Mer de Chine - Ukraine: les USA misent sur la confrontation, la Russie serait-elle le détonateur?

Publié le par José Pedro

Poutine serait dans le même camp que les USA, sauf si l'Otan attaque la Russie, et la Chine ne sera pas dupe, c'est elle qui est en ligne de mire des USA! On dit également que Poutine est mort et qu'il a été remplacé par un sosie aux ordres des USA. Les alliances même entre amis de même secte peuvent éclater, surtout si on fait abstraction du pouvoir de Dieu!

il n’y a pas de pires antisémites que les sionistes !Deux Milliardaires à plus de 30 Milliards!, quel jeu jouent-ils? Hitler avait déjà conclus un contrat de transfert vers l'Etat Juif (Palestine) avec les Juifs Orthodoxes Sionistes Loubavitchs en 1933.
 

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Theodor Herzl, de son nom hébreu   (בנימין זאב), né le 2 mai 1860 à Budapest et mort en 1904,  fut un journaliste,  d’abord partisan de l’assimilation des Juifs au sein de leurs terres d’accueil.

Il avait été éduqué dans cet esprit des Lumières qui respirait dans la société bourgeoise de Vienne. Il vénérait la culture non-juive et souhaitait ardemment s’y associer. C’était pour lui, l’incarnation de l’idéal humain. Aussi n’a-t-il jamais circoncis son fils Hans.  Il méprisait les juifs qui se cantonnaient à rester observer la Torah et la Tradition. Pour lui, « les prêtres chrétiens étaient au top de l’échelle » car ils n’étaient pas attirés par l’argent. « Les simples chrétiens valaient plus que les Rabbins »

http://jssnews.com/2012/06/11/top-riche-rabbin/

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En 1893, il proposa dans son  journal sa solution :

« Voici environ deux ans, j’ai entrepris de résoudre le problème juif, au moins en Autriche avec l’aide de l’église catholique. J’ai demandé l’aide des hauts prélats de l’église autrichienne, afin d’obtenir par leur biais, une entrevue avec le Pape Léon XIII pour lui demander de nous aider contre l’antisémitisme. Je déclencherais un mouvement formidable parmi les juifs, qui se convertiront de façon fière et spontanée au christianisme. » Herzl décrit ainsi dans les moindres détails la cérémonie de conversion de masse qu’il avait préparé. « La conversion sera effectuée en plein jour, un dimanche midi, dans la cathédrale St Stéphane par une procession joyeuse au son des cloches. »

Les juifs pour lui étaient porteur du mal : « Les juifs riches dirigent le monde. Ils gèrent le destin des gouvernements et des nations. Ils les incitent à être les uns contre les autres. Pendant ce temps, eux s’enrichissent. »  Herzl légitimait ainsi la thèse antisémite. La même qui faisait écrire en prison en 1927, dans son livre Mein Kampf, Adolphe Hitler : « le judaïsme de l’argent, qui sème la zizanie parmi les peuples et les provoque à la guerre, pendant que le juif en tire profit…. Mais si le judaïsme de la finance internationale réussissait en Europe ou ailleurs, à entraîner de nouveau les peuples à une nouvelle guerre mondiale, le résultat ne serait pas une victoire du judaïsme mais la destruction de la race juive européenne. »

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En 1894, l’accusation de trahison d’ Alfred Dreyfus, fit comprendre à Herzl que l’assimilation n’était pas une solution viable, car le monde chrétien qu’il chérissait pourtant, ne cherchait pas assez à s’ouvrir aux juifs comme lui.

Il décida  donc de vouer toute son énergie à l’élaboration d’un état juif et d’une théorie sioniste qu’il énonça dans Altneuland (une nouvelle ancienne terre). Son état juif devait rejeter toutes les traditions juives, ses commandements, le yiddish, son sens du parasitisme. Il le rêvait ressemblant à un état européen. Haïm Hazaz, un idéologue de la direction sioniste, écrivit en 1943 que le sionisme et le judaïsme n’étaient pas la même chose et surement contradictoires. Le sionisme était un mouvement laïc qui donnait une définition laïque de l’identité juive. C’était un véritable déracinement, une destruction même qui ne faisait pas de place aux religieux. Le plus redoutable adversaire du sionisme n’était-il pas le judaïsme religieux ? Herzl ne rêvait effectivement ni de centre spirituel ni de peuple élu. Mais de l’affranchissement de la Torah, des commandements et de l’annulation de la morale religieuse. Des leaders tels queMendelssohn, en cette époque dite des Lumières, diffusèrent ce dicton « soit juif chez toi et homme à l’extérieur ». Ce qui signifiait en réalité que le juif valait moins qu’un homme. Ils avaient en tête qu’il était nécessaire que les juifs d’Europe de l’est se nettoient de leurs poux et de la crasse de leurs corps.

