WWIII : LES MONDIALISTES TENTENT DE DETRUIRE LA CIVILISATION EN SIX MOIS, ALEX JONES TANDIS QUE NETANYAHU, LE ROI DES JUIFS TENTE D'IMPOSER SON NOUVEL ORDRE MONDIAL AU PRESIDENT POUTINE.
WWIII : LES MONDIALISTES TENTENT DE DETRUIRE LA CIVILISATION EN SIX MOIS, ALEX JONES TANDIS QUE NETANYAHU, LE ROI DES JUIFS TENTE D'IMPOSER SON NOUVEL ORDRE MONDIAL AU PRESIDENT POUTINE. DANS LE MÊME TEMPS, LES JUIFS ANTISIONISTES ULTRA-ORTHODOXE, CLAMENT LEUR REFUS AU GRAND ISRAËL, ET DISENT NE LE FAITES PAS AU NOM DES JUIFS, NE LE FAITES PAS EN NOTRE NOM! LA RUSSIE MET EN GARDE ISRAËL. BUNKER PALACES.
IRAN VENTES D'ARMES PAR LA RUSSIE. Netanyahu se serait déplacé le 4/4/2019 pour tenter de faire pression, voir même de faire du chantage, en disant qu'il détenait le pouvoir de Trump dans ses mains par l'intermédiaire de Jared Kouchner, le gendre Juif Orthodoxe, lié à Netanyahu. Ivanka Trump, la fille de Donald Trump a étudié le judaïsme pendant plusieurs années pour finalement se convertir de façon orthodoxe. Elle s’est mariée en 2009 à Jared Kushner, un Juif, petits-fils de survivants de la Shoah. Âgé de seulement trente-cinq ans, Jared Kushner a joué un rôle majeur dans la victoire de Trump aux élections américaines, il serait étrange, voir ingrat, de la part de Donald que Jared reste sur la touche sans faire partie de l’administration de son beau-père...
ON RAPPELE QUE LE PLAN DU GRAND ISRAËL A ETE CONFECTIONE ENTRE KUSHNER ET NETANYAHU, IL CONFERE AUX PALESTINIENS UNE PETITE PARTIE DU NEGEV SAOUDIEN, SANS ACCES A LA MER, ET SANS FRONTIERE AVEC ISRAËL. CE PLAN EST A L'EAU SI NETANYAHU DISPARAIT DU PAYSAGE POLITIQUE DANS LES ELECTIONS DU 9 AVRIL. https://www.youtube.com/watch?v=mkwQK665bfA
Netanyahu appelle Poutine à faire pression sur l'Iran pour le faire sortir de Syrie
(Persia Digest) - Le président russe Vladimir Poutine a rencontré jeudi à Moscou le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour discuter de la situation en Syrie et des moyens de renforcer la coopération.
Les deux dirigeants ont également abordé le rôle de l'Iran en Syrie.
Un responsable israélien a déclaré que Netanyahu avait appelé la Russie à user de son influence en Syrie pour empêcher l'Iran de s'assurer une présence durable dans le pays.
Poutine a souligné l'importance de maintenir la communication entre les deux pays. Quant à Netanyahu, il a invité Poutine en Israël en mai pour le dévoilement d'un monument sur Leningrad pendant la Seconde Guerre mondiale, cadeau significatif selon lui . "Nos militaires, ainsi que nos partenaires syriens, ont établi le lieu de son enterrement", a déclaré le président russe Vladimir Poutine. «Nous sommes très heureux qu’à la maison, ils puissent lui remettre les honneurs militaires nécessaires.»
on attendra encore quelques années le monument pour les 15 russes tués:https://youtu.be/b0tqvvOWYow
La visite de Netanyahu à Moscou était sa deuxième cette année.
Bien que les deux dirigeants n’aient pas révélé les détails de leurs discussions, les sources du Kremlin ont indiqué que les discussions portaient principalement sur la coopération militaire en Syrie.
Le conseiller aux affaires étrangères de Poutine, Yuri Ouchakov, a également déclaré aux journalistes qu'ils discutaient d'événements en Syrie mais que Netanyahu n'avait présenté aucun plan concret pour résoudre la crise syrienne.
Selon certaines informations, le Premier ministre israélien aurait appelé Poutine à avertir le Liban des plans iranien et du Hezbollah visant à construire une usine secrète produisant des armes.
"Nous discuterons des événements en Syrie ... et de la coordination régulière et spéciale entre nos armées ainsi que d'autres questions importantes pour Israël", a déclaré Netanyahu avant son départ pour Moscou.
Le principal sujet de discussion de Netanyahu et de Poutine était la recherche constante par l'Iran d'une structure militaire lui permettant d'ouvrir un front dans le nord-est du pays, a déclaré l'analyste militaire Ron Ben-Yishai, qui accompagnait Netanyahu à Moscou, a déclaré à Yedioth Ahronoth.
Le commandant de la Force Qods des Gardiens de la révolution iranienne, Qassem Soleimani, a répondu aux pressions russes précédentes et a déplacé les forces iraniennes de la frontière avec Israël, a déclaré Ben Yishai.
Dans le même temps, un haut responsable kazakh a déclaré que la prochaine série de pourparlers sur le règlement du conflit syrien au format Astana devrait avoir lieu à Nur-Sultan, capitale du Kazakhstan, les 25 et 26 avril.
