WWIII : L'Eglise du Pape François et du Nouvel Ordre Mondial, qui confie ses ouailles Goyim aux Rabbins Pharisiens ne peut exister que dans la tête de Satan-Lucifer, qui veut l'œcuménisme de tous ceux qui croient en quelque chose ou même en rien, afin de s'occuper d'eux.
WWIII : L'Eglise du Pape François et du Nouvel Ordre Mondial, qui confie ses ouailles Goyim aux Rabbins Pharisiens ne peut exister que dans la tête de Satan-Lucifer, qui veut l'œcuménisme de tous ceux qui croient en quelque chose ou même en rien, afin de s'occuper d'eux. Il n'y a pas plus grand œcuménisme que de définir les humains, les primates, l'homme de Neandertal, l'homo sapiens et les Néanderthaliens, ceux qui mangent de la viande de brousse et de la chair humaine, et ceux qui n'en mangent pas, comme des créatures de Dieu, à cela on peut ajouter les plantes carnivores et les plantes qui ne le sont pas, les insectes, et tous le bestiaire de la faune et de la flore, pour attribuer un semblant d'âme, à tout ce qui bouge et qui ne bouge pas, et définir par nature l'Œuvre de Dieu, et son sauvetage, dans une après vie terrestre, c'est ce qu'annonce le Pape François Apostat et blasphémateur, en disant que l'Enfer n'existe pas, et que toutes les créatures iront au Paradis, vers la résurrection du Christ, mais avec bien moins de difficultés, car le Christ sur la Croix, en lançant à Dieu "pourquoi m'as tu abandonné", ne s'est pas montré à la hauteur de sa tâche, d'autant plus que l'enlèvement de l'Eglise par Georges Soros a bien eu lieu, ainsi que par la Franc-Maçonnerie, qui l'a réduite à une coquille vide, adoratrice de Sant-Lucifer.
Comment Georges Soros fait du pape François un agent du Nouvel Ordre Mondial dans Religion Catholique
Les révélations de Wikileaks au sujet du milliardaire mondialiste George Soros n’en finissent pas de beaucoup nous apprendre sur les manipulations orchestrées par ce personnage. Les preuves ont ainsi été apportées que Georges Soros finance bien la marée migratoire vers l’Europe.
Parmi les documents rendus publics par Wikileaks, certains montrent comment des montants sont aussi investis dans diverses organisations pour transformer l’orientation de l’Eglise catholique.
Des documents publiés par Wikileaks témoignent que des fonds ont été alloués au printemps 2015 pour « obtenir l’assentiment individuel d’évêques et leur soutien public et plus ouvert aux thèmes de la justice raciale et de l’économie, de façon à créer une masse critique d’évêques alignés sur les positions du pape ». Ce qui confirme ainsi que les positions du pape sont aussi celles souhaitées par Georges Soros et les agents du Nouvel Ordre Mondial.
Wikileaks livre le compte-rendu d’une réunion du bureau de l’Open Society (fondation de George Soros) à New York en mai 2015. On y apprend que, dans le cadre de la préparation du voyage du pape aux Etats-Unis, l’Open Society travaille avec l’un des principaux conseillers pontificaux, le cardinal Oscar Rodriguez Maradiaga.
Le document ajoute que l’objectif est « en apportant notre soutien à PICO et à ses activités, de pousser le pape à se prononcer sur les questions d’économie et de justice raciale, y compris en utilisant l’influence du cardinal Rodriguez, proche conseiller du pape, et par l’envoi d’une délégation au Vatican au printemps ou à l’été ».
Une manœuvre machiavélique est décrite : donner des fonds importants à des organismes « pro famille » et y influencer les décisions afin de réorienter les objectifs de ces organismes de la défense de la famille vers le débat sur l’égalité.
La fondation de Georges Soros se félicite du nouveau discours du pape selon lequel être « pro-famille » c’est être préoccupé par l’augmentation des inégalités ».
Deux évêques américains sont cités par l’Open Society comme de bons collaborateurs pour détourner l’Église catholique de sa doctrine : l’évêque de San Diego, Mgr Robert McElroy, et l’archevêque de Chicago, Mgr Blase Cupich.
Le message que le Pape François a prêché à la cathédrale Saint-Patrick de New York était choquant. Le Pape, le « vicaire du Christ » autoproclamé, a prêché le message de l’échec de Jésus sur la croix.
« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; Mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. » (1 Corinthiens 1:18) en reprenant les paroles de l'apôtre Paul, qui n'a pas connu le Christ, et qui n'est donc pas un Apôtre du Christ, sauf coup de soleil sur la route de Damas.
Tout d’abord, le Pape François a donné une acclamation à ses « frères et sœurs musulmans » quand il a dit que : « Je tiens à exprimer deux sentiments pour mes frères et mes sœurs musulmans : Tout d’abord, mes salutations alors qu’ils célèbrent la fête du sacrifice. » Dans le cas où il ne le saurait pas, l’Islam enseigne clairement que leur dieu, Allah, n’a pas de fils ; aucun. Donc, pour un chrétien, être un frère ou une sœur spirituelle avec un musulman est impossible. Le Coran déclare hardiment que Dieu n’a pas de fils :
« Il n’est pas digne pour Allah de prendre un fils ; Qu’il soit exalté ! Quand Il décide d’une chose, Il dit seulement : « Sois » et elle est. » (Sourate 19:35,36)
Le Pape François a été courtisé par les musulmans dans les tentes du Vatican depuis un certain temps déjà. En novembre 2014, il a prié dans une mosquée à Istanbul ; En décembre 2014, le Pape François a défendu l’Islam comme une « religion de paix » ; Et, il y a quelques semaines, le Pape a donné l’ordre à tous les Catholiques de l’Europe de prendre des migrants musulmans pour qu’ils vivent avec eux dans leurs maisons.
Mais, il ne s’est pas arrêté là, loin de là. Le Pape François a déclaré que l’œuvre de Jésus sur la croix avait été un échec.
Peut-être que les paroles les plus choquantes et les plus spectaculaires jamais sorties de la bouche d’un pape proviennent du Pape parlant de « l’échec de la croix ». Quoi ?? C’est parce que Jésus est allé sur la croix, que nous avons le salut. C’est à cause de la croix que nous avons maintenant accès au Père et un plein pardon pour nos péchés. C’est à cause de la croix que le Ciel, et non l’Enfer, est notre destination. Voici ce qu’il dit :
« La croix nous montre une autre façon de mesurer le succès. La nôtre est de planter les graines. Dieu voit les fruits de nos travaux. Et si, parfois, nos efforts et nos œuvres semblent échouer et ne pas produire de fruits, nous devons nous rappeler que nous sommes des disciples de Jésus-Christ, et sa vie, humainement parlant, s’est soldée par un échec, l’échec de la croix. »
On peut considérer Saint-Paul, comme quelqu'un qui est mandaté par le Sanhédrin de l'époque, en noyautant les Chrétiens après la mort du Christ par un Juif instruit et manipulateur, pour faire oublier le crime des Juifs à l'égard de la volonté de faire mourir cet Essénien de Jésus Christ, et de leur protéger un avenir dans l'histoire du Monde, afin de dire que des Juifs du Monde des Pharisiens et des saducéens, l'ont suivi, sans pouvoir le défendre. Il a mis en exécution l'abolition de la circoncision, pour bien montrer qu'un Chrétien, n'était pas un Juif, mais pouvait avoir sa place parmi les Goyim, qui sont une espèce inférieure auquel D.ieu ne demande pas tant de prières ni la connaissance des Lois et prescriptions à effectuer par son Peuple Elu, alors que les Goyim, n'ont droit qu'à servir ce Peuple élu.
Ce n'est pas parce qu'on a reçu une insolation sur le chemin de Damas, et qu'on dit avoir vu le Christ, que le Christ vous nomme Apôtre et disciple. Il faut l'avoir suivi de son vivant et avoir reçu son enseignement. Paul apparaît plus comme un tricheur à une composition de Latin, qu'un véritable Apôtre, dont Ananias, se serait occupé à former. Rien n'empêchait Paul de rejoindre les disciples pour devenir le plus grand d'entre eux à l'égal de Saint Pierre, sans jamais avoir eu d'enseignement du Christ.
Une première condition pour devenir disciple du Christ, c’est la volonté d’apprentissage de ce que sont les volontés du Seigneur : nous croyons facilement que nous avons tout compris et nous risquons de parler avec assurance. Reconnaissons humblement que nous n’avons pas la moindre idée de ce que Dieu pense ! En dehors de ce qu’il nous dit expressément par la bouche de ses prophètes , bien sûr : « Quel homme peut découvrir les intentions de Dieu ? Qui peut comprendre les volontés du Seigneur ? » (Livre de la Sagesse, verset 13)
Il s’agit ensuite d’ouvrir nos yeux dans son amour : comment être comblés par Dieu si nous sommes pleins de nous-mêmes ? Reconnaissons notre fragilité pour que Dieu puisse agir en nous. Puis vient le moment de la décision parfois difficile : être son disciple. Être disciple du Christ, c’est l’aimer et cela ne peut se faire à moitié !
