WWIII : ON LEUR CONFIE NOS CATHEDRALES ET ILS LES DONNENT AU DIABLE. QUE FAIT LA FRANCE EN LIBYE? MICHEL AUPETIT UN CURE CATIN? MACRON ANNONCE QU'IL VA ANNONCER.
WWIII : ON LEUR CONFIE NOS CATHEDRALES ET ILS LES DONNENT AU DIABLE. QUE FAIT LA FRANCE EN LIBYE? MICHEL AUPETIT UN CURE CATIN? MACRON ANNONCE QU'IL VA ANNONCER DES REFORMES DE TOITURE, EN FRANCE ON A VENDU NOTRE PATRIMOINE APRES NOS PEPITES BOURSIERES, IL NOUS RESTE QU'A FAIRE NOS CARTONS AVEC LES LREM QUI SENTENT DEJA L'ESPRIT LEYMAN POUR ALLER SE FAIRE VOIR SUR LE LEMAN, QUI GARANTIT UN SMIC A 3700 EUROS QUE PERSONNE NE VEUT EN SUISSE CAR TROP FAIBLE. MRG AUPETIT SE VOIT REITERER SES EXPLOITS SUR SAINT SULPICE, LE PAPE EN JOIE, QUI A TWITE CA BRÛLE EN ENFER, JE ME SUIS TROMPE, ANNONCE QU'IL A OUVERT LES PORTES DE L'ENFER AUX CATHOS QUI ONT MAL A LEUR FOI. LA FSSPX NE CROIT PLUS A RIEN, QUE DIABLE DIT LE MALIN. MACRON PROMET DE REBÂTIR LA CATHEDRALE EN TROIS JOURS? VLADIMIR POUTINE PROPOSE SON AIDE POUR RECONSTRUIRE EN 40 ANS A L'IDENTIQUE.
EN FRANCE L'EGLISE DU CHRIST ET DE SAINTE MARIE MADELEINE, DATANT DU PREMIER SIECLE EST EN RUINE MAIS POSSEDE LA SAINTE LANCE DE LONGINUS ET NE RISQUE PAS DE PRENDRE LE FEU, CAR DES FEUX ELLE EN CONNAIT TOUS LES 14 ANS, OU LA COLLINE DU PIC SAINT LEON LE GRAND, S'ILLUMINE DANS UN BRASIER DE CENTAINES D'HECTARES, QUI NE TOUCHE MÊME PAS LE SITE SACRE ET CONSACRE PAR CE PAPE EN 470, UN VRAI MIRACLE QUI N'INTERESSE PERSONNE SAUF LES AIGLES ET LES SANGLIERS. NOUS SOMMES DESORMAIS COUPE DE MARIE.
Le pape François a adressé ce message, en français, avec une sincérité à double sens, car un franc-maçon ne dit jamais ce qu'il pense, en principe c'est l'inverse, à l’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, après l’incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame, nos 666 madrassas et Mosquées Salafistes-Wahhabites sont plus protégées que nos Eglises, Projet d'Eglise Nouvelle Mondialiste sur Notre-Dame de Paris, avec un minaret à la place de la flèche? car il n'y a pas de piste criminelle par principe sacerdotal, il ne faut pas voir le malin partout:
Suite à l’incendie qui a ravagé une grande partie de la cathédrale Notre-Dame, je m’associe à votre tristesse, ainsi qu’à celle des fidèles de votre diocèse, des habitants de Paris et de tous les Français. En ces Jours Saints où nous faisons mémoire de la passion de Jésus, de sa mort et de sa résurrection, je vous assure de ma proximité spirituelle et de ma prière.
Cette catastrophe a gravement endommagé un édifice historique. Mais j’ai conscience qu’elle a aussi affecté un symbole national cher au cœur des Parisiens et des Français dans la diversité de leurs convictions. Car Notre-Dame est le joyau architectural d’une mémoire collective, le lieu de rassemblement pour nombre de grands évènements, le témoin de la foi et de la prière des catholiques au sein de la cité.
En saluant le courage et le travail des pompiers qui sont intervenus pour circonscrire l’incendie, je forme le vœu que la cathédrale Notre-Dame puisse redevenir, grâce aux travaux de reconstruction et à la mobilisation de tous, ce bel écrin au cœur de la cité, signe de la foi de ceux qui l’ont édifié, église-mère de votre diocèse, patrimoine architectural et spirituel de Paris, de la France et de l’humanité.