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Mais pour entraîner tous les juifs dans ce mouvement, le sionisme dut se proclamer être un mouvement de rédemption

Il sut toutefois se distinguer du messianisme, tout en gardant comme dénominateur commun, de conclure l’histoire et de réaliser la promesse divine. C’était en fait très paradoxal. D’un côté ils étaient nombreux à  penser que Dieu n’existait pas mais cela ne les empêchaient pas de juger qu’il fallait tout de même réaliser ses promesses. Ils définissaient le sionisme comme la réalisation des désirs de toutes les générations précédentes. Et pour se faire, ils utilisèrent volontairement une terminologie religieuse afin d’enthousiasmer les juifs respectueux des Mitzvot (la Torah compte 613mitzvot ), alors qu’en fait, leur véritable ambition était de créer un état qui renierait tout idéal religieux. C’est sans doute ce qui peut expliquer l’aveuglement de certains, qui considérèrent Herzl comme un Messie.  Ou l’appelait le « Roi des Juifs ».  C’est ainsi que le drapeau israêlien, si on lui enlève son étoile de David, il lui reste son Tallith (un drap blanc avec deux bandes bleues). Alors que normalement tout Tallith a des bandes blanches ou noires. Mais en utilisant le bleu on symbolisait la rédemption du peuple israélien.

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Dans les années 20, le mouvement sioniste socialiste s’empara de l’hégémonie en terre d’Israël, pour créer une nouvelle terre juive :

Des mots tels que Travail, Construction et Renouvellement, furent transformés en valeurs suprêmes et inculqués à la jeunesse. « Un vieux monde allons nous détruire, un vieux monde allons nous construire. »  Yossef Haïm Brenner, écrivait en 1919 : « Notre caractère  national est corrompu depuis toujours, nous n’avons jamais été un peuple productif. Nous avons toujours vécu une vie de gitans et de chiens. Oui, nous ne sommes que des saletés, pourritures, des œufs pourris… pas des êtres humains. »  Les textes des premiers sionistes étaient donc particulièrement antisémites, méprisant le juif éxilé. « Les peuples européens méritent tous les honneurs même s’ils nous étranglent sans pitié. Tout notre héritage spirituel n’est qu’un moustique mort. Mais devrons-nous permettre que nos rues soient envahies par tous ceux des ghettos ? La pourriture du genre humain ? » Zeev Jabotinsky, le père du mouvement révisionniste consignait en 1919, dans le journal Haaretz : « Dans notre maison Nationale nous déclarerons tous ces juifs qui n’ôteront pas cette rouille de l’exil, qui refuseront de raser leur barbe et de couper leur papillotes, être des citoyens de seconde zone. Ils n’auront pas le droit de vote. »David Ben Gourion (1886-1973), le fondateur et chef de l’état durant de nombreuses années, écrivit  dans son livre : Juif et but   « Les exilés qui se réuniront en Israël seront comme de la tourbe, sans langue, sans éducation, sans racine. On les transformera en une population cultivée. Pour cela,  Israël a besoin d’une population sélective. Le sionisme n’est pas une œuvre de bienfaisance. Nous avons besoin de juifs de qualité supérieure pour qu’ils développent la Maison Nationale. »

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Cette attitude des leaders du sionisme socialiste, dont le programme n’était pas de secourir les juifs, mais de former une nouvelle identité juive, s’est manifestée de la manière la plus extrême pendant la seconde guerre mondiale, quand affluèrent les nouvelles de l’extermination juive.

