WWIII : LE "J'ACCUSE" DU PRÊTRE SYRIEN, ELIAS ZAHLAWI-ZOLA. LA SYRIE DETRUITE PAR LA FRANCE QUI VEUT PARTICIPER A SA RECONSTRUCTION SANS CONSERVER L'EQUIPE EN PLACE!

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : LE "J'ACCUSE"  DU PRÊTRE SYRIEN, ELIAS ZAHLAWI-ZOLA. LA SYRIE DETRUITE PAR LA FRANCE QUI VEUT PARTICIPER A SA RECONSTRUCTION SANS CONSERVER L'EQUIPE EN PLACE!
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Génocide des chrétiens au Moyen-Orient : l’archevêque de Los Angeles intervient.

 

 

Mgr José H. Gomez, d’origine mexicaine, est l’archevêque de Los Angeles, le plus gros diocèse des États-Unis. À la veille du voyage apostolique du pape François en Égypte, il a publié un texte appelant les catholiques à faire pression sur leurs élus au Congrès pour que la réponse au génocide des chrétiens au Moyen-Orient passe de la dénonciation verbale aux actes concrets. C’est courageux. Et c’est urgent… 

 

À l’échelle mondiale, on estime qu’un chrétien est tué pour sa fois toutes les heures […] Plus de 200 millions de chrétiens vivent quotidiennement au risque de la persécution selon un nombre croissant d’études publiées ces dernières années par des autorités officielles comme le département d’État des États-Unis et l’Union européenne, ou des organisations non gouvernementales comme le Pew Research Center. 

 

Ce que beaucoup de gens risquent au quotidien en étant chrétien, c’est d’être torturés ou tués, de voir leurs écoles et églises détruites, leurs maisons saisies. 

La persécution est si forte que la population chrétienne d’Irak […] compte à peine 250 000 personnes. Les chrétiens en Syrie sont moins de 500 000, ils étaient de 3 à 5 millions, sans parler des coptes orthodoxes en Egypte, 9 millions, persécutés par les Frères Musulmans. 

 

Le pape François a qualifié très discrètement la campagne islamique menée contre les chrétiens au Moyen-Orient comme une forme de « génocide », et le gouvernement américain est d’accord là-dessus. Les Frères Musulmans, ami de Macron, de Juppé et d'Edouard Philippe ont été demandé à Ben Salmane, Prince de l'Arabie Saoudite, pour qu'il forme des djihadistes dans les 1 666 mosquées et madrassas islamiques de France, de façon à les envoyer combattre en Syrie, et raser ce Pays, en faisant tomber Bachard El Assad, pétrole oblige.

 

En fait, cela fait plus d’un an que notre gouvernement a fait la déclaration formelle que l’État Islamique commettait un « génocide » contre les chrétiens et d’autres minorités religieuses au Moyen-Orient. Les deux chambres du Congrès ont voté, l’année dernière, des résolutions condamnant ce génocide. 
Mais tout cela ce sont des mots suivis d’aucun effet […] 

 

L’absence d’action – l’absence de préoccupation et l’indifférence dans les médias et même dans nos églises – est inadmissible. Nous ne devrions pas accepter un monde dans lequel certains peuvent tuer au nom de Dieu et d’autres être assassinés au simple motif qu’ils croient en Jésus-Christ. 

Au minimum, notre gouvernement devrait s’unir pour fournir une aide ciblée à tous ceux qui souffrent d’être entre les mains de l’État Islamique en Irak et en Syrie.

 

Dès à présent existe un projet bipartisan de loi qui se propose de le faire. L’Iraq and Syria Genocide Emergency Relief and Accountability Act (H.R. 390) se propose de fournir une aide vitale aux survivants du génocide et de créer un dispositif d’enquête et de poursuite contre ceux qui commettent de telles atrocités.

 
J’exhorte chacun des membres de la communauté catholique à demander à ses élus au Congrès de soutenir cette mesure. C’est le moins que nous puissions faire. 

Site de Mgr José Gomez, 28 avril – © CH pour la traduction.  

WWIII : LE "J'ACCUSE"  DU PRÊTRE SYRIEN, ELIAS ZAHLAWI-ZOLA. LA SYRIE DETRUITE PAR LA FRANCE QUI VEUT PARTICIPER, SEMON MACRON, A SA RECONSTRUCTION SANS CONSERVER L'EQUIPE EN PLACE, ET DETRUIRE LES RELIGIONS DES CHRETIENS D'ORIENT AVEC LE SILENCE COUPABLE DU PAPE FRANCOIS SUR CE GENOCIDE DE 6 MILLIONS DE CHRETIENS EN 12 ANS!

