Les Papes se retirent les uns après les autres, la charge n'est plus supportable face à Dieu!
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Pope Francis Doesn't Expect to Be Pope Much Longer
Pope Francis on Friday said he thinks his time as Pope will be brief - whether that will be because of death or another resignation is unclear.
http://www.ajc.com/videos/news/pope-francis-doesnt-expect-to-be-pope-much-longer/vDKrS6/
Le Pape François a déclaré vendredi dernier qu'il ne s'attendait pas à être Pape beaucoup plus longtemps, ce qui soulève des questions - La démission des Papes serait-elle la nouvelle norme? Ou est-que le Pape François prédit simplement de façon morbide sa propre mort?
Dans une interview avec la chaîne mexicaine Televisa Noticieros, Le Pape François dit, "j'ai l'intime conviction et le sentiment que mon pontificat sera bref: 4 ou 5 ans, je ne sais pas, même 2 ou 3 voir 1... Je ne sais pas, mais je sais que le Seigneur m'a placé ici pour un très court laps de temps, et rien de plus. "
Tout cela vient au deuxième anniversaire du pape François de la prise en charge de la fonction après que le Pape Benoît a démissionné.
La plupart des papes ont servi jusqu'à ce qu'ils meurent. Selon The History Channel, au moins 10 papes avaient démissionné avant le début du 21e siècle, mais avant la démission de Benoît, le dernier à le faire était Grégoire XIII en 1415.
François a salué Benoît pour le déménagement, en disant: «Je crois que ce que Benoît a fait avec tant de courage était ouvert la porte à la voie des Papes émérites ... Benoît ne doit pas être considéré comme une exception mais une institution." (Vidéo via Vatican)
Mais le pape François dit qu'il ne pense pas qu'il devrait y avoir une limite d'âge quand les papes doivent toujours prendre sa retraite. Et il n'a pas exclu sa mort étant la raison pour laquelle il quitte la papauté, en disant: «Peut-être (Benoît) sera le seul pendant une longue période, peut-être qu'il ne sera pas le seul."
Pendant l'entrevue, le pape François a également ajouté qu'il souhaite qu'il pouvait sortir sans que personne ne le reconnaisse et manger dans une pizzeria dans la paix.
En ce jour de Pentecôte, le saint Esprit a guidé le pape François, pour que viennent les temps de la fin. Il n'y a plus de place dans les cartouches
Par Paolo Serafini
Connaissez-vous la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs à Rome ?
La basilique Saint-Paul-hors-les-Murs fait partie des quatre basiliques majeures de Rome avec L’archibasilique Saint-Jean-de-Latran qui est la cathédrale de l’évêque de Rome, le Pape, la basilique Saint-Pierre, tombeau de l’apôtre Pierre et la basilique Sainte-Marie-Majeure, consacrée à la Sainte Vierge.
La basilique Saint-Paul-hors-les-Murs fut érigée sur les lieux de la sépulture de l’apôtre Saint-Paul. Elle fut bâtie sous Constantin au IVème siècle. Cette basilique majeure est l’église la plus vaste de Rome après Saint-Pierre.
Elle est dénommée « hors-les-Murs » parce qu’elle a été construite en dehors des fortifications de Rome élevées pour la protéger des invasions barbares dès le IIIème siècle.
Elle fut presqu’entièrement détruite par un incendie en 1823 et elle fut reconstruite quasi à l’identique de la basilique originelle. Son cloître ne fut pas brûlé. Son intérieur est particulièrement imposant par son immensité avec ses cinq nefs portées par plus de 80 colonnes monolithes.
Tous les papes depuis Saint Pierre étaient représentés en médaillons peints. Après l’incendie, ils ont été remplacés par des médaillons en mosaïque.
La basilique Saint-Paul-hors-les-Murs conserve dans sa nef centrale la série complète de portraits en mosaïques de tous les papes, de Saint-Pierre à aujourd’hui. A l’origine, la série remonte à Saint Léon le Grand, vers la moitié du Vème siècle, puis elle a été plusieurs fois restaurée.
La Basilique de Saint-Paul possède une particularité spéciale. La galerie des portraits des Papes avant Benoit XVI comportait deux emplacements vides et maintenant que ce dernier va quitter le Vatican, il ne restera plus qu’un emplacement de vide.