Avec cette espérance, je vous accorde de grand cœur la bénédiction apostolique, ainsi qu’aux Évêques de France et aux fidèles de votre diocèse, et j’appelle la bénédiction de Dieu sur les habitants de Paris et sur tous les Français.
FRANCISCUS PP.
L'archevêque de Paris, devenu simple curé pour avoir perdu sa foi et ses biens, a adressé un message après le terrible incendie qui a frappé la cathédrale Notre-Dame de Paris dans la nuit du lundi au mardi 16 avril. En cette semaine sainte, il appelle les fidèles à vivre en frères et à s'unir dans la prière, dans les Temples Maçonniques dont il a la clé, afin d'ouvrir les séances en tenue blanche au son des trois coups de bâton qu'assène le surmoi, pour les nouveaux initiés, avec la Bible de Satan.
La Sainte Couronne ou couronne du Christ est, selon la tradition chrétienne, la couronne d'épines posée sur la tête du Christ avant sa crucifixion. Une couronne récupérée par la France au 13ème siècle, qui s'avère être un faux du 12ème par test du carbone 14, mais qui faisait l'objet d'un pactole au clergé par l'adoration de la foule bouche-bée devant la couronne royale la moins chère de la Chrétienté. Plus d'Eglise comme écrin de la couronne, plus de pactole, sinon des Rothschild qui continuent à soudoyer l'Eglise par les salaires de ses récipiendaires.
Cet instrument de la Passion, mentionné dans les Évangiles canoniques attribués à Marc, Matthieu et l'Évangile attribué à Jean, est évoqué par les premiers Pères de l'Église comme Clément d'Alexandrie ou Origène. Faisant partie des reliques attribuées à Jésus, elle devient un symbole chrétien.
Plusieurs sanctuaires revendiquent posséder cette relique. L'archevêché de Paris prétend la posséder au sein du trésor de la Sainte-Chapelle mais il est fait mention de la Sainte Couronne ou un de ses fragments au Palais électoral de Munich, en la basilique San Domenico de Bologne, en la cathédrale de Pise ou de Trêves, sans qu'il soit possible de déterminer s'il s'agit d'une relique de première classe (don d'une Sainte Épine qui a été enchâssée dans un reliquaire en forme de couronne d'épines) ou de contact (transfert de la sacralité de la Sainte Épine en la mettant en contact avec un morceau de bois devenant lui-même une relique).
Si l'historicité de la crucifixion ne fait plus aucun doute pour la majorité des chercheurs qui y voient des critères d'authenticité (critère d'embarras ecclésiastique, d'attestation multiple, de cohérence), les détails de l'exécution de Jésus sont plus sujets à caution, les évangélistes ayant enrichi ces épisodes bibliques de symboles théologiques. Ainsi le couronnement grotesque de Jésus au cours de sa Passion est probablement un procédé littéraire des évangélistes voulant introduire une scène de dérision avec la soldatesque qui feint de rendre hommage à la royauté de Jésus affublé d'attributs pseudo-royaux (chlamyde pourpre, couronne tressée avec des rameaux d'un quelconque buisson épineux que la soldatesque avait sous la main), références peut-être au Livre de Jérémie. L'historicité de la couronne d'épines fait cependant consensus.
Ces mêmes évangélistes ne mentionnent pas qu'on a laissé la couronne d'épines sur la tête de Jésus lors de sa crucifixion. La tradition iconographique de la « corona spinea » (couronne d'épines en latin) figurant sur la tête du Crucifié est un parti pris des artistes médiévaux qui ont interprété docilement les affirmations de théologiens médiévaux selon lesquelles le Crucifié garda sa couronne jusqu'à sa mort et que ce fut la Vierge, après la descente de croix, qui la lui enleva, se blessant aux doigts et mêlant ainsi son sang à celui de Jésus. En effet, la tradition iconographique montre d'abord un Christ à la tête nue puis on trouve au XIe siècle de ci, de là, le Christus triomphant portant la « corona », diadème royal parfois réduit à un filet d'or orné d'une gemme sur le front. Ce n'est qu'à partir du XIIIe siècle, dans le cadre de la dévotion au Christus patiens (« Christ souffrant »), qu'apparaît l'iconographie de la couronne d'épines.
Quelques années plus tard, Saint Louis souhaite se porter acquéreur de reliques christiques dont la Sainte Couronne. C'est ainsi qu'il est représenté sur le tableau saint-Louis vénérant la Sainte Couronne. Son objectif est de dominer la chrétienté à la suite de la querelle des Investitures qui a affaibli la papauté et le Saint-Empire romain germanique. Il faut deux ans de négociations pour conclure l’affaire avec Baudouin II de Courtenay car le roi tient à s’assurer de l’authenticité des reliques. Moyennant la somme astronomique de 135 000 livres tournois, la couronne est acquise en août 1238 et, sous la conduite des dominicains Jacques et André de Longjumeau, prend la route vers Noël 1238. Elle doit d'abord faire escale à Venise afin d'y lever les gages afférents.
