WWIII : ALERTE ROUGE, LES RUSSES SANGUINAIRES, LE COUTEAU DANS LA BOUCHE, VONT S'EN PRENDRE AU PEUPLE FRANÇAIS DÉJÀ SUBMERGÉ PAR LES MIGRATIONS NATURELLES DES OISEAUX DE MAUVAISE AUGURE. NOUS LES PEUPLES DU MONDE LIBRE, NOUS DEVONS ATTAQUER POUR EXISTER.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

 

WWIII : ALERTE ROUGE, LES RUSSES SANGUINAIRESLE COUTEAU DANS LA BOUCHE, VONT S'EN PRENDRE AU PEUPLE FRANÇAIS DÉJÀ SUBMERGÉ PAR LES MIGRATIONS NATURELLES DES OISEAUX DE MAUVAISE AUGURE. NOUS LES PEUPLES DU MONDE LIBRE, NOUS DEVONS ATTAQUER POUR EXISTER.

POUTINE ANNONCE POUR LA PREMIÈRE FOIS LA DOCTRINE DE LA CONFRONTATION MONDIALE AVEC LES USA ET L'EUROPE. IL CONFIRME QUE DANS CES CONDITIONS LE NORD DE LA FRANCE AURA DISPARU JUSQU’À LA LOIRE, AINSI QUE LA GRANDE BRETAGNE, SANS PARLER DES BASES OTAN QUE L'EUROPE DU NORD VERRA FONDRE EN MÊME TEMPS QUE LES GLACIERS ET LE NIVEAU DES MERS QUI POURRAIT MONTER DE 60 M D'UN SEUL COUP! ET LE G7 DE BIARRITZ POURRAIT FUSIONNER AVANT D'AVOIR COMMENCÉ. 

NOUS AIMONS LA PASSIVITÉ ET LA SOUMISSION DE NOTRE ARMÉE QUI COMME EN 70, EN 14 ET EN 39 A SUIVI LES ROTHSCHILD. (VOIR EN FIN DE PAGE).

LES FRANÇAIS DONT LES MÉDIAS NE RAPPORTENT PLUS  LE NOMBRE DE TUÉS, D'ÉGORGÉS, DE VIOLÉS, DE VOLÉS, D'ASSURANCES QUI NE VEULENT PLUS PRENDRE EN COMPTE LES "INCIVILITÉS" DES MASSES MIGRATOIRES, LE SANG NEUF QUE SOROS A DONNÉ A L'EUROPE, QUI AMÈNENT DES MALADIES QU'ON CROYAIT DISPARUES, DES ENFANTS SANS PARENTS QUI ERRENT DANS LES RUES ET SQUATTENT LES VILLAS DES VIEUX QUI SE RETROUVENT AVEC EUX, SANS POUVOIR LES CHASSER, CAR FINANCÉS PAR DES ASSOCIATIONS CARITATIVES DES MAIRIES, QUI TOUCHENT L'ARGENT SANS S'EN OCCUPER, ET DONT LA POLICE MUNICIPALE NE PEUT QUE LES RÉINSTALLER DANS LES SQUATS, DANS LA MESURE OU ILS NE VEULENT PAS RETOURNER  DANS LES AIDES A LA PETITE ENFANCE ABANDONNÉE, CAR CELLE-CI EST INCAPABLE DE LES GARDER.

 

PRÉSIDENT POUTINE, LES FRANÇAIS NE VEULENT PAS LA GUERRE ET SEULE NOTRE ARMÉE DE VENDUS AU NOUVEL ORDRE MONDIAL DES BARBOUZES SE FERA UN PLAISIR D'ÊTRE MASSACRÉE PAR VOS SOINS.  NOUS NE VOULONS PAS LA GUERRE, MAIS ILS NOUS L'IMPOSE.

LES MILLIERS DE TENTES INSTALLÉES A MÊME LES RUES DANS PARIS ET LES BANLIEUES, NE S’ÉTAIENT PLUS VUES DEPUIS LA LIBÉRATION DE LA FRANCE EN 1945. LA GUERRE AMÈNE SES PROBLÈMES AVANT MÊME QU'ELLE NE SOIT DÉCLARÉE OFFICIELLEMENT, ET LES MIGRATIONS SONT FAVORISÉES PAR LES SAOUDIENS, ISRAËL, ET LES BOMBARDEMENTS ET ACTIONS INCESSANTES DES FORCES DE LA COALITION AU YÉMEN, EN SYRIE, EN IRAQ, EN LIBYE, EN AFRIQUE, AU MALI, EN CENTRE AFRIQUE, ET EN GÉNÉRAL AU MOYEN-ORIENT, EN AFRIQUE ET EN AMÉRIQUE DU SUD COMME LE VENEZUELA, AFIN QUE LES MILLIARDAIRES S'APPROPRIENT LES RICHESSES NATURELLES DE CES PAYS, CAR LE PÉTROLE EST LE NERF DE LA GUERRE. 

 

LES ENNEMIS SONT DÉSIGNÉS DE LONGUE DATE, ET LA COALITION FAIT EN SORTE QUE LA CHINE NE SOIT PAS CONCERNÉE CONTRE LA GUERRE QUI SE PRÉPARE CONTRE LA GRANDE RUSSIE, 27 FOIS LA FRANCE. LA FRANCE VA DÉGUSTER AVEC L'EUROPE, ET LES RICAINS, COMME D'HABITUDE INTERVIENDRONT VERS LA FIN, POUR RAMASSER LES LAURIERS DE LA PROVIDENCE, QU'ILS ONT PATIEMMENT INSTILLÉ DANS LEUR DÉMARCHE POUR CONSERVER L’HÉGÉMONIE FINANCIÈRE, POLITIQUE, CULTURELLE ET ECONOMIQUE QU'IL VEULENT POUR LE PLUS GRAND BIEN DE LEURS MILLIARDAIRES A LA CONQUÊTE DES MARCHÉS TRUQUÉS ET DE LA DESTRUCTION ÉCOLOGIQUE DU MONDE, DONT ILS NE VEULENT RIEN ENTENDRE.

