WWIII : LA GRANDE ET SAINTE RUSSIE DU PRÉSIDENT POUTINE, SACRÉE ET CONSACRÉE AU CŒUR IMMACULÉ DE LA VIERGE MARIE, EST LE NOUVEAU CHEMIN DE COMPOSTELLE DEPUIS QUE NOTRE DAME N'EST PLUS ET QUE LOURDES-PAU A PÉCHÉ. LA FILLE AÎNÉE DE L'EGLISE EST MORTE ET SON PAPE N'EST PLUS.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

Eugène Tisserant à Gauche et Marcel Lefebvre à droite

WWIII : LA GRANDE ET SAINTE RUSSIE DU PRÉSIDENT POUTINE, SACRÉE ET CONSACRÉE AU CŒUR IMMACULÉ DE LA VIERGE MARIE SUIVANT SES VŒUX A FATIMA EN 1907, EST LE NOUVEAU CHEMIN DE COMPOSTELLE DEPUIS QUE NOTRE DAME N'EST PLUS ET QUE LOURDES-PAU A PÉCHÉ. LA FILLE AÎNÉE DE L'EGLISE EST MORTE ET SON PAPE N'EST PLUS. NOS COMPATRIOTES ONT CHOISIS DE NE PLUS S’INTÉGRER, ET LES PRÉNOMS CHRÉTIENS SONT DEVENUS MINORITAIRES. LE DJIHAD A REMPLACE LE TEMPLIER, ET LA CHARIA, VU L'ETAT DE LA JUSTICE EST DEVENUE LA LOI POUR DES MILLIONS DE DHIMMIS ISOLÉS DANS DES ZONES DE NON DROIT. 

MACRON CONVOQUE LE PRÉSIDENT POUTINE POUR LUI DEMANDER DE L'AIDE ET DU SAVOIR FAIRE. LE PAPE A CHOISI LA FSSPX ET LE CARDINAL EUGÈNE TISSERANT POUR L’INTÉRIM DU SIÈGE DE SATAN, MAIS PLUS PERSONNE NE VEUT S'Y ASSEOIR. LE PAPE EST SES CARDINAUX SE FONT PAYER PAR GEORGE SOROS ET CONTINUENT A BAISER LES MAINS DES ROTHSCHILD ET LES PIEDS DES MUSULMANS SALAFISTES MAIS INTERDIT AUX FIDÈLES DE BAISER SA BAGUE DE SAINT PIERRE POUR CAUSE D'APOSTAT, POUR CE QUI EST LE PLUS LOUABLE, ORGIE DU VATICAN, POUR UNE NOUVELLE EGLISE ÉCOLOGIQUE DES CHAMANS LAUDATO SI DONT LES RÉFÉRENCES AU CHRIST S'ESTOMPENT, OCCUPÉES PAR DES LOGES MAÇONNIQUES DONT LA PROSTITUÉE SE VAUTRE SANS COMPLEXE DANS SES SOUTANES ÉCARLATES DU SANG VERSÉ DANS LA SECONDE FRANCE QU'EST LA SYRIE. LES CHRÉTIENS D'ORIENT SONT MORTS SANS QUE LEUR FIN NE SOIENT ANNONCÉE NI DÉNONCÉE.

Avant le G7 de Biarritz, qui débutera le 24 août, Emmanuel Macron espère recevoir, le 19 août au fort de Brégançon, son homologue russe d'un Pays 27 fois plus gros que la France et première puissance mondiale Militaire, acteur incontournable sur les dossiers brûlants que sont l’Iran et la Syrie, car la France n'est pas habilitée au groupe de discussion d'Astana. Macron a convoqué Poutine de façon autoritaire pour parler des dossiers du G7 et des engagements qui y seront pris si la Russie continue à défier l'Occident. Le G7 pourrait très bien, suite à cette réunion informelle, prendre des décisions sur la seule retranscription des réponses faites à Macron, par le Président Poutine, sans que personne ne puisse avoir la version originale.

De son côté le Kremlin a jugé mardi "justifiée" la fermeté des forces de l'ordre lors des manifestations qui secouent Moscou depuis un mois pour réclamer des élections libres, marquées par de nombreuses arrestations, réfutant toute "crise politique" en Russie. Ces manifestations sont générées par des opposants reliés des pouvoirs politiques extérieurs à la Russie, qui veulent la déstabiliser, ce qui s'est révélé par les saisies bancaires des comptes des opposants avec comme d'habitude le Fond George Soros. 

