Laos signifie le Peuple de DIEU, la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain. Il est temps de réunir ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple de Dieu et au Libre Arbitre des Hommes. (ce Blog non professionnel, ne fait pas appel à la publicité ni à des subventions pour exister , il est gratuit et tenu par des bénévoles).
WWIII : Dans 2 jours selon AGORA, le KracH Bancaire fait tomber les Masques et les Monnaies de Singe, Marc Jutier, candidat malheureux aux primaires Socialistes propose un FRANC NOUVEAU adossé sur l'or et le panel des BRICS dont le Rouble Russe, par abandon du Dollar.
Publié le
par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog
WWIII : Dans 2 jours selon AGORA, le Krach Bancaire et Boursier fait tomber les Masques et les Monnaies de Singe, Marc Jutier, candidat malheureux aux primaires Socialistes propose un FRANC NOUVEAU adossé sur l'or et le panel des BRICS dont le Rouble Russe, par abandon du Dollar. Une véritable Monnaie Nationale, comme De Gaulle, créateur de la 5ème République, avait donné aux Français pour le plus grand bien de notre pouvoir d'achat et notre faculté à rembourser des crédits avec une inflation de 15% par an. Les Banquiers nous prêtaient de l'argent que nous remboursions au bout de 10 ans avec une moins value de 50% puisque nous ne remboursions en réalité que 50000 francs sur 100000 francs empruntés. De plus pour l'achat d'un appartement, ce dernier sur 10 ans à la revente avait pris 50% de sa valeur au minimum soit 150000 francs pour un achat de 100000 francs.
Laosophie s'engage à autoéditer une version luxe du Livre de Marc Jutier ci-dessous à condition d'avoir une intention ferme de commande pour 100 livres par réservation avec un chèque de caution, du demandeur de 39 euros pour une édition simple numérotée, et de 79 euros pour une édition luxe signée de l'auteur et portant la mention Première Edition. Les chèques sont à envoyer, à Marc Jutier, ils seront restitués si le nombre de commandes est inférieur à celui demandé par l'éditeur.
Cette démarche bénévole, ne doit pas gêner un éditeur qui voudrait prendre Marc Jutier en contrat d'édition et de publication.
Auto-édition : 5 étapes avant de publier votre livre comme auteur indépendant
Pour des raisons qui vous appartiennent, vous avez fait le choix de l’auto-édition. Félicitations et bienvenue dans le monde aventureux des auteurs indépendants ! La bonne nouvelle, c’est que vous êtes totalement libre… La mauvaise nouvelle, c’est que tout repose désormais sur vous.
Ne vous mettez pas la pression, des milliers d’écrivains auto-édités produisent de très bons bouquins. Il faut juste prendre le temps de bien faire les choses et suivre quelques étapes pour éviter de se planter en beauté.
Avec un bonus non-négligeable : même si vous faites une erreur, vous pouvez la rattraper facilement puisque c’est vous le seul maître à bord. En avant, moussaillon !
Etape n°1 : définissez clairement votre objectif
Lorsque vous décidez d’écrire un livre, c’est parce que vous avez quelque chose à dire, une histoire à raconter, une idée à partager ou une opinion à confronter. Mais votre désir d’écrire (chez vous) ne veut pas dire que vous rencontrer un désir de lire (chez les autres).
Mais un livre qui a du succès n’est pas forcément un livre vendu à plusieurs millions d’exemplaires. Tout dépend de votre objectif donc vous devez être clair avec vous-même. Par exemple, on peut vouloir écrire un livre pour les raisons suivantes :
Ecrire un livre, parce qu’on voulait le faire une fois dans notre vie
Laisser un témoignage à nos enfants, petits-enfants et descendants
Avoir une carte de visite professionnelle pour établir une crédibilité
Exorciser une expérience douloureuse en la couchant sur le papier
Partager une idée parce qu’elle peut changer la vie de plein de gens
Lancer un business autour d’une expertise et gagner de l’argent
… et il existe plein d’autres raisons !
Par exemple, Melissa Gonzalez du Lion’esque Group a publié « The Pop Up Paradigm » pour développer l’activité de son entreprise. Elle a investi environ 20 000 dollars dans la création et le marketing de son livre pour en vendre environ 1000 exemplaires…
Cela veut-il dire qu’elle a perdu de l’argent ? Pas du tout : les 1000 exemplaires vendus ont globalement été acheté par le millier de personnes concernées par son secteur d’activité, ce qui lui a permis d’engranger environ 2 millions de dollars de chiffre d’affaires en plus. C’est ce qui s’appelle un joli petit succès.