Pour être disciple de Jésus, il nous faut marcher derrière lui , c’est à dire, suivre le même chemin :« Pour demeurer avec Jésus, marchez comme il marche » (1Jn 2, 6). Et l’apôtre Paul nous rappelle qu’il faut « marcher dans l’amour comme le Christ vous a aimés (mais pas lui)» (Ep 5, 2)
Ce chemin qui mène à la vraie vie, suppose de porter sa croix : « Celui qui ne porte pas sa croix, pour marcher derrière moi, ne peut être mon disciple » (Lc 14, 27). Porter sa croix, c’est d’abord consentir à ce qui arrive, à l’évènement imprévu, à ce que nous n’avons pas choisi, au poids plus ou moins lourd de notre héritage, à ce qu’il y a de douloureux dans notre vie et à quoi nous ne pourrons rien. Si nous voulons être vraiment disciple de Jésus, nous devons nous détacher de tout ce qui n’est pas Lui. C’est la seule attitude prudente, car autrement nous ne pourrons être heureux, étant divisé entre deux maîtres : « Nul ne peut servir deux maîtres, Dieu et l’argent » (Mt 6, 24).
Pour la croix l'œuvre de Paul est symptomatique, Jésus était fou d'accepter de mourir sur la Croix même pour racheter nos péchés, et il n'a pas reçu la vertu de Dieu (foi, espérance et charité) pour son salut et pour son éventuel ministère :
18Car la parole de la croix est une folie à ceux qui périssent; mais à nous qui obtenons le salut, elle est la vertu de Dieu.
Sur la Croix Jésus prononce ces 7 paroles:
1. " Père, pardonne-leur, car il ne savent ce qu'ils font" (Luc 23. 34
2. " Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le Paradis " (Luc 23. 43)
3. " Femme, voilà ton fils… Voilà ta mère! (Jean. 19. 26, 27)
Parole prononcée pendant les trois heures de ténèbres :
4. " Eli, Eli, lamma sabachtani "… Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? " (Mt. 27. 46; Mc 15. 34)
Nous ne pouvons aborder cette quatrième parole de Jésus crucifié qu'avec un profond respect. C'est une parole d'importance capitale, d'une immense densité et qui reste insondable pour nous. Depuis midi, il fait nuit sur Jérusalem. Des ténèbres surnaturelles ont recouvert le pays. Plus de moqueries, plus d'injures, les hommes sont mis de côté. Dieu soustrait son Fils aux regards humains. Ce qui se passe à ce moment-là ne peut être vu ni compris par une créature.
Personne ne pourra jamais entrer dans la détresse de Jésus, pendant ces trois heures d'obscurité. Notre Sauveur demeura dans une solitude totale, abandonné de son Dieu parce qu'il expiait les péchés de tous ceux qui croiraient en lui. Lui, le Fils bien-aimé du Père, était, à ce moment-là, privé de la présence de son Dieu. Pourquoi? Parce qu'il s'était, par amour, identifié à nous, pécheurs. Il a pris sur lui la malédiction que nous méritions à cause de nos péchés. Souvenons-nous toujours de la souffrance de Jésus sur la croix. Sans les heures d'expiation, personne n'aurait pu être sauvé. Le châtiment de nos fautes serait toujours devant nos yeux.
Dans ces heures d'abandon, la sainteté de Dieu brille d'un éclat insoutenable : Dieu condamne son propre Fils. Mais il le fait par amour, pour nous sauver, nous qui ne l'aimions pas. Amour du Père, amour du Fils! Éternel sujet d'adoration pour nous, croyants!
Dieu demande à son fils ce qu'il a renoncé de demander à Abraham en soustrayant un des fils d'Abraham soit Isaac, soit Ismaël, par un bélier, qui se trouvait à proximité.
Trois paroles prononcées après les trois heures de ténèbres :
5. " J'ai soif " (Jean 19. 28)
6. " Tout est accompli " (Jean 19. 30)
7. " Père, je remets mon esprit entre tes mains! " (Luc 23. 46)
Le Judaïsme actuel est issu du Judaïsme Rabbinique Pharisien et Saducéen de l'époque de Jésus, deux catégories de Juifs qui aiment tout sauf D.ieu et ne reconnaissait pas son fils. Ils aimaient l'Argent, le luxe, la débauche, les honneurs, et étaient des castes privilégiées qui ne respectaient pas les lois de D.ieu, et qui éditaient leurs propres compréhensions de ces Lois, à tel Point que D.ieu lui-même ne reconnaissait que quelques personnes parmi les Juifs (Noé, Abraham, David, Isaac, Jacob, Ismaël) avec les quelles il avait entretenu des accords liés dans le temps avec des contreparties que jamais ils n'ont tenues. Voici ce que pensait Jean Baptiste cousin de Jésus Christ et Maître Essénien qui a baptisé Jésus dans le Jourdain, ainsi que tous ceux qui tenait à l'être, car le baptême n'était pas obligatoire à l'époque dans la Loi Juive et ne signifiait pas l'entrée dans une communauté, notamment pour accéder au Royaume des Cieux :
1Or, en ce temps-là vint Jean-Baptiste, prêchant dans le désert de la Judée; 2Et disant : Convertissez-vous; car le Royaume des cieux est proche.
3Car c'est ici celui dont il a été parlé par Esaïe le Prophète, en disant : la voix de celui qui crie dans le désert [est] : préparez le chemin du Seigneur, aplanissez ses sentiers.
4Or Jean avait son vêtement de poil de chameau, et une ceinture de cuir autour de ses reins, et son manger était des sauterelles et du miel sauvage. 5Alors les habitants de Jérusalem, et de toute la Judée, et de tout le pays des environs du Jourdain, vinrent à lui. 6Et ils étaient baptisés par lui au Jourdain confessant leurs péchés.
7Mais voyant plusieurs des Pharisiens et des Saducéens venir à son baptême, il leur dit : race de vipères, qui vous a avertis de fuir la colère à venir? 8Faites donc des fruits convenables à la repentance. 9Et ne présumez point de dire en vous-mêmes : nous avons Abraham pour père; car je vous dis que Dieu peut faire naître de ces pierres mêmes des enfants à Abraham. 10Or la cognée est déjà mise à la racine des arbres; c'est pourquoi tout arbre qui ne fait point de bon fruit s'en va être coupé, et jeté au feu.
11Pour moi, je vous baptise d'eau en [signe de] repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers; celui-là vous baptisera du Saint-Esprit, et de feu. 12Il a son van en sa main, et il nettoiera entièrement son aire, et il assemblera son froment au grenier; mais il brûlera la paille au feu qui ne s'éteint point.
13Alors Jésus vint de Galilée au Jourdain vers Jean pour être baptisé par lui. 14Mais Jean l'en empêchait fort, en [lui] disant : J'ai besoin d'être baptisé par toi, et tu viens vers moi? 15Et Jésus répondant lui dit : Laisse [moi faire] pour le présent : car il nous est ainsi convenable d'accomplir toute justice; et alors il le laissa faire. 16Et quand Jésus eut été baptisé, il sortit incontinent hors de l'eau, et voilà, les cieux lui furent ouverts, et [Jean] vit l'Esprit de Dieu descendant comme une colombe, et venant sur lui. 17Et voilà une voix du ciel, disant : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai pris mon bon plaisir.
La religion juive comportait des rites d'ablutions, qui sont consignés dans le Lévitique. Ainsi, pour l'ordination des prêtres (Lév., viii, 1), pour la consécration de l'autel : « Moïse fit sept aspersions sur l'autel et oignit, pour les consacrer, l'huile et les ustensiles » (Lév., viii, 11).Très importantes étaient les ablutions destinées à purifier ce qui était rituellement devenu impur. Ainsi en était-il pour celui qui avait touché un cadavre, pour tout ce qui concernait la vie sexuelle : « Quand une femme aura couché maritalement avec un homme, ils devront tous les deux se laver à l'eau et ils seront impurs jusqu'au soir » (Lév., xv, 18). Le lépreux était tenu à de sévères purifications rituelles. Ces ablutions rituelles étaient particulièrement soulignées au temps du Christ et poussées à un degré de minutie extrême. C'était en particulier le cas chez les Esséniens. Un bain de purification précédait pour eux chaque repas. On a retrouvé à Qumrān les piscines qui servaient à ces ablutions quotidiennes. Le Christ est accusé par les Pharisiens de ne pas tenir compte de ces obligations (Matth., xv, 2). Les judéo-chrétiens conserveront l'usage de ces purifications, comme on le voit en particulier dans les écrits pseudo-clémentins. Toutefois, le baptême chrétien apparaît comme radicalement différent de ces rites d'ablutions. Il n'était donné qu'une fois, comme rite d'initiation à la communauté. Il faut donc chercher si, dans le milieu juif, on trouve des analogies meilleures. L'initiation à la communauté essénienne impliquait un bain rituel. Mais ce n'était que la première participation aux bains quotidiens de la communauté et cette analogie doit être écartée. Plus sérieuse est la question du baptême des prosélytes. Tout païen converti à la religion juive devait prendre un bain, avant de recevoir la circoncision, pour faire disparaître son état d'impureté rituelle. Mais il n'est pas certain que l'usage existait au temps du Christ.
Paul de Tarse ou saint Paul, portant aussi le nom juif de Saul qui se prononce « Shaoul » ([ʃaul]) (né probablement à Tarse en Cilicie au début du Ier siècle et mort vers 67 - 68 à Rome), est un apôtre de Jésus-Christ, tout en ne faisant pas partie des « Douze ». Il est citoyen romain de naissance et juif pharisien. Le Nouveau Testament le présente comme un persécuteur des disciples de Jésus jusqu'à sa rencontre mystique avec le Christ, vers 32-36[1], mais la réalité de ces persécutions fait débat dans l'historiographie moderne, tout comme l'emploi du terme de « conversion » à son propos.
Au cours des années 40, Paul fonde plusieurs Églises dans le territoire de la Turquie actuelle, et effectue un deuxième voyage missionnaire en Asie Mineure et en Grèce. Dans les années 50 et 60, tout en poursuivant sa mission itinérante, il adresse un certain nombre de lettres à ces nouvelles Églises.
