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WWIII : LA FRANCE N'EST PLUS LE PAYS DE LA LIBERTE D'EXPRESSION, DES DROITS DE L'HOMME MAIS CELUI DE LA REPRESSION ET DU NAZISME OTANUSIEN ET EUROPEEN.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : LA FRANCE N'EST PLUS LE PAYS DE LA LIBERTE D'EXPRESSION, DES DROITS DE L'HOMME MAIS CELUI DE LA REPRESSION ET DU NAZISME

France-liberte

WWIII : LA FRANCE N'EST PLUS LE PAYS DE LA LIBERTE D'EXPRESSION, DES DROITS DE L'HOMME MAIS CELUI DE LA REPRESSION ET DU NAZISME OTANUSIEN ET EUROPEEN. La France pays des droits de l'homme , rappelée a l'ordre par l'ONU pour ses violences policières a l'égard des gilets jaunes...Quelle honte? La justice de la Cour d'Appel de Versailles, confirme le droit de porter un voile islamique en entreprise, une décision lourde de conséquences. Après Notre-Dame, la conquête de l’islam se préciseNaulleau et Loiseau piaillent quand Zemmour évoque certaines réactions musulmanes ! N.-D. : Macron aurait tout à perdre si la piste de l’attentat musulman était confirmée.

France : le gouvernement utilise pour la première fois des marqueurs chimiques et des nano-particules sur des manifestants

marqueurs-chimiques-GJ

Partager la publication "France : le gouvernement utilise pour la première fois des marqueurs chimiques et des nano-particules sur des manifestants".A leur insu, des Gilets Jaunes et des passants sont devenus des cobayes pour la première expérimentation mondiale sur des humains de nano-particules et de marqueurs chimiques dont l’effet sur les organismes biologiques est encore très mal connu.

Pour le gouvernement français, il s’agit de « produits de marquage chimique codé » inoffensifs qui imprègnent la peau, les cheveux et les vêtements des personnes visées pour une durée variant entre plusieurs semaines et des dizaines d’années.

Officiellement cette technologie floue n’a jamais été utilisée contre des êtres humains.

Cependant, des informations précises recueillies auprès de certains professionnels de la sécurité indiquent que lors de l’Acte XVIII des Gilets Jaunes, des canons à eau et des gaz contenant des marqueurs d’ADN et des nano-particules ont été utilisés contre les manifestants sans que ces derniers n’en aient été avertis au préalable.

marqueurs chimiques 20190321

Outre les marqueurs chimiques et les nano-particules dont on connaît très mal les effets sur la santé humaine, l’adjonction de nouvelles substances psychotropes aux gaz CS s’assimile à une véritable expérimentation à grande échelles de nouvelles techniques de contrôle social similaires à celles des pires dystopies des films et romans de science-fiction.

Ces « armes à ADN » développés en Grande-Bretagne et largement utilisés en Israël contiennent des substances chimiques et biologiques dont la nocivité sur la santé humaine a été délibérément ignorée, notamment en Israël ou des détenus palestiniens affirment avoir contracté divers types de cancers suite à leur marquage ADN ou l’usage d’autres techniques de contrôle impliquant des nano-particules susceptibles d’avoir endommagé le matériel génétique des cellules de leurs organismes.

Le gouvernement français a reconnu avoir utilisé des marqueurs chimiques sur des manifestants à titre d’expérimentation lors des manifestations du 1er mai 2018. Or les populations auraient du être averties qu’elles allaient faire l’objet d’expériences interdites.

Pour les défenseurs de tels procédés, les produits de marquage ADN ou ARN ne représentent aucun danger mais leur propos ne sont étayés par aucune évidence scientifique.

bombes à gaz contenant du LSD 20190321

On sait que l’impact de la plupart des produits biochimiques utilisées par ou sur l’homme ne peut être décelé qu’après des années puisque la plupart des études non positives sont systématiquement censurées par les grandes compagnies de l’industrie chimique.

L’usage des substances psychotiques pour le contrôle des manifestations et des émeutes urbaines s’est révélé bien plus dangereux sûr le terrain.

