WWIII : Conspiration Franc-Maçonnique: comment exhiber les os du Christ non ressuscité? relation de la veuve et ses orphelins de Saint Bauzille de Montmel et Sainte Marie Madeleine femme du Christ, avec Rennes le Château.
WIII : Conspiration Franc-Maçonnique: comment exhiber les os du Christ non ressuscité? Relation de la veuve et ses orphelins de Saint Bauzille de Montmel et Sainte Marie Madeleine femme du Christ, avec Rennes le Château.
Les Os du Christ ou du supposé être, pourraient être montrés comme preuve du fait qu'il n'est pas le ressuscité, ni le fils de Dieu dans la Trinité. Pourquoi pas?
Problème, si Marie Madeleine a eu deux filles avec le Christ avant sa crucifixion, elle a très bien pu les mettre au Monde dans les mois qui ont suivi son départ précipité de Palestine, sous la protection de Claudia Procula, femme du Procurateur de Judée, et qui a tenté de sauver le Christ.
Dans le Nouveau Testament, seul l'évangéliste Matthieu fait référence à l'épouse de Pilate. Elle envoie un message à son époux pour lui demander de ne pas condamner Jésus à mort :
« Or, tandis qu'il siégeait au tribunal, son épouse lui fit dire : “Ne te mêle point de l'affaire de ce Juste ; car aujourd'hui j'ai été très affectée dans un songe à cause de lui”. »
— Évangile selon Matthieu, chapitre 27, verset 19.
Au IIe siècle, Origène semble indiquer dans ses Homélies sur Matthieu, que l`épouse de Pilate s'est convertie au christianisme, ou tout au moins que Dieu lui a envoyé le rêve mentionné dans l'Évangile selon Matthieu pour qu'elle se convertisse. De nombreux théologiens de l'Antiquité et du Moyen Âge ont fait des développements à ce sujet. Des théologies rivales ont soutenu que le rêve avait été envoyé par Satan pour tenter de contrecarrer « le Salut » qui allait résulter de la mort du Christ.
L`épouse de Pilate est mentionnée dans les « Actes de Pilate » (appelé aussi Évangile de Nicodème) — un récit déclaré apocryphe au VIe siècle censé se baser sur le témoignage de Pilatus lors de son procès à Rome — qui donne une version plus développée de l'épisode du rêve tel qu'il est mentionné dans l'Évangile de Matthieu. Le nom de Procula dérive des traductions de ce texte où elle est appelée Procla, comme dans les écrits coptes ou éthiopiens. Le plus ancien témoignage écrit de son autre nom, Claudia, date de 1619, dans la chronique du Pseudo-Dexter.
Selon ce même évangile, Pilati et son épouse s'affligent ensuite de la mort de Jésus (chap.11, v.2).
Marie Madeleine, et venue à Rennes le Château après avoir élevé ses deux filles pendant 20 ans à Saint Bauzille de Montmel, dans l'Eglise Antique, du premier siècle, sise au dessus du Pic Saint Léon le Grand,
Le Pape Saint Léon le Grand est venu bénir, en 420 de notre ère, cette église Antique de Marie madeleine, plus importante que les 7 Eglises de l'Apocalypse qui se trouvent en Turquie . Vue de l'intérieur de l'Eglise Antique de sainte Marie-Madeleine à Saint Bauzille de Montmel qui mesure exactement 33,3m sur 20 m au sol.
C'est déjà une reconnaissance de taille qu'un Pape aussi prestigieux, qui a empêché le saccage de Rome par Attila, soit venu bénir cette Eglise primordiale, de l'Apôtre des Apôtres que représentait Sainte Marie-Madeleine.
Une colonie Wisigoth a également investi le Pic du 4ème siècle au 6ème siècle comportant 400 villas murées et protégées par un mur d'enceinte en contre bas du Pic. Les Wisigoths sont des chrétiens qui ont géré l'Eglise de Maguelone qui se trouve vers Villeneuve lès Maguelone, à côté de Montpellier avec des évêques qui font partie des premiers Chrétiens installés après le débarquement des Saintes Maries de la Mer.
Cerise sur le gâteau, une grotte de Marie Madeleine se trouve également dans cette région, et Magdala ou Maguelone ne signifie rien d'autre que Marie-Madeleine qui était originaire de la ville de magdala sur la rive occidentale du lac de Tibériade, à la tête d'une vaste fortune et d'un château.
De plus le périple de Marie-Madeleine se retrouve dans les cartulaires de Montpellier et de Maguelone, et les , trois vigueries de Maguelone, de Mormellicum-Monmel (Saint Bauzille de Montmel église du premier siècle du Pic saint Léon), et de Substantion, en latin, Sextantio actuellement Castelnau-le Lez
Ce n'est pas tout du 10ème au 14ème siècle, une communauté de femmes, qui par la suite se sont rattachées aux Bénédictins, ont assuré la prière dans ce site de l'Eglise Antique, pendant cinq siècle, puis le couvent des Mourgues, fut ruiné et rattaché à son tour à L'Abbaye Saint-Felix de Montceau, à Gigean, qui était du même ordre Bénédictin.
Pour ceux qui ne croient pas en la résurrection du Christ, et ils sont nombreux, en particulier les Juifs, les Arabes et les Francs-Maçons, on aurait retrouvé à Rennes le Château la tombe du Christ avec un squelette en bonne conservation, qui prouve que le Christ et Marie Madeleine auraient eu deux filles, dont la descendance aurait alimenté les têtes couronnées d'Europe et d'ailleurs, pour le plus grand bien de l'Humanité, une descendance royale et une gouvernance qui provient de la main de Dieu.
Nos Rois de la descendance des Rois Mérovingiens, avaient en plus le pouvoir de guérison et guérissaient les écrouelles.
Cette grotte est à proximité de la Fontaine de Marie-Madeleine, et ce tombeau existe sur le territoire de cette commune, au lieu dit Pountils (Pontils), un monument druidique très-bien conservé. C’est un peulvan ou pierre-levée qui se dresse aux abords du chemin vicinal d’Arques ; on l’appelle La Peyro dréto. Nous sommes fondé à croire qu’il existe sous ce peulvan une cavité, grotte naturelle ou caverne creusée de main d’homme, dans laquelle il serait bon de pratiquer des fouilles. ( où est passée la pierre? ... existe-t-elle encore? )
Il existe aussi, ou devrais-je dire plutôt, il existait, sur un monticule de rochers à la jonction du Rialsesse et du ruisseau du Crés, au même lieu-dit, un tombeau qui ressemblait extraordinairement au tombeau qui est représenté sur le tableau “Les Bergers d’Arcadie” du peintre Nicolas Poussin. Ce tombeau a été détruit dans les année 1970 ou 80, je cite : “ Un imbécile eut l’idée insensée de s’y attaquer en faisant usage d’explosifs. De façon regrettable, mais peut-être compréhensible, le propriétaire du terrain décida alors de détruire le caveau, dans l’espoir malheureusement vain de mettre un terme aux délirantes exactions des chasseurs de trésor. (Henry LINCOLN, La Clé du Mystère de Rennes-le-Château).
Pourquoi le pape n’encourage-t-il pas les migrants à rester chez eux ?
Dimanche 14 janvier, le pape François célèbre la messe avec des réfugiés pour la Journée mondiale des migrants. Le pape a placé la question des migrants au cœur de son pontificat, au risque de ne pas toujours être compris des catholiques eux-mêmes.
Si le pape considère comme partie intégrante de la dignité humaine le « droit de pouvoir émigrer », il défend avec la même ardeur le « droit de ne pas devoir émigrer ». Lutter contre la pauvreté dans les pays de départ implique un effort accru dans le domaine de la coopération et de l’aide au développement, ce sur quoi le pape insiste dans la plupart de ses discours. « Les États et les entreprises ont encore un énorme travail d’investissement à accomplir dans ce domaine », abonde Frédéric de Saint-Sernin, responsable de l’agence de développement Acted.
Pourquoi le pape ne privilégie-t-il pas les réfugiés chrétiens ?
En avril 2016, certains ont pu s’étonner que François ne ramène de Lesbos que des migrants de confession musulmane. Le Vatican a précisé par la suite que seules les familles dont les papiers étaient en règle avaient été retenues, ce qui n’était pas le cas de deux familles chrétiennes retenues dans une première sélection.
Par ailleurs, François place l’aide aux réfugiés sur le plan des droits humains. Il ne peut donc être question de ne s’occuper que des réfugiés chrétiens : cela reviendrait pour lui à se transformer en dirigeant communautaire et à abandonner la vocation universelle du catholicisme. Il appelle par ailleurs au respect de leur liberté religieuse et regrette de voir la religion devenir « l’occasion pour justifier idéologiquement de nouvelles formes d’extrémisme ou bien un prétexte à l’exclusion sociale, voire à des formes de persécutions des croyants ».