Lettre ouverte aux français et lettre antique à l'ami Ali Juppé qui a encore changé de bord, le sinistre obscur!
D'un prêtre arabe syrien, qui chaque fois qu'il s'adresse à la France, voit la France se libérer de ses Ministres et Présidents. Une puissance de D.ieu au service des Français, et de l'Europe.


Celui qui vous écrit, en cette nuit horrible, la nuit du 15/4/2019, est un prêtre de Syrie.

J'ai suivi sur l'écran français, comme chacun d'entre vous l'a fait, la scène de l'effondrement de la tour de l'église de Notre-Dame au milieu de l'année en flamme, dans la panique et la panique...

Croyez-moi, en tant qu'être humain et en tant qu'homme ici, je vous partage en toute sincérité, c'est pour vous, votre peine, et surtout vos innombrables questions...

Notre Dame à Paris est le cœur de toute la France, la capacité de la foi des français.

Cependant, permettez-moi, en ces moments de confrontation sans aucun doute, de vous inviter à un moment de pause avec la vérité.

Permettez-moi de vous rappeler, citoyens français, qui que vous soyez et quelle que soit votre responsabilité, les dernières pratiques politiques de votre pays à l'égard de mon pays, sans revenir au célèbre traité Sykes-Pico de 1916.

Saviez-vous qu'il y a huit ans, votre pays est devenu le héros de la guerre cosmique contre la Syrie ?

Saviez-vous que des milliers de " djihadistes " Français présumés ont été floqués avec 400.000 " Djihadistes ", réunis avec soin du monde entier, afin de détruire complètement, ce pays décrit par l'un de vos scientifiques, André Barrow " (André Parrot), il y a longtemps, comme " la deuxième patrie " de tout être humain sur terre ?

Saviez-vous que toutes vos institutions "démocratiques" et, en tête de votre parlement, ont les yeux, les oreilles et la bouche face à cette volonté cosmique d'éliminer complètement le berceau de la civilisation humaine ?

Saviez-vous aussi que toute l'église de France, qui a confiance en toutes les églises, sur le grand message de Jésus-Christ, la lettre d'amour et de justice, a été son silence honteux, complice de cette destruction indescriptible de mon pays ?

N'est-il pas temps, pour vous tous, de vous sortir de votre servitude ridicule "pour vos politiciens", ainsi que de la folie forcée que votre mode de vie vous a imposée, afin que vous récupérer enfin votre dignité humaine, et que vous vous tḍạmnwạ (remettrez à prier, (ça y est en Vietnamien)) de façon absolue, Avec la grande majorité des êtres humains oubliés, dont votre pays, avec beaucoup d'autres pays, sous les pantoufles des États-Unis, qui se transforme en bourreau ?

Et j'ai honte que ça arrive ce soir, dans toute la France - pourquoi pas, en Europe ! - une vigilance rapide et noble, avant qu'il ne soit trop tard !
Père Elias Saturne (mélancolique voyant la France dévorer ses enfants, comme KRONOS) 
Damas en 2019/4/16

