WWIII : LA MAFIA INTERNATIONALE GÈRE LA TERRE ET LE VATICAN. SOUS DE GAULLE ELLE ÉTAIT EN PARTIE DANS LA RÉSISTANCE, ELLE EMPLOIE PLUS DE MONDE QUE LES ENTREPRISES QUI N'EN SONT PAS, C'EST LE MONDE DE DEMAIN AVEC DES CONTRATS COURTS ET MOINS DE SÉCURITÉ, CE QUE VEUT MACRON ET SON MENTOR ROTHSCHILD.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : LA MAFIA INTERNATIONALE GÈRE LA TERRE ET LE VATICAN. SOUS DE GAULLE ELLE ÉTAIT EN PARTIE DANS LA RÉSISTANCE, ELLE EMPLOIE PLUS DE MONDE  QUE LES ENTREPRISES QUI N'EN SONT PAS, C'EST LE MONDE DE DEMAIN AVEC DES CONTRATS COURTS ET MOINS DE SÉCURITÉ, CE QUE VEULENT MACRON ET SON MENTOR ROTHSCHILD.

BENALLA, LA MAFIA ET L’ÉLYSÉE "Les Russes, les Russes, les Russes. Le Président Macron les voit derrière les gilets jaunes. Derrière chaque opposant, il voit les Russes. Mais les Russes à l’Elysée, il ne les voit pas, avec un petit bémol c'est que les Oligarques Russes de la Mafia, ne font pas partie des amis de Vladimir Poutine."  

Alors que le scandale Benalla vient tout juste d’éclater, le 18 juillet 2018, et qu’une enquête judiciaire a été ouverte, un coffre-fort appartenant à l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron se volatilise juste avant la perquisition de son domicile, à Issy-les-Moulineaux. Depuis, jamais Alexandre Benalla n’a consenti à livrer une explication crédible. En garde à vue comme devant la commission d’enquête sénatoriale, il s’en est tenu à des esquives. Il précise avoir «demandé à un ami d’aller chercher [sa] femme et de récupérer tout ce qui pouvait être volé, des objets de valeur et notamment les armes». Cet «ami» est en réalité un personnage central de l’affaire. Un homme qui fait le lien entre Alexandre Benalla, la Russie et Matignon, et qui a sorti le coffre-fort de l’appartement dans le plus grand secret : Chokri Wakrim. 

Ce militaire de 34 ans est en couple avec le commissaire divisionnaire Marie-Elodie Poitout. Jusqu’à peu chef de la sécurité du Premier ministre, cette dernière a dû démissionner après la mise au jour des liens troubles de son compagnon avec Benalla. 

Chokri Wakrim a été embauché en juin sur un des contrats de protection signé avec un oligarque russe suspecté de liens avec la mafiaIskander Makhmudov, contrat désormais au cœur d’une enquête du Parquet national financier (PNF). Depuis cet été, le militaire est apparu à de nombreuses reprises au côté d’Alexandre Benalla, notamment chez l’homme d’affaires Vincent Miclet et au domicile d’un Syrien soupçonné de nombreuses escroqueries, Mohamad Izzat Khatab. 

C’est aussi à cette période qu’Alexandre Benalla est accueilli au domicile de Chokri Wakrim et Marie-Elodie Poitout, près de la place Victor-Hugo, dans le XVIe arrondissement. Auprès de sa hiérarchie, le commissaire divisionnaire a en effet admis au moins une rencontre avec Benalla, le 26 juillet. Le mystérieux coffre a-t-il pu transiter dans l’appartement de celle qui était alors chef de la sécurité du Premier ministre ? Une interrogation d’autant plus légitime que ce même jour, un enregistrement révélé par Mediapart atteste de la volonté de l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron de faire disparaître d’éventuels éléments compromettants. Or, la justice a refusé d’enquêter sur la disparition de ce coffre-fort.

On commence à comprendre pourquoi Emmanuel Macron protège Benalla 

Nous avons tous une idée de ce que sont et font les Mafias dans les diverses régions du monde. On les qualifie d’organisations criminelles donnant suite au crime organisé. Selon leur envergure et leur puissance, ces Mafias s’imposeront dans leurs milieux et feront respecter leurs lois.  Leur capacité de corruption leur permettra d’acheter des juges, des politiciens et même des autorités religieuses. Leurs ennemis devront faire face à la loi du plus fort et du plus violent. Les assassinats, les mises à feu de barres et d’édifices qui leur font obstacle, feront partie de leur arsenal pour mettre au pas les récalcitrants.

