Crash de l'A320 de Germanwings dans les Alpes : deux mois après on est sûr de l'explosion en vol!
23:00 - Ce nouvel article paru sur La Provence (*) est dicté par le FBI car de plus en plus de gens remettent en question la version officielle de ce crash y compris parmi les proches des victimes qui refusent de se taire pour de l'argent et parmi les pilotes qui comprennent que leur métier est en sursis et il est donc nécessaire de renforcer les arguments de cette PSYOPS mais ces détails insensés et ces témoignages fabriqués ne tiennent pas la route.
~~~~~~~~~~~~~~~~Crash de l'A320 dans les Alpes : deux mois après, des pompiers dénoncent
Antoine Marigot (avec Eric Camoin) pour La Provence, le 24 Mai 2015Des secouristes dépêchés sur les lieux de la catastrophe aérienne de la Germanwings se plaignent d'avoir été exposés à une quantité importante de kérosène provoquant des maux de tête et des vomissements, comme le révèle La Provence. Du kérosène non brûlé, comme dans le cas d'une explosion en vol!Pendant plusieurs semaines, des équipes de pompiers se sont relayées sur le site de la catastrophe aérienne de la Germanwings dans les Alpes françaises pour retrouver les corps des victimes et évacuer les débris. Deux mois après la catastrophe, certains d'entre eux pointent du doigt des failles supposées en matière de sécurité, comme le révèle La Provence.
Maux de tête, vomissements... Selon un secouriste cité par le journal, les pompiers disent avoir ressenti des symptômes inquiétants et dénoncent l'absence de réactions de la part de leurs supérieurs. "[...] Les pompiers ont demandé la venue d'un véhicule risque chimique. Ils n'ont pas voulu. On nous a répondu que la protection des pompiers n'était pas la priorité. Qu'il fallait aller vite", déplore l'un d'eux à La Provence.
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<< Deux mois après la catastrophe de la Germanwings, ils se plaignent des conditions dans lesquelles ils ont travaillé
Il parle mais garde les dents serrées. Charles* ne décolère pas, deux mois après la catastrophe aérienne de la Germanwings. Pour ce pompier, les supérieurs ont joué avec la sécurité de leurs hommes. "Dès les premiers jours, les pompiers se sont plaints de maux de tête et de vomissements. Et ont demandé la venue d'un véhicule risque chimique, raconte-t-il. Ils n'ont pas voulu. On nous a répondu que la protection des pompiers n'était pas la priorité. Qu'il fallait aller vite."
"Ce sont des pros, ils ont fermé leur gueule"
Le kérosène. Voilà ce qui aurait causé les nausées et les migraines des pompiers, sur le site du crash. "Mais au début, on ne le savait pas, poursuit Charles. C'est le lundi qui a suivi la catastrophe, soit six jours après, que les marins pompiers de Marseille sont venus faire une chromatographie.Ils ont prélevé l'air et ont relevé la présence de kérosène à hauteur de 300 parties par millions (PPM). Alors que la dose maximale est de 5 PPM. Avant cela, ni les PG (peloton de gendarmerie en haute montagne, NDLR) ni les pompiers-montagne n'avaient de masque. Le lendemain, ils en portaient tous un, ajoute-t-il. Mais les gendarmes restaient une journée par relais de quatre heures. Alors que les pompiers sont restés quatre à cinq jours sans relais et ont travaillé 10 h par jour sur le site. Avec, en plus, des morceaux de cadavres à vue !", s'étrangle Charles.
Selon cet homme, l'ambiance au sein de la corporation serait devenue "très tendue". "Les premiers hommes arrivés sur place puaient le kérosène. Et lorsque là-haut, ils ont appris les résultats de la chromatographie..."
Charles s'arrête, cherche ses mots. "Pour eux, c'est une honte, un scandale ! Mais ce sont des pros, ils ont fermé leur gueule. C'est comme ça : quand tu es volontaire et que tu n'es pas content, tu quittes les pompiers. Si t'es un pro, tu te tais. Après, ils ont fait ce qu'on leur a demandé de faire. Tout ça, ça va être rangé au fond d'un tiroir, déplore notre interlocuteur. Maintenant, niveau ambiance, ça va mieux. Ceux qui n'ont pas été bien sont partis s'aérer."