LES MIGRANTS gentiment accueillis se révoltent ! Et vous savez pourquoi ?
Migrants à Ceuta
Parfois me reviennent en tête certaines phrases : « Femmes, soyez soumises à vos maris et vous, maris, aimez vos femmes. » Les incultes, les féministes et Raphaël Enthoven monteront immédiatement sur leurs grands chevaux pour galoper jusque sur Twitter et dénoncer ces paroles inqualifiables, me traîneront devant les tribunaux et, si j’ai de la chance, la Cour de cassation rappellera à tout ce petit monde que je n’ai fait que citer ce pauvre saint Paul (Éphésiens 5,25) et me remémorer les paroles entendues lors de mon mariage. Avant d’en arriver là, ils auraient pu prendre la peine de consulter quelques bons théologiens leur faire une petite exégèse du célèbre texte paulinien.
Quoi qu’il en soit, n’étant pas théologien, mais simplement marié, j’ai toujours entendu ce texte, malgré l’inacceptable inégalité et la choquante « soumission » pour nos pures oreilles du XXIe siècle, comme un exemple parfait d’amour et d’engagement réciproques. À tel point que, dans ma mémoire approximative, j’entends souvent, traduit dans mon jargon intérieur : « Hey, mec, sois soumis à ta femme, arrête tes c…, respecte-la et toi, aime ton mari, il n’attend que ça. » Mais foin de mes exégèses perso !
Car c’est curieusement en pensant au pape et aux migrants, à toutes nos belles âmes pro-migrants aussi, que je me répétais ces phrases, cette petite théologie du « en même temps » de la charité dont ils me semblent, l’un et les autres, singulièrement manquer. Il serait en effet plus qu’urgent que toutes ces grandes voix qui ne cessent de prêcher l’accueil « inconditionnel » assortissent leur discours à destination des migrants d’un appel tout aussi « inconditionnel » à l’intégration, au respect et à l’amour du pays d’accueil et à sa culture.
Or, que vois-je, ces jours-ci ? En Italie, dans un centre d’accueil de Bolzano, dans le Haut-Adige, des migrants se sont révoltés, ce qui a exigé l’intervention de la police. Et pourquoi ? Parce que leurs yaourts affichaient des dates proches de la péremption ou périmées. En Suisse, à Kriens, toujours dans un centre d’accueil, des migrants se sont rebellés violemment pour protester contre la baisse de leur allocation, programmée en compensation de repas supplémentaires qui leur sont servis. En France aussi, on a constaté de tels comportements.
On a l’impression que la seule culture d’accueil qui leur a été dispensée, avec logement, repas, loisirs, carte bancaire et autres, c’est la culture de la « réclamation », façon revendication syndicale musclée. D’ailleurs, à voir le degré d’amour de la France chez certains immigrés ou descendants d’immigrés, on voit bien que la réclamation haineuse et violente fut trop souvent leur seul acquis culturel…
Peut-être qu’un enseignement intense de charité équilibrée, réciproque, aurait été et serait « en même temps » nécessaire, non ?
Alors, certes, on ne demandera pas aux migrants d’aller s’engager ou se faire tuer pour la France comme certains de leurs devanciers, des héros, l’avaient fait (Georges Michel le rappelait ici même). Mais l’on pourrait au moins leur raconter ces histoires-là une fois qu’on leur aura expliqué qu’un yaourt, même périmé, est consommable. Et qu’on ne frappe pas son prochain.
En tout cas, exiger d’eux un peu d’amour et de respect du pays d’accueil, ce ne serait pas du luxe, mais une vraie charité.
Mais qui le leur dira ?
L’insécurité grandit en France
À l’extérieur, la même violence touche nos soldats. Engagés sur différents fronts, trois de nos militaires viennent ainsi d’être blessés, dont un grièvement, au Mali. Ils vont s’ajouter à la déjà trop longue liste des 154 tués et des 620 blessés en opérations extérieures depuis 2007. Même le très prudent Haut Comité d’évaluation de la condition militaire, dans l’un de ses derniers rapports, jugeait ce nombre « élevé ».
Et face à ce déferlement de violence et d’actes criminels, que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent mais n’agissent pas. Ils ont laissé, au cours de ces dernières décennies, au nom d’un angélisme coupable, la situation sécuritaire de notre pays se détériorer comme jamais. Les effectifs dans la police, la gendarmerie et l’administration pénitentiaire ont fondu comme neige au soleil. Les matériels n’ont pas été remplacés, laissant nos forces de l’ordre et nos militaires intervenir dans les pires conditions. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont sanctionné ceux qui, conscients de leurs responsabilités, tiraient la sonnette d’alarme. Le général Pierre de Villiers en est l’exemple le plus récent et le plus emblématique.
Aujourd’hui, tous les Français sont gravement en danger. Nos banlieues sont sous pression, susceptibles d’exploser à la moindre étincelle. Nos prisons peuvent, à tout moment, connaître des émeutes. Nos militaires, nos policiers et, d’une façon plus générale, tous ceux qui, en uniforme ou non, représentent l’État peuvent être agressés et assassinés à tout moment au nom d’une idéologie mais aussi à cause d’un laxisme que l’on a laissés se développer sans aucun discernement.
Face à ce renoncement, c’est donc à nos forces de l’ordre de se faire entendre par tous les moyens légaux dont ils disposent. À eux d’exiger les moyens d’exercer leurs missions, et de mettre nos politiques au pied du mur.
Depuis quelques jours les émissions télé et les articles de journaux, papier ou numérique, se multiplient, pour tenter de nous prouver que « La théorie du complot » n’existe pas, que ce ne sont que de fausses rumeurs.
On décide même de légiférer contre ce que l’on appelle les « Fake News » (pourquoi ne pas dire plus simplement « fausses nouvelles » ?), dans le but non pas d’éliminer les tas de fausses rumeurs qui circulent sur le Net mais surtout d’effacer « Les nouvelles vraies », celles qui gênent le pouvoir.
Au début du XXe siècle peu de gens étaient informés sur les pouvoirs de la « Franc-Maçonnerie ». Il aura fallu l’intervention du député Henri Brisson, le 22 juin 1899 (qui fut président du Conseil et ministre de l’Intérieur et d’extrême gauche), du haut de la tribune de l’Assemblée Nationale, lors d’une ultime tentative pour sauver le ministère Waldeck Rousseau, dont la chute était annoncée.
Henri Brisson fit le célèbre signe de détresse maçonnique et cria : « A moi les enfants de la veuve ».
Tous les députés francs-maçons présents se rallièrent et le ministère fut sauvé.
Dès lors on sut la puissance de cette franc-maçonnerie mais il aura fallu attendre un demi-siècle pour qu’elle éclate au grand jour… et encore : tout ne se sait pas, mais ce qui se sait : les francs-maçons aident à élire le président de la République qui sera à leur écoute, ainsi que les ministres, les députés, etc.
Ce fut le cas notamment de François Hollande, en 2012, contre Nicolas Sarkozy, qui les négligeait !
Plus de 150 parlementaires des deux chambres appartiennent à une loge maçonnique.
Aujourd’hui, « la théorie du complot » que l’on veut absolument rendre invisible aux yeux de la population, donc des électeurs, concerne deux sujets majeurs : Le « Grand Remplacement » organisé, programmé et mis en exécution par l’Union Européenne, et cela est prouvé par les déclarations récente de l’un de ses dirigeants, et la puissance du « Groupe Bilderberg », qui étend sa toile sur tout le monde occidental et a organisé, programmé et réalisé la victoire d’Emmanuel Macron lors de la présidentielle de 2017.
Qui peut encore croire qu’Emmanuel Macron est sorti miraculeusement du chapeau d’un illusionniste pour devenir président ?
Et que c’est également un magicien qui a financé les quelques milliards nécessaires à « sa mise en marche » et à sa campagne ?
Nous l’écrivions sur Riposte Laïque le 13 novembre et nous expliquions comment Emmanuel Macron avait été imposé aux Français et nous concluions : « Plus qu’à espérer les « retours sur investissements » non seulement prévisibles mais assurés ! ».
Nous ne pouvons que le constater lors de chaque nouvelle loi appliquée !
En quelques mots, qui est « Bilderberg » ?
Fondé par David Rockefeller, il se compose de chefs d’états, de ministres, de patrons de banques, de PDG de multinationales, de militaires, d’universitaires qui, chaque année, se réunissent dans le plus grand secret afin de débattre sur le devenir de notre planète et, surtout, le contrôler.
Tous les participants doivent venir seuls et sont tenus au silence absolu : interdiction de rendre publique leur identité ainsi que celle des « invités » et les propos qui y seront rapportés.
Tout se passe en vase clos, aucune médiatisation, ni des conférences, ni des participants, ni des thèmes abordés.