La Syrie, ses alliés… et la gestion du conflit:
À ceux qui ont péremptoirement prétendu que Bachar al-Assad a gagné la guerre, mais n’a pas gagné la paix ou encore, qu’il n’a pas gagné la guerre, la Russie ou l’Iran l’ayant forcé à accepter certains compromis, cet article de Monsieur Ghaleb Kandil tend à nous démontrer que s’il est vrai que « les États n’ont pas d’amis ; ils n’ont que des intérêts », le mérite du Président syrien et de son équipe est d’avoir défendu leur pays en créant un modèle relationnel donnant la priorité aux intérêts communs et à la compréhension des particularités de chacun. [NdT].
La machinerie de l’agression coloniale a inlassablement travaillé à promouvoir des vagues de scepticisme destinées à semer le doute quant aux rôles tenus par la Russie et l’Iran en soutien de l’État syrien dans son combat contre les gangs du terrorisme et du takfirisme, outils de la guerre par procuration dirigée par les États-Unis, en partenariat avec les pays de l’OTAN, les pays du « Golfe » et une coalition politique internationale initialement formée par plus de 80 gouvernements.
En effet, c’est dès la première Conférence de Genève [Juin 2012] que les planificateurs américains ont cherché à démanteler la coalition adverse, opposée à la guerre, regroupant la Chine, la Russie, l’Iran et quelques gouvernements résistant à l’hégémonie américaine. C’est aussi dès les premières années de l’agression américano-sioniste qu’ils ont cherché à diaboliser l’implication de la Russie et de l’Iran dans la défense de la Syrie et le soutien économique, financier et militaire accordé à sa résilience. Et c’est depuis longtemps qu’ils tentent d’exploiter toutes sortes d’hypothèses portant sur leur « compétition pour influence » en Syrie.
Mais voici ces planificateurs face à la réalité choquante réfutant toutes leurs savantes hypothèses, vu la complémentarité militaire et politique entre la Russie et l’Iran, malgré des divergences évidentes portant sur nombre de problèmes en rapport avec des intérêts et des positionnements particuliers, notamment, la place de la Syrie dans le conflit arabo-sioniste.
L’Administration syrienne est parfaitement consciente de toutes les particularités de ses alliés et des positions de chacun face aux multiples problèmes. Il n’empêche qu’elle a réussi à créer un environnement stratégique ayant mené à la réduction des marges d’opposition et de contradictions entre les alliés, tout en maintenant sa propre vision fondée sur les intérêts nationaux de la Syrie.
Ainsi, la République arabe syrienne est l’associée de la fédération de Russie dans l’« Alliance de la lutte contre le terrorisme », terrorisme dont la menace fut le catalyseur décisif de l’engagement militaire russe [Septembre 2015] ayant contribué à rééquilibrer les rapports de forces sur le terrain, à renforcer la capacité de l’Armée arabe syrienne, à rétablir l’autorité de l’État syrien dans de nombreuses régions du pays, à reconstruire ses capacités de défense face à l’agression coloniale, à acquérir et à renouveler ses capacités de dissuasion face à l’entité sioniste.
Pour tout observateur sérieux, il est clair que l’intervention russe reposait fondamentalement sur l’idée que la bataille de défense de la Syrie serait une étape décisive de la lutte contre l’hégémonie mondiale unilatérale des États-Unis, idée qui n’a cessé d’évoluer depuis le premier veto russo-chinois [4 octobre 2011] au Conseil de sécurité des Nations Unies. Par ailleurs, lors du sommet de l’OTCS [Organisation du Traité de Sécurité Collective regroupant l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan) tenu à Douchanbe, en septembre 2015, à la veille de la mobilisation aérienne russe en direction de la Syrie, le président Vladimir Poutine fut très clair sur l’importance cruciale de combattre les terroristes sur le sol syrien, vu le danger de leur expansion sur toute l’Asie, y compris la Russie et les pays voisins, dont la Chine.
Parallèlement, la République arabe syrienne tient à sa solide alliance stratégique conclue avec l’Iran depuis une quarantaine d’années en partenariat avec l’Axe de la résistance, lequel repose sur la contradiction existentielle avec l’entité sioniste vu son rôle de pierre angulaire du système de domination coloniale de la région dirigé par les États-Unis.
D’où la capacité éminemment exemplaire du Président Bachar al-Assad dans la gestion de la défense de son pays selon ces deux axes ; gestion basée sur leur complémentarité face aux menaces communes et sur le travail de consolidation de leurs relations avec la Syrie, via un réseau de partenariats et d’intérêts économiques dans le cadre d’une compréhension commune du conflit. Ce qui explique les nombreux accords conclus avec la Russie et l’Iran dans le sillage de la confrontation commune aux ennemis de la Syrie, accords ayant dépassé le niveau militaire pour porter sur les secteurs de l’économie, du pétrole, du commerce et de l’industrie.
Cette vision est au cœur de l’approche syrienne en vue de la planification de la reconstruction physique et économique, selon les deux principes proposés par le Président syrien : redirection du pays vers l’Est, priorité aux partenariats avec les pays ayant soutenu la résistance de la Syrie et contribué à sa défense ; autrement dit, priorité aux associés à la lutte contre le terrorisme et à ceux qui refusent l’hégémonie du bloc occidental, à commencer par la Russie, la Chine et, bien sûr, l’Iran, principal partenaire de l’Axe de la résistance à l’hégémonie américano-sioniste.