 

Essai :

 
Pour Macron, cela devient très clair, alors que les Boches du journal Die Welt, financés par George Soros, désignent la Russie coupable d'agression sérieuse contre le Monde Libre de l'Amérique et de l'Europe, représenté par Emmanuel Macron et les Rothschild, il est urgent d'appliquer la même tactique que les Russes et de les détruire avant qu'ils nous détruisent.
 
C'est pour cela que le G7 de Biarritz, fin Août 2019, devra donner les dernières modalités d'un bombardement nucléaire de Moscou, et d'autres villes Russes, afin d'éliminer la menace mortelle qui pèse sur nous venant de la Russie.
 
"Nous le Monde Libre", nous voyons que la Russie sape l'ordre Mondial établit, et menace l'Otan qui a dû se mettre aux frontières même de la Russie, tellement la menace est grande, et tellement les frontaliers ressentent le stress de ses ambitions à détruire l'Europe et Paris.
 
Il est vrai qu'une fois détruite, la Russie ne devrait plus présenter aucun danger, et l'ordre Mondial que soutient le Pape François, également financé par George Soros, serait sauvé ainsi que la Chrétienté qui pourrait s'ouvrir alors à toute l'Humanité, car toutes les raisons sont bonnes pour mettre de l'ordre dans l'immense enclos des brebis, qui cherchent vainement à quel Saint se vouer.
 
Les Rothschild, l'on bien prévu en mettant en place le Macron qui n'était pas connu avant qu'il ne soit présenté au public, pour devenir le Président du Monde Libre, élu librement par des bourrages d'urnes, car ils n'ont pas digéré, qu'ils se fassent rembourser intégralement de leurs dettes par la Russie, qui ne veut plus du dollar.
 
Rappelez-vous ce qu'il s'est passé en Libye, quand le Colonel Kadhafi a essayé de supprimer le Franc CFA. On a fait la guerre en Libye (Sarkozy et Macron maintenant), et les services secrets français on tué Kadhafi. Vous supprimez le gagne-pain des juifs Pharisiens, et même le Christ a dû y passer, car on ne peut pas impunément s'en prendre au monde de l'argent. Chose pensée, chose faite, l'été sera chaud, et le dérèglement climatique va devoir imposer des réserves d'eau, et Macron comme son prédécesseur Pétain, va se contenter de Biarritz à la place de Vichy ou Bordeaux, jusqu'à ce que la situation climatique sur Paris, avec les particules extra-fines, nucléaires et non bio-dégradables, repasse à la normale.
 
De toutes façons, après ce règlement de bons comptes, qui font de bons amis, on dira que la France n'était déjà plus la France, mais un ramassis d'émigrés indomptables, qu'il a fallu châtier pour s'en débarrasser avec des problèmes collatéraux sur les derniers Français de souche, et que les pertes induites sont surtout dues aux Russes, qui voulaient nous attaquer et que l'on a châtié par surprise avant qu'ils ne mettent en musique, les chants de Drozdovski.

 

🇷🇺 Марш Дроздовского Полка/Drozdovski Regiment March (français ST)

Cette chanson est un hymne à la gloire du régiment d'officiers volontaires du général Mikhaïl Drozdovski.

Description (optionnelle)

 
https://ville.biarritz.fr/fileadmin/user_upload/biarritz/Ville/telechargements/BTZ-MAG/_BIARRITZ_MAG_294_web.pdf
 
George Soros a rencontré en secret le premier ministre espagnol pro-migrants:

 
 
RAPPEL sur les Plans de SOROS ET DES ROTHSCHILD :02.07.2018 / Christian Hofer
 
Le rendez-vous confidentiel a eu lieu, mercredi dernier, dans la résidence de Pedro Sánchez, selon un média espagnol.
 
Le milliardaire américain George Soros a rencontré en secret le nouveau premier ministre espagnol socialiste, Pedro Sánchez, favorable comme lui à la cause des migrants, rapporte le média local Okdiario. Le rendez-vous confidentiel, qui n’était pas mentionné à l’agenda officiel, a eu lieu, mercredi dernier, au palais de la Moncloa, la résidence du président du gouvernement espagnol.
 
« La discussion a duré environ une heure et demie. Ont assisté à la réunion deux autres personnes non identifiées, qui pourraient être des conseillers financiers », précise le site de presse espagnol, rappelant qu’il y a un mois, l’homme d’affaires d’origine hongroise, dont la fortune personnelle a été estimée à 8 milliards de dollars par le magazine Forbes, avait averti à Paris que l'Europe en danger préparait « une autre crise financière majeure ».
 
Soros, qui a investi dans plusieurs entreprises locales, a aussi rencontré le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération, Josep Borrell, « pour pouvoir partager leurs points de vue économiques et futurs », ajoute Okdiario. Dans la lignée du combat du milliardaire progressiste, dont l’organisation Open Society Foundations soutient l’ouverture des frontières, Pedro Sánchez avait lui accepté d’accueillir, il y a deux semaines, les 630 migrants du navire Aquarius, refoulé par le gouvernement italien.
 