Emplacement qui est réservé au dernier Pape qui succèdera à Benoit XVI en cette année 2013. La légende veut qu’après le départ de ce dernier Pape, l’Église Catholique ne perdure pas.
Il s'agit en réalité de la prophétie de Saint Malachie rédigée sur cinq pages. Saint Malachie fut archevêque d’Irlande né en 1094 et mort en 1148 à Clairvaux. Il a été canonisé par le Pape Clément III le 6 juillet 1190. Il a sa fête le 3 novembre. On sait également que cette prophétie est de Nostradamus.
Selon cette prophétie, l’arrivée de ce dernier Pape, donc le successeur de Benoit XVI, annoncera la fin de l’Église catholique en tant que telle. Il semblerait que sa prophétie fut écrite vers les années 1140 après le Concile de Latran de 1139, mais ne sera finalement remise qu’en 1595 par le Vatican. Beaucoup doutent que Saint Malachie soit l’auteur de cette prophétie et penchent pour une rédaction de cette prophétie vers les années 1590.
La prophétie dit que le dernier Pape amènera la fin de Rome et l’heure du Jugement Dernier. Ainsi dans la deuxième épître de Pierre on peut lire : Or, le jour du Seigneur viendra comme un larron dans la nuit; en ce temps-là les cieux passeront avec fracas, et les éléments embrasés seront dissous, et la terre, avec les œuvres qui sont en elle, sera entièrement brûlée. Ce jour-là la terre disparaît et les hommes sont jugés… le jour peut être le 24 Septembre 2015. Dans quatre mois, préparez-vous.
La prophétie traite de la disparition de l’Eglise catholique pas du monde…
Cette prophétie repose aujourd’hui sur le fait réel qu’il ne reste plus qu’un seul emplacement pour le dernier Pape à Saint-Paul et que ces emplacements datent de la moitié du Vème siècle sous le règne du Pape Saint Léon Le Grand.
C’est ce qui fait d’ailleurs toute sa force.
Curieusement personne n’évoque cette prophétie imminente pourtant.
Paolo Serafini
François est le le 266e évêque de Rome, 13 03 2013 333 et comme il y en a 2 --> 666!
Sur 265 papes, seulement 148 ont été inhumés dans la basilique Saint-Pierre de Rome elle-même pour des raisons diverses (après leur béatification, après la construction d'un magnifique monument funéraire), mais aussi dans diverses églises de Rome. Cependant, la grande majorité d'entre eux est ou a été inhumée dans les grottes vaticanes. Celles-ci ne doivent pas être confondues avec la Nécropole du Vatican qui correspond aux fouilles du cimetière contenant des tombes de la fin duier siècle av. J.-C. au ive siècle. Cette dernière est d'ailleurs située sous la nécropole papale.
- El Papa Francisco asegura que 90% de los mexicanos no se ofendió por su expresión sobre la mexicanización de Argentina, emitida en un correo privado; afirma que México no le cerró las puertas y hará una visita
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Papa Francisco concede entrevista exclusiva a Noticieros Televisa
CIUDAD DEL VATICANO, mar. 12, 2015.- El Papa Francisco, quien este 13 de marzo cumple dos años como máximo jerarca de la Iglesia Católica Romana, fue entrevistado en exclusiva por Valentina Alazraki, corresponsal de Noticieros Televisa en El Vaticano.
El pontífice habló sobre las reacciones que desató el correo privado que envió a un amigo, donde le decía que se debería tratar de evitar la mexicanización de Argentina:
"Evidentemente que es un término, permítaseme la palabra, técnico. No tiene nada que ver ya con la dignidad de México. Como cuando hablamos de la balcanización, ni los serbios, ni los macedonios, ni los croatas se nos enojan. Ya se habla de balcanizar algo y se usa técnicamente y los medios de comunicación lo han usado muchas veces", expresó el papa Francisco.
Reconoció que su comentario levantó pólvora y afirmó que según estadísticas que consultó el 90% de los mexicanos no se ofendió por la expresión.
"Lo cual me alegra. Para mí habría sido un gran dolor que se interpretara de esa manera. El mismo gobierno después de haber preguntado aceptó las explicaciones. Estas que son las verdaderas. Y todo en paz. O sea eso no me cerró las puertas a México. Voy a ir a México."
