WWIII : Les Sionistes responsables des 6 Millions de morts de la Shoah, jouent leur dernier va-tout. Ils préfèrent mettre le feu au Moyen Orient que de s'avouer vaincu. Ils accusent le Monde d'être Antisémite alors que seulement 5% des Juifs sont Sémites.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Les Sionistes responsables des 6 Millions de morts de la Shoah, jouent leur dernier va-tout. Ils préfèrent mettre le feu au Moyen Orient que de s'avouer vaincu. Ils accusent le Monde d'être Antisémite alors que seulement 5% des Juifs sont Sémites.

Alors que la Russie de Poutine et la Chine de Xi-Jinping, marchent sur des œufs avec la Syrie et la Turquie, les Américains, les plus grands destructeurs de la planète pourraient rayer le Moyen-Orient des cartes, si jamais Israël devait renoncer au Grand Israël des Maîtres du Monde et des Rothschild (voir en fin de page).

Selon Benjamin Netanyahou, “Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs”, le mufti palestinien “si”.
Depuis quelques jours, la toile ainsi que les médias s’enflamment suite aux déclarations islamophobes et révisionnistes de Benjamin Netanyahou. Le 1er Ministre israélien a déclaré qu'”Hitler ne voulait pas exterminer les juifs”.

Alors que la Palestine explose, que “l’intifada des couteaux” bat son plein, Netanyahou n’a pas hésité à accuser l’ancien Mufti de Jérusalem d’être responsable de la mort de 6 millions de juifs lors d’un discours devant le 37e congrès sioniste.

Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs à cette époque, il voulait expulser les Juifs. Et Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et lui a dit : “Si vous les expulsez, il vont tous venir ici (en Palestine)”. “Alors que devrais-je faire d’eux ?”, a demandé Hitler. “Brûlez-les”, lui a-t-il répondu.”

Des propos extrêmement graves qui ont rapidement provoqué un tollé en Israël et dans le monde entier. Le chef de l’opposition, Yitzhak Herzog, a accusé le Premier ministre de “distorsion dangereuse de l’histoire” tout en exigeant qu’il revienne sur ses propos. Pour Mahmoud Abbas, chef de l’Autorité Palestinienne, les israéliens utilisent “leur histoire, les actes criminels qui leur ont été infligés” pour “accuser Haj Amin al-Husseini au lieu d’Hitler”.

A noter que les experts et historiens reconnus pour leurs travaux sur la Seconde Guerre Mondiale et l’Holocauste récusent ces accusations. Derrière ces propos, certains observateurs accusent le 1er Ministre israélien de vouloir déshumaniser le peuple palestinien, en l’accusant directement d’être à l’origine de la Shoah.

Les Sionistes avaient obtenu de Balfour la création de l'Etat d'Israël sur le papier et Hitler en 1933 l'a mis en application en créant l'Etat Juif. Le traité de transfert des Juifs Haavara en est le témoignage et la création d'Israël.

La déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte datée du et signée par Arthur Balfour, le Foreign Secretary britannique. Elle est adressée à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937), éminence de la communauté juive britannique et financier du mouvement sioniste, aux fins de retransmission.

« Cher Lord Rothschild,
J'ai le grand plaisir de vous adresser, de la part du Gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante, sympathisant avec les aspirations juives sionistes, déclaration qui, soumise au cabinet, a été approuvée par lui.
Le Gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un Foyer national pour le peuple juif et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte soit aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, soit aux droits et au statut politiques dont les Juifs disposent dans tout autre pays.
Je vous serais obligé de porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste (en). »

— Arthur James Balfour.

La déclaration est publiée dans le Times de Londres le 9 novembre, dans l'encart « Palestine for the Jews. Official Sympathy. »

Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un foyer national juif. Cette déclaration est considérée comme une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël[2]. En effet, la promesse qu'elle contient sera mise en œuvre durant la conférence de Paris (1919), préalable au traité de Sèvres (1920), confirmé par la conférence de San Remo (1920).

L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie d'Hitler, arrivé au pouvoir le 30 janvier 1933.

L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'État allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands. Les accords fonctionneront jusqu'en 1939.

L'accord Haavara (de Transfert) a été accepté par le gouvernement allemand de Hitler en 1933 pour permettre au mouvement sioniste, sous la forme de la société Hanotea, de transférer des biens d'Allemagne vers la Palestine, dans le seul but d'encourager l'émigration juive d'Allemagne. La société Haavara travailla sous un régime semblable à celui de l'entreprise Hanotea. Elle exigea que les immigrants paient au moins 1 000 livres sterling dans l'entreprise bancaire. Cet argent était alors utilisé pour acheter des biens d'exportation allemands pour l'importation vers la Palestine.

L'accord Haavara a été pensé par quelques membres des milieux diplomatiques allemands comme un moyen possible de débarrasser le pays de sa supposée « question juive ». Le chef de la division Moyen-Orient du ministère des Affaires étrangères, Werner Otto von Hentig (en), a soutenu la politique de concentration des Juifs en Palestine et la création d'un État juif. Hentig croyait que si la population juive était concentrée dans une seule entité étrangère, alors la politique étrangère diplomatique et de confinement des Juifs deviendrait plus facile. Le soutien d'Hitler à l'Accord Haavara varia tout au long des années 1930. Initialement, il critiqua l'accord, mais peu après changea d'avis, et le soutiendra, en dépit d'oppositions jusqu'en 1939.