Ces lettres, dites « épîtres pauliniennes », sont les documents les plus anciens du christianisme. Toutes ont été écrites avant les Évangiles. Elles représentent l'un des fondements de la théologie chrétienne, en particulier dans le domaine de la christologie, mais aussi, d'un point de vue historique, une source majeure sur les origines du christianisme.
La biographie de Paul repose uniquement sur deux types de sources : « ses treize lettres (dont sept sont admises comme authentiques par la presque totalité des commentateurs), et les Actes des Apôtres de Luc, dont la deuxième partie est presque tout entière un récit de la vie missionnaire de Paul jusqu'à son arrivée à Rome ».
Cependant, il arrive que certaines données des Actes ne se concilient pas avec les informations puisées dans les lettres. Les historiens considèrent celles-ci comme la source la plus fiable : « On sait mieux aujourd'hui que Luc, aussi bien dans son premier que dans son deuxième livre [des Actes], était d'abord un théologien du Fils de Dieu et de son Église, et que ses relations avec les "faits historiques" n'étaient pas aussi naïves qu'on le croyait". »
Selon les écrits de Paul lui-même, on peut savoir qu'il est issu d'une famille juive et qu'il peut tracer son ascendance généalogique à la tribu de Benjamin, comme on peut lire dans les passages suivants : « moi, circoncis le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d'Hébreux [...][p 1], » « Je dis donc : Dieu a-t-il rejeté son peuple ? Loin de là ! Car moi aussi je suis Israélite, de la postérité d'Abraham, de la tribu de Benjamin. » et « Sont-ils Hébreux ? Moi aussi. Sont-ils Israélites ? Moi aussi. Sont-ils de la postérité d'Abraham ? Moi aussi[p 3]. » De plus, selon Luc, il provient de Tarse en Cilicie, une région située dans la partie méridionale de l'actuelle Turquie, comme on peut le lire dans les passages suivants : « Je suis Juif, reprit Paul, de Tarse en Cilicie, citoyen d'une ville qui n'est pas sans importance. [...] » et « Je suis Juif, né à Tarse en Cilicie [...] » Selon saint Jérôme, il serait plutôt né à Giscala en Galilée et sa famille aurait été déportée à Tarse alors qu'il était encore un enfant.
La date de naissance de Paul est inconnue, mais il est possible de déterminer qu'il est probablement venu au monde juste avant ou juste après le début du Ier siècle.
Alors que tous les apôtres du Christ ont reçu l'esprit Saint pour les cultiver, et leur donner la connaissance et la répartie, pour qu'ils puissent évangéliser le Monde, Paul ne l'a pas reçu.
Pour mieux comprendre le récit de Luc au chapitre 2 des Actes des Apôtres, il faut relire le texte qui en est en quelque sorte le modèle, dans l'ancien Testament, au livre de l'Exode, celui qui dit le don de la Loi dans le tonnerre et le feu, au Sinaï (Ex 19). Luc en reprend les mots, donnant clairement à entendre que dans la continuité même des promesses anciennes, le peuple de la nouvelle alliance, né de la Pâque du Christ, est constitué par le don de l'Esprit.
Le chapitre 19 du livre de l'Exode est une théophanie. Il dit une manifestation de Dieu. Le vent et le feu, et la voix du tonnerre, accompagnent cette manifestation. Ils en sont les signes. Le texte des Actes des Apôtres reprend ces signes, indicateurs précisément, de la présence et de la manifestation de Dieu. De son intervention aussi (cf. Ex 19, 16-18).
L'accomplissement de la promesse
Le langage des Ecritures qu'utilise Luc dans son récit, invite le lecteur à ne pas prendre au pied de la lettre les signes qu'il met en scène. Mais il alerte aussi et surtout le lecteur sur l'accomplissement, dans cette manifestation de Dieu, de la promesse. Luc l'indique d'ailleurs de façon claire dès l'ouverture du récit : comme s'accomplissait, dit-il, le jour de Pentecôte. Luc aime ce verbe. Il l'utilise dès le prologue de son évangile, puis encore lorsque Jésus parle à Nazareth, dans la synagogue, à l'ouverture de son ministère. L'inscrivant ici dans le début du récit de Pentecôte, il le dit d'un mot : ce qui s'inaugure ici est l'accomplissement de la promesse et du projet de Dieu.
Luc le signifie encore lorsque par la bouche de Pierre il affirme la réalisation de la promesse de l'Esprit qu'annonçait le prophète Joël pour les derniers jours (Joël 3, 15). La mention des derniers jours, signale dans la Bible l'ouverture des temps eschatologiques, ceux de la fin des temps et de la réalisation définitive du salut promis par Dieu.
A l'opposé de Babel
A Jérusalem sont présents des Juifs fervents, issus de toutes les nations qui sont sous le ciel (Ac 2, 5). L'énumération des nations présentes à Jérusalem correspond à une liste plus ou moins conventionnelle au temps de Luc. Cependant elle n'est pas anecdotique, mais théologique. Elle renvoie aux paroles de Jésus dans le premier chapitre des Actes, établissant les apôtres témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre (Ac 1, 8). Et elle représente l'inversion de la dispersion de Babel (Gn 11, 1-9). A Babel, les nations furent dispersées dans la confusion des langues. Elles sont ici rassemblées dans le souffle de l'Esprit, qui donne à chacun d'entendre dans sa propre langue ce que disent les apôtres.
L'Esprit pousse les disciples au-delà de leurs frontières, transgressant leurs limites. Mais l'Esprit travaille aussi dans le cœur des païens, qui vont eux-mêmes au devant des disciples, comme par aimantation puissante de la Bonne Nouvelle, c'est-à-dire de la présence du ressuscité.
La conversion de l’apôtre Paul
Que s’est-il passé et pourquoi différents récits ?
Philip Nunn Mai 2009 Eindhoven, Pays Bas
Les événements qui se sont déroulés le jour où Paul a rencontré le Seigneur sur son chemin pour Damas sont décrits trois fois dans le livre des Actes : tout d’abord un bref récit historique par Luc (Actes 9), puis l’apôtre Paul raconte lui-même deux fois son expérience, tout d’abord à un groupe de juifs en colère (Actes 22) et ensuite à Festus et Agrippa (Actes 26). Il fait aussi de brèves allusions à sa conversion dans quelques-unes de ses épîtres.
La conversion de PaulOn peut reconstituer les événements qui ont entouré la conversion de l’apôtre Paul en en comparant les différents récits (voir tableau 1). Paul était en chemin pour Damas, pour persécuter les chrétiens. Vers midi, il a été environné par une lumière très vive, et est tombé par terre. Il a vu le Seigneur Jésus, ressuscité et glorifié. Le Seigneur lui a parlé et Paul lui a répondu. Cette brève et extraordinaire rencontre a marqué la conversion de Paul. Auparavant, il persécutait les chrétiens la conscience tranquille, en pensant que cela plaisait à Dieu (Actes 23 : 1). Le Seigneur attache de l’importance au fait que nous ayons la conscience tranquille, mais une conscience pure et tous nos efforts ne sont pas suffisants.
Il est intéressant de noter que ni le Seigneur ni Ananias n’ont demandé à Paul de « répéter après moi une prière de foi », ni de lever la main ni de signer une carte. Et pourtant, les gens peuvent être nés de nouveau par le moyen d’une « prière de foi ». Chaque histoire de conversion est différente, mais tous les récits de conversion ont en commun une rencontre avec le Seigneur Jésus. Nous nous rendons compte de notre péché, nous commençons à comprendre pourquoi Jésus a dû mourir sur cette croix, nous nous sentons attirés vers lui, nous regrettons et nous nous repentons, nous demandons son pardon, nous l’invitons dans notre cœur, nous nous livrons à lui et à sa seigneurie. Avez-vous rencontré le Seigneur Jésus ? Après sa conversion, Paul a dû attendre de nouvelles instructions. Le Seigneur a également des plans pour notre vie et il nous prépare de bonnes œuvres pour que nous les pratiquions (Éphésiens 2 : 8-10). Les trois jours de ténèbres qui ont suivi ont donné à Paul le temps de réfléchir, jeûner et prier, le temps de rechercher Dieu et d’envisager les implications pratiques de sa conversion.
Le changement de nom de Saul à Paul n’est pas lié à cette conversion. Saul est son nom hébreu de naissance, et Paul son nom romain (Paullus en latin). Luc, le rédacteur des Actes, commence à utiliser le nom de Paul à partir du chapitre 13 : 9, ce nom semblant plus approprié car les événements qu’il relate se déroulent dans un contexte de non Juifs.
Y a-t-il une contradiction ?Paul ne voyageait pas tout seul, mais avec une équipe pour l’aider à localiser et capturer les hommes et femmes chrétiens à Damas, afin de les ramener prisonniers à Jérusalem. Ces compagnons, qu’ont-ils exactement vu et entendu ? De prime abord, le récit de la conversion semble contradictoire. En Actes 9 : 7, il nous est dit qu’ils ont entendu une voix mais n’ont vu personne. En Actes 22 : 9, nous lisons que ses compagnons ont vu la lumière mais n’ont pas entendu la voix de celui qui parlait à Paul. Pourquoi les mots adressés par Jésus à Paul sont-ils différents dans les trois récits de sa conversion ?
Ce qu’ont vu les compagnons de PaulSi l’on compare les trois récits des Actes, il est évident que les compagnons de Paul se sont rendu compte que quelque chose d’extraordinaire se passait. Paul et ses compagnons ont vu une lumière brillante et sont tombés par terre. Or Paul a vu le Seigneur Jésus, mais ses compagnons ne l’ont pas vu.