El Papa hizo referencia a los hechos de violencia que han afectado el país en los últimos años, dijo que no es el primer momento difícil por el que el país ha atravesado a lo largo de la historia y podrá superarlo. Mostró su desacuerdo en culpar al gobierno por la situación actual.
"Yo creo que el diablo le pasó la boleta histórica a México ¿Quién tiene la culpa? ¿El gobierno? Esa es la solución, la respuesta más superficial. Todos tenemos de alguna manera la culpa o, al menos, al no hacernos cargo del sufrimiento. Pero la mayoría del pueblo mexicano es solidario. Y esa es una de las virtudes que tienen ustedes. Creo que todos tienen que poner el hombro ahí, para resolver esto de alguna manera. El echarle la culpa a un sólo sector, a una sola persona, a un sólo grupo, es infantil."
El sumo pontífice habló sobre su intención de ir a Ciudad Juárez cuando regresaba de un viaje de Filipinas. Admitió que no le gustaría estar únicamente en una entidad del país y por ello prefirió no pisar tierra mexicana aquella ocasión.
"Si yo iba a Ciudad Juárez, por ejemplo, y entraba desde ahí, o a Morelia, y entraba desde ahí, se iba a armar un poco de barullo (confusión, caos). No se puede visitar México de a pedacitos. México requiere una semana. Prometo un viaje a México como se lo merece y no a la apurada y de paso. Por eso decidí no entrar a México."
LA CONVERSACIÓN
A continuación presentamos la primera parte de la conversación del Papa Francisco con Valentina Alazraki
VALENTINA ALAZRAKI: Papa Francisco, usted en el avión volviendo de Filipinas dijo que le hubiera gustado entrar a los Estados Unidos por la frontera con México. Esa frontera tan, tan, significativa. Usted es hijo de emigrantes, sus papás eran italianos, viajaron a la Argentina, usted trae en la sangre lo que es eso. ¿Cuál sería el sentido de su presencia ahí, en esa frontera?
PAPA FRANCISCO: Gente no sólo de México sino de Centroamérica, de Guatemala, que cruza todo México, para buscar un futuro mejor. Hoy día la emigración es fruto del malestar en el sentido etimológico de la palabra, fruto del hambre, de buscar nuevas fronteras. Lo mismo sucede en África, con toda esa cruza mediterránea de gente que viene de países que están pasando momentos difíciles, sea por el hambre, sea por las guerras ¿no?
Pero evidentemente que la migración hoy día está muy relacionada al hambre, a la falta de trabajo. A esta tiranía de un sistema económico que tiene al dios dinero en el centro y no a la persona ¿no? Y entonces se descarta gente.
Entonces un país crea sea de América, de África, de donde sea crea una situación económica impuesta, por supuesto, que descarta gente, que va hacia otro lado a buscar trabajo, o comida, o bienestar ¿no? O sea la migración en este momento, es muy doloroso el problema migratorio en el mundo ¡eh! Porque hay varias fronteras migratorias ¿no?
Me alegra que Europa esté revisando su política migratoria. Italia fue muy generosa y quiero decirlo ¿no? La síndico de Lampedusa se jugó entera y aun a costa de transformar esa isla, de tierra de turismo en tierra de hospitalidad ¿no? Con lo que supone no ganar plata ¿no? O sea hay hechos heroicos ¿no? Pero ahora gracias a Dios veo que Europa está repensando la situación.
Volviendo a la migración allí, esa zona, además es una zona de mucha lucha de problemas de narcotráfico. Los Estados Unidos me decían no quiero tirar estadísticas que después me crean un problema diplomático pero, me decían, y lo vi en una revista, creo que están entre los primeros consumidores de droga en el mundo y la frontera por la que entra la droga, la principal, es la mexicana. Entonces ahí también se sufre ¿no? Morelia, toda esa zona, es una zona de mucho sufrimiento donde también las organizaciones de traficantes de droga no se van con chiquitas ¿no?, es decir, saben hacer sus trabajos de muerte, ¿no?, son mensajeros de muerte, sea por la droga, o sea por limpiar, entre comillas, a aquellos que se oponen a la droga, los 43 estudiantes, de alguna manera están pidiendo que, no digo venganza, justicia, y que se los recuerde.
