Alain Juppé écarté par le bureau Politique de l'UMP, que dis-je des Ripouxblicains!
Alain Juppé, "un homme vieux qui ne se bat pas et qui écrira 4 livres sur l'après UMP" pour Dominique Reynié.
Dominique Reynié, un Prof déconnecté, né le à Rodez en Aveyron, est professeur de sciences politiques à Sciences Po.
Ses travaux portent sur les transformations du pouvoir politique, l'opinion publique et ses manifestations, les mouvements électoraux, en France et en Europe. Depuis octobre 2008, il est directeur général de la Fondation pour l'innovation politique. En matière d'innovation Politique, on pourrait plutôt parler de linchage Politique et de Méthodes de maffieux, mais où est donc notre professeur Ornicar de la Politique, il est bien entendu qu'à Sciences-Po-de-Chambre, on professe de la politique de confinement et de manipulation des foules dans des occupations qui les occupent, pour que les Maîtres puissent avoir à leurs services une puissance qui leurs permettra d'avoir les ambitions de leurs actes sur la scène Internationale. Dernier second couteau de Sarkozy, et Maître dans la façon de se débarasser d'un candidat "Vieux, Sourd et muet", il entre dans l'arène par la porte des chiottes, avec pour consigne de tuer Juppé.
Il est candidat aux élections régionales de 2015 sous les couleurs de l'UMP.
Ambiance à l'UMP. Pour Dominique Reynié, candidat UMP aux élections régionales dans le Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, Alain Juppé est "un homme vieux, qui ne se bat pas". C'est au Canard enchaîné paru mercredi qu'il confie cette description sans concession. Les deux hommes se sont rencontrés récemment. Autant dire que le politologue, qui se lance pour la première fois dans l'arène politique, n'a pas été très impressionné par le maire de Bordeaux.
Pourtant, selon l'hebdomadaire satirique, Dominique Reynié, dont la candidature officielle a été soutenue samedi par Nicolas Sarkozy à Montpellier, mais qui n'a même pas obtenu la "UNE" du Canard Enchaîné, ne fait pas l'unanimité dans son propre parti. "Un mondain", un "ultralibéral" dont "Louis Aliot ne fera qu'une bouchée", décrit le sénateur UMP de l'Hérault, Jean-Pierre Grand, qui n'a pas assisté au meeting de Montpellier. "Il va se faire essorer puis il retournera gentiment à Sciences Po", ajoute un autre interlocuteur. La campagne s'annonce rude.
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Sauf coup de théâtre, le politologue Dominique Reynié devrait être le candidat de la droite à la présidence de la grande région Languedoc, fusion des actuelles régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon. Ah Reynié, Quelle drôle d'Histoire, pourquoi pas Libellule ou Papillon pour la Région. Fortement soutenu par le maire UMP de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, le très médiatique professeur de sciences politiques a été adoubé samedi par un collège d'une quarantaine de grands élus des deux régions concernées. Plébiscité après quatre tours de scrutins, il a devancé, à la surprise de beaucoup, l'ex-député du Tarn Bernard Carayon par 23 voix contre 16. Ce choix des élus locaux doit encore être officiellement confirmé mardi, à Paris, par la commission nationale d'investiture du parti. Et il n'est pas exclu que cela donne lieu à l'un de ces débats...
DOSSIERS :
NÉGOCIATIONS - La composition du futur "gouvernement" du parti est l'objet de toutes les convoitises.
Depuis qu'il est président de l'UMP, le déminage est devenu une occupation à temps plein pour Nicolas Sarkozy, soucieux de montrer une image de rassembleur de sa famille politique. Après avoir accepté les conditions posées par les candidats à la primaire et le principe d'un vote sur le nouveau nom du parti, l'ancien chef de l'Etat doit à nouveau gérer les subtils équilibres internes de l'UMP. Les ténors du parti doivent en effet se mettre d'accord sur la composition du futur bureau politique, qui sera élargi en passant de 61 à une centaine de membres, et renouvelé lors du congrès prévu le 30 mai.
Les ténors veulent placer leurs protégés. Ce sont les militants qui éliront le nouveau "BP", mais le principe d'une liste unique a été acté pour éviter de transformer le vote en compétition interne. Reste maintenant à choisir les heureux élus. L'enjeu est important car le bureau politique, c'est en quelque sorte le gouvernement de l'UMP. Nicolas Sarkozy a récemment imposé qu'il se réunisse désormais chaque semaine. Et les "chapeaux à plumes" du parti souhaitent évidemment y être représentés le mieux possible.
Selon Le Figaro, Bruno Le Maire, fort de son score de 29% lors de l'élection à la présidence de l'UMP, a ainsi réclamé un quart des sièges à Nicolas Sarkozy. Une information démentie par l'entourage du député de l'Eure. "Il a simplement proposé une liste de vingt noms, à la demande de Nicolas Sarkozy", explique-t-on. Alain Juppé aussi compte bien être solidement représenté, mais il est face à tous les pièges et Nicolas Sarkozy a décidé "sa retraite". Et selon plusieurs journalistes, le maire de Bordeaux n'a pas obtenu gain de cause dans un premier temps.