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WWIII : LES USA SUIVENT ISRAËL-ROTHSCHILD ET AL SAOUD pour se rendre Maître du Pétrole afin de gagner la Guerre. Un conflit planétaire est prévu.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : LES USA SUIVENT ISRAËL-ROTHSCHILD ET AL SAOUD pour se rendre Maître du Pétrole afin de gagner la Guerre. Un conflit planétaire est prévu.

La France est prête, Macron en Algérie et au Qatar, pour fixer les alliances. Macron a reçu sa feuille de Route de l'OTAN, l'Armée Française va défendre nos couleurs comme au Yémen. 

Les USA ont poussé l’Europe vers sa nucléarisation malgré elle, avec l'OTAN, avec des stocks embarqués sur des bases aériennes en France, en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie. La Russie renforce sa frontière Occidentale face à la Pologne, aux Pays Baltes et à l'Allemagne.

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Les États-Unis ne désarment pas et continuent à pousser le projet de nucléarisation de l’Europe, en dépit de la volonté de la majorité des pays européens, a révélé à Sputnik une source diplomatique militaire grecque.

Washington, à travers les structures de l’Otan, essaie de faire avancer le projet de déployer des armes nucléaires en Europe, et les États-Unis aimeraient y parvenir d’ici 2020, a déclaré une source diplomatique militaire grecque à l’agence Sputnik.

«En juin, lors d’une réunion des ministres de la défense de l’Otan à Bruxelles, le chef du Pentagone, James Mattis, a déclaré que les États-Unis voudraient déplacer des avions F-35 et des armes nucléaires d’ici 2020. Les pays hôtes n’ont pas encore été déterminés», a déclaré l’interlocuteur de l’agence.

Le diplomate a indiqué que les pays européens n’ont pas soutenu l’initiative de Washington. Les seuls pays de l’Otan qui sont «pour» ce déploiement sont les États-Unis et le Royaume-Uni. Lors de la réunion, le reste des pays européens étaient contre. L’Allemagne propose de tenir des consultations avec la Russie sur cette question. L’Italie hésite, et est généralement contre le déploiement. La France considère qu’il s’agit d’une question de sécurité et de défense intérieures, et estime que les décisions doivent être prises par les pays européens eux-mêmes, a-t-il indiqué, en ajoutant que la Grèce s’opposait aussi au déploiement d’armes nucléaires en Europe.

Des informations sur le déploiement d’armes nucléaires en Grèce sont apparues ces derniers mois. L’organe du Parti communiste de Grèce, le journal Rizospastis, a écrit qu’un aérodrome était en cours de préparation pour leur réception à Araxos dans le Péloponnèse. Ces rapports ont provoqué un tollé général. La municipalité de Patra a unanimement condamné le projet de placer des armes nucléaires à Araxos et a demandé au gouvernement grec de répondre publiquement de l’existence de tels plans et, dans l’affirmative, de les abolir.

Selon la même source, à la fin de la réunion, il a été décidé que la question serait discutée avec la Russie.

Dans un rapport publié récemment par le parlement turc, environ 150 armes nucléaires sont déployées dans cinq pays de l’Otan. Elles sont stationnées dans des bases aériennes en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie, tous membres de l’Otan, alors que ces pays ne possèdent pas d’armes nucléaires en propre. En Turquie, environ 50 unités de bombes atomiques de type Β61 sont déployées sur la base aérienne d’Incirlik. Le Comité grec pour la Dignité internationale et la Paix a publié une déclaration dans laquelle il «condamne le gouvernement grec pour le transport et le déploiement d’armes nucléaires depuis Incirlik vers la base d’Araxos».

Source: Sputnik

Exercice militaire américano-coréen: une «provocation totale», juge Pyongyang

La Corée du Nord a dénoncé par avance cette opération, accusant l’administration du président américain Donald Trump de «vouloir la guerre nucléaire à tout prix».

