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Que va faire la France au YEMEN?: Les Forces spéciales françaises combattent au Yémen Publié

Publié le par José Pedro

Yemen : Manifestation à Sanaa contre l'offensive américano-saoudienne

Génocide au Yemen le 9 Mai 2015

De nouvelles bases militaires saoudiennes sont tombés cet après midi entre les mains des tribus yemenites. Les tribus continuent à  avancer sur le sol saoudien.Depuis ce vendredi après midi, Riyad , pris de folie, bombarde a coup de bombe au phosphore les regions de Sadaa. Le régime terroriste de Riyad utilise les stocks d'armements israéliens pour bombarder le Yémen. Sur 100 avions qui bombardent les villes yéménites la moitié est americaine et britannique et décollent des bases militaires en israel ..Riyad envoie des brouillages pour couper la diffusion des emissions de la chaine télévisée al assir.
 
Situation au Yémen
Yémen: le guide suprême d'Iran dénonce un "génocide"
© AP Photo/ Hani Mohammed
INTERNATIONAL
(mis à jour 09:28 10.04.2015) URL courte
Opération militaire au Yémen (65)
1902412
Le gouvernement saoudien doit sans tarder ses frappes criminelles contre le Yémen et son peuple innocent, insiste le numéro un iranien.
 

 

Le guide suprême d'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, a violemment critiqué jeudi les frappes menées par la coalition arabe contre les rebelles houthis au Yémen, et réclamé l'arrêt immédiat de ces actes qu'il a qualifiés de "génocide".

 

"Cette action dans la région est inacceptable. L'agression saoudienne contre le Yémen et son peuple innocent est un crime. C'est un génocide qui peut être passible des tribunaux internationaux", a déclaré le numéro un iranien à l'adresse du gouvernement saoudien.  

Et d'ajouter que l'Arabie saoudite ne sortirait pas victorieuse de ce conflit.  

 

Une coalition arabo-sunnite, dirigée par Ryad, a lancé le 26 mars dernier une opération militaire sous le nom de code "Tempête de fermeté" pour contrer l'avancée des rebelles houthis, liés à l'Iran, et alliés à des militaires restés fidèles à l'ex-président yéménite Ali Abdallah Saleh. 

 

Les rebelles ont pris le contrôle de larges parties du territoire yéménite, dont la capitale, Sanaa, et forcé le président Abd Rabbo Mansour Hadi à fuir le pays et trouver refuge à Ryad.

Appuyée par quatre monarchies du Golfe, l'Arabie saoudite tente d'enrayer la progression des combattants houthis qui cherchent à s'emparer d'Aden, dernière grande ville encore aux mains des partisans du président Hadi.

Dossier:
Opération militaire au Yémen (65)
Lire aussi:
Yémen: Riyad rejette l’appel de Moscou à cesser les bombardements
 
Moscou "déçu" par l'opération de la coalition au Yémen
 
Yémen: Moscou appelle à suspendre les bombardements
 
Riyad: l'opération au Yémen durera jusqu'à ce que les "objectifs soient atteints"
Tags:
Ali Abdallah SalehAbd Rabbo Mansour Hadiayatollah Ali KhameneiAdenArabie SaouditeIranYémen
 


Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20150409/1015583462.html#ixzz3Zd2jOCjR
Les Forces spéciales françaises combattent au Yémen

Publié par wikistrike.com sur 8 Mai 2015, 10:24am

Catégories : #Politique intérieure#Politique internationale

Les Forces spéciales françaises combattent au Yémen

Mondafrique est en mesure de révéler, d’après des sources bien informées, que la France vient d’engager quelques forces sur le front de la guerre du Yémen.

Depuis quelques jours, venus de Djibouti et d’Abu Dhabi, où ils ont des bases permanentes, des soldats des Forces Spéciales tricolores appuient leurs collègues Saoudiens à la frontière avec le Yémen.