Le Premier vice-ministre kazakh des Affaires étrangères, Mukhtar Tleuberdi, a déclaré: «Je me suis récemment rendu à Bruxelles à la conférence syrienne organisée par l'ONU et l'Union européenne. Le nouveau représentant spécial des Nations Unies pour la Syrie a exprimé son intérêt à participer au processus d'Astana. Sa participation est possible, bien sûr. "
En outre, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a souligné dans une interview que la guerre contre le terrorisme en Syrie "n'était pas encore terminée", soulignant la nécessité d'éliminer complètement les organisations terroristes.
"Il est important pour nous d'écraser complètement les foyers de terrorisme, et l'un des plus importants qui suscite l'inquiétude est Idlib, qui compte encore plusieurs milliers de terroristes", a-t-il ajouté.
Il a rappelé la proposition de Poutine dans son discours à l'ONU en 2015 sur la création d'un véritable front international de lutte contre le terrorisme.
M. Lavrov a déclaré que le dialogue contre le terrorisme avait été repris avec les États-Unis après de longues tentatives pour l'éviter, ajoutant que "nous reprendrions le dialogue avec l'Union européenne".
Source: ASHARQ AL AWSAT
La Russie a mis en garde Israël contre une nouvelle attaque contre la Syrie sans en être informée.
Le chef d'état-major des forces armées de la Fédération de Russie Valéri Guérassimov a déclaré, jeudi 4 avril lors d’une rencontre avec de hauts officiers de l’armée israélienne, que Tel-Aviv se devait de mettre au courant la Russie au sujet de toute attaque militaire contre la Syrie, a-t-on appris du quotidien israélien Yediot Aharonot.
Cette rencontre a eu lieu lors d’une visite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Moscou où il a rencontré Vladimir Poutine.
« Les parties russe et israélienne n’ont finalement trouvé aucun accord sur le sujet. Elles se sont également penchées sur le déploiement des S-300 russes en Syrie », indique le quotidien.
Yediot Aharonot ajoute que le déplacement de Netanyahu en Russie visait surtout à réparer les relations israélo-russes, notamment au niveau sécuritaire.
Par ailleurs, le conseiller du président russe Yuri Ushakov a déclaré qu’aucun « plan sur le papier » à propos de la Syrie n’a été remis à Vladimir Poutine lors de ses entretiens avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Il a ajouté que les évolutions en Syrie avaient été profondément discutées au cours des entretiens du jeudi 4 avril entre Benjamin Netanyahu et Vladimir Poutine, mais aucun « plan sur le papier » n’avait été remis par la partie israélienne.
Le quotidien israélien The Times of Israel avait auparavant rapporté que Benjamin Netanyahu avait remis un projet sur le retrait des forces iraniennes du sol syrien aux présidents russe et américain. Le quotidien israélien avait prétendu que M. Poutine avait montré de l'intérêt pour le plan israélien.
Jeudi 4 avril au soir, le Premier ministre israélien a déclaré, à l’issue de sa visite à Moscou, avoir convenu avec le président russe de la poursuite des coordinations entre les militaires russes et israéliens. Netanyahu a déclaré que « Tel-Aviv et Moscou suivent un objectif commun en Syrie qu’est le retrait de toutes les forces militaires étrangères ayant été déployées dans ce pays après le début de la guerre ».
D’autre part, Nikolaï Patrouchev, directeur du Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie, a rencontré son homologue israélien jeudi à Moscou. Les deux hommes ont discuté de la coopération russo-israélienne sur le plan sécuritaire et des évolutions en Syrie.
La Symphonie Rouge – Première partie : les Rothschild mènent la « Symphonie Rouge »
Aussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l’humanité est vraiment victime d’une conspiration diabolique.
Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant.
Une preuve choquante est un interrogatoire de 1938 mené par la police stalinienne (N.K.V.D.) de l’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovski, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline.
La transcription des 50 pages de son interrogatoire, surnommée «La Symphonie Rouge», n’était pas destinée à devenir publique. Il confirme que les Rothschild-Illuminati avaient prévu d’utiliser le Communisme pour établir une dictature mondiale des super-riches.
C’est peut-être le document politique le plus explosif de l’histoire moderne. Il révèle pourquoi les Illuminati ont créé Hitler et ensuite cherché à le détruire, et pourquoi Staline fit un pacte avec Hitler en 1939.
Christian Rakovski était un ancien initié Communiste. Né Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France avant de devenir un révolutionnaire. Il était le leader d’un groupe terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux.
En 1919, Lénine le mit en charge du gouvernement de l’Ukraine Soviétique. Il défendit avec succès la zone pour les bolchéviques pendant la guerre civile. Staline le nomma ambassadeur de Russie à Paris en 1925.
Rakovski appartenait à la puissante faction Trotskiste qui prenait ses ordres auprès des Rothschild. Beaucoup des membres de ce groupe ont été abattus par Staline en 1937 lors de la purge du Parti Communiste.
L’INTERROGATOIRE NOCTURNE
Les circonstances de l’interrogatoire dans la nuit du 26 janvier 1938 furent très dramatiques.
Que pouvait bien dire Rakovski pour sauver sa vie?
Rakovski semble avoir utilisé la tactique de «tromper en disant la vérité.» Il gagne la confiance en révélant la vérité, mais il en omet suffisamment. Il essaye d’impressionner son interrogateur sur le fait que lui et Trotski représentent une puissance invincible qu’il appelle «Internationale Financière Capitaliste-Communiste.»
Il confirme que le « mouvement révolutionnaire » a été conçu pour gagner du soutien en prétendant servir les idéaux moraux et collectif de l’humanité. Le but réel est cependant de donner un pouvoir mondial total aux banquiers en divisant la société et en sapant l’autorité établie.
La « Révolution » signifiait vraiment le «renversement» de la Civilisation Occidentale.