Et Charles n'est pas seul à vouloir sortir du silence. Ces deux hommes-là ne se connaissent pas. Et pourtant, ils racontent la même histoire...
(*) Le propriétaire de La Provence est Bernard Tapie. Je n'ai pas changé son prénom, contrairement à celui du pompier qui témoigne dans son journal (voir juste au-dessus). Pourquoi un tel anonymat?Ah, oui, j'oubliais: "ce sont des pros, ils ferment leur gueule". Le style de cette phrase ressemble beaucoup au style de langage du propriétaire de La Provence... qui a beaucoup de soucis d'argent d'après ce qu'en disent les médias. Alors, comment refuser un petit service au FBI, chargé de l'enquête sur ce Crash par F Hollande. Ah bon? Et pourquoi le FBI? Un avion allemand, qui s'écrase en France, qui venait de Barcelone? Et c'est le FBI qui est chargé de l'enquête?"Les normes sanitaires ont été respectées"
Pour cet autre pompier bas-alpin, "le kérosène a formé des poches au sol, grosses comme des ballons de foot. Chaque fois qu'elles étaient grattées, on se prenait le kérosène en pleine figure", lâche-t-il.
Quant aux appareils de mesures apportés sur site, "ils sonnaient constamment tellement c'était haut. Au final, on n'y faisait même plus attention."
Du côté de l'organisation des secours, on se dit particulièrement surpris par de tels propos. "Le premier jour, aucun intervenant sur site ne s'est plaint", nous affirme-t-on. Et les jours qui ont suivi le drame, seulement deux personnes se sont plaintes de maux de têtes et de nausées."
Aussi, toujours du côté de l'organisation des secours, dès lors que les résultats d'analyses de l'eau et de l'air ont été donnés, les conditions de sécurité ont été respectées : il s'agissait d'appliquer les normes de la médecine du travail : lavage le soir même des tenues de pompiers ou port de vêtements spéciaux et port de masques de type "carrossier". "On ne peut réagir qu'à ce qu'on connaît", nous dit-on. Et en l'occurrence, d'après une source proche de l'organisation des secours, "nous n'avons jamais dépassé les normes données par la médecine du travail".
* Le prénom a été changé>>
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Crash A320: êtes-vous prêts, maintenant, à voler sur un avion sans pilote?
Je remets in extenso en ligne mon article du 27 Mars 2015 où j'explique pourquoi je ne peux pas croire à la version officielle du suicide du co-pilote:
A320: Je ne crois pas à la version officielle du suicide.<< 27 mars (16:01) - Je peux dire que j'en ai "bouffé" des articles sur cette affaire, et dans toutes langues en plus, moi qui n'aime que ma langue maternelle, le français. Donc, là, je n'en peux plus, je sature, j'ai une indigestion et je crie STOP!Pourquoi?Parce que, ne parvenant pas à accepter la thèse officielle du suicide, malgré tous mes efforts, et aussi les nombreux échanges avec mes lecteurs via les commentaires - des commentateurs que je remercie en passant pour leur participation -, je dis STOP!Non, Lubitz, le copilote, ne s'est pas suicidé.Non, le pilote n'a pas quitté la cabine de pilotage pour aller pisser.Non, la boîte noire n'a rien dit de ce qu'on nous raconte ou qu'on nous fait entendre.Oui, F Hollande a tout de suite été prévenu de ce qui s'est passé et connait la vérité depuis le début.J'ignore si les familles sont mises au courant mais si c'est le cas, je pense qu'elles ne parleront pas.Non, ce n'est probablement pas (en tout cas pas directement) un attentat US comme je l'ai pensé, en tout cas envisagé, pour expliquer rationnellement ce drame.Alors, c'est quoi?La réponse est pourtant sous nos yeux à tous. Elle se trouve dans les seules preuves indiscutables et accessibles au public, sinon concrètement, au moins par les nombreuses images du site de la catastrophe, ou plutôt des débris de la catastrophe qui a eu lieu, en réalité, ailleurs, peut-être à plusieurs dizaines de kilomètres du lieu qu'on nous présente comme celui du crash.Le mot qui revient le plus souvent dans la bouche des journalistes qui commentent ces images est le mot "impressionnant".Alors, qu'est-ce qui est "impressionnant" dans ces images, photos et autres vidéos du site que n'importe qui d'entre nous