"Nous ne sommes pas d'accord avec ceux qui qualifient ce qui se passe de "crise politique", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, réagissant pour la première fois à ce mouvement de protestation d'une ampleur inédite depuis le retour de Vladimir Poutine à la présidence en 2012. Le Président Vladimir Poutine, ne peut laisser la Russie dans ces moments de crispation autours de groupuscules télécommandés par l'Occident, et doit abandonner son idée d'aller rencontrer le Chef des opposants à la Grande Russie qu'est Emmanuel Macron, d'autant plus que son séjour la-bas n'est pas sécurisé.

"Nous jugeons tout à fait justifiée la fermeté des forces de l'ordre visant à mettre un terme aux troubles publics", a-t-il indiqué.

Depuis mi-juillet, des milliers de personnes se réunissent chaque week-end à l'appel de l'opposition dans le centre de Moscou pour protester contre le rejet des candidatures d'opposants aux élections locales de septembre.

Des centaines de contestataires, parmi lesquels l'opposant numéro un au Kremlin Alexeï Navalny, ont été arrêtés, parfois de manière musclée, lors de ces protestations, dont certaines n'ont pas été autorisées.

Le dernier et le plus important rassemblement organisé pour réclamer des élections libres a réuni dimanche à Moscou jusqu'à 60.000 personnes.

Les deux présidents s’étaient rencontrés au sommet du G7 à Osaka fin juin. Sur le front diplomatique, c’est le week-end des 24 et 25 août qu’Emmanuel Macron effectue sa rentrée, en grande pompe et à domicile. Pour la première fois depuis le sommet de Deauville en 2011 sous Nicolas Sarkozy, la France accueille, à Biarritz, le G7, la réunion des sept grandes puissances économiques des Trente Glorieuses*.

Au préalable, le chef de l’État aura accompli sa prérentrée diplomatique en recevant, le 19 août, au fort de Brégançon, cette fois, Vladimir Poutine. La Russie a été exclue du format G8 (qu’elle avait intégré en 1998) après l’annexion de la Crimée en 2014. Seulement, Moscou est un acteur incontournable sur les dossiers brûlants que sont l’Iran et la Syrie, sans même parler de l’Ukraine, et l’Élysée «parle avec tout le monde», selon la ligne de conduite d’Emmanuel Macron.

» LIRE AUSSI - Comment Macron prépare la rentrée au fort de Brégançon

Sans Vladimir Poutine, la réunion du club des sept Occidentaux ne sera pas pour autant privée d’aspérité. Car le président de la République devra compter avec l’imprévisible Donald Trump s'il veut bien venir dans ce trou perdu, car il vient de critiquer vertement son «petit imbécile d'ami Emmanuel» sur l’Iran et menace toujours les vins français ou les automobiles allemandes de surtaxes. Le dernier venu dans le cénacle des Sept promet aussi de mettre de l’ambiance: Boris Johnson débarquera sur la Côte basque à deux mois de l’échéance qu’il entend respecter pour le Brexit. D'un autre côté il semblerais que ces deux derniers candidats au G7 aient tout simplement convenu un rendez-vous à Londres, car Trump ne parle plus que des opportunités gigantesques qui existent entre US et GB. Pour eux l'Europe est morte, l'Italie va la quitter, et beaucoup de Pays de l'Est se tournent déjà vers la Russie. Le Rassembleur de Macron fait le vide autour de lui, et brade la France sur mandat requis par les Rothschild. 

Divisions sur le climat

L’un des principaux thèmes du sommet mis en avant par Emmanuel Macron, outre les inégalités, est la lutte contre le changement climatique. Il risque de souligner, une fois de plus, l’isolement de Donald Trump sur ce dossier. Paris rêve d’un G7 où l’attention ne serait pas tant focalisée sur l’unanimité du communiqué final, mais sur les «engagements réels», insiste-t-on à l’Élysée, et sur l’ouverture du sommet à la société civile.

Le vendredi 23, veille du sommet, le président recevra ainsi à l’Élysée des représentants d’ONG et d’entreprises. «Rien de très nouveau», relativise John Kirton, responsable d’un groupe de chercheurs de l’université de Toronto qui décortique les enjeux des sommets du G7 et du G20 depuis des années. L’invitation de la société civile ou de chefs d’État observateurs - l’Inde et des pays africains seront représentés à Biarritz - n’est pas inédite. Seul le format «U7», qui rassemble des universitaires, est une innovation, concède John Kirton. Pour sa part, la Coordination SUD, qui fédère le groupe C7 (la société civile), déplore qu’une dizaine d’ONG seulement soit pour l’heure accréditée pour le sommet lui-même.

