WWIII : LA FRANCE N'EST PLUS LE PAYS DE LA LIBERTE D'EXPRESSION, DES DROITS DE L'HOMME MAIS CELUI DE LA REPRESSION ET DU NAZISME OTANUSIEN ET EUROPEEN.
WWIII : LA FRANCE N'EST PLUS LE PAYS DE LA LIBERTE D'EXPRESSION, DES DROITS DE L'HOMME MAIS CELUI DE LA REPRESSION ET DU NAZISME
WWIII : LA FRANCE N'EST PLUS LE PAYS DE LA LIBERTE D'EXPRESSION, DES DROITS DE L'HOMME MAIS CELUI DE LA REPRESSION ET DU NAZISME OTANUSIEN ET EUROPEEN. La France pays des droits de l'homme , rappelée a l'ordre par l'ONU pour ses violences policières a l'égard des gilets jaunes...Quelle honte? La justice de la Cour d'Appel de Versailles, confirme le droit de porter un voile islamique en entreprise, une décision lourde de conséquences. Après Notre-Dame, la conquête de l’islam se précise. Naulleau et Loiseau piaillent quand Zemmour évoque certaines réactions musulmanes ! N.-D. : Macron aurait tout à perdre si la piste de l’attentat musulman était confirmée.
Partager la publication "France : le gouvernement utilise pour la première fois des marqueurs chimiques et des nano-particules sur des manifestants".A leur insu, des Gilets Jaunes et des passants sont devenus des cobayes pour la première expérimentation mondiale sur des humains de nano-particules et de marqueurs chimiques dont l’effet sur les organismes biologiques est encore très mal connu.
Pour le gouvernement français, il s’agit de « produits de marquage chimique codé » inoffensifs qui imprègnent la peau, les cheveux et les vêtements des personnes visées pour une durée variant entre plusieurs semaines et des dizaines d’années.
Officiellement cette technologie floue n’a jamais été utilisée contre des êtres humains.
Cependant, des informations précises recueillies auprès de certains professionnels de la sécurité indiquent que lors de l’Acte XVIII des Gilets Jaunes, des canons à eau et des gaz contenant des marqueurs d’ADN et des nano-particules ont été utilisés contre les manifestants sans que ces derniers n’en aient été avertis au préalable.
Outre les marqueurs chimiques et les nano-particules dont on connaît très mal les effets sur la santé humaine, l’adjonction de nouvelles substances psychotropes aux gaz CS s’assimile à une véritable expérimentation à grande échelles de nouvelles techniques de contrôle social similaires à celles des pires dystopies des films et romans de science-fiction.
Ces « armes à ADN » développés en Grande-Bretagne et largement utilisés en Israël contiennent des substances chimiques et biologiques dont la nocivité sur la santé humaine a été délibérément ignorée, notamment en Israël ou des détenus palestiniens affirment avoir contracté divers types de cancers suite à leur marquage ADN ou l’usage d’autres techniques de contrôle impliquant des nano-particules susceptibles d’avoir endommagé le matériel génétique des cellules de leurs organismes.
Le gouvernement français a reconnu avoir utilisé des marqueurs chimiques sur des manifestants à titre d’expérimentation lors des manifestations du 1er mai 2018. Or les populations auraient du être averties qu’elles allaient faire l’objet d’expériences interdites.
Pour les défenseurs de tels procédés, les produits de marquage ADN ou ARN ne représentent aucun danger mais leur propos ne sont étayés par aucune évidence scientifique.
On sait que l’impact de la plupart des produits biochimiques utilisées par ou sur l’homme ne peut être décelé qu’après des années puisque la plupart des études non positives sont systématiquement censurées par les grandes compagnies de l’industrie chimique.
L’usage des substances psychotiques pour le contrôle des manifestations et des émeutes urbaines s’est révélé bien plus dangereux sûr le terrain.
En 2014, les forces de maintien de l’ordre en Ukraine ont expérimenté des bombes à gaz contenant du LSD fournies par une société israélienne sur des manifestants à Kiev et le résultat fut catastrophique : les manifestants ciblés sont devenus bien plus agités et violents et certains ont commencé à avoir des convulsions violentes avant de se lancer à corps perdus vers les véhicules de police, nécessitant l’usage de balles réelles pour les arrêter.
Au Brésil, la police a expérimenté dès 2016 des substances chimiques sensées calmer les émeutiers mais l’expérience tourna mal et la police avait fini par réduire les violences par l’usage d’armes de guerre. En réalité, la substance utilisée ressemblait à une drogue neurotoxique extrêmement dangereuse qui avait un impact direct sur le système nerveux.