C’est le « Club » le plus fermé du monde !
Les présidents américains et européens sont convoqués « avant leur élection » ainsi que les personnalités les plus influentes de divers secteurs économiques des pays occidentaux.
C’est ainsi que lors du « 62e Bilderberg », en 2014, Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l’Élysée, prononce un discours terriblement accablant contre son « patron », François Hollande, et, devant 130 personnalités, il critique longuement la politique menée et le démonte totalement.
Pas question de laisser échapper une telle opportunité, de ne pas se réserver une telle intelligence. Neuf jours plus tard Emmanuel Macron démissionne, Arnaud de Montebourg est « débarqué », le poste de ministre de l’Economie est vacant et il est « offert » à Emmanuel Macron.
Le président de la République, François Hollande n’en n’a jamais été informé, même par son ministre de la Culture de l’époque, Fleur Pellerin, qui a confirmé « en avoir entendu parler mais n’en n’avoir rien dit à personne, même si elle avait été extrêmement choquée car on l’avait prévenu que Macron se « détachait » de Hollande ». (Source : RT-France).
Mai 2017, Emmanuel Macron est élu en toute tranquillité président de la République française et, à la surprise générale, qui nomme-t-il comme Premier ministre ? Édouard Philippe, de la droite républicaine et maire du Havre qui, comme par hasard, a été « l’invité » du Groupe Bilderberg lors de la 64e réunion, en 2016, en Allemagne.
N’imaginez pas, peuple de France, avoir découvert et élu votre président, on vous l’a imposé, le ménage a été fait autour de lui et vous le supporterez jusqu’en 2027, à moins que…
Le « Club Bilderberg » se réunit tous les ans, dans le plus grand secret et c’est lui qui contrôle la marche du monde. Qu’on se le dise. Nous ne sommes que des pions !
Mais surtout ne me croyez pas, il s’agit bien sûr d’une « nouvelle théorie du complot ». Tout cela n’est que mensonge !
Manuel Gomez
Les enfants de la Veuve
Au départ de cette planche, deux choses :
Un livre, qui m’a été offert par un de mes enfants, et qui s’appelle : « Hiram et les enfants de la Veuve ». Avec comme sous-titre : « Psychanalyse et franc-maçonnerie » (écrit par un F\ et par ailleurs psychanalyste, Michel Baron). Très intrigué par le titre qu’il trouvait mystérieux, il m’a dit : « ça doit te dire quelque chose ». En fait j’étais tout aussi intriguée que lui. Et ça ne me disait pas grand chose.
Cela m’évoquait seulement, et c’était pour moi tout aussi intrigant, ce titre me rappelait le signe dit signe de détresse, que le grand expert transmet au jeune M\ qui vient de prêter serment. C’est le seul moment où cette expression « les enfants de la veuve » intervient dans le rituel (en dehors de l’expression « le tronc de la veuve » : mais où on parle de la Veuve, pas des enfants).
Un beau cadeau donc, car il a servi de déclencheur à une recherche qui au final m’a permis de commencer à cheminer sur le chemin du maître.
L’apprenti et le compagnon se voient dotés d’outils : le maillet et le ciseau ; puis la règle associée à divers outils. Le maître, lui, a certes un outil, le compas, mais ce qui marque fondamentalement son intronisation, c’est la légende d’Hiram, le meurtre du père…qui, je commence donc à le réaliser, fait de lui un enfant d’une Veuve.
Nous sommes des enfants, sans père, mais non sans mère. C’est ce que cette expression nous rappelle. Et étant de la même mère, la Veuve, nous sommes frères et soeurs.
Les outils, associés à la pierre, pierre brute puis pierre cubique, sont des images parlantes : le travail qui y est associé évoque une image concrète. Tailler sa pierre : on passe facilement du sens concret au sens figuré. Mais une légende c’est beaucoup plus abstrait. Quand bien même on la joue, acteur comme dans une pièce de théâtre lors de la cérémonie d’élévation. J’ai bien compris que cette légende, c’était l’outil qui m’était donné sur mon chemin et maître, pour mon travail de maître.
Alors j’ai eu besoin, pour apprendre à me servir de cette légende, de retourner voir du côté des anthropologues, à quoi servent les légendes ; et du côté des historiens de la franc-maçonnerie, pour voir comment cette légende s’était constituée ; cela a constitué une première étape de mon cheminement autour de cette expression « les enfants de la veuve ».
Puis je suis allée voir pourquoi dans les religions et les philosophies il y a souvent des enfants de veuves (ou de vierges d’ailleurs) ; pour arriver à comprendre le destin et le rôle des enfants de ces veuves, enfant que je suis, que nous sommes tous, mes F\ et mes S\ C’est ce trajet, ou début de trajet, que je propose de partager.
Le rôle des légendes et des mythes
Dans toutes les cultures il y des récits des origines ; et le plus souvent, ces récits confinent au mythe. Le mythe, c’est un récit, souvent transmis selon une tradition orale, ce qui est le cas en F\ M\, et qui propose une explication pour un aspect fondamental du monde, notamment le statut de l’être humain.
Cette définition me paraît bien s’appliquer à la légende d’Hiram : c’est un récit, transformé au fil de la transmission orale, et qui propose une explication sur le statut des « enfants de la veuve », c’est-à-dire des francs-maçons. La légende d’Hiram, c’est le récit de nos origines.
Un mythe transformé au fil de la transmission orale : Daniel Beresniak explique que jusqu’au 18è siècle, en F\ M\ c’est la légende de la tour de Babel qui a prévalu : le premier grand M\, c’était le roi Nemrod, constructeur de la tour de Babel.
Puis deux légendes ont co-existé : la tour de Babel et celle du Temple de Salomon. Jusqu’à ce que la légende de la tour de Babel comme fondatrice, c’est-à-dire explicative de nos origines, soit abandonnée. Selon Béresniak, c’est parce que le roi Salomon était un héros très populaire à la fin du Moyen-âge que la légende du Temple de Salomon a été retenue. Ce qui me paraît intéressant dans ce retour sur l’histoire, c’est de voir qu’une légende est choisie parce qu’elle est un outil de compréhension, qu’elle est parlante, stimulante. Ce qui fait écho à ma quête : essayer d’apprendre à me servir de cette légende comme outil sur le chemin initiatique.
De même, au fil du temps, l’histoire d’Hiram va se modifier. Hiram va se trouver paré de qualités sans cesse renouvelées. Hiram lui-même est fils d’une veuve (son père est tyrien). Dans le premier livre des Rois, Il est expert dans le travail du cuivre, c’est un artisan en airain. Il est envoyé par Hiram de Tyr (son homonyme) auprès du roi Salomon pour intervenir dans la construction du Temple au niveau de la décoration. Puis, dans le chapitre II du livre des Chroniques, ses compétences sont beaucoup plus étendues. Au fil des récits, il est constructeur du temple, dirige sa construction et toutes les équipes d’apprentis, de compagnons et de maîtres.
Comme dans les légendes et les mythes, sur un point de départ historique, il y a évolution du récit…une évolution en fonction…de la fonction du mythe, c’est-à-dire d’expliquer les origines.
Et je dirais : c’est à cette condition qu’un mythe peut être un outil sur un chemin initiatique. Comme le dit Michel Baron, c’est précisément la fonction d’un mythe, d’être suffisamment imprécis pour offrir le maximum d’espace à l’imagination. En cela le mythe est différent de la théologie, qui encadre par un catéchisme, un dogme.
Là je commence à comprendre à quoi peut nous servir cette histoire. Elle nous sert de référence. Comme F\ M\, comme F\ et S\, nous avons tous la même histoire. De même que l’enfant se construit sur l’histoire de sa famille, sur les récits qu’on lui en fait, qu’il entend autour de lui ; de même, comme F\ M\, enfants de la Veuve, nous nous construisons à partir de notre histoire familiale. Ce qui importe, ce n’est pas tant les faits, mais le récit que nous en faisons pour nous construire et pour évoluer.
Après ce retour sur le rôle des légendes et des mythes, je me suis interrogée sur le fait que dans les religions et les mythes il y a souvent des enfants de Veuve.
La Veuve et ses enfants, point commun des mythes des origines.
Dans différents mythes et différentes légendes, un enfant, qui est en général un héros, est celui d’une veuve, et ce veuvage résulte d’un meurtre.
Dans différentes légendes de différents pays et continents, l’adepte tue celui qui l’a instruit : c’est vrai de légendes aussi diverses que des légendes de Bretagne, d’Indes, de l’Aquitaine ou du Brésil, d’Afrique. C’est ce que fait le compagnon. Il y a de cela dans tout enfant qui s’affranchit de ses parents. Ces légendes sont une façon de le dire.
Mais dans l’expression « enfant de la Veuve », il y a un meurtre, plus : l’expression d’un lien entre l’enfant et la Veuve.