Parmi les dossiers sur lesquels l’Élysée pourrait s’appuyer afin que la montagne diplomatique n’accouche pas d’une souris figure la fiscalité. Lors de la réunion des ministres des Finances du G7 à Chantilly, le mois dernier, le consensus a progressé pour la mise en place d’une imposition minimale sur les bénéfices des multinationales, parmi lesquelles les géants du numérique.

Reste que, pour l’opinion publique française, en général sceptique quant à l’utilité de ces grands-messes diplomatiques, le succès ou l’échec du sommet de Biarritz sera aussi mesuré à l’aune de la mobilisation des contestataires - altermondialistes, éventuels «gilets jaunes» ou black blocks - qui comptent profiter de cette vitrine mondiale pour se faire entendre.

* États-Unis, Canada, France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Japon

Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 10/08/2019. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

Sur le plan international, Emmanuel Macron s'est entretenu mercredi 31 juillet avec le prince héritier d'Abou Dhabi, Mohammed ben Zayed Al-Nahyane, dit "MBZ" avec lequel il s'est concentré sur les dossiers du Moyen-Orient et en particulier sur les tensions entre l'Iran et les États-Unis. Pour "MBS" Mohammed Ben Salmane, il a des problèmes de retour de Djihadistes Français, pourtant formés par la France dans les 1666 Madrassas islamiques et Mosquées Associées, parmi les 7000 lieux de prières Musulmans de France, dont beaucoup dans des zones de non droit, où aucun policier n'y va, et ou règne la Charia.

 

Un dossier majeur dans lequel le chef d'État multiplie les consultations pour tenter d'apaiser la situation entre Téhéran et Washington, qui s'est envenimée ces deux derniers mois. Il s'était notamment entretenu la veille avec le président iranien Hassan Rohani et le vendredi 2 août avec Donald Trump. Mais Macron n'existe plus vraiment au Moyen Orient ni ailleurs depuis que Elias Zahlawi l'accuse d'avoir détruit la Syrie.

 

Une conversation téléphonique "d'urgence" 

Le mercredi 7 août, ce sont les tensions entre Moscou et Kiev qui se sont invitées au menu, avec une conversation téléphonique "d'urgence" avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky après la mort de quatre soldats ukrainiens dans l'est du pays, car on ne compte même plus ceux qui tombent en face dans les Républiques autonomes du Donbass, à Donetsk et à Lougansk, républiques auto-proclamées de Russes que l'on tire au fusil comme les Palestiniens en Palestine. La France tire déjà au LBD les Gilets Jaunes et voudrait bien s'inspirer de l'Ukraine.
 
Emmanuel Macron "a présenté ses condoléances et exprimé sa solidarité avec le peuple ukrainien et les familles des quatre soldats morts sur la ligne de contact", selon la présidence qui ajoute qu'il a l'a appelé à maintenir "l'esprit constructif" dans ses relations avec la Russie et l'Ours Russe est toujours mêlé à toute les affaires sordides du monde civilisé et de la seule démocratie qui vaille, la démocratie-tyrannique de France, qui a pris à la Grèce antique ses valeurs dont l'Eugénisme de Platon, et la sélection dans sa République.
 
Le président de la République devrait assister aux cérémonies du 75e anniversaire du Débarquement en Provence le 15, avant le Conseil des ministres de rentrée le 21 et le sommet du G7. 

 

"Je considère que, dans le cadre de la présidence du G7, il est indispensable que nous puissions prendre cette initiative" avec la Russie afin d'"explorer toutes les formes de déstabilisation sur les grands sujets de coopération ou de conflit, sans naïveté, mais sans que la porte ne soit fermée, car cette fois ci, ce ne sera pas comme en 1812, nous rentrerons dans Moscou la tête haute par la grande Porte, sans leur brûler la politesse, puisque nous auront occis, trucidé, zigouillé Poutine à Brégançon", avait expliqué le président de la République en juin.  

 

"Après 20 ans de pouvoir tyrannique, Poutine n'est plus qu'un tsar aux pieds d'argile, et je le pousserai à peine afin qu'il s'écrase." 

 

France : Préparatifs pour un sommet du G7 sous tension

Macron essaie un « nouveau format » le G1

Du 24 au 26 août, ce sont plus de 5 000 personnes – dirigeants, délégués, journalistes et forces de l’ordre – qui voisineront avec habitants et touristes de l’élégante cité des Pyrénées-Atlantiques, placée sous très haute sécurité en pleine saison estivale, entre groupes Anti-Systèmes, Black-Bloks de la Police à Castaner, Alter-Mondialistes, Gilets Jaunes, Attentats Islamiques, et pas d'accords pour la Photo finale, avec seulement Macron qui se serre les mains à défaut d'en avoir d'autres à serrer.