La couronne étant convoitée, notamment par Jean III Doukas Vatatzès, l'empereur byzantin en exil, la mission royale est accompagnée par plusieurs chevaliers, dont Giffard de Meaux, cadet de la maison des comtes de Meaux. Pour perpétuer ce souvenir, la famille de Meaux reçoit par agrément royal de nouvelles armoiries : d'argent à cinq couronnes d'épines de sable. La couronne arrive à Venise et est déposée au trésor de la Basilique Saint-Marc. Après avoir fait vérifier les sceaux la protégeant et ordonné le paiement des sommes convenues par les marchands français de Venise, les ambassadeurs reprennent la route de la France sous une escorte renforcée par les troupes prêtées par Frédéric II sur la demande de Louis IX, afin de prévenir toute velléité vénitienne de conserver la couronne.
Le 10 août 1239, la couronne fait son entrée solennelle à Villeneuve-l'Archevêque (Champagne) accompagnée du roi, de son frère Robert Ier d'Artois et de leur mère Blanche de Castille. Le 11 août a lieu l'office de Sens car l'archevêque de Sens Gautier Cornut porte le titre de « primat des Gaules et de Germanie », Paris dépendant de l'église métropolitaine de Sens. Elle fait son entrée dans Paris le 18 août 1239. Deux ans plus tard, en 1241, le roi poursuit son ambition en se portant acquéreur du premier morceau de la Sainte Croix et de sept autres reliques dominicales, notamment le Saint Sang et la Pierre du Sépulcre. L'année suivante, ce sont des morceaux de la Sainte Lance et de la Sainte Éponge qui sont ajoutées à la Sainte Collection.
Contre qui la France arme Haftar?
Apr 17, 2019 06:17 UTC
À l'heure où le maréchal Haftar commence à connaître ses premières difficultés dans son entreprise de chasse aux Frères musulmans au pouvoir à Tripoli, un diplomate libyen a révélé que la France du président Macron avait l’intention de livrer des armes plus sophistiquées aux pro-Haftar.
Il est vrai que les raids menés contre la banlieue de la capitale à l'aide des chasseurs "loués" ne se sont pas avérés trop efficaces. Un diplomate libyen proche du ministère des Affaires étrangères du Gouvernement d’union nationale (GNA) et partant proche de l'Italie a déclaré, lors d’une interview avec Al-Arabi Al-Jadeed, que Paris envisageait de fournir des armes dernier cri aux forces de l’Armée nationale libyenne (ANL). La décision de Paris de livrer de nouvelles armes aux forces de Haftar semble toutefois motivée moins par un quelconque souci de vouloir accélérer la conquête de Tripoli que par un plan plus profond savamment travaillé depuis des mois et ce, de concert avec les Américains et les Israéliens, affirme Hadi Mohammadi.
En effet Khalifa Haftar est soutenu par l’Égypte, les Émirats Arabes Unis, l’Arabie Ssaoudite, la France et le Royaume-Uni tandis que le Gouvernement d’union d’entente nationale du président Fayez al-Serraj (reconnu par l’ONU) est activement appuyé par la Turquie, le Qatar, l’Italie mais aussi et à certains la France qui joue sur les deux tableaux car, dit Paris, la proximité croissante entre Haftar et les forces loyales à l’ancien régime de Kadhafi inquiète l’OTAN. Mais ce n'est peut-être la seule raison de l’ambiguïté française. En effet sur fond de combats qui s'intensifient en territoire libyen, des milices se font et se défont. Les informations font état désormais de la réapparition de Daech au centre libyen, région où l'organisation avait été éliminée en 2017. Il semblerait qu'il y a une réelle volonté de faire monter d'un cran les combats sans pour autant aider l'une ou l'autre partie à gagner, l'objectif étant de faire en sorte qu'il y ait un mouvement de miliciens en direction des pays voisins, constate l'analyste.
Le ministre tunisien de la Défense y revient d'ailleurs dans un récent entretien dénonçant "les armes et munitions transportées par des Européens, dont des Français", qui "ont été saisies à la frontière entre la Libye et la Tunisie". « Un premier groupe, composé de 11 personnes munies de passeports diplomatiques et venant de Libye, a tenté d’entrer en Tunisie par la mer à bord de deux zodiacs. Il a été repéré par l’armée tunisienne et poursuivi jusqu’au large de Djerba (sud-est). Des armes et des munitions ont été saisies », a déclaré à la presse le ministre tunisien de la Défense Abdelkarim Zbidi.