En 2014, les forces de maintien de l’ordre en Ukraine ont expérimenté des bombes à gaz contenant du LSD fournies par une société israélienne sur des manifestants à Kiev et le résultat fut catastrophique : les manifestants ciblés sont devenus bien plus agités et violents et certains ont commencé à avoir des convulsions violentes avant de se lancer à corps perdus vers les véhicules de police, nécessitant l’usage de balles réelles pour les arrêter.

Au Brésil, la police a expérimenté dès 2016 des substances chimiques sensées calmer les émeutiers mais l’expérience tourna mal et la police avait fini par réduire les violences par l’usage d’armes de guerre. En réalité, la substance utilisée ressemblait à une drogue neurotoxique extrêmement dangereuse qui avait un impact direct sur le système nerveux.

En Israël, certains gaz utilisés contre les manifestants contiennent outre des perturbateurs endocriniens, des substances hallucinogènes et du LSD afin de rendre les manifestants plus violents par effet recherché afin de justifier l’usage des snipers et des tirs de très haute vélocité (balles en alliage spécial pouvant avoir une vitesse initiale de 1200 m/seconde).

Les gaz utilisés en France pour le maintien de l’ordre incluent le CS ((2-chlorobenzylidene malononitrile), des irritants mais depuis peu des neurotoxiques pouvant profondément altérer les capacités de perception et de conscience.

D’autres types de nano-particules sont de plus en plus utilisés dans le maintien de l’ordre mais leur usage reste secret car même les policiers qui les utilisent ne savent pas toujours la nature de l’arme non-létale qu’ils utilisent.

Avec les marquages chimiques des individus, nos sociétés viennent de franchir un pas supplémentaire dans le contrôle totalitaire de l’individu, jusqu’aux racines de ses cheveux et son ADN.

source:https://strategika51.org/archives/62007

 

La France est-elle encore le pays des droits de l’homme ? 

Que disent les classements internationaux sur le degré de liberté existant en France ? 

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Par Alex Korbel. 

Il est réconfortant pour beaucoup de Français de se dire que ce beau pays est la patrie des droits de l’Homme, phare des Lumières, avant-garde de la Liberté, surtout dans les moments où un affreux doute nous assaille. 

Mais est-ce vrai ? 

Comment la France est-elle aujourd’hui  classée par rapport aux autres pays en termes de libertés humaines ? 

Liberté de la presse : 35ème position 
 

La France est en 36ème position selon le classement 2013 de Freedom House et en 37ème position selon le classement 2018 de Reporters Sans Frontières. 

Libertés civiles : 29ème position 
 

La France est en 29ème position selon le classement 2011 du Democracy Index de l’Economist Intelligence Unit. 

Libertés économiques : 40ème position 
 

La France est en 57ème position selon le classement 2016 de l’Institut Fraser et en 62ème position selon le classement 2013 de la Fondation Heritage. 

France-clasement-2016

Liberté (en général) : 33ème position 
 

La France est en 33ème position selon le classement 2012 « Free the world » de l’Institut Fraser. 

Que les anti-libéraux de tous poils se rassurent donc, la France n’est pas ce pays où l’air rend plus libre. 

Et que les autres, en voyant que les pays les plus libres sont presque tous des voisins européens (Luxembourg, Belgique, Suisse, Finlande, Suède, etc.), se demandent si les Français ne méritent pas un meilleur respect de leurs droits et de leurs libertés. 

france-classement

France: des experts de l'ONU dénoncent des restrictions graves aux droits des "gilets jaunes" 

NEW YORK (Nations Unies), 14 février (Xinhua) -- Le droit de manifester en France a été restreint de manière disproportionnée lors des manifestations récentes des "gilets jaunes" et les autorités devraient repenser leurs politiques en matière de maintien de l'ordre pour garantir l'exercice des libertés, selon un groupe d'experts des droits de l'homme des Nations Unies. 

"Depuis le début du mouvement de contestation en novembre 2018, nous avons reçu des allégations graves d'usage excessif de la force. Plus de 1.700 personnes auraient été blessées à la suite des manifestations dans tout le pays", ont déclaré ces experts dans un communiqué publié jeudi. 