Dans mon cas, les livres que j’ai publiés en indépendant ne se sont pas toujours très bien vendus mais ils m’ont souvent permis de faire des conférences, décrocher des missions de coaching ou de consulting… et même des contrats d’auteur dans l’édition traditionnelle ! Donc soyez clair avec vous-même et avec votre objectif, puis investissez votre temps, votre énergie et votre argent pour atteindre ce but.
Attention, je ne prétends pas être le meilleur écrivain sur terre, la question n’est pas là. Mais imaginez que vous ouvrez un livre pour découvrir trois fautes de français et une phrase à l’envers dès la première page ; lirez-vous la suite ? Probablement pas. Or a priori, vous écrivez pour être lu…
Polissez votre texte avant de le proposer au public. C’est une marque de respect pour vos lecteurs et un gage de réussite pour la suite.
Etape n°3 : choisissez soigneusement vos mots-clés
Lorsque vous procédez au choix final pour votre titre, votre sous-titre et les mots-clés pour référencer votre ouvrage, prenez le temps de bien faire les choses. Nous vivons dans un monde où les algorithmes mènent la danse et tout le monde utilise un moteur de recherche. Vos lecteurs potentiels vous trouveront donc sans doute via un moteur de recherche !
Bien sûr, il ne faut pas tomber dans la caricature comme certains ebooks sur Amazon qui alignent tellement les mots-clés que ça devient ridicule et repoussoir. Mais sous-titrer votre livre « comment élever son perroquet » sera sans doute plus efficace que « guide pédagogique pour les oiseaux psittaciformes ». Faites le choix de la clarté plutôt que le choix de l’érudition et vos lecteurs vous trouveront plus facilement.
Qu’il s’agisse de la description de votre livre auprès des libraires, de votre quatrième de couverture ou du texte affiché sur les sites de vente, il s’agit bien d’un argumentaire de vente. Vous devez rendre votre livre sexy et désirable pour le lecteur.
La bonne nouvelle dans le cas de l’édition indépendante, c’est que vous pouvez toujours affiner le texte avec le temps. Néanmoins, il est important de faire du mieux que vous pouvez dès le début, cela vous fera gagner du temps par la suite.
Pour vous aider, vous pouvez utiliser la même astuce que pour les couvertures : regardez comment sont construits les argumentaires des livres de la même thématique que le votre. Notez la longueur, les tournures de phrases, la construction et la longueur des paragraphes… puis appliquez la recette à votre ouvrage !
Etape n°5 : préparez une belle couverture
La couverture du livre est son premier contact avec le reste de l’univers, or il est difficile de se remettre d’une première mauvaise impression. C’est donc votre premier outil marketing et vous ne devez pas le négliger.
N’utilisez pas un concepteur de couverture en ligne bas-de-gamme, sinon vous obtiendrez tout simplement une couverture bas-de-gamme. Auriez-vous envie d’acheter ou de vendre un livre bas-de-gamme ? Pas vraiment. Donc demandez de l’aide à un graphiste si le design de livre ne figure pas dans votre liste de compétences.
Regardez à quoi ressemblent les best-sellers dans le domaine qui vous intéresse et notez les éléments qui vous attirent sur les couvertures. Cela peut vous servir d’inspiration pour les imiter… ou pour faire exactement le contraire.
Par exemple, les couvertures des livres de droit sont souvent austères, j’ai donc décidé de faire le contraire avec Juriswin en proposant des couvertures qui se démarquent et qui sortent du lot. C’est un risque à prendre si vous le sentez bien et que vous ne faites pas n’importe quoi, mais cela n’a rien d’obligatoire.
Et comme toujours : restez cool. Si vous faites le choix de l’auto-édition, vous restez libre de modifier tous les paramètres de votre bouquin sans demander la permission à qui que ce soit. Donc soyez méticuleux et prenez le temps… mais ne vous prenez pas la tête !