Dans des propos diffusés par plusieurs médias locaux, Abdelkarim Zbidi a par ailleurs déclaré que d'autres armes et munitions avaient été saisies à la frontière terrestre tuniso-libyenne auprès d'un groupe de 13 Français «sous couverture diplomatique» et circulant à bord de six 4X4. D'après les médias locaux, la saisie a eu lieu au poste-frontière de Ras Jédir, principal point de passage entre les deux pays.
À vrai dire, "ces ressortissants français ne sont ni des diplomates ni des touristes mais bel et bien des forces spéciales qui accompagnaient les forces du maréchal Haftar pour son offensive sur Tripoli. Ces officiers se trouvent à Greyan, à 75 kilomètres de la capitale".
L'offensive sur Tripoli semble donc viser autant sinon plus que Tripoli les pays voisins que sont la Tunisie et l'Algérie. "On est là au cœur d'une tentative de déstabilisation qui vise à affecter la Tunisie et l'Algérie, constate l'analyste", selon Hadi Mohammadi.
L’armée algérienne a exécuté, d'ailleurs ce mardi, un exercice à balle réelle près de la frontière avec la Libye, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale. Ces manœuvres interviennent dans le contexte de l’attaque lancée par le maréchal Haftar sur la capitale libyenne, Tripoli. L'exercice, portant le nom d'Enadjm Essati'a 2019 (l'Étoile brillante 2019), a eu lieu au niveau du champ de tir du secteur opérationnel nord-est In-Amenas.
«Cet exercice a été exécuté par les unités du Secteur Opérationnel Nord-est In-Amenas, ainsi que par des unités aériennes composées d'aéronefs et d'hélicoptères d'appui-feu, y compris un appareil de reconnaissance aérienne», est-il affirmé dans le communiqué. Selon la même source, le général de corps d'armée Ahmed Gaid Salah, chef d'état-major de l'ANP, qui a assisté à ces séances d'entraînement, inspectera également des unités déployées le long de frontière avec la Libye.
Selon le site d'information Tout sur l'Algérie, ces manœuvres sonnent comme un avertissement adressé par le haut commandement de l'ANP au maréchal libyen. Dans la même optique, le média rappelle que ce dernier avait «rejeté plusieurs appels de la diplomatie algérienne à participer à des discussions avec les autres parties libyennes pour trouver une solution politique à la crise dans ce pays».
Depuis l'attaque terroriste, en janvier 2013, contre le complexe gazier de Tigentourine, dans la région d'In Amenas, par un groupe venu de Libye, l'ANP a renforcé le dispositif sécuritaire à la frontière avec ce pays. Elle a notamment déployé plusieurs unités de combat et augmenté le niveau de surveillance en s'appuyant sur des moyens aéroportés et des drones. Le 5 avril, les troupes du maréchal Haftar ont atteint les banlieues de la capitale et pris le contrôle de l'aéroport international de Tripoli.
Sur fond d’affrontements continus en Libye, des navires de guerre turcs sont arrivés dans les eaux territoriales libyennes.
Selon la chaîne de télévision CNN, les navires de guerre turcs se sont déployés à Tripoli et à Misrata.
La source ajoute que les bâtiments de guerre turcs sont arrivés en Libye en traversant le mer de Marmara au nord du pays et qu’ils ont jeté l’ancre dans une zone à 78 milles marins de la ligne côtière libyenne.
Des sources en Turquie disent que les navires partis pour la Libye font partie d’une mission de lutte contre les trafiquants.
La Libye est à l’heure actuelle la scène d’affrontements et d’une guerre civile déclenchés par l’offensive lancée il y a un mois par le commandant en chef de l'Armée nationale libyenne (ANL), le maréchal Khalifa Haftar, contre Tripoli, la capitale, avec pour objectif de renverser le gouvernement d'union nationale (GNA), dirigé par Fayez al-Serraj, reconnu par l’ONU.
Plus tôt le 14 avril, le porte-parole de l’armée nationale libyenne (ANL) avait dit lors d’une conférence de presse que des vols directs depuis la Turquie étaient mis en place pour la ville de Misrata en Libye, et qu’un certain nombre de terroristes du Front al-Nosra qui avaient combattu en Syrie étaient entrés dans cette ville.