En Israël, certains gaz utilisés contre les manifestants contiennent outre des perturbateurs endocriniens, des substances hallucinogènes et du LSD afin de rendre les manifestants plus violents par effet recherché afin de justifier l’usage des snipers et des tirs de très haute vélocité (balles en alliage spécial pouvant avoir une vitesse initiale de 1200 m/seconde).
Les gaz utilisés en France pour le maintien de l’ordre incluent le CS ((2-chlorobenzylidene malononitrile), des irritants mais depuis peu des neurotoxiques pouvant profondément altérer les capacités de perception et de conscience.
D’autres types de nano-particules sont de plus en plus utilisés dans le maintien de l’ordre mais leur usage reste secret car même les policiers qui les utilisent ne savent pas toujours la nature de l’arme non-létale qu’ils utilisent.
Avec les marquages chimiques des individus, nos sociétés viennent de franchir un pas supplémentaire dans le contrôle totalitaire de l’individu, jusqu’aux racines de ses cheveux et son ADN.
La France est-elle encore le pays des droits de l’homme ?
Que disent les classements internationaux sur le degré de liberté existant en France ?
Vous aimez cet article ? Partagez le !
Par Alex Korbel.
Il est réconfortant pour beaucoup de Français de se dire que ce beau pays est la patrie des droits de l’Homme, phare des Lumières, avant-garde de la Liberté, surtout dans les moments où un affreux doute nous assaille.
Mais est-ce vrai ?
Comment la France est-elle aujourd’hui classée par rapport aux autres pays en termes de libertés humaines ?
Liberté de la presse : 35ème position
La France est en 36ème position selon le classement 2013 de Freedom House et en 37ème position selon le classement 2018 de Reporters Sans Frontières.
Libertés civiles : 29ème position
La France est en 29ème position selon le classement 2011 du Democracy Index de l’Economist Intelligence Unit.
Libertés économiques : 40ème position
La France est en 57ème position selon le classement 2016 de l’Institut Fraser et en 62ème position selon le classement 2013 de la Fondation Heritage.
Liberté (en général) : 33ème position
La France est en 33ème position selon le classement 2012 « Free the world » de l’Institut Fraser.
Que les anti-libéraux de tous poils se rassurent donc, la France n’est pas ce pays où l’air rend plus libre.
Et que les autres, en voyant que les pays les plus libres sont presque tous des voisins européens (Luxembourg, Belgique, Suisse, Finlande, Suède, etc.), se demandent si les Français ne méritent pas un meilleur respect de leurs droits et de leurs libertés.
France: des experts de l'ONU dénoncent des restrictions graves aux droits des "gilets jaunes"
NEW YORK (Nations Unies), 14 février (Xinhua) -- Le droit de manifester en France a été restreint de manière disproportionnée lors des manifestations récentes des "gilets jaunes" et les autorités devraient repenser leurs politiques en matière de maintien de l'ordre pour garantir l'exercice des libertés, selon un groupe d'experts des droits de l'homme des Nations Unies.
"Depuis le début du mouvement de contestation en novembre 2018, nous avons reçu des allégations graves d'usage excessif de la force. Plus de 1.700 personnes auraient été blessées à la suite des manifestations dans tout le pays", ont déclaré ces experts dans un communiqué publié jeudi.
Ce groupe d'experts comprend Seong-Phil Hong, Président-Rapporteur du Groupe de travail sur la détention arbitraire, Michel Forst, Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l'homme, et Clément Nyaletsossi Voule, Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d'association.
Selon eux, "les restrictions imposées aux droits ont également entraîné un nombre élevé d'interpellations et de gardes à vue, des fouilles et confiscations de matériel de manifestants, ainsi que des blessures graves causées par un usage disproportionné d'armes dites 'non-létales' telles que les grenades et les lanceurs de balles de défense ou flashballs".
"Garantir l'ordre public et la sécurité dans le cadre de mesures de gestion de foule ou d'encadrement des manifestations implique la nécessité de respecter et de protéger les manifestants qui se rendent pacifiquement à une manifestation pour s'exprimer ", ont souligné les experts.
De plus, les experts ont exprimé leurs vives préoccupations quant à une proposition de loi visant prétendument à prévenir les violences lors de manifestations et à sanctionner leurs auteurs.
Ils ont encouragé "la France à repenser ses politiques en matière de maintien de l'ordre et encourageons les autorités françaises à ouvrir des voies de dialogue afin d'atténuer le niveau de tension et de reconnaître le rôle important et légitime que les mouvements sociaux jouent dans la gouvernance".
Chère Madame, Cher Monsieur,
Après la loi liberticide sur les Fake news, le chef de l’Etat continue de tisser sa toile pour aller encore plus loin dans le contrôle de l’information en France.
Le politiquement correct gangrène déjà l’info diffusée par la plupart des médias subventionnés mais, pour Emmanuel Macron, ce n’est pas encore assez.
