WWIII : La France exploite les Africains depuis 7 siècles, et maintenant qu'ils se plaignent, MACRON leur dit débrouillez-vous tout seul sinon on va continuer de vous exploiter encore plus en vous vendant comme esclaves puisque vous ne savez rien faire.
WWIII : La France exploite les Africains depuis 7 siècles, et maintenant qu'ils se plaignent, MACRON leur dit débrouillez-vous tout seul sinon on va continuer de vous exploiter encore plus en vous vendant comme esclaves puisque vous ne savez rien faire. Le discours censuré d’Emmanuel Macron à Ouagadougou en fin de page.(vendrez-vous votre âme au Diable?http://ripostelaique.com/le-discours-censure-demmanuel-macron-a-ouagadougou.html)
La noirceur de l'âme se retrouve plus facilement dans un corps blanc. Voyez le Pape François 1er.WWIII : Encyclique Papale du Pape François 1er et dominus pecum cum spiritu tuo, et un maître de son troupeau avec votre esprit, vers SATAN-LUCIFER 1er.

Depuis 7 siècles, ce continent est sauvagement réprimé, annexé au niveau des richesses, et "socialisé" par l'Eglise Catholique et surtout les Jésuites, afin de prier DIEU en contrepartie d'une Paix sociale, qu'il voudra bien maintenir, car les Africains entres eux se tuent à coup de machettes et mangent de la viande de brousse, si ce n'est pas de la viande humaine. On leur impute même la disparition de certaines races d'hominidés, de primates et de mammifères au crétacé supérieur il y a 85 millions d'années. Par exemple l'homo neanderthalensis aurait été bouffé jusqu'au dernier. Une race qui n'évolue pas et qu'on ne peut classer dans les Homo Sapiens (Homme Savant), est une race de sous-hommes bien qu'ils se rapprochent de l'Homo erectus selon la théorie de l'évolution conçue par le franc-Maçon Charles Darwin pour expliquer la bêtise des uns et l'intelligence des autres.
L'esclavage ne s'est pas arrêté en Afrique, car depuis la déstabilisation de Mouammar Kadhafi en Libye, l'esclavage est revenu grâce à la France, et à son Président de l'époque, le bien aimé et regretté Nicolas Sarkozy, reçu en grandes pompes avec talonnettes, par le Pape au Vatican, pour faire table rase sur les ambitions de ces Africains, qui ne savent que prier DIEU, et demander pardon aux Blancs pour qu'ils les aident encore plus.
Un citoyen libyen poursuit Sarkozy en justice pour le massacre de sa famille
octobre 27, 2017

Par Houari Achouri – Le fils d’un militant libyen des droits de l’Homme accuse l’ex-président français Nicolas Sarkozy d’avoir fait massacrer sa famille parce que son père a refusé d’être un traitre à sa patrie et de se faire le complice des manigances du président français au moment où, en 2011, les force de l’Otan bombardaient la Libye pour faire tomber Mouammar Kadhafi. Il s’agit de Khaled El-Khweldi El-Hamedi, 43 ans, chef de l’Organisation internationale pour la paix, les soins et le secours (IOPCR), qui a perdu treize membres de sa famille dont sa femme enceinte et ses deux fils, dans un bombardement ciblé de l’Otan.
Les faits tels qu’il les raconte : à Nicolas Sarkozy qui, au téléphone, lui proposait de fuir la Libye au moment des bombardements de l’Otan, en mai 2011, son père, Khweldi El-Hamedi, a rétorqué sèchement qu’il n’était pas un mercenaire et qu’en sa qualité de libyen ayant défendu son pays contre les colonisateurs et participé à la révolution de 1969, il ne serait pas un traître. La réponse de Sarkozy n’a pas tardé : le bureau de Khweldi El-Hamedi à Tripoli a été bombardé et un missile a frappé la maison où vivaient Khaled El-Khweldi El-Hamedi avec sa famille et ses parents.
