WWIII : Les Chrétiens sont rattachés à Satan. ils deviennent le troupeau des GOYS rattaché à la Religion Mondiale du N.O.M. et Pierre Hillard se marre.
WWIII : Les Chrétiens sont rattachés à Satan et à la Franc-Maçonnerie qui ne cache plus son jeu à partir du 30ème degré, (sauf ceux qui ont rompus avec le Malin,) ils deviennent le troupeau des GOYS rattaché à la Religion Mondiale du N.O.M.(Nouvel Ordre Mondial) d'ATTALI, l'ATTILA des CHRETIENS. Pierre Hillard se marre. Mais ce n'est pas tout, Jésus Christ qui est venu accomplir la Loi Juive, et dont les Juifs actuels sont issus du mouvement Pharisien, que Jésus a combattu au Temple en vidant tous les Marchands du Temple de son Père, ce qui lui a valu d'être crucifié pour blasphème, travail au noir pendant le sabbat, et pour le terme "Roi des Juifs", Jésus n'est plus, puisque dans son ensemble, le Peuple Juif est le Peuple élu, il et lui-même le Messie, c'est lui le Peuple élu par la Loi Divine des Sionistes Athées qui veulent dominer le Monde puisque les Rothschild's sont les Maîtres de la Monnaie Mondiale, et le Maître de la Monnaie est le Maître du Monde.
La Nouvelle Religion Unique et véritablement Universelle devra s'appeler PHENIX ou PHOENIX du nom de la plus grande ville d'Arizona, ou de cet oiseau qui renait de ses cendre de la Religion d'Isis.
Sur toute la Terre, les religions commencent à se serrer la main, dans une Multinationale, aux juteux profits, qui rassemble tous les Cultes Païens, et toutes les Religions du Livre et toutes les Religions secrêtes. Les gourous sont Légions pour annoncer la Religion Unique, qui va satisfaire et réunir tous les Peuples, avec comme substitution, l'écologie et l'Amour de la Terre Mère, la Pacha Mama, la dévotion aux Saints Multiples, pour la Pluie, le Beau Temps, les Moissons, et surtout la dévotion aux Elus Bénis de Dieu-Lucifer, et la soumission sans conditions à une vie de misère, qui pourra être agrémentée par des avantages exclusifs, des lots de consolation, des cadeaux sans conflits d'intérêts, des voitures, des chauffeurs, des billets d'avions, des voyages, des spectacles, de la Grande Vie, des actions sans obligations, des Paradis fiscaux, des Places réservées, des Grades Acquis par Courtoisie, des Honneurs et des Gloires distribuées, d'Insignes cérémonies flatteuses pour d'illustres incompétents pédants, bref la Corruption habituelle de l'Ethique et des Privilèges, qui font de la République de Cérès et Perséphone l'épouse d'Hadès.
SELON LA PROPHETIE DE SAINT MALACHIE
La prophétie de saint Malachie ou prophétie des papes est un texte ésotérique de type prophétique et eschatologique qu’une tradition populaire attribue à l’évêque d’Irlande Malachie d’Armagh. Elle aurait été découverte vers 1590. Ce document de cinq pages a été publié pour la première fois en 1595, dans un ouvrage d’un moine bénédictin de Venise, Arnold de Wyon1.
Ce texte ésotérique, qui n’est pas utilisé par l’Église, donne lieu à de nombreuses interprétations et refait régulièrement surface dans les médias lors de chaque conclave.
D’après cette prophétie Benoit XVI était le 111è pape et son nom prophétique est “la gloire de l’Olivier”, il est aussi l’avant dernier pape selon cette même prophétie. Le prochain pape à venir sera “Pierre le Romain”, il sera le 112è et donc le dernier… Si bien sur une telle prophétie venait à se réaliser ! Mais c’est toujours intéressant de revenir dans l’ésotérisme en rapport à l’actualité. Bonnes réflexions à tous.
Nous somme actuellement dans le dernier registre de l'Eglise Catholique qui va bientôt s'appeler l'Eglise du PHENIX, avec le Pape François cet imposteur qui est suivi par tous les prêtres s'ils veulent avoir un apostolat valide et des subsides pour effectuer leur métier.
L’AVERTISSEMENT ET LA GRANDE TRIBULATION
...Je suis la Très sainte vierge MARIE L’IMMACULEE CONCEPTION ...Je viens à vous ce soir afin de vous dire à nouveau de prier pour le Pape... Il sera éclipsé, la bête s’accaparant le trône de Pierre pour un instant. (À l'élection de la Gloire de l'Olivier, qui devra fuir Rome).
...Mon JESUS d’AMOUR a donné au mois d’octobre un message très important à un de ses fils bien aimé...
Il s’agit d’une petite âme qui vit en Espagne et reçoit des confidences, sous forme de locutions. Cette personne, qui désire être ignorée, a un directeur spirituel, prêtre catholique. Notre Seigneur insiste pour que ses paroles et celles de sa mère soient diffusées à travers le monde.
LES SIGNES VOUS CONDUIRONT
Le Seigneur : Mon fils, Je suis ton Rédempteur et ton Ami...Mais Je veux te communiquer quelque chose que tu sens depuis quelques temps et que tu n’oses pas écrire : ce sont les signes qui vous conduiront jusqu’à la date du Grand Avertissement. Vous ne devez ni spéculer ni rechercher les dates, mais être attentifs aux signes et aux indications.
AVANT l’AVERTISSEMENT
1er SIGNE : LA FUITE DU PAPE A ROME ET SON FAUX ENTERREMENT, LA NOMINATION DE L'ANTIPAPE.
(Comme dans la prophétie Jean XXIII: La Gloire de l'Olivier : Ton règne sera grand et bref. Père, il sera bref mais il te mènera loin, dans la lointaine terre où tu es né et où tu seras enseveli. A Rome ils ne voudront pas te donner. Comme dans la prophétie du Pape Saint Pie X: « Ce que je vois est effrayant ! Sera-ce moi ? Sera-ce mon successeur ? Ce qui est sûr, c’est que le Pape quittera Rome, et pour sortir du Vatican, il lui faudra passer sur les cadavres de ses prêtres ».Comme dans les prophéties mariales. Ainsi à la mort de Benoît XVI, le schisme qui a présentement lieu à l'interne éclatera au grand jour avec l'apparition du grand frère d'orient qui fera trembler le monde par la croix renversée sans les lis)
Le Seigneur : Ce sera le premier des signes parlants et clairs dont vous devez tenir compte. Cela arrivera quelques jours avant la semaine précédant l’AVERTISSEMENT; Combien de jours avant ? Très peu, on pourrait les compter sur les doigts des deux mains.
Mon Vicaire sur la terre devra fuir le Vatican précipitamment, lui, si âgé ! Vous entendrez dire qu’on ne sait où il se trouve... Mais, vous entendrez dire aussi, qu’il est mort et qu’on va l’enterrer. Cela sera faux, il ne sera pas mort, il sera caché dans un endroit sûr, d’où il dirigera l’Eglise renaissante. On lui fera des funérailles officielles et fausses, avec une image de lui en cire, et l’on nommera un Pape qui attend déjà son moment. Cela est très douloureux pour Moi, Mon fils, cela me rappelle la trahison de Judas et le baiser donné à Gethsémani.
Ce faux pape donnera libre cours aux modernistes qui l’attendent depuis quelques temps. Ils achèveront de détruire ce qui reste dans mon Eglise : la tradition, le dogme, la liturgie, les dévotions à Ma Sainte Mère, les saints et les anges, ce sera pour peu de temps, les ciments de mon Eglise perdureront chez ceux qui sont fidèles à Ma Mère et dans la ligne de la vraie Grâce qui sera dans le pape légitime Jean-Paul II. Ce sera le schisme, qui existe actuellement, mais qui sera alors prononcé ouvertement par le faux pape pour ceux qui ne l’acceptent pas.
2ème SIGNE : L’EFFONDREMENT DE LA BOURSE ET LA PANIQUE FINANCIERE POUR 2018, le Bitcoin a chuté de moitié et le dollar est en chute libre, c'est donc pour bientôt, avec la mise en place d'une monnaie de singe numérique.
Pierre Hillard se marre, en voyant que les Cathos tradi de la Fraternité sacerdotale de Saint Pie X, issus du Maître Mgr Lefebvre, le fondateur Historique de la FSSPX, qui s'étaient fait excommuniés en 1988 pour avoir sacré quatre évêques traditionalistes sans l'aval de Rome, provoquant le premier schisme au sein du catholicisme depuis 1870, et réintégrés en 2006 par Benoît XVI, ayant la permission de dire la messe en latin en 2007, et devant garder la tête basse sans réagir, en 2018, pour mériter d'être toujours dans la communauté Catholique et obtenir des subsides de l'Eglise et le devoir de faire migrer le troupeau des brebis vers la falaise de l'oubli.
Ce que cache la Fraternité la Fraternité sacerdotale saint Pie X:
Hier soir, mercredi 29 avril 2015, sur D8, j’ai regardé « Histoire interdite : Seconde Guerre mondiale, les derniers secrets des nazis ». Ce documentaire relate, entre autre, comment un évêque catholique autrichien basé à Rome, Mgr Alois Hudal, évêque totalement acquis au national-socialisme, a exfiltré des nazis dès 1945 vers l’Amérique du Sud, notamment l’Argentine. J’ai cherché à en savoir plus aujourd’hui jeudi. Et j’ai découvert avec stupéfaction qu’il existe aujourd’hui en Argentine une congrégation catholique traditionaliste portant le nom Alois Hudal.
Venons-en aux faits. La Fraternité Sacerdotale St-Pie X (FSSPX), une communauté de prêtres traditionalistes fondée par l’évêque français Marcel Lefebvre, dispose de maisons et séminaires dans divers pays du monde, y compris en Argentine, où officiait l’évêque négationniste Williamson avant d’être écarté de ladite FSSPX. En Argentine, la FSSPX entretient des relations amicales avec l’organe d’information traditionaliste Sursum Corda, lui-même très ami avec la Congregacion Obispo Alois Hudal et les intégristes sédévacantistes de Crux et Gladius (voir liens vers sources en bas de page).
