WWIII : Les agences secrètes CIA, NSA, DGSI, UCLAT, fouillent vos ordinateurs par MICROSOFT et FACEBOOK, même si vous n'avez rien à cacher, seul KASPERSKY peut vous protéger. PUB POUR KASPERSKY qui sera alors le seul à fouiller.
WWIII : Les agences secrètes CIA, NSA, DGSI, UCLAT, fouillent vos ordinateurs par MICROSOFT et FACEBOOK, même si vous n'avez rien à cacher, seul KASPERSKY peut vous protéger. PUB POUR KASPERSKY qui sera alors le seul à fouiller.
En fait tout le monde peut, s'il s'en donne les moyens, aller chercher de l'information dans les sites, les réseaux, les ordinateurs, s'il s'en donne les moyens, cela s'appelle un Hacker.
Par contre pour le faire d'une façon systématique, chez "tout le Monde", seul les plus grosses sociétés déjà habilitées et auxquelles nous accordons notre confiance, peuvent le faire, par leurs domaines de compétences : Systèmes d'exploitations, Réseaux, Navigateurs, Stockage, Cloud, WIFI, Bluetooth, Antivirus, etc.
Toutes vos données sont déjà chez un opérateur précédemment cité. Des contrats officiels existent entre ces opérateurs et les Agences de Renseignement, ce qui fait que tout ce que vous publiez, peut-être retenu contre vous.
Des lois existent sur la protection de vos données personnelles, et également sur celles des autres, par rapport à la diffamation où à l'outrage public. Mais elles ne sont pas appliquées, et l'on voit des Juges, qui poursuivent en diffamation non publique, ne tenant pas compte de la date de péremption de la diffamation, pour condamner et donc pour empêcher la libre pensée, et la liberté d'écrire et d'analyser de façon critique, des actes et des comportements préjudiciables, de façon à ne plus pouvoir s'exprimer ni faire usage de sa liberté de penser et d'écrire. Cela devient un régime de censure systématique, où seuls ceux qui sont habilités à s'exprimer, peuvent le faire.
Le temps de la pensée unique est arrivé, laissant les libres penseurs, dans l'incapacité de s'exprimer et d'agir. On gouverne par ordonnances, ce qui équivaut, à se passer même de sa propre majorité à l'Assemblée pour établir des Lois, qui elles seront appliquées, pour maintenir en esclavage de plus en plus marqué, le Peuple, qui selon Macron, n'est souverain de rien, avec une constitution française qui n'est plus appliquée, et dont l'intégration dans un marché mondialisé, ne permet plus de penser Français.
La Guerre est imposée sur ces marchés, les joueurs n'en sont que des multi-nationales ou des Banquiers.
Si on veut se débarrasser d'un gêneur, on installe le Chaos dans sa vie, dans sa famille, dans ses amis, dans son Pays, et on décrète que c'est pour le bien du plus grand nombre des milliardaires qui ont été impactés par cette levée de boucliers pourtant salutaire.
Incapable de faire face à l'afflux de données, la DGSI s'est résolue à passer un contrat avec une entreprise américaine pour l'aider à traiter son Big Data. Il s'agit de Palantir Technologies, une société liée à la CIA.
L’antiterrorisme français a tellement de données à gérer qu’il n’est plus capable de faire face seul, à tel point que les services de renseignement sont désormais obligés de solliciter l’aide d’entreprises étrangères afin de leur déléguer une partie du travail. C’est ce que révèle l’hebdomadaire Paris Match : la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a dû se résoudre à passer un contrat avec une société américaine pour se décharger un peu de la masse d’informations qu’elle a à traiter.
Et ce n’est pas n’importe quelle entreprise qui a été contactée par les agents français. Il s’agit en effet de Palantir Technologies, une entreprise spécialisée dans l’analyse de données en très grand nombre — le Big Data — dont les services sont visiblement très appréciés outre-Atlantique. Un document interne qui a fuité début 2015 montrait que des organisations comme la NSA, la CIA, le FBI, les Marines, le département de la sécurité intérieure, l’Air Force, West Point ou encore les opérations spéciales y recourent, et de ce fait toutes les agences Américaines ont vue sur votre palier.
Palantir Technologies n’est pas très connue de ce côté-ci de l’Atlantique. Son nom avait été associé à une affaire de déstabilisation de WikiLeaks en 2011. Un piratage avait permis de mettre la main sur des mails décrivant tout un mode d’emploi pour détruire le site du lanceur d’alerte Julian Assange. Ces informations avaient été confirmées par le président de la société, qui faisait en fait une liste des actions possibles contre WikiLeaks, mais il avait alors rejeté toute la faute sur l’entreprise HBGary, qui avait vu sa messagerie piratée.
Aux États-Unis en revanche, elle bénéficie d’une notoriété plus importante. Il faut dire qu’on lui prête un rôle important dans la traque d’Oussama Ben Laden en 2011 — qui a été tué cette année-là — et qu’elle est assez proche des sphères de pouvoir américaines. Elle a été financée par la CIA et Condoleezza Rice, secrétaire d’’État sous George Bush, et George Tenet, ancien directeur de la CIA, ont rejoint la société comme conseillers.
C’est à la fin novembre que la DGSI et Palantir Technologies ont fini par trouver un accord après des mois de discussion. Les détails du contrat ne sont évidemment pas connus mais Paris Match indique que la mission confiée à Palantir est d’analyser le Big Data en matière de terrorisme au profit de l’agence française. L’hebdomadaire ajoute que des agents de la DGSI ont d’ores et déjà été formés aux outils de Palantir, mais qu’une partie de ce travail sera quand même confiée à Palantir elle-même.
Question de souveraineté léguée aux USA
Lors de son audition, Patrick Calvar déclarait « qu’il est hors de question de partager notre souveraineté ». Il n’en demeure pas moins que l’accord conclu entre la DGSI et Palantir Technologies pose des questions de souveraineté, car il s’agit ni plus ni moins que de faire sous-traiter du renseignement relatif à la sécurité nationale à une entreprise étrangère. Et cela, même si celle-ci est implantée dans un pays ami et allié — bien que dans les relations internationales, les États n’ont pas de véritables d’amis, mais simplement des intérêts.
Il semble que le contrat avec Palantir n’ait pas vocation à durer trop longtemps (pas plus que le Nouvel Ordre Mondial face aux BRICS). C’est en tout cas ce qu’on peut comprendre entre les lignes de l’audition de Patrick Calvar : « nous ne sommes pas frileux vis-à-vis des nouvelles techniques ; nous les déployons progressivement ». La DGSI se laisse peut-être le temps de monter en puissance ou de permettre aux entreprises françaises de remplacer Palantir. La procédure suivie est la même que pour les drones : on achète d’abord américain avant de développer une filière nationale.