1e explication : quelques-uns pensent que Paul a regardé la lumière brillante et y a vu le Seigneur Jésus. Ses compagnons ont vu la lumière, mais s’en sont caché, sans y regarder. Cela pourrait expliquer pourquoi Paul, après cette expérience, est devenu aveugle, mais pas ses compagnons.
2e explication : une rencontre avec le Seigneur ressuscité nécessite une intervention divine. Ce n’est qu’après la prière d’Élisée que son serviteur a « vu » quelque chose du monde spirituel (2 Rois 6 : 17). Ce n’est qu’après que leurs yeux se soient « ouverts » que les deux disciples ont reconnu leur Seigneur ressuscité (Luc 24 : 31). De même, Paul et ses compagnons ont vu la lumière, mais le Seigneur a choisi de ne se révéler qu’à Paul et pas à ses compagnons. La cécité qui en a résulté a été le moyen choisi par le Seigneur pour transformer le Paul sûr de lui en quelqu’un de temporairement faible et dépendant des autres.
Ce que ses compagnons ont entenduOnt-ils entendu une voix ? Si oui, laquelle ? Si non, qu’ont-ils entendu ?
1e explication : dans toutes les conversations, il y a au minimum deux voix. En Actes 9 : 22, il nous est dit que les compagnons de Paul ont entendu « la voix », mais il n’est pas dit laquelle. Certains suggèrent que lorsque Paul a parlé avec le Seigneur, il a été le seul à entendre la voix du Seigneur, et ses compagnons stupéfaits n’ont entendu que la voix de Paul. Ses compagnons ont entendu la voix (celle de Paul), mais n’ont vu personne. Actes 22 : 9 précise que les compagnons de Paul n’ont pas entendu la voix de celui qui parlait à Paul. Ils ont entendu la voix de Paul, pas celle du Seigneur.
2e explication : il existe une interprétation plus naturelle si l’on prend en compte que le mot grec traduit par « voix » est également utilisé pour dire « son » ou « bruit ». Par exemple, Paul dit que les différents instruments de musique ont chacun leur « voix », c'est-à-dire un « son » distinct (1 Corinthiens 14 : 7-8). Le vent a une « voix », c'est-à-dire qu’il produit un « son » (Jean 3 : 8). Une meule a sa « voix », ou plutôt produit un « bruit » (Apocalypse 18 : 22). Si l’on garde ces traductions alternatives à l’esprit, les deux textes se complètent. Lorsque le Seigneur parle à voix haute à Paul, les compagnons de Paul entendent « le son » de la voix du Seigneur (Actes 9 : 7) mais n’entendent pas « la voix » du Seigneur (Actes 22 : 9). C’est une situation imprévue et troublante semblable à la scène où le Père parle du ciel en Jean 12 : 29 : « La foule qui était là, et qui avait entendu, disait que c’était un tonnerre. D’autres disaient: Un ange lui a parlé. »1 Prenant en compte les différentes significations de ce mot, quelques versions traduisent Actes 22 : 9 comme suit : « ceux qui étaient avec moi, virent bien la lumière, (…) mais ils ne comprirent point la voix de celui qui me parlait. »2 3 (Épée).
Ces détails offrent des aperçus intéressants. Dieu voit, et répond à ceux qui cherchent à lui plaire d’un cœur sincère. Le Seigneur Jésus regarde, écoute les hommes, et leur consacre son temps. Il s’intéresse à vous et moi en tant que personne unique, et veut travailler avec nous. Même si un message est envoyé à une foule, le Seigneur peut l’utiliser pour parler directement à mon cœur. Et la situation des compagnons de Paul m’est un avertissement : je peux être proche de l’endroit où Dieu travaille, je peux voir et ressentir que quelque chose d’étrange se produit à côté de moi, et pourtant ne pas être conscient de la présence du Seigneur, ni même être conscient que le Seigneur agit !
Ce que Paul a entendu du SeigneurLa conversation entre Paul et le Seigneur est relatée d’une manière un peu différente dans chacun des trois récits de sa conversion (voir tableau 2). Rappelons-nous que le Seigneur a parlé à Paul en hébreu. Le livre des Actes a été écrit en grec. Il y a différentes façons de traduire la même idée, ce qui expliquerait certaines des différences de rédaction entre les récits. Mais les différences principales deviennent évidentes si l’on considère le but de chacun des récits, elles en soulignent le point important. Les détails narrés et ceux passés sous silence dépendent du but visé ou des besoins de l’auditoire. Par exemple, lorsque Paul utilise l’histoire de sa conversion pour expliquer sa transformation et sa mission à une foule de juifs en colère (Actes 22), il utilise des expressions juives comme « le Dieu de nos Pères », et il souligne les références juives d’Ananias, personnage important dans la conversion de l’apôtre.
Lorsqu’il raconte l’histoire de sa conversion au Gouverneur Félix et au roi Agrippa, son but était plus évangélique, et son temps de parole était limité (Actes 26). C’est pourquoi l’apôtre se concentre sur la grande mission qui lui avait été confiée par le Seigneur Jésus (il ne fait pas ici la distinction entre ce qui lui a été dit directement et ce qui lui a été transmis par Ananias). Paul souligne que l’espérance qu’il proclame n’est pas une invention nouvelle. Il omet simplement tout ce qu’il considère comme étant d’une importance secondaire pour atteindre son but. C’est pour cela qu’il ne fait aucune mention de sa cécité ni du miracle d’avoir recouvré la vue. En fait, la participation d’Ananias est tout simplement occultée. Il n’est pas nécessaire que notre témoignage personnel retrace très précisément tout ce qui s’est passé mais il peut être un moyen très puissant pour illustrer la façon dont le Seigneur travaille en nous les hommes. Avez-vous déjà raconté votre conversion à quelqu’un ? Avez-vous déjà partagé avec un autre croyant ce que vous voyez le Seigneur accomplir dans votre vie ? Même nos faiblesses et nos manquements peuvent être utilisés par Dieu pour encourager d’autres personnes … si nous en parlons !
Quand l’apôtre Paul a-t-il reçu le Saint Esprit ?Le Seigneur Jésus a expliqué la situation à Ananias, et l’a envoyé rendre visite à Paul, afin que par son moyen Paul recouvre la vue, soit rempli du Saint Esprit et reçoive les grandes lignes de l’appel de Dieu pour sa vie. Bien qu’effrayé, Ananias reconnaît la réalité de la rencontre personnelle de Paul avec le Seigneur Jésus, c’est-à-dire de sa conversion, et s’adresse chaleureusement à lui en l’appelant « Paul, frère ». Paul avait-il déjà reçu le Saint Esprit ? Probablement. Dans l’époque transitoire entre le judaïsme et le christianisme, nous voyons que quelques personnes semblent avoir reçu le Saint Esprit après leur conversion (Actes 19 : 2), mais l’apôtre Paul explique que la norme chrétienne est que les croyants reçoivent le Saint Esprit au moment de leur conversion (Éphésiens 1 : 13). En fait, il affirme tout à fait catégoriquement : « si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il n’est pas de lui » (Romains 8 : 9). Un chrétien sans le Saint Esprit, ça n’existe pas. Si vous avez mis votre confiance en Jésus, si vous êtes né de nouveau, vous avez l’Esprit Saint. C’est un fait, pas une expérience ni un sentiment. Mais étant donné la tâche que le Seigneur était sur le point de confier à Paul par l’intermédiaire d’Ananias, il était important que l’apôtre soit « rempli de l’Esprit Saint ». C’est quelque chose dont tout croyant a besoin pour prier, adorer ou pour remplir sa mission (Éphésiens 5 : 18). J’en ai besoin. Vous en avez besoin. Voulez-vous que l’Esprit de Dieu vous guide ? Cherchez-vous à être rempli de l’Esprit Saint ? Cette expérience pratique est à la portée de tout croyant.
Pourquoi l’apôtre Paul a-t-il été baptisé ?Après avoir transmis à Paul sa mission d’apôtre, Ananias a ajouté : « Et maintenant, pourquoi tardes-tu? Lève-toi, sois baptisé, et lave-toi de tes péchés, en invoquant son nom. » (Actes 22 : 16). Ananias veut-il dire que Paul avait besoin d’être baptisé afin que ses péchés soient pardonnés ? Une autre déclaration, faite par Pierre lors de la Pentecôte, donne également cette impression : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de ses péchés; et vous recevrez le don du Saint Esprit. » (Actes 2 : 38). L’auditoire particulier lors de la Pentecôte avait peut-être besoin d’un message spécial. Mais ensuite, l’apôtre Pierre dit très clairement que le pardon des péchés provient de la foi (et non du baptême) : « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés » (Actes 3 : 19). Il s’agit du pardon sans le baptême. Plus tard, Pierre explique la même chose à un groupe de Gentils : « Tous les prophètes rendent de lui le témoignage que quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés. » (Actes 10 : 43).
Dans quelques traductions, nous avons l’impression qu’en Actes 22 : 6, Ananias donne, l’une après l’autre, à Paul quatre instructions de même importance. Mais la construction grammaticale indique qu’elles vont par paire : « lève-toi, sois baptisé » et « lave-toi de tes péchés, en invoquant son nom. ». Cette dernière clause est ancrée dans les Écritures. Paul enseignera la même chose plus tard : « quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Romains 10 : 13). L’acte symbolique du baptême d’eau suit la réalité intérieure de la conversion. Après que ses yeux aient été ouverts, Paul s’est levé et a été baptisé, probablement par Ananias (Actes 9 : 18). Êtes-vous chrétien, mais pas encore baptisé ? Cette situation est anormale d’un point de vue biblique. Tout comme Paul, il vous faut vous lever et être baptisé !