Le cas de l’Argentine est intéressant pour deux raisons. La première, c’est que le pape actuel est Argentin. La deuxième, c’est que l’évêque Alois Hudal mentionné plus haut était un évêque acquis au nazisme qui a fait passer des milliers de SS en Argentine lorsque celle-ci était dirigée par Peron, grand admirateur du nazisme et du fascisme. Cette même Argentine où sévissait, jusqu’à il y a quelques années, l’évêque négationniste Williamson, lorsqu’il était encore membre de la FSSPX. Cette même FSSPX qui fraternise avec Sursum Corda et la Congregacion Obispo Alois Hudal. Cette Congrégation qui, aujourd’hui, au 21e siècle, n’hésite pas à prendre le nom de l’évêque Alois Hudal acquis au nazisme il y a plus d’un demi-siècle.
Qui était Monseigneur Alois Hudal
Alois Hudal, né à Graz le 31 mai 1885 et mort à Rome le 13 mai 1963, était un évêque catholique autrichien, surtout connu pour avoir jusqu'au bout défendu une synthèse entre catholicisme et national-socialisme et pour avoir facilité la fuite de criminels nazis vers l'Amérique du Sud, notamment l’Argentine péroniste.
Cependant, les relations entre Monseigneur Hudal et le Vatican n’étaient pas bonnes. En effet, quand Hudal publia en 1937 son livre sur les fondements du national-socialisme, les autorités du Vatican se fâchèrent à cause de son éloignement radical des enseignements de l'Église.
Hudal remettait ouvertement en question la politique du Pape Pie XI et d'Eugène Pacelli, le futur Pape Pie XII, envers le national-socialisme, remise en question qui culmine avec l'encyclique « Mit brennender Sorge » dans laquelle le Vatican attaque ouvertement le national-socialisme. Cela dit, Mgr Alois Hudal n’a été ni démissionné, ni excommunié.
Après 1945, Alois Hudal devient l'un des principaux organisateurs de la filière d'exfiltrations des criminels nazis, avec passeport ou laissez-passer de la Croix Rouge Internationale, qui pouvaient ensuite être utilisés pour obtenir des visas, notamment pour l'Amérique du Sud. Alois Hudal était, à l’époque, actif dans le service pontifical des prisonniers de guerre (Commissione Pontificia d’Assistenza).
C'est grâce à cette filière qu’Adolf Eichmann (kidnappé en Argentine par le Mossad), Gustav Wagner, Erich Priebke, Eduard Roschmann, Franz Stangl, Walter Rauff, Klaus Barbie et Joseph Mengele ont pu échapper aux poursuites judiciaires. De même, certains nazis, comme l'autrichien Otto Wächter ont pu vivre à Rome après la guerre en toute impunité grâce à la protection d’Alois Hudal. Ces activités finissent par causer un scandale révélé en 1947 par un journal allemand.
A noter que la CEANA, la commission d'enquête historique sur les activités du nazisme en Argentine, conclut que les dignitaires du Vatican n'ont jamais encouragé ces exfiltrations. La CEANA a produit une lettre de Montini, le futur pape Paul VI, se montrant scandalisé par la suggestion de l'évêque Hudal d'accorder refuge aux SS. Selon les travaux de la CEANA, l'Église catholique aurait simplement été, comme la Croix-Rouge Internationale, tellement submergée par les flux massifs de réfugiés, qu'elle n'aurait pu procéder qu'à des enquêtes sommaires, aisément contournées par les anciens dignitaires nazis.
Encore aujourd’hui, cette question fait débat parmi les historiens. L’autre question qui se pose est de savoir si le pape argentin François, va réintégrer dans l’Eglise, la FSSPX, dont la Maison générale en Argentine semble entretenir d’amicales relations avec la Congregacion Obispo Alois Hudal (voir liens vers sources en bas de page).
Michel Garroté
Sources :
http://www.fsspx-sudamerica.org/fraternidad/prioratoargentina.php
http://sursumcordablog.blogspot.ch/2009/03/blog-de-la-congregacion-obispo-alois.html
http://congregacionobispoaloishudal.blogspot.ch/
http://cruxetgladius.blogspot.ch/
La Fraternité Saint-Pie-X d’Albano, en Italie, a célébré les funérailles du SS Erich Priebke mardi 15 octobre, mort vendredi 11 octobre à l‘âge de 100 ans à Rome.
Erich Priebke, 83 ans, devant une cour miiltaire de Rome. / GERARD JULIEN / AFP
La cérémonie privée s’est déroulée à 17 h 30. Elle a suscité de nombreuses protestations de la part des habitants d’Albano, en premier lieu de son maire Nicolas Marini : il a émis une ordonnance pour interdire le passage sur le territoire de sa commune de la dépouille du criminel nazi que le préfet de Rome a annulé !
Le transport de sa dépouille de la morgue (où il reposait depuis vendredi) à Albano ne s’est pas fait sans incidents. La police antiémeute a été dépêchée sur place pour permettre au convoi funéraire d’accéder à la chapelle de la Fraternité Saint-Pie-X. On ne sait toujours pas où l’ancien capitaine SS sera inhumé.
Marc-Antoine Pettinato, maire de la commune sicilienne de Fondachelli Fantina (province de Messine), a proposé d’inhumer Erich Priebke dans le cimetière de sa ville. « C’est un geste d’humanité chrétienne, une idée née en lisant les journaux. Priebke est mort. Il mérite d’être enterré, malgré tout ces crimes. Je suis surpris par l’attitude de l’Église dans cette affaire », a-t-il expliqué dans un communiqué de presse.
Erich Priebke est l’un des responsables du massacre des Fosses Ardéatines, le 24 mars 1944 à Rome. En représailles à un attentat qui tua 33 soldats allemands (l’attaque à la bombe via Rasella), les hommes du commandant SS Karl Hass et du capitaine SS Erich Priebke raflent 335 hommes (dont 75 juifs), les conduisent aux Fosses Ardéatines dans le quartier d’Ardeatino, en périphérie de Rome. Et ils les exécutent, d’une balle dans la tête. En Italie, le souvenir de ce massacre est toujours très vif et très traumatisant.
Réfugié en Argentine après la guerre, Erich Priebke a été extradé en Italie pour être jugé en 1995. Il vivait depuis près de 15 ans à Rome, assigné au domicile de l’un de ses avocats, l’argentin Jorge Oliveira, après avoir été condamné à la réclusion à perpétuité pour sa participation au massacre des Fosses Ardéatines.
Initialement prévu mardi 15 octobre dans une église de la capitale italienne, l’évêché de Rome a interdit des funérailles publiques : « L’autorité ecclésiastique (…) a jugé que la prière pour le défunt (…) doit être faite dans un cadre strictement privé », à savoir, « la maison qui abritait les restes du défunt. » L’Église « n’a pas nié la prière pour les défunts », elle a décidé que son « mode » devait être « différent de l’habituel, réservé et discret », rapporte la Repubblica.
L’avocat italien d’Erich Priebke, Paolo Giachini, a annoncé que cette cérémonie devrait se faire au domicile du défunt.
Dans un premier temps, Paolo Giachini avait annoncé qu’Erich Priebke serait enterré près de son épouse à San Carlos de Bariloche (Argentine) où il s’était réfugié après la guerre et avait vécu ensuite pendant plus de 40 ans. Mais le gouvernement argentin a refusé de recevoir sur son territoire le corps du criminel nazi. L’avocat italien a également mentionné la possibilité d’inhumer son client au cimetière militaire allemand de Pomezia, près de Rome. Une solution impossible puisque Erich Priebke n’était pas « mort au combat ».
Le maire de Rome, Ignazio Marino, a refusé l’idée d’un enterrement de Priebke dans la capitale italienne aux motifs d’ordre public, même si la loi prévoit normalement que les personnes décédées dans la municipalité puissent y être enterrées.
Une autre piste avait été avancée : celle de l’Allemagne. En tant que citoyen allemand, « il peut naturellement être inhumé en Allemagne », a expliqué un porte-parole du ministère des Affaires étrangères allemand. « Mais le gouvernement n’a ni motif ni raison de se prononcer sur le lieu où M. Priebke sera ou devrait être enterré. Il n’y a (…) aucune sollicitation officielle de la part des autorités italiennes. C’est une décision que les proches de M. Priebke doivent prendre », a-t-il ajouté.
Devant ce blocage, le président de la communauté juive de Rome, Riccardo Pacifici, avait proposé au début de la semaine : « S’il n’y a pas d’autre solution, alors il faudrait procéder à l’incinération et disperser ses cendres comme le furent celles de nos grands-parents ».
Une solution proposée également par le directeur du Centre Simon Wiesenthal, Efraim Zuroff : « la solution la plus efficace pour qu’il ne reste aucune trace d’un criminel nazi comme Priebke. Le cadavre de Hitler a été brûlé, et cela s’est révélé la solution la meilleure, parce que cela permettait la destruction de tout ce que le nazisme avait représenté », a-t-il déclaré au quotidien italien La Stampa.
Tous ces Cathos, sont comme le reste du clergé hostile à devoir constater la perdition de l'Eglise depuis sa création par l'Empereur Constantin en 313, faisant table rase des Eglises Antiques, et rassemblant tous les cultes Païens, dans cette nouvelle Eglise pour le meilleur et pour le pire.
La véritable Eglise de Christ, celle qui avait fait vœu de pauvreté, par lequel un homme ou une femme promet de suivre Jésus-Christ, tel qu'il vécut, c'est-à-dire dans une vie de pauvreté, chasteté et obéissance, n'est plus. Marie Madeleine, l'Apôtre des Apôtres est appelée la pécheresse, et est couverte d'abominations, par l'Eglise prude et dévote qui se prostitue, et par amour de l'humanisme, admet le vice et rejette la vertu.
Ci-dessus, la Vidéo de Pierre Hillard sur son atlas du mondialisme où pour la première fois, il va beaucoup plus loin dans ses explications, spécialement les 10 dernières minutes.