Ce type de manœuvres ne manque jamais de susciter la colère de Pyongyang qui les considère comme la répétition de l’invasion de son territoire. Les tensions montent d’un cran et le Nord se livre à ses propres exercices, y compris des tirs de missiles.

Les manœuvres conjointes sont organisées cinq jours après le tir par le Nord d’un missile balistique intercontinental (ICBM) capable de frapper selon lui n’importe quel site du territoire continental des États-Unis.

Dans ce contexte de tensions, un influent sénateur américain, Lindsey Graham, a estimé que le spectre d’une «guerre préventive» se rapprochait.

«S’il y a un test nucléaire souterrain, il faudra se préparer à une réponse très sérieuse de la part des États-Unis», a mis en garde M. Graham sur la chaîne américaine CBS.

Depuis 2006, le pays reclus a mené six essais nucléaires, dont le plus puissant en septembre.

Lindsey Graham, un faucon en matière de politique étrangère, a déclaré que l’administration Trump avait pour stratégie «d’empêcher la Corée du Nord d’acquérir la capacité de frapper les États-Unis avec un missile à tête nucléaire».

«Empêcher, cela veut dire une guerre préventive en dernier ressort. Cette prévention devient plus probable au fur et à mesure que leur technologie s’améliore. Chaque test de missile, chaque test souterrain d’une arme nucléaire veut dire que la mariage (d’un missile et d’une tête nucléaire, ndlr) est plus probable», a ajouté le sénateur.

Guerre rhétorique

Ces propos font écho à ceux du conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, le général HR McMaster, qui a estimé que la probabilité d’une guerre avec la Corée du Nord «augmentait chaque jour».

«Nous sommes dans une course pour trouver une solution à ce problème», a dit le général McMaster.

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un a assuré que son pays était devenu un État nucléaire à part entière avec l’essai de l’ICBM Hwasong-15.

Le Nord affirme que l’ICBM peut transporter une «ogive lourde extra-large» n’importe où sur le territoire continental des États-Unis.

Les analystes estiment cependant vraisemblable que le Hwasong-15 transportait une tête factice très légère et que l’engin aurait eu du mal à parcourir une distance aussi grande avec une ogive nucléaire, beaucoup plus lourde.

Les analystes ne sont pas convaincus non plus que le Nord maîtrise la technologie nécessaire pour assurer la survie des ogives à l’échauffement qui se produit au moment de la rentrée dans l’atmosphère depuis l’espace.

Les programmes nucléaire et balistique de la Corée du Nord avancent à grands pas depuis l’arrivée au pouvoir de Kim Jong-Un en décembre 2011, malgré les multiples sanctions de l’ONU.

La crise entre le dirigeant nord-coréen et Donald Trump, qui en sont aussi à se lancer des insultes personnelles, alimente les craintes de nouveau conflit plus de 60 ans après la guerre de Corée (1950-53).

Cependant, certains jusque dans l’entourage de M. Trump soulignent que ses options militaires sont limitées, sachant que Pyongyang pourrait lancer un barrage d’artillerie contre Séoul, où vivent 10 millions de personnes à une cinquantaine kilomètres seulement de la frontière.

La Russie confirme qu’un missile Zircon HYPERSONIC de 10 000 km/h est, « dès aujourd’hui », prêt pour la guerre.

La Chine montre les muscles: ce que l’on sait sur ses récentes manœuvres militaires.

Comment la Chine se prépare à la confrontation avec les USA.

Pourquoi les USA s’accrochent à la base militaire d’al-Tanf en Syrie?

 

La Russie renforce ses capacités de combat à sa frontière occidentale
© Sputnik. Igor Zarembo

Défense

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Depuis le début de l'année, la Russie a considérablement augmenté ses forces dans le district militaire Ouest, a déclaré le général Andreï Kartapolov.

Les forces armées russes déployées dans le district militaire Ouest ont été renforcées de façon importante durant l'année, a indiqué le chef du district le général Andreï Kartapolov.