[voyage pour la Paix à Moscou] $★£★€ ► Version écourtée de ''La MONNAIE hier, aujourd'hui et demain. La dictature des banquiers. De la ploutocratie à la démocratie'' ◄ $★£★€
MarcJutier mjutier@orange.fr
6 décembre 2017
À : FRATERNITE CITOYENNE <fraternitecitoyenne@googlegroups.com>, équipe de campagne <equipe-de-campagne-de-mj@googlegroups.com>, le-grand-ra ssemble ment <le-grand-rassemblement@googlegroups.com>, "militant-ecolo@googlegroups.com" <militant-ecolo@googlegroups.com>, "voyage-pour-la-paix-a-moscou@googlegroups.com" <voyage-pour-la-paix-a-moscou@googlegroups.com>, decroissance@framalistes.org
$★£★€
La MONNAIE
hier, aujourd'hui et demain
La dictature des banquiers
De la ploutocratie à la démocratie
Autre titre : La Monnaie pour les nuls
par Marc Jutier
Notre société est fondamentalement absurde et profondément injuste à cause d'un système monétaire qui est, de fait, une énorme supercherie. Ce livre vous permettra d'y voir plus clair sur la monnaie, ses mécanismes et cette escroquerie des banquiers qui dure depuis trop longtemps. Dans ce document vous découvrirez une histoire de la monnaie et des banques, les cercles du véritable pouvoir en Occident, le fonctionnement du système monétaire actuel, les alternatives à ce système fondamentalement inique, violent et absurde et finalement une réflexion sur la monnaie, la démocratie et une nouvelle façon d'envisager la civilisation. Ce livre est également un guide internet sur le fait monétaire et divers sujets connexes. Toutes les adresses universelles (liens URLs) de cet ouvrage sont directement cliquable sur une page du blog de Fraternité Citoyenne. L’objectif est simplement de vous fournir un document qui fasse le tour de ces questions si capital : la monnaie, les banques et le pouvoir en Occident.
L'auteur est né à Paris en août 1962. Il est ingénieur de l’école Polytechnique de Montréal. Il a travaillé quelques années à Montréal et à Paris comme ingénieur commercial en informatique. Il a été candidat aux élections législatives à Paris en 1997 et en Dordogne en 2017. Il a tenté d'être candidat à la primaire citoyenne organisée par le Parti Socialiste en 2016 et a été obligé d'abandonner faute du nombre suffisant de parrainage interne. Il a fait plusieurs longs voyages en Asie. Il a construit la maison ou il vit avec sa compagne et leurs deux filles.
°°°
Cette version écourtée – l'introduction, la conclusion, quelques extraits ainsi que les annexes – fait 230 feuillets (345 000 caractères),
« Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire. » Jean Jaurès
« Néo : Quelle vérité ? Morpheus : Que vous êtes esclave, Néo. Que vous, comme tous les autres, êtes nés dans l’esclavage... Vous êtes resté à l’intérieur d’une prison que vous ne pouvez pas sentir, goûter, ou toucher. Une prison pour votre esprit. » Matrix
La science économique dans sa version « orthodoxe » ou néo-classique n'est rien de plus que le lavage de cerveau, le catéchisme imposé pour vous faire accepter les « lois » de l'économie de marché, autrement dit la dictature des maîtres de la monnaie : les banquiers. Il n'y a pas plus de loi du marché que de sciences économiques. Le système monétaire actuel n'est ni plus ni moins qu'une colossale escroquerie. Aucun pouvoir n'est éternel et donc l'infime élite qui est à la tête de cette escroquerie depuis deux siècles environ va certainement perdre son pouvoir un jour ou l'autre. Ce pouvoir, malgré sa violence, ne résistera pas aux feux de la vérité. Ce livre est une contribution à la mise en lumière de la vérité sur le fonctionnement du système monétaire actuel et sur les intrigues, les manigances et les dissimulations utilisées par les hommes qui nous tiennent en esclavage grâce à ce système. Grâce à Internet, le subterfuge des banquiers est de plus en plus mis en lumière, et leur dictature est moribonde.
Notre société est fondamentalement absurde et profondément injuste à cause d'un système monétaire qui est une énorme escroquerie ; ce système nous pousse toujours à plus de consommation et de « croissance » obligatoire afin simplement d'éviter l'écroulement de leur système monétaire. Débarrassés de ce système monétaire à réserves fractionnaires – c'est son nom – il est facile d'imaginer une civilisation beaucoup plus apaisée. Le problème, c'est que le pourcentage de la population qui comprend véritablement « l'arnaque » de ce système n'est peut-être pas encore assez élevé. Le regretté Bernard Maris a dit en 2014 dans un documentaire sur Arte (La dette, une spirale infernale ?) que ce n'était pas facile à comprendre, mais que oui, les banquiers font de la fausse monnaie depuis toujours.