Ce n’est pas la seule plainte contre Sarkozy en rapport avec l’assassinat de Mouammar Kadhafi. La Cour pénale internationale (CPI) a été saisie dans le même sens par plusieurs mouvements et associations de la société civile africaine qui accusent l’ex-président français d’avoir provoqué l’intervention en Libye qui a débouché en 2011 sur la chute et la mort du colonel Mouammar Kadhafi. Mais que peut faire une Cour Blanche contre de Noirs, avec 7 siècles d'antériorité de négationnisme du noir sous-homme, n'appartement pas à l'élite, pour réintégrer la classe dirigeante des Dieux comme Montesquieu ou Voltaire:
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La faute à l'école, on a en tête une image un peu idéalisée des philosophes des Lumières que l'on voit comme des gentils mecs qui défendaient corps et âme la veuve et l'opprimé. Ce n'est pas tout à fait ça. Parce qu'en vrai les Lumières étaient en fait des gens de leur époque aux idées plutôt très discutables. Le pire étant quand même Voltaire qui cumule racisme antisémitisme et misogynie.
- "Quoi qu'en général les Nègres aient peu d'esprit, ils ne manquent pas de sentiment." Diderot (Encyclopédie, 1772)
- "Dire que les Égyptiens, les Perses, les Grecs furent instruits par les juifs, c'est dire que les Romains apprirent les arts des Bas-Bretons." Voltaire (Essai sur les mœurs et l'esprit des nations, 1753)
- "Les femmes ressemblent aux girouettes, elles se fixent quand elles se rouillent." Voltaire (Le Sottisier, paru post-mortem en 1883)
- "Il n'est permis qu'à un aveugle de douter que les Blancs, les nègres, les albinos, les Hottentots, les Chinois, les Américains ne soient des races entièrement différentes." Voltaire (Essai sur les mœurs et l'esprit des nations, 1753)
- "La femme a tout contre elle, nos défauts, sa timidité, sa faiblesse." Jean-Jacques Rousseau
- "C'est à regret que je parle des juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre." Voltaire (Le Dictionnaire philosophique, 1769)
- "L'amour a été inventé par les femmes pour permettre à ce sexe de dominer, alors qu'il était fait pour obéir" Jean-Jacques Rousseau
- "Les Blancs sont supérieurs à ces Nègres, comme les Nègres le sont aux singes, et comme les singes le sont aux huîtres." Voltaire (Traité de métaphysique)
- "Nous n'achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l'acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité; celui qui se donne un maître était né pour en avoir." Voltaire (Essai sur les mœurs et l'esprit des nations, 1753)
- "On ne peut se mettre dans l’idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. [...] Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens." Montesquieu (De l'esprit des lois, 1748)
Bon là a priori c'est ironique. Bonne nouvelle !
Ces plaintes pourraient bénéficier du nouveau contexte qui est en train de se mettre en place en Libye, avec la probabilité que le clan Kadhafi soit accepté comme acteur politique pour le rétablissement de la paix. C’est le projet d’Ahmed Kadhaf Addam, cousin de l’ancien dirigeant libyen et responsable politique en vue actuellement en Libye.
Ahmed Kadhaf Addam semble compter sur les extravagances du président américain Donald Trump et sur sa malveillance à l’égard de son prédécesseur Barack Obama et de l’ancienne secrétaire d’Etat Hillary Clinton, pour créer de nouveaux rapports entre la Libye et les Etats-Unis, mais aussi l’Union européenne, et entraîner les pays occidentaux à accepter cette éventualité. On parle également beaucoup du rôle que pourrait jouer Saïf Al-Islam Kadhafi, le fils du colonel Kadhafi, qui bénéficie de l’appui des tribus, qui sont les vraies forces qui comptent en Libye.
Rappelons que le 18 mars 2011, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté la résolution 1973, autorisant les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni, c’est-à-dire l’Otan, à intervenir militairement en Libye et bombarder son territoire sous le prétexte fallacieux de protéger les populations civiles qui auraient été menacées par l’armée libyenne. Le lendemain, 19 mars, une escadrille française commençait les bombardements. Sept mois après, le 20 octobre 2011, des frappes aériennes françaises sur une colonne automobile, en territoire libyen, ont conduit à l’arrestation de Mouammar Kadhafi et à son assassinat.