L'ennemi de l'Église, ce sont les juifs talmudiques, et non l'Islam. Leur objectif: le contrôle mondial par une monnaie mondiale unique. Maître du monde, et donc peuple prêtres ayant seul le droit de liaison entre le Dieu unique et les goys.
Au plan spirituel, l'Église est l'obstacle car elle permet cette liaison grâce au Christ. Il leur faut donc détruire l'acceptation de l'Incarnation de Dieu en Jésus, le principe de la Sainte Trinité, et la Transsubstantiation, pour réduire Jésus à un simple prophète tout comme Mahomet pour l'Islam, et faire entrer les chrétiens dans le troupeau des goys. Ils ont le pape en place pour faire ce travail maintenant.
«L'Église catholique vit l'un des moments les plus difficiles de ses deux mille ans d'histoire. Inutile de le cacher ou de faire comme si de rien n'était. Le pontificat de Jorge Mario Bergoglio marque le passage - nous ignorons à ce jour jusqu'à quel point - d'une Église dans laquelle la centralité du sacré était reconnue, même si elle s'accompagnait de nombreuses "distinctions" après le Concile Vatican II, à une autre qui est caractérisée et perçue de plus en plus comme une sorte d'"hôpital de campagne", où le "social" a fait irruption dans la dimension religieuse jusqu'à - dans certains cas - la dénaturer. (benoit-et-moi.fr)»
Au plan temporel, donc politique, ils ont réussi le coup avec la révolution et l'abolissement de la la France, fille aînée de l'Église, comme royauté de droit divin. Ils ont même leur nouveau monarque en Emmanuel Macron présentement.
Le peuple juif talmudique donc comme messie. C'est ce qu'ils attendent ou essaient de créer selon la branche à laquelle ils appartiennent.
Voici un résumé parmi tant d'autres sur ce fait dans une lettre de Baruch Levy à Karl Marx:
« Le peuple juif pris collectivement sera lui-même son Messie. Son règne sur l’Univers s’obtiendra par l’unification des autres races humaines, la suppression des frontières et des monarchies, qui sont le rempart du particularisme, et l’établissement d’une République Universelle qui reconnaitra partout les droits de citoyens aux Juifs. Dans cette organisation nouvelle de l’Humanité, les fils d’Israël répandus des maintenant sur toute la surface du globe, tous de même race et de même formation traditionnelle sans former cependant une nationalité distincte, deviendront sans opposition l’élément partout dirigeant, surtout s’ils parviennent à imposer aux masses ouvrières la direction stable de quelques-uns d’entre eux. Les gouvernements des Nations formant la République Universelle passeront tous, sans effort, dans des mains israélites, à la faveur de la victoire du prolétariat. La propriété individuelle pourra alors être supprimée par les gouvernants de race judaïque qui administreront partout la fortune publique. Ainsi se réalisera la promesse du Talmud que, lorsque les Temps du Messie seront venus, les Juifs tiendront sous leurs clefs les biens de tous les peuples du monde. »
2018, on se le rappelle, c'est l'année de la création de la nouvelle monnaie mondiale selon The Economist, soit le Phoenix.
Dans la mythologie, le phoenix renaît de ses cendres. Il faut donc que le système s'effondre pour qu'un autre puisse renaître. Ne sommes nous pas depuis un an dans la folie de la cryptomonnaie? Cette dernière n'est-elle pas dans une bulle comme tout le système financier gavé à la monnaie de singe, au crédit facile des taux d'intérêts à zéro ou même négatif? Que fait le puissant dollar américain depuis le début janvier? Il est en chute libre. Tout est en préparation.
D'ailleurs, l'accueil d'E.Macron au forum des tous puissants à Davos hier en révèle beaucoup:
« Soigner la France, l'Europe et le monde, telle est la prescription que le docteur Macron a proposé mercredi lors de son intervention au forum de Davos. Comme plat de résistance avant la venue vendredi de Donald Trump, il a promu une France conquérante, "de retour" dans une future "Europe puissance" et plaidé pour un nouveau « contrat mondial » face à la montée des égoïsmes nationaux.
... Emmanuel Macron a été accueilli comme une rock star, et aussi un peu comme l'un des rares à avoir le leadership susceptible de faire le poids face au président américain, qui interviendra vendredi après-midi.
Le sauveur du monde libre
Le président français a entamé son discours par une remarque sur la neige tombée en abondance à Davos cette année, comme un clin d'œil à la réalité du changement climatique : « vous n'avez pas invité de climato-sceptique à cette tribune ? », a-t-il lancé ironique à Klaus Schwab, fondateur du World Economic Forum qui l'a accueilli en présentant presque comme le sauveur du monde libre, du monde de Davos en tout cas, qui défend la mondialisation et le libre-échange. « Vous êtes le symbole de la politique dont nous avons besoin pour nous guider dans le nouveau monde » : c'est une déclaration d'amour que lui a fait Klaus Schwab, devant un parterre de dirigeants avec au premier rang le roi d'Espagne, mais aussi une importante délégation française, de Christine Lagarde, directrice générale du FMI à Isabelle Kocher, directrice générale d'Engie, en passant par Patrick Pouyanné (Total), Maurice Lévy (Publicis), Bernard Charlès (Dassault Systèmes) ou son ex-mentor Jacques Attali.»
Comme Pierre Hillard le spécifie, il y a une guerre ultime pour les parts du gâteau entre la faction Rothschild, avec une vision centriste anglo-saxonne, et Loubavitch, qui ont plutôt une vision de partage entre les territoires. C'est la finale. Le triomphe de la nouvelle tour de Babel. Il sera intéressant de voir ce qui ressortira de la rencontre entre E.Macron et le président américain demain à Davos.
Certains commentateurs peu scrupuleux des évangiles exploitent le fait que les récits de la Passion parlent « des juifs » pour accuser ceux-ci d’antisémitisme(1). C’est faire là une bien mauvaise lecture et oublier que l’expression se réfère alors aux chefs des juifs et non à l’ensemble du peuple. De plus, n’oublions pas que Jésus, sa famille, ses disciples, les premiers chrétiens, et certains des auteurs des évangiles étaient eux-mêmes juifs !
Si les récits du procès de Jésus décrivent négativement les grands prêtres, les pharisiens et le Sanhédrin des juifs, c’est parce qu’ils ont encouragé ou intenté un procès qui manquait de crédibilité et ne relevait d’aucune quête de justice authentique. Les autorités juives étaient tout simplement déterminées à se débarrasser de Jésus. Mais pourquoi ? La réponse est complexe, parce qu’elle doit relater leurs motivations religieuses et politiques.
Des motifs peu avouables
À travers ses paroles et ses actions, Jésus s’est présenté, non sans ambiguïtés, comme le véritable interprète de la Loi (la Torah) et bâtisseur du temple. Il a ainsi relativisé l’autorité des chefs du peuple, ce qui ne pouvait que les irriter. Plus encore, son succès les rendait jaloux. Lors de son procès, les chefs d’inculpation ont donc mentionné certains aspects controversés du ministère de Jésus, mais avec une grande confusion et une mauvaise foi certaine(2). C’est certainement pour cela que Jésus a refusé de répondre aux accusations portées contre lui, jusqu’à ce que le grand prêtre l'interroge sur sa prétendue messianité : « Est-ce que tu es le Messie, le Fils du Dieu que nous adorons ? »(3). Ce à quoi Jésus lui a répondu : « C’est moi », suivi d’une prédiction sur sa propre justification(4). Jésus leur avait rendu le travail fort simple. Ils pouvaient maintenant l’accuser d’être un faux prophète coupable de blasphème, ce qui le rendait passible de mort selon leur loi(5).
Lorsque religion et politique se mêlent
Mais l'évangile de Jean révèle qu’au-delà d’une démarche religieuse, les autorités juives étaient anxieuses de l’avenir politique de leur nation. Elles craignaient en effet que l’activité de Jésus encourage le peuple tout entier à mettre sa foi en lui(6). En un sens, cette crainte était légitime. Les masses attendaient un messie qui viendrait délivrer Israël du joug des Romains. Leur foi en lui aurait été (mal) placée en un messie guerrier. Or, un tel mouvement aurait sans aucun doute été perçu par Rome comme une révolte, ce qui aurait mis en danger le temple, et la nation tout entière.
Voilà pourquoi les chefs des juifs, qui ne possédaient pas l’autorité de mettre un accusé à mort dans l’empire romain(7), ont emmené Jésus devant Pilate avec ces accusations : « Nous avons trouvé cet homme en train de pousser notre peuple à la révolte. Il empêche les gens de payer l’impôt à l’empereur. Il dit qu’il est lui-même le Messie, un roi. » (8). Pilate n’avait pas la réputation d’être un gouverneur honnête. Tout porte d’ailleurs à penser que la justice ne l’intéressait pas et qu’il prenait un malin plaisir à faire l’inverse de ce que les chefs des juifs demandaient. Voilà pourquoi il a tout d’abord refusé que Jésus soit exécuté(9). Il savait que ceux-ci avaient leurs propres raisons de vouloir la mort de Jésus et que sa soi-disant sédition ne tenait pas la route. Plus encore, Pilate était persuadé de l’innocence de Jésus. Mais, devant l’insistance des autorités juives qui rameutaient les foules, il a pris peur d’être lui-même accusé de trahison envers l’empereur(10). Nerveux pour son avenir, il a laissé le jeu politique prendre le pas sur la justice. On a souvent pensé qu’il était tout simplement coincé entre les juifs d’une part et l’empire de l’autre. Mais la scène le montrant se laver les mains est d’un cynisme parfait(11). En tant que gouverneur, il est responsable de la mort de Jésus car il aurait pu éviter cette mascarade de procès, et une exécution scandaleuse.