peut regarder?Ce qui est "impressionnant", c'est la taille des débris comme si, disent encore les commentateurs, l'avion s'était désintégré.Oui, c'est exactement cela: comme si l'avion s'était désintégré!Ok, mais qu'est-ce que ça veut dire "comme si l'avion s'était désintégré"?On nous explique aussi - mais ça, c'est plus difficile a voir sur les images qu'on nous montre parce qu'elles sont partielles - que la zone des débris est immense.Certains parle d'une zone de débris d'un hectare. D'autres parlent de plusieurs dizaines d'hectares.Un hectare, finalement, ce n'est pas si grand que ça. En tant qu'architecte, je me fais une idée très juste de ce que cela peut représenter en surface à vue d'oeil.Eh bien, je peux dire qu'en regardant les images, la zone couverte par les débris est beaucoup plus vaste qu'un hectare. Je ne peux pas dire combien car je n'ai pas encore vu d'images globales de la zone.Disons qu'il y a des débris sur plusieurs hectares, pour couper la poire en deux.Par ailleurs, autre chose est aussi parfaitement visible sur les images, tellement visible qu'elle en est aveuglante, elle nous rend aveugle pour de vrai: cette chose est quelque chose qui manque sur la scène du drame, que personne ne voit et dont personne, ou presque, ne s'étonne.En principe, conformément aux lois de la physique, lorsqu'un objet compact de plusieurs dizaines de tonnes lancé à une vitesse d'environ 500 mph s'écrase au sol ou sur le versant d'une montagne, ça fait un cratère. Or, de cratère, point.Ben voilà, c'est tout. C'est à dire qu'avec ça, nous pouvons, je pense, nous faire une idée de la vérité: pas de cratère et des débris - tellement désintégrés que s'en est "impressionnant" - dispersés sur plusieurs hectares?Je ne vois qu'une seule explication: l'avion s'est désintégré dans le ciel bien avant de se crasher sur la montagne.Dans un premier temps, cette conclusion permet d'expliquer pourquoi Lubitz ne s'est pas suicidé, pourquoi le pilote n'est jamais sorti de la cabine de pilotage pour aller pisser, pourquoi la boîte noire n'a jamais dit ce qu'on nous en rapporte ou plutôt elle ne dit que ce qu'elle a enregistré et ce n'est pas le calme extraordinaire d'un copilote en train de crasher son avion avec 149 passagers à bord, c'est le calme d'un copilote qui pilote normalement son avion jusqu'à l'instant de la désintégration, un instant qu'il ignore évidemment car il n'y pense même pas.Un avion ne se désintègre pas par enchantement, comme ça, en plein vol. J'insiste sur le mot 'désintégré", ce qui n'est pas la même chose qu'explosé, comme pour le MH17 par exemple dont on se souvient encore de la taille de certains débris, un morceau d'aile, le cockpit, etc, qu'il a même fallu découper au chalumeau ou à la disqueuse pour pouvoir les charger dans les camions puis dans les wagons avant de les transporter aux Pays Bas.Avec notre A320, nous avons affaire à des miettes, comme une biscotte écrasée pour faire une panure. Je ne mentionne même pas l'état dans lequel doivent se trouver les corps des victimes, un état qui explique pourquoi les familles venues sur place sont presqu'aussitôt reparties chez elles. C'est qu'il n'y a malheureusement plus rien à voir.Nous voilà donc confrontés à une réalité de la situation - les images aériennes de la zone, les débris dispersés sur plusieurs hectares et "désintégrés" que s'en est "impressionnant", l'absence de cratère - d'un côté, et, de l'autre, un discours médiatique, que dis-je, un bombardement médiatique, un déchaînement de la communication comme pour nous enfoncer de force dans la cervelle une version officielle de suicide du copilote.Deux mots sur ce soi-disant suicide: nous voilà donc avec un jeune pilote, 27 ou 28 ans selon les sources, qui aurait un assez lourd dossier médical lié à des problèmes psychologiques assez profonds mais qui serait par ailleurs reconnu comme un parfait pilote 100% conforme aux valeurs exigées pour exercer le métier de pilote de ligne.Il y a là, me semble-t-il, une contradiction majeure dans le discours officiel. Il n'est pas possible d'être à la fois sous traitement pour des problèmes psychologiques et pilote