Un Pape très gentil qui a négocié auprès de la Franc-Maçonnerie, des illuminati, des Juifs, sa place dans le nouvel Ordre Mondial, et qui cède à Satan -Lucifer sa charge d'âmes pas très catholiques et qui se réclame chrétien et avait une conception de la vie et de la place que devraient avoir les religions dans les années à venir me dit : « Ne pensez-vous pas que ce serait formidable si toutes les religions pouvaient s’unir pour n’en former qu’une ?»
Je lui ai dit que l’idée est humainement sympathique, humaniste et remplie de bonnes intentions, mais est doctrinalement parlant totalement IMPOSSIBLE. Le jour où une telle chose arriverait, le vrai christianisme n’existerait tout simplement plus ou la religion qui le présenterait n’aurait de christianisme que le nom.
Car les points doctrinaux MAJEURS qui différencient les religions ne tournent pas autour de choses telles que la couleur des chaussettes que portent les uns et les autres.
S’ils consistaient en ce que les indous ou les musulmans portent des chaussettes jaunes et les chrétiens des chaussettes rouges, on pourrait aisément unir ces religions en faisant porter à tous des chaussettes oranges.
Mais… le FONDEMENT, le CŒUR du christianisme est que JESUS EST VENU MOURIR POUR NOUS SUR LA CROIX, QU’IL EST RESSUSCITE ET QU’EN LUI SE TROUVE LE SALUT DES HOMMES.
Notre message n’est pas qu’il faut adhérer à une religion qui s’appelle le christianisme, c’est que Jésus est mort pour nos péchés et qu’il n’y a de Salut en aucun autre.
Notre message, c’est le message de la croix : Jésus CRUCIFIE pour nos péchés ! L’apôtre Paul le rappelait aux Corinthiens, il avait lu l'épisode dans Matthieu-Marc-Jean-Luc et s'en tenait là :
« Je vous ai enseigné avant tout, comme je l’avais aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les Ecritures; qu’il a été enseveli, et qu’il est ressuscité le troisième jour, selon les Ecritures. » (1 Corinthiens 15 : 1 à 6)
Pourquoi la croix ?
Ce que l’on veut dire par « message de la croix », « prêcher la croix », c’est l’annonce de ce que Jésus a accompli en se laissant crucifier.
Il n’a pas été crucifié par hasard ou parce qu’Il s’est fait attrapé et n’a pas eu le choix, MAIS POUR ACCOMPLIR UN PLAN DIVIN DE RACHAT DE L’HUMANITE !!!! Même si cela n’excuse pas ceux qui ont tout fait pour provoquer sa perte, Il a dit Lui-même qu’Il est venu pour cela :
« Et que dirai-je ?… Père, délivre-moi de cette heure?… Mais c’est pour cela que je suis venu jusqu’à cette heure. » (Jean 12 : 27)
Il a précisé que nul ne pouvait prendre Sa vie si ce n’est parce qu’Il la donnait Lui-même :
« Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre… » (Jean 10 : 17, 18)
Le message est que Dieu a donné Son fils pour le Salut de l’humanité ! Pas moins !!!!
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3 :16)
Le Coran considère Jésus comme un prophète et non comme le fils de Dieu. Il nous dit ensuite clairement que ce n’est pas vraiment Jésus qui est mort sur la croix, mais que c’est quelqu’un qui Lui fut substitué.
Il n’y a donc pas de synthèse possible entre ces deux courants. Ils ne sont pas seulement différents, ils sont contradictoires, opposés.
Le principe de croire en un message divin est que ce message corresponde à LA VERITE. Dans un cas si contradictoire où l’un ou l’autre dit la vérité, mais pas les deux, ou l’un ou l’autre ment (ou les deux si l’on veut).
Aucune religion : Islamiste, hindouiste, bahaï, ne reconnaît la nécessité d’un tel sauveur et sacrifice que celui de Jésus. Ensuite aucun prophète d’aucune religion n’est de descendance divine.
Tous furent des hommes comme les autres et des pécheurs. Jésus est le fils de Dieu, né miraculeusement d’une vierge, mi-homme mi-Dieu.
Le christianisme ce n’est pas reconnaître que Jésus était un prophète, quelqu’un de bien, un envoyé de Dieu, un fils de Dieu même, c’est reconnaître qu’Il est le fils unique de Dieu, né miraculeusement, venu mourir pour les péchés de tous les hommes et qu’Il n’y a de Salut en aucun autre.
Ce qui en fait LE SEUL CHEMIN ! C’est ce qu’Il a déclaré de Lui-même (Jean 14 : 6). Et que confirme l’Ecriture dans divers endroits :
« Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes 4 : 12)
L’accès à Dieu le Père ne nous est accessible par aucun autre (Jean 10 : 7 à 9). Dieu Le Père ayant donné Son fils, Il est logique qu’Il demande à chaque homme d’honorer ce sacrifice en acceptant de passer par Lui :
« Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. » (1 Jean 5 : 12)
Son rang, Son sacrifice et le but de ce sacrifice font de la personne de Jésus le seul chemin pour aller à Dieu.
Pourquoi le sacrifice ?
La Bible nous dit que le péché séparait l’homme de Dieu.
« Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu… » (Esaïe 59 : 2)
Et que tous ont péché :
« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (Romains 3 : 23)
Elle ajoute que :
«…le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de la grâce, le don de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus–Christ, notre Seigneur. » (Romains 6 : 23)
L’homme ne pouvant se racheter lui-même, il fallait que quelqu’un paye à sa place le châtiment du péché et du pécheur. Jésus a accepté de prendre sur le Lui le châtiment qui nous revenait en mourant crucifié il y a deux mille ans.
« Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » (Esaïe 53 : 5, 6)
Jésus seul, Agneau sans tâche, était à même de prendre la place de l’homme. Ce qu’Il fit en venant dans ce monde comme un simple homme, vivant à la place de l’homme une vie sans péché. Il a offert cette vie de juste en remplacement de nos vies de pécheurs.
« Il partagera le butin avec les puissants, parce qu’il s’est livré lui-même à la mort, et qu’il a été mis au nombre des malfaiteurs, parce qu’il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’il a intercédé pour les coupables. » (Esaïe 53 : 12)
Il est normal de poser la question suivante : Ne pouvait-on faire différemment ? Dieu ne pouvait-Il pas simplement oublier nos péchés, trouver une solution qui n’engendre pas que Jésus ait à souffrir et mourir ? Non ! Il fallait que les choses se fassent comme cela :
« Alors il commença à leur apprendre qu’il fallait que le Fils de l‘homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, par les principaux sacrificateurs et par les scribes, qu’il soit mis à mort, et qu’il ressuscite trois jours après. » (Marc 8 : 31)
Pourquoi ? CAR LE MONDE QUI NOUS ENTOURE ET LE MONDE SPIRITUEL QUE L’ON NE VOIT PAS SONT GERES PAR DES LOIS. Ces lois ne sont pas des options, des éventualités, des caprices de Dieu. Ce sont des fonctionnements. On ne peut changer ces fonctionnements.
Pour transformer une situation comme les conséquences de l’entrée du péché dans le monde, on ne peut pas juste oublier et repartir à zéro. Il faut qu’il y ait un remplacement : Christ est ce remplacement ou remplaçant.
Il est la solution de Dieu pour satisfaire à la foi Sa justice et Sa miséricorde. Seul le fils de Dieu, expression de Dieu Lui-même pouvait à la fois subir ce châtiment et ne pas être détruit : Vaincre la mort !
J’avoue que cela dépasse l’homme de tous les jours. C’est pourquoi vous devez demander à Dieu de vous en donner la révélation, au lieu d’essayer d’abord de tout comprendre pour l’accepter.
S’il avait été possible de racheter l’humanité par un autre moyen que Dieu le Père qui doit donner la vie de Son propre fils.
«…nous prêchons la sagesse de Dieu, mystérieuse et cachée, que Dieu, avant les siècles, avait prédestinée pour notre gloire. » (1 Corinthiens 2 : 6, 7)
L’image du crucifié choque
« …nous, nous prêchons Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les païens. » (1 Corinthiens 1 : 23)
Nous vivons dans une société où on veut de plus en plus éradiquer la souffrance, le châtiment et bien d’autres choses qui nous gênent et nous choquent.
Nous voudrions changer le message. Jésus ne nous gêne pas mais le sacrifice et tout ce sang, oui. On voudrait le message d’espoir mais sans le sang, la crucifixion et la mort. Sans la croix !
Et d’ailleurs : On voudrait également qu’il n’y ait pas cette notion de rachat. Notion que le diable s’est efforcé de rendre de plus en plus inutile dans l’esprit des gens.
Car si les hommes n’ont pas la conscience de la nécessité de leur repentance et de la nécessité de leur rachat, commet crieront-ils à Dieu ?
La prédication de la croix est une folie, quelque part, pour l’homme !
« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent…» (1 Corinthiens 1 : 18)
Mais c’est à nous de changer notre manière de voir et concevoir les choses, pas Dieu !
« Dieu n’a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde ? » (1 Corinthiens 1 : 20)
La puissance qui coule de la croix
La foi vient de ce que l’on entend. Nous sommes donc supposés annoncer clairement le message de l’Evangile. Maintenant, nous ne sommes pas supposés essayer de convaincre les hommes par des raisonnements à n’en plus finir.
