable si un Nelson Mandela local apparaissait, un dirigeant courageux avec une vision qui changerait les valeurs fondamentales du pays et dirigerait une révolution. Mais aucune personne de ce genre n’est née ici et il est peu probable qu’elle ne le soit jamais. Je souhaite que Netanyahu disparaisse. Mais ne dites pas qu’il a tout ruiné et qu’une fois qu’il sera parti, tout s’épanouira. Netanyahu est Israël, et Israël est Netanyahu, même si Benny Gantz lui succède.
Source originale: Hareetz
Comment le Hezbollah renforce la précision de ses missiles?
Thu Feb 28, 2019

Le journal israélien Haaretz a prétendu dans un article faisant référence à deux informations venant des services de renseignement israéliens que l’Iran transférait via de petites valises le matériel nécessaire à améliorer la précision des missiles et des roquettes du Hezbollah libanais.
Selon Haaretz, les deux rapports des services de renseignement israéliens affirment donc que l’Iran transfère les moyens d’améliorer la précision des missiles du Hezbollah en utilisant des bagages à main qui transitent par le territoire syrien.
Sur la base de ces rapports, ces outils sont basés sur des systèmes de positionnement par satellite (GPS) et conçus pour améliorer la précision des missiles. Les kits ne seraient pas plus gros qu’une valise de cabine et pourraient selon les Israéliens passer facilement « en contrebande » à bord d’un avion.
L’Iran tente généralement d’améliorer le missile Zelzal, dont la portée est supérieure à 200 kilomètres, écrit la source qui ajoute que selon les services de renseignement israéliens, l’organisation libanaise (Hezbollah) aurait environ 14 000 de ces missiles.
Tel-Aviv frappé par des missiles
Mar 25, 2019 07:07 UTC

Le Premier Ministre israélien affirmait dimanche et très ostensiblement ne pas hésiter à frapper Gaza, même en période électorale. Ce qu'il a fait afin d'être élu et reconduit.
Il croyait ainsi répondre à celles des critiques qui soulignent non sans raison sa perte de vitesse dans tous les sondages d'opinion, perte liée à une vague de mécontentement croissante au sein des colonies sionistes.
Sur cette base, le régime israélien s'est payé le luxe cette semaine de s'en prendre à plusieurs reprises à Gaza, et à y frapper des sites appartenant à la Résistance. Ainsi, l’artillerie israélienne est entrée en activité pour viser dimanche, accompagnée de chasseurs israéliens, l'est de Beit Hanoun. L'armée israélienne a de plus confirmé avoir mené des frappes contre la bande de Gaza et blessé trois membres de la Résistance palestinienne. Les chasseurs voulaient se venger des "ballons incendiaire". De la même façon, une base de la Résistance a été prise pour cible, toujours au cours de cette même journée de dimanche, dans la région de Juhor al-Dik. Un total donc de cinq frappes aériennes ont été lancées lundi par l'artillerie et les chasseurs du régime israélien en à peine 24 heures. Mais, c'était sans compter avec la ferme réponse de la Résistance qui avait d'ailleurs mis en garde contre ces manœuvres électoralistes signées Netanyahu.
La presse israélienne a fait état d'une frappe aux missiles ce lundi tôt dans la matinée contre le nord de Tel-Aviv, attaque qui a fait sept blessés. L'AP affirme que deux roquettes en provenance de Gaza ont provoqué d'importantes explosions lundi matin 25 mars dans les villes de Tira et Moshav Mishmeret, dans la région de Sharon au centre d'Israël, situé au nord de Tel Aviv. Sept personnes ont été blessées au cours de cette attaque qui a visé "avec une haute précision" les domiciles des colons à Moshav. Les explosions ont déclenché les sirènes d'alertes dans les régions de Sharon et de la vallée de Hefer, notamment Rosh Ha'Ayin, Afek, Kfar Saba, Neve Yamin, Lev Hashon, Ain Vered, Pardesiya Qalanswa, Ramat Hakovesh et Tel Mond, affirme l'AP sans évoque la panique provoqué au sein de toutes ces colonies qui votent traditionnellement Likoud. Toujours selon cette information, les colonies sont en état d'alerte maximal.
Dans un communiqué les groupes de Résistance avait mis en garde le régime israélien contre une escalade de tension à l'approche du premier anniversaire du marche du Grand retour le 31 mars. Aucune information n'a été communiqué sur la réactivation des batteries de missile Dôme de fer.
Cette flambée de colère anti-sioniste touche aussi les prisons israéliennes. Selon Al Mayadeen, un officier israélien a été pris pour cible d'une attaque au couteau des prisonniers palestiniens en colère à la prison israélien d'Al-Naqab. Signe qu'outre la Cisjordanie et Ramallah, la situation est particulièrement tendue dans les prisons, soit au coeur même de l'appareil sécuritaire israélien. L'officier a été grièvement blessé. Peu après, les brigades de mort israéliennes ont pris d'assaut diverses sections de la prison, se livrant à la persécution des prisonniers. 16 palestiniens ont du être transféré à l'hôpital des suites de graves blessures. La révolte a été si intense que les israéliens ont été contraints de faire appel aux hélicoptères de combat pour tirer sur les détenus. Al Hadeeth évoque la prise en otage de plusieurs gardiens de prison israélien.
Ces évolutions interviennent alors que Netanyahu dit attendre le décret de la reconnaissance de l'occupation israélienne du Golan dès lundi, croyant ainsi pouvoir élargir ses chances de victoire.