Le crime organisé, au niveau de ces mafias urbaines et régionales, s’enrichit avec la vente des drogues et des boissons, la traite des femmes,  le commerce des armes, le vol de banques, etc. Ils sont et font la loi qui les sert le mieux. Sous ce dernier aspect, ils ne sont pas sans faire penser à l’Empire, aux ambitions illimitées,  pour qui les lois deviennent celles qui lui permettent de satisfaire pleinement ses intérêts. À ce titre, nous pouvons dire, à la lumière d’un certain nombre de faits, que l’Empire étasunien répond parfaitement à ce profil d’État qui se comporte comme une Mafia pour qui la seule loi qui prévaut est celle qui le sert au mieux.

Lorsque nous regardons le comportement et les interventions de cet Empire au Venezuela et à Cuba, entre autres, nous réalisons que la Loi internationale, consacrée dans la Charte des Nations Unies, n’a aucune influence sur ses actions criminelles menées contre ces deux pays.

À l’occasion du Forum de Sao Pablo qui s’est réalisée au Venezuela, du 25 au 28 de juillet, le ministre des Relations extérieures de Cuba a pris la parole pour demander aux institutions internationales et régionales d’intervenir devant l’accentuation des sanctions et du blocus économique contre Cuba. Il a eu, entre autres, ces paroles :

« “#EEUU augmente les actions de piratage économique contre #Cuba. Ils exercent des activités illégales de surveillance et de persécution des navires et menacent les compagnies de transport maritime, les compagnies d’assurance et les gouvernements d’empêcher l’arrivée de carburant dans le pays. C’est un plan génocidaire | # NoMoreLock ” (1)
 

Dans ce cas, l’Empire se comporte comme une véritable organisation criminelle, caractéristique de toute Mafia.

Il en va de même pour le Venezuela, victime de cette mafia impériale qui a mis la main sur plus de 25 milliards de dollars du  peuple vénézuélien, argent destiné à l’achat de médicaments, de produits alimentaires et de produits industriels. Selon des études menées par des étudiants universitaires , ces sanctions auraient fait plus de 40 000 morts de 2017 à 2019. C’est quelque chose de grave. Tout cela, évidemment, hors de toute norme internationale. Non seulement il commet ces crimes, mais il en arrive à se joindre, avec sa corruption, gouvernements,  épiscopat, État du Vatican et pays d’Europe pour faire du Gouvernement  révolutionnaire le grand responsable de la misère du peuple due à  sa mauvaise administration. Inutile d’ajouter que la grande majorité des médias de communication sur lesquels il a plein pouvoir, vont amplifier cette conviction  et passer sous silence tous ces crimes commis à l’encontre du droit international.

Je voudrais bien que toutes ces bonnes âmes qui soutiennent cet Empire nous disent comment il est possible qu’il soit le sauveur de peuples et d’humanité tout en agissant hors du droit international, volant par milliards de dollars ces peuples, générant, par mercenaires interposés, la violence au sein de ces mêmes populations, interdisant le commerce international y pénalisant tous ceux qui se risqueraient à défier ces sanctions. Nous sommes loin du personnage évangélique du bon samaritain. Nous sommes plus près du personnage du « Parrain » qui voit à ses intérêts et qui agit selon ses propres lois. Le silence des pays et institutions religieuses sur ses crimes les transforme en complices de ces derniers.

En 2018, le papa François s’est rendu à Palerme pour y rencontrer le peuple, mais aussi, pour s’adresser à la Mafia en des termes sans équivoques qui les excluaient de toute compatibilité avec les enseignements des Évangiles et de la foi chrétienne.  Il a pris son courage à deux mains et les a excommuniés.(2)

Dans pareil contexte, il est normal que nous interpellions le pape François par rapport à cette mafia impériale qui agit en défiant le droit international des peuples à disposer d’eux-mêmes. À ce jour, il s’est bien gardé de dénoncer en termes clairs cet interventionnisme illégal et criminel de cet empire dans les pays plus haut mentionnés.  Son silence sur cette question pourrait laisser entendre qu’il n’a pas la liberté pour le faire ou qu’il ne juge pas pertinent de le faire.

Il s’agit de crimes contre le droit international et l’humanité des peuples, directement victimes de ces interventions.

Oscar Fortin

Du même auteur :

L’Empire: Mafia des Mafias. Le crime organisé à l’œuvre au Venezuela, le 8 mars 2019

Notes :

(1)https://www.journaldemontreal.com/2019/06/04/voyages-bateaux-nouvelles-sanctions-americaines-contre-cuba-1;

 
(2)https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/a-palerme-le-pape-s-en-prend-a-la-mafia_2035348.html
En passant par les USA : 

USA. La dépendance aux opioïdes et à Trump sont les symptômes du même malaise pour les Américains.

Le journaliste et écrivain Sam Quinones en a pris conscience avant même les élections de 2016. Quelques jours après la victoire électorale de Trump, il publia l’histoire troublante, à l’instar de l’historienne Kathleen Frydl, intitulée «The Oxy Electorate». 