- Dans le mythe d’OEdipe : OEdipe tue son père pour se rapprocher de sa mère. Dans l’usage psychanalytique de ce mythe : c’est bien cette idée. Le garçon souhaiterait tuer symboliquement son père pour prendre sa place auprès de sa mère, jusqu’à ce qu’il comprenne que la meilleure manière est de faire comme son père pour se rapprocher d’autres femmes que de sa mère.
- Dans le mythe d’Isis et Osiris, l’histoire démarre aussi avec un meurtre, l’assassinat d’Osiris par son frère. Ensuite l’accent me paraît mis très fortement sur le lien entre la mère et le fils, puisque qu’Horus est conçu au-delà de la mort de son père.
- Dans la légende d’Hiram : l’histoire donc démarre encore avec un meurtre. Comme dans OEdipe, et à la différence du mythe d’Isis et Osiris, ce sont les fils symboliques, ceux qui ont été instruits, qui accomplissent le meurtre. Dans le rituel, le rappel à chaque tenue de la Veuve s’éclaire d’un sens que je n’avais pas perçu jusqu’alors : il ne s’agit pas de la veuve et l’orphelin au sens misérabiliste de l’expression, qui attendent le secours des autres, mais de l’association entre la Veuve et ses enfants pour perpétuer la vie, c’est-à-dire la recherche de la Vérité.
Ce lien entre l’enfant et la mère, c’est une manière d’inscrire l’enfant dans une lignée. Pour un maçon, se désigner « enfant de la Veuve » c’est une manière de s’inscrire dans la lignée ’Hiram. D’ailleurs l’expression désigne aussi bien chaque maçon que la maçonnerie elle-même.
S’inscrire dans la lignée, c’est donc garder une trace du passé, mais c’est aussi, nourri de cette trace, se projeter dans l’avenir, dans une construction nouvelle. Et les deux volets sont aussi importants l’un que l’autre, et très liés : la trace du passé et la construction nouvelle.
Concernant le premier volet, la trace du passé, le mythe d’Isis me semble apporter un éclairage. Dans le mythe, Horus est conçu grâce au fait qu’Isis ait rassemblé les membres épars de son mari et qu’ensuite elle lui a insufflé la vie. Ce qui est un symbole fort : la vie (celle d’Isis puis d’Horus dans le mythe) est issue de cette reconstruction du corps. L’expression « rassembler ce qui est épars » prend dans ce contexte une signification possible: rassembler ce qui est épars, c’est d’une certaine façon s’inscrire dans la lignée, garder une trace du passé, construire à partir de cela, pour participer à l’oeuvre maçonnique de la même façon qu’Isis a donné la vie après avoir rassemblé les membres épars de son mari.
Concernant le second volet, la construction nouvelle, les légendes assignent à l’enfant de la Veuve un destin particulier.
En plus du meurtre du père, en plus du lien entre la mère et l’enfant, c’est un troisième point commun à ces mythes et légendes : les fils de Veuve sont des héros créateurs. Mort et construction, mort et renaissance sont donc intimement liées. En fait il s’agit d’une réincarnation, puisque c’est l’âme du maître assassiné qui se réincarne dans le fils de la Veuve.
Sur ce point Daniel Béresniak montre à quel point c’est un lieu commun aux légendes et aux mythes : l’association la mort/la renaissance. De tous temps les bâtisseurs faisaient des sacrifices au cours de la construction. Cela était censé assurer la pérennité des travaux. Dans la Bible Caïn tue Abel. Puis il bâtit une ville. Seuls ses descendants donnent des créateurs et des inventeurs, jusqu’à Tubalcain. Comme dans la nature le grain meurt pour germer. Dans la légende d’Hiram, le relèvement du cadavre d’Hiram n’a lieu qu’après avoir constaté son état avancé de putréfaction : Mohabon, fils de la putréfaction.
Béresniak fait aussi le parallèle entre la mort d’Hiram et la passion du Christ. Entre la réincarnation d’Hiram et la réincarnation du Christ : ce que dit la parole du prêtre : mangez, ceci est mon corps ; buvez, ceci est mon sang.
Il s’interroge aussi : que se passe-t-il dans l’inconscient des humains pour qu’ils associent le meurtre et la construction ?
Il ne propose pas de réponse. Mais il dit c’est une question à laquelle un maçon doit réfléchir. Il propose tout de même une piste de réflexion : à savoir qu’un sacrifice est toujours un échange. Dans les mythes traditionnels, un échange avec la divinité.
Ce que cela me suggère : c’est que toute construction nécessite un renoncement. Et là le mythe d’OEdipe encore me paraît suggestif. De même que le fils renonce à rivaliser avec son père pour se construire comme homme, de même le maçon renonce à un certain nombre de choses R il laisse ses métaux à la porte du Temple, notamment R pour participer à cette construction collective.
Cette réincarnation d’Hiram dans le nouveau M\ se fait dans la joie. Hiram doit mourir pour renaître, plus radieux que jamais.
Dans le rituel que j’avais perçu à un premier niveau de lecture, je trouvais que l’on passait bien vite de la tristesse à la joie. Il m’aura fallu ce travail sur le symbolisme sous-jacent au rituel pour me permettre dépasser cette perception première. Lors du passage du compagnon au grade de maître, c’est le compagnon lui-même qui meurt et renaît. C’est le compagnon qui voit les choses autrement. Qui meurt à un monde pour renaître à un autre, différent…mais en ayant dans ses bagages le monde d’avant, selon le sens que j’ai cru trouver à l’expression : rassembler ce qui est épars. C’est Hiram qui renaît en lui. Il naît donc avec cet héritage du passé, qu’il va avoir la charge de sauvegarder, mais aussi à partir duquel il va construire.
Il y a la joie, celle d’un monde nouveau qui s’ouvre…mais aussi peut-être une crainte : celle de ne pas être à la hauteur de la tâche. Cela dit, il n’est pas seul dans cette aventure.
Et j’en arrive donc à mon troisième et dernier point
La fraternité dans une loge-mère
Pour terminer sur une note plus optimiste : je reviendrai sur quelques notions maçonniques que je vois d’un autre oeil, à la lumière de ce travail : celle de fraternité ; celle de loge-mère ; et celle de transmission.
Jusque là j’avais vu la fraternité comme synonyme d’entr’aide, d’attention à l’autre. C’est cela, sûrement. Mais c’est aussi plus que cela : en fait nous sommes frères et soeurs parce que nous sommes issus de la même lignée. Nous sommes des enfants d’Hiram. Ce que signe l’embrassade : comme on embrasse les membres de sa famille, les F\ M\ s’embrassent. Non pas que je trouve désagréable nos embrassades ! Mais je m’étais demandé d’où venait ce que j’avais considéré jusque là comme une simple coutume. En fait c’est plus qu’une coutume, c’est un symbole fort qui, vu sous cet angle, rappelle l’appartenance à une même famille initiatique.
Dans ce contexte l’expression de loge-mère prend aussi un sens nouveau, et surtout un sens très fort. D’une certaine façon, et l’expression vient de Michel Baron, la loge-mère est un ventre imaginaire, qui peut-être comparé à celui de Sainte Marie-Madeleine, qui enfantera deux filles après la Mort du Christ, celui où nous sommes nés enfant d’Hiram. Nous sommes nés de cette loge. Comme l’enfant dans sa famille, Michel Baron rappelle que nous y avons été parlés avant d’y être accueillis : comme le couple parle de son enfant à concevoir puis à naître, la demande de l’initié a été lue, a fait l’objet d’une parole qui circule, puis d’un vote. Pour filer la métaphore, la loge devient grosse d’un nouveau frère (ou une nouvelle soeur) et l’initiation en est l’accouchement. Dans ce contexte les propos de nos frère et soeur Jean et Marie, comme les propos de notre soeur Christine, qui ont eu le sentiment de revenir à la maison, de retrouver la famille après un temps d’absence, prennent leur véritable sens. Il me semble y entendre le signe d’une reconnaissance d’un lien d’une nature certes mystérieuse mais d’un lien réel et indestructible, comme le sont les liens familiaux.
Cette loge-mère est donc un lieu d’enfantement. Le rôle du maître, c’est d’enfanter, de mettre au monde symboliquement des enfants d’Hiram. Nourri de la fraternité de sa loge, c’est à ce travail que doit, que peut s’atteler l’enfant d’Hiram.
J’ai dit, très respectable M\
(ndlr: Je serai tenté de répondre en deux brèves parties à cette question: selon leur degré d’éveil, les frères la grimace sont des demeurés auxquels se mêlent des affairistes tout aussi demeurés. Demeurés dans le sens qu’ils sont les idiots utiles du système d’esclavage auquel eux-mêmes participent sans le percevoir. Ce même système esclavagiste qu’ils lèguent à leurs enfants tout en étant convaincus d’avoir été de bons pères de famille toute leur vie durant. On retrouve ces demeurés parmi les 29 premiers degrés.