Valeurs Actuelles
 
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George Soros explique à l’Europe ce que devrait être sa politique migratoire
08.10.2016 / Christian Hofer
 
[Dans une tribune libre parue le 4 octobre 2016 dans le quotidien allemand Die Welt, George Soros explique en sept points ce que devrait être la politique migratoire de l'UE. Extraits :]
 
Premièrement, l’UE doit accueillir un nombre considérable de réfugiés directement des États de la ligne de front, et ceci de façon sûre et ordonnée.
 
Deuxièmement, l’UE doit retrouver le contrôle de ses frontières. Rien n’irrite et n’inquiète davantage l’opinion publique que les scènes de chaos.
 
Troisièmement, l’UE doit dégager des moyens financiers suffisants pour financer une vaste politique migratoire. Selon des estimations, il faudra pour cela, pendant un certain nombre d’années, au moins 30 milliards d’euros par an.
 

La presstituée dans toute sa splendeur 

Si certains pensaient qu'après avoir été prise à de multiples reprises la main dans le sac, la journaloperie mettrait le holà à son entreprise de désinformation, ils se fourraient le doigt dans l’œil. Telle une éruption cutanée, les mensonges ont, ces derniers jours, fleuri sur la vérolée peau médiatique... 
 

  

L'arrestation, à Turin, d'un groupe néo-nazi en possession d'un arsenal militaire a été l'occasion pour notre bonne presstituée en service commandé de pointer un doigt accusateur vers Moscou. Evidemment, qui d'autre ? De l'imMonde au Fig à rot en passant par le Nouvel Oups, BFM ou la BBC, ce n'est qu'un seul cri : ces fanatiques ont combattu aux côtés des séparatistes pro-russes du Donbass. Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose... 

Seul petit problème, la police italienne dit exactement le contraire ! Ces néo-nazis se sont engagés pour soutenir leurs petits amis du Maidan.

CONTRE les séparatistes : 

 

Plus le mensonge est gros, mieux il passe. Pas de quoi empêcher de dormir la plumaille occidentale qui a fait sienne la maxime de Goebbels et s'est, depuis bien longtemps, assise sur ce qui lui restait d'éthique. L'occasion de rappeler la célèbre colère du journaliste américain John Swinton quand, lors d'un banquet, on proposa de boire un toast à la liberté de la presse. C'était en 1880 et ça n'a pas perdu une ride : "Il n'existe pas de presse libre et indépendante. Pas un seul parmi vous n'ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l'opinion. Nous sommes des prostituées de l'intellect." 

On en sait quelque chose chez CNN, qui part dans une croisade contre celui qui devrait pourtant être le héros d'une presse libre : Julian Assange. Ce n'est sans doute pas un hasard si des journalistes vendus jusqu'à la moelle et mangeant à tous les râteliers s'en prennent à l'un des derniers représentants intègres de la profession. Quelque chose comme de la mauvaise conscience.

 

Non contente d'avoir vu son audience et sa crédibilité s'écrouler littéralement après le pipeau de la "collusion russe", la télé-poubelle d'Atlanta double la mise. Apprenez-le, bonnes gens, l'horrible Poutine des neiges et le lanceur d'alerte ont comploté contre l'éblouissante démocratie américaine. Et puis, tant qu'à faire, la conspiration inclut aussi Trump et RT. Autant mettre tout le monde dans le même sac, c'est plus simple. 

On attend avec impatience le prochain scoop de CNN... 

 

*** Addendum *** 

Sous on ne sait quelles pressions, la page du site officiel de la police italienne a été modifiée. La phrase accusant ce groupuscule d'avoir combattu contre les séparatistes pro-russes a été caviardée pour devenir plus consensuelle : ils ont simplement pris part au conflit armé dans le Donbass, sans préciser le camp. La propagande médiatique, elle, reste entière : aucune modification de ce côté... 

 

 

 

G.B. Les starlettes de David dans le "foot exclusivement juif" 

 

Comme je l’ai décrit dans les articles «La liberté de parole doit mourir!» et Trashing the Torah,” les Juifs d’Occident veulent imposer une définition ridiculement vague de l’antisémitisme conçue par l’Alliance Internationale de la Mémoire de l’Holocauste [1]. La définition est conçue pour mettre fin à la liberté d'expression. Elle se présente comme suit: 

L'antisémitisme est une certaine perception des Juifs, qui peut être exprimée sous forme de haine envers les Juifs. Les manifestations rhétoriques et physiques de l'antisémitisme s'adressent aux individus juifs ou non juifs et / ou à leurs biens, aux institutions communautaires juives et aux installations religieuses. (Qu'est-ce que l'antisémitisme ?, La campagne contre l'antisémitisme) 

Les prétendues priorités des juifs 

La définition a été adoptée «intégralement» par le parti conservateur britannique, la Chambre du gouvernement de Floride et de nombreuses autres institutions et organisations occidentales. Elle s’accompagne d’une longue liste «d’exemples contemporains d’antisémitisme», dont l’un se présente comme suit: 

Accuser les citoyens juifs d'être plus fidèles à Israël, ou aux prétendues priorités des Juifs du monde entier, qu'aux intérêts de leurs propres nations. (What is Antisemitism? Qu'est-ce que l'antisémitisme?) 