L’Evangile doit devenir rendre témoignage de lui-même A CAUSE DE LA PUISSANCE QUI EST SUPPOSEE DECOULER DU MESSAGE DE LA CROIX. Paul dit aux Corinthiens :
« Ce n’est pas pour baptiser que Christ m’a envoyé, c’est pour annoncer l’Evangile, et cela sans la sagesse du langage, afin que la croix de Christ ne soit pas rendue vaine. » (1 Corinthiens 1 : 17)
Si c’est seulement le langage qui convainc les gens, le langage même peut, d’après ce verset, rendre inutile le sacrifice à la croix. Mais si c’est sur la base de la foi que l’on place dans le message que l’on entend, aussi fou puisse-t-il paraître, la puissance contenue dans ce message va se déverser sur ceux qui ont cru.
Un message qui ne parle pas de la croix est sans puissance. Un message qui en parle peu, a peu de puissance.
« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés elle est une puissance de Dieu. » (1 Corinthiens 1 : 18)
L’Evangile ce ne sont pas des discours creux, c’est un message QUI ENGENDRE UNE PUISSANCE. La puissance de son propre contenu.
« Car je n’ai point honte de l’Evangile : C’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit… » (Romains 1 : 16)
Dieu veut confirmer la véracité du message par cette puissance qu’Il fait couler du message lui-même. C’est pourquoi, à la lecture de ce message, si vous ouvrez votre coeur, des miracles doivent se produire.
L’apôtre Paul disait au sujet de l’exercice de son ministère :
« Pour moi, frères, lorsque je suis allé chez vous… je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié.…ma parole et ma proclamation n’avaient rien des discours persuasifs de la sagesse ; mais sur une démonstration d’Esprit, de puissance. » (1 Corinthiens 2 : 1, 2)
Il précise aux Galates :
«…loin de moi la pensée de me glorifier d’autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ… » (Galates 6 : 14)
Il voulait dire par là que les miracles qu’il faisait ne trouvaient pas leur origine en lui mais dans le message qu’il annonçait : La croix.
La croix est une victoire !!!
Le leader de la secte qui porte son nom : Moon, délivre son message sur la base que Jésus aurait justement raté Sa mission.
Sa mort sur la croix en serait la preuve. Et lui, Moon, aurait reçu de Jésus de continuer et réussir cette mission avortée en cours de route. Or, la mort de Jésus sur la croix ce rien d’autre que le Salut de l’humanité, la victoire sur les ténèbres.
La victoire et non la défaite !
Le monde spirituel a été chamboulé par Jésus, à travers son sacrifice à la croix. Des êtres spirituels néfastes, démoniaques ont été dépouillés de leur pouvoir , de l’autorité qu’ils avaient sur les humains.
Christ donne, dès lors, aux humains qui crient en Lui autorité sur eux !
« Il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d’elles par la croix. » (Colossiens 2 : 15)
La croix, ce qui s’y est passé, est une victoire sur les puissances des ténèbres ! Pourquoi ? Parce que leur pouvoir résidait dans notre position de pécheurs. Jésus ayant pris notre place, nous devenons des justes.
L’acte de condamnation édité par Satan à notre encontre est détruit par le sacrifice de Christ à la croix :
« Il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a détruit en le clouant à la croix. » (Colossiens 2 : 14)
L’autorité coule de la croix comme et à travers le sang de Jésus. Dans le monde spirituel, ce sang a une autorité :
« …il a voulu par lui tout réconcilier avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. » (Colossiens 1 : 20)
La puissance de la résurrection
La puissance de la mort de Christ sur la croix a engendré la puissance de la Vie à travers la résurrection. La croix a un pouvoir parce qu’elle est suivie de la résurrection. Cette puissance de Vie a ressuscité Jésus. Nous sommes appelés à la toucher du doigt.
« Il s’agit maintenant de le connaître, lui, ainsi que la puissance de sa résurrection et la communion de ses souffrances… » (Philippiens 3 : 10)
Le message de la croix : C’est Jésus qui a donné Sa vie sur la croix pour notre Salut : mon Salut, ton Salut.
Il n’y a pas d’histoire, ni de mission de Jésus sans la croix. Il n’y a pas de victoire sur les ténèbres sans la croix. Il n’y a pas de pouvoir de résurrection sans la croix.
Recevez dès aujourd’hui pour vous-même la manifestation de la puissance qui coule de la croix, en criant à Dieu, en vous repentant de vos péchés et en Lui demandant de venir dans votre vie.
Il le fera !!!
Comment fonctionne le Secret de la Salette, pour N.-D. de la Salette ?
Comment fonctionne le secret de la Salette, pour Notre Dame de la Salette ?
Le mieux pour répondre à cette question est me semble-t-il de la laisser expliquer son introduction, qui renvoie constamment à des passages se trouvant dans le développement de son secret.
Par Éric Faure.
« Mélanie, ce que je vais vous dire maintenant, ne sera pas toujours secret ; vous pourrez le publier en 1858.
Pourquoi 1858 ? Parce qu’en 1858 Napoléon III franc-maçon (carbonari) complote avec Cavour (franc-maçon) pour faire tomber l’Autriche et permettre aux francs-maçons italiens de s’emparer des états pontificaux et de Rome qui est encore la propriété de l’Eglise. 1858, c’est en effet la rencontre de Napoléon III avec Cavour, le premier ministre du royaume Piémont Sardaigne à Plombières-les bains dans les Vosges, évènement rapporté par la presse de l’époque où ces derniers vont planifier secrètement leur plan contre Pie IX. Pie IX comme beaucoup de ses contemporains sera tenu informé de cette rencontre, mais ignorera ce qui s’est dit entre Napoléon III et Cavour. C’est donc le moment le plus opportun pour Notre Dame de mettre en garde Pie IX contre Napoléon III, et de le soutenir dans ce temps d’épreuves terribles pour l’Eglise qui va venir sous Pie IX, et de créditer par des prophéties qui vont s’accomplir sous Pie IX, le reste du secret où Notre Dame parle de ce qu’il va arriver à partir de 1958, où après la mort de Pie XII, les francs-maçons chercheront non plus à s’emparer de Rome , car cela est déjà fait en 1870, mais à s’asservir la fonction pontificale pour contrôler non plus la ville de Rome, mais toute l’Eglise officielle romaine.
Cavour et Napoléon III en 1858 à Plombières-les bains dans les Vosges … reconstitution.
« Les prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres, par leur mauvaise vie, par leurs irrévérences et leur impiété à célébrer les saints mystères, par l’amour de l’argent, l’amour de l’honneur et des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté.
Qui sont ces prêtres ? Ces prêtres appartiennent à une époque qui n’est pas encore arrivée à notre époque, car il s’agit des prêtres qui vont livrer Enoch et Elie à la Rome païenne, dont Notre Dame nous dit plus loin dans son secret qu’ils seront mis à mort, et que Rome païenne suite à cela – sous-entendu pour avoir mis à mort Enoch et Elie – disparaitra. De même que N.S. Jésus-Christ a été livré par les plus hautes autorités religieuses de Jérusalem ( un souverain pontificat illégitime asservi par l’empire romain qui nomme et défait les grands prêtres, ce qui est interdit par la Loi de Dieu ) aux romains, de même les plus hautes autorités religieuses de Rome ( une fausse papauté et une secte diabolique tout aussi mauvaise que la secte des sadducéens qui ne croyait pas en la résurrection ) livreront Enoch et Elie, c’est-à-dire les envoyés de Jésus-Christ qui sortiront de leur cachette, à l’Europe paganisée qui a son centre païen au Vatican, comme autrefois l’empire romain avait son panthéon à Rome. De même que Caïphe et Anne demandèrent que la vengeance de Dieu contre les blasphémateurs qui est une sentence de mort dans la Loi mosaïque, s’appliquent à N.S. Jésus-Christ, de même ces prêtres à venir dirigeant le Vatican et tout aussi iniques, demanderont que la vengeance de Dieu s’applique à Enoch et Elie :
Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. Malheur aux prêtres, et aux personnes consacrées à Dieu, lesquelles, par leurs infidélités et leur mauvaise vie, crucifient de nouveau mon Fils !
Oui, les prêtres, c’est-à-dire ces prêtres dirigeant le Vatican qui appartiennent au XXIème siècle, dont moi Notre Dame je parle au début de mon secret, et qui demandent vengeance, que la vengeance de Dieu, s’applique à l’égard d’Enoch et d’Elie comme Anne et Caïphe ont demandé que la vengeance de Dieu s’applique à N.S. Jésus-Christ, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes, en ce sens qu’ils vont être exterminés comme les membres du souverain pontificat post-hasmonéen ont été exterminés en l’an 70 lors de la guerre de Rome contre Jérusalem. Malheur aux prêtres, à ces prêtres qui ont rejeté Enoch et Elie, et aux personnes consacrées à Dieu, par le baptême qui les ont suivi, comme les habitants de Jérusalem ont suivi Caïphe et le sanhédrin dans leur détermination à mettre à mort mon divin Fils, lesquelles, par leurs infidélités et leur mauvaise vie, semblable à ces sadducéens et ces pharisiens qui dirigeaient les affaires du Temple de Jérusalem, semblable aux juifs prévaricateurs de Jérusalem qui ont crié Barabbas, crucifient de nouveau mon Fils ! Car mettre à mort Enoch ou Elie, ou les livrer à la Rome païenne, cela revient à crucifier N.S. Jésus-Christ une seconde fois, car Enoch et Elie sont les envoyés, les messagers, les anges de Jésus-Christ : « alors Jésus-Christ commandera à ses anges » c’est-à-dire à Enoch et Elie « que ces ennemis soit mis à mort », c’est-à-dire soient excommuniés.