H. A.
Publié le 1 décembre 2017 - par Jean Ducluzeau

Nous reproduisons ici en exclusivité la partie du message d’Emmanuel Macron aux peuples africains qui n’a pas été publiée par les médias, grâce à l’enregistrement que nous a transmis une étudiante burkinabée présente lors des questions au président français. Selon une source indépendante ce discours aurait en effet pu porter atteinte à la fierté des Africains comme à l’honneur des Helvètes, raison pour laquelle il a sans doute été jugé préférable de ne pas le diffuser.
« […] Prenez par exemple le cas de la Suisse, l’un des pays les plus riches du monde alors qu’il n’avait rien à vendre sinon de l’excellence : la Suisse a fait fortune en vendant du chocolat alors qu’elle ne dispose d’aucune plantation de cacao. Elle a fait fortune en vendant du temps par la fabrication rigoureuse de montres et de pendules à coucou ; en vendant de la neige par la construction de stations de ski ; en vendant des paysages de montagnes au tourisme ; en vendant de la sécurité bancaire en garantissant le secret bancaire pour mes fonds en comptes Offshore aux Bahamas; en vendant enfin au Vatican de redoutables gardes suisses à hallebarde et culotte bouffante.
« Contrairement aux idées reçues, émanant principalement de l’extrême gauche, les colonies ont appauvri les pays colonisateurs. La Suisse n’a jamais eu de colonie, ce qui explique en partie sa richesse. Alors vous, pays africains qui disposez non seulement de paysages et d’exotisme mais aussi de richesses fabuleuses dans votre sous-sol, dans vos forêts, dans vos possibilités agricoles, dans votre main d’œuvre à profusion, qu’attendez-vous pour vous développer, vous qui êtes potentiellement bien plus riches que la Suisse ? Qu’attendez-vous pour vous prendre en charge ?
« Ah vous vous plaignez d’être dépendants de langues étrangères, à savoir ici le français, qui vous rend tributaires de la France et vous place dans un rapport de dépendance et de néocolonialisme… Mais la Suisse, qui ne dispose pas de langue vernaculaire sinon le romanche que personne ne parle et personne ne comprend, ne s’est-elle pas développée en toute indépendance avec trois langues étrangères, l’allemand, le français et l’italien ? Le français est une langue internationale, profitez-en au contraire !
« Je vais aussi vous parler de la fuite des cerveaux : c’est là encore une idée reçue, fausse, une idée répandue par l’extrême gauche bien sûr, car vous exportez des cerveaux vides, des cerveaux que nous remplissons de savoir, par un enseignement que nous finançons. Ces cerveaux pleins vous appartiennent-ils ? Eh bien non. Prenons un exemple : supposons que vous fabriquez des porte-monnaies que vous exportez chez nous ; nous les remplissons de pièces d’or ; ces pièces d’or vous appartiennent-elles ? Du reste, ces cerveaux que nous remplissons ne sont-ils pas libres de retourner chez eux, c’est-à-dire chez vous ? N’est-ce pas à vous de leur offrir ce qu’ils méritent, ce qu’ils sont en droit d’attendre ? Qu’attendez-vous ?
« Comprenez-moi bien : tout droit ne peut exister sans s’accompagner d’un devoir. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes doit obligatoirement s’équilibrer du devoir de ces peuples à se prendre en charge eux-mêmes : l’indépendance est à ce prix. Est-il normal, par exemple, que des militaires français viennent assurer la sécurité de pays indépendants ? Ces accords de protection sont du domaine du passé. Vous devez vous prendre en charge !