Y por eso salgo al encuentro quizás de una curiosidad: quise hacer cardenal al arzobispo de Morelia, porque está en la sartén. O sea un hombre que está en una zona muy caliente, y es un testimonio de hombre cristiano, de un gran sacerdote. Pero después sobre los cardenales podemos volver después. Se lo digo de paso.
VALENTINA ALAZRAKI: Papa Francisco, usted sabe que usted se refirió a los 43 estudiantes, ha sido un luto, digamos, una situación muy difícil por la que ha atravesado México. México es un gran pueblo. Tiene valores, recursos para salir adelante de alguna manera. Pero yo creo que la Iglesia, los Obispos con los que usted ha hablado, no dan recetas políticas, no dan recetas técnicas, pero dan esperanza. O tratan de decir, bueno aquí, como dijo cuando estuvo aquí justamente el cardenal de Morelia, me decía: Todos somos responsables cuando hay algo que no funciona en un país, en una sociedad, cuando hay degradación. Y todos tenemos que colaborar para que esa situación mejore. Yo creo que en este momento sería importante tener una palabra de aliento, de esperanza, una invitación para que México realmente pueda superar momentos difíciles.
PAPA FRANCISCO: No es el primer momento difícil que está pasando México éste. O sea, engancho con la santidad ¿no? México pasó momentos de persecución religiosa, donde engendró mártires. Yo pienso que a México el diablo lo castiga con mucha bronca. Por esto. Creo que el diablo no le perdona a México, que Ella haya mostrado ahí a su Hijo. Interpretación mía.
O sea, México es privilegiado en el martirio, por haber reconocido, defendido, su Madre. Y esto lo sabe usted muy bien. Usted va a encontrar a mexicanos católicos, no católicos, ateos, pero todos guadalupanos. Es decir, todos se sienten hijos. Hijos de la que trajo al Salvador, al que destruyó al demonio. O sea lo de la santidad también está unido ahí.
Yo creo que el diablo le pasó la boleta histórica a México ¿no? Y por eso todas estas cosas, usted ve que en la historia siempre ha aparecido focos de conflicto grave ¿no? ¿Quién tiene la culpa? ¿El gobierno? Esa es la solución, la respuesta, más superficial. Siempre los gobiernos tienen la culpa. Sí, el gobierno. Todos tenemos de alguna manera la culpa o, al menos, el no hacernos cargo del sufrimiento. Hay gente que está bien y quizás la muerte de estos chicos no les llegó, les resbaló. Bueno a mí no me tocó, gracias a Dios que no me tocó. Pero la mayoría del pueblo mexicano es solidario. Y esa es una de las virtudes que tienen ustedes ¿no? Y creo que todos tienen que poner el hombro ahí, para resolver esto de alguna manera ¿no?
Yo sé que es muy difícil denunciar a un narcotraficante. Porque le va la vida, es una especie de martirio ¿no? Es duro, pero creo que todos en situaciones así, sea en México o no en México, tenemos que poner el hombro. O sea el echarle la culpa a un solo sector, a una sola persona, a un solo grupo, es infantil.
VALENTINA ALAZRAKI: Papa Francisco, usted envió un correo privado a un amigo de Argentina expresándole su preocupación acerca de la creciente difusión del narcotráfico en su propio país. Y utilizó el término tratemos de evitar la mexicanización Es normal, ese término digamos ha sido tomado, ha herido susceptibilidades, sensibilidades. El Gobierno de México pensó que se trataba de una estigmatización del país o no reconocer los esfuerzos que está haciendo o que intenta hacer. La verdad es, ¿qué pasó ahí? ¿Qué quiso decir usted?
PAPA FRANCISCO: Sí. El chico. Este chico es un dirigente, un hombre que ha trabajado por la justicia social y trabaja mucho, amigo mío, viene de las izquierdas, del trotskismo, viene de ahí. Es un hombre que encontró a Jesús y trabaja por la justicia social y él me cuenta.