Donald Trump s'est très bien débrouillé, bien mieux que Mitt Romney en 2012, dans les régions les plus durement touchées par une épidémie de drogue. En effet, on pourrait décrire les principales victimes d’opioïdes dans les mêmes termes démographiques que ceux utilisés par les experts pour caractériser l’essentiel du soutien électoral de Trump: Blancs non hispaniques, principalement issus de la classe ouvrière et sans formation supérieure, vivant dans les zones rurales et les petites villes. Les dépendances aux opioïdes et à Trump, l’un individuel et l’autre collectif, sont les symptômes du même malaise. 

 

D'une part, ces consommateurs sont encouragés par la publicité et par d’autres actions  des industries pharmaceutiques puissantes qui affligent une population vulnérable. Le capitalisme rapace et non réglementé, tel que celui qui définit aujourd'hui l'agenda Trump, a jeté les bases de la crise des opioïdes dans les Appalaches, dans le Midwest, dans l’Ohio, et ailleurs, en engendrant les inégalités et les difficultés qui poussent à tant de désespoirs. 

Par exemple, Purdue Pharma (qui appartient à la célèbre famille Sackler) renforce ce désespoir avec son marketing basé sur son médicament phareOxyContin, lequel aurait largement déclenché l’épidémie d’opioïdes à la fin des années 1990. En 2018, il y avait plus de 50.000 décès par an dus à une surdose d'opioïdes organiques et synthétiques.

Peut-être est-il approprié de signaler que les stupéfiants vendus par Purdue Pharma et d’autres sociétés ont été miss au point pour augmenter progressivement le nombre d’utilisateurs et augmenter aussi leur dépendance. Purdue Pharma a lancé OxyContin en prétendant faussement auprès des médecins et des patients que le médicament était plus faible que la morphine et que, à peine euphorisant, il ne risquait pas de créer une dépendance.

La distribution d'opioïdes en quantités extrêmement disproportionnées par rapport à la population locale est devenue une pratique courante dans l'industrie, offrant des bénéfices lucratifs aux médecins et aux dispensateurs de médicaments sur ordonnance, certains d'entre eux étant alors essentiellement des "moulins à pilules" dispensant libéralement les médicaments sous n’importe quel prétexte et même sans prétexte. Comme le prétendent les plaignants dans des documents judiciaires récents et non scellés datant de 2006 à 2012 et concernant des actions en justice intentées par plus de cent agences gouvernementales étatiques et locales contre toute la chaîne logistique, certains des détaillants nationaux préférés -Walgreens, CVS et Walmart - se sont mêlés au racket. 

L’effet global est un véritable facteur économique d’affliction: du côté de l’offre, les grandes entreprises gagnent des sommes colossales d’argent en inondant ces marchés de doses toujours plus importantes d’opioïdes. Elles rackettent surtout les  pauvres sans assurance-maladie pour lesquels les pilules antidouleur sont le moyen le moins cher et le plus rapide d'atténuer leurs souffrances.  

Selon la sagesse commune et plusieurs études sociologiques, la principale raison pour laquelle les communautés touchées par la crise des opioïdes sont aussi accro à Donald Trump est la détresse économique qui est à la base de ces deux phénomènes. Ces gens ont déjà connu des jours meilleurs, mais les industries sont parties et les mines ont été fermées. Ils se sont retrouvés avec des «boulots de conneries», voire aucun boulot, uniquement la pauvreté et la désaffection. 

Pourtant, selon une analyse sophistiquée parue l'an dernier dans JAMA, les «conditions socio-économiques» ne représentent qu'environ les deux tiers du lien entre Trump et les opioïdes, ce qui signifie que le déclin économique ne suffit pas à tout expliquer. 

Là encore, de nombreuses communautés noires et hispaniques, tout aussi désargentés et précaires que les Blancs évoqués ci-dessus, ne se sont jamais tournés massivement vers Trump ou vers des opioïdes. 

Ce qui est immédiatement différent pour les indigents des zones rurales du Kentucky ou de la Mahoning Valley, dans l’Ohio, c’est qu’ils n’ont pas simplement perdu leur emploi, mais celui-ci a été repris par les Noirs, car le gouvernement local favorisait ces derniers.