Mais, autant la Syrie respecte les particularités de ses alliés, autant elle tient aux particularités de ses intérêts nationaux. C’est ainsi que lorsque la vision syrienne d’un État futur centralisé et laïc s’est trouvée en contradiction avec des initiatives russes et iraniennes, Moscou et Téhéran ont dû adopter la vision de Damas, comme en témoigne l’examen minutieux de tous les textes officiels concernant la Syrie, notamment les textes des résolutions et déclarations finales des réunions et conférences internationales successives tout au long de ces dernières années, lesquels reflètent tous la vision syrienne dudit « processus politique » fondé sur l’unité et l’intégrité territoriale, l’État centralisé et la laïcité.
Ce comportement face aux initiatives d’États alliés est désormais un modèle relationnel donnant la priorité aux intérêts communs et à la compréhension des particularités. Dans ce contexte, bien que la Syrie considérait et considère toujours que la présence turque sur son sol est une occupation inacceptable, elle a quand même tiré profit du confinement du rôle de la Turquie -fer de lance de l’agression coloniale- par la Russie et l’Iran à la fois. Elle en récolte les résultats par une opération conjointe syro-russo-iranienne visant à libérer les zones encore sous le contrôle des terroristes. C’est un long processus qui a débuté avec les batailles de libération d’Alep et de la Ghouta. Il se poursuit aujourd’hui par la bataille de libération d’Idleb, laquelle exige des opérations d’une grande précision vu la complexité de la situation et la volonté d’en limiter les coûts militaire et humain via les initiatives politiques des alliés visant d’une part, à renforcer les capacités de l’Armée arabe syrienne, d’autre part, à obliger la Turquie de choisir entre se plier à la volonté américaine ou s’aligner sur le camp russo-iranien et donc, à adopter des relations fondées sur les intérêts communs à deux pays voisins. Ce qui explique la proposition de la Russie de revenir aux accords signés par la Turquie et la Syrie [à Adana] en 1998.
Les initiatives de confinement et de démantèlement des groupes armés sur le terrain sont des tactiques avancées par le président Bachar al-Assad dès le début de l’agression et bien avant l’implication de la Russie et de l’Iran. Combinant l’action militaire à l’action politique, il a conçu les décrets successifs d’amnistie et a dirigé des dialogues et des réconciliations ayant facilité le déploiement de l’armée arabe syrienne sur une grande partie du territoire syrien et le démantèlement des ghettos mis en place par les factions armées dirigées par Al-Qaïda et les Frères Musulmans. Ce qui a abouti aux « Accords d’Astana » et à l’« Accord de Sotchi » par lequel la Turquie s’est engagée à séparer les prétendus rebelles des gangs de terroristes dans le gouvernorat d’Idleb [devenu la cinquième zone de désescalade - NdT]. Un engagement non respecté géré avec sagesse par l’Armée arabe syrienne qui concentre actuellement ses opérations sur cette zone censée être débarrassée des armes lourdes.
La gestion du conflit ainsi mené par le président Bachar al-Assad en partenariat avec les alliés russes et iraniens a apporté des changements radicaux sur le terrain et des transformations majeures en faveur de l’armée arabe syrienne. Elle a ouvert la voie au démantèlement de la « coalition des agresseurs », laquelle a perdu de sa cohésion face à la résilience de la Syrie soutenue par ses alliés. Il n’en demeure pas moins qu’il est illusoire de croire en la libération de tout le territoire national d’un seul coup. À chaque étape, les efforts conjugués des alliés permettent l’exploitation politique et militaire de nombre de contradictions au sein du camp ennemi et réduisent le prix à payer par le peuple syrien et son armée en dépit du temps qui passe, d’autant plus qu’il reste à libérer le pays des deux occupations turque et américaine.
Par conséquent, la méthodologie adoptée par les dirigeants syriens a préservé les constantes nationales et la solidité des alliances malgré les particularités et les contradictions. Pour exemple, les batailles du sud du pays prouvent le respect de l’allié russe des positions de principe syriennes, en dépit de son positionnement vis-à-vis d’Israël et malgré la forte adhésion de la Syrie à l’Axe de la résistance. Un positionnement fondé sur les intérêts russes avec, cependant, une conception respectant la particularité de la situation syrienne face à l’ennemi sioniste, son engagement à libérer son territoire occupé, ainsi que son soutien à la résistance palestinienne et libanaise. Des engagements sans cesse rappelés haut et fort par les dirigeants syriens, pendant que la Russie renoue avec sa vision traditionnelle d’une paix globale et permanente, puisée dans son héritage soviétique et basée sur l’idée du retrait sioniste des territoires arabes occupés depuis 1967, à commencer par le Golan arabe et syrien.
Ghaleb Kandil