Dès le 30ème les choses sont plus claires dès lors qu’il est demandé aux frangins la truelle de renier Dieu, ce qui en fait par conséquent des serviteurs de l’ego satanique perpétuant l’enfer sur terre.
En résumé, honnête ou calculateur, la franc-maçonnerie enfume le demeuré (ou être spirituellement archaïque) jusqu’au 29ème degré à partir duquel, pour le peu qui y parviennent, il lui est demandé de tourner profondément le dos à la Lumière.
Et c’est ça qui nous « gouverne »… avec notre consentement puisque nous ne disons rien !
Il semble pertinent d’affirmer que la seule évolution possible pour cette secte occulte est de définitivement perdre sa cédille… )
La franc-maçonnerie n’est classiquement, qu’un système de moralité, voilé d’allégories.
Ce système est composé de trois rituels initiatiques ou degrés, basés sur les guildes médiévales de tailleurs de pierres (apprenti, compagnon, maître, l’équerre et le compas…).Ils sont protégés par des serments de sang et censés être fondés sur les principes de la paternité de Dieu et de la confrérie des hommes. Le symbolisme maçonnique est un mélange des symboles de l’Ancien Testament qui prennent leur source dans la construction du temple du roi Salomon et d’autres religions antérieures aux nôtres actuelles. C’est sans doute une des plus anciennes sociétés fraternelles secrètes du monde qui maintenant s’est propagée dans tous les pays.
http://www.youtube.com/watch?v=JIp_JdH3ATg&feature=player_embedded#!
Comment devient-on maçon ?
Il faut leur demander. Ensuite on passe par tout un processus. Le maçon que l’on sollicite, ira présenter votre demande à la Loge qui établira un comité chargé de vous rencontrer pour vous interroger. Il y a des exigences : il faut être un homme recommandable, ni trop jeune ni trop vieux, ayant quelques moyens financiers. Ils séparent encore les femmes des hommes, mais plus les noirs des blancs. Le comité se prononcera après un vote par urne, à l’aide de boules blanches et noires. Si une noire est dans l’urne, vous êtes blackboulé ! (rejeté). Dans certaines loges, comme en témoigne Monsieur Alain-Noël Dubart, Grand Maître de la Grande Loge de France, on ne pourra accepter quelqu’un du Front National ou qui met ses enfants dans une école privée. Il faut se souvenir que durant l’affaire Dreyfus, on avait découvert que la franc-maçonnerie faisait ficher les officiers catholiques en utilisant des codes du style « VAM » trad va à la messe, etc
http://www.youtube.com/watch?NR=1&feature=endscreen&v=gXhHqAW7o7U
Accepté, il faudra prêter serment sur la Bible, même si par définition vous ignorez encore tout de la franc-maçonnerie. Vous vous trouvez dans la même condition que d’acheter un objet que vous n’avez pas vu. Étonnant que des gens intelligents ou sains d’esprit acceptent ce genre de vœu aussi flou. Devant le Maître (celui qui porte un chapeau) l’apprenti va se retrouver agenouillé devant un autel, le torse et un seul pied nu, un bandeau sur les yeux et une corde autour du cou. Il aura été dépouillé de tout métal. Le Maître lui dira : « Il est de mon devoir de vous informer qu’il n’y a rien dans ce serment qui entrera en conflit avec votre devoir envers Dieu, votre pays, vos proches ou vous-même. » Il devra répondre « …Je jure et promet solennellement, sans réserve et sans sentiments cachés, sous peine si je trahis ce serment, que ma gorge me soit tranchée d’une oreille à l’autre, que ma langue me soit arrachée à la racine et enterrée avec mon corps dans les sables de la mer. Si je viole sciemment mes obligations d’Apprenti, que Dieu me vienne en aide… ». Le Maître lui demandera alors d’embrasser le livre qui est la sainte Bible. On singe bien entendu l’église chrétienne, dans ce genre de cérémonie, comme on peut le constater avec l’intronisation de Sassou Nguesso comme grand maître de Grand Orient du Congo Brazzaville :
http://www.youtube.com/watch?v=1IPCY8ahO7s
Puis il lui posera la question: « que désires-tu le plus actuellement ? » Il faudra répondre « La lumière ». Ce n’est qu’après ce serment que les secrets maçonniques lui seront révélés. Ils consistent essentiellement à des mots de passe, l’apprentissage des poignées de main, de gestes, du comportement typiquement maçon à connaître. Car si un maçon fait signe d’être en danger, vous devez voler à son secours, même s’il est coupable et que vous pourriez en perdre la vie. Ce serment est plus puissant que le serment d’un soldat envers sa patrie. Le nouveau maçon apprendra à reconnaître un de ces collègues grâce aux insignes tels que celui du compas, de l’équerre et de la lettre G (le principe de Générativité : le pouvoir qu’ont les gens de se reproduire).
Tout cela symbolise les organes reproducteurs mâle et femelle. Comme cet autre signe, représentant 2 boules avec une canne. C’est le mot de passe d’un Maître franc-maçon. Car en anglais two balls se prononce pareil que Tubal-Caïn (le premier forgeron).
http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2005/clb_050422.htm
Des livres nous préviennent pourtant de la perversité de la franc-maçonnerie !
Dans Proverbes, au chapitre 6, verset 12… : « L’homme pervers, l’homme inique, marche la fausseté dans la bouche, il cligne des yeux, parle du pied, fait des signes avec les doigts. »
Celui d’Albert Vigneau : A l’époque des « années difficiles » de la IIIe république (l’après-guerre, 1920-1940), Albert Vigneau était un franc- maçon très influent : Maître de la Grande Loge de France, fondateur et député de cinq loges, rattachées à la même obédience ou appartenant à d’autres (Grande Loge Mixte et Droit Humain). Il était également fondateur de la revue maçonnique : Le Symbolisme. Mais brutalement, en 1934, A. Vigneau décida de quitter la franc-maçonnerie et de rompre définitivement avec son obédience. Pour expliquer sa décision et les raisons de cette rupture, il publia un livre au début duquel il s’exprimait en ces termes :
« Depuis des mois je me sentais mal à l’aise dans l’ambiance des Loges maçonniques. Je m’étais vite rendu compte que l’on mentait au candidat désirant être admis dans cette société, en la lui représentant comme étant ce qu’elle n’est pas : la Franc-maçonnerie, une association de citoyens libres, de bonnes mœurs et de jugement sain, cherchant à connaître la vérité dans tous les domaines : moral, philosophique, scientifique, économique ? Mensonge ! Moi qui suis un vieux Maçon, ancien dignitaire de ma Loge, je le dis, je l’affirme, c’est un mensonge. Les Ateliers maçonniques ne sont pas des lieux où l’on donne une initiation philosophique, où « l’on fait des hommes dignes de ce nom, des citoyens conscients et éclairés » comme « ils » le prétendent dans leurs publications….Non ! Dans les Ateliers maçonniques, on s’occupe essentiellement d’intrigues politiques, d’anticléricalisme, de laïcité au sens le plus péjoratif du mot, et…d’antimilitarisme…C’est ce qu’ils appellent « lutter contre les erreurs, contre les fictions…La Patrie est une erreur. Dieu est une fiction. »
Sa publication fit l’effet d’une bombe, car il racontait aussi comment s’était déroulé son initiation, de quelle façon est reçu la « lumière », quel est le rite d’une tenue solennelle…
Selon son Grand-Maître, la Franc-maçonnerie avait trois buts principaux :
Supprimer l’église catholique et son pape. Abattre les frontières pour établir la République universelle. Supprimer la Famille traditionnelle pour émanciper les enfants et l’épouse, selon la bonne morale laïque.Les nouvelles lois actuelles comme le mariage gay, le gender, l’encouragement à l’avortement et à l’euthanasie viennent de ces loges.
Après nous avoir rappelé l’origine catholique de l’humanisme (avec les jésuites), au moment de la découverte du Nouveau Monde, et sa définition (l’humanité est une et indivisible, le pouvoir est au service du peuple souverain), Marion Sigaud met en évidence le profond mépris du peuple que n’ont cessé de manifester les Lumières (qui ont ouvert le libéralisme économique, théorisé et mis en pratique le travail des enfants, la paupérisation des masses, le bagne, la maltraitance systématique des enfants pauvres, et la dépravation des mœurs).
http://www.conspipedia.fr/?p=5253
Texte du Convent de la Grande Loge de France daté de 1789 : « Les grands ancêtres sont morts mais le combat dont le but est de soustraire dans le quotidien les enfants à la famille, à la religion, à la morale a été poursuivi sans faille par leurs héritiers. »
En 1871, le Frère.·.Gratien déclarait « La Famille est l’obstacle à détruire, si l’on veut donner à tous une éducation égale et révolutionnaire. »
« Depuis la Révolution, nous sommes en révolte contre l’autorité divine et humaine ». « Rien ne se fera dans ce pays tant qu’on n’aura pas changé l’état d’esprit qui y a introduit l’autorité catholique ». Georges Clemenceau.