Notez que par la loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, abrogée par l'Article 123 du Traité de Lisbonne, la planche à billets, en ce qui concerne les besoins de l'État, a été privatisée. Le service de la dette de l'État était de 48,5 milliards d'€ en 2013. Et si vous cumulez les intérêts annuels que payent l'État, les entreprises et les particuliers, vous arrivez à 129 milliards d'€ par an soit 45% des recettes fiscales nettes du budget de l'État ou 93% des recettes de la TVA en 2014. Nous payons environ 6% de notre PIB (2181 milliards d'€ en 2015) pour utiliser une monnaie que l'on pourrait faire nous-mêmes ! Avec ce processus, le système monétaire de réserves fractionnaires, la planche à billets a toujours été une affaire privée pour les particuliers et les entreprises, mais depuis le 03/01/1973, l’État, sous pression des banquiers, s’est interdit à lui-même de créer la monnaie dont il avait besoin. C’est évidemment une trahison de Messieurs Pompidou et Giscard, et donc depuis, le gouvernement se refuse un privilège qu’il a accordé aux banques par la loi, il se fait le serviteur des banquiers et méprise le peuple.
La monnaie, comme l’air ou l’eau, ne peut être qu’un « bien » public. La création monétaire est aujourd’hui une affaire privée, elle n’aurait jamais dû l’être, c’est la plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité. La création monétaire ne peut être qu’une affaire publique. Tous les intérêts devraient être payés à l’État. L’État souverain devrait être le seul créateur de la monnaie fiduciaire et scripturale. Précisons que ces deux termes se confondent si l’État contrôle la création monétaire.
On peut choisir de ne pas se poser de questions, de continuer à penser que le capitalisme est là jusqu’à la fin des temps, que le pouvoir des banquiers est inébranlable et ne pas s’inquiéter des dégâts causés par un système inique, absurde et violent, ou alors, on peut choisir de prendre le « risque » de réinventer le monde pour demain. C’est à nous de choisir et c'est déjà le choix que font beaucoup ! Regardez ce qui se passe, constatez l'imagination débordante de nos concitoyens sur Internet. Acceptez la vérité ou refusez-la ; mais, avec ce livre, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas !
Alors, tant que la majorité des citoyens n’aura pas compris :
(a) que les seules richesses qui existent sont l’énergie humaine (l’ingéniosité, le savoir-faire, le travail…), ses réalisations (immeubles, usines, machines, logiciels, œuvres d'art, inventions, ...) et les richesses naturelles ;
(b) que la monnaie est un instrument de manipulation au service d’une toute petite minorité sur l’ensemble de l’humanité : c’est l’instrument de management suprême ;
(c) que les banquiers ont donc à leur disposition depuis plus de trois siècles un instrument : la monnaie bancaire ou scripturale qui leur donne tout pouvoir ;
(d) que cette fausse monnaie est à l’origine de la plupart de nos problèmes et
(e) une fois débarrassés de l’esclavage de cette monnaie-dette, et grâce à la prodigieuse efficacité de nos moyens de production, l’humanité pourra enfin accéder à un véritable âge de prospérité.
Donc, tant qu’une majorité de citoyens n'en sera pas consciente, les banquiers et leurs valets (la plupart des économistes, des journalistes et des politiques de la majorité et de l’opposition officielle) continueront à nous manipuler et à nous tondre comme des moutons !
Il faut savoir : (1) que depuis le 15 août 1971, toute la monnaie en circulation sur la planète est de la monnaie de singe (monnaie-fiat) – la dernière monnaie gagée sur l'or était le dollar US à hauteur de 35 $/l'once (on oublie de dire que le premier choc pétrolier en 1973 est directement causé par cette annonce de Nixon du 15/08/1971 ; en clair, le gouvernement US a invité les Saoudiens à vendre leur pétrole en dollars et uniquement en dollars et a rappelé que – en cas de refus d'obtempérer – la sixième flotte n'était pas loin de leurs puits !) ; (2) que les banquiers font de la fausse monnaie depuis toujours – c'est le système à réserves fractionnaires ; (3) que cette fausse monnaie a permis la prédominance quasi-universelle de la civilisation de la marchandise sur la planète ; (4) que depuis 1973, l'État français s'est interdit de faire marcher sa planche à billets. Et cette interdiction a été reprise par les articles 104 (Maastricht) et 123 (Lisbonne) ; (5) que la banque centrale américaine – la Fed – n'est ni fédérale ni publique, c'est un consortium de banques privées et (6) que pour se sortir de l'impasse, il existe une solution : la réforme monétaire dite du 100% Money ou monnaie pleine.