«Le rééquipement du district en armes nouvelles et modernisées ainsi que la réception de matériels militaires et de technologies spécialisées permettent de significativement augmenter ses capacités de combat Les troupes du district ont reçu plus de 1.000 unités d'équipement militaire moderne», a déclaré le général.

En outre, selon lui, un travail à grande échelle a été fait pour améliorer l'infrastructure et pour installer de nouvelles structures d'entraînement.

«L'ouverture sur le polygone Moulino d'un centre de formation a apporté une contribution significative à l'organisation de l'entraînement militaire des forces terrestres, des troupes aéroportées et des fusiliers marins. Aujourd'hui, nous pouvons organiser des entraînements de tir, de conduite de véhicules de combat, nous pouvons tester des équipes pour évaluer la coordination de leurs actions et pour contrôler leur état de préparation», a-t-il précisé.

En octobre, le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, avait déclaré qu'avant la fin de l'année les troupes du district militaire Ouest recevraient plus de 1.800 unités nouvelles et modernisées de matériels militaires.

Selon le Président Vladimir Poutine, la part des armes et équipements modernes a presque atteint 60%. À présent, le gouvernement travaille sur un projet de nouveau programme d'armement d'État s'étalant jusqu'en 2027 qui sera, au plus tard le 15 décembre, transféré à l'administration présidentielle.

Macron bientôt en Algérie et au Qatar

Le président français Emmanuel Macron, le 4 décembre 2017 à Paris. ©AFP
Le président français Emmanuel Macron, le 4 décembre 2017 à Paris. ©AFP

Emmanuel Macron se rendra aujourd’hui mardi ou demain mercredi au Qatar et en Algérie pour assurer une médiation au sujet des évolutions du Moyen-Orient.

Une source proche du gouvernement français a confié au quotidien panarabe Asharq al-Awsat que le président français Emmanuel Macron se rendrait, le mardi 5 décembre ou le mercredi 6 décembre, en Algérie avant de partir pour le Qatar.

La même source, qui a requis l’anonymat, a déclaré que le président français allait discuter des relations bilatérales et du libre-échange en Algérie et qu’il allait examiner la crise du Qatar et le terrorisme au Moyen-Orient à Doha, capitale qatarie.

La source anonyme a prévu un troisième déplacement d’Emmanuel Macron dans un pays dont le nom n’a pas encore été annoncé.

Le président français rencontrera le président et le Premier ministre algériens, Abdelaziz Bouteflika et Ahmed Ouyahia, et discutera avec eux de la situation sécuritaire en Libye, au Mali et dans d’autres pays africains en afin d’obtenir leur soutien aux actions de la France en Afrique.

Dans le cadre des politiques colonialistes de la France en Afrique, en cours depuis 133 ans dans ce continent, Emmanuel Macron tentera également d’établir l’équilibre entre l’Algérie et le Maroc, en tant qu’alliés africains de Paris.

« Le déplacement d’Emmanuel Macron à Doha sera en effet une réponse à la visite du mois de septembre de l’émir du Qatar, le cheikh Tamim ben Ahmed Al Thani, à Paris. M. Macron rendra également visite aux militaires français en poste dans une base militaire américaine au Qatar », a expliqué la même source.

Dans l’indifférence générale, le pays le plus pauvre du monde arabe subit l’horreur d’une agression étrangère meurtrière. Bombardée nuit et jour, la population est affamée par le blocus. Le Yémen compte 27 millions d’habitants. Selon l’ONU, 10 millions d’entre eux nécessitent une aide humanitaire d’urgence, 7 millions sont menacés par la famine et un million sont la proie d’une épidémie de choléra. La pénurie de carburant paralyse les transports, le fonctionnement des réseaux d’eau potable, d’électricité, d’assainissement.