«La chrétienté est notre seul véritable ennemie puisque les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois n’en sont que ses conséquences», déclare Rakovski. (Griffin, 247)
La paix est «contre-révolutionnaire» puisque c’est la guerre qui ouvre la voie à la révolution.
Rakovski, dont la langue a été assouplie par une drogue douce mise dans son vin, se réfère aux Illuminati par «ils» ou «eux». Il en est membre bien qu’il ne fasse pas partie du cercle intérieur.
Il explique que les «Illuminati» sont une société secrète maçonnique vouée à l’accomplissement du Communisme. De manière significative, son fondateur Adam Weishaupt prit le nom de «la seconde conspiration anti-Chrétienne de cette ère, le gnosticisme.» (249)
COMMENT CE TÉMOIGNAGE CAPTIVANT NOUS EST PARVENU
L’interrogateur était un des plus habiles agents de Staline, Gavriil Kus’min connu sous le nom de « Gabriel ».
En dehors de lui et un technicien fiable caché, le docteur José Landowski était la seule autre personne présente.
Enrôlé par le N.K.V.D. pour l’aider «à délier les langues des détenus», le Dr. Landowski était écœuré par les nombreuses tortures dont il avait été témoin.
L’interrogatoire de Rakovski, cependant, fut cordial. Le Dr. Landowski doutait que le doux euphorisant qu’il avait versé dans le verre de Rakovski ait beaucoup d’effet.
L’interrogatoire, mené en français dura de minuit jusqu’à 7 heures du matin, Kus’min ordonna à Landowski de traduire l’entrevue en russe et d’en faire deux copies.
Le contenu était tellement ahurissant que Landowski en fit un carbone de plus pour lui-même. «Je ne suis pas fâché d’avoir eu le courage de faire ça», écrit-il. (279) (Les bolchéviques avaient tué le père de Landowski, un colonel tsariste, lors de la révolution de 1917.)
Un volontaire fasciste espagnol trouva plus tard le manuscrit sur le cadavre de Landowski dans une cabane sur le front de Petrograd pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il le ramena en Espagne où il fut publié sous le titre «Sinfonia en Rojo Mayo» En 1949.
Peter Myers a mis le texte complet de «The Red Symphony» en ligne. http://users.cyberone.com.au/myers/red-symphony.html
La transcription a été publiée en anglais en 1968 sous le titre «The Red Symphony : X-Ray of Revolution» (La Symphonie Rouge : une radiographie de la Révolution). Vous pouvez la trouver dans l’ouvrage de Des Griffin «Fourth Reich of the Rich» (1988) (Le quatrième Reich des riches). Je recommande ce livre et tout ce que cet homme brillant a écrit.
LES RÉVÉLATIONS
Rakovski donne à son interrogateur une vision étonnante de l’histoire moderne afin de prouver que ses commanditaires contrôlent le monde.
«L’argent est la base du pouvoir», dit Rakovski et les Rothschild le fabriquent grâce au système bancaire.
Le «Mouvement Révolutionnaire» était une tentative de Mayer Rothschild et de ses alliés de protéger et d’étendre ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire.
Selon Rakovski, «les Rothschild n’étaient pas les trésoriers mais les chefs secrets de ce premier Communisme… Marx et les plus hauts chefs de la Première Internationale… étaient contrôlés par le baron Lionel Rothschild [1808-1878] dont le portrait révolutionnaire fut réalisé par Disraeli le Premier Ministre anglais d’alors, qui était aussi sa créature, et nous fut transmis [dans le roman de Disraeli ‘Coningsby.’]» 250)
Nathaniel (1840-1915), le fils de Lionel, avait besoin de renverser la dynastie Chrétienne des Romanov. A travers ses agents Jacob Schiff et les frères Warburg, il finança les japonais dans la guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse à Moscou en 1905. Puis il fut l’instigateur de la Première Guerre mondiale (Trotski était derrière l’assassinat de l’archiduc Ferdinand) et finança la Révolution Bolchévique de 1917. Rakovski dit qu’il fut personnellement impliqué dans le transfert de fonds à Stockholm. (251-252)
Le mouvement ouvrier juif ou «Bund» fut l’instrument de Rothschild. La «faction secrète» du Bund infiltra tous les partis socialistes en Russie et en assura la direction pour la Révolution Russe. Alexandre Kerenski, le Premier ministre menchévik en était un membre secret. (253)
Léon Trotski était censé devenir le leader de l’U.R.S.S. Trotski, un Juif, a épousé la fille de l’un des plus proches collaborateurs de Rothschild, le banquier Abram Zhivotovsky et était devenu un membre du «clan».
Malheureusement, les Communistes «nationaux» comme Lénine (un quart juif) croisèrent sa route. Lénine rejeta Trotski et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan de Rothschild.
La Première Guerre mondiale était censée prendre fin de la façon dont la Seconde Guerre mondiale s’est terminée. La Russie était censée envahir l’Allemagne en 1918 et aider les révolutionnaires locaux à établir une «république populaire».
Trotski fut responsable d’une tentative d’assassinat de Lénine en 1918 mais Lénine survécut. Quand Lénine eut une attaque en 1922, Trotski chargea Levin, le médecin juif de Lénine, d’en finir avec lui.
À ce moment critique, l’inattendu se produisit. Trotski tomba malade et Staline fut en mesure de prendre le pouvoir. A ce moment crucial, les trotskistes prétendirent soutenir Staline et infiltrèrent son régime dans le but de le saboter.
Rakovski caractérise Staline comme un «bonapartiste», un nationaliste par opposition à un international Communiste comme Trotski.