Un condamné consentant
La crucifixion de Jésus résulte donc des accusations mensongères des juifs comme de l’injustice des Romains, en la personne de Pilate. Mais attention, Jésus n’a pas été emmené à la croix en criant et en se débattant. Non, Jésus est allé à sa mort volontairement, délibérément. En fait, depuis le tout début de son ministère, il s’était consacré à une telle destinée, par fidélité envers Dieu, son Père(12). Ainsi, au-delà des accusations portées contre Jésus, nous ne pouvons ignorer la dimension selon laquelle le Père, par amour pour le monde, a envoyé son Fils, qui s’est abandonné entre les mains de ses bourreaux pour le salut de son peuple et bien au-delà(13).
(1) Encore récemment, J. D. Crossan, Who Killed Jesus? Exposing the Roots of Anti-Semitism in the Gospel Story of the Death of Jesus, San Francisco, CA, Harper San-Francisco, 1995.
(2) Marc 14.57-61.
(3) Marc 14.61.
(4) Marc 14.62, citant le Psaume 110.1 et Daniel 7.13.
(5) Matthieu 26.65-68 ; Marc 14.64-65. Voir également Deutéronome 13.
(6) Jean 11.45-53.
(7) Jean 18.31. Certains pensent que ce verset ne fait référence qu’au supplice de la crucifixion, et non à la peine de mort en général.
(8) Luc 23.2 ; Matthieu 27.11 ; Marc 15.2.
(9) Jean 19.21-22.
(10) Jean 18.38-19.16.
(11) Matthieu 27.24-26.
(12) Jean 11.17-18.
(13) Galates 2.20 ; Romains 8.32.
Le clash historique entre Saint Pie X et Théodore Herzl
Hitler était un illuminati sous l'emprise des 72 démons de la goetie
Le ministre des Affaires Etrangère de la République de Weimar, Walther Rathenau tomba sous les coups de feu de pangermaniste le 24juin 1922. Ces assassins appartenaient à une société secrète appelée la« Sainte Vehme », C’est du moins ce que concluait l’enquête.
Pendant sa courte agonie, Walter Rathenau prononça cette phrase énigmatique
‘‘ Les soixante-douze qui mènent le monde ’’
La phrase resta inachevée. C’est sa compagne Irma Staub qui auparavant avait été espionne durant la première guerre mondiale, qui rapporta les derniers propos de Rathenau. Ce dernier était aussi le dirigeant d’une importante société : la Société Générale d’Electricité mais il était aussi Juif, de plus il avait pris la direction d’un petit groupe de sage. Ce groupe tentait de trouver des solutions aux graves problèmes économiques et sociaux que connaissait l’Europe à cette époque. Il fit aussi un discours le 4 mars 1919 à Washington où il parla ouvertement des fameux 72. On en trouve également la trace dans un de ses livres« Ecoute Israël ». Il est probable que W.
Rathenau avait découvert ce qui se tramait dans les coulisses du monde et certainement qu’il avait du rencontrer un ou plusieurs de ces 72. Sans doute avait-il refusé de servir la cause de ces derniers et du même coup signa son arrêt de mort, il ne sera pas le seul.
Un autre exemple atteste le passage des 72 mystérieux Inconnus le 17 juillet 1918. Dans la maison Ipatieff à Iekaterinbourg, lors du massacre de la famille impériale, on retrouva une icône déposée sur le corps de la tsarine. Cette icône représentait saint Séraphin de Sarov, sur l’auréole on n’y avait gravé à l’aide d’une pointe les mots suivants : ‘‘ S.I.M.P. The green Dragon. You were absolutly right. ’’
(Le Dragon Vert. Vous aviez pleinement raison)
La deuxième inscription était composée de seulement deux mots : ‘‘To late’’ (trop tard !)
Le sigle S.I.M.P., signifie : Supérieur Inconnu Maître Philippe tandis, que les 6 points en cercle représente le sceau de Salomon et correspond à la signature du Martinisme.
Maître Philippe de son vrai nom Nizier-Anthelme Philippe[10], est une bien étrange personnalité. Il tenta de faire fortune à Lyon mais, c’est grâce à ses pouvoirs psychiques très étonnant qu’il sera remarqué par un certain Papus (le docteur Encausse) et qu’il deviendra le conseillé intime de la famille impérial.
Il est probable que ce Maître Philippe avait compris qui était les Supérieurs Inconnus, peut être en était-il même proche. Toujours est-il, qu’il fût remplacé par le fameux Raspoutine qui lui, recevait d’innombrables télégrammes chiffrés en provenance de Suède et qui étaient tous signés « Le Vert ».
On sait aujourd’hui que c’est en Suède que ce trouvait le centre occulte de l’Ordre du Dragon Vert et que ce centre est directement relié aux fameux 72. On sait par ailleurs, qu’un de ces membres était le Baron Otto von Bautenas, bras droit du président du Conseil Waldemaras, le chef du mouvement fasciste des « Loups d’Acier ».
Le meurtre de Sarajevo, le massacre de la famille impérial, l’assassinat de Walter Rathenau, l’effondrement et le sabotage de l’économie Européenne, la propulsion au pouvoir de Hitler par des conspirateurs ne sont pas du tout le fruit du hasard. Il faut savoir que dans le même temps, les révolutionnaires russes et plus tard les nazis trouvaient des appuis financiers à Londres, à Stockholm et à Paris. Certains de ces financiers voyaient même au-delà du simple profit comme ce magnat du charbon de la Ruhr, Emil Kirdorf qui finança le parti nazi. C’est lui également qui finança les agitations de la Ruhr en 1923, c’est encore lui qui, travailla tout au long de la guerre et encore après, avec O. Aschberg et la Nya Bank de Stockholm qui étaient entre autre les financiers de la révolution bolchevique. Un autre industriel extrêmement riche, Kurt Luedecke payait beaucoup de membre de la Thulé.
On voit de plus en plus clairement comment les faits sont reliés entre eux et comment est constituée la hiérarchie à cette époque.
En partant du haut nous avons les 72 Supérieurs Inconnus qui donnent les ordres et manipulent, vient ensuite l’Ordre du Dragon qui semble être un centre de coordination et de décision, ensuite l’OTO qui apparaît comme étant un centre de recrutement et de sélection. La Golden Dawn quant à elle, semble être le centre d’initiation, la société Thulé ressemblerait plutôt à un centre opérationnel ce qui, ne l’empêcha nullement de s’adonner à des pratiques magiques, la Sainte Vehme est une société secrète qui elle, opère sur le terrain en tant que justicier. Justice disons-le qui se réclame de l’autorité traditionnelle Germanique.
Sous cette hiérarchie déjà bien établit et sous la surveillance de la Sainte Vehme venaient se greffer des sous sociétés secrètes pouvant prêter mains forte en cas de besoin. Citons par exemple « L’Ordre des Allemands le Marteau de WOTAN, les chevaliers du Saint-Graal, les frères des Nibelungen, l’Ordre de la Foi Allemande les Compagnons de l’Anneau Magique, l’organisation Rossbach. le Group Consul, l’Oberland, Anloch. »
Leurs programmes se ressemblent tous, rendre à l’Allemagne la grandeur et la foi en son destin historique, chasser les juifs, les romanichels les Francs-maçons, les prêtres et les églises, rompre avec le christianisme romain, veiller à la pureté de la race, abattre tous ceux qui seraient opposés à ces objectifs. Toutes ces organisations seront souvent protégées par l’autorité militaire en générale et en particulier par le général Ludendorf Notons qu’ils étaient également subventionnés et armées.
Nous avons déjà insisté sur le fait que les 72 avaient des moyens puissants pour agir, des moyens qui dépasseraient même notre entendement. Hitler a probablement subit des manipulations d’ordre mentales, il n’était plus le maître de sa propre personne et de son libre arbitre ? On peut parfaitement établir ce constat, lorsque l’on étudie attentivement le livre de
Herman Rauschning[11]. Rappelons que ce dernier était le chef national-socialiste du
Gouvernement de Dantzig, avant de s’exiler aux Etats-Unis. Sur plusieurs faits, Adolf Hitler semble être ensorcelé par des visions effroyables, voir même par des phénomènes de persécution qui souvent lui infligèrent des souffrances psychiques insupportables.
En voici quelques exemples :
(..) chacun se rendait compte qu’il (Hitler) s’abandonnait à des influences maléfiques dont il n’était plus le maître. Alors qu’il se croyait encore l’arbitre de son propre destin, il s’était déjà laissé prendre dans une sorte d’envoûtement satanique dont il ne pouvait plus se dégager ’’ (…) on voyait au rang suprême une sorte de possédé, de maniaque, chaque jour plus absorbé dans son idée fixe, et impuissant. (…) une personne de son entourage m’a dit qu’il s’éveillait la nuit en poussant des cris convulsifs. Il appelle au secours. Assis sur le bord du lit, il est comme paralysé. Il est saisi d’une panique qui le fait trembler au point de secouer le lit. Il profère des vociférations confuses et incompréhensibles. Il halète comme s’il était sur le point d’étouffer
Toujours extrait du livre d’Herman Rauschning, un autre exemple fait penser qu’Hitler était vraiment l’instrument et la proie des 72 :
La même personne m’a raconté une de ses crises avec des détails que je me refuserais à croire, si ma source n’était aussi sûre. Hitler était debout, dans sa chambre, chancelant, regardant autour de lui d’un air égaré. « C’est lui ! C’est lui ! Il est venu ici ! » Grommelait-il. Ses lèvres étaient bleues et la sueur ruisselait à grosses gouttes.
Subitement, il prononça des chiffres sans aucun sens, puis des mots et des bribes de phrases. C’était effroyable, il employait des termes bizarrement assemblés, tout à fait étranges. Puis de nouveau, il était redevenu silencieux, mais en continuant de remuer les lèvres.