L’aviation saoudienne n’épargne ni les écoles, ni les hôpitaux, ni les lieux de culte. Répandant la terreur, elle cherche à faire plier le peuple yéménite. Ce n’est pas une guerre contre des combattants, mais une entreprise de démoralisation de la population, de destruction totale, d’arasement des infrastructures. L’action combinée des frappes aériennes et du blocus (aérien et maritime) vise à mettre à genoux une population tout entière. Riyad prétend défendre le gouvernement légitime. Mais alors, pourquoi imposer le blocus à l’ensemble du pays ?

Depuis mars 2015, la coalition dirigée par les wahhabites massacre des civils en prétendant combattre une rébellion coupable de s’être alliée avec l’ex-président Ali Abdallah Saleh contre son successeur pro-saoudien Abd Rabbo Mansour Hadi. Cette intervention a fait plus de 10 000 victimes, mais elle n’a pas fait bouger les lignes de force. L’offensive terrestre a échoué, la résistance yéménite est farouche, et un missile a frôlé la capitale saoudienne le 9 novembre. Des centaines de milliers d’enfants souffrent de malnutrition dans un pays dévasté par les bombes et affamé par le blocus, mais cette guerre est sans issue.

La propagande saoudienne la justifie, pourtant, en invoquant la légalité internationale. Le mouvement “Ansarullah” a investi la capitale du pays en septembre 2014 et poussé le président Mansour Hadi à la démission en janvier 2015. Ce succès inattendu a pris de court les Saoudiens et leurs parrains occidentaux. Décidés à intervenir, ils ont obtenu du conseil de sécurité de l’ONU le vote de la résolution 2216 du 14 avril 2015 condamnant la prise du pouvoir par les Houthis et réaffirmant la légitimité du président Hadi.

Cette décision onusienne a offert une couverture juridique autorisant Riyad à frapper le Yémen sans ménagement pour vaincre la rébellion. Perversion du droit international, c’est un chèque-en-blanc qui permet au pays arabe le plus riche d’écraser sous les bombes le pays arabe le plus pauvre. Tout se passe comme si l’agresseur bénéficiait d’une sorte de permis de tuer à grande échelle, avec la bénédiction de puissances occidentales qui lui fournissent des armes en quantité illimitée tandis que la rébellion houthie se voit frappée par l’embargo.

Les armes utilisées pour massacrer le peuple yéménite, la coalition ne les a pas trouvées au pied d’un sapin de Noël. Ce sont des armes occidentales. Les bombes larguées sur les enfants yéménites sont d’une précision remarquable. Félicitations ! Le système de guidage électronique est français. Grâce à leur rayon d’action, les F-35 saoudiens peuvent frapper où ils veulent. Encore bravo, les avions-ravitailleurs sont français. Le blocus maritime qui affame la population yéménite est d’une redoutable efficacité. Cocorico, la marine française y participe. L’histoire retiendra que Hollande et Macron ont fait crever les enfants yéménites.

Que vaut la vie de ces pauvres gosses, en regard de notre merveilleuse industrie de la mort ? La monarchie saoudienne est le premier client de la France. Elle lui a acheté 9 milliards d’armes entre 2010 et 2016, soit 15 à 20 % des exportations françaises. Sans états d’âme, la République arme le bras de l’assassin. Depuis deux ans, Riyad commet un crime de masse dont Paris est complice. En 2011, la France a détruit la Libye au nom des droits de l’homme. En 2017, elle participe à la destruction du Yémen au nom du chiffre d’affaires. La “patrie des droits de l’homme” n’est plus qu’un tas de fumier.
Curieusement, le chœur des pleureuses est aux abonnés absents. Il est vrai qu’on n’est pas en Syrie. Ni “Casques blancs” experts en maquillage, ni parlementaires écolos en vadrouille, ni droits-de-l’hommistes pour signer des pétitions. Le Yémen n’intéresse personne à Saint-Germain-des-Prés. Il est sorti des écrans-radar de la bobosphère. Mais pourquoi tant d’indifférence de la part de bonnes âmes si promptes à s’affliger du malheur planétaire ? La propagande occidentale nous fournit immédiatement la réponse : c’est la complicité des Houthis avec Téhéran. Appartenant à la communauté chiite “zaydite”, le mouvement “Ansarullah” servirait les ambitions de l’Iran.