Me contaba allí cómo habían logrado descubrir algunas redes de narcotráfico, y eso, y que estaban luchando y que habían cerrado también una cadena de prostíbulos. Él trabaja mucho en lo que es esclavización de personas, o sea fábricas esclavas, con migrantes donde le sacan el pasaporte y lo tienen de esclavo ahí, prostitución, drogadicción, etc.
Y entonces me dice bueno esto queremos no llegar a la mexicanización de Argentina. Así me ponía, ¿no? Evidentemente que es un término, permítaseme la palabra, técnico. No tiene nada que ver ya con la dignidad de México. Como cuando hablamos de la balcanización, ni los serbios, ni los macedonios, ni los croatas se nos enojan. Ya se habla de balcanizar algo y se usa técnicamente y los medios de comunicación lo han usado muchas veces ¿no?
VALENTINA ALAZRAKI: Se usaba colombización, por ejemplo.
PAPA FRANCISCO: También ¿no? Así que yo contesté rezo, los acompaño, y ojalá no lleguemos a la mexicanización, técnicamente. Levantó pólvora, pero la mayoría, por las estadísticas que me llegaron, que hicieron algunos periodistas de allá, el noventa por ciento del pueblo mexicano no se sintió ofendido por eso. Lo cual me alegra. Para mí habría sido un gran dolor que se interpretara de esa manera ¿no? Mismo un gobierno después de haber preguntado aceptó las explicaciones. Estas que son las verdaderas ¿no? Y todo en paz. O sea eso no me cerró las puertas a México. Voy a ir a México.
VALENTINA ALAZRAKI: Papa Francisco, relacionada con esta pregunta. Usted, sabemos que tiene una actividad, digamos entre comillas, personal muy activa. Usted le llama por teléfono a las personas, escribe cartas personales, preciosas por cierto. Ante lo que sucedió: Usted ha pensado decir a estas personas que, quizá, debían tener el sentido común que, si yo recibo una carta del Papa, yo no la publico. No ha pensado usted que, porque usted es el Papa, ya no es el Padre Jorge. ¿No ha pensado decirles miren yo les llamo por teléfono, les escribo, pero, en fin, esto es privado?
PAPA FRANCISCO: Lo suelo hacer, normalmente. Pero a veces la gente no, no se aguanta.
VALENTINA ALAZRAKI: Le meten luego en problemas. Digo una cosa es la correspondencia privada.
PAPA FRANCISCO: Este amigo mío me contestó pidiendo perdón, que me juraba y me re-juraba que nunca más iba a publicar.
VALENTINA ALAZRAKI: ¿Sigue siendo su amigo?
PAPA FRANCISCO: Y sí Porque además él lo hizo como diciendo hasta el Papa está luchando contra la droga, ¿no?. Es verdad que el hecho de tocar un tema tan delicado, no cierto, me puede dar consecuencias. Pero lo tengo que decir, a veces yo me he sentido usado por la política del país. Políticos argentinos que pedían audiencia.
VALENTINA ALAZRAKI: Riprende
PAPA FRANCISCO: Sí, comprendo su pregunta y quiero contestar abiertamente, aunque me podría traer algún problema personal, en mí país. Pero simplemente cuento lo que ha pasado. Claro los argentinos cuando vieron un Papa argentino se olvidaron de todos los que estaban a favor o en contra del Papa argentino. Y los argentinos que no somos humildes, y que somos muy engreídos ¿Usted sabe cómo se suicida un argentino?
VALENTINA ALAZRAKI: No.
PAPA FRANCISCO: ¿No? ¡Se sube arriba de su ego y de ahí se tira abajo!
VALENTINA ALAZRAKI: Papa Francisco tenemos la suerte de que esta entrevista cae en el segundo aniversario de su elección. De esa noche inolvidable cuando usted nos sorprendió a todos con su buonasera, los Cardenales me han ido a pescar hasta el fin del mundo, y bueno, y ese gesto de pedir la bendición. A mí se me enchina todavía la piel del recuerdo, porque fue un momento muy fuerte. Muchos no le atinamos a que usted sería el Papa, porque nos fuimos un poco, la verdad le digo, porque pues decían que después de la renuncia del Papa Benedicto querían un Papa joven. Sabíamos que usted lo del Vaticano no era, como le dije una vez en el avión, santo de su devoción, que no le gustaba tanto venir por acá, que venía lo mínimo posible, entonces, bueno, yo la verdad, pensé que a lo mejor usted diría que no, o A ver, ¿qué pasó ese día, cuando se dio cuenta usted de que, ya el nombre era éste, y que usted saldría como Papa?