On l’avait alors frictionné, on lui avait fait prendre une boisson. Puis subitement il avait rugi :
« Là, là ! Dans le coin ? Qui est là ? » Il frappait du pied le parquet et hurlait. On l’avait rassuré en lui disant qu’il ne se passait rien d’extraordinaire et alors il s’était calmé peu à peu
Hitler lui-même, devait déclarer un jour à Rauschning :
Le Surhomme vit au milieu de nous. Il est là (..) Cela vous suffit-il ? Je vais vous dire un secret ;
J’ai vu le Surhomme. Il est intrépide et cruel. J’ai eu peur devant lui
Rauschning ne lût pas le seul à parler de cette façon et d’autres confirment bien qu’Hitler était en relation avec ce Surhomme, notamment son initiateur, Dietrich Eckart. Peu avant de mourir en 1923, il confiera à Haushofer et Rosenberg :
Suivez Hitler ! Il dansera, mais c’est moi qui ai écrit la musique. Nous lui avons donné les moyens de communiquer avec eux. Ne me regrettez pas. J’aurai influencé l’histoire plus qu’un autre Allemand
Le témoignage d’Otto Strasser sur Hitler est aussi intéressant :
Ce personnage falot en imperméable et à moustache ridicule, tout à coup se métamorphosait en orateur, mû en archange éloquent… puis l’archange disparaissait et restait un personnage flou, qui se rasseyait « baigné de sueurs, l’oeil vitreux »
Nous noterons encore au passage que Rudolf Hess était lui aussi membre de l’Ordre Nouveau des Templiers depuis son adolescence. Il pratiquait depuis longtemps des rites de magie et il poussa Hitler avec insistance, à pratiquer divers rites occultes.
Il existe encore beaucoup de témoignages sur Hitler et sur l’emprise de vampirisation qu’il vécut. Mais derrière cette appropriation de l’esprit d’Hitler, ce cache des Ordres Secrets tous nés de par la volonté des 72 Supérieurs Inconnus. Ces confréries occultes regroupent des riches financiers parvenus à une puissance et à une somme de connaissance telle que jusqu’à maintenant, n’était soupçonnée par personne. Cette puissance leur à conféré le droit de diriger la destinée du monde depuis des siècles.
Un Ordre paraît correspondre à de telles critères, c’est l’Ordre des Illuminés de Bavière (et non les fameux « Illuminati » qui ont été détruits par le Vatican). Il lût fondé le 1er mai 1776, par Adam Weishaupt, fils d’un professeur de droit a l’Université de Ingolstadt, en Bavière. Weishaupt fit ses études chez les Jésuites puis il entra en Faculté, où il enseigna le droit canon. Weishaupt fonda l’Ordre des Illuminé en calquant exactement, celui des Jésuites et non pas sur le modèle de la Franc-maçonnerie comme cela fût mentionné à plusieurs reprises. Weishaupt et d’autres membres de son Ordre avaient infiltrés des loges maçonniques où, ils tentèrent avec un certains succès, d’influencer les politiciens qui en étaient membres. Les Jésuites qui n’avaient pas accepté que les Illuminés ce soient inspirés de leur Ordre, commencèrent à lancer des accusations de conspiration contre Weishaupt. L’Ordre des Illuminés, lût alors interdît en juin 1784 et Weishaupt mourut à Brême le 6 mai 1830 dans une profonde solitude. Cet Ordre n’a joué aucun rôle dans la monté du nazisme, il n’avait rien de satanique et ne pratiquait pas de magie particulière. Mais les Illuminés de Bavière et Weishaupt en particulier avaient réussi à devenir des conseillés privilégier des grands de ce monde, ils eurent pendant un temps une influence importante. Plusieurs membres de sociétés secrètes d’hier et d’aujourd’hui affirment que l’Ordre des Illuminés ne s’est jamais éteint complètement et qu’actuellement, il est plus actif que jamais. Ces propos sont relayés par certains spécialistes de la question d’on René Alleau[12] qui, affirme que les Illuminati existeraient depuis des millénaires, nous y reviendront.
Est-ce à dire qu’il y a une relation entre le Temple de Jérusalem, les Illuminés et la découverte de secret grandiose permettant de s’adjoindre, des pouvoirs autorisant un contrôle sur les affaires temporels du monde ? Avant de répondre à cette question, on ne manquera pas de faire au moins la relation entre la création des Chevaliers du Temple, les commanderies et leur éblouissante réussite financière, ainsi que leur puissance et la continuation des Ordres Templiers jusqu’à nos jours. Jean Marquès-Rivière[13] a écrit sur l’aspect secret et politique de l’Ordre du Temple.
Il semble bien qu’un groupe exista au sein des Templiers qui possédaient des buts secrets de puissance, soutenus par un ésotérisme rigoureux, l’un devant aider et fortifier l’autre. Ce grand dessein était de réaliser à leur profit l’unité du monde occidental, en devenir les dirigeants occultes.
C’est ainsi qu’il n’y a rien d’étonnant à voir les Templiers mettre la main sur les industries, ils développèrent ensuite toutes les infrastructures nécessaires permettant ainsi de développer par la suite les échanges commerciaux entre l’orient et l’occident, entre le Sud et le Nord.
Qui étaient ces premiers Templiers ? Historiquement, les premiers furent neuf chevaliers dont le plus connu était Hugues de Païens. Ceux-ci fondèrent un Ordre monastique et chevaleresque qu’ils intitulèrent « Templier ou Milice du Temple ». Ils reçurent dès lors, un abri qui appartenait au palais du roi franc de Jérusalem et qui se trouvait être sur l’ancien temple de Salomon.
Le 18 mars 1314, tous les Templiers on ne connaîtra jamais le nombre exacte, furent arrêtés et passèrent sur le bûcher. Les richesses qu’ils possédaient furent en grande partie attribués aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Ordre qui rappelons-le, deviendra plus tard celui des Chevaliers de Malte.
C’est Philippe le Bel qui mis fin à l’épopée extraordinaire des Templiers, il voulu également mettre la main sur les fabuleux trésors du Temple, mais il ne trouva rien. Les grands maîtres du Temple semblent avoir été prévenus à temps. De plus, le Bel avait lui-même emprunté de très grosses sommes d’argent aux Templiers, mais ce qu’il lui importait avant tout, c’était de mettre fin au pouvoir grandissant que connaissait les Templiers tant sur le plan de l’église, que sur le plan politique.
Il apparaît plus clairement que les grands maîtres et certainement le groupe politique de l’Ordre, ont réussi à échapper au bûcher même Si parmi eux Jacques de Molay et trente-sept autres de ses Chevaliers périrent par le feu. Ces survivants étaient-ils au nombre de 72 ? et, posons cette question : n’étaient-ils pas aussi des descendants des premiers Illuminés qui seraient apparut voici plusieurs millénaires ? Cela ne nous paraît pas du tout impossible au regard, de la puissance qu’ils détenaient déjà et aux secrets d’Etat qui étaient en leur possession il est concevable qu’ils continuèrent à faire pression sur l’histoire. Plusieurs spécialistes de la question n’ont pas hésité à faire une filiation entre les survivants et héritiers de l’Ordre du Temple et les Frères de la Rose-Croix qui se sont manifestés pour la première fois en 1615, en publiant un ouvrage au titre révélateur : la « Réforme Universelle ». Une survivance apparemment tenace fait qu’aujourd’hui, certains Ordres Templiers et autres Frères Rosicruciens ceux-là, persistent à rester influent dans des secteurs comme la politique et la haute finance.
Une autre référence très courte mais assez pertinente est faite au nombre 72 par Boris Mouravieff dans son enseignement « Gnôsis[14] » :
La salle du Sanhédrin représente l’Alliance du ciel et de la Terre : aussi est-elle en forme de cercle, la moitié en est encastrée dans le Temple, l’autre moitié au dehors Et les soixante-douze membres de cette haute Assemblée symbolisaient les soixante-douze langues, des temps qui ont suivi celui de la Tour de Babel, donc l’humanité tout entière, divisée et dispersée, symboliquement rassemblée ici.
Dans ce cour paragraphe de Mouravieff qui, n’en dira pas plus, on notera que siège dans le Sanhédrin soixante-douze membres devant symbolisé les soixante-douze langues. Or, il se trouve que nos 72 Supérieurs Inconnus voyagent beaucoup et parle autant de langue que nécessaire et côtoient autant d’étranger pouvant leur apporter leur contribution indispensable au plan qu’ils se sont fixés. On aura remarqué également, que leur but est de rassembler se qui est dispersé et nous verrons plus loin que cet objectif reste toujours d’actualité. Précisons toutefois, que le fait de vouloir rassembler les nations n’a pas pour objet de vouloir épanouir ce monde, mais bien de vouloir en contrôler le mouvement. Il semblerait donc évident que les 72 qui nous préoccupent actuellement, ont délibérément reproduit des scènes du Sanhédrin comme s’ils se mettaient à reproduire l’histoire. Probablement, nos 72 s’inspirent du passé et certainement qu’ils suivent un profil religieux et hautement mystique, leurs actions sont imprégnés entièrement d’un ésotérisme profond, dès lors comme nous l’avons précédemment écrit, ce pouvoir occulte ne peu se passer le flambeau que de génération en génération et par une filiation qui soit sans contestation aucune et rigoureusement mise à l’épreuve. L’efficacité des 72 à travers le monde prouve combien leurs héritiers et successeurs ont réussi à être chaque fois à la hauteur de leur tâche, ce qui démontre qu’ils ont été tout au long des siècles sans faille. Aujourd’hui encore, ceux-ci sont d’une redoutable efficacité sur tous les plans.
En ce qui nous concerne, la première référence de ces 72 fameux génies semble être une fois de plus, la possibilité de s’attribuer le pouvoir et la force qu’ils incarnent. Comme dans tout ce que nous avons déjà pu lire, le maître mot reste la domination. Il n’y aurait donc rien d’étonnant à ce que nos 72 Supérieurs Inconnus, se soit également inspirés des traditions Kabbalistes pour s’octroyer des pouvoirs ou s’affubler des noms appartenant à ces génies.
Il existe plusieurs types de sociétés secrètes et chacune d’elles possèdent ses propres caractéristiques. Elles ont toujours servis des causes aussi diverses que variées, et il serait nécessaire pour ce qui va suivre plus loin dans ce livre, d’en comprendre au moins le sens et la structure.