À l'origine de cette mystification il y a simplement la volonté de quelques banquiers d'enlever aux nations leur souveraineté monétaire. En effet, tel que Mayer Amschel Rothschild l’expliquait : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait ses lois ». C’est ce qui se passa en 1913 avec la Federal Reserve System ou Fed, la banque centrale des États-Unis. Ne pouvant plus battre monnaie, les États sont obligés d’emprunter à des banques privées. Dirigés par des complices au service de ces banksters, les pays s’endettent trop, provoquant toutes les crises depuis le 19e siècle. Les États affaiblis par les crises, il est alors facile de remplacer les gouvernements incompétents ou complices par des représentants de ces banques et ainsi asservir les peuples par le paiement d’intérêts sur les intérêts, d’impôts exorbitants, de taxes, d’inflation comme en France, en Italie, en Grèce, en Espagne, au Portugal, en Tunisie, en faisant croire aux peuples qu’ils sont aussi responsables car ils ont élu ces gouvernements incompétents et/ou corrompus.
En fait, une crise monétaire, économique et financière globale serait un bienfait pour l’humanité. D’abord, on arrêterait de travailler, de consommer et de polluer en toute inconscience, et ensuite, ce pourrait être l’occasion d’une émancipation extraordinaire. Concrètement, matériellement, rien ne serait perdu. Seule la possibilité de mobiliser l’énergie humaine, le pouvoir sur l’autre, serait abolie. Ce serait une vraie révolution, une réelle abolition des privilèges. Les grands perdants seraient les grands manipulateurs de finances. Pour 99 % de la population, cela ne sera pas bien grave. L’énergie de tout un chacun sera libérée du carcan, des chaînes de la finance internationale et de ses geôliers : les financiers. La seule vraie richesse, c'est notre énergie humaine. Il n’y a pas eu de guerre en Europe depuis des dizaines d’années, et grâce au travail et au génie humain, nous avons des moyens de production d’une extraordinaire efficacité ; en fait, nous n’avons jamais été aussi riches. Le jour où les peuples réaliseront cela, nous pourrons enfin mettre en place une société de convivialité, de temps choisi, d’harmonie et de respect.
Depuis la crise de 2008 et le mouvement Occupy Wall Street aux USA en 2011, des millions de citoyens sur la planète ont pris conscience que la supercherie a assez duré ! « We are the 99% » et nous ne pensons pas que la seule finalité de l’humanité soit de produire, de « con-sommer » et de passer son existence à comparer les prix dans une économie de marché mondialisée. Il va nous falloir choisir entre la survie d’un système absurde, stupide et violent qui fait du profit sa seule finalité, et la survie de notre humanité et de notre environnement. C’est donc soit la survie des peuples (les 99%), soit la survie d’un système contrôlé par 0,01% de la population pour son seul bénéfice.
Nous sommes conscients de l'immense potentiel de notre société technicienne et de la vulnérabilité de notre patrimoine naturel. Nous considérons que les mots « Liberté, Égalité et Fraternité », inscrits au fronton de nos mairies ne sont pas vides de sens ; que l’héritage de la Révolution Française, des révolutions du 19e siècle et des luttes sociales du 20e siècle, et en particulier dans les résolutions adoptées par le Conseil National de la Résistance (parmi les mesures appliquées à la Libération, citons la nationalisation de l'énergie, des assurances et des banques…) sont notre fierté et nous lient dans un destin commun : la France. Nous considérons que la seule politique digne à mener est la lutte contre le pouvoir mafieux des banksters. Les hommes politiques qui ne remettent pas fondamentalement en cause ce pouvoir occulte, sont soit achetés, soit menacés, soit idiots.
Nous refusons tout discours médiatique qui tenterait de nous faire croire à la nécessité de l’austérité et de la « croissance » pour sortir de la crise. Nous refusons de nous soumettre au maître sournois mais bien réel qu’est le « système monétaire de Réserves Fractionnaires » ou, autrement dit, à la manipulation par la monnaie « dette » émise par les banques. Notre société est certes au pied du mur mais nous assistons, grâce à Internet, à une prise de conscience de l'ensemble des citoyens qui se posent des questions de fond. Le haut niveau d'information disponible sur Internet et l'intelligence collective qui se développe grâce aux réseaux sociaux, nous permet de redonner tout son sens à la Politique.
Ce document a pour fonction de vous raconter l'histoire, forcément partielle, des monnaies et des banques (partie I), de vous expliquer le fonctionnement du système monétaire actuel (partie II), de vous présenter les cercles du véritable pouvoir (partie III), de vous exposer les alternatives au système à réserves fractionnaires (partie IV) et de partager une vision de ce que pourrait être une civilisation une fois débarrassé du ''cancer'' de la monnaie des banquiers. Ce livre est également agrémenté de liens sur ces sujets et d'autres connexes en annexe. Tous les adresses universelles – plus de 400 liens URL – de cet ouvrage sont également ici :