«Il est un tueur de la révolution, il ne la sert pas, mais l’utilise à son service, il représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » (257)
CONTENIR STALINE
Afin de contrôler Staline, la finance internationale fut amenée à créer Hitler et le parti Nazi. Rakovski confirme que les financiers juifs soutinrent les Nazis alors même qu’Hitler n’était pas au courant de cela.
«L’ambassadeur Warburg [James Warburg] se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas sa race… Il mentit aussi sur qui il représentait… Notre but était de provoquer une guerre et Hitler était la guerre… [Les nazis] ont reçu… des millions de dollars envoyés par Wall Street, et des millions de marks par des financiers allemands par le biais de Schacht ; [subvenant] à l’entretien de la S.A. et des S.S. ainsi qu’au financement des élections…» (Pages 259-260)
Malheureusement pour les banquiers, Hitler s’est aussi montré rebelle. Il a commencé à imprimer sa propre monnaie!
«Il a pris pour lui-même le privilège de fabriquer la monnaie et non pas seulement la monnaie physique, mais aussi les outils financiers, il s’est approprié l’appareil de falsification encore intact pour le mettre à travailler pour le bénéfice de l’état… Etes-vous capable d’imaginer ce qu’il serait advenu… s’il avait gangrené un certain nombre d’autres Etats et conduit à la création d’une période d’autarcie [de règne indépendant absolu, remplaçant celui des banquiers]. Si vous le pouvez, imaginez alors ses fonctions contre-révolutionnaires … » (263)
Hitler était devenu une menace plus grande que Staline qui n’avait pas touché à l’argent. La mission actuelle de Rakovski était de convaincre Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner l’agression d’Hitler contre l’Occident. L’objectif était que l’Allemagne et les pays occidentaux s’épuisent les uns les autres avant qu’un autre front ne soit ouvert à l’Est.
[Selon Walter Kravitski, le chef du renseignement militaire soviétique en Europe qui fit défection à l’Ouest et fut plus tard assassiné en 1941, Staline était déterminé à faire un pacte avec Hitler dès 1934. Il n’avait aucun désir de combattre les Nazis. Est-il possible que Rakovski et ses commanditaires ne sachent pas cela? Kravitsky dans Au service secret de Staline (1939)]
Rakovski a exhorté les Russes à utiliser la tactique de «tromper en disant la vérité.» Les Russes devaient impressionner Hitler avec leur véritable désir de paix. Hitler ne devait pas soupçonner qu’il était en train d’être piégé et entrainé vers une guerre sur deux fronts.
Il fut donné un choix à Staline. S’il acceptait de partager la Pologne avec Hitler, l’Occident ne déclarerait la guerre qu’à un seul agresseur, l’Allemagne. S’il refusait, les banquiers aideraient Hitler à se débarrasser de lui.
Kus’min exigea quelque confirmation de haut niveau. Rakovski lui dit de voir Joseph Davies, l’ambassadeur américain à Moscou, un camarade franc-maçon et représentant de l’administration Internationale Communiste de Roosevelt.
Quelqu’un fut envoyé auprès de Davies qui confirma que «beaucoup serait à gagner» si Rakovski obtenait une amnistie. Le 2 mars 1938, un puissant message radio fut envoyé à Moscou par l’intermédiaire de son ambassade à Londres.
«Une amnistie ou le danger Nazi va grandir», disait-il. Davies assista au procès de Rakovski et lui fit un salut maçonnique. Le même jour le 12 mars 1938, Hitler marchait sur l’Autriche.
La condamnation à mort de Rakovski fut commuée. Certains croient qu’il vécu jusqu’à la fin de sa vie sous un faux nom. Une autre source indique qu’il fut tué en 1941.
Des négociations secrètes furent engagées avec Hitler. Le résultat fut le pacte Ribbentrop-Molotov signé en août 1939, juste une semaine avant l’invasion de la Pologne.
L’interrogatoire semble avoir créé un accord entre Staline et les Illuminati.
LA RUSSIE LUTTE ENTRE LES GRIFFES DE ROTHSCHILD
L’Europe et les États-Unis ont depuis longtemps succombé au contrôle Illuminati de Rothschild. En Russie, il y a encore quelques spasmes avant la mort.
En 2003, Vladimir Poutine a fait arrêter Mikhaïl Khodorkovski, à la tête de la plus importante compagnie pétrolière russe « Ioukos » et « l’homme le plus riche de Russie. »
Poutine a annoncé que la Russie allait saisir ses 12 milliards de dollars correspondant à 26% du capital de la compagnie pétrolière, l’un des nombreux actifs nationaux pillés au cours de la réorganisation du Communisme il y a 15 ans.
Ensuite, nous avons appris que les parts avaient déjà été transférées vers nul autre que Jacob Rothschild en vertu d’un «arrangement précédemment inconnu jusqu’alors» prévu pour une telle circonstance. Les deux compères se connaissaient depuis des années «par leur amour commun des arts.»
Rakovski avait dit à Kus’min que les Illuminati ne prennent jamais de positions politiques ou financières. Ils utilisent des «intermédiaires».
«Les banquiers et les politiciens ne sont que des hommes de paille… même s’ils occupent des places importantes et paraissent être les auteurs des plans qui sont menés… » (248-249)
Évidemment, Khodorkovski est un «intermédiaire» pour Rothschild. Tels sont aussi Richard Perle, Henry Kissinger et Ariel Sharon qui chacun s’exprimèrent contre l’action de Poutine. Perle, l’architecte de la guerre en Irak, a appelé à l’expulsion de la Russie du Groupe des Huit. Sharon exprima son inquiétude sur «la persécution des hommes d’affaires juifs». Khodorkovski est juif comme l’est Simon Kukës son successeur. Ainsi que Perle et tout comme Kissinger.