Voici une petite étude à ce sujet :
La société secrète constitue un phénomène universel. Présente depuis l’antiquité, elle s’est manifestée dans tous les domaines de la vie, que cela soit la sphère politique, la sphère économique, la sphère militaire, la sphère scientifique, la sphère religieuse, la sphère artistique, notamment littéraire, ou ce qui nous concerne ici, la sphère de la Tradition et de l’occultisme[15].
Dans le domaine politique par exemple, bien des mouvements politiques internationaux sont nés dans des arrière-salles où quelques obscurs inconnus se réunissaient pour changer le monde. Dans le domaine artistique, certains cercles surréalistes ont fonctionné comme des sociétés secrètes. La société secrète emprunte des formes multiples, plus ou moins adaptées aux temps ou aux espaces qu’elle traverse. Des enfants aux vieillards, tous les éléments de nos sociétés ont eux, et ont encore recours, à la société secrète.
Nous pourrions également parler des 72 génies de la Kabbale. Malgré toutes les spéculations et les commentaires des uns et des autres, on n’en sait toujours pas plus à ce sujet. Il s’agit pour certains de rituels magiques, pour d’autres, les 72 génies seraient plutôt des extraterrestres provenant des profondeurs spatiales pour enseigner les humains. Toujours est-il, que ceux qui se servent de la Kabbale, s’en servent pour invoquer les esprits de ces 72 génies ce qui, leur donnera soit le pouvoir, soit la vie éternelle et comme nous le verrons plus loin, cet élément nous paraît le plus important. Selon ces pratiquants, les génies seraient des êtres dont l’émanation métaphysique se situerait entre la divinité et l’homme.
La société secrète constitue le vecteur habituel de manifestation du monde de l’occultisme, de la Tradition, de l’Initiation. Ce monde s’interpénètre avec tous les registres d’expression de la nature humaine. Le sublime côtoie le médiocre, le vulgaire côtoie la beauté, l’horreur, la vérité, le mensonge, la connaissance, dans un paradoxe vivant qui permet l’émergence de l’Etreté. Le Divin s’élève au beau milieu de la fange. La fascination de l’humain pour le secret, sa tendance naturelle à l’auto-hallucination et au merveilleux ont recouvert la notion de société secrète d’un vernis de superstitions et de croyances qui rend sa compréhension difficile. Notre époque moderne, par la multiplication de sociétés secrètes à prétention initiatique, qui ne s’avèrent à l’examen ni secrètes, ni initiatiques, a généré une confusion sans précédent sur la scène déjà obscure de l’occultisme et attiré l’attention, outre des chercheurs traditionnels ou universitaires[16], du grand public et des journalistes à sensation[17], comme des services gouvernementaux de la plupart des états[18].
Il est difficile de donner définition précise et satisfaisante de la société secrète. Nous dirons simplement que la société secrète, dans le domaine traditionnel, se caractérise, par le secret, par le caractère fermé ou clandestin, mais également par le rite. Entendons par rite, l’existence d’un corpus doctrinal et d’une praxis initiatique. Cela n’implique pas nécessairement des pratiques rituelles comme nous en avons, par exemple, dans les sociétés maçonniques, chevaleresques, rosicruciennes connues, mais plutôt la présence d’une technicité d’éveil, de libération, précise et vérifiable, véhiculée en général par un corpus doctrinal exprimé dans un modèle du monde particulier au milieu d’origine de la dite société (hermétisme, martinisme bouddhisme, shivaïsme,.).
Nous examinerons donc l’ensemble de ce qui est généralement recouvert par l’expression « société secrète, à savoir toute organisation se présentant comme spirituelle, ésotérique, occultiste, traditionnelle, initiatique, ou toute autre qualification s’y rapportant.
Toutes les sociétés secrètes traditionnelles se prétendent initiatiques, Bien peu le sont, la plupart d’entre elles assument d’autres fonctions que la fonction initiatique, fonctions que nous présenteront ultérieurement. La notion générale d’initiation recouvre en effet plusieurs niveaux de logique, dont certains ne traitent pas de l’initiation dans son sens ésotérique. Dans ce dernier sens, l’Initiation est une question technique. Il s’agît de conquérir des états d’êtres non humains, ou plus qu’humains[19], activant en fait ces centres, appelés étoiles dans certaines écoles, roues dans d’autres, chakras le plus souvent, avant de procéder à une série de séparations (du corps saturnien le corps lunaire, puis le corps mercuriel, jusqu’au corps solaire selon l’hermétisme) pour la constitution finale du corps de gloire (ou corps christique, ou corps arc-en-ciel, etc.), activité mise en oeuvre et déployée par des technicités précises, souvent dangereuses, de rappel de soi, de haute théurgie, d’alchimie interne, technicités d’accès à l’Etreté ou Absoluité. Nous rejetterons la trop pratique croyance selon laquelle « la vie est initiation ». Ceci est sans doute vrai, encore faudrait-il qu’il s’agisse d’une vie totalement consciente et unifiée. Surtout, c’est l’un des arguments mis en avant par ceux, trop nombreux, qui inventent de toute pièce de soi-disant systèmes initiatiques remontant à l’antiquité. Dans un sens plus large et cependant acceptable, l’initiation est science du changement. Le véritable changement, c’est-à-dire le passage d’un niveau logique à un niveau immédiatement supérieur comporte une mutation, un saut, une discontinuité ou transformation, du plus grand intérêt théorique, et de la plus haute importance pratique, car il permet de quitter un monde reconnu comme ombre, pour entrer dans un autre, plus « réel », même s’il n’est pas la « Réalité ».
L’histoire des sociétés secrètes est riche en comportement contradictoire, en effet, en l’absence de réelle technicité d’Initiation, l’individu placé dans l’impossibilité de s’élever au niveau logique supérieur, passe à l’opposé de sa position initiale. Il demeure que passer d’un système à son opposé n’est pas un changement. Ceci illustre, théoriquement, le mythe occidental selon lequel, l’initié doit se rendre au-delà des deux colonnes opposées, situées à l’entrée du sanctuaire.
Cette notion d’ingérence s’exprime parfaitement dans les structures pyramidales des sociétés secrètes, et dans l’articulation naturelle qui existent entre les trois grands types fonctionnels de sociétés secrètes.
Les sociétés secrètes assument trois fonctions particulières nettement distinctes, mais complémentaires : exotérique (ou exo-ésotérique selon certains auteurs), mésotérique ésotérique.
Cette fonction, en fait exotérique, est d’abord de nature thérapeutique. Elle consiste a rétablir chez l’individu l’alignement, la congruence, entre le corps, l’émotion et la pensée. Il s’agit bien de réconcilier l’individu avec lui-même et son environnement. Cette fonction implique également une composante culturelle non négligeable, l’individu est invite a étudier, méditer, et si possible intégrer, un modèle du monde, qualifié de spirituel, qui lui permet de trouver une réponse satisfaisante pour le mental, rassurante pour le coeur, aux grands problèmes que la vie ne cesse de lui poser. Cette fonction, importante pour l’individu qui en bénéficie, est également régulatrice sur le plan social. En aidant l’individu à trouver un équilibre dans le monde tel qu’il est, les sociétés secrètes de ce type favorisent la stabilité et la lente évolution des systèmes politiques, économiques et sociaux dominants.
La totalité des sociétés secrètes extérieures, mais peut-on parler encore de sociétés secrètes, assument cette fonction exo-ésotérique.
Ces sociétés, moins nombreuses et plus restreintes, constituent déjà de véritables écoles traditionnelles. Elles s’efforcent en effet de donner à leurs élèves les qualifications de base indispensables pour prétendre aborder une voie réelle. Ces qualifications peuvent varier selon les courants traditionnels, ainsi sur le courant rosicrucien, la connaissance et la maîtrise du Trium Hermeticum sera exigée, à savoir l’alchimie, l’astrologie et la magie, selon l’axe de la kabbale (des organisations spiritualistes, comme l’A.M.O.R.C., n’abordant pas la question fondamentale de l’alchimie opérative, ni aucune des autres sciences d’Hermés, ne peuvent en aucun cas se prétendre rosicruciennes). Deux constantes caractérisent cette fonction et se retrouvent invariablement dans toutes les organisations de ce type :
L’expérimentation de l’univers comme « réponse » à une volonté dirigeante. Obtenir réponse de l’univers est en effet la qualité, Si ce n’est la définition, du Mage, celui qui étant volonté, fait répondre l’univers. La recherche de l’état objectif. Afin d’illustrer ce que nous entendons par état objectif ou éveil, nous citerons ici un extrait de l’ouvrage d’Ouspensky[20] :
Le troisième état de conscience est le rappel de soi, ou conscience de soi, conscience de son être propre. Il est habituellement admis que nous avons cet état de conscience ou que nous pouvons l’avoir à volonté. Notre science et notre philosophie n’ont pas vu que nous ne possédons pas cet état de conscience et que notre désir seul est incapable de le créer en nous-mêmes, si net que soit notre décision. Le quatrième état de conscience est la conscience objective. Dans cet état, l’homme peut voir les choses comme elles sont. Parfois, dans ses états inférieurs de conscience, il peut avoir des éclairs de cette conscience supérieure. Les religions de tous les peuples contiennent des témoignages sur la possibilité d’un tel étal de conscience, qu’elles qualifient « d’Illumination », ou de divers autres noms, et dise ut indescriptible. Mais la seule voie correcte vers la conscience objective passe par le développement de la conscience de soi. Un homme ordinaire artificiellement amené à un état de conscience objective et ramené ensuite à son état habituel, ne se souviendra de rien et pensera simplement qu’il a perdu connaissance un certain temps. Mais, dans l’état de conscience de soi, l’homme peut avoir des éclairs de conscience objective et en garder le souvenir. Le quatrième état de conscience représente un étal tout à fait différent du précédent, il est le résultat d’une croissance intérieure et d’un long et difficile travail sur soi. Cependant le troisième état de conscience constitue le droit naturel de l’homme tel qu’il est et, si l’homme ne le possède pas, c’est uniquement parce que ses conditions de vie sont anormales. Sans exagération aucune, on peut dire qu’à l’époque actuelle le troisième état de conscience n’apparaît en l’homme que par de très brefs et très rares éclairs et qu’il est impossible de le rendre plus ou moins permanent sans un entraînement spécial. Pour la grande majorité des gens, même cultivés et pensants, le principal obstacle sur la voie de la conscience de soi, c’est qu’ils croient la posséder.