La DGSI n'a pas les moyens d'analyser l'ensemble des données récoltées par le biais de ses systèmes de surveillance. Elle va déléguer à Palantir, cofondée par un membre du cabinet Trump, le traitement de ces données.
Il n'est pas suffisant de voter des tas de lois antiterroristes et renseignement imposant la surveillances des réseaux télécoms. La quantité de données amassée par ces grandes oreilles numériques est énorme, et il faut par la suite pouvoir les traiter.
Or, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s'est rendue compte qu'elle ne possédait pas les moyens suffisants pour le faire. Paris-Match a révélé que l'agence française avait signé un contrat avec la firme américaine Palantir, pour la seconder dans ses missions d'anti-terrorisme.
Palantir, société très secrète basée dans la Silicon Valley, financée à son lancement par la CIA et qui serait valorisée aujourd'hui 20 milliards de dollars, est spécialisée dans l'analyse big data et travaille pour des clients tels que le FBI et la NSA. Elle aurait, dit-on, contribué à localiser Ben Laden en 2011.
LIRE AUSSI >> Palantir, l'oeil caché du contre-terrorisme
Des informations tellement sensibles qu'en février dernier, alors interrogé par L'Express, le ministère de l'Intérieur indiquait: "utiliser une solution américaine, de surcroît financée par la CIA, pose des problèmes de souveraineté nationale".
Le problème se pose avec d'autant plus d'acuité que l'un des co-fondateurs de Palantir est Peter Thiel, seul soutien notable de Donald Trump dans la Silicon Valley, désormais membre du cabinet du président élu.
Les Américains furax : Une société russe bloque un logiciel espion de la CIA intégré dans TOUS LES LOGICIELS Microsoft.
Kaspersky Labs est l'une des plus grandes sociétés de cybersécurité privées du monde qui opèrent dans 200 pays et territoires et dispose de 37 bureaux dans 32 pays et qui a été fondée en 1997 par Eugene Kaspersky et son épouse Natalya - et qui ont été les premiers au monde à développer des logiciels qui surveillent les virus informatiques et les placent en quarantaine isolée.



![]() |
Pour en savoir plus, Cliquez ICI. |

Le leurre utilisé par les États-Unis contre Kaspersky Lab, est sa «connexion» supposée avec le gouvernement russe et à ses agences de renseignement, ce qui est une accusation étonnante et scandaleuse d'une nation qui a donné à la CIA le pouvoir de transformer tous les ordinateurs Microsoft Windows dans le monde en logiciels espions pour le compte de la CIA,- et dont les lois de Patriot Act donnent aux agences américaines d'espionnage le pouvoir illimité d'espionner les ordinateurs de n'importe qui, les courriels , les appels téléphoniques, etc.
Ces «constatations et déterminations» ont été à la base de la décision du président Poutine qui ordonna à la Russie de s'éloigner des logiciels étrangers pour des raisons de sécurité - et qui a déclaré à tous les Russes: «Vous ne devriez pas proposer des produits IBM, ou des logiciels étrangers. Nous ne pourrons pas le prendre en raison de trop de risques. "
![]() |
Vous êtes-vous demandé comment toutes ces entreprises de technologie sont devenues si rapidement très très riches? |

Facebook, nouveau censeur ?
Les réseaux sociaux jusqu’à une période très récente respectaient cette liberté mais les choses sont en train de changer. Facebook a lancé avec huit médias français, l’AFP, Le Monde — qui a créé, dans le même esprit de censure le Décodex –, France Médias Monde (RFI, France 24), L’Express, Libération, 20 Minutes, BFMTV et Franceinfo, une opération de surveillance des informations figurant sur le réseau. Une information considérée comme « fausse » par deux de ces médias sera signalée comme telle sur Facebook, toute tentative de partage sera accompagnée d’une alerte et toute publicité sera bloquée.

Facebook, qui finance de nombreuses manifestations liées à l’information comme le plus important congrès européen de journalisme, veut être plus en pointe dans le combat pour l’Empire du Bien. Le Vice-Président de Facebook Adam Mosseri avait annoncé la couleur en Italie en avril 2017 comme l’Observatoire l’avait noté.
En complément de l’opération ci-dessus, Mosseri annonce que le réseau social ne veut pas s’impliquer dans la vérification des faux discours ni dans la qualification de ce qu’est un discours de haine ou de violence. Il fera appel à des tiers comme l’université américaine Poynter ou au Désintox de Libération dont le propriétaire l’aimable Patrick Drahi n’a certainement aucun conflit d’intérêt.
Comme le disait justement Guy Debord « dans la société du spectacle, le vrai devient un moment du faux ». L’Observatoire reviendra sur des projets de Google qui vont dans le même sens : surveiller et punir. Devinez qui ?