Comme le signalait Sean Mcewee à Salon lors de la campagne de 2016, ces partisans de Trump ont vécu leur souffrance sous forme de discrimination et de victimisation. "Le racisme est le véritable moteur du succès de Trump", a-t-il écrit, "la souffrance sociale est comprise à travers le prisme de l'animosité raciale". Il s'agissait principalement de l’animosité contre les Noirs considérés par les « petits blancs » (socle de vote de Trump) comme favorisés par Obama, mais aussi contre les Latinos, contre les immigrés et contre tous les étrangers non blancs. Dans d'autres contextes, ces petits blancs ont exprimé une égale animosité envers les musulmans, les LGBT, les élites côtières, Harvard et Washington. Au-delà du déclin économique qui l’a déclenchée, la menace était existentielle: comme si tout leur mode de vie était une espèce culturelle menacée. 

Une histoire de décennies de changements radicaux dans les normes sociales, appuyés par des décisions judiciaires, a largement contourné le cœur du pays, laissant ces « petits blancs » vivre dans la détérioration de leur situation économique en tant que discrimination culturelle globale - orchestrée par les pouvoirs au profit d'autrui. La révolution culturelle qui a débuté dans les années 1960 a entraîné la libération des femmes, des homosexuels, des hommes, et une loi sur les droits civils qui permettait à un homme noir de devenir président des États-Unis.  

Et alors même que ces nouvelles normes sapaient les valeurs traditionnelles du pays profond, beaucoup de ces gens se sentaient imposés et sanctionnés par la loi fédérale - «le gouvernement».  

Il suffisait de rapprocher les opioïdes du fameux «make America great again MAGA, rendre sa grandeur à  l'Amérique » de Trump, pour que les opioïdes effacent le présent et que MAGA efface le passé. Cela a fait de Donald Trump l'opium du petit peuple blanc. 

Par Marshall Sahlins , 

professeur émérite d'anthropologie à l'université de Chicago.  

Traduction : Hannibal GENSÉRIC.

Quand le blanchisseur Trump lavait le fric sale toujours plus blanc que blanc… 

Nous avons attendu et fait quelques recherches sur ce sujet avant de traduire et de publier en français cet article de Gordon Duff qui date du mois de mars courant. Ainsi, il semble de plus en plus que l’affaire “Trump / Russie” liée aux élections de novembre dernier n’est pas lié à ce que le Kremlin aurait interféré et truqué les élections en faveur de Trump, mais de savoir qui se cache vraiment derrière cette connexion russe de Donald Trump, connexion qui ne fait plus aucun doute, mais pas dans le sens que médias et politiciens va t’en guerre le voudraient… La réponse dans cet article ci-dessous, qui nous montre par qui aujourd’hui, la “nation indispensable” (telle qu’elle se proclame) à l’humanité, est dirigée. Édifiant non ? 

~ Résistance 71 ~ 

Comment Donald Trump est devenu la pétasse de la mafia judéo-russe 

Essentiellement, l’histoire commence en 1983 alors que le patron mafieux et avocat Roy Cohn [1] et son sous-chef protégé, Donnie “mains d’enfantTrump, utilisaient le fric de la mafia juive (la plus puissante mafia d’Amérique donc du Monde), le béton de la mafia et la main d’œuvre de la mafia pour construire un QG pour l’organisation criminelle mondiale que Cohn avait passé plus de 20 ans à bâtir. 

La Trump Tower (Tour Trump) était équipée de bordels, de fumeries d’opium, de casinos et salles de jeux et de chambres luxueuses ; elle se remplissait de joueurs pros, de voyous et d’escrocs en tout genre tout en devenant la maison mère de toute une ménagerie de figures riches et célèbres du crime organiséLa Tour Trump est devenue alors le Ground Zero d’une entreprise criminelle globale, incluant le réseau de trafic d’enfants pédophile de Jeffrey Epstein et la fameuse entreprise de “développement immobilier” de Trump qui était une large vitrine de blanchiment du fric sale de la mafia. 

C’est dans ce nouveau monde sous-terrain de glamour, d’extorsion, de cocaïne et de dépravation, qu’entra une nouvelle série de personnages, criminels professionnels et carriéristes, décidés de continuer leur vocation choisie en terre neuve. Ces gansters juifs étaient d’anciens pensionnaires du système carcéral russe, relâchés par Gorbatchev au cours de ses réformes de la Glasnost.

En effet, en 1989, sur  71.000 juifs soviétiques qui ont reçu la permission d’émigrer en Israël, seulement 12.117 (soit 17%) choisirent de le faire, les autres choisirent de s’installer aux États-Unis. Parmi eux se trouvait un cœur criminel mafieux qui s’établit alors dans la zone de Brighton Beach à New York City et qui bientôt se joignit à la mafia grecque à Astoria et aux cinq familles de la “Petite Italie”. [2] 

Ces membres de la mafia juive russe nouvellement arrivés furent capables de forger des liens entre la mafia juive en Russie et le monde du crime organisé aux États-Unis et ils furent donc bien placés et préparés lorsque l’URSS s’effondra en 1991 et qu’une nouvelle ère, celle des oligarques, de la corruption au plus haut niveau (incluant le président juif Eltsine et ses ministres [3]) se mit en place, menant au pillage en règle de l’économie russe post-soviétique. 