L’idée d’un refuge pour tous les juifs fut abandonnée. En 1943, alors que les juifs mourraient de faim dans les ghettos d’Europe, et que des millions d’entre eux étaient envoyés dans des camps,Yitzchak Greenbaum, leader sioniste chargé des opérations de secours et ministre de l’intérieur du gouvernement Ben Gourion, déclara : « Quand on m’a demandé de donner l’argent du Kéren Hayésod pour sauver les juifs de l’étranger, j’ai répondu non. Quand on m’a proposé deux possibilités : Le secours des masses juives d’Europe ou bien la rédemption en Israël, j’ai choisi la rédemption… Trop parler de massacres, diminue notre détermination. Si nous avions aujourd’hui la possibilité d’acheter des caisses de nourriture avec l’argent du Kéren Hayésod pour les acheminer vers Lisbonne, nous ne le ferions pas. Car le sionisme passe avant. » Pour Ossishkin (1863-1941), un des chefs du mouvement sioniste et directeur du Kéren Kayémet Leisraël dans les années 20 (extraits de la Shoah du ciel) «Les victimes qui meurent dans les terres de l’exil sont d’un peuple agonisant. Leur mort n’a pas de sens. De même que leur vie. Mais les victimes mortes sur notre terre, nous les admirons avec fierté. » Haïm Weizmann (1874-1952) Ier président de l’état d’Israël déclarait en 1937 (La marque de Caïn page 105) : «Je souhaite sauver 2 millions de jeunes. Les vieux iront à leur perte à la rencontre de leur destin. Ils ne sont que poussière humaine, économiquement et moralement dans un monde cruel. Seule la jeunesse survivra. Les vieux doivent le comprendre et l’accepter. » David Ben Gourion (du livre de Tom Segev  Les jours des anémones) : « Si j’apprenais que l’on peut sauver tous les enfants d’Allemagne en les transférant en Angleterre, ou seulement la moitié mais en terre d’Israël, je choisirais la seconde solution. »  A la veille de la guerre, Ben Gourion attaqua durement les juifs d’Europe : « Appelez moi antisémite, mais je suis obligé de le dire, nous sommes plein de honte devant ce qui se passe en Allemagne, en Pologne en voyant ces juifs n’osant même pas se battre. Nous n’appartenons pas à ce peuple juif. Nous nous rebellons contre lui. »

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L’attitude du sionisme envers le sauvetage des juifs pendant la 2nde guerre mondiale fut bien navrante !

Par exemple, le 25 avril 1944, Eichmann convoqua à son bureau Yoël Brand, un sioniste, membre du comité de secours de Budapest, pour lui faire une proposition :  « Tu sais qui je suis, celui qui extermine les juifs en Allemagne, en Pologne et en Tchécoslovaquie, maintenant je vais m’en prendre à ceux de la Hongrie. Mais je serais toutefois prêt à te vendre 1 million de juifs contre des marchandises : 10 000 camions, du café etc… Tu iras à Istanbul négocier cet accord avec l’Agence Juive. Et je ferais même sauter les fours crématoires d’Auschwitz. A chaque lot de 1000 camions tu auras 100 000 juifs en échange. » Brand alla donc à Istanbul rencontrer Haïm BerlesCe dernier le convainquit d’aller à Jérusalem pour que les anglais puissent aussi entendre sa proposition. Mais dans le train, il fut approché par Yaakov Grippel (un représentant religieux d’Israël) et par Y. Kellermann (représentant révisionniste) qui le mirent en garde de ne pas quitter la Turquie car les envoyés de l’Agence Juive lui tendait un piège. Brand, ne pouvant soupçonner ses camarades du parti Mapaï,  continua son voyage. Il fut arrêté par les services secrets britanniques et envoyé au Caire durant de nombreux jours pendant que l’extermination de ses semblables continuait. Délivré, ce fut au tour des envoyés de l’Agence Juive de le retenir. Quand il put atteindre Jérusalem, il n’y avait plus aucune organisation en charge du sauvetage. Il ne sut qu’après, que le 25 mai 1944, alors qu’il était retenu au Caire, l’Agence Juive avait décidé de ne rien faire pour sauver ce million de juifs hongrois. Bien entendu, après la guerre, les membres du Mapaï, firent en sorte que personne n’apprenne l’existence de Brand. Mais au procès de Greenwald-Kastner, Brand dut y témoigner. Malgré des vols de documents, ce terrible secret de non assistance de la shoah fut exposé en pleine lumière. Dans ses mémoires, Brand ajouta comment des dirigeants de l’état d’Israël avaient tenté de falsifier son témoignage et l’avait menacé de l’emprisonner dans un asile. Un jour raconte-t-il, invité dans un hôtel de luxe par Teddy Kollek etEhud Avriel (assistant de Ben Gourion), entre deux plats,  ils avaient essayé de le soudoyer en lui proposant un poste de porte-parole à  l’institut Weizmann s’il cessait d’écrire son livre (Le diable et l’esprit).