20/05/2019
Traduit de l’arabe par Mouna Alno-Nakhal
Source : New Orient News https://www.legrandsoir.info/la-syrie-ses-allies-et-la-gestion-du-conflit-new-orient-news.html

La Mafia Khazare a rejeté l'humanité et pousse les musulmans et les chrétiens à s’exterminer mutuellement : 

La collusion entre l'Arabie saoudite et l'État d'Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d'Assad et de l'Irak de Saddam Hussein reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est  célèbre dans le Moyen-Orient, région dans laquelle les États-Unis œuvrent pour le bénéfice exclusif de leur golem israélien [*].  

L'image : Le serpent qui s'enroule autour de la tête de Notre-Dame, la Synagogue de Satan veut prendre le pouvoir, Rome est le siège du Malin, les Loges sont à la manœuvre : bas-relief sur la façade de Notre-Dame de Paris

Pour comprendre certaines des questions les plus profondes et des conflits actuels au Moyen-Orient et d’une grande partie de l'Ouest, nous devons revenir à Daniel Pipes, qui, perversement et diaboliquement, a  déclaré en 2013 que les États-Unis et une grande partie de l'Occident doivent soutenir à la fois et en même temps les terroristes syriens et le gouvernement Assad.  

Voici le meilleur de Pipes: 

«L'Occident doit empêcher chaque côté dans la guerre civile de sortir victorieux en aidant celui qui perd, de manière à prolonger leur conflit [NdT. sous-entendu : jusqu’à mort totale des deux].» [1] 

Pipes savaient que cela était une entreprise diabolique. Il savait que cela n'est pas conforme avec l'ordre moral et politique. Il savait qu'un conflit prolongé dans la région créerait plus de sang, plus de misère et plus de destruction. Il savait que les guerres perpétuelles signifient la haine perpétuelle envers les pays qui ont provoqué et encouragé ces guerres, à savoir, Israël et l'État sioniste d'Amérique. Il n'a pas demandé une résolution pacifique. Il voulait des morts massives, un génocide. Il voulait évidemment des terroristes syriens pour couper les cœurs de leurs victimes et les manger devant acclamations de la foule fanatisée. [2] De plus, il sait très bien qu’aucune personne raisonnable ne serait d'accord avec sa perversion. En fait, il a ajouté: 

"Cette recommandation de politique d’aider « le côté qui perd » semble étrange, je l'avoue, mais elle est stratégique." [3] 

Stratégique? Plus de chaos est stratégique? Eh bien, selon les mœurs talmudiques, la réponse est oui.  

Comme l’écrivain juif Sidney Blumenthal l’a montré, le mouvement néo-conservateur a son idéologie politique et intellectuelle « dans le patrimoine agressif du Talmud [4] 

Ce qui nous amène à un point important ici.  

Pipes et ses semblables, comme saint Paul l’a fait remarquer il y a près de deux mille ans, sont en guerre avec le Logos métaphysique et avec toute la race humaine. Pipes et d'autres tentent désespérément de remuer ciel et terre pour appliquer leur plan diabolique. Ils continueront d'opposer les honnêtes gens les uns contre les autres afin qu'ils puissent établir leur Royaume Khazar sur la terre. Leur fidélité à l’Amérique n’est ni «libérale» ni «conservatrice», sinon ils n’auraient jamais manipulé les deux parties [NdT. Elle est pour « Israël d’abord »]. 

En fait, l'établissement- soi-disant républicain "dont beaucoup sont des cadres ou des membres du cabinet du président George W. Bush" - ont déjà mis leur sceau d'approbation sur Hillary Clinton. [5] 

Du point de vue politique, cela est totalement inexplicable. Et si vous êtes enfermé dans la rhétorique la-gauche-contre-la-droite, vous vous trouvez dans un dilemme sans espoir. Vous ne savez plus ce qui se passe réellement. Mais si vous comprenez que LA MAFIA KHAZARE peut truquer le jeu politique et lancer les dés idéologiques pour des raisons politiques, alors vous comprendrez qu'il y a beaucoup plus ici que ce que vous voyez ou entendez. 

Le point central est que, depuis que la Mafia Khazare a catégoriquement et métaphysiquement rejeté l'ordre moral et politique, les khazariens et les néocons ont inexorablement embrassé le chaos et la destruction. 

Ceci est une raison pour laquelle Pipes et ses semblables ne se soucient pas de savoir si les musulmans et les chrétiens vivent ou meurent au Moyen-Orient. Ils ne se soucient pas de savoir si les mères pleurent et gémissent pour leurs enfants dans des endroits comme l'Irak, l'Afghanistan, la Libye, la Syrie et ailleurs. Ils ne se soucient pas de savoir si les gens se blessent ou des pays entiers sont vaporisés en une seconde. Ils ne se soucient pas si leur plan a versé trop de sang d'un pays à l'autre. Ils ne se soucient que de remplir leur plan diabolique. Bien sûr, cela est une déclaration forte. Mais écoutez très attentivement à nouveau le Néocon juif Jonah Goldberg: 

"Tous les dix ans ou plus, les États-Unis ont besoin de ramasser dans leurs filets un petit pays de merde pour le jeter contre le mur, juste pour montrer au monde que nous ne plaisantons pas." [6] 