La mafia juive russe devait trouver un moyen de blanchir de très grosses sommes d’argent qu’elle volait en Russie, elle rechercha donc des associés aux États-Unis dans le monde du crime. Elle en trouva un en la personne de Donald Trump (NdT: Donnie “mains d’enfant” vous vous rappelez ?…) 

Or, dès 1991, de sa propre autobiographie, Trump était en faillite. C’était « un cave » en  affaires comme disent les malfrats, ses succès antérieurs, grâce au soutien de son patron mafieux Roy Cohn, semblaient être un lointain souvenir. Quoi qu’il en soit, comme par miracle, le cave Trump se releva, tel le phœnix de ses cendres, ses affaires commencèrent à recevoir d’énormes injections d’argent, les hôtels de marque Trump et ses casinos devinrent extrêmement profitables. 

Ce fut le fait d’énormes quantités d’argent liquide qui furent injectées par la mafia juive russe, venat de l’argent volé de l’économie russe, transféré del’Alfa Bank de l’oligarque Mikhaïl Fridman (NdT: sur l’article original se trouve un descriptif des parrains/oligarques majeurs de cette mafia) et blanchies dans l’économie légale par l’organisation de Trump. 

Donc, Trump avait fait un pacte avec le diable et tandis que tout cela lui rapporta une immense fortune, cela lui coûta aussi son âme. La mafia judéo-russe possédait maintenant Donald Trump, elle avait fait de lui sa “suka” (i.e. “pétasse/salope/chienne”). Dès lors, il ne ferait plus que ce qu’on lui dirait de faire, il n’avait plus d’autre choix car il savait pertinemment avec qui il avait fait affaire, des hommes si puissants et sans pitié, que personne ne pouvait se tenir sur leur chemin, des hommes qui pouvaient faire éliminer une famille entière juste pour faire comprendre un truc, des hommes qui chérissaient la ʺloyauté mafieuseʺ par dessus tout. 

Si jamais Trump ne faisait même que rêver de les trahir, il apprendrait suffisamment tôt que le mot “suka” a un double sens, il veut certes dire “chienne ou pétasse”, mais il veut aussi dire “rat, mouchard, traître”, comme quelqu’un qui se vend, ou devient un informateur des autorités. Dans les goulags, un “suka” ne durait pas longtemps. Une fois découvert, il souffrait d’une mort horrible. 

Ce mariage entre l’organisation de Trump et la mafia judéo-russe qui a commencé avec une opération de blanchiment d’argent pour permettre le pillage de l’ex -URSS et de son économie, a grandi et est devenu maintenant le plus grand des problèmes de sécurité, pas seulement pour les États-Unis mais pour le monde entier, un problème qui fait de celui del’EIIL/Daesh un petit nain, un million de fois plus petit. Trump, son empire en lambeaux et tous ceux qui l’entourent sont alors sous le contrôle de la plus puissante organisation criminelle que l’humanité ait jamais connue. Ils sont devenus les vassaux de la mafia judéo-russe, leur fortune et leur survie dépendent d’elle … 

Cette organisation a vendu des missiles nucléaires au travers de l’Ukraine, a volé 350 noyaux nucléaires des stocks américains à Pantex[4], c’est une organisation qui n’a pas seulement avalé Trump, mais qui a également pris le contrôle du Mossad israélien, des services RAW de l’Inde et a piétiné des organisations comme le FBI et ses équivalents britannique et français. 

C’est le véritable : l’“état profond” est un pur produit du goulag soviétique, un cercle criminel armé d’armes nucléaires capable de menacer tous les leaders du monde, d’effondrer des marchés et de mettre en place n’importe quelle attaque terroriste où que ce soit, à n’importe quel moment. 

Voilà ce qui contrôle maintenant les Etats-Unis au travers de sa poigne de fer sur Donald Trump, ils le tiennent par les couilles, il est leur suka, leur chienne, leur pétasse. La mafia juive russe a fait de toute la population des États-Unis sa pute, les juifs de cette mafia sont en train de doucement transformer ce pays en un gigantesque goulag et je ne peux penser à rien de pire que d’être une suka au goulag. […] 

La farce de la justice américaine 

Nous savons que depuis 1983, la Tour Trump  a été truffée de micros en tant que QG pour le jeu, la prostitution enfantine, la fraude fiscale, l’extorsion de fonds et le meurtre. Nous savons aussi que dès 1992, la mafia du goulag et le KGB avaient pris le contrôle du crime organisé de la ville de New York et avec cela, le contrôle de la scène politique de la place par la même occasion, ceci incluant la police de NY, le NYPD et la législature de l’état de New York à Albany. 