Le voilà donc, son crime impardonnable, à ce Yémen rebelle. Il est du côté des forces du mal, il pactise avec les mollahs. Les Houthis et leurs alliés admirent le Hezbollah libanais, ils soutiennent la Syrie souveraine, ils croient encore au nationalisme arabe. C’est inadmissible. Pire encore, ces incorrigibles Yéménites, eux, n’ont jamais marchandé leur solidarité avec le peuple palestinien. Pour les impérialistes et leurs larbins, la rébellion victorieuse à Sanaa est une scandaleuse anomalie, une verrue à supprimer du paysage. C’est le Vénézuéla de la péninsule arabique. Ne cherchons pas plus loin les raisons du calvaire qu’on inflige à ce peuple courageux.

Bruno Guigue

La Russie confirme qu’un missile Zircon HYPERSONIC de 10 000 km/h est, « dès aujourd’hui », prêt pour la guerre.

 

Par Henry Holloway 

La Russie teste avec succès un missile antibalistique

RUSSIE: Le ministère de la Défense de Vladimir Poutine teste un missile de 10 000 km/h appelé Zircon

Les responsables de la défense de Vladimir Poutine ont confirmé « qu’à partir d’aujourd’hui » son armée possède des armes qui sont supposées pouvoir voler jusqu’à huit fois la vitesse du son.

Le responsable du conseil de la défense, Viktor Bondarev, a confirmé mardi que le missile de croisière Zircon est maintenant disponible dans l’arsenal de la Russie.

L’arme dont se revendique la Russie, capable de voler à Mach 8, a été testée pour la dernière fois en juin.

Les armes hypersoniques sont au centre de la prochaine course aux armements entre les Etats-Unis, la Chine et la Russie.

Et il semble que Moscou ait pris l’initiative dès le départ, car ils affirment que ces armes peuvent battre les intercepteurs de missiles de l’OTAN.

Les navires de guerre, sous-marins, lance-missiles et avions russes seront armés d’armes capables de contourner les systèmes de défense.

Il est conçu pour faire exploser les navires ennemis et est capable de voler sur 250 milles à des vitesses pouvant atteindre 6 138 km/h.

Chillingly, les intercepteurs de missiles actuels de la Royal Navy ne sont capables d’abattre des missiles se précipitant vers eux qu’à des vitesses de Mach 3.

VLADIMIR PUTIN : Le dirigeant de la Russie suivra de près l'évolution de la situation en matière d'armement

VLADIMIR POUTINE : Le dirigeant de la Russie suivra de près l’évolution de la situation en matière d’armement

Bondarev a déclaré:

« A ce jour, nous avons dans notre arsenal des systèmes de missiles tactiques à bombardiers stratégiques uniques avec de puissants missiles balistiques et de croisière, des complexes de missiles lourds Sarmat, des systèmes de missiles de défense aérienne, des missiles balistiques intercontinentaux, des croiseurs de missiles nucléaires avec de puissants missiles antinavires et des missiles de fond Skif.

Les médias russes rapportent qu’il se réfère aux armes hypersoniques lorsqu’il parle de « missiles antinavires puissants ».

Moscou a investi des milliards de dollars pour ramener la Russie sur la scène mondiale en tant que superpuissance militaire au même niveau que l’OTAN.

Les scientifiques ont prévenu précédemment que la Russie a jusqu’à 15 ans d’avance sur la nouvelle course aux armements hypersonique.

Les forces russes l’ont également testé sur leurs bombardiers Backfire et sur des lanceurs de missiles au sol.