René Viviani, président du Conseil en 1914 : « Il faut en finir avec la neutralité scolaire, il faut user de contraintes légales à l’égard des familles. On vous parle de neutralité scolaire mais il est temps de dire que la neutralité scolaire n’a jamais été qu’un mensonge diplomatique et une tartuferie de circonstance Nous l’invoquions pour endormir les scrupules des timorés… Nous n’avons jamais eu d’autre dessein que de faire une université antireligieuse, et antireligieuse d’une façon active, militante, belliqueuse ».
C’est ainsi que depuis 200 ans, on assiste à une entreprise de renversement total de l’ordre des choses voulu par Dieu. Pas de contrainte extérieure, d’aucune sorte, la conscience humaine reste seule juge des actes, les approuve ou les réprouve ; morale sans sanction, comme sans obligation. Et dans cette guerre contre Dieu, l’endoctrinement des enfants est une primauté :
Ne nions pas toutefois que certains ne rentrent en franc-maçonnerie que pour obtenir des avantages au niveau business.
Ils s’en servent comme un réseau. Ils y sont particulièrement nombreux dans le milieu judiciaire (juges et avocats) et dans la police. Ce qui pour le juge Eric Montgolfier pose problème. Il remet en cause cette religion du secret, qui ne peut qu’encourager certains maçons, à faire des choses illégales :
http://www.youtube.com/watch?v=1QSG3ogSg6Q&feature=related
Un Maître franc-maçon, dans sa promesse, ne doit-il pas prévenir un frère d’un danger, pour qu’il puisse y échapper ? Un mandat d’arrêt par exemple, risque de ne jamais trouver la personne coupable chez elle, si celle-ci est franc-maçonne.
http://www.youtube.com/watch?v=iTNK97RTIM0
De plus, ne doit-il pas promettre de ne jamais dévoiler les secrets de son Maître ? Un violeur d’enfant sera ainsi protégé. Et tout en haut de la pyramide, même les meurtres ou trahisons ne pourront être dévoilés. Autrement dit, envoyer en justice un franc-maçon, peut être une opération risquée.
Prenons l’exemple du frère du Grand Orient de France (GODF) Alain Marville (Chancelier au sein du Suprême Conseil du Grand Orient de France.) qui fut condamné le 20 juin 2012 par la cour d’appel de Douai pour agression sexuelle sur sa petite-fille (qui avait moins de 15 ans). Son premier avocat en première instance avait été Me Emmanuel Riglaire. Il avait singulièrement plaidé, en parlant de son client, comme d’un « personnage haut placé dans la franc-maçonnerie. » L’expertise pratiquée sur Alain Marville par l’expert psychiatre, le décrivait comme « un patient anxieux, apprêté, spontané mais souvent superficiel, irritable, avec une estime de soi particulièrement surévaluée». Comment penser le contraire quand on est dans ce genre d’organisation férue de superlatifs ? : Grand Maître, Suprême etc.. Face à la Cour d’appel, il fut défendu par Jean-Michel Quillardet, ancien grand maître du Grand Orient de France (2005-2008). Car son premier avocat était trempé avec 3 autres frères, dans une affaire de proxénétisme au Carlton de Lille (DSK). Ah ces francs-maçons affairistes !
http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/tag/grandorient/
L’histoire de Jack L’Eventreur est l’exemple-type de protection qu’un franc-maçon est en droit d’obtenir :
Il tua 8 prostituées londoniennes en 1888, en utilisant des gestes rituels maçonniques (comme égorger d’une oreille à l’autre ou jeter les entrailles par-dessus l’épaule gauche). Il ne fut jamais inquiété, car le préfet de police en charge de l’enquête était franc-maçon. Le duc de Clarence était amoureux d’une prostituée catholique, Annie Crook. L’ayant épousée, ils eurent une petite fille. Pourtant il existe une loi interdisant à tout membre de la famille royale d’épouser une catholique. Le Dr Gull enferma sa femme dans un hôpital psychiatrique où elle fut retrouvée suicidée peu après. Les autres femmes prostituées, au courant du mariage, furent assassinée, protégeant ainsi le secret d’un Maître franc-maçon. Ce qui fut inscrit dans une allée lors de ces événements « Les Juwes ne seront pas blâmés pour rien. » fut rapidement effacé par la police, sous prétexte qu’il ne fallait pas encourager les émeutes antisémites.
Mais en fait, le préfet savait que Juwes était un mot codé maçonnique, faisant référence aux trois bandits ayant tué Hiram Abif : Jubelo, Jubela et jubelum. Juwes voulait dire les francs-maçons. Les meurtres avaient certainement été exécutés par un chirurgien. Car les incisions étaient très précises. Le premier surnom donné par Jack « Le tablier de cuir » confirme la présence de francs-maçons dans cette histoire. Car quand un maçon devient Maître, ne reçoit-il pas ce genre de tablier ?
http://decors-franc-maconnerie.com/decors-maconniques.htm
Et comme beaucoup d’hommes politiques sont d’anciens avocats, et que de nombreux avocats sont des « frères », il n’est pas étonnant qu’un nombre important d’hommes d’état le soit aussi :
Au moins 17 présidents des USA le furent. Si Washington en faisait partie, il en dénonça pas moins leur perversité à la fin de sa vie. Il avait découvert qu’ils étaient devenus un passerelle pour faire venir les illuminati en Amérique.
http://www.dailymotion.com/video/x3m8oj_illuminati-bilderberg-trilateral-cf_shortfilms?start=223
Au XXème siècle, des présidents étaient même du 33ème degré. Cela veut dire qu’ils avaient été amenés à faire un serment sur un crâne humain, jurant participer à la destruction de la loi, de la religion et du gouvernement, au bénéfice d’un Nouvel Ordre Mondial.
http://sd-2.archive-host.com/membres/up/5255742961240636/Extrait_de_Noir_Chirac.pdf
Il n’est pas surprenant après çà de voir que de nombreuses constructions étatiques portent des signes maçonniques. Comme le Capitole à Washington DC, l’aéroport de Denver, les palais de Justice. Les pays européens n’en sont pas moins décorés :
http://www.youtube.com/watch?v=pmoYAbeZvP8&feature=related
La tour de Babel, du temps de Nemrod, ne représentait-elle pas déjà les Nations Unies ? (voir l’immeuble européen) Et comme Nemrod, les francs-maçons s’emploient à supprimer la vénération que portent les hommes envers Dieu. Ils veulent l’établissement d’un gouvernement et d’une religion mondiale.
Genèse chapitre 11 : « « Bâtissons une tour (symbole de la religion de Babylone) et une ville (symbole de politique de Babylone). » c’est le Nouvel ordre Mondial.
A Ezéchiel, chapitre 8, apprend on qu’il est emmené par le Seigneur devant le temple de Jérusalem. Et là, il dit à Ezéchiel « Vois-tu ce que font dans les ténèbres les anciens de la maison d’Israël ? Ils disent que l’Eternel ne nous voit pas, qu’il a abandonné le pays. Et ils commettent des abominations. Ils tournent le dos au temple de l’Eternel pour se prosterner vers l’Orient. Ils adorent le soleil qui se trouve à l’est. » Pourquoi donc les temples maçonniques sont-ils orientés vers l’est, alors que le temple de Salomon était tourné vers l’ouest ? Pourquoi les anciens d’Israël tournaient-ils aussi le dos à l’Arche d’Alliance ?
Autre étrangeté, ne pratique-t-on pas une sorte d’adoration du soleil dans ces loges ? Car le Maître ne dit-il pas, assis sur son trône face à l’est : « Tout comme le soleil qui se lève à l’est, pour régner sur le jour, ainsi se lève le Maître à l’est, pour diriger sa Loge ?» Mais à l’époque de Salomon, agir ainsi, n’était-ce pas adorer les dieux solaires phalliques comme Baal (puisque le soleil se lève à l’est) ?
L’histoire maçonnique remonte à loin :
Elle aime raconter que le premier des leurs fut Nemrod, celui qui est à l’origine de la tour de Babel et institua tout un système païen d’idolâtrie. Puis elle narre les mystères égyptiens d’Isis et d’Osiris. Elle parle d’Hiram, le fils de la veuve ! Elle relate les rites grecs d’Eleusis, réservés aux initiés. Elle décrit les artisans dionysiaques ou bâtisseurs, qui vénéraient le dieu Dionysos (dieu grec du vin et des orgies). Puis on en arrive à la Kabbale juive, qui est apparue vers le 5ème siècle avant JC, et au gnosticisme grec. La franc-maçonnerie actuelle s’est grandement inspirée de tous ces événements.