Ce qui n’est pas dit non plus, c’est qu’en sus de tout ça, ils ont aussi récupéré quelques membres clef du Congrès des Etats-Unis, amenés sur un plateau par leurs associés des puissants lobbies israéliens, ainsi qu’obtenu le contrôle des patrons de quelques comités des deux partis politiques démocrate et républicain. Ces sénateurs et membres de la chambre des représentants qu’ils contrôlent leur ont permis de subvertir et d’éventuellement pénétrer le FBI, le ministère de la justice, la SEC ou Securities and Exchange Commission de Wall Street, la DEA (NdT: Drug Enforcement Administration ou brigade des stups fédérale), le ministère du travail et le ministère de l’habitation et du développement urbain. 

La mafia judéo-russe a été autorisée à établir des banques, à ouvrir des boîtes d’investissement, à écrire ses propres régulations et même à enquêter sur ses propres malfaisances. Lorsqu’ils sont attaqués en justice (et Trump et ses associés l’ont été un nombre incalculable de fois pour une masse de projets ayant échoué), les avocats des parties civiles furent achetés ou menacés ou, plus souvent qu’à son tour, des juges achetés par la mafia, comme tout droit sorti du film “Le Parrain”, refusèrent simplement de prendre les affaires et les jetèrent à la poubelle.  

Lorsque cela ne se produisit pas, les contrôles au FBI de Felix Sater commencèrent une fausse enquête mettant la force et le pouvoir du ministère de la justice derrière le règne de la terreur mené par la mafia judéo-russe qui continue jusqu’à ce jour. 

La raison derrière tout ceci, comme expliqué ci-dessus, était le blanchiment d’argent, des escroqueries, des fraudes diverses et les séries apparemment sans fin d’escroqueries d’investissements immobiliers afin de continuer de faire exister les noms de Trump, de Bayrock et de Kushner [5](NdT: beau-fils de Trump).

Le FBI et le ministère de la justice (MJ), avec le lieutenant de Trump Felix Sater comme indicateur, auraient pu faire tomber tout ce joli monde, mais voilà: alors que le FBI et le MJ retournaient Felix Sater, celui-ci, grandement aidé par le tout puissant AIPAC (NdT: plus gros lobby juif aux USA) de Washington, retournèrent en fait les deux services et firent émarger ceux qui furent assignés à l’affaire, aux bonnes œuvres de la mafia judéo-russe. 

Nous avons donc une situation où les agents du FBI qui enquêtaient sur Trump, devinrent ses  gardes du corps personnels durant la campagne électorale et aussi sur demande et firent de généreuses déclarations sur son innocence. 

Les fonctionnaires du ministère public impliqués, à l’exception de Loretta Lynch et du tout récemment viré Preet Bharara, s’en furent bosser pour des firmes légales privées contrôlées par, devinez qui… la mafia du goulag. C’est ici que notre histoire tourne court, où on voit assez facilement que des individus comme le patron du ministère du travail, Acosta, l’homme qui sauva Trump et Epstein de décennies d’emprisonnement pour viol d’enfant et meurtre, a été muté à un poste de cabinet et où l’étendue de ce que ces autres personnes ont fait est trop terrifiant pour être publié jusque maintenant. 

Nos sources nous disent qu’alors que le FBI et le MJ protégeaient Sater en tant qu’indicateur clef, ils sabotaient en fait en même temps, affaire après affaire contre Trump et contre ses amis juifs du Goulag, les maintenant au courant, donnant des noms et des témoins potentiels dont bon nombre finirent de manière « inhabituelle », ce qui finit par toujours torpiller les enquêtes. 

Chaque document, chaque source, chaque parcelle d’information que le FBI et le MJ ont accumulé sur plus de 30 ans d’enquêtes au sujet d’une des plus grandes organisations criminelles au monde, ont été et ce depuis des années, balancés à la poubelle au moment même où ils furent reçus.

 

Conclusion 

Depuis la publication de cet article, le journal USA Today a publié ses propres résultats de recherches sur Trump. Le problème avec ces trois pièces est le timing et la souvent mentionnée crise constitutionnelle vers laquelle pousse le républicain Devin Nunes, idiot qu’il est, et dont il n’a aucune idée vers quoi il pousse les Américains. Il n’y a pas de sortie facile de ce genre de truc, certainement pas avec une nouvelle convention constitutionnelle alors que les échecs de l’ancienne font penser à un désastre. 

On se retrouve avec une armée illégale, nous sommes maintenant virtuellement sous une monarchie, nous avons une banque centrale, une police nationale, nous avons un congrès du peuple basé sur une proportion qui est bien en dehors de toute protection équitable. La constitution nous a laissé en plan, malgré un Soros disant le contraire. Soros n’a simplement rien compris. 