Je parle de ces prêtres et de ces personnes consacrés à Dieu par le baptême qui les suivent dans le rejet d’Enoch et d’Elie, dont la vengeance de Dieu est suspendues sur leur têtes dans ce passage-là, plus loin dans mon secret : « Tremblez Terre, c’est-à-dire vous personnes consacrées à Dieu qui suivez ces prêtres maudits dans leur rejet d’Enoch et d’Elie, et tremblez-vous qui faites profession de servir N.S. Jésus-Christ, c’est-à-dire vous les prêtres qui dirigez le Vatican, vous qui allaient rejeter Enoch et Elie, car Dieu va vous livrer à son ennemi. » En effet, c’est le seul passage où je parle de la vengeance de Dieu qui est suspendue sur ces personnes consacrées à Dieu et sur ces prêtres qui en rejetant Enoch et Elie, crucifieront une seconde fois mon Fils.
Les habitants de Jérusalem pourtant consacrés à Dieu par la circoncision choisissant Barabbas au lieu de Jésus. Dans les temps de la fin, les personnes consacrés à Dieu par le baptême, feront pour la plupart un choix semblable, mais consistant à rejeter Enoch et Elie.
Les péchés des personnes consacrées à Dieu crient vers le Ciel et appellent la vengeance, et voilà que la vengeance est à leurs portes, car il ne se trouve plus personne pour implorer miséricorde et pardon pour le peuple ; il n’y a plus d’âmes généreuses, il n’y a plus personne digne d’offrir la Victime sans tache à l’Éternel en faveur du monde.
Ce sont les péchés des personnes consacrées à Dieu par le baptême et les autres sacrements qui ont suivi ces prêtres maudits dans leur détermination à mettre à mort Enoch et Elie, comme les habitants de Jérusalem consacrés à Dieu par la circoncision ont suivi les membres du Sanhédrin dans leur détermination à livrer N.S. Jésus-Christ aux romains, pour qu’il soit flagellé et crucifié, qui crient vers le ciel, et voilà que la vengeance de Dieu est à leurs portes, car on est ici à la veille de « la dernière guerre », de la troisième guerre mondiale, le jour de la sainte colère éclatant en raison de la mise à mort d’Enoch et d’Elie. Il n’y a plus d’âmes généreuses, il n’y a plus personne digne d’offrir la victime sans tache à l’Eternel en faveur du monde, car Enoch et Elie sont morts en raison de la méchanceté des personnes consacrées à Dieu, la douleur de Dieu étant ici immense, au point que je ne puis ici retenir mes larmes.
Après la mise à mort d’Enoch et d’Elie, la troisième guerre mondiale arrivera soudainement. Plus rien ne pourra retarder la sainte Colère de Dieu.
« Dieu va frapper d’une manière sans exemple.
« Malheur aux habitants de la terre ! Dieu va épuiser sa colère, et personne ne pourra se soustraire à tant de maux réunis.
Dieu en raison de la mise à mort d’Enoch et d’Elie, va frapper d’une manière sans exemple, pire encore que le jour du déluge du temps de Noé. Malheur aux habitants de la terre, signifie malheur aux membres de la fausse église de Jésus-Christ qui ont adoré Wojtyla et qui ont rejeté Enoch et Elie. En effet, apprenez mes enfants, que le mot « terre » a dans mon secret, plusieurs sens.
La terre, c’est l’Église, comparée dans la bible à une vigne ou un jardin, dont Dieu prend soin, c’est-à-dire l’ensemble des vrais catholiques, comme je le dis : « j’adresse un pressant appel à la terre » c’est-à-dire « j’adresse un pressant appel aux vrais disciples du Dieu vivant et régnant dans les cieux », « j’appelle les vrais imitateurs du Christ » ou bien encore « j’appelle mes enfants, mes vrais dévots ». La terre, c’est l’église officielle romaine, où a cohabité autrefois le bon grain avec l’ivraie, où se sont trouvés les élus, ceux qui vont être sauvés, mais aussi les futurs damnés se disant faussement catholiques. Dieu a décidé de séparer les bons catholiques, des mauvais en permettant l’avènement des autorités apostâtes de Rome, les méchants suivant ces autorités maudites et trébuchant dans l’Apostasie, les bons au contraire se maintenant dans la véritable Eglise catholique, ou revenant dans la véritable Eglise catholique, pour fuir les autorités apostâtes de Rome, et n’avoir aucune complicité avec elles. La terre, deuxième sens, que je donne à ce mot, c’est aussi Jérusalem qui est une terre impure (Ezéchiel 22 : 24) qui doit être consumée par le feu de la Colère de Dieu (Ezéchiel 22 : 30), à savoir la fausse église des derniers temps qui est comparable à Jérusalem apostate qui a mis à mort les prophètes et livré le Messie sauveur aux romains pour qu’il soit crucifié, qui a été mise à feu et à sang par les légions de Titus. Cette fausse église est comparable à Sodome qui a voulu tuer Lot et sa famille et sur laquelle s’est abattu le feu du Ciel. Cette fausse église est comparable aussi à l’Egypte qui a voulu retenir le peuple de Dieu en esclavage et qui a été frappée de plaies par Moïse. Les habitants de la terre dont je parle ici, ce sont donc les habitants de l’église de Wojtyla, ceux qui ne se convertiront pas, qui iront jusqu’à rejeter Enoch et Elie, lors de leur retour miraculeux, et qui iront en Enfer, « ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’agneau qui a été immolé. » (Apo. 13 :8 ), qui seront séduits par Wojtyla qui est « la première bête, dont la blessure à mort a été guérie » Apo 13 : 12 , lorsque ce monstre fût victime d’un attentat sur la place saint Pierre de Rome.i (Voir note à la fin de l’Explication de Notre Dame.)
i Observation d’Éric Faure : saint Bernard enseigne que cette première bête dont la blessure à mort a été guérie est un antipape. Voir ses écrits Epistola CXXV ad Magistrum Gaufridum de Loratorio que l’on a traduit du latin en français dans notre article que tout le monde méconnait dans l’Eglise, y compris les frères Dimond : « Rome perdra la Foi et deviendra le siège de l’Antéchrist », du sens que donnent les théologiens et les apocalypticiens à cette expression. Or cette première bête sera adorée, nous dit N.S. Jésus-Christ. Apo. XIII 12, ainsi que son image Apo. XIII 15, c’est-à-dire vénéré comme un saint. En effet, le mot adoré ici vient de proskunéo en grec, qui veut dire baiser la main de quelqu’un, tomber sur les genoux en expression de profonde révérence, par agenouillement ou prosternation, rendre hommage, marquer son obéissance, aussi bien comme marque de respect que pour faire une supplication. Ce mot est utilisé pour rendre hommage pas seulement à Dieu, ou au Christ, mais aussi aux pontifes de l’Ancienne Alliance, ce qui est clairement expliqué sur internet au mot proskunéo dans la Bible. Il s’agit ici d’une vénération faite à un antipape, comme s’il était un saint, et ce que disent les frères Dimond qui ont l’impression de découvrir ici une vérité était enseignée dans l’Eglise depuis le XIIème et XIIIème siècle. En effet, Principium Malorum la première apocalypse que l’Eglise a connu prophétisant l’avenir de la papauté par des oracles et des devises, annonce au XIII ème siècle pour les derniers temps de la papauté, la pseudo-canonisation de Wojtyla : « Malheur à toi, ô ville au sept collines ( Rome) , quand la lettre K ( Karol Wojtyla ) sera louangé dans tes murs. Alors approchera la chute et la ruine de tes préposés (Ratzinger et Bergoglio) qui jugent injustement. » La lettre K, c’est le début d’un nom de baptême. Certes, on n’a pas tort, lorsque l’on voyait derrière la lettre K, Kaat, Kaïn, Kaesar, mais il importe de savoir, que les commentateurs du Moyen Age disent qu’il s’agit de K dans Karolus. Karolus, c’est Karol en polonais, Charles en français, d’où la notion de « Karolus redivivus » dans la littérature apocalyptique médiévale qui vient d’Alofresant de Rhodes pour désigner un antipape propre aux derniers temps de la papauté « étendant ses rameaux jusqu’aux extrémités de la terre » ou de l’Eglise officielle romaine, « sous lequel le vrai pape aura été fait prisonnier. » On trouve tout cela expliqué dans son ouvrage Alle alten Prophecien von keyserliche Majestat, publié à Munich et à Strasbourg en 1519. Le nom de Karol, vient du germain Karl, signifiant viril, d’où le sens dérivé qu’on lui donne sur internet « homme », mais aussi « fils », mais ici, il s’agit du fils de perdition dont parle saint Paul dans seconde lettre aux Thessaloniciens, dont Joachim de Flore a dit qu’il s’agissait d’un antipape. Or cela correspond pleinement à Karol Wojtyla, dont les démons en révélations en cours d’exorcisme, contraints par notre Dame à dire la vérité, ont dit que sous lui, le vrai pape avait été emprisonné, avant d’être libéré miraculeusement, pour vivre caché en exil. Son nom sera louangé dans la ville de Rome, parce qu’il est mort, et que cela se fait suite à une parodie de canonisation, et c’est la raison pour laquelle, il est fait référence immédiatement après au système judiciaire de l’Eglise : « Alors approchera la chute et la ruine de tes préposés (Ratzinger et Bergoglio en tête) qui jugent injustement. » Ici les préposés jugent que l’antipape dont le nom commence par K est un saint, d’où la raison que ce dernier sera louangé dans les murs de Rome après sa mort. Un préposé par définition, est une personne chargée d’une fonction spéciale, ici en l’occurrence chargé de juger si l’antipape en question est un saint ou non. Par-delà Ratzinger et Bergoglio, ce terme désigne toutes les personnes qui ont conduit au terme de cette procédure à faire de cet antipape, un saint. Il est dit de cet antipape qui sera élevé sur les autels comme un saint, dans Principium Malorum, que c’est un monstre, un intrus dans l’Eglise, « qui a machiné la mort du vrai pontife » à l’image du pseudo-pontife Ménélas, qui a machiné la mort du vrai Pontife Onias III, dans le second livre Maccabéen. » Le franciscain théologien Jean Pierre Olieu dans son commentaire de l’apocalypse au XIII ème siècle discutera de ces choses, mais il convient de donner ici toute la place à Notre Dame de la Salette, dont les catholiques ont sans arrêt dénaturé le sens de son apocalypse.