En janvier dernier, il avait évoqué sa volonté de développer une information “neutre” que “l’Etat doit financer”. Ahurissant !
Son projet : “Financer des structures qui assurent la neutralité” avec dans les rédactions... des journalistes rémunérés par l'Etat pour la “vérification de l’information”.
Autrement dit, c'est la surveillance et le contrôle de l’information par l’Etat, avec des médias “autorisés” et “vérifiés”, rémunérés sur fonds publics et chargés de distiller la bonne parole pour répandre la “vérité” d’Etat.
Et le président de la République est déterminé à faire avancer son projet à toute vitesse. Il a commandé un rapport, qui vient d’être publié, pour la “création d’une instance d’autorégulation et de médiation de l’information”.
En clair, c’est la création d’un comité de censure officiel, avec les “bons” médias obéissants, soumis au contrôle de l’instance et recourant à l’autocensure pour bénéficier de financements publics et de l'agrément de l’Etat.
Ce projet est une attaque sans précédent sur la liberté de l'information en France.
Mais ensemble, avec Boulevard Voltaire, nous avons le pouvoir de résister !
Car la seule solution pour que, demain, les Français puissent encore trouver une information non verrouillée par le pouvoir politique, c’est de donner à Boulevard Voltaire, votre média indépendant, dont les choix éditoriaux sont totalement libres, les moyens de produire et de diffuser la contre-information éradiquée de la plupart des autres médias sous la coupe de l’Etat.
C'est pour garantir cette liberté et cette autonomie que nous ne recevons pas de subventions, publiques ou privées. Nous ne voulons pas mettre le journal entre les mains de l'Etat, ni d'actionnaires ou de pays étrangers, comme c'est le cas des plus grands journaux français – qui sont désormais aux ordres de leurs commanditaires.
Nous mettons un peu de publicité sur le site, mais les recettes sont marginales et ne nous permettent pas de financer les frais de logistique, ni de dédommager les permanents qui passe 10h par jour, weekend compris, pour vous permettre de lire des articles de qualité chaque matin.
Tout ce que nous avons fait jusque-là pour maintenir et développer Boulevard Voltaire, et donner de l'information alternative gratuite et de qualité à plus d'un million et demi de personnes, nous le devons au soutien engagé de citoyens, comme vous, qui ont à cœur de lutter contre les mensonges du politiquement correct et rétablir une véritable liberté d'expression et d'opinion en France.
Aujourd'hui, nous voulons vous proposer de rejoindre le mouvement, et de contribuer, par votre don, à développer Boulevard Voltaire.
Nous devons, très vite, renforcer et développer au maximum le sanctuaire de l'information indépendante que nous avons bâti sur Boulevard Voltaire et le faire connaître au plus grand nombre de personnes possible. C'est vital pour la liberté de l'information des Français.
Mais pour y arriver, nous avons besoin de vous !
C'est pourquoi nous nous permettons de vous demander, à vous, lecteur de Boulevard Voltaire, de nous aider par votre don à produire et à diffuser, plus largement encore, une information libre, non censurée par le politiquement correct, non contrôlée par le pouvoir politique.
Vous pouvez soutenir Boulevard Voltaire par un don de 30 euros par exemple. Vous pouvez aussi décider de vous engager plus avant dans notre action pour la liberté de l'information, et de donner 50 euros, 100 euros, ou même plus.
C'est vous seul qui décidez du montant que vous souhaitez dédier à ce combat pour contrer la mainmise de l'Etat sur l'information donnée aux Français.
Nous avons préparé une page spéciale où vous pouvez choisir de faire un don par carte bleue, par chèque, par Paypal ou par prélèvement, du montant de votre choix.
Vous êtes totalement libre de choisir de soutenir Boulevard Voltaire ou non. Mais sachez qu'un média de cette taille ne peut pas survivre sans un minimum de moyens financiers.
Alors, si c'est possible, aidez-nous à renforcer Boulevard Voltaire. C’est la seule alternative pour contrer la mainmise de l’Etat sur l’info.
Merci par avance pour votre soutien.
Bien à vous,
L'équipe de Boulevard Voltaire
Les 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
Agnès Larcin·Jeudi 6 décembre 2018

2. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.
2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d’après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicableau moment où l’acte délictueux a été commis.
2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.
2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas depoursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.
2. Le mariage ne peut être conclu qu’avec le libre et plein consentement des futurs époux.
3. La famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.
2. Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association.
2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays.
3. La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.
2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
4. Toute personne a le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.
2. La maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu’ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.
2. L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner.
2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l’auteur.
- Dans l’exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n’est soumis qu’aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d’assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d’autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l’ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.
- Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.