Les preneurs de décision au plus haut niveau, et certains d’entre eux sont toujours au gouvernement, la hiérarchie des joueurs non-étatiques, des sociétés secrètes, des groupes terroristes, des agences de renseignement renégates, des cartels banquiers et, comme décrit en détail ci-dessus, le crime organisé multi-générationnel, lorsque accouplé avec des entreprises, corporations multinationales, font de l’ombre à tout gouvernement dans le monde et l’affaiblissent de même. 

Une douzaine de personnes peuvent retourner et contrôler le gouvernement de toute une nation, même forte et puissante comme les États-Unis. Ici, la discipline de « serrage de coudes » mise en place par le parti républicain facilite la tâche, un parti constitué de sbires de Wall Street, du ministère de la défense et de l’industrie pétrolière, qui investissent le Congrès avec des péquenots de base. 

Quand les Américains regardent des spécimen comme les sénateurs John McCain ou Lindsey Graham et leur confient du leadership, des termes comme “folie furieuse” et “désespoir” viennent à l’esprit. Aucun des deux ne vaut tripette, McCain demeurant le plus intelligent des deux. Graham est un fou et corrompu sans rémission, McCain [6] quant à lui étant bien au-delà de toute rédemption possible et ils sont, du côté du “vieux parti”, la haut du panier, c’est tout dire… 

Notre hypothèse sur ce qu’il faut pour contrôler un gouvernement est significative. Ce qui peut être fait dans chaque cas, a été fait. Il n’y a pas de leaders mondiaux indépendants, avec peut-être quelques très très rares exceptions. Les observateurs continuent de focaliser sur Poutine et nous sommes parmi eux. Il est, et de loin, le plus constant bien qu’ayant “la main lourde” en interne, en référence aux standards américains. Ce n’est pas pour chercher des excuses, mais dans le “monde réel”, paraître faible est synonyme de désastre, ceux qui vous entourent en guettent tout signe et fondent sur vous comme des hyènes. 

C’est pourquoi Assad n’a pas démantelé la poigne de sa famille sur la Syrie, quelque chose qu’on sait qu’il avait planifié. Le désastre auquel doit faire face la Syrie aujourd’hui aurait pu être mille fois pire s’il avait autorisé des réformes extensives. C’est simplement la façon dont les choses sont faites , c’est comme laisser la porte du poulailler ouverte… 

Le problème Trump est sans précédent aux Etats-Unis. L’électorat, par une majorité ferme mais modérée, ne l’a jamais soutenu. Il a perdu le vote populaire par des millions de voix de différence. Sa propre base politique s’effondre et il devient maintenant plus un signe des échecs américains, de la folie, de l’extrémisme et de décennies de propagande. 

Quelles sont les options qui restent ? Un renversement militaire ? Une destitution ? Un assassinat ? 

Chacune d’elle devient possible, plus probable alors que le consensus des “affaires comme d’habitude” à Washington est menacé par un mauvais leadership et des signes évidents que Trump est non un psychopathe, mais c’est aussi un spécimen totalement imprévisible. Ce trait de caractère pourrait bien le voir assassiner ou cela le sauvera peut-être si on en juge par Machiavel. 

Ce qui est clair c’est qu’il y a un double jeu en l’occurrence. Les actions de Trump jusqu’ici sont celles visant à démanteler la démocratie américaine, de détruire la sécurité sociale du pays, l’assurance maladie, l’éducation, de pousser toujours plus de villes vers la faillite et ramener à l’ère Eisenhower des années 1950. Ceci fait de lui tout simplement un républicain, c’est toujours la route qu’ils empruntent, rien de nouveau sous le soleil. 

Détruire les rêves de Kennedy, faire de l’Amérique un endroit où les gens décents ont honte d’eux-mêmes, est devenu par trop facile. Les échecs de l’Amérique sont aussi  les échecs de l’humanité.

= = = 

Du même article: petite revue historique de la mafia juive russe: 

Depuis 1991, la mafia russe, incluant une bonne partie de ce qu’était le KGB et des centaines d’assassins des Spetsnatz (NdT: forces spéciales commandos russes), ont cherché refuge aux Etats-Unis. 