Le missile serait tellement avancé que les scientifiques russes ont dû mettre au point de nouveaux carburants pour le propulser.

https://www.dailystar.co.uk/news/world-news/662369/Russia-War-Missile-Hypersonic-Zircon-Vladimir-Putin-Warship-China-US-Test-Cruise

 

La Chine montre les muscles: ce que l’on sait sur ses récentes manœuvres militaires
© Sputnik. Pavel Lisitsyn

International

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Les avions de reconnaissance chinois «ont volé là où ils n'avaient jamais volé auparavant, ont atteint des zones où ils n'avaient jamais été auparavant» - la force aérienne chinoise vient de révéler qu’elle avait mené des exercices militaires impliquant un arsenal impressionnant, dont des forces anti-aériennes et des chasseurs.

La force aérienne chinoise, troisième force aérienne mondiale, a mené des manœuvres militaires au-dessus des mers Jaune et de Chine orientale avec la participation d'avions de reconnaissance, de chasseurs, d'avions de système de détection et de commandement aéroporté (SDCA) et des forces anti-aériennes, selon le service de presse de la composante aérienne de l'armée populaire de libération.

«Récemment, la force aérienne chinoise a mené des exercices militaires dans les eaux des mers Jaune et de Chine orientale visant à améliorer l'efficacité de combat et de protection des intérêts stratégiques du pays », apprend-on d'un communiqué publié sur la page officielle de la force aérienne sur le réseau social Weibo.

Il n'est pas cependant précisé quand cela avait eu lieu et combien d'unités y avaient été impliquées.

D'après le document, au cours des manœuvres les avions de reconnaissance chinois «ont volé là où ils n'avaient jamais volé auparavant, ont atteint des zones où ils n'avaient jamais été auparavant». Les exercices ont également aidé à augmenter le niveau de capacité de combat et de commandement opérationnel    

Comment la Chine se prépare à la confrontation avec les USA

Comment la Chine se prépare à la confrontation avec les USA.
© REUTERS/ Stringer

Lu dans la presse

URL courte Zvezda la chaîne

D'un point de vue purement technique, une confrontation hypothétique entre la Chine et les USA pourrait commencer dès demain: les deux pays disposent d'un nombre suffisant d'armements et affichent régulièrement leur détermination et leur capacité à «aller jusqu'au bout».

Cependant les conséquences d'un tel conflit armé, même mineur, pourraient être irréparables, écrit lundi le site de la chaîne Zvezda.

Les experts militaires américains notent régulièrement depuis 2015 que les relations entre les États-Unis et la Chine ont franchi le «point de non-retour» et que chaque démarche de l'administration présidentielle américaine doit être «minutieusement réfléchie».

Hormis les leviers purement économiques de pression sur la Chine, les USA ont commencé à afficher leur présence militaire en Asie. Ce qui a provoqué des contre-mesures: Pékin a nettement renforcé ses propres forces armées et a commencé à développer des technologies militaires avancées.

En 2017, la crise dans les relations entre ces deux pays s'est traduite dans les déclarations de leurs représentants officiels. En mai, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la Chine Lu Kang a appelé les USA à «cesser leurs provocations en mer de Chine méridionale» et à «respecter l'intégrité territoriale de la Chine». Cette déclaration faisait suite à l'apparition du destroyer USS Dewey dans la zone de 20 km de la mer de Chine méridionale située près de l'archipel des Spratleys qui fait l'objet de longs litiges territoriaux entre différents pays de la région.

La construction active de la flotte chinoise, comprenant non seulement des navires de différentes classes mais également des sous-marins polyvalents, n'est qu'une partie du programme militaire national A2/AD visant à «restreindre et interdire l'accès et les manœuvres» des forces navales et aériennes étrangères.

Les militaires chinois mettent l'accent sur les actions défensives: en effet, les compagnies du pays créent, testent et fabriquent des systèmes dotés essentiellement de missiles de croisière antinavires à grande portée.

Un éventuel conflit local ne se limiterait certainement pas à des actions purement défensives. Selon les experts, un scénario très négatif est envisageable, dans lequel la Chine détruirait les bases d'appui et les sites militaires proches des USA dans la région. Fin octobre, la revue américaine Defense News a rapporté que pendant les derniers exercices l'aviation chinoise s'était entraînée à détruire des sites similaires à la base aérienne des USA sur l'île de Guam.