PAPA FRANCISCO: La cosa fue muy sencilla. Yo me vine con una valijita chica porque hice el cálculo, y dije el Papa no va nunca a asumir en Semana Santa. Por lo tanto yo me puedo venir tranquilamente y estar el Domingo de Ramos en Buenos Aires. Dejé preparada la homilía del Domingo de Ramos sobre mi escritorio y me vine con lo necesario para esos días, aunque pensaba que podía ser un cónclave muy corto ¿no?
De todas maneras me preparé hasta lo más posible por si fuera largo, de tal manera que tenía el boleto de vuelta. Lo podía cambiar o adelantar ¿no? Pero tenía asegurado ese. Además no estaba en ninguna lista de papables, gracias a Dios, pero ni se me pasó por la cabeza. En esto quiero ser sincero para evitar cuentos y eso. En las apuestas de Londres creo que estaba en el número 42 o 46. Un conocido mío, por simpatía apostó, y le fue muy bien.
VALENTINA ALAZRAKI: Pero le tengo que recordar que fue una monja mexicana la que tuvo una gran intuición. Porque usted el sábado antes de la elección comió en casa de su amigo, el Cardenal Lozano Barragán, y la madre Estela le dijo: Eminencia, si lo hacen Papa usted nos invita a comer allá arriba, ¡eh!
PAPA FRANCISCO: La madre Estela me dijo así. Bueno y así empezó el cónclave. Los periodistas decían que a lo más yo era un kingmaker que, bueno, un elector, un gran elector, que indicaría a alguno. Y estuve en paz. Empezó la primera votación, el martes a la noche, segunda el miércoles a la mañana, tercera el miércoles antes del almuerzo y. El fenómeno de las votaciones ahí en, siempre, no sólo en el cónclave, en estos grupos, es un fenómeno interesante. Hay candidatos ya fuertes. Pero mucha gente que no sabe dónde dar el voto. Entonces elige seis, siete, que son los votos depósito. Entonces yo deposito el voto en usted y cuando veo ya quien va se lo doy. O sea, son, es como una provisoriedad. Eso es general en las votaciones de grupos grandes, no cierto. O sea sí, yo tenía algunos votos, pero depósito.
VALENTINA ALAZRAKI: ¿Es cierto que en el cónclave anterior había tenido unos cuarenta? ¿Se puede decir?
PAPA FRANCISCO: No.
VALENTINA ALAZRAKI: Eso dijeron.
PAPA FRANCISCO: Sí, bueno, dijeron.
VALENTINA ALAZRAKI: Algún cardenal dijo.
PAPA FRANCISCO: Bueno, dejémoslo al cardenal. Aunque yo podría decirlo porque ahora yo tengo la autoridad para decirlo. Pero mejor dejémoslo que lo haya dicho el cardenal. Pero nada. Realmente, hasta ese mediodía, nada.
Y después pasó algo, no sé. En el almuerzo, yo vi algún signo raro, pero. Me preguntan por la salud, esas cosas que y ya cuando volvimos a la tarde, se cocinó el pastel ¿no? En dos votaciones se acabó todo ¿no? O sea que para mí también fue una sorpresa.
¿Qué me pasó a mí? En la primera votación de la tarde, cuando yo vi que ya eso ya podía ser irreversible, lo tenía al lado y esto lo quiero contar porque hace a la amistad al cardenal Hummes, que para mí es un grande. A la edad que tiene, es el delegado de la Conferencia Episcopal para la Amazonia. Y va allá y se mete y va en barca y va, y va visitando las iglesias, y lo tenía al lado, y ya a la mitad de la primera votación de la tarde hubo dos, porque hubo una segunda cuando se vio la cosa, se me acercaba así, me decía: No te preocupes, así obra el Espíritu Santo.
Me causaba gracia. Después, en la segunda votación cuando se alcanzaron los dos tercios, siempre se aplaude ¿no? En todos los cónclaves aplauden. Y sí el escrutinio. Y él ahí sí me besó y me dijo: No te olvides de los pobres. Y eso me empezó a dar vueltas en la cabeza y fue lo que provocó la elección del nombre, después, ¿no?