Et oui, les antisémites accusent certainement les «citoyens juifs» de déloyauté envers les nations goyim dans lesquelles ils vivent actuellement. Par exemple, dans «Un shabbos shiksa sans vergogne» [2], j'ai dit queStuart Polak, un ancien directeur des Amis Conservateurs d'Israël, ne s'intéressait qu'à Israël et aux intérêts juifs, pas à la Grande-Bretagne. Mais ce ne sont pas seulement des sites haineux  qui font la promotion de cet horrible stéréotype de la déloyauté juive. Vous pouvez également trouver ce stéréotype promu dans le plus ancien et le plus populaire journal juif de Grande-Bretagne, le Jewish Chronicle. 

Plus fidèle à Israël 

Comment est-ce possible? Très facile, semble-t-il.  

Le Jewish Chronicle a récemment rapporté que l'équipe de footballexclusivement juive Maccabi London Lions F.C.a envoyé certains de ses joueurs juniors à un tournoi de football exclusivement juif en Hollande appelé Jom Ha Voetbal, ou «Journée du football» (Jom Ha signifie «Jour (des) le» en hébreu et Voetbal signifie «Football» en néerlandais). Pour fêter leurs succès au tournoi, une équipe junior de Maccabi et ses deux superviseurs adultes ont posé sur le terrain avec un drapeau du Maccabi F.C. comme ceci:  

 

 

Starlettes de David:  
Maccabi London F.C. pose avec un drapeau israélien 

Comme vous pouvez le constater, onze citoyens britanniques juifs ont choisi de célébrer cet événement en posant fièrement, non pas avec un drapeau britannique ou anglais, mais avec un drapeau israélien portant l'étoile de David. Ces citoyens juifs sont-ils «plus fidèles à Israël qu'aux intérêts de leur propre nation»? Eh bien, quelle autre conclusion pouvez-vous en tirer? Et lorsque la Jewish Chronicle a publié cette photo en juillet 2019, elle l'a fait sous le titre approuvé «Les starlettes du Maccabi London brillent sur la scène européenne». En d'autres termes, la Jewish Chronicle est très heureuse de promouvoir un «exemple contemporain d'antisémitisme». La Jewish Chronicle considère comme une donnée fondamentale la loyauté envers Israël chez les Juifs britanniques, tout en condamnant simultanément tous les Gentils qui soulignent cette fidélité fondamentale. 

Vivre la culture juive 

L'histoire de Maccabi London F.C. a cité le manager des joueurs juniorsLee Reuben, qui a déclaré: «Les garçons ont fait honneur au club. C’est toujours agréable de rentrer à la maison avec des médailles, mais plus important encore, ils ont pu vivre la culture juive et un shabbat en équipe ensemble. … Nous sommes tous extrêmement fiers d’eux et sommes impatients de les voir continuer à représenter le club à l’avenir. » 

Lorsque les garçons juifs sont «un crédit» à une équipe sportive exclusivement juive, la « culture juive » impose clairement l’épanouissement du drapeau israélien (que l'on voit souvent dans les célèbres clubs de football Tottenham Hotspurs à Londres et dans Ajax Amsterdam, tous deux considérés comme des «clubs juifs»). La photo de Maccabi F.C. illustre également un autre aspect central de la culture juive: le «suprémacisme blanc» dont j'ai parlé dans «les faits: le suprémacisme blanc dans la communauté juive». Parce que Maccabi London F.C. estréservé uniquement aux joueurs juifs, il peut exclure les joueurs noirsqui sont par ailleurs si importants dans le football britannique. En conséquence, les onze Juifs sur la photo sont tous des visages pâles, et les parents des joueurs juniors ne doivent pas craindre que leurs fils soient blessés ou influencés par des Noirs violents et prédateurs. 

Mais il n’existe aucun moyen pour les Goyim Blancs britanniques de former des équipes de football qui peuvent exclure officiellement et légalement les Noirs et les autres non-Blancs. Une telle exclusion serait illégale au regard des lois «anti-discrimination» créées et appliquées par des Juifs tels qu'Anthony Lester et Jim Rose du Runnymede TrustMaisMaccabi London F.C., dont le nom célèbre les nobles Macchabées juifsqui se sont rebellés contre l'oppression et la cruauté les Gentils dans l'ancienne Palestine, peut exclure les Noirs en prétendant recruter des joueurs en fonction de leur religion plutôt que par race. Tous ceux qui ont critiqué le Maccabi London F.C. pour  cela, feront, bien sûr, face à une accusation d’antisémitisme, qui est une accusation sur-utilisée et généralement injustifiée. 

Holocauste sur l’étagère 

Quand je dis cela, j’utilise un autre «stéréotype antisémite»: les Juifs utilisent des accusations d’antisémitisme de manière malhonnête et égoïste. Mais devinez quoi? La Jewish Chronicle a également promu ce stéréotype antisémite. Ou du moins, la journaliste juive Melanie Phillips l'a fait dans la Jewish Chronicle. Phillips est l’un des rares Juifs prêts à critiquer ouvertement les autres Juifs pour avoir porté atteinte aux intérêts des Gentils. Début juillet 2019, elle s'est opposée à la construction d'un monument commémoratif de l'Holocauste [3], immense et moche, près des Chambres du Parlement à Londres: 

Pourquoi n'y a-t-il pas plus de gens qui dénoncent le projet mal conçu de construire un mémorial de l'Holocauste à Victoria Tower Gardens? La proposition, actuellement examinée par le Conseil de Westminster, bénéficie d'un large soutien, mais elle suscite une vive opposition, quant à son impact sur les jardins, de groupes tels que Royal Parks, la Victorian Society et Historic England. 