Beaucoup de juifs servent les Illuminati et c’est une des causes de l’antisémitisme. Mais Tony Blair et George W. Bush les servent aussi et ne sont pas juifs. La composition du groupe de Bilderberg et des Skull and Bones n’est la plupart du temps pas juive. Les Illuminati sont une alliance entre les Rothschild, et les super riches du monde unis par la franc-maçonnerie, dont le Dieu est Lucifer.
L’humanité, la magnifique expérience de Dieu, a été détournée et compromise. Du soldat américain en Irak, jusqu’au contribuable qui paie la dette nationale, nous sommes tous des pions.
La Symphonie Rouge : les Rothschild mènent la « Symphonie Rouge »
Aussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l’humanité est vraiment victime d’une conspiration diabolique.
Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n’étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d’un dessein malveillant.
Une preuve choquante est un interrogatoire de 1938 mené par la police stalinienne (N.K.V.D.) de l’un des fondateurs de l’Internationale Communiste, Christian G. Rakovski, 65 ans, qui était menacé d’exécution pour un complot visant à renverser Staline.
La transcription des 50 pages de son interrogatoire, surnommée «La Symphonie Rouge», n’était pas destinée à devenir publique. Il confirme que les Rothschild-Illuminati avaient prévu d’utiliser le Communisme pour établir une dictature mondiale des super-riches.
C’est peut-être le document politique le plus explosif de l’histoire moderne. Il révèle pourquoi les Illuminati ont créé Hitler et ensuite cherché à le détruire, et pourquoi Staline fit un pacte avec Hitler en 1939.
Christian Rakovski était un ancien initié Communiste. Né Chaim Rakeover en 1873, il étudia la médecine en France avant de devenir un révolutionnaire. Il était le leader d’un groupe terroriste qui attaquait les officiels gouvernementaux.
En 1919, Lénine le mit en charge du gouvernement de l’Ukraine Soviétique. Il défendit avec succès la zone pour les bolchéviques pendant la guerre civile. Staline le nomma ambassadeur de Russie à Paris en 1925.
Rakovski appartenait à la puissante faction Trotskiste qui prenait ses ordres auprès des Rothschild. Beaucoup des membres de ce groupe ont été abattus par Staline en 1937 lors de la purge du Parti Communiste.
L’INTERROGATOIRE NOCTURNE
Les circonstances de l’interrogatoire dans la nuit du 26 janvier 1938 furent très dramatiques.
Que pouvait bien dire Rakovski pour sauver sa vie?
Rakovski semble avoir utilisé la tactique de «tromper en disant la vérité.» Il gagne la confiance en révélant la vérité, mais il en omet suffisamment. Il essaye d’impressionner son interrogateur sur le fait que lui et Trotski représentent une puissance invincible qu’il appelle «Internationale Financière Capitaliste-Communiste.»
Il confirme que le « mouvement révolutionnaire » a été conçu pour gagner du soutien en prétendant servir les idéaux moraux et collectif de l’humanité. Le but réel est cependant de donner un pouvoir mondial total aux banquiers en divisant la société et en sapant l’autorité établie.
La « Révolution » signifiait vraiment le «renversement» de la Civilisation Occidentale.
«La chrétienté est notre seul véritable ennemie puisque les phénomènes politiques et économiques des états bourgeois n’en sont que ses conséquences», déclare Rakovski. (Griffin, 247)
La paix est «contre-révolutionnaire» puisque c’est la guerre qui ouvre la voie à la révolution.
Rakovski, dont la langue a été assouplie par une drogue douce mise dans son vin, se réfère aux Illuminati par «ils» ou «eux». Il en est membre bien qu’il ne fasse pas partie du cercle intérieur.
Il explique que les «Illuminati» sont une société secrète maçonnique vouée à l’accomplissement du Communisme. De manière significative, son fondateur Adam Weishaupt prit le nom de «la seconde conspiration anti-Chrétienne de cette ère, le gnosticisme.» (249)
COMMENT CE TÉMOIGNAGE CAPTIVANT NOUS EST PARVENU
L’interrogateur était un des plus habiles agents de Staline, Gavriil Kus’min connu sous le nom de « Gabriel ».
En dehors de lui et un technicien fiable caché, le docteur José Landowski était la seule autre personne présente.
Enrôlé par le N.K.V.D. pour l’aider «à délier les langues des détenus», le Dr. Landowski était écœuré par les nombreuses tortures dont il avait été témoin.
L’interrogatoire de Rakovski, cependant, fut cordial. Le Dr. Landowski doutait que le doux euphorisant qu’il avait versé dans le verre de Rakovski ait beaucoup d’effet.
L’interrogatoire, mené en français dura de minuit jusqu’à 7 heures du matin, Kus’min ordonna à Landowski de traduire l’entrevue en russe et d’en faire deux copies.
Le contenu était tellement ahurissant que Landowski en fit un carbone de plus pour lui-même. «Je ne suis pas fâché d’avoir eu le courage de faire ça», écrit-il. (279) (Les bolchéviques avaient tué le père de Landowski, un colonel tsariste, lors de la révolution de 1917.)
Un volontaire fasciste espagnol trouva plus tard le manuscrit sur le cadavre de Landowski dans une cabane sur le front de Petrograd pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il le ramena en Espagne où il fut publié sous le titre «Sinfonia en Rojo Mayo» En 1949.