Yo, mientras la votación, rezaba el Rosario, solía rezar los tres Rosarios diarios, tenía mucha paz. Yo diría que hasta inconsciencia. Lo mismo cuando se dio la cosa, y para mí ese fue un signo de que Dios quería eso. La paz. Hasta el día de hoy no la he perdido. Pero es algo de adentro, que, como un regalo ¿no? Y después, qué es lo que hice, no sé. Me hicieron parar. Me preguntaron si aceptaba. Dije que sí. No sé si me hicieron jurar algo, no me acuerdo.
Estaba en paz. Fui, me cambié la sotana. Y salí y quise primero ir a saludar al cardenal Días, que estaba allá en su silla de ruedas, y después saludé a los cardenales. Después le pedí al vicario de Roma y al cardenal Hummes, por amigo, que me acompañaran. Cosa que no estaba prevista en el protocolo.
VALENTINA ALAZRAKI: Ahí empezaron sus problemas con el protocolo, creo.
PAPA FRANCISCO: ¿Qué sabía? Yo puse ahí a...
VALENTINA ALAZRAKI: Esa fue la primera de muchas.
PAPA FRANCISCO: Y fuimos a rezar a la Capilla Paulina, mientras el cardenal Tauran anunciaba el nombre. Después salí y yo no sabía lo que iba a decir. Y bueno, de todo lo demás son testigos ustedes. Sentí profundamente que un ministro necesita la bendición de Dios, pero también la de su pueblo. No me atreví a decir que el pueblo me bendijera. Simplemente dije: Pueblo recen para que Dios a través suyo me bendiga. Pero me fue saliendo todo espontáneo. Igual lo de rezar por Benedicto. Decía, no, no sé, no preparé nada. Salió solo.
VALENTINA ALAZRAKI: ¿Y le gusta ser Papa?
PAPA FRANCISCO: ¡No me disgusta!
VALENTINA ALAZRAKI: Porque uno se hubiera imaginado que no le hubiese gustado ser Papa.
PAPA FRANCISCO: No, no. Una vez dada la cosa después se hace.
VALENTINA ALAZRAKI: ¿Qué es lo que le gusta y qué lo que no le gusta tanto de serPapa? ¿O le gusta todo?
PAPA FRANCISCO: Sí, lo único que me gustaría es poder salir un día, sin que nadie me conociera e irme a una pizzería a comer una pizza.
VALENTINA ALAZRAKI: ¡Eso estaría muy bien!
PAPA FRANCISCO: Voy a esto, no, esto lo digo como ejemplo. En Buenos Aires yo era muy callejero. Iba, venía por las parroquias, y claro cambiar de hábitos y estar. Eso me cuesta un poquito, pero, no, no sé, se arregla, se habitúa. Se encuentra otra manera de callejear: el teléfono, el...
VALENTINA ALAZRAKI: Y lo de que no le gustaba tanto el Vaticano, eso no es ningún secreto. No le gustaba mucho venir. Y ahora que está desde hace dos años acá adentro, ¿le gusta un poco más o un poco menos?
PAPA FRANCISCO: No. No sólo el Vaticano. Esto lo tengo que aclarar. Creo que mi gran penitencia son los viajes. A mí no me gusta viajar. Yo soy muy pegado al hábitat, es una neurosis. Una vez leí un libro muy lindo que se llama: Alégrese de ser neurótico. Entonces, uno tiene que descubrir las neurosis que tiene, cebarle mate todos los días, tratarla bien, para que no le haga daño ¿no? Y bueno una de mí, yo digo, de mis neurosis, o de mi modo de ser, es estar muy pegado al hábitat. O sea todo viaje, no me gusta. Y venía a Roma y por ahí no me gustaba, porque algún ambiente de chisme, y eso no, por eso venía y me iba enseguida ¿no? Si Benedicto asumió al mediodía, y a la tarde ya estaba arriba del avión ¿no? es decir.
Y ahora no me disgusta. Acá hay gente muy buena. El hecho de vivir acá me ayuda mucho.