Un groupe de pairs juifs appartenant à plusieurs partis a également pris la parole. Il y a d'autres opposants mais ils se taisent - presque certainement parce qu'ils craignent d'être accusés d'antisémitisme. 

À tous les niveaux, il s’agit d’un projet mal fondé. D'un point de vue architectural, ce sera une horreur. Conçu à l’origine avec 23 grands ailerons de bronze, il a été comparé à un grille-pain géant.  Une conception révisée semble avoir abaissé les ailerons et permis des vues moins restreintes du palais de Westminster, mais menace toujours de se démarquer dans un contraste brutal avec son environnement. 

Le programme a été qualifié de «mission sacrée nationale» par Theresa May, tandis que tous les anciens premiers ministres encore en vie - David Cameron, Gordon Brown, Tony Blair et Sir John Major - ont exprimé leur soutien. Ils semblent tous avoir été motivés par un instinct décent de lutter contre l'antisémitisme et le négationnisme. Et situer le mémorial à côté du Parlement lui-même est un signe évident et symbolique de l’acceptation politique de la communauté juive de Grande-Bretagne. Ce qu'ils semblaient tous oublier, c’était l’impact environnemental probable sur le reste de la population. … (Ce grille-pain géant ne nous aidera pas à lutter contre la haineThe Jewish Chronicle, 7 juillet 2019.) 

 

 

Un grille-pain [4] de 102 millions de livres sterling: le mémorial de l'Holocauste et le centre d'apprentissage proposés près du Parlement 

Remarquez comment Phillips promeut un stéréotype antisémite: les Gentils«se taisent - presque certainement parce qu'ils craignent d'être accusés d'antisémitisme». En d'autres termes, elle déclare que les Gentils ont des objections légitimes contre ce «grille-pain géant», mais ils ne les expriment pas car ils craignent que les Juifs ne les accusent injustement d'antisémitisme. 

Et remarquez le "contraste brutal avec son environnement." Il n’y a manifestement aucune tentative de s’intégrer dans le milieu culturel de la société au sens large. À l'instar du drapeau israélien présenté par une équipe de football composée de citoyens britanniques, le grille-pain de l'Holocauste témoigne d’une évidente réalité: l'assimilation des Juifs de la diaspora est, au mieux, superficielle. 

Et enfin, remarquez que même si Phillips et certains de ses pairs juifs se sont levés pour parler contre le mémorial, aucun non-juif de marque ne l’a fait, assurant que son acceptation   était pratiquement assurée. ... 

C'est un peu comme les rares Juifs du Congrès américain qui ont voté contre la guerre en Irak alors qu'ils savaient pertinemment que la guerre était appuyée de manière écrasante par le Congrès et que la guerre était soutenue par l'AIPAC, le gouvernement israélien, les médias néo-cons, le complexe de lobbying gouvernemental, l'ADL (qui a joué un rôle de soutien en accusant d’antisémitisme quiconque suggérant une implication juive dans la promotion de la guerre). Ils comprirent que leur vote n'aurait aucun sens mais serait utile pour désamorcer l'idée que l'influence juive était une condition nécessaire à la guerre. 

Rétribution et récompense 

Je suis d'accord avec Mélanie Phillips: les goyim la bouclent effectivement "par peur des juifs". Cependant, je pense que Phillips a tort de dire qu’ '"un instinct décent pour lutter contre l'antisémitisme et le négationnisme de l’Holocauste" explique pourquoi "tous les anciens premiers ministres encore en vie ” ont soutenu le mémorial sur son site proposé. En effet,David Cameron, Gordon Brown, Tony Blair et John Major sont tous devenus Premier ministre avec un financement juif et le soutien des médias juifs, à l'instar de l'actuelle première ministre, Theresa May. 

Je pense que la crainte de la rétribution des Juifs et l'espoir d'une récompense supplémentaire expliquent leur soutien au grille-pain de l'Holocauste, et non à "l'instinct décent". Ils sont chabbos et j'espère qu'un jour ils seront tous jugés pour trahison. Comme les «citoyens juifs» en Grande-Bretagne, ils ont été plus fidèles à Israël et aux priorités des Juifs du monde entier qu’aux intérêts de leur propre nation. 

Par  Tobias Langdon 

NOTES 

[2] Une shiksa (ou « shikse » - yiddish : שיקסע) désigne en yiddish une femme non juive, plus spécifiquement une jeune fille fiancée ou mariée à un homme juif. 

Un Shabbos goy (yiddish : שבת גוי ; hébreu moderne : גוי של שבת goy shel shabbat) est quelqu'un qui aide régulièrement une personne ou une organisation juive en exécutant pour elle certains actes que la loi juive lui interdit le jour du Shabbat. L'expression combine le mot « Shabbes » (שבת), qui se réfère au Shabbat, et le mot « goy » (גוי), qui désigne « l'étranger » ou « le non-juif ». 

[4] Holocauste (selon Larousse) 

(Bas latin holocaustumdu grec holokaustosde holosentier, et kaustos,brûlé) 

Dans l'ancien Israël, sacrifice religieux où la victime, un animal, était consumée par le feu . 

Dans ces définitions, l’Holocauste rappelle plus les bûchers de l’Inquisition catholique que les hypothétiques chambres à gaz. Le terme le plus approprié aujourd’hui serait donc « méchoui ». Un monument en forme de grille-pain est donc mal adapté, il aurait mieux valu le faire en forme de barbecue. 
N.B.  

Je rappelle à l'Inquisition franco-sioniste, que le Jewish Chronical est un journal juif. Ne gaspillez pas l'argent du contribuable français en le poursuivant pour antisémitisme.  