La transcription a été publiée en anglais en 1968 sous le titre «The Red Symphony : X-Ray of Revolution» (La Symphonie Rouge : une radiographie de la Révolution). Vous pouvez la trouver dans l’ouvrage de Des Griffin «Fourth Reich of the Rich» (1988) (Le quatrième Reich des riches). Je recommande ce livre et tout ce que cet homme brillant a écrit.
LES RÉVÉLATIONS
Rakovski donne à son interrogateur une vision étonnante de l’histoire moderne afin de prouver que ses commanditaires contrôlent le monde.
«L’argent est la base du pouvoir», dit Rakovski et les Rothschild le fabriquent grâce au système bancaire.
Le «Mouvement Révolutionnaire» était une tentative de Mayer Rothschild et de ses alliés de protéger et d’étendre ce monopole en établissant un Nouvel Ordre Mondial totalitaire.
Selon Rakovski, «les Rothschild n’étaient pas les trésoriers mais les chefs secrets de ce premier Communisme… Marx et les plus hauts chefs de la Première Internationale… étaient contrôlés par le baron Lionel Rothschild [1808-1878] dont le portrait révolutionnaire fut réalisé par Disraeli le Premier Ministre anglais d’alors, qui était aussi sa créature, et nous fut transmis [dans le roman de Disraeli ‘Coningsby.’]» 250)
Nathaniel (1840-1915), le fils de Lionel, avait besoin de renverser la dynastie Chrétienne des Romanov. A travers ses agents Jacob Schiff et les frères Warburg, il finança les japonais dans la guerre russo-japonaise, et une insurrection infructueuse à Moscou en 1905. Puis il fut l’instigateur de la Première Guerre mondiale (Trotski était derrière l’assassinat de l’archiduc Ferdinand) et finança la Révolution Bolchévique de 1917. Rakovski dit qu’il fut personnellement impliqué dans le transfert de fonds à Stockholm. (251-252)
Le mouvement ouvrier juif ou «Bund» fut l’instrument de Rothschild. La «faction secrète» du Bund infiltra tous les partis socialistes en Russie et en assura la direction pour la Révolution Russe. Alexandre Kerenski, le Premier ministre menchévik en était un membre secret. (253)
Léon Trotski était censé devenir le leader de l’U.R.S.S. Trotski, un Juif, a épousé la fille de l’un des plus proches collaborateurs de Rothschild, le banquier Abram Zhivotovsky et était devenu un membre du «clan».
Malheureusement, les Communistes «nationaux» comme Lénine (un quart juif) croisèrent sa route. Lénine rejeta Trotski et fit la paix avec l’Allemagne (traité de Brest-Litovsk en 1918). Ce n’était pas le plan de Rothschild.
La Première Guerre mondiale était censée prendre fin de la façon dont la Seconde Guerre mondiale s’est terminée. La Russie était censée envahir l’Allemagne en 1918 et aider les révolutionnaires locaux à établir une «république populaire».
Trotski fut responsable d’une tentative d’assassinat de Lénine en 1918 mais Lénine survécut. Quand Lénine eut une attaque en 1922, Trotski chargea Levin, le médecin juif de Lénine, d’en finir avec lui.
À ce moment critique, l’inattendu se produisit. Trotski tomba malade et Staline fut en mesure de prendre le pouvoir. A ce moment crucial, les trotskistes prétendirent soutenir Staline et infiltrèrent son régime dans le but de le saboter.
Rakovski caractérise Staline comme un «bonapartiste», un nationaliste par opposition à un international Communiste comme Trotski.
«Il est un tueur de la révolution, il ne la sert pas, mais l’utilise à son service, il représente l’impérialisme russe le plus ancien, juste comme Napoléon s’identifiait avec les Gaulois… » (257)
CONTENIR STALINE
Afin de contrôler Staline, la finance internationale fut amenée à créer Hitler et le parti Nazi. Rakovski confirme que les financiers juifs soutinrent les Nazis alors même qu’Hitler n’était pas au courant de cela.
«L’ambassadeur Warburg [James Warburg] se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas sa race… Il mentit aussi sur qui il représentait… Notre but était de provoquer une guerre et Hitler était la guerre… [Les nazis] ont reçu… des millions de dollars envoyés par Wall Street, et des millions de marks par des financiers allemands par le biais de Schacht ; [subvenant] à l’entretien de la S.A. et des S.S. ainsi qu’au financement des élections…» (Pages 259-260)
Malheureusement pour les banquiers, Hitler s’est aussi montré rebelle. Il a commencé à imprimer sa propre monnaie!
«Il a pris pour lui-même le privilège de fabriquer la monnaie et non pas seulement la monnaie physique, mais aussi les outils financiers, il s’est approprié l’appareil de falsification encore intact pour le mettre à travailler pour le bénéfice de l’état… Etes-vous capable d’imaginer ce qu’il serait advenu… s’il avait gangrené un certain nombre d’autres Etats et conduit à la création d’une période d’autarcie [de règne indépendant absolu, remplaçant celui des banquiers]. Si vous le pouvez, imaginez alors ses fonctions contre-révolutionnaires … » (263)
Hitler était devenu une menace plus grande que Staline qui n’avait pas touché à l’argent. La mission actuelle de Rakovski était de convaincre Staline de signer un pacte avec Hitler et de retourner l’agression d’Hitler contre l’Occident. L’objectif était que l’Allemagne et les pays occidentaux s’épuisent les uns les autres avant qu’un autre front ne soit ouvert à l’Est.