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Un autre document secret rédigé par Apolinery Hartglas (futur 1er directeur général du ministère de l’intérieur d’Israël) démontre cette attitude sioniste pendant la guerre :

Il y est noté : « Notre comité de secours ne peut pas sauver les 7 millions de juifs destinés à être éliminés. Il faut au mieux pouvoir en tirer un bénéfice politique. Des instructions vont donc être données pour ne sauver que des jeunes appartenant au mouvement travailliste, le Mapaï. » N’est-il pas étonnant de voir qu’ils sélectionnaient ceux qui allaient être sauvés, de la même façon que les Allemands les triaient dans les camps ? Même l’immigration des personnes âgées de Téhéran fut organisée dans ce sens. Il n’était pas question de prendre les juifs qui n’avaient aucun rapport avec le sionisme. Yigal Ben David (ancien de l’Agence juive devenu religieux) confirma les mensonges des  dirigeants sionistes qui ordonnaient de sauver les juifs : « faites en sorte qu’ils soient tous de notre parti. Evitez autant que possible d’amener des éléments non-sionistes vers Israël. »  Quand arrivait un groupe de religieux sionistes (Mafdal), on les prenait suivant un quota de 5 à 10%. Mais s’ils étaient des mouvements No’ham du parti travailliste Mapaï, Dror, Chomer Hatzaïr, Dror ils passaient tous. Mais des Haredim (non sionistes) aucun.

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La décision des Nations Unies du 29 novembre 1947 de créer l’état d’Israël :

Cela  mit fin au mandat anglais sur les terres palestiniennes depuis 1920,  par 33 votes pour, 13 contre et 10 abstentions.  Les sionistes mirent alors à l’écart les religieux. Et une forme de répression plana autour des juifs sépharades. Non seulement ils étaient d’Orient (sémites) mais aussi religieux. Tout l’opposé du sionisme. On décida alors d’essayer de les endoctriner. Et pour plus d’efficacité, on sépara les enfants des parents. On leur inculqua des programmes pédagogiques modernes. Les papillotes furent coupées et ils durent faire une croix sur leur culture arabo-juive pour la remplacer par le Travail, l’Argent et la Nourriture. Ceux qui n’adhéraient pas à la Histadrout n’avaient pas à manger. LesYéménites qui étaient aussi religieux quand ils arrivèrent, furent embarqués de force dans des campements de tentes. On leur envoya des jeunes des Kibboutz pour les éduquer. Extrait du guide du Chomer (décembre 1956) : « comment se conduire avec les élèves religieux des camps ? Il faut leur faire comprendre que leur foi en Dieu est dénuée de logique et de fondement. Que la religion n’est que le fruit de régimes réactionnaires… »

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Après 50 ans, rien n’a changé :

Zehava Galon, du parti Meretz au Parlement, demandait toujours la séparation de la religion de l’état, la suppression du grand Rabbinat, l’abrogation des lois des Tribunaux Rabbiniques, les Conseils religieux etc…Aucun parti religieux ne devait siéger. Le député Yossef Lapid(chef du parti Chinouï) clamait qu’ils étaient en danger, car les religieux allaient engloutir l’état nous faisant revenir au Moyen Age. Pourtant au départ, que n’avait-on pas promis aux religieux : que leurs filles ne seraient pas appelées par l’armée, que le Shabbat serait un jour férié national, qu’ils jouiraient d’une certaine autonomie éducative, que le statut du Rabbinat ne serait pas lésé, qu’il n’y aurait pas de mariages civils ni de constitution laïque. Toutes ces promesses ne furent pas tenues par le premier ministre Ehud Barak. Le statu quo fut brisé. Le vote d’une loi interdisant le travail le jour du Shabbat était considéré comme illégitime. Mais si un parti socialiste imposait un jour de repos obligatoire, cela l’était. Comment peut-on alors parler d’un état juif ?