 

Poutine annonce la doctrine de la confrontation globale avec les États-Unis 

La confrontation avec la Grande-Bretagne et les États-Unis a toujours été la base du discours politique de la Russie, mais pour l’élite politique post-soviétique, ce que Poutine a déclaré le deuxième jour du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg de 2019 était une insolence inimaginable. Ce fut l’effondrement de tous les canons et des orientations précédentes. 

Ce que Poutine a dit depuis la tribune principale du forum, le vendredi 7 juin, restera dans l’histoire comme le deuxième discours de Munich. On peut chercher des analogies dans le discours de Churchill à Fulton, à la différence près que le discours de Poutine n’était pas aussi passionné et péremptoire. Poutine a depuis longtemps acquis la réputation d’un homme politique dont la main de fer porte toujours un gant de velours. 

Mais cela ne change pas son essence : Poutine a annoncé pour la première fois au monde que la Russie ne reconnaît plus le système établi de domination mondiale des États-Unis. Qui plus est, la Russie lance un défi total à ce système et s’unit à la Chine et au reste du monde dans cette confrontation, ou plus précisément à ses parties qui n’ont pas perdu la volonté d’échapper au joug américain et qui cherchent une force à laquelle ils peuvent se joindre. 

Il y a là une différence : ne pas reconnaître de facto, reconnaître de jure, et arrêter de reconnaître de jure, puis annoncer ouvertement qu’il y a désormais officiellement deux blocs dans le monde : ceux avec les États-Unis et ceux contre eux. Et la Russie est avec ceux qui sont contre les États-Unis. Ce choix est littéralement subi par l’élite politique actuelle de la Russie. Plus précisément, son avant-garde en a souffert, ses groupes dirigeants, ceux qui font partie du cercle restreint de Poutine et qui construisent leur pouvoir sur l’État, son pouvoir et sa souveraineté. 

Ces groupes comprennent qu’ils sont contrés en Russie par des forces puissantes ayant une conception complètement différente de la domination, par ceux qui construisent leur position sur la base des cercles financiers et politiques de la Grande-Bretagne et des États-Unis, dont les enfants y vivent et étudient, et par ceux qui maintiennent leurs affaires dans la juridiction anglo-saxonne. 

Ces forces exigent la subordination des intérêts nationaux de la Russie et de sa classe politique dirigeante aux intérêts des cercles dirigeants de l’Angleterre et des États-Unis. Car c’est cette condition dont ces cercles dirigeants ont besoin, et c’est dans leur domination qu’ils voient leurs chances de prospérité. Mais de plus en plus dans l’élite de la Russie la scission apparaît, et Vladimir Poutine réduit soigneusement la virulence de la confrontation des groupes de l’élite divisée. 

Il est très difficile d’être un arbitre dans une telle situation, où l’économie, la propagande, l’armée, les services secrets, les élites régionales et fédérales, les entreprises, les syndicats, la bureaucratie, le peuple… Chaque département défend ses propres intérêts. Comment exprimer dans une telle situation le sens caché de la politique, de chacune de ses décisions ? 

Poutine a attendu pendant 12 ans. Douze ans se sont écoulés depuis le premier avertissement, le discours de Munich, dans lequel Poutine avertissait que l’Occident était au bord d’une confrontation dangereuse, et que dans cette confrontation il surestime ses forces. Pendant 12 ans, l’Occident n’a pas cru à ces avertissements. Et maintenant, comme on dit, « ça devait arriver ». 

Ayant rejeté tous les ambages, sans la moindre insinuation et sans tourner autour du pot, Poutine a annoncé pour la première fois de sa carrière politique l’intention de la Russie de séparer l’Europe des États-Unis. C’est exactement ce à quoi sert la construction de l’opposition américano-européenne dans son discours, indiquant un conflit d’intérêts aigu et inconciliable entre l’Europe et l’hégémon anglo-saxon. 

Non seulement Poutine a une fois de plus fait de la publicité pour Nord Stream 2, mais il a montré qu’il répondait aux intérêts les plus profonds de l’Europe. Sinon, l’Europe n’aurait jamais adhéré à ce projet. Et il a également montré toute l’incohérence entre ces intérêts européens et les intérêts américains, qui se tournent de plus en plus vers le langage des ultimatums et de la torsion de bras dans les conversations avec l’Europe. Dans un monde où la domination américaine illimitée règne en Europe, les élites européennes actuelles n’ont pas leur place, même physiquement. 

Poutine, après avoir souligné la contradiction entre les intérêts des États-Unis et de l’Europe, non seulement les a abordés, mais s’est concentré sur ce nœud névralgique avec toute sa force de pression. Derrière le conflit d’intérêts autour du gazoduc, il y a un conflit de tous les intérêts vitaux. L’Europe a même cessé d’être un vassal pour les États-Unis, c’est maintenant une ressource pour les États-Unis, une ressource sans laquelle les États-Unis cessent d’exister en tant qu’hégémon, ou peut-être même en tant qu’État. 

Pour l’Europe, le différend avec les États-Unis n’est pas un malentendu sur la question d’une divergence d’interprétation des principes démocratiques ; c’est un différend existentiel entre prédateur et victime. La trêve des eaux est terminée, pour le lion anglo-saxon, le daim européen n’est plus un moyen de conquérir par sa quiétude, mais une proie, que le chasseur doit tuer et dévorer, s’il ne veut pas mourir de faim. 