de ligne. Le Système est certainement défaillant, il peut y avoir des erreurs ou des vénalités, mais une chose est évidente: avant toute forme d'enquête, il a été décidé de ce serait un suicide.Pourquoi?Parce qu'il n'est pas possible de dire la vérité (j'y reviens plus loin), il faut donc inventer une histoire, une narrative, qui permette d'expliquer un tel accident, de le rendre rationnel. Mais comme l'explication proposée est fausse, il faut compenser par un matraquage monstrueux qui ne laisse pas le temps de réfléchir deux secondes.C'est ainsi que, depuis l'heure du crash, on nous sort environ toutes les heures une nouvelles pièces à charge contre celui qu'on a décidé de transformer en bouc-émissaire, pour la bonne cause, c'est à dire pour masquer la vérité qu'il est impossible de révéler au grand public.Alors on sort la grande artillerie à commencer par l'intervention publique du président de la République qui, à peine une heure après le crash, commente l'évènement en précisant qu'il y a "probablement" peu de chance de trouver des survivants. Ceci est dit tandis que les sauveteurs n'ont pas encore atteint la zone du crash.Donc, je me pose la question: comment F Hollande peut-il affirmer qu'il n'y a "probablement" pas de survivants alors que personne n'a encore pu accéder au site? La réponse me semble être qu'il sait déjà la vérité et que la connaissant, il sait qu'il ne peut pas y avoir de survivant sans même attendre l'arrivée des secours sur la zone.F Hollande sait que l'avion s'est désintégré dans le ciel et qu'il ne peut évidemment pas y avoir de survivants. Encore a-t-il été modéré en disant qu'il n'y avait "probablement" pas de survivants alors que pour lui, c'est une certitude.Une telle certitude qui fait qu'il n'hésite pas deux secondes pour décider non seulement de se rendre sur place mais de convaincre A Merkel et M Rajoy de le rejoindre dans les Alpes pour une cérémonie officielle. Et ils sont venus car ils ont eux aussi été mis au courant de la vérité qu'il est impossible de révéler au public.J'arrive maintenant à ma conclusion: les causes du crash de l'A320 ne peuvent pas être révélées au public et la seule solution pour faire face à la situation - car le public veut comprendre - consiste à monter une fausse histoire de suicide et à l'imposer au public par tous les canaux médiatiques possibles.Je ne suis pas enquêteur et je n'ai pas accès aux secrets d'Etat. Je ne peux donc pas dire une vérité que je ne connais pas. Mais je peux tout de même me rendre compte quand on essaye de me faire prendre des vessies pour des lanternes. Je crois avoir développé tous les éléments objectifs de ce dossier.Certes, j'ai d'autres informations mais ce sont soit des rumeurs, soit des hypothèses impossibles à prouver objectivement. Seul une enquête minutieuse, longue et fastidieuse, permettra peut-être de révéler un jour la vérité. Pour l'heure, je me contente de refuser de croire à la version officielle du suicide. Point/barre.>>
Sans bâtir des cathédrales oratoires, je vous dirai que l'avion en question avait déjà un certain âge. Fabriqué en 1990, il était très bien entretenu ce qui veut dire que toutes les pièces hypothétiquement défaillantes se faisaient remplacer même avant que l'incident n'arrive. Le nom de la compagnie aérienne allemande German Wings équivaut à celui de Lufthansa qui en est la maison-mère. Et si les Européens ont la manie de maintenance aéronautique dans le sang, que dire des Allemands particulièrement connus pour leur paranoïa des soins techniques à dispenser? Bien sûr, l'erreur humaine n'est pas à écarter, seulement juste avant la catastrophe l'équipage s'est déclaré en détresse ce qui veut dire qu'il a dû faire face à une conjoncture que le contrôleur aérien n'a pas pu constater sur son écran de guidage; c'est que tour avion a son ange gardien au sol qui le surveille, le guide et reçoit toutes les données de navigation en temps réel, simultanément avec le pilote embarqué. Pour en avoir le cœur net, on a demandé l'avis d'un professionnel de l'armée de l'air, Gilles Arnaud, commandant, qui a émis une hypothèse que l'on qualifierait d'explosive!