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Les medias en Israël forment un bloc unique, semblant être animés par une seule source :

Lorsque vous demandez à un étudiant de faire une recherche sur les nouvelles d’une journée, 95% d’entre elles sont écrites avec le même style et le même point de vue. Haïm Cohen (ancien vice-président de la Cour Suprême) s’en offusquait : « Les medias empiètent vraiment sur le terrain de nous tous. On a l’impression qu’il n’y a plus besoin d’enquêteurs, ni de procureurs, les médias nous dictent ce qu’il faut  penser. Ils adorent faire passer les Haredim (les religieux) pour des monstres qui menacent de dévorer la démocratie. »  Grâce à la manipulation des médias, à l’utilisation de la Cour Suprême et à l’habitude d’esquiver les instances démocratiques, les sionistes arrivaient ainsi à modeler le caractère de l’état en opposition aux valeurs du Judaïsme. Tout était fait pour liquider la démocratie israélienne en transférant les pouvoirs à la Cour Suprême. Les lois du Parlement ne sont plus que des recommandations. C’est ainsi que dans les années 80, la Cour Suprême se mit à adopter une méthode d’activisme judiciaire qui consistait à s’ingérer dans tous les domaines. Pour Aaron Barak, « Il n’y a pas de domaine non juridique. Le monde entier est juridique. » La Cour ne se privait pas de rejeter les lois du Parlement. Ses membres faisaient partie des éclairés (les sages).  Me Gidi Firshtik remarquait que dans les 14 verdicts rédigés par Barak, pas une seule citation n’était de source juive. Mais souvent d’origine américaine, indienne etc… Pour Yaakov Maletz (ancien juge de la Cour Suprême) : « La Cour suprême a dépassé les bornes. » Alors que pour le Prof Ruth Gabizon :  » aucun tribunal au monde ne s’est approprié de telles prérogatives.  »  (1995). En 1999, Me Aaron Papo remarquait que ce tribunal était devenu le porte drapeau contre la religion.

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Lire aussi : L’horrible génocide sioniste contre les juifs sepharades

Pour les sionistes, Il y a un lien entre les religieux et les arabes. Aussi se débarrasser des religieux (Sépharades) c’était se débarrasser des arabes. Les sionistes ne sont pas des sémites alors que les arabes et les juifs sépharades si.

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Antony Blinken
Comparaison mer de Chine - Ukraine: les USA misent sur la confrontation
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Le fait de comparer les démarches de Pékin en mer de Chine méridionale et celles dont est accusée la Russie en Ukraine témoigne d'une tendance dangereuse dans la politique étrangère américaine.
 

Le parallèle que Washington tente de tirer entre la Russie et la Chine indique que les Etats-Unis misent délibérément sur l'escalade des tensions dans le monde, constate le quotidien économique allemand Deutsche Wirtschafts Nachrichten (DWN).

 

"Le fait que les Etats-Unis établissent une comparaison avec l'Ukraine pourrait signifier que Washington recherche l'escalade de la situation. Cela donne également lieu à des tentatives américaines d'imposer des sanctions contre la Chine. Les Etats-Unis espèrent que cela aidera à renforcer leurs alliés en Asie", écrit DWN.

 

 

En fin de semaine dernière, le secrétaire d'Etat américain adjoint Antony Blinken a fait savoir que les revendications territoriales de la Chine étaient comparables aux démarches russes dans l'est de l'Ukraine, et que Pékin mettait en péril la paix et la stabilité mondiale.

 

Selon Antony Blinken, la Chine élargit son influence en créant des îles artificielles en mer de Chine méridionale et en augmentant ainsi ses propres eaux territoriales, ce que les Philippines et le Vietnam considèrent comme illégal. Les Etats-Unis y sont également hostiles, dénonçant des tentatives de modifier le statu quo par l'adoption de mesures unilatérales comme dans le cas de l'Ukraine, estime le secrétaire d'Etat américain adjoint.

Néanmoins, les aspirations américaines à imposer des sanctions contre la Chine pourraient avoir un effet boomerang, comme dans le cas de la Russie. Les pays européens souffrent des sanctions antirusses, tandis que la Russie les endure sans pertes considérables, indique le journal. En outre, le renforcement de la coopération sino-russe constitue une menace pour la domination économique américaine.

 
Lire aussi:
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Pékin: les relations Chine-Russie contribuent à la stabilité dans le monde
 
Russie-Chine: la coopération stratégique passe à la vitesse supérieure
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Le G7 a ses propres conceptions sur la mer de Chine du Sud


Wayne Madsen
Wayne Madsen

Par Wayne MADSEN – Le 13 juin 2015 – Source strategic-culture

 

Les dirigeants du G7 ont publié un communiqué, à l’issue de leur sommet dans la retraite bavaroise préféré d’Adolf Hitler de Garmisch-Partenkirchen, qui vilipende la Chine pour ses revendications sur les îles de la mer de Chine méridionale riches en énergie.