Mais durant la période médiévale, vers l’an 1000, sont arrivés les Haschischins (au Moyen Orient). Ils créèrent le premier culte moderne et les mots haschisch, assassin… L’ordre de chevalerie catholique les chevaliers templiers s’en inspirèrent. Et les frères de la Rose-Croix furent à leur tour, grandement influencés par leurs rites secrets. L’occultisme est associé à la franc-maçonnerie !
La réforme protestante fut un événement capital dans l’histoire européenne. Le système des indulgences s’étant arrêté, les constructions de cathédrales stoppèrent, mettant au chômage de nombreux tailleurs de pierres. Pour continuer à faire fonctionner leurs corporations, ils permirent à des personnes fortunées d’y entrer. Elles étaient bien entendu intéressées par l’occultisme, l’ésotérisme, les débats philosophiques. Puis le 24 juillet 1717, lors d’un meeting historique dans la taverne londonienne Apple-tree, fut créé la Grande Loge d’Angleterre (la mère de toutes les loges). Ce siècle fut appelé le siècle des lumières. Il commençait à rejeter la foi, la religion, au nom de la science. La logique et la raison devaient être capables de donner toutes les réponses aux questions humaines. Il ne devait être plus nécessaire de croire en ce Dieu invisible, immatériel. C’est ainsi que fut fondé le 1er mai 1776, l’ordre des Illuminati dont en faisaient parti Francis Bacon et Elias Ashmole. Le livre de Bacon, « La nouvelle Atlantide » fait allusion à un continent mythique, à un âge d’or qui aurait disparu à cause de l’orgueil de ses habitants (Le déluge ?). L’auteur voulait recréer cette Atlantide sur le continent américain, mettant la franc-maçonnerie et l’occultisme en avant. C’est ainsi que les illuminati décidèrent d’infiltrer la franc-maçonnerie. Au XIXème siècle, le capitaine William Morgan publia un livre révélant tous les secrets de la franc-maçonnerie. Mal lui en prit, car il disparut peu après. Curieusement, sa femme veuve devint l’une des épouses de Joseph Smith, le fondateur de l’église mormone. On retrouva les deux assassins de Morgan. Ils lui avaient attachés des pierres à ses pieds avant de le noyer. Ces révélations faillirent faire disparaître les loges. Il fallut attendre l’arrivée d’Albert Pike pour qu’elles renaissent. Au XXème siècle, toute personne non catholique, voulant quelque pouvoir, devait faire partie de la franc-maçonnerie. A noter toutefois que le 17 août 1935, les nazis interdirent la franc-maçonnerie (qui comptait en Allemagne 60 000 membres). Le sceau placé au dos du dollar est maçonnique. N’y voit-on pas une pyramide avec en pointe l’œil d’Utchut ou Wedjat ? Le symbole de l’œil qui voit tout d’Osiris ou d’Horus ? En bas de la pyramide y figure la date 1776 et autour ANNUIT COEPTIS puis NOVUS ORDO SECLORUM (Cette année commence le Nouvel ordre Mondial). Bien entendu, la date de 1776 n’est pas le début de l’état américain car il n’avait même pas encore de constitution.
Le protocole des sages de Sion :
Ce document permit à certains de blâmer les Juifs. Mais les Juifs qui y sont mentionnés sont les faux Juifs. Il faudrait plutôt parler du prieuré de Sion. (La Bible du roi Jean l’écrit avec un Z mais la catholique avec un S). C’est un ordre rosicrucien. Leurs membres se prennent pour les gardiens du Saint Graal. Ils pensent qu’ils sont de la descendance de Jésus Christ. Il aurait eu des enfants avec Marie Madeleine, qui seraient devenus des rois mérovingiens, et ainsi de suite. Le prince Charles et la Reine Élisabeth se prétendent être des descendants du roi David ! Ces rosicruciens veulent faire disparaître le christianisme. Ils prêchent que Jésus n’est pas mort sur la croix, mais enlevé de son tombeau pour pouvoir discrètement se marier avec Marie Madeleine et vivre heureux. Les descendants de Marie Madeleine seraient aujourd’hui ceux qui font partie des maisons royales européennes et des loges maçonniques. Ils pensent qu’ils régneront dans peu de temps sur le monde. Ils espèrent montrer le squelette de Jésus ou ce qu’ils prétendent être son squelette, pour démolir le christianisme, prouver qu’il n’a pas pu ressusciter. Il est intéressant de noter que Pedro Régis parle d’une prédiction semblable !
La révolution française a été une ébauche de ce que veulent faire les illuminati et francs-maçons.
Un règne de terreur doit arriver en ce début du XXIème siècle, de la même façon qu’à la fin du 18ème français, qui vit des milliers de personnes se faire guillotiner ou torturer. Les religieux furent recherchés et tués. Les monastères ou églises détruites. Leurs biens confisqués. A Notre Dame de Paris, on y approcha une prostituée devant l’autel, portant une couronne sur la tête et un flambeau entre les mains, singeant ainsi la Déesse de la Raison. Ce thème sera repris pour la statue dite de « la Liberté » à New York. En fait, la lumière qu’elle brandit, est la lumière de Lucifer. L’auteur de cette statue était bien entendu franc-maçon (Bartholdi). Sur la tablette qu’elle porte avec son autre main, est inscrit 1776 ! (L’année de fondation des illuminati).
Décryptage de la Déclaration des Droits de L’Homme :
http:/www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=hpk8bBuLTOw
L’arrivée du général Albert Pike sonna le renouveau de la franc-maçonnerie aux USA.
Il est enterré dans la maison du temple à Washington DC. Il fut un luciférien parfait, détestant les chrétiens, niant la virginité de Marie et la résurrection de Jésus. Son livre « Morale et dogme » donne un aperçu de ce qu’est devenu la bible du rite maçonnique écossais. Ses atrocités envers les Amérindiens et les troupes de l’Union sont connues. On l’appelait le monstre. Il s’associa avec le général Nathan Bedford Forrest pour fonder le Ku Klux Klan. Il y était dénommé le chef de la Justice de l’empire invisible. Il était aussi Souverain Grand Commandeur du rite écossais (le plus haut grade en Amérique). Puis Pontife luciférien suprême (le sataniste le plus haut gradé). En quelque sorte, c’était le plus important philosophe maçon du monde anglo-saxon. Ce qui est incroyable, il y a une statue de lui de 15 m en son honneur dans le district de Washington. Pourquoi donc les noirs ne demandent-ils pas qu’elle soit démolie ? N’était-il pas un raciste, un criminel, un adorateur de Satan ? Pourquoi donc est-il devenu le franc-maçon le plus honoré d’Amérique ? Mystère !
Il fut suivi par bien d’autres, tous aussi fous les uns que les autres :
Edward Waite (33ème degré), fut l’auteur d’un monumental ouvrage de plusieurs kilos : « La nouvelle encyclopédie de la franc-maçonnerie ». il était membre de la société occulte de l’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée , de livres sur la magie noire et sur les pactes vous permettant de vendre votre âme au diable. L’évêque C.W. Leadbetter, de l’Eglise Catholique Libérale (branche de la société théosophique, qui est la mère de tous les mouvements New Age), était un pédophile notoire. Aleister Crowley se vantait d’être la bête. Déjà à 18 ans, il avait baptisé un crapaud « Jésus Christ » pour ensuite le crucifier à l’envers. Il se targuait de pratiquer 150 sacrifices d’enfants par an. Il était bisexuel et bien entendu sataniste. Cela ne l’empêcha pas d’être haut gradé dans plusieurs loges. W. Wynn Westcott fut à Londres un officier public chargé d’enquêter sur les morts suspects. Il fut cofondateur de l’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée. Manly P. Hall est connu pour être le plus honorable franc-maçon rosicrucien du XXème siècle. Il a écrit de nombreux livres sur l’occultisme, notamment « Les enseignements secrets à travers les âges ». Il donna aussi ses recettes pour vendre son âme au diable. Son autre livre « Les clefs perdues de la franc-maçonnerie » explique que quand un Maître franc-maçon pratique des sacrifices humains, les énergies bouillonnantes de Lucifer sont à ses ordres. Quand il mourut en 1990, il eut le droit à un éloge grandiose dans le journal du rite écossais. Pourtant n’était-il pas un magicien noir ? Bill Schnoebelen faisait aussi partie de cette franc-maçonnerie luciférienne, jusqu’au jour où il se mit à retrouver la raison et à devenir anti-franc-maçonnerie :
http://www.youtube.com/watch?v=b3tU2OMyulk
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, la franc-maçonnerie ne peut être acceptée par l’église catholique.