Et cela signifie que la mort menace, avant tout, l’Europe, et de là, d’où elle a toujours eu l’habitude d’obtenir sa subsistance, tout en obéissant à la volonté du gardien. Maintenant, toutes les vitamines distribuées doivent être remboursées. L’Europe se trouvait dans la situation d’une vache qui ne croyait toujours pas qu’on ne la nourrissait que pour la traire tout le temps, puis pour la manger. Maintenant elle commence à le comprendre, et Vladimir Poutine le dit haut et fort au monde entier. 

La justification de Poutine pour la campagne globale contre les États-Unis est qu’il a accusé ces derniers de détruire le cadre juridique commun existant. Les États-Unis sont passés à des méthodes de mainmise directe et musclée, ce qui crée une réalité totalement nouvelle. À travers le monde, des potentiels d’économies nationales en pleine croissance se créent déjà, et ces peuples sont prêts à se défendre par tous les moyens contre l’agression américaine. 

Il est intéressant de noter que ce n’est pas Xi Jinping, mais Poutine qui a donné l’exemple de l’agression américaine contre la société chinoise Huawei, montrant ainsi que les positions de la Chine et de la Russie dans cette confrontation sont communes. La crise économique mondiale est liée à l’épuisement des marchés existants et à l’inévitabilité de la redistribution des forces. Et le discours de Poutine est un avertissement direct adressé aux États-Unis sur les limites de ce qu’ils peuvent faire. 

Si vous êtes un hégémon, et que soudain quelqu’un vient vous tracer une ligne à la craie sur le sol et vous dit : « Si tu la franchis, tu auras une raclée, crois-moi sur parole » et que des observateurs silencieux vous écoutent, une expression très malveillante sur le visage, et se grattant le dos de la tête avec une massue, vous avez des problèmes. Vous avez de sérieux problèmes. 

On ne vous a pas seulement désigné les limites de vos possibilités, mais aussi celui qui vous a fixé ces limites. C’est-à-dire, le prétendant à votre hégémonie. En fait, celui qui n’a pas reconnu votre autorité publiquement. Il s’est levé et a dit devant tout le monde : « Je pense que ta place est près du seau à déjections [expression venant du milieu carcéral – note de la traductrice] », comme l’a dit le héros d’une de nos comédies populaires. Que faites-vous dans une telle situation ? Déchirer votre T-shirt sur votre poitrine et faire le signe des cornes [pour conjurer le mauvais œil] ? Et s’ils n’ont pas peur et qu’ils ne s’écrasent pas, alors quoi ? Surtout quand on sent instinctivement qu’on ne peut pas tirer contre tout le monde. Que faire ? 

Poutine a dit : l’époque où le système américain s’impose à tous est révolue. Les pays en développement ont gagné beaucoup de poids dans l’économie mondiale et les conditions sont en train de changer. Et pour la première fois, ce ne sont pas les États-Unis qui l’ont annoncé, mais d’autres qui l’ont annoncé aux États-Unis. Ce n’est pas juste une gifle, c’est un coup de pied au cul. Avec une énorme marque blanche sur le siège. 

Regardez la rhétorique de Poutine – il a ouvertement appelé les États-Unis des pilleurs [quand il parle des raids économiques – note de la traductrice]. C’est-à-dire, des voleurs de grand chemin, des pirates, des racketteurs. C’est un événement sans précédent. Et ce n’est pas une allégorie émotionnelle. C’est une tentative directe de délégitimer l’hégémonie américaine. Un voleur n’est pas un concurrent ordinaire, un voleur est un criminel. Et avec un criminel on parle le langage de la force, pas celui des intérêts communs. 

En fait, Poutine ne s’est pas contenté de dire au monde entier : « La domination américaine est illégale, et les États-Unis eux-mêmes sont prêts à outrepasser les lois de la communauté civilisée ! » Il ne s’est pas contenté de le dire : « Si cela continue, la guerre contre les États-Unis n’est pas seulement légale, mais aussi juste, parce que c’est une guerre de libération ! » Il n’a pas seulement dit : « Et la Russie et la Chine sont prêtes à répondre à cette guerre ! » 

Si c’était le cas, les États-Unis n’auraient pas trop à s’inquiéter. Poutine a fait pire. Il est sorti et a annoncé publiquement : « Et le roi est nu ! » C’est pour les Européens. Pour les Russes, il s’agit d’un cri familier : « L’empereur est un imposteur ! » L’histoire sait ce qui se passe après cela. 

Poutine a insulté les États-Unis en exigeant des règles du jeu équitables. Si les règles du jeu sont équitables, les États-Unis perdent leur leadership et deviennent une deuxième Grande-Bretagne, un ancien hégémon à la retraite. Et l’Europe, la Chine et la Russie commenceront à gouverner le monde. Le résultat final est que non seulement les États-Unis perdront l’Amérique latine, mais aussi l’État du Texas qui sera restitué au Mexique. Et les Américains paieront et se repentiront pour toujours. Envers tout le monde, des Indiens aux derniers Japonais, car Hiroshima et Nagasaki c’est eux aussi. 

Poutine l’a annoncé : la Russie a de quoi battre l’hégémonie américaine. Il s’agit de l’intelligence artificielle, des technologies génomiques pour la médecine, des sources d’énergie portables et des nouveaux matériaux. 

Poutine a particulièrement insisté sur le fait que nous évaluons objectivement notre capacité à devenir le leader mondial dans le domaine de l’intelligence artificielle, et nous allons le devenir. Ce n’est pas en Russie qu’est la plus grande école de programmation américaine, c’est aux États-Unis qu’est la plus grande école de programmation russe. Ce ne sont pas les États-Unis qui génèrent les meilleures forces dans ce domaine, mais la Russie. Et désormais, la Russie s’engage dans cette voie par tous les moyens. 