 

Les dirigeants du G7 ont déclaré: «Nous nous opposons fermement à l’utilisation de l’intimidation, de la coercition ou de la force, ainsi qu’à toute action unilatérale visant à changer le statu quo, comme la revendication de territoires à grande échelle.» Ce que les dirigeants du G7 ont oublié de mentionner est que quatre membres du groupe d’élite, les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France et le Japon, ont utilisé des auxiliaires supplétifs comme les Philippines, la Malaisie, le Vietnam, l’Indonésie, Taiwan et l’ancienne République du Vietnam (Sud Vietnam) pour fortifier leurs possessions insulaires dans la mer de Chine méridionale. La déclaration du G7 était une manifestation de plus de l’hypocrisie grossière du groupe comme on l’a déjà vu avec leurs sanctions contre la Russie, la Syrie, l’Iran et d’autres pays.

En 1973 et 1974, l’un des efforts militaires à la fin du régime sud-vietnamien pro-américain à Saigon a été de mettre la main sur un certain nombre des îles Paracel comme tentative de la dernière chance pour les États-Unis de maintenir le contrôle sur les riches réserves de pétrole du sud de la mer de Chine et bloquer le trafic maritime vers la Chine. En 1974, la Chine a commencé un forage exploratoire dans les îles Paracel. Les États-Unis et leurs alliés sud-vietnamiens ont tenté de tracer une ligne dans la mer entre les îles déjà occupées par la Chine, y compris l’île Woody, et celles occupées par le Sud-Vietnam.

Le 16 Janvier 1974, une frégate sud-vietnamienne a été envoyée à l’île Drummond où elle a rencontré deux chalutiers de pêche chinois armés et un détachement de l’armée chinoise occupant l’île. Des navires de guerre chinois ont également été observés au large de l’île Duncan où ils soutenaient une petite force chinoise de débarquement. Le Sud-vietnamien a exigé que la Chine retire ses forces des îles revendiquées par le Sud-Vietnam. Les Chinois ont ordonné aux Sud-Vietnamiens de quitter la zone. Le lendemain, le 17 janvier, trente commandos sud-vietnamiens, dirigés par un agent de l’Agence centrale de renseignement des États-Unis affecté à l’ambassade américaine à Saigon, a atterri sur l’île Robert et retiré un drapeau chinois. Le 19 janvier, les troupes sud-vietnamiennes ont débarqué sur l’île Duncan et un échange de tirs a eu lieu avec les troupes chinoises. Surpassés en nombre par l’Armée populaire de libération chinoise, les Vietnamiens du Sud se sont retirés. Après une courte bataille navale et aérienne, les garnisons de Marines sud-vietnamiennes sur les îles Drummond, Duncan et Robert se sont rendues aux Chinois. Quatre frégates sud-vietnamiennes ont été endommagées et une a été coulée par les Chinois.

La bataille des Paracels a affirmé le contrôle chinois sur les trois îles qui se sont rendues, ainsi que sur l’île de Triton, qui était aussi revendiquée par le Sud-Vietnam. Le gouvernement sud-vietnamien a protesté auprès des Nations Unies contre cette action et les Nord-Vietnamiens et le Vietcong sont restés de marbre à propos de la victoire chinoise. Les Sud-Vietnamiens ont perdu 53 militaires et, en plus, les Chinois on fait 48 prisonniers, dont un ancien capitaine des Bérets Verts de l’armée US, Gerald Kosh, supposé être un conseiller régional de sécurité à l’ambassade américaine à Saigon, mais dont on pense qu’il était un agent de la CIA. En plus de Kosh, des témoignages font état de la présence d’éléments de SEALs de l’US Navy sur les îles pour aider les Vietnamiens du Sud à affronter les Chinois.