« Il n’est pas sain et il n’est pas juste que la France vous équipe de centrales, de tramways, de TGV, etc., qu’elle finance au moyen de prêts qu’elle vous accorde, pour être amenée quelques années plus tard à annuler votre dette face à votre incapacité à la rembourser. Cela revient à faire payer vos infrastructures par le citoyen français, écrasé d’impôts de ce fait. Ce citoyen français n’en peut plus. La France n’en peut plus. C’est le message que je suis venu vous délivrer : il est grand temps de vous prendre en charge ! Ne souhaitez-vous pas des rapports d’égal à égal, en toute liberté ? »
(fin de la retranscription des passages censurés)
Jean Ducluzeau
Un des mensonges de Macron dimanche soir sur TF1 à propos de son projet de supprimer l’ISF :
« MON PRÉDÉCESSEUR A CRÉÉ UNE TAXE À 75 %. EST-CE QUE ÇA A RAPPORTÉ BEAUCOUP D’ARGENT ? NON. POURQUOI ? CEUX QUI RÉUSSISSAIENT SONT PARTIS. »
Réponse d’Eric BOCQUET, Sénateur (PCF) coauteur du livre “Sans domicile fisc” contre l’évasion fiscale
« Le président Macron a beau se démener comme un diable pour tenter de se défaire d’une image qui lui colle déjà à la peau, celle de président des riches, peine perdue : le débat budgétaire qui s’engage au Parlement en est l’illustration spectaculaire.
Oui, votre budget est très bienveillant pour les plus riches. Un seul exemple: le détenteur d’un patrimoine de 3,8 millions d’euros (résidences principale, secondaire, immeuble de rapport et portefeuille de titres) qui avec l’ISF payait 21290 euros, avec votre nouvel impôt, l’IFI, ne paiera plus que 5020 euros!
L’argument consistant à dire qu’il faut alléger la charge fiscale des plus riches afin de “rapatrier en France capitaux et talents” ne tient plus quand on découvre que tous les pays membres de l’Union européenne sans exception sont touchés par l’évasion fiscale (plus de 1000 milliards d’euros, soit 6 fois le budget annuel de l’UE).
L’évasion fiscale n’est pas liée au taux d’imposition, elle est inhérente à la logique du système libéral financiarisé et mondialisé : accumuler des richesses en évitant de participer au financement d’une société civilisée. Le stock de richesse “offshore” est évalué pour notre pays à 15 % du PIB de la France. Notre pays est aussi le champion d’Europe de la distribution des dividendes. 3 250 ménages, soit 0,01 % du total des plus fortunés, détiennent 150 milliards dans les paradis fiscaux, c’est exactement l’équivalent des recettes de la TVA dans le budget 2018. Voilà un chantier à ouvrir, au nom de l’intérêt général. Les parlementaires communistes ne manqueront pas de vous le rappeler, monsieur le président ! »
Éditorial de l’Humanité du 19 octobre 2017 par Paule Masson
Le gouvernement a beau tout tenter pour désamorcer la bombe, elle est en train d’exploser sur le terrain déjà miné de la sensibilité aux inégalités. Les sorties marketées d’Emmanuel Macron sur la lutte contre la grande pauvreté ou la « police de sécurité au quotidien » n’y font rien. La suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune est en train d’imprimer sur son mandat la marque de la vérité, celle du parti pris des riches, cinq mois seulement après son élection.
Alors que l’exécutif est déjà englué dans ce soutien aux milliardaires, 120 députés viennent de dégoupiller une nouvelle grenade, sommant le gouvernement de chiffrer les cadeaux fiscaux aux 100 familles les plus riches. Face à la pression, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a dû actionner lui-même la mise à feu : « Nous allons rendre 400 millions d’euros aux 1 000 premiers contributeurs à l’ISF. » De quoi compenser un an de baisse des APL, mesure arbitraire qui prive les plus pauvres d’une aide pour payer le loyer. Eux sont à 5 euros près. Jusqu’à présent, tous les gouvernements se sont cassé le nez sur l’ISF car, dans l’imaginaire collectif, cet impôt symbolise d’abord une pensée politique profondément imprégnée de l’idée que, pour faire peuple commun, il faut de la solidarité fiscale.
Le gouvernement Macron n’échappe pas à la sanction. Un sondage BVA révélait hier que seul un Français sur trois estime que le budget de l’État actuellement en discussion aura un impact positif sur son pouvoir d’achat. Et c’est sans compter sur l’effet bombe atomique à venir du prélèvement forfaitaire unique, encore méconnu du grand public. Cette ristourne géante détaxe les revenus financiers en plafonnant le prélèvement à 30 % du revenu. Selon l’Observatoire des inégalités, les « gains démesurés » estimés pour les détenteurs de gros patrimoines s’élèvent à quelque 2 milliards d’euros, de quoi compenser la baisse des APL sur tout le mandat.