Et ce qui se passe lorsque la Russie entreprend quelque chose de toutes ses forces, on le voit avec le drapeau au-dessus du Reichstag, le premier satellite artificiel de la Terre et le premier vol humain dans l’espace. Ou par l’apparition soudaine de missiles hypersoniques, que les États-Unis mettront encore de nombreuses années à concevoir. Et quand ils le feront, la Russie aura déjà de nouvelles armes. Sous-estimer les capacités de la Russie, c’est commettre l’erreur la plus terrible. Napoléon, Hitler et Clinton confirmeront. 

Les élites russes peuvent encore errer et se méprendre, se faire des illusions et commettre des erreurs, mais la partie d’entre elles qui est capable de maintenir fermement le pouvoir et de conduire le pays vers l’avenir a fait un choix. Et ce choix a été annoncé à la fin de la journée. Poutine a mesuré 12 ans avant de couper une fois. Le temps de l’hésitation et de l’attente est maintenant révolu. Poutine a coupé. Tout le monde a compris qu’il ne sera pas possible de parvenir à un accord avec les États-Unis et qu’il est déjà possible et nécessaire d’arrêter de céder. 

La volonté de pouvoir, c’est la capacité de contester. Poutine a relevé ce défi au nom de la classe dirigeante russe, qui a compris sa perspective historique. Toutes les difficultés économiques et les conflits politiques avec l’opposition et la cinquième colonne ne sont plus essentiels pour le bon fonctionnement du pays. Et Xi Jinping, qui a suivi Poutine, a non seulement confirmé les paroles de Poutine, mais a également montré qui est le leader et qui mène le jeu dans la confrontation avec les États-Unis. Celui qui mène le jeu est aussi celui qui va « abattre » la domination américaine car en russe, le mot « застрельщик » (meneur de jeu, promoteur, ou initiateur), vient du verbe « застрелить » – tirer. 

En fait, Poutine a abattu les prétentions et les espoirs américains. Oui, les États-Unis demeurent toujours le pays le plus puissant au monde sur le plan économique et militaire. Oui, ils sont encore capables de causer beaucoup d’ennuis à n’importe qui dans ce monde. Mais ils ne sont plus capables de soumettre ceux qu’ils cherchent à faire plier. Chacune de leurs actions ne fait que renforcer l’opposition. Ils se sont heurté à la limite de leur propre force, comme un homme ivre qui se cogne contre un mur. 

L’histoire de Huawei n’est que le début de la fin des États-Unis. Il y a un dicton qui dit : « L’ennemi fait les nantis ». C’est la vérité. Aujourd’hui, les États-Unis coupent les fondements de la société chinoise. Sa position forte est construite sur le système d’exploitation Android. Google a annoncé la cessation de la fourniture de services aux smartphones Huawei, vendus à l’étranger. Un certain nombre de grandes entreprises américaines de TI ont cessé d’approvisionner Huawei à la demande de Trump. 

Mais il n’est plus capable de l’étrangler. Trump pourra créer des problèmes pour Huawei, mais pas l’arrêter. Google a déjà déclaré que le fait de rendre Huawei indépendant des fournisseurs américains constitue une menace pour la sécurité nationale américaine. 

Imaginez maintenant à quoi ressemblera le monde si la Russie et la Chine mettent en œuvre leurs plans ? Les contours d’un tel monde sont décrits dans l’article d’Alexandre Zapolskis « Qu’est-ce qui attend la Russie dans la Pax China ? » Le système du dollar, principal instrument de la domination américaine, dans un monde multipolaire dominé par des centres de pouvoir disposant de leur propre monnaie, sera confronté à des obstacles naturels. Et faire de la région Asie-Pacifique un centre de production et de consommation en élevant le niveau de vie de la population chinoise et des pays où passera la Nouvelle Route de la Soie (Une Ceinture, Une Route) pourrait changer radicalement la position des États-Unis. 

La compréhension de tous ces processus, qui s’accélèrent depuis longtemps, est à l’origine des propos tenus par Vladimir Poutine depuis le podium du Forum Économique International de Saint-Pétersbourg 2019. C’était l’événement central de tout le forum, qui peut ensuite être clôturé par les mots « Merci à tous, tout le monde est libre ». 

En fait, Poutine a annoncé la nouvelle doctrine de confrontation globale avec les États-Unis, plaçant la Russie à l’avant-garde du processus de transformation mondiale. Plus précisément, à son épicentre, parce que sans la position actuelle de la Russie, les États-Unis auraient brisé la Chine sur les plans économique, militaire et politique depuis longtemps. La clé de la Chine se trouve en Russie. 

Et c’est pourquoi, à la veille du transfert de 2024, nous nous attendons à des tentatives pour organiser de grands bouleversements chez nous. Néanmoins, les plans de la Russie seront réalisés, mais pas ceux des États-Unis. Il deviendra alors clair que le monde est vraiment devenu multipolaire. Il n’y a plus un seul seigneur avec une bande de vassaux et des « barbares » à la frontière, mais beaucoup de seigneurs qui ont besoin de pouvoir négocier et doivent apprendre à vivre dans cette réalité. C’est exactement ce dont parlait Poutine, et celui qui n’en a pas compris le sens, a déjà perdu. Même s’il ne le sait pas encore. 

Alexandre Khaldeï ( Source) 
Christelle Néant (Traduction) 

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