Goldberg avait encore de plus belles choses à dire: 

«Il n'y a rien que nous voulons voir se produire au Moyen-Orient qui peut être accompli en parlant autour de longues tables ornées de bouteilles d'eau et de fruits frais dans les hôtels suisses qui ne peut être accompli plus rapidement et de façon plus permanente par la guerre. Et il y a beaucoup de choses qui ne peuvent pas être réalisées par ces conférences et qui ne peuvent être atteints que par la guerre ». [7] 

Quant aux débâcles néocons comme le désordre complet en Irak, Goldberg dit ailleurs, était «une notable erreur.» [8] 

Gardez à l'esprit que Goldberg est l'auteur de livres tels que « La tyrannie des clichés: comment les libéraux trichent dans les guerres des idées » Goldberg a de nouveau écrit: 

"Est-ce que l’invasion de l'Irak a provoqué une instabilité dans la région? Oui. Mais dans ce contexte, l'instabilité est bien plus profitable pour nous  (sous-entendu : les sionistes)". [9] 

Si cela n’est pas diabolique, alors rien ne l'est. Si Goldberg n’est pas un ennemi de la race humaine, alors personne ne l'est. Cet homme et ses semblables doivent être jugés pour les crimes qu'ils ont commis contre les honnêtes gens au Moyen-Orient. Si J. O'Rourke a raison {que le gouvernement américain est «un parlement de putains» et que les trois branches du gouvernement sont "l'argent, la télévision, et la connerie»}, alors l'esprit révolutionnaire juif, comme E. Michael Jones aurait dit, c’est «la synagogue de Satan." 

Cette synagogue a créé un environnement où «l'argent, la télévision, et les conneries" deviennent la norme. O'Rourke a un chapitre entier dans son livre intitulé: «Nos gouvernants : Qu’est ce qu’ils branlent tout le long de la journée ? Et pourquoi ça nous coûte tout ce putain de fric? »  

Ne devrait-il pas maintenant poser cette question aux néoconservateurs qui nous a donné une guerre de six milliards de dollars? [10] 

En tout état de cause, la stratégie de diviser pour régner a été utilisée et est utilisée par la Mafia Khazare pour détruire les pays et les gens qu'ils n'aiment pas. Michael Hoffman va nous dire une autre facette de cette question d'une importance vitale ici. 

Hoffman: Comme les Saoudiens utilisent la théologie salafiste/wahhabite pour salir les sunnites en les recrutant dans ISIS, et tandis que leurs victimes musulmanes chiites sont méprisées, le sionisme israélien et le judaïsme orthodoxe ont le vent en poupe et gagnent en prestige dans l'Ouest. 

…. 

Ce récit correspond à la Néocon "choc des civilisations" scénario parfaitement. 

Certes, il y a un tel affrontement. Il est né sur le Calvaire il y a plus de 2000 ans. Pourquoi continuons-nous d’oublier? Goldwin Smith, professeur royal d'histoire à Oxford à l'époque victorienne, a écrit: 

"La partie noble de la nation juive, les véritables héritiers de David et des prophètes, a entendu l'Évangile, et sont devenus les fondateurs d'une religion humaine; la partie la moins noble, dirigée par l'orgueil national et le cérémonialisme incarnés dans le Pharisien, a rejeté l'humanité, et retomba dans un tribalisme plus dur et plus étroit qu'auparavant. Excitant la haine des autres nations et les craintes de l'Empire, ils ont perdu leur pays, et ont erré dans le monde en intensifiant leur sentiment tribal, et leur religion plus que jamais identifié avec lui ... Ils ne pouvaient pas être cosmopolites, car ils sont encore sous l'emprise du tribalisme: ils sont devenus, par nécessité, plutopolitains "( Revisionist History newsletter 85, p. 12.). 

"... l'humanité rejetée  ..." Qu'est-ce que ce rejet implique, sinon opposer les races, les religions et les régions les unes contre les autres pour le bien de la tribu à laquelle le professeur Smith fait allusion? La collusion entre l'Arabie saoudite et l'État d'Israël contre les deux pays arabes, la Syrie d'Assad et de l'Irak de Saddam Hussein, reconnus pour la protection de leurs populations minoritaires chrétiennes, est justement célèbre dans le Moyen-Orient, où les États-Unis sont perçus comme le serviteur du golem israélien. 

Les Saoudiens, les gardiens de la Mecque et de Médine, qui contiennent les deux sanctuaires les plus saints de l'Islam, ont vendu les Palestiniens aux Israéliens il y a des décennies, et maintenant Netanyahu peut en faire ce qu’il veut. Ceci est plus qu’une trahison dans le monde islamique, c’est une espèce de trahison presque inimaginable, car les Saoudiens concèdent aussi al-Qods (Jérusalem) aux sionistes, qui abrite le troisième lieu du centre de l'Islam. 