On trouve donc, dans cet engagement, des membres de la 13ème Demi-brigade de Légion étrangère implantée à « Zayed Military City », à 65 km d’Abou Dhabi. Quant aux militaires venus de Djibouti ils appartiennent au 5e Régiment interarmes outre-mer (5e RIAOM)

http://www.mondafrique.com/lire/confidentiels/2015/05/06/exclusif-les-forces-speciales-francaises-interviennent-au-yemen

Moyen-Orient
Yémen : la tentation française d’intervenir en soutien de l’Arabie saoudite
L’embargo sur la livraison d’armes aux milices chiites pro-iraniennes que vient de décider l’ONU pourrait fournir une occasion à ceux qui plaident pour un rôle plus actif
Yémen : la tentation française d’intervenir en soutien de l’Arabie saoudite
Reuters

Les faits - Le Conseil de sécurité des Nations unies a imposé mardi un embargo ciblé sur les armes à destination des rebelles chiites Houthis, qui tiennent la majeure partie du Yémen, et de leurs alliés, les partisans de l’ex-président Saleh. Le Yémen est le dernier théâtre d’affrontements en date entre les deux grandes puissances régionales, l’Arabie saoudite sunnite et l’Iran chiite. Riyad et ses alliés sunnites ont déclenché le 26 mars une offensive aérienne pour tenter d’enrayer la progression des Houthis, qui s’appuient sur Téhéran.

La France va-t-elle donner un coup de main à l’Arabie saoudite au Yémen ? Rien n’est décidé mais l’hypothèse est évoquée dans les cercles diplomatiques du Quai d’Orsay, très divisés sur le sujet. Depuis le 26 mars, l’Arabie saoudite intervient militairement (Opération Tempête décisive) mais sans grand succès chez son voisin, contre les milices houthies proches de l’Iran. Celles-ci recrutent parmi les zaïdites, des montagnards du nord du Yémen adeptes du chiisme zaïdite.

Un mot revient avec insistance dans les conversations sur le sujet : Bab el-Mandeb. C’est le nom du détroit qui ferme le sud de la mer Rouge, entre Djibouti et le Yémen. L’un des points sensibles de la géopolitique mondiale, au même titre que le détroit d’Ormuz qui contrôle l’accès au Golfe arabo-persique. L’Arabie saoudite et ses relais agitent la menace que ferait peser une présence iranienne à Bab el-Mandeb, qui donnerait alors une double clé à Téhéran – avec Ormuz – pour verrouiller les flux maritimes occidentaux.

Or, Paris est aujourd’hui l’un des plus proches alliés de la monarchie saoudienne. Le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius était à Riyad le week-end dernier pour y parler sécurité régionale et grands contrats. Et ce week-end, son collègue de la Défense Jean-Yves Le Drian s’envole pour Beyrouth, afin de présider aux premières livraisons d’armes françaises à l’armée libanaise. Ce contrat, baptisé Donas, s’élève à trois milliards de dollars et il est entièrement financé par l’Arabie saoudite.

Les intérêts commerciaux pèsent lourd dans ce dossier, y compris les investissements saoudiens en France. Ils concernent également des pays du Golfe politiquement proches de l’Arabie saoudite, comme les Emirats arabes unis. Ces derniers évoquent à nouveau la perspective, en souffrance depuis 2008, d’acheter des Rafale. Mais l’alliance Paris-Riyad est également politique, face à un adversaire commun, l’Iran. On le sait, la France a une position très dure sur le dossier nucléaire iranien, au nom de la lutte contre la prolifération. L’accord-cadre, conclu le 2 avril à Lausanne entre l’Iran et les pays du P5+1 au premier chef desquels les Etats-Unis, ne déclenche pas l’enthousiasme de l’équipe Fabius. Si elle ne va pas jusqu’à souhaiter un échec, comme les Israéliens, les Saoudiens ou les Républicains américains, elle reste très réservée et s’arrangerait sans doute d’une impasse.