La probabilité d'un passage du conflit entre Washington et Pékin à une phase chaude est très improbable, pensent les experts. Si des opérations militaires étaient lancées, il n'y aurait pas de gagnants: les unités opérationnelles de la marine et l'aviation des USA, représentant la «pointe de la lance» seraient détruits, et après l'ordre de riposte les principaux sites militaires américains dans la région pourraient être rayés de la surface de la Terre, y compris la base navale de Yokosuka au Japon et la base aérienne Andersen de Guam.

La préparation impressionnante de la Chine à une éventuelle invasion garantit pour l'instant le recours aux méthodes diplomatiques pour régler la plupart des situations conflictuelles en Asie-Pacifique. Mais sa revendication du statut de principale puissance dans la région ne convient pas aux États-Unis, habitués à la domination globale dans pratiquement toutes les régions du monde.

Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.

Pourquoi les USA s’accrochent à la base militaire d’al-Tanf en Syrie?

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Le président américain Donald Trump a déclaré que la présence américaine en Syrie serait maintenue «pour une durée indéterminée».

L’un des points d’appui de l’armée US sera la zone de désescalade de 55 km autour de la base militaire construite par le Pentagone en 2016 dans la ville d’al-Tanf, au sud-est de la Syrie à la frontière avec la Jordanie et l’Irak, écrit mardi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Officiellement, des forces spéciales et des instructeurs américains, britanniques et norvégiens sont présents dans cette zone pour former les unités de la Nouvelle armée syrienne (NAS) créée en tant que contrepoids à l’armée gouvernementale dans la lutte contre Daech, et pour l’aider à se protéger contre les attaques des terroristes visant la route Damas-Bagdad.

Cette zone n’est pas apparue par hasard: il s’agit d’un nœud de communications crucial reliant la Syrie, la Jordanie et l’Irak. En réalité, comme le constatent déjà de nombreux experts occidentaux, le principal objectif des USA consiste à bloquer l’apparition d’un pont terrestre susceptible, selon les Américains, de relier l’Iran à la Syrie et au Liban via l’Irak. C’est probablement la raison pour laquelle, selon certaines informations, le détachement américain d’al-Tanf reçoit des renforts en matériel militaire et en armements lourds, notamment en canons d’artillerie et en lance-roquettes multiples (LRM).

La NAS a pour objectif de contrôler les communications qui passent par le désert et de maintenir une menace pour Damas depuis le nord-est en s’unissant avec les groupes d’opposition dans le Qalamoun occidental et dans la Ghouta orientale.

Mais la situation opérationnelle a foncièrement changé en mai 2017. L’armée gouvernementale syrienne, soutenue par l’aviation russe, a repoussé Daech de l’autre côté de l’Euphrate en contournant al-Tanf et a établi son contrôle sur les itinéraires dans le désert. Les groupes contrôlés par les USA ont activement tenté d’empêcher la progression des forces syriennes vers l’Euphrate. De facto, le Pentagone et les groupes sous son contrôle ont agi en faveur des djihadistes en couvrant leur flanc gauche et leurs arrières dans les batailles contre les unités gouvernementales syriennes qui avançaient depuis le nord et l’ouest.

Au final, de nombreux groupes armés se sont accumulés dans la région d’al-Tanf, officiellement incontrôlés. Le Pentagone a l’intention d’utiliser ces groupuscules pour contrer le renforcement de l’influence de l’Iran dans la région. Par ces actions, les USA ont transformé la zone de désescalade autour d’al-Tanf en poudrière susceptible d’enflammer et de déstabiliser considérablement la situation dans la région.

Les actions des USA profitent aux chefs de guerre des groupes d’opposition qui s’efforcent d’éviter la dissolution définitive de leurs unités.

Source: Sputnik

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