Les chiites, qui ont perdu, à cause du terrorisme d’ISIS, plus de civils que toutes les nations occidentales réunies, n’ont jamais abandonné les Palestiniens et n'ont jamais conspiré avec les Israéliens. Par conséquent, c’est l'Iran chiite et non pas l'Arabie saoudite qui reste dans le collimateur de « notre » Congrès, « notre » Pentagone et « nos »  médias. Aussi bien le Congrès, que le Pentagone ou les médias sont aux mains des sionistes. 

L'Iran va probablement sentir la colère du golem américain si la tordue Hillary gagne la Maison Blanche en Novembre. Les Saoudiens quant à eux, ne souffrent d’aucune sanction américaine en dépit du fait qu’ils ont beaucoup de liens secrets avec ISIS, et qu’ils sont les promoteurs de la théologie hérétique salafiste wahhabite qui alimente la barbarie dans le monde, et qui est soutenue par le gouvernement des États-Unis. 

Le Wall Street Journal du 13 Mars 2015, écrit en page A6: "... la branche syrienne d'Al-Qaïda ... le Front al-Nosra, ... n'a pas « dérangé Israël depuis qu’il a saisi la zone frontalière l’été dernier et certains de ses combattants gravement blessés sont régulièrement pris à travers le frontière pour recevoir des soins dans les hôpitaux israéliens ". 

En Europe, cela est mieux compris. Marine LePen, chef du Front national en France, à la suite de l'assassinat du Père catholique Jacques Hamel, a appelé à la fermeture des «mosquées salafistes. Elle a distingué les Salafistes et, à juste titre, ne se réfère pas aux chiites, alors qu’aux États-Unis, nous ne parvenons pas à faire ces distinctions importantes. 

Le judaïsme utilise la « judeo-Churchianity » dans le Sud de l’Amérique en tant que bras de son appareil de propagande, même si le judaïsme exècre le véritable Évangile de Jésus-Christ. Le judaïsme a utilisé dans le passé et continue d’utiliser maintenant des éléments traîtres de l'islam sunnite, malgré que, comme exposé par le rabbin Maïmonide au Moyen Age, ils maudissent Mahomet et sa religion coranique. 

ISIS est utilisé pour provoquer des états policiers en Europe, au Canada et aux États-Unis, tout ne noircissant la réputation des musulmans et en contribuant à l'assujettissement des Palestiniens par Israël. Plus il y a de terreur ISIS, et plus les libertés civiles sont réduites, et plus la «manière israélienne de traiter » les Palestiniens et les Libanais devient le modèle pour rétablir l'ordre dans l'Ouest. Après le meurtre du prêtre catholique en Normandie, Hervé Morin, président de la région Normandie et ministre de la Défense sous l'ancien président Nicolas Sarkozy, a déclaré: «Nous devons israéliser nos conditions de sécurité." 

Les Israéliens apparaissent ainsi comme les gagnants des relations publiques et les meilleurs amis supposés de la civilisation occidentale. Il est tragique que les personnes concernées par cette question vitale ne paient pas plus d'attention aux textes rabbiniques fondamentaux du judaïsme. Dans la Mishna et la Guemara ( «Talmud») et des livres saints successifs tels que Choul'han Aroukh de Rabbi Joseph Karo, il existe une hostilité indéracinable sauvage envers la civilisation des Gentils, des Goys. 

Nous trouvons cela dans le festival Tisha B’Av (Neuvième Av) et dans le Talmud babylonien lui-même où tuer, voler, violer et les Gentils sont autorisés. Même une brève lecture d’un seul passage du Talmud, Baba Kama, présente de nombreux exemples d'hostilité à l'égard des non-juifs. Dans Baba Kama 113a, nous découvrons que «Il est permis de tromper un Gentil." Dans cette même page, un exemple d’une affaire judiciaire est donné qui oppose un Juif contre un Gentil. Voici l'approche juridique conseillé: "On aborde le cas de manière détournée afin de faire gagner le Juif." 