Faisons une petite diversion historique ici afin de rendre compte d’un point absolument crucial. Bien que les gangs carcéraux juifs existaient depuis l’époque des tsars, ce fut sous le communisme   que la mafia juive devint puissante. Après que Staline eut consolidé son pouvoir après la mort de Lénine, il commença une série de purges qui continua jusque la fin des années 1930. Dans ces purges, il vira une très large portion des juifs des positions de pouvoir et d’influence qu’ils occupaient (NdT: depuis l’ère bolchévique) et les envoya aux Goulags.[7] 

 

Ceci correspond à l’acte fondateur de la mafia russe telle que nous la connaissons aujourd’hui. Staline a permis à ces criminels juifs de gérer le goulag dans les grandes largeurs, ceci fut le moyen le plus simple de maintenir un contrôle sur cette énorme population de détenus éparpillée sur de vastes zones de l’extrême-orient russe. 

Gordon Duff 

30 octobre 2017 

Extraits de l’article initialement publié le 28/3/17: 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~ 

[…] 

NOTES d’H. Genséric 

[3] Sous Eltsine, le pays était de facto dirigé par ce qu'on a appelé la semibankirshchina, le « pouvoir des sept banquiers ». Il s'agissait des sept grands banquiers de la Russie qui possédaient environ 50% de l'ensemble de l'économie russeTous, sauf un (Potanine) étaient des Juifs. 

Pendant les années Eltsine, la grande majorité des membres du gouvernement et, surtout, leurs conseillers étaient des JuifsDes Juifs contrôlaient également la quasi-totalité des grands médias. Pour vous donner une idée de la façon dont cette tendance était répandue dans les années 1990, voici une liste d'oligarques Juifs dans la Russie d'Eltsine disponible sur Internet : (source en russe: https://goo.gl/jZlazH) 

- Boris Eltsine (Eltsine - Juif marié à Nina,  Juive). 

Conseiller du Président sur les questions économiques - Livshits - Juif. 

Chef de l'administration présidentielle FilatovTchoubaïs, Volochine, la fille du président (une nouvelle position des autorités juives), Tatyana Dyachenko (par la loi juive - Halakha, comme la fille d'un juif - Juive - tous Juifs. 

 

GOUVERNEMENT 

Tous les ministres clés sont juifs: Ministre de l'Économie - Yasin – Juif ; Ministre adjoint de l'Économie - Ourinson - Juif 

Le ministre des Finances - Panskov – Juif ; Ministre adjoint des Finances - Vavilov – Juif ; Président de la Banque centrale - Paramonov - Juif 

Ministre des Affaires étrangères - Kozyrev - Juif 

Ministre de l'Énergie - Shafranik - Juif 

Ministre des Communications - Bulhak - Juif 

Ministre des Ressources naturelles - Danilov - Juifs - 

Ministre des Transports - Efimov - Juif 

Ministre de la Santé - Netchaïev - Juif 

Ministre de la Science - Saltykov - Juif 

Ministre de la Culture - Sidorov - Juif 

MÉDIAS 

Président des médias - Gryzounov - Juif 

PRESSE 

«News» - Golembiovskiy - Juif 

"Komsomolskaïa Pravda" - Fronin - Juif 

"Moskovski Komsomolets" - Gusev (Drabkin) - Juif 

"Arguments and Facts" - Starks - Juif 

"Work"- Potapov - Juif 

"Moscow News" - Karpinski - Juif 

"Kommersant" - Yakovlev (Ginsburg) - Juif 

«New Look» - Dodolev - Juif 

"Nezavissimaïa Gazeta" - Tretyakov - Juif 

"Evening Moscow" - Lisin - Juif 

"Literary Newspaper" - Udaltsov - Juif 

"Publicity" - Izyumov - Juif 

"Interlocutor" - Kozlov - Juif 

"Rural Life" - Kharlamov - Juif 

"Top Secret" - Borovik - Juif 

TV & RADIO: 

Télévision et radio, "Ostankino" - A. Yakovlev - Juif 

Russian TV et Radio Company - Poptsov - Juif 

1996-1999 - "Sept banquiers". 

Toutes les finances de la Russie concentrées dans les mains de Juifs. 

Un pays gouverné par sept banquiers («sept banquiers"): 

1. Aven – Juif ; 2. Berezovsky - Juif, 3. Goussinski - Juif, 4. Potanine. 5. Smolensk – Juif ; 6. Friedman -  Juif ; 7. Khodorkovski -  Juif : 8 Roman Abramovich- Juif 

Les listes de juifs dans le gouvernement soviétique de 1917 à 1939 sont presque similaires. Vous pouvez les trouver sur Internet. 

Tout comme entre 1917 et 1939, entre 1991 et 1999, les rênes du pouvoir en Russie étaient fermement dans les mains de Juifs, et dans les deux cas, avec des conséquences catastrophiques. 

La grande différence est que si, au début du XXème siècle, les Juifs au pouvoir étaient des adversaires idéologiques de l'Empire anglais, à la fin du XXème siècle et aujourd’hui, les Juifs en Russie sont pratiquement une extension de l'Empire anglo-sioniste. 

Hannibal GENSÉRIC