Cette référence à un état d’être central, à un axe du monde, à un Royaume du Centre est commune à toutes les traditions, son importance est considérable. Ainsi, le Maître Maçon est reçu en Chambre du Milieu, référence à un Royaume du Centre, accessible à celui qui peut cesser de penser l’univers par le jeu des multiples représentations, pour percevoir l’univers, quitter le monde diluant de l’avoir et du faire pour celui de l’être. Le processus de rappel de soi provoquent une destruction des identifications et des cristallisations mentales, par conséquent les croyances qui sous-tendent la personnalité profane, la Personna, le masque, vont être détruites au cours de cette quête de l’être. Bien peu sont prêts à perdre les images qu’ils ont d’eux-mêmes et du monde, produits de leurs conditionnements multiples, source de leurs souffrances mais aussi de quelques éphémères plaisirs. Nous voyons donc que très peu d’organisations assument cette fonction et invitent leurs membres à déclencher ce processus.
Probablement, le qualificatif d’initiatique ne s’applique qu’à ce troisième type de sociétés secrètes. Ces sociétés, collégiales le plus souvent, sont conçues comme de véritables laboratoires de recherches. Elles conduisent leurs adeptes dans les phases terminales des Voies réelles, Voie d’Eveil, Voie du Corps de Gloire, Voie de la Pierre au Rouge, Voie Essentielle, Voie Extrême, les appellations sont nombreuses pour désigner cette phase où l’individu libéré de tout ce qui est humain, libéré même de la libération, accède réellement à l’immortalité consciente et devient un dieu, en regard de son ancien état d’humain. A ce stade, il est presque déplacé de parler d’organisations, ou de sociétés, créations humaines, les termes de Lignée, d’Ordo au sens sacerdotal du terme[21] seraient plus adéquats. La relation entre l’Instructeur et l’élève, ou le disciple (celui qui applique la discipline), constitue la base de ces Sociétés très fermées, dont les noms sont rarement prononcés, et qui demeurent inconnues, même des historiens de l’ésotérisme.
Dans certains cas, moins rares qu’on ne pourrait le penser, les Lignées, véhicules des Voies secrètes, sont préservées dans des traditions familiales, familles d’aristocrates ou de religieux souvent, mais pas nécessairement et de moins en moins. La famille conçue comme école initiatique est en effet un concept très traditionnel Ainsi le maître indien Krishnamacharya, dépositaire de la filiation pythagoricienne indienne, a développé tout un enseignement visant à faire de la famille une école ésotérique. En Italie, des familles aristocratiques de Venise ou de Florence étaient dépositaires d’un secret initiatique. Villiers de l’Isle Adam en parle explicitement dans son roman à clef « Isis ». Aujourd’hui même, c’est seulement dans le cercle restreint de la famille, parfois élargi à quelques amis proches, que, pour des raisons techniques, certaines opérations secrètes peuvent être pratiquées (Voie d’Erim, Voie d’Aphrodite Rouge, Voie shivaïte du Dieu Bleu, Tradition Rose+Croix Lascaris par exemples) tout comme dans le passé ou l’antiquité, c’était le cas dans les familles de khan ou les familles pharaoniques.
A ces trois grands types de sociétés secrètes, correspondent le plus souvent trois types de structures :
Des structures externes, facilement accessibles, ayant souvent pignon sur rue, affichant parfois une puissance financière étonnante. Des structures semi-internes, appelées parfois aussi sociétés de cadres, très discrètes, mais néanmoins présentes, connues des spécialistes. Des structures internes, insaisissables, très flexibles, parce qu’organismes vivants plutôt qu’organisations.
Les relations entre ses structures sont riches de modèles variés et parfois contradictoires, elles ont été brillamment exposées dans une étude publiée dans l’ouvrage de Michel Monereau, Magie et sociétés secrètes, étude à laquelle nous renvoyons le lecteur.
Il existe, on le constate, une articulation naturelle entre les fonctions exotérique (ou exoésotérique), mésotérique, et ésotérique. Cette articulation ne se manifeste nullement sur la scène traditionnelle, maçonnique et occultiste, dans les relations entre les sociétés secrètes de type 1, 2 ou 3. L’une des tentations des sociétés exotériques, qui le plus souvent recrutent largement, dans une logique quantitative, réside dans leur prétention à assumer la fonction initiatique. Or il y a une contradiction poignante entre l’initiatique et l’hédonisme personnel prôné par ces sociétés, de même qu’entre le nombre de leurs adhérents et les exigences de la démarche initiatique. La quête du bonheur se situe aux antipodes de la Quête initiatique. Il serait dangereux pour le chercheur de croire que les sociétés secrètes de ce type proposent des voies de libération. Nous l’avons vu, par leur caractère thérapeutique, elles se transforment en voie d’endormissement dès lors qu’elles prétendent à une fonction qu’elles ne sauraient assumer. Plus encore, en empruntant abusivement les noms des ordres initiatiques semi-internes et internes, elles ont obligé ces derniers à s’occulter de plus en plus, certains échappant parfois de peu à la disparition. C’est la raison pour laquelle toutes ces dérives, que chacun pourra aisément reconnaître, furent toujours dénoncées par des personnages aussi divers qu’Emile Dantinne, Jean Mallinger, qui avait combattu l’A.M.O.R.C., Giuliano Kremmerz, Louis Cattiaux et bien d’autres hermétistes de valeur.
La Franc-maçonnerie offre une multitude de cas de figures, très différents les uns des autres.
Tout d’abord, en général, les obédiences maçonniques constituent le plus souvent les organisations externes les plus stables et les plus utiles. Ignorant le plus souvent l’existence et la fonction d’ordres plus internes et à caractère plus hermétiste, elles n’en sont pas moins l’antichambre de celles-ci. Dans le sein de la Franc-maçonnerie, les Rites égyptiens tiennent une place à part. Pendant longtemps, les Rites égyptiens ont fonctionné exclusivement comme système de hauts grades. Aujourd’hui, l’Ordre de Memphis Misraïm, devenu une grande obédience maçonnique, comme le Grand Sanctuaire Adriatique du Rite de Misraïm et Memphis, resté plus confidentiel, ouvrent des Loges bleues. Les ordres semi-internes, comme l’Ordre Martiniste, l’O.H.T.M. (Ordre Hermétiste Tétramégiste et Magique ou Ordre Pythagoricien), et quelques-uns autres, ont été considérés, comme devant perfectionner la Franc-maçonnerie, tout au moins y observer les meilleurs éléments afin de les diriger vers des structures plus internes, susceptibles de les qualifier pour les « hautes sciences ». C’est plus que jamais le cas, la Franc-maçonnerie constitue encore une école préparatoire à des courants plus hermétistes, tant en Europe continentale que dans les pays anglo-saxons (la SRIA, Societas Rosicruciana in Anglia recrute par exemple en Maçonnerie) ou sud-américains (cas des organisations de l’ex F.U.D.O.F.S.I., toujours présentes sur le continent sud-américain).
Toutefois, Si le mépris pour la Franc-maçonnerie affiché par des personnages comme Jean Mallinger est encore partagé par certains, la majorité des membres des collèges semi-internes et internes ont conservé un profond respect pour la Maçonnerie, y compris pour les grades bleus.
Beaucoup pensent qu’en manifestant toute la valeur symbolique et opérative de chaque grade, la Franc-maçonnerie constitue davantage « qu’une simple école primaire de l’Initiation ». D’ailleurs, fort discrets et peu connus, les Loges, Chapitres et autres Aéropages rassemblant des étudiants sincères et des spécialistes de l’hermétisme sont moins rares qu’on ne le croit en général, on en trouve dans la plupart des rites, dans la plupart des obédiences, le plus souvent, là ou on s’y attend le moins. Le Rite Ecossais Rectifié est également un rite particulier, fonctionnant parfois comme un ordre semi-interne conduisant à une opérativité secrète (celle de l’Ordre des Elus Coëns). On a vu ainsi certaines Loges du R.E.R. recruté dans des ordres martinistes. Dans la quasi-totalité des ordres semi-internes, la Maîtrise maçonnique est exigée, ce qui démontre l’importance de celle-ci pour la compréhension des corpus divers que proposent ces organisations.
Il existe toutefois quelques exemples de collaboration réussie entre des organisations externes, semi-internes et internes. Le cas le plus connu est celui du système mis en place par Robert Ambelain, et largement développé par Gérard Kloppel, son successeur. L’Ordre de Memphis-Misraïm est devenue aujourd’hui une organisation maçonnique importante, membre du C.L.I.P.S.A.S., dont certains membres peuvent être invités à rejoindre l’Ordre Martiniste Initiatique.
On trouve également dans le système Ambelain, un Ordre des Elus Coëns, et une structure terminale rassemblant plusieurs filiations dont celles de la Rose+Croix d’Orient. L’ensemble continue à bien fonctionner grâce à une forte centralisation, et ce malgré les problèmes inhérents à la structure maçonnique devenue trop importante pour rester une composante strictement traditionnelle, d’autres enjeux étant apparus. Signalons que la Tradition Ambelain est manifestée également par d’autres collèges internes qui en ont rassemblé l’ensemble des filiations, réelles ou de désir, mais qui les déploient selon une conception différente et très réservée, parfois comme complément à d’autres filiations hermétistes.
La Société Rosicruciana in Anglia constitue la société secrète de la Grande Loge Unie d’Angleterre. En France, c’est naturellement dans la G.N.L.F. que cette société rosicrucienne recrute. Il semble toutefois qu’à quelques exceptions près, les membres de la S.R.I.A. se désintéressent aujourd’hui de l’hermétisme.