Tournez la page et on rencontre Baba Kama 113b, dans laquelle les affaires perdues  par un Gentil ne doivent pas lui être rendues, bien qu’elles lui appartiennent, après quoi suivent les instructions sur la façon d’arnaquer les non-Juifs dans les affaires: 

"Il est permis de profiter financièrement d'une erreur d'affaires d'un Gentil." Des cas sont donnés à titre d'illustration. Un de mes favoris personnels est l'exemple de l'arbre de palme qui doit être coupé vers le haut et le bois partagé entre un marchand juif et un marchand Gentil. Dans le Talmud, le Juif intelligent se montre plus malin que son partenaire non juif, ordonnant à son serviteur: 

"Dépêchez-vous et précédez le gentil de sorte que vous pouvez prendre pour moi les troncs les  épais que ceux de la partie supérieure de l'arbre, car le gentil ne connaît que le nombre de troncs qu'il doit recevoir et ne réalisera pas que vous prenez des morceaux plus épais. "(Baba Kama 113b). 

Cette mentalité d’arnaquer les non-juifs est institutionnalisée chez les adeptes du judaïsme orthodoxe. " Les Rabbins sont susceptibles de modifier leurs mots, et l'exactitude de leurs déclarations ne doit pas être invoquée -Le Talmud: (Vol. II, pp 48-49.) Steinsaltz édition. 

Assassinat, viol, pédophilie, sodomie, misogynie, magie, idolâtrie: le Talmud recommande tout cela sous une forme ou une autre. Les 1100 pages dans le livre de cet écrivain, le judaïsme découvert ne suffisent pas à contenir plus d'un fragment. En prévision des objections: non, aucun des textes cités n’est pris "pris hors contexte," non, le Talmud est non seulement une «série de débats », c’est la source sacrée de la halakha (lois du judaïsme) de Chazal (les auteurs collectifs vénérés [les «sages»] du Talmud). 

L’Islam étant dérivé du christianisme et du judaïsme talmudique, contient quelques uns des mauvais traitements et de la tromperie des non-croyants que l'on trouve dans le Talmud babylonien, mais rien de comparable ou à la même échelle, et rien n’est justifié par un des critères raciaux. Pourtant, aux États-Unis et en Occident, la crainte de la loi de la charia est beaucoup plus notoire que celle de la loi halakhique rabbinique. 

Nous ne devons pas seulement procéder par les livres contenant les règles saintes du judaïsme pour racketteurs. Nous avons aussi le témoignage du passé. Dans bulletin Histoire Révisionniste no. 70 (qui est principalement destiné à documenter l'existence de beaucoup de rituels de malédictions du judaïsme sur les chrétiens Birkat Haminim) dans un excursus nous avons sondé les alliances judéo-islamiques en Espagne médiévale, où les malédictions rabbiniques ont grimpé à leurs paroxysmes extrêmes de haine contre les chrétiens, d'une manière qui n'a pas été dirigée contre les musulmans. [11]. De plus, les malédictions rabbiniques officielles sur meshummadim (juifs convertis à d'autres religions, en particulier le christianisme), ne comprennent aucun dénigrement de juifs convertis à l'islam. 

A l'époque médiévale, le judaïsme a pu prospérer sous l'islam alors qu'il était sévèrement restreint en Europe catholique. Pour cette raison, entre autres, le « Na jamais pardonner/ Ne jamais oublier » sera toujours vivace jusqu'à ce que l'Europe soit ruinée et que les populations européennes soient sévèrement diminuées. Cela ne se fait pas seulement par le pion du judaïsme qu’est ISIS. Les médias sionistes influencent et  promeuvent l'avortement, la contraception, [NdT. l’homosexualité,] l'euthanasie et la haine de soi, qui sont tous des cas de pandémie en Europe et dans les pays occidentaux en général. 

Les idéologies modernistes de provenance rabbinique ou sioniste qui ont pour principe le rejet de l'Évangile authentique de Jésus et la mise en place des contrefaçons. Elles tuent psychologiquement et spirituellement. 

Dans le numéro actuel de Revisionist History newsletter (no. 85) nous étudions comment la banque Rothschild a gagné sa domination sur l'Angleterre à l'époque victorienne. Nous documentons que lorsque les nations balkaniques chrétiennes captives de l'Empire ottoman se révoltèrent avec l'aide de la Russie tsariste, ce sont les Rothschilds, avec l'aide du Premier ministre britannique Benjamin Disraeli, qui a soutenu le califat contre les chrétiens, en dépit des (ou peut-être dans l'approbation des) massacres de chrétiens bulgares et serbes par les milices ottomanes. 

Dans notre 21ème siècle, la nation israélienne a été à l'abri des attaques d’ISIS, [NdT : d’al-Qaïda et des autres djihadosionistes, qu’on désigne globalement par « Frères Musulmans »]. Le dossier montre que les hôpitaux israéliens ont rafistolé les terroristes d’al-Qaïda et d’ISIS, puis les ont ramené en Syrie pour aider à renverser le régime d’Assad, ami et protecteur des chrétiens.