[Selon Walter Kravitski, le chef du renseignement militaire soviétique en Europe qui fit défection à l’Ouest et fut plus tard assassiné en 1941, Staline était déterminé à faire un pacte avec Hitler dès 1934. Il n’avait aucun désir de combattre les Nazis. Est-il possible que Rakovski et ses commanditaires ne sachent pas cela? Kravitsky dans Au service secret de Staline (1939)]
Rakovski a exhorté les Russes à utiliser la tactique de «tromper en disant la vérité.» Les Russes devaient impressionner Hitler avec leur véritable désir de paix. Hitler ne devait pas soupçonner qu’il était en train d’être piégé et entrainé vers une guerre sur deux fronts.
Il fut donné un choix à Staline. S’il acceptait de partager la Pologne avec Hitler, l’Occident ne déclarerait la guerre qu’à un seul agresseur, l’Allemagne. S’il refusait, les banquiers aideraient Hitler à se débarrasser de lui.
Kus’min exigea quelque confirmation de haut niveau. Rakovski lui dit de voir Joseph Davies, l’ambassadeur américain à Moscou, un camarade franc-maçon et représentant de l’administration Internationale Communiste de Roosevelt.
Quelqu’un fut envoyé auprès de Davies qui confirma que «beaucoup serait à gagner» si Rakovski obtenait une amnistie. Le 2 mars 1938, un puissant message radio fut envoyé à Moscou par l’intermédiaire de son ambassade à Londres.
«Une amnistie ou le danger Nazi va grandir», disait-il. Davies assista au procès de Rakovski et lui fit un salut maçonnique. Le même jour le 12 mars 1938, Hitler marchait sur l’Autriche.
La condamnation à mort de Rakovski fut commuée. Certains croient qu’il vécu jusqu’à la fin de sa vie sous un faux nom. Une autre source indique qu’il fut tué en 1941.
Des négociations secrètes furent engagées avec Hitler. Le résultat fut le pacte Ribbentrop-Molotov signé en août 1939, juste une semaine avant l’invasion de la Pologne.
L’interrogatoire semble avoir créé un accord entre Staline et les Illuminati.
LA RUSSIE LUTTE ENTRE LES GRIFFES DE ROTHSCHILD
L’Europe et les États-Unis ont depuis longtemps succombé au contrôle Illuminati de Rothschild. En Russie, il y a encore quelques spasmes avant la mort.
En 2003, Vladimir Poutine a fait arrêter Mikhaïl Khodorkovski, à la tête de la plus importante compagnie pétrolière russe « Ioukos » et « l’homme le plus riche de Russie. »
Poutine a annoncé que la Russie allait saisir ses 12 milliards de dollars correspondant à 26% du capital de la compagnie pétrolière, l’un des nombreux actifs nationaux pillés au cours de la réorganisation du Communisme il y a 15 ans.
Ensuite, nous avons appris que les parts avaient déjà été transférées vers nul autre que Jacob Rothschild en vertu d’un «arrangement précédemment inconnu jusqu’alors» prévu pour une telle circonstance. Les deux compères se connaissaient depuis des années «par leur amour commun des arts.»
Rakovski avait dit à Kus’min que les Illuminati ne prennent jamais de positions politiques ou financières. Ils utilisent des «intermédiaires».
«Les banquiers et les politiciens ne sont que des hommes de paille… même s’ils occupent des places importantes et paraissent être les auteurs des plans qui sont menés… » (248-249)
Évidemment, Khodorkovski est un «intermédiaire» pour Rothschild. Tels sont aussi Richard Perle, Henry Kissinger et Ariel Sharon qui chacun s’exprimèrent contre l’action de Poutine. Perle, l’architecte de la guerre en Irak, a appelé à l’expulsion de la Russie du Groupe des Huit. Sharon exprima son inquiétude sur «la persécution des hommes d’affaires juifs». Khodorkovski est juif comme l’est Simon Kukës son successeur. Ainsi que Perle et tout comme Kissinger.
Beaucoup de juifs servent les Illuminati et c’est une des causes de l’antisémitisme. Mais Tony Blair et George W. Bush les servent aussi et ne sont pas juifs. La composition du groupe de Bilderberg et des Skull and Bones n’est la plupart du temps pas juive. Les Illuminati sont une alliance entre les Rothschild, et les super riches du monde unis par la franc-maçonnerie, dont le Dieu est Lucifer.
L’humanité, la magnifique expérience de Dieu, a été détournée et compromise. Du soldat américain en Irak, jusqu’au contribuable qui paie la dette nationale, nous sommes tous des pions.
Les francs-maçons «doivent mourir aux mains de la révolution qui a été menée grâce à leur coopération», selon C.G. Rakovski, un des fondateurs de l’Internationale Communiste.
«Le vrai secret de la maçonnerie est le suicide de la franc-maçonnerie en tant qu’organisation, et le suicide physique de chaque important maçon.»
Cette révélation provient d’un interrogatoire de la police stalinienne en 1938 intitulé «The Red Symphony». (Transcription de Des Griffin dans Fourth Reich of the Rich, p. 254)
«Il est clair que je sais cela non pas comme franc-maçon, mais comme un de ceux qui appartiennent à «eux» [les Illuminati] déclare Rakovski, un collègue de Léon Trotski arrêté pour complot contre Staline.