C’est dans ce contexte que des voix s’élèvent pour recommander d’aider les Saoudiens au Yémen. Trois semaines après le début de leur intervention armée, ils sont plutôt dans une mauvaise passe. Les milices houthies ont continué de progresser, les frappes aériennes causent de nombreuses victimes civiles, les capacités d’action au sol sont limitées, les alliés ne se pressent pas au portillon, malgré les annonces d’une large coalition sunnite. Les deux principales puissances militaires sur lesquelles Riyad pouvait compter ne sont pas au rendez-vous : le Pakistan refuse d’engager ses troupes et l’Egypte fait le service minimum.

Djibouti n’est pas loin. Les Français pourraient-ils donner un coup de main ? La présence d’une base militaire permanente à Djibouti rend ce scénario possible, sous une forme ou une autre. Aden n’est qu’à 250 kilomètres de Djibouti, où Paris dispose de moyens aériens et de forces spéciales. Ces dernières sont d’ailleurs intervenues au Yémen, avec la Marine, durant le week-end de Pâques pour évacuer une centaine de ressortissants français et étrangers. Une Française, Isabelle Prime, a été enlevée le 24 février et cette humanitaire est toujours retenue comme otage. Par ailleurs, le sud du Yémen reste le principal terrain de jeu d’Aqpa, la branche régionale d’Al-Qaïda, et d’autres mouvements liés à l’Etat islamique (Daesh). Les frères Kouachi, auteurs de l’attaque contre Charlie, étaient liés à ces groupes. «Le Yémen peut être à la Corne de l'Afrique ce que la Libye est au Sahel», fait-on observer au Quai d'Orsay. C'est-à-dire un foyer de déstabilisation pour toute la région.

Dans les milieux diplomatiques, certains redoutent aujourd’hui la mise en place d’un « storytelling » et d’un argumentaire permettant de vendre une action française au Yémen. Le retour au pouvoir du président Hadi, qui a fui le pays pour se réfugier en Arabie saoudite, en est un élément important. L’adoption d’une résolution des Nations unies, mardi 14 avril, va elle aussi dans ce sens. « Coparrainée par la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni », elle dénonce « les actions de déstabilisation de la rébellion houthie », les ennemis de Riyad, et « impose un embargo sur les armes à destination des houthis et de leurs alliés ». Chacun sait qu’un embargo a besoin d’être appliqué et que la France ne manque pas de moyens navals dans la région. Sur le chemin du retour vers Toulon, le porte-avions Charles de Gaulle devrait même croiser dans ces eaux dans la première quinzaine de mai.

 

LE MALHEUR DU YÉMEN FERA LE BONHEUR DES SAOUDIENS

Yémen: l'Iran défie encore Riyad

 
Yémen: l'Iran défie encore Riyad
 
 
 
Le Croissant rouge iranien va envoyer samedi 9 mai au Yémen un navire avec un chargement de 2.500 tonnes d'aide humanitaire, a annoncé son directeur général Ali Asfar Ahmadi, cité par l'agence officielle Irna.«Le navire avec 2.500 tonnes d'aide humanitaire est actuellement en train d'être chargé dans le port de Bandar Abbas», dans le sud de l'Iran, a annoncé M. Ahmadi, en précisant que le trajet prend «dix jours en situation normale». «Nous avons informé par fax les responsables du Croissant rouge saoudien» à propos de l'envoi de ce navire qui a été baptisé «sauvetage», a-t-il ajouté. Des membres du Croissant rouge iranien seront envoyés «pour aider la population yéménite», a-t-il ajouté.Le 28 avril dernier, des avions de chasse de la soi-disant «coalition» menée par l'Arabie saoudite avaient détruit la piste de décollage de l'aéroport de Sanaa après qu'un avion d'aide humanitaire iranien voulait s'y poser.
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