Illustration : « Tremblez Terre dit Notre Dame, car Dieu va vous livrer à son ennemi ! »
Oui, malheur aux habitants de la terre, à ces habitants de l’église wojtylienne qui ont rejeté Enoch et Elie ! Je parle ici de l’ensemble des faux catholiques qui ont apostasié, pris Wojtyla pour un saint et qui ont rejeté Enoch et Elie, comme je le dis aussi : « Tremblez Terre, c’est-à-dire vous membres de la fausse église catholique, et vous qui faites profession de servir Jésus-Christ, c’est-à-dire vous les chefs de cette église et qui au-dedans vous adorez vous-mêmes, c’est-à-dire vous, les idolâtres qui au lieu d’adorer Dieu, adorez vous-mêmes, vous les faux pasteurs qui servaient vos propres intérêts au lieu de servir Jésus-Christ, Tremblez ! Tremblez, vous les faux prophètes, qui venaient vers mon peuple en vêtement de brebis habillés comme mon fils , comme l’agneau s’offrant en sacrifice, comme des prêtres de mon fils, et qui au-dedans êtes des loups ravisseurs, qui s’en prennent au troupeau du bon pasteur, c’est-à-dire aux catholiques, pour leur enlever toute vie spirituelle, tremblez ! Tremblez, vous qui vous adorez vous mêmes comme Caligula ou Néron s’adoraient eux-mêmes, semblables à Wojtyla voulant être adoré comme un dieu, un christ, un pape. Vous êtes les chefs de cette église maudite, mais vous n’avez rien de religieux à mes yeux comme aux yeux de mon Fils, et vous me faites penser à ces empereurs romains que le peuple de Rome vénérait comme des dieux. Vous me faites penser à Antiochus IV dit « épiphane » qui a combattu le vrai oint de Dieu ou pontife, qui voulaient anéantir le vrai culte, pour se faire regarder comme un dieu, dans le sillage tracé par Alexandre le grand qui se faisait passer pour une divinité. Vous me faites penser à Wojtyla, dont vous êtes les successeurs qui est parvenu à « se faire regarder comme un dieu » et précisément par « ses troupes » d’apostats « de plusieurs nations » qui l’ont suivi aveuglément.
Dieu va épuiser sa colère sur ces habitants de la terre, membres de l’église de Wojtyla, qui ont rejeté Enoch et Elie, comme Dieu a épuisé sa colère contre les juifs prévaricateurs qui ont rejeté le Messie en la personne de Jésus-Christ. Ce sera même plus terrible encore, en raison du fait que l’église officielle romaine est étendue partout dans le monde, le châtiment divin ne sera plus local comme il l’a été lors de la guerre des juifs contre les romains en l’an 70, mais mondial. Personne ne pourra se soustraire à tant de maux réunis, le Jour de la Sainte Colère de Dieu n’étant plus retenue par Enoch et Elie, elle s’abattra sur tout ce qui vit sur le globe terrestre. Dieu va épuiser sa Colère, en ce sens, qu’elle se fera en plusieurs temps. Dans un premier temps, la terre, c’est-à-dire l’église de Wojtyla qui a osé faire de ce monstre d’iniquité Wojtyla un saint, « sera frappé de toutes sortes de plaies », comme cela est écrit plus loin dans mon secret :
« Un avant-coureur de l’antéchrist ( expression servant à désigner un antipape, lorsque le mot antipape n’était pas encore en usage dans l’Eglise : il s’agit ici de Wojtyla pour notre Dame de la Salette ) avec ses troupes ( d’apostats) de plusieurs nations ( qui le soutiendront, à l’inverse de l’antipape Anaclet II qui avait contre lui la France, l’Angleterre et l’Allemagne : cet antipape aura toutes les nations de son côté, c’est-à-dire celles qui auront sombrées dans l’Apostasie, or il ne restera plus une nation chrétienne encore debout à cette époque-là ) , combattra contre le vrai Christ le seul sauveur du monde ( saint Catherine de Sienne dit qu’un vrai Pape est un vrai christ sur terre, telle est le sens de vrai christ ici , qu’il faut prendre dans le sens étymologique de oint, or le vrai pape est le vrai oint, et ce vrai pape est dit le seul sauveur du monde, car il n’y a pas d’autre bon pasteur à cette époque-là, que Dieu a choisi pour guider son troupeau vers la vie éternelle, il n’y a que ce vrai pape présenté par Notre Dame comme souffrant , suivant les pas du Christ dans la passion et la résurrection ) il répandra beaucoup de sang ( cet antipape. Cela fait référence notamment à « ses chefs –au sommet du clergé hébraïque- sont dans Jérusalem – comme des loups qui déchirent leur proie ; ils répandent le sang, c’est-à-dire perdent les âmes » Ezéchiel 22 : 27. « Il répandra beaucoup de sang », c’est une expression qui veut dire « perdra beaucoup d’âmes », c’est pire qu’un dictateur sanguinaire : c’est un séducteur qui entraine beaucoup d’âmes en Enfer. Cette expression rentre dans la définition d’un antipape au Moyen Age, comparé à un loup ravisseur ou à une bête sauvage, ou à un lion rugissant massacrant le troupeau – saint Bernard par exemple fait ce type de comparaison), et voudra anéantir le culte de Dieu pour se faire regarder comme un dieu (un antipape est perçu ainsi au Moyen Age, et pas seulement comme un destructeur du vrai culte. Le discours d’Arnold d’Orléans au concile de saint-Baslé de Versy dès 991, nous dit qu’un pape usurpateur, un faux pape, c’est « l’antéchrist siégeant dans le temple de Dieu (qu’est l’Eglise), et voulant se faire regarder comme un dieu. »)
Après avoir laissé entendre que Wojtyla parviendra à se faire regarder comme un dieu, car il a des troupes d’apostats de plusieurs nations de son côté, ces mêmes troupes qui le regarderont comme un christ, ou comme un pape, et pire encore comme un saint, je vous ai dit cela mes enfants : « la terre – c’est-à-dire l’église wojtylienne pour avoir élevé Wojtyla sur les autels – sera frappée de toutes sortes de plaies. » Par qui mes enfants ? Mais par Enoch et Elie lors de leur retour miraculeux, comme il est écrit dans l’Apocalypse de mon fils : « ceux-là ont puissance pour frapper la terre de toutes sortes de plaies, aussi souvent qu’ils le voudront » (Apo. XI 6), comme Moïse et Aaron ont frappé l’Egypte. Enoch et Elie démasqueront d’autorité cette mascarade et toute cette fausse église de Wojtyla, pour sauver ou libérer les âmes qui peuvent encore l’être. Mais ensuite lorsque Enoch et Elie seront mis à mort, il y aura ai-je dis, une dernière guerre, qui sera faite par les dix rois de l’antéchrist, que sont les dirigeants de cette Europe paganisée qui a son siège spirituel au Vatican, comme l’Empire Romain d’autrefois avait son siège spirituel à Rome avec le panthéon de toutes les fausses religions. Cette dernière guerre sera la troisième guerre mondiale et l’Europe paganisée y participera, d’où l’idée que ses dirigeants feront cette guerre.
Illustration : « Le feu du ciel tombera et consumera trois villes ; tout l’univers sera frappé de terreur » secret de la Salette.
Cette dernière guerre sera nucléaire et voilà pourquoi après avoir dit Enoch et Elie seront mis à mort. Rome païenne disparaitra ( sous-entendu pour avoir mise à mort Enoch et Elie, Rome païenne étant l’Europe paganisée qui a son siège spirituel au Vatican, qui est un retour à la Rome païenne d’autrefois sous la forme de l’Union Européenne) , je parle de frappes nucléaires en ces termes : « le feu du ciel tombera et consumera trois villes » , le nombre trois symbolisant une totalité, ces villes étant des villes européennes indispensables au fonctionnement de cette Europe paganisée et l’expression « feu du ciel » étant la même expression utilisée au sujet de Sodome et Gomorrhe dans les Ecritures.
Enfin, Dieu épuisera sa colère, car il n’en aura pas fini avec les survivants de la troisième guerre mondiale, et voilà ce qu’il va faire pour anéantir tous les impies : « les saisons seront changées, la terre – entendre cette fois le globe terrestre – ne produira que de mauvais fruits ». Cela ne sera pas dû à un hiver nucléaire, car voici la raison de ce changement soudain : « les astres perdront leurs mouvements réguliers » , c’est-à-dire que du globe terrestre on aura l’impression que les astres dans le Ciel ont perdu leurs mouvements réguliers, parce que Dieu renversera les axes de rotation du globe terrestre, ce qui aura pour effet de faire perdre l’équilibre à tout ce qui se trouvera en surface de ce globe , d’où les phénomènes suivants : « la lune ne reflétera qu’une faible lumière rougeâtre , l’eau et le feu donneront au globe de la terre des mouvements convulsifs et d’horriblement tremblements de terre qui feront engloutir des montagnes , des villes, etc. » , en un mot, ce sera la fin du monde, mes enfants.
Sur la terre, les nations seront dans l'angoisse et la perplexité du rugissement et de la mer.