Gilles Arnaud. L'Airbus 320 est un avion extrêmement sûr! C'est l'avion-phare du groupe Airbus. Il est commercialisé maintenant depuis plus d'une vingtaine d'années. Il tient la vedette avec les deuxièmes ventes au monde après le Boeing 737, un avion qui était sans cesse modernisé! C'est donc un avion extrêmement sûr. Ces avions font, par exemple, la liaison régulière entre Paris et Moscou tous les jours, à raison de 5 vols par jour.
SR. Cet avion fait 150 places. Aucune victime française dans ce crash tout de même! Croyez-vous qu'il eût été question d'une faute d'électronique de bord?
Gilles Arnaud. Non! Il s'agit d'un vol régulier. Un vol entre Barcelone et l'Allemagne à 38 mille pieds, altitude de croisière ce qui fait à peu près 10.000 — 12.000 mètres et en moins de 9 minutes il a dû plonger à moins de 6.000 pieds! C'est-à-dire qu'ils ont dû faire face à une dépressurisation dans un plongeon, certes, maîtrisé mais extrêmement rapide! Il a perdu quand même 6.000 mètres! Et on peut se demander ce qui s'est passé à bord parce que même avec un seul moteur l'avion peut parfaitement voler. Ils peuvent même voler sans moteurs parce qu'ils ont une capacité de planer qui est assez importante. Je parle d'un avion de ce poids-là et avec une envergure d'ailes qui peut lui permettre de planer pendant quelques temps. Donc, à mon sens, la descente a été volontaire puisque les pilotes ont lancé un MD! Pour moi, il n'y a pas de 36 raisons là-dessus: personne n'en parle encore, mais, à titre d'hypothèse, il y aurait pu y avoir un trou dans la carlingue. C'est-à-dire que l'hypothèse d'un attentant n'est pas à exclure.
Commentaire. L'avion de ce type ne s'est crashé qu'une seule fois: c'était en 1992. En plus, lors de la dernière catastrophe survenue le 24 mars, la météo était clémente. A ce jour, aucune explication plausible n'a été annoncée. En l'absence des preuves tangibles, on n'a qu'à se souvenir des menaces de ces gens en combinaison noire de Daesh qui nous ont promis des calamités à grande échelle. Nous espérons qu'on aura vite fait de mettre la main sur les enregistreurs de bord — ces soi-disant boîtes noires difficiles à repérer dans la région à accès périlleux. Et si jamais l'hypothèse d'attentat s'avérait vraie, il se peut que cet acte de violence gratuite rende l'opération contre le Daesh encore plus urgente.
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Si le copilote de l’A320 ne s’est pas suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous vient cette narrative officielle des autorités françaises ? Des Etats-Unis ! Le début de la construction de l’histoire officielle a été lancé par le New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris français. Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause brandis dès qu’une explication embarrassante doit être fournie.
Il suffit de sortir de l’écoute passive du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici est un tissu de mensonges encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car ici, il y a une construction méthodique, brique après brique, du mensonge. On ne sait pas ce qui s’est passé et on ne le saura peut-être jamais, mais on sait déjà que les explications officielles ne tiennent pas la route et omettent beaucoup d’éléments qui contredisent les discours.
Qu’y a-t-il de faux, dans le discours actuellement en vogue ?
Le copilote Lubitz n’a pas pu vouloir se suicider. Un jeune pilote reconnu à 100% apte à piloter selon les normes très, très strictes appliquées dans le domaine de l’aviation, surtout dans un pays comme l’Allemagne, ne peut pas se transformer, le temps d’un crash, en un psychopathe bourré de médicaments. Tous ceux qui l’ont connu rejettent ces allégations. Si elles étaient vraies, alors ne prenez plus l’avion, les normes ne servant à rien.
Du coup, la conversation calme entre les deux pilotes à travers la porte verrouillée du cockpit dont nous parle le New York Times n’a pu avoir lieu. Si elle avait eu lieu, cela voudrait dire que le jeune homme, en n’ouvrant pas la porte, soit voulait se suicider, ce que nous avons écarté, soit était inconscient, ce qui rendrait toute conversation impossible.
Donc le New York Times ment, et tout ce qui en découle est faux.