L’incursion Sud-Vietnam / CIA dans les Paracels en 1974 n’a pas été différente de la corde raide navale et aérienne actuellement affichée par les opérations américaines dans la mer de Chine du Sud et destinées à entraîner une confrontation avec la Chine. Tout comme les États-Unis ont utilisé le supplétif sud-vietnamien en 1974 pour initier une guerre avec la Chine sur les Paracels, aujourd’hui, ils cherchent à accomplir la même chose en utilisant les Philippines, le Vietnam, la Malaisie, Brunei et Taiwan. Même si les États-Unis ont tenté d’attiser les opérations militaires anti-chinoises parmi les nations ayant des réclamations sur les îles de la mer de Chine du Sud, l’ancien Premier ministre malaisien Mahathir Mohamed a déclaré que la Chine n’est une menace pour personne et que ce sont les États-Unis qui essaient de provoquer une confrontation militaire dans la région. Le ministre de la Défense malaisien Hishamuddin Hussein a également rejeté le bellicisme américain et dit que les patrouilles navales de la Chine de la région de l’île sont justifiées. Même les médias taiwanais ont accusé les États-Unis d’être derrière les incidents vietnamo-chinois concernant des navires et des plates-formes pétrolières.

Les dirigeants du G7 ont commodément omis de commenter les réclamations latentes du Royaume-Uni et de la France sur les îles de la mer de Chine du Sud. Bien que les deux membres du G7 n’aient pas fait valoir leurs revendications, ils ne les ont pas non plus retirées. Le G7, affichant son orgueil typique, met en garde la Chine contre la consolidation de ses revendications historiques sur les îles Paracels et Spratleys, mais ne parvient pas à admettre ses propres intérêts dans la région.

Les médias américains et australiens, en particulier les médias appartenant au va-t’en-guerre néocon Rupert Murdoch, ont été abreuvés d’histoires qui prétendent que la Chine veut militariser les îles Paracels et Spratleys, y compris des articles alarmistes sur le déploiement de missiles offensifs en mer de Chine du Sud. Cependant, des rapports de renseignement de la CIA préparés dès 1974 décrivaient déjà les installations militaires chinoises sur les îles en Chine du Sud, donc les médias occidentaux utilisent de vieilles informations réchauffées dans une tentative d’attiser les tensions pour le compte du complexe militaro-industriel américain.

Woody Island, également connu sous le nom de Yongxing et situé dans le groupe Amphitrite des Paracels, était le siège civil et militaire de l’administration chinoise des Paracels en 1974, selon le propre rapport secret de la CIA intitulé Les îles contestée en Asie de l’Est et daté de février 1974. Aujourd’hui, l’île abrite le ville de Sansha City, avec une population civile et militaire de 600 personnes. Quant aux autres îles de la mer de Chine du Sud, la CIA a estimé en 1974 que beaucoup avaient des installations militaires et navales chinoises. Elles comprenaient Rocky, relié à Woody par une route construite par les Chinois ; Lincoln; Pattle ; Robert ; et Duncan. En ce qui concerne la présence de la Chine dans les Spratleys sur la région du sud de la mer de Chine du Sud, il y a des bâtiments militaires et des quais sur South Johnson Reef ; un entrepôt militaire, des emplacements d’artillerie, et une station radar et radio sur Gavin Reef ; un bâtiment militaire de deux étages, un phare sur Hughes Reef, et une Station d’observation marine des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), une piste d’atterrissage, et une station radar sur Fiery Croix Reef. Aucune de ces installations ne suggère une menace militaire chinoise contre l’Australie ou la Septième flotte américaine comme allégué par les médias Murdoch, pas plus que la construction d’une Grande Muraille de sable, n’est une menace militaire offensive comme la décrit hystériquement le commandant de la Flotte américaine du Pacifique, l’amiral Harry Harris.

Le Président Obama, dans son pivot vers l’Asie, semble croire qu’une augmentation de la présence militaire terrestre, navale, et aérienne des États-Unis en Asie orientale et du Sud-Est devrait passer inaperçue par les puissances régionales comme la Chine. La consolidation de la marine et de l’infrastructure modeste de la Chine sur les Paracels et Spratleys sont une réponse directe aux mouvements agressifs américains dans la région, une stratégie qui a commencé en 1974 avec l’incursion sud-vietnamien pro-américaine dans les Paracels. Récemment, un avion de patrouille de la marine américaine P-8A Poseidon a survolé Fiery Croix Reef dans le cadre d’une politique du Pentagone prenant des mesures concrètes dans la région. Si les généraux et les amiraux amateurs en fauteuil, à Washington et Honolulu, se tourmentent sur la présence croissante de la Chine dans sa mer du Sud, ils n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes et à leurs mesures concrètes.

Wayne Madsen

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