L’un des cas les plus intéressants réside dans la tentative faite au début du siècle par certains adeptes de l’Ordre d’Osiris. L’Ordre d’Osiris recrutait habituellement parmi les membres des Arcana Arcanorum Maçonniques, c’est-à-dire les quatre derniers grades du Rite Maçonnique Oriental de Misraïm ou d’Egypte, échelle de Naples. Mais ce système n’étant pas toujours satisfaisant, Giuliano Kremmerz (1868-1930) créa la Fraternité Templière et Magique de Myriam. La F.T.M.M. fut une remarquable organisation préparatoire aux opérativité osiriennes, même i certaines personnalités éminentes de ce courant comme le Prince Caetani, et Kremmerz lui-même à la fin de sa vie, considérèrent la création de la F.T.M.M. comme une erreur. La F.T.M.M. comme l’Ordre d’Osiris ont des survivances actuelles. Les Arcana Arcanorum, qui ont fait couler beaucoup d’encre fort mal à propos ces dernières années, créant ainsi un mythe bien inutile, constituent les grades terminaux de plusieurs ordres semi-internes[22], ou encore les pratiques « terminales » de plusieurs systèmes traditionnels. Il convient de distinguer le système des frères Bédarride, basé sur la Kabbale et le Régime de Naples qui constitue le véritable système des A.A.. Les A.A. sont présents également dans l’O.H.T.M., et dans d’autres Ordres ou Collèges hermétistes. Les Arcana Arcanorum sont définis par Jean Pierre Giudicelli de Cressac Bachelerie[23] :
Cet enseignement concerne une Théurgie, c’est-à-dire une mise en relation avec des éons-guides qui doivent prendre le relais pour faire comprendre un processus, mais aussi une voie alchimique très fermée qui est un Nei Tan, c’est-à-dire une voie interne
Les Arcana Arcanorum maçonniques semblent être en réalité, davantage que les grades terminaux de la maçonnerie égyptienne, l’introduction à un autre système En fait, nous n’avons trouvé à ce jour aucun responsable d’organisations traditionnelles maçonniques et autres détenant la totalité du système, la majorité ignorant même le contenu réel des A.A. Les A.A. constituent en fait une qualification pour d’autres ordres plus internes rattachés au courant osirien ou pythagoricien ou encore au courant des anciens Rose-Croix, comme l’Ordre des Rose+Croix d’Or d’ancien système, l’Ordre des Frères Initiés d’Asie, et d’autres, restés inconnus, échappant ainsi à la recherche historique et surtout aux problèmes humains. Jean Pierre Giudicelli de Cressac Bachelerie, faisant référence à Brunelli, confirme dans son livre, que les A.A. constituent en fait l’introduction à d’autre ordres :
Comme l’a indiqué le G.M. Brunelli dans ses remarquables ouvrages sur les rites de Misraïme et Memphis, d’autres ordres succèdent aux Arcana Arcanorum. Mais nous sortons ici de l’aspect maçonnique que pour découvrir quatre ou cinq autres ordres (Grand ordre des Egyptiens, Rîtes Egyptiens ainsi que trois autres que nous ne pouvons mentionner
De plus certaines organisations traditionnelles, n’utilisant pas l’appellation « Arcana Arcanorum », détiennent totalité ou partie de l’ensemble théurgique des A.A., cas par exemple de l’Ordre de l’Aurum Solis qui constitue une émanation de l’Ecole de Florence et n’a aucun lien, contrairement à ce que certains affirment, avec le courant anglo-saxon de la Golden Dawn.
Le système complet des Arcana Arcanorum, dont la maçonnerie égyptienne ne détiendrait donc qu’une partie, comporte en fait trois disciplines :
Théurgie et Kabbale angélique : avec notamment les invocations des 4, des 7, et la grande opération des 72.
Alchimies métalliques : parmi différentes voies, les documents en notre possession semblent donner la priorité à la voie de l’Antimoine, mais d’autres voies, notamment la voie de la Salamandre semble constituer un élément central de ce système, car relevant à la fois de la voie externe et de la voie interne.
Alchimies internes : selon les courants internes, les voies pratiquées diffèrent, moins techniquement que par leurs environnements philosophiques et mythiques respectifs, parfois totalement opposés. Les alchimies internes, tout comme d’ailleurs les alchimies métalliques trouveraient leur origine en Orient et, plus particulièrement, selon Alain Daniélou, dans le Shivaïsme. Quoi qu’il en soit, elles font partie de l’héritage traditionnel occidental depuis au moins deux millénaires, comme l’attestent certains papyrus égyptiens.
En conclusion à cette étude dans le Monde Secret, il convient de rappeler le caractère héroïque de la Quête, attesté par toutes les sagas. Toutes les Traditions ont décrit les Voies réelles par des métaphores guerrières. Ce n’est pas seulement une figure de style, c’est l’indication précise des qualités requises pour partir à l’assaut de la Citadelle de l’Etre. La connaissance est à la fois Science et Art, Science, car chaque phase est vérifiable, Art car l’adepte est un créateur, il n’est plus simple acteur de ce monde, mais réellement son créateur et son ordonnateur.
[1] Histoire générale de la Franc-maçonnerie. Office du Livre : 1987
[2] Joël Arvelle. Devenir Franc-Maçon ?. ED. J-M. Collet. 1996.
[3] Histoire de la Franc-maçonnerie Universelle. Tome III de G. Serbanesco.
[4] La pratique Opérative de l’ancienne Franc-maçonnerie Turque. Editions du Baucens 1974.
[5] Ordre spécifiquement maléfique.
[6] Serge Hutin. Gouvernants Invisib1es et Sociétés Secrètes. ED. Rarnuel. I 996.
[7] Rappelons K. Haushofer était membre de la Golden Down et membre éminent de la Thulé. Il y a lieu de penser que la Golden Down aurait inspiré l’orientation nazi de la Thulé. On n’y pratiquait les mêmes rîtes.
[8] La Golden Down Ordre ésotérique d’origine rosicrucienne fondée en I 887.
[9] Mathers est l’époux de la soeur du philosophe Henri Bergson.
[10] Il faut lire a ce sujet « Maître Philippe de Lyon », par le docteur Philippe Encausse (ED). Traditionnelles).
[11] Herman Rauschning. « Hitler m’a dit ». ED. Coopération Paris 1939.
[12] René A1leau. « Hitler et les Sociétés Secrètes ».
[13] Jean Marquès-Rivière Histoire des doctrines ésotériques. p. 276-277.
[14] Boris Mouravieff Gnôsis « Etude et Commentaire sur la Tradition Esotérique de l’orthodoxie orientale ». ED. A la Baconnière. Tome I.
[15] Le terme d’occultisme est préférable à celui d’ésotérisme. le tenue occultisme a été parfaitement défini par Robert Amadou dans l’occultisme esquisse d’un monde vivant. Édition Chanteloup, Paris 1987, p. 15 à 22. L’occultisme est « Un vaste et merveilleux ensemble de spéculations et d’actions. Il est une vision de l’univers et une règle de vie. Il est une philosophie. Affirmer que cette philosophie existe et énoncer ses caractères essentiels sera définir l’occultisme. L’occultisme est l’ensemble des doctrines et des pratiques fondées sur la théorie des correspondances. La théorie des correspondances est la théorie selon laquelle tout objet appartient a un ensemble unique et possède avec tout autre élément de cet ensemble des rapports nécessaires, intentionnels, non temporels et non spatiaux. »
[16] De plus en plus d’étudiants produisent d’excellentes thèses sur des sociétés secrètes ou des personnages importants de la scène maçonnique et occultiste. Le CESNUR (Centre d’études sur les nouvelles religions), fondé par le Professeur Massimo Introvigne multiplie les Colloques internationaux en collaboration avec de grandes universités. http://ordo-ab-chao.fr/societes-secretes-les-72-superieurs-inconnus/
[17] Voir par exemple l’article de Monsieur Faubert du 4 novembre 1994, paru dans L’événement du Jeudi sur le Groupe de Thèbes, montage tendancieux et très hostile qui a largement servi la cause de l’anti-maçonnisme puisqu’il a été repris par la revue «Sodalitium» dans son numéro de juillet-août I 991. Cette revue est publiée par l’abbé Sergio Ricossa fils d’un professeur d’économie franc-maçon bien connu en Italie. Avec trois ou quatre autres prêtres, l’abbé Ricossa a abandonné la Fraternité de Saint Pie X en considérant que Mgr Lefèbvre était trop « modéré » et « à gauche », pour fonder l’Institut Mater Boni Consilu, qui dénonce un complot judéo-maçonnique et sataniste !
[18] Rappelons-nous simplement la dissolution en septembre 1994 de la section des Renseignements Généraux français chargée de la surveillance des partis politiques et de la Franc-maçonnerie, dissolution prononcée à la suite de plusieurs bavures. http://ordo-ab-chao.fr/societes-secretes-les-72-superieurs-inconnus/
[19] Ce « non » n’est pas une négation stricte, mais plutôt une généralisation. Il signifie que les systèmes généralisés incluent l’humain comme un cas particulier sans importance, celui de notre existence quotidienne. L’accès a d’autres états d’êtres implique la reconnaissance du caractère épiphénoménal de l’humain, auquel il convient alors de ne plus s’identifier.
[20] Fragments d’un enseignement inconnu. ED. Stock Paris I 974, p.206.
[21] Se référer à l’oeuvre de Giordano Bruno, et à Eros et Magie et la Renaissance de Culiano.
[22] Il demeure en occident quelques cercles très fermés de responsables d’organisations traditionnelles, d’experts, de dépositaires des Voies internes, appartenant aux courants maçonniques égyptiens, rosicruciens (anciens filons R+C), martinistes, gnostiques, pythagoriciens, hermétistes, les plus représentatifs de la Tradition. Ils œuvrent notamment au maintien des régies traditionnels, de la primauté de l’initiatique sur le profane, au sein même des sociétés secrètes, qu’elles soient a caractère exotérique, mésotérique, ou ésotérique, refusant tous les compromis auxquels notre siècle de facilité a donné lieu. http://ordo-ab-chao.fr/societes-secretes-les-72-superieurs-inconnus/
[23] Dans son livre De la Rose Rouge à la Croix d’Or. Editions Axis Mundi (Paris- I 988), Page 67.