LES PROTOCOLES DE SION ET LA SYMPHONIE ROUGE
La franc-maçonnerie est la plus grande société secrète du monde avec plus de cinq millions de membres, dont trois millions aux États-Unis. Elle joue un rôle dans la conspiration totalitaire. Dans Les Protocoles des Sages de Sion, l’auteur (qui je crois est Lionel Rothschild) écrit :
«La maçonnerie des gentils sert aveuglément d’écran entre nous et nos objectifs, mais le plan d’action de notre force, même sa place exacte, reste pour tout le peuple un mystère inconnu… Qui et quoi pourrait bien se trouver en position de renverser une force invisible?» (Protocole 4)
Encore une fois, il écrit : «nous allons créer et multiplier librement les loges maçonniques… absorber en elles tous ceux qui peuvent devenir importants ou qui occupent déjà une place importante dans l’activité publique, car dans ces loges nous trouverons notre principal bureau de renseignement et les moyens d’influence… Les complots politiques les plus secrets seront connus de nous et tomberont sous nos mains… Nous connaissons le but final… alors que les goyim n’ont connaissance de rien… » (Protocole 15)
Dans son interrogatoire, Rakovski dit que des millions affluent dans la franc-maçonnerie pour obtenir un avantage. «Les dirigeants de toutes les nations alliées étaient francs-maçons, à quelques exceptions près.»
Toutefois, le véritable objectif est «de créer toutes les conditions requises pour le triomphe de la révolution Communiste, ce qui est le but évident de la franc-maçonnerie, il est clair que tout cela est fait sous des prétextes divers ; mais ils se cachent toujours derrière leur slogan bien connu [Liberté, Égalité, Fraternité]. Vous comprenez?» (254)
Les maçons devraient se rappeler la leçon de la Révolution Française. Bien qu’«ils aient joué un rôle révolutionnaire colossal ; la plupart des maçons furent éliminés… » Comme la révolution exige l’extermination de la bourgeoisie en tant que classe, [pour que toutes les richesses soient détenues par les Illuminati sous le couvert de l’État], il s’ensuit que les francs-maçons doivent être liquidés. Le vrai sens du Communisme est la tyrannie des Illuminati.
Lorsque ce secret sera révélé, Rakovski imagine «l’expression de bêtise sur le visage de certains francs-maçons quand ils se rendront compte qu’ils doivent mourir aux mains des révolutionnaires. Comment ils hurleront et voudront que l’on fasse grand cas de leurs services rendus à la révolution! C’est un spectacle à la vision duquel on peut mourir… mais de rire!» (254)
Rakovski se réfère à la Franc-maçonnerie comme une supercherie : «une maison de fous mais en liberté.» (254)
En Russie, en 1929, tous les maçons qui n’étaient pas juif furent tués avec leur famille, selon Alexey Jefimow « Quels sont les souverains de la Russie? » (77)
Comme les maçons, les autres candidats de l’utopie humaniste de leur maître (les néocons, les libéraux, les Sionistes, les activistes gays et féministes) pourraient être l’objet d’une mauvaise surprise. Ils pourraient être mis de côté une fois qu’ils ont atteint leur objectif.
QUI SONT LES «ILS»?
Lorsque l’interrogateur presse Rakovski de désigner des notables Illuminati pouvant être approchés avec une initiative, Rakovski est sûr de deux seules personnes qui sont maintenant décédés : Walter Rathenau, le ministre des affaires étrangères de Weimar, et Lionel Rothschild. Il dit que Trotski est sa source d’information.
D’autres, insiste-t-il sont de la spéculation :
«En tant qu’institution, la banque de Kuhn Loeb & Company de Wall Street : [et] les familles de Schiff, Warburg, Loeb et Kuhn, je dis familles pour souligner plusieurs noms puisqu’ils sont tous reliés… par des mariages, puis Baruch, Frankfurter, Altschul, Cohen, Benjamin, Strauss, Steinhardt, Blom, Rosenman, Lippmann, Lehman, Dreifus, Lamont, Rothschild, Lord, Mandel, Morganthau, Ezéchiel, Lasky… quel que soient les noms que j’ai énuméré, même ceux qui n’appartiennent pas à «Eux» pourraient toujours aboutir à «Eux» pour toute proposition importante.» (272)
En donnant à des banquiers le privilège de créer de l’argent, nous avons créé un vampire insatiable. Si vous pouviez fabriquer l’argent, imaginez la tentation de tout posséder!
LA RÉVOLUTION DÉGUISÉE
Rakovski se réfère à la crise de 1929 et à la Grande Dépression comme une «Révolution Américaine». Elle a été délibérément précipitée par les Illuminati à leur seul profit, pour casser «l’américain classique» et prendre le pouvoir politique.
«L’homme par qui ils ont fait usage d’un tel pouvoir était Franklin Roosevelt. Avez-vous compris? Cette année 1929 fut la première de la Révolution Américaine, en février Trotski quitte la Russie ; le krach a lieu en octobre… Le financement d’Hitler est convenu en juillet 1929. Vous pensez que tout cela était par hasard? Les quatre années du règne de Hoover ont été utilisées pour la préparation de la prise du pouvoir aux États-Unis et en U.R.S.S. : là par le biais d’une révolution financière, et ici [en Russie], avec l’aide de la guerre [Hitler et la Deuxième Guerre mondiale] et la défaite qui allait suivre. Un roman faisant preuve d’une grande imagination serait-il plus évident pour vous?» (273)
Rakovski propose que Staline coopère avec les Illuminati, (ce qu’il fit par la suite.) La première condition était qu’il arrête d’exécuter les trotskistes. Puis «plusieurs zones d’influence» seront établies en divisant «le Communisme formel du véritable.» Il y aura «des concessions mutuelles pour une aide mutuelle pour un temps pendant que le plan dure… Il apparaîtra des personnes influentes à tous les niveaux de la société, même très élevés, qui aideront le Communisme Stalinien formel… » (276)