Ce groupe d'experts comprend Seong-Phil Hong, Président-Rapporteur du Groupe de travail sur la détention arbitraire, Michel Forst, Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l'homme, et Clément Nyaletsossi Voule, Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d'association. 

Selon eux, "les restrictions imposées aux droits ont également entraîné un nombre élevé d'interpellations et de gardes à vue, des fouilles et confiscations de matériel de manifestants, ainsi que des blessures graves causées par un usage disproportionné d'armes dites 'non-létales' telles que les grenades et les lanceurs de balles de défense ou flashballs". 

"Garantir l'ordre public et la sécurité dans le cadre de mesures de gestion de foule ou d'encadrement des manifestations implique la nécessité de respecter et de protéger les manifestants qui se rendent pacifiquement à une manifestation pour s'exprimer ", ont souligné les experts. 

De plus, les experts ont exprimé leurs vives préoccupations quant à une proposition de loi visant prétendument à prévenir les violences lors de manifestations et à sanctionner leurs auteurs. 

Ils ont encouragé "la France à repenser ses politiques en matière de maintien de l'ordre et encourageons les autorités françaises à ouvrir des voies de dialogue afin d'atténuer le niveau de tension et de reconnaître le rôle important et légitime que les mouvements sociaux jouent dans la gouvernance". 

Chère Madame, Cher Monsieur,

Après la loi liberticide sur les Fake news, le chef de l’Etat continue de tisser sa toile pour aller encore plus loin dans le contrôle de l’information en France.

Le politiquement correct gangrène déjà l’info diffusée par la plupart des médias subventionnés mais, pour Emmanuel Macron, ce n’est pas encore assez.

En janvier dernier, il avait évoqué sa volonté de développer une information “neutre” que “l’Etat doit financer”. Ahurissant !

Son projet : “Financer des structures qui assurent la neutralité” avec dans les rédactions... des journalistes rémunérés par l'Etat pour la “vérification de l’information”.

Autrement dit, c'est la surveillance et le contrôle de l’information par l’Etat, avec des médias “autorisés” et “vérifiés”, rémunérés sur fonds publics et chargés de distiller la bonne parole pour répandre la “vérité” d’Etat.

Et le président de la République est déterminé à faire avancer son projet à toute vitesse. Il a commandé un rapport, qui vient d’être publié, pour la “création d’une instance d’autorégulation et de médiation de l’information”.

En clair, c’est la création d’un comité de censure officiel, avec les “bons” médias obéissants, soumis au contrôle de l’instance et recourant à l’autocensure pour bénéficier de financements publics et de l'agrément de l’Etat.

Ce projet est une attaque sans précédent sur la liberté de l'information en France.

Mais ensemble, avec Boulevard Voltaire, nous avons le pouvoir de résister !

Car la seule solution pour que, demain, les Français puissent encore trouver une information non verrouillée par le pouvoir politique, c’est de donner à Boulevard Voltaire, votre média indépendant, dont les choix éditoriaux sont totalement libres, les moyens de produire et de diffuser la contre-information éradiquée de la plupart des autres médias sous la coupe de l’Etat.

C'est pour garantir cette liberté et cette autonomie que nous ne recevons pas de subventions, publiques ou privées. Nous ne voulons pas mettre le journal entre les mains de l'Etat, ni d'actionnaires ou de pays étrangers, comme c'est le cas des plus grands journaux français – qui sont désormais aux ordres de leurs commanditaires.

Nous mettons un peu de publicité sur le site, mais les recettes sont marginales et ne nous permettent pas de financer les frais de logistique, ni de dédommager les permanents qui passe 10h par jour, weekend compris, pour vous permettre de lire des articles de qualité chaque matin.

Tout ce que nous avons fait jusque-là pour maintenir et développer Boulevard Voltaire, et donner de l'information alternative gratuite et de qualité à plus d'un million et demi de personnes, nous le devons au soutien engagé de citoyens, comme vous, qui ont à cœur de lutter contre les mensonges du politiquement correct et rétablir une véritable liberté d'expression et d'opinion en France.
 
Aujourd'hui, nous voulons vous proposer de rejoindre le mouvement, et de contribuer, par votre don, à développer Boulevard Voltaire.