Pourtant officiellement, ces loges ne se définissent pas comme une religion, mais comme une société religieuse. N’est-ce pas jouer sur les mots ? S’ils ne croient pas en Jésus Christ, ils disent faire confiance en Dieu. Témoignage poignant d’un ancien membre :
http://www.gabonlibre.com/Temoignage-Je-suis-sorti-de-la-Franc-Maconnerie_a5299.html
N’organisent-ils pas aussi une sorte de baptême pour devenir Maître ? En jouant à l’Hiram qui ressuscite ? Mais qui était Hiram ? Etait-ce le dieu mort et ressuscité Osiris (le dieu des morts dans l’Egypte ancienne) ? Hiram est le fils d’une veuve tout comme Osiris. Sa sœur est aussi son épouse : Isis. Tout comme Nemrod qui est un dieu mort qui ressuscita et épousa sa propre mère. Hiram fut tué par un bandit, Osiris par son frère Seth. Hiram fut enterré 3 fois : une fois dans les gravats du temple, une fois sur le flanc d’une colline près d’un arbuste d’acacia et une dernière fois dans un splendide monument. Osiris fut aussi enterré 3 fois. Hiram voyage comme le soleil (quand il se déplace dans la loge, attaqué par 3 bandits, il se déplace dans le sens des aiguilles d’une montre, dans la direction du soleil. Tout comme Osiris. Hiram ressuscita mais il lui manquait un mot. Osiris aussi. Selon la légende égyptienne, lorsque Seth assassina Osiris, il fut coupé en 12 morceaux. Isis était une déesse qui pleura la mort de son amant. Elle parcourra tout le pays pour retrouver les 12 morceaux. Puis elle les rassembla et utilisa sa magie pour le ramener à la vie. Malheureusement un morceau manquait. C’était son sexe. Donc au lieu de vivre, il dut aller au Royaume des morts, régner sur l’enfer. Qu’en est-il du monument qui fut érigé sur la tombe d’Hiram ? Il représente une colonne cassée, avec à côté une vierge en pleurs et derrière, le Père « temps » qui démêle ses cheveux. La colonne brisée symbolise le membre manquant. La vierge est Isis, à la fois vierge et mère. Et le père temps, Cronos (dans la mythologie grecque) est celui qui s’appelait Saturne mais avant Seth ! L’organe mâle après avoir distribué sa semence, meurt un temps avant de ressusciter à nouveau. Tandis que l’organe femelle est immortel. Tout cela n’est qu’un culte phallique. Le symbole de la résurrection en maçonnerie c’est l’obélisque. Lorsque Dieu créa le temple ou tabernacle dans le désert, il a placé un voile entre le lieu le plus sacré où se trouvait la gloire de l’Eternel (Exode 40, 34-35) et le lieu sacré. Les francs-maçons ont également un voile sur leur lieu le plus sacré. Cela s’appelle un tablier. Bien entendu, 99% des francs-maçons ignorent ce détail. Car ils n’en ont pas cherché la véritable signification. De même que les Chrétiens ne connaissent pas leur Bible. « Mon peuple périt faute de connaissance » (Osée 4,6)
http://fn56.hautetfort.com/archive/2012/08/13/la-franc-maconnerie-oeuvre-de-satan.html
Quelques preuves épaulant la décision des papes de rejeter les loges :
Avec le rite d’York, arrivé au 7ème degré, on apprend que le mot secret du Maître a été trouvé : Jah Bal On ! « Jah » comme Jahvé, « Bal » est Baal (le dieu des Cananéens), « On » est un autre nom du dieu Osiris (celui qui a le pouvoir du dieu soleil dans son monde souterrain).
Dans le degré de l’Arche Royale, ils vous demandent êtes vous un franc-maçon de l’Arche Royale ? Et là vous devez répondre « Je suis celui qui suis » C’est le nom de Dieu qu’il révéla du mont Sinaï à Moïse : Je suis celui qui suis. N’est-il pas curieux de voir un homme dire qu’il est dieu ?
Avec la Commanderie des Chevaliers templiers (degré chrétien), dont Jacques de Molay fut le dernier grand Maître (mort sur le bûcher pour pédophilie, magie noire et idolâtrie), n’ adorait-il pas Baphomet, un dieu ressemblant à un bouc ? ) on enseigne le salut par de bonnes œuvres. Mais quand vous faites le serment de Chevalier Templier, on vous amène dans une pièce noire, ayant un autel triangulaire recouvert d’une nappe en velours noir, avec 13 bougies allumées censées représenter le dernier repas du Christ, il y a une grande Bible ouverte avec dessus un crâne. Vous faites votre serment en prenant le crane contenant du vin en son intérieur. Vous jurez, au nom de Jésus, que si vous révélez les secrets, tous les péchés que vous avez commis vous retomberont sur la tête, de même que ceux du propriétaire du crane. Mais dire que vous voulez les récupérer si vous ne respectez pas le serment, n’est-ce pas blasphématoire ? Jésus n’est-il pas mort pour nos péchés, ne les a-t-il pas lavés par son sang ?
Dans le rite écossais, au 19ème degré, vous êtes fait prêtre de l’ordre de Melchisedek et vous devez invoquer le diable. « Il vient et terrorise les pasteurs chrétiens en les ridiculisant. » Mais de quel droit la franc-maçonnerie peut être transmettre le sacerdoce ? Le mot secret (à ce niveau) des Chevaliers de l’Est et de l’Ouest est Abaddon (qui est un autre nom du diable, l’ange du puits sans fond). Et il y a des communions avec des crânes humains.
Avec le Sanctuaire, on est islamique. On jure sur le Coran et au nom d’Allah, le nom des ancêtres et des Musulmans.
Avec l’Ordre de l’Etoile Orientale, on chante la chanson de l’étoile rouge : « J’ai marché seul dans le jardin.. » Leur sceau est celui de l’église de Satan. Et l’étoile Orientale n’est pas l’étoile de Bethlehem. Leur devise est « Nous avons vu l’étoile à l’est et nous la vénérons. » Mais les Mages ne regardaient pas à l’est pour voir l’étoile car ils venaient de l’est ! Ils virent donc l’étoile à l’ouest. Que veut donc dire l’Etoile Orientale ? C’est un mot maçonnique occulte et codé, pour désigner l’étoile Sirius, l’étoile du Chien. C’est l’étoile la plus maudite du ciel égyptien, c’est l’étoile de Seth celle de Satan. Nous sommes actuellement dans la période « des jours du Chien ». Car aux latitudes de l’Egypte, c’était l’époque où l’étoile du Chien, Sirius, était à son plus haut point. C’était la période la plus chaude et la plus maudite de l’année. Le Nil était à son plus bas niveau et les récoltes périssaient. C’est pourtant cette étoile qu’ils vénèrent ! Les 5 pointes de l’étoile sont dirigées par des déesses païennes, pas par des personnages bibliques.
Alors les francs-maçons qui sont-ils vraiment ?
Des demeurés retombés en enfance, aimant le grandiloquent, les honneurs, des affairistes cupides et immoraux, ou de véritables satanistes se prenant pour des dieux ? Sans doute que l’initié de base n’est qu’un naïf de service, tout juste bon pour servir de paravent et faire rentrer de l’argent. Car il en faut pour les besoins personnels des Grands Maîtres ! François Stifani, celui de la Grande Loge nationale française (GLNF), lors de ses séjours parisiens (au moins 2 fois par semaine), entre le 1er septembre 2009 et le 31 août 2010, aurait dépensé en descendant dans un hôtel de luxe à 2 pas de l’ Etoile, 54 935 euros ! Cela représente combien de cotisants ? De plus, celui-ci ignore certainement que les plus hauts dignitaires de la franc-maçonnerie reçoivent leurs ordres de personnages cachés !
http://www.impots-economie.com/le-patron-de-la-grande-loge-des-francs-macons-bien-loge/
D’où l’inquiétude que l’on peut avoir, vu le nombre de francs-maçons dans le gouvernement Ayrault. Car si le monde est malade, c’est en partie grâce à eux : Manuel Valls, ministre de l’Intérieur ; Victorin Lurel, chargé de l’Outre-Mer ; Jean-Yves le Drian, ministre de la Défense ; Michel Sapin, ministre du Travail ; Jérôme Cahuzac, ministre du budget ; Frédéric Cuvillier, chargé des Transports et de l’Economie maritime ; Le directeur de cabinet du Premier ministre, Christophe Chantepy. Le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies ; Anne-Marie Escoffier, Décentralisation. Quant à l’ancien Grand Maître du Grand Orient Alain Bauer, ami de Valls et ex-conseiller sécurité de Nicolas Sarkozy, il garde de précieux relais dans les sphères du pouvoir, avec Renaud Vedel Place Beauvau et Cédric Lewandovski, directeur de cabinet à la Défense.
Source: effondrements.wordpress.com