Le crash des Alpes rappelle étrangement le crash d’Air Algérie en provenance de Ouagadougou qui a eu lieu au Mali au mois de juillet dernier. On avait retrouvé des débris sur plusieurs kilomètres, et aucun impact significatif au sol, comme s’il avait été pulvérisé en plein vol. Dans les Alpes, nous avons à peu près le même schéma. Débris éparpillés un peu partout, et aucun impact sur la montagne. Ce qui voudrait dire que l’avion ne s’est pas écrasé entier au sol, et qu’il avait commencé à se désintégrer en vol.
Ce que semble d’ailleurs confirmer les témoignages oculaires des habitants de la région recueillis à la base aérienne d’Orange. Ces témoins affirment avoir entendu des explosions et vu de la fumée sortant de l’avion. Ce qui, en passant, démolit le récit du New York Times, car on ne voit pas comment le commandant de bord pourrait aller pisser et revenir tenir une conversation calme avec son copilote, pendant que son avion est en feu.
Que vient faire le FBI dans cette histoire ? Si les hommes politiques français peuvent être soupçonnés d’allégeance à des forces hégémoniques extérieures, ce n’est pas le cas des administrations françaises. A ce stade des investigations, il est difficile d’imaginer la machine judiciaire française demander le concours du FBI autrement que sous forme d’échange de renseignements, et les procédures judiciaires n’ont pas la réputation d’être simples et rapides. Et pourtant le FBI a été « appelé » à la rescousse, à moins qu’il ne se soit appelé lui-même.
Puisque les raisons du crash semblent destinées à être cachées, il est probable que dans les jours à venir, nous ayons régulièrement des révélations gardées bien au chaud, avec l’aide bienveillante des grands médias dont nous savons pourtant que toute révélation émanant d’eux ne peut être qu’une révélation commandée.
Que s’est-il passé de si grave qui oblige les officiels à s’empêtrer dans des contorsions mensongères, allant jusqu’à salir un jeune pilote qui, d’après les témoignages, n’aurait pas fait de mal à une mouche ? La coopération internationale dans le mensonge est évidente, et c’est d’autant plus inquiétant.
Avic – Réseau International
Photo : Un hélicoptère de sauvetage de la Gendarmerie Française au-dessus d’un champ près du lieu de l’accident (Jean-Paul Pelissier/Reuters)
Des témoins ont dit à l’Armée de l’Air Française, qu’ils avaient entendu une explosion et vu de la fumée sortant de l’avion de ligne A320 de Germanwings, peu avant qu’il ne s’écrase dans les montagnes près de Digne, Languedoc-Roussillon, a pu révélerIBTimes UK.
Un pilote d’hélicoptère de l’Armée de l’Air Française basée à Orange, à 30 minutes du site de l’accident, a dit à IBTimes UK que des témoins dans l’enquête sur l’accident lui ont dit « qu’ils avaient entendu une explosion et vu de la fumée ».
Alors que les autorités Françaises n’ont pas confirmé ces dires, le pilote affirme que l’Armée de l’Air Française a reçu un certain nombre de déclarations corroborant ces témoignages.
Le pilote a également confirmé que des débris ont été trouvés en amont de l’accident – ce qui, dit-il, confirme le fait qu’un morceau de fuselage avait « été détaché de l’avion avant l’impact ».
« La zone de recherche est très localisée, mais une pièce a été trouvée en amont, ce qui est quelque peu troublant, » a ajouté le pilote.
Les autorités françaises ont mobilisé 210 gendarmes de plusieurs départements, neuf hélicoptères pour les opérations de sauvetage, et deux de la base d’Orange – un pour le sauvetage, l’autre pour sécuriser le secteur aérien, pour s’assurer que de petits avions privés ne survolent le site, et l’ensemble du dispositif avait été déployé sur le lieu du crash le mardi 24 mars.
Un Vice-Président de Lufthansa dit que, « pour l’instant », la compagnie traite le crash de l’avion de Germanwings en France qui a causé 150 personnes comme un accident.
Heike Birlenbach a déclaré aux journalistes à Barcelone que pour l’instant « nous disons que c’est un accident. Nous ne pouvons rien dire de plus pour le moment ».
Traduction Avic – Réseau International
Source : International Business Times