Nous devons, très vite, renforcer et développer au maximum le sanctuaire de l'information indépendante que nous avons bâti sur Boulevard Voltaire et le faire connaître au plus grand nombre de personnes possible. C'est vital pour la liberté de l'information des Français.

Mais pour y arriver, nous avons besoin de vous !

C'est pourquoi nous nous permettons de vous demander, à vous, lecteur de Boulevard Voltairede nous aider par votre don à produire et à diffuser, plus largement encore, une information libre, non censurée par le politiquement correct, non contrôlée par le pouvoir politique.

Vous pouvez soutenir Boulevard Voltaire par un don de 30 euros par exemple. Vous pouvez aussi décider de vous engager plus avant dans notre action pour la liberté de l'information, et de donner 50 euros, 100 euros, ou même plus.
 
C'est vous seul qui décidez du montant que vous souhaitez dédier à ce combat pour contrer la mainmise de l'Etat sur l'information donnée aux Français.

Nous avons préparé une page spéciale où vous pouvez choisir de faire un don par carte bleue, par chèque, par Paypal ou par prélèvement, du montant de votre choix.

Vous êtes totalement libre de choisir de soutenir Boulevard Voltaire ou non. Mais sachez qu'un média de cette taille ne peut pas survivre sans un minimum de moyens financiers.

Alors, si c'est possible, aidez-nous à renforcer Boulevard Voltaire. C’est la seule alternative pour contrer la mainmise de l’Etat sur l’info.

Merci par avance pour votre soutien.
 
Bien à vous,
 
L'équipe de Boulevard Voltaire

 

Les 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme

Agnès Larcin·Jeudi 6 décembre 2018

 

Préambule
Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,
Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme,
Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression,
Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations,
Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande,
Considérant que les États Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales,
Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement,
 
 
 
L’Assemblée générale
proclame la présente
Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des États Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction. 
Article 01
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.    
 
Article 02
1. Chacun peut se prévaloir de tous les droits etde toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
2. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.  
Article 03
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.  
Article 04
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.  
Article 05
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Article 06
Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.
Article 07
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.  
Article 08
Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.  
Article 09
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ni exilé.  
Article 10
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.  
Article 11
1. Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
2. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d’après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicableau moment où l’acte délictueux a été commis.  
Article 12
Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. 
Article 13
1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un État.
2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.  
Article 14
1. Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l’asile en d’autres pays.
2. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas depoursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.  
Article 15
1. Tout individu a droit à une nationalité.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.  
Article 16
1. À partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.
2. Le mariage ne peut être conclu qu’avec le libre et plein consentement des futurs époux.
3. La famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État.  
Article 17
1. Toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété.
2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.  
Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.  
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.  
Article 20
1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques.
2. Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association.  
Article 21
1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis.
2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays.
3. La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.  
Article 22
Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays.  
Article 23
1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
4. Toute personne a le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.  
Article 24
Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.  
Article 25
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d’invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
2. La maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu’ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.
Article 26
1. Toute personne a droit à l’éducation. L’éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l’enseignement élémentaire et fondamental. L’enseignement élémentaire est obligatoire. L’enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l’accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
2. L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner.   
Article 27
1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.
2. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l’auteur.  
Article 28
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.   
Article 29
L’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seul le libre et plein développement de sa personnalité est possible.
  1. Dans l’exercice de ses droits et dans la           jouissance de ses libertés, chacun n’est           soumis qu’aux limitations établies par           la loi exclusivement en vue d’assurer la           reconnaissance et le respect des droits           et libertés d’autrui et afin de satisfaire           aux justes exigences de la morale, de           l’ordre public et du bien-être général          dans une société démocratique.
  2. Ces droits et libertés ne pourront, en          aucun cas, s’exercer contrairement aux          buts et aux principes des Nations Unies.
Article 30
Aucune disposition de la présente         Déclaration ne peut être interprétée         comme impliquant, pour un État,         un groupement ou un individu, un droit         quelconque de se livrer à une activité         ou d’accomplir un acte visant à la         destruction des droits et libertés qui y         sont énoncés.