VALENTINA ALAZRAKI: ¿Le gusta estar aquí en Santa Marta?
PAPA FRANCISCO: Es simplemente porque hay gente. Yo allá solo, no hubiera soportado. No porque sea lujoso, como algunos dicen, no. No es lujoso. El apartamento no es lujoso. Es grande. Pero esa soledad no la hubiera tolerado. Venir aquí, comer en el comedor, donde está toda la gente, tener la Misa, esa donde cuatro días a la semana viene gente de afuera, de las parroquias, me da un poquitito de holgura espiritual. Me gusta mucho eso.
VALENTINA ALAZRAKI: ¿No se siente solo?
PAPA FRANCISCO: No, no, no. En serio que no.
Este viernes vea la segunda parte de la entrevista en 'El Noticiero' con Joaquín López-Dóriga.
MACO
La Basilique Saint Paul est l'une des quatre basiliques majeures de Rome et un haut lieu de pèlerinage. Elle fait partie des églises dites "hors les murs", c'est à dire située à l'extérieur des remparts de Rome.
Accès : Métro station Basilica San Paolo ou bus lignes 23, 128, 761, 766...
Adresse : Piazzale di San Paolo, 1
Horaires : tous les jours de 7h00 à 18h30.
Tarifs : gratuit pour la basilique, payant pour le cloître (4€).
La basilique Saint Paul est construite à l'emplacement de la tombe du saint, décapité à l'époque de Néron. Un petit édifice était déjà présent lorsque l'empereur Theodosius, à la fin du IVème siècle, ordonne la construction d'une vaste basilique à 5 nefs. Elle a été la plus grande église du monde jusqu'à la construction de la basilique Saint Pierre. Embellie et enrichie au fil des siècles elle est presque totalement détruite en 1823 par un terrible incendie.
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Elle est reconstruite selon le plan d'origine mais l'essentiel de la décoration est de style néoclassique avec quelques éléments de l'ancienne basilique qui ont pu être réutilisés.
La basilique Saint Paul est précédée d'un très grand portique à colonnes, construit au début du XXème siècle. Il entoure une cour intérieure avec en son centre une statue de Saint Paul, portant l'épée, symbole de son martyr. Le fronton est décoré d'une mosaïque représentant, au sommet, le Christ entouré de Saint Pierre et Saint Paul. |
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L'intérieur de la basilique Saint Paul est impressionnant, monumental avec ses 131 mètres de long, 65 de large et 29 de haut. Les 5 nefs sont séparées par 80 colonnes monolithiques de granit. Un plafond de stuc doré, qui n'en possédait pas jusqu'à l'inendie, recouvre les nefs. Une longue frise de mosaïques, composée de médaillons représentant tous les Papes depuis Saint Pierre, fait le tour de la basilique. Celui du Pape actuel est éclairé. |
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La mosaïque figurant sur l'arc triomphal, séparant la nef du choeur, a pu être sauvée, restaurée et réinstallée suite à l'incendie. Elle a été réalisée au Vème siècle et représente un passage de l'apocalypse de Saint Jean : les vingt-quatre vieillards se prosternent devant le Christ et vont déposer les 24 couronnes d'or qu'ils tiennent. Les évangélistes sont représentés au-dessus ainsi que Saint Pierre et Saint Paul au-dessous.
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La mosaïque de l'abside a été refaite suite à l'incendie, et représente le Christ bénissant entouré de Saints.
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L'autel est surmonté d'un très beau ciborium gothique du XIIIème siècle, épargné par l'incendie. Située au-dessous, vous trouverez la tombe de Saint Paul, accessible par un escalier.
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Vous pouvez aussi découvrir la porte sainte, fermée par une porte byzantine fabriquée au début du XIème siècle à Constantinople. Elle est décorée de 54 panneaux gravés, sur le thème de la vie du Christ et des apôtres. |
Accessible depuis le bas-côté gauche vous trouverez le cloître, l'une des merveilles de la basilique. Construit au début du XIIIème siècle et épargné par l'incendie, le cloître est remarquable par ses colonnes cosmatesques (incrustées de petits morceaux de marbre).
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Une visite à ne pas rater (accès payant mais tarif très raisonnable).
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666 ce n'est plus une prophétie, c'est la réalité et la vérité.