Après l'invasion de la Pologne et le commencement de la Seconde Guerre mondiale en 1939, la poursuite pratique de l'accord Haavara devint impossible. En 1940, des représentants de l'underground du groupe sioniste Lehi rencontrèrent Hentig afin de proposer directement une coopération militaire avec les nazis et accélérer le transfert des juifs d'Europe vers la Palestine. Cette proposition, toutefois, ne produisit pas de résultats.

Sur 500 000 Juifs allemands et 200 000 autrichiens, seulement 50 000 émigrent en Palestine conformément à cet accord[

En avril 2016, l'ancien maire de Londres Ken Livingstone crée une polémique en affirmant qu'Hitler avait été sioniste, franc-maçon (avéré) et en accord avec les francs-maçons du B'nai B'rith Sioniste, organisme supranational qui en France est l'instigateur de la Politique. Netanyahu a également lavé Hitler de la Shoah en l'imputant au grand Mufti de Jérusalem de l'époque. Les Sioniste ont délibérément voulu atteindre l'Allemagne au portefeuille et obliger les nations à reconnaître un Etat que le Roi David avait lui-même conquis par les armes et perdu par les mêmes moyens. L'ETAT JUIF n'est qu'une illusion de ces états temporaires qui, un jour ou l'autre, subissent des renversements et des invasions qui éradiquent l'Etat précédent.

L’Ordre indépendant du B'nai B'rith (בני ברית, de l'hébreu : « Les fils de l'Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843, par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères, juifs émigrés d'Allemagne, qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain rôle dans l'élaboration de la Première Internationale (Association internationale des travailleurs). Ils voulaient fonder un système d'entraide pour les juifs arrivant aux États-Unis et devant faire face à des conditions de vie difficiles.

C'est à partir de cette base, d'aide humanitaire et de services, qu'un système de loges et chapitres fraternels grandit aux États-Unis, puis dans le monde entier en conquérant la finance et les marchés par les Banques Centrales des Rothschild et autres capitalistes Juifs, qui sont actuellement les Maîtres du Monde, et qui peuvent tout obtenir de par leurs réseaux Franc-Maçons et illuminatis. 

Notre notion de Démocratie et de représentation du Peuple par des élus à l'Assemblée Nationale, intègre la soumission au Nouvel Ordre Mondial de Juif, avec comme dirait Attali, comme capitale éternelle Jérusalem. Bien entendu le D.ieu des Juifs, de Noé, d'Abraham, de Moïse, de David, d'Isaac et de Jacob, n'est pas du tout d'accord, comme les Juifs ultra-orthodoxe, notamment les Américains, qui ne veulent absolument pas aller en Israël.

Dans la période que nous vivons, celle du Grand Satan, et du Grand Israël, l'Apocalypse pour ne pas la nommer, ce sont encore les Juifs qui ne font pas de politique qui vont payer.

Le sionisme et l’antisémitisme : l’accord Haavara signé en 1933 entre les autorités sionistes et nazies

“Si j’avais su qu’il était possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les transportant en Angleterre, mais seulement la moitié en les transportant en Palestine, j’aurais choisi la seconde solution – parce que nous ne devons pas seulement faire le compte de ces enfants, mais nous devons faire le compte de l’histoire du peuple juif.“ Ben Gourion, décembre 1938 (un mois après les Nuits de cristal) (1)

Une représentation de l’État d’Israël semble généralement aller de soi pour le sens commun, les autorités politiques et judiciaires internationales et nationales et même très souvent le discours académique. Israël incarnerait la vocation à « sauver les Juifs » : foyer d’accueil pour les rescapés du Génocide et havre de sécurité pour les Juifs persécutés du monde entier.

Pourtant le sionisme réel est loin d’être conforme à cette représentation, en fait l’idéologie sioniste, mythe fondateur de l’État d’Israël. (2) Un accord signé entre les autorités sionistes et nazies me paraît particulièrement révélateur.

Le 7 août 1933 - quelques mois à peine après l’arrivée de nazis au pouvoir le 30 janvier 1933 - l’Accord Haavara (passage, transfert en hébreu, l’expression hébraïque est également utilisée dans les documents nazis) a été conclu entre les plus hautes autorités de l’État nazi et les plus hautes autorités du mouvement sioniste, notamment celles de la communauté juive implantée en Palestine (le Yichouv, de Hayichouv Hayehoudi beEretz Israël, l’implantation juive en Terre d’Israël).

Selon cet accord, les Juifs d’Allemagne qui émigraient en Palestine, avaient la possibilité exclusive – l’accord stipulait que seule cette destination pouvait en bénéficier ­– d’y transférer une partie de leurs capitaux. (3) Un « capitaliste » – terme utilisé dans l’accord – qui voulait s’installer en Palestine était autorisé à conclure un contrat avec un exportateur allemand pour l’expédition de marchandises dans ce pays. Les marchandises concernées étaient notamment du bois d’œuvre, des pompes et des machines agricoles. L’exportateur allemand était payé sur le compte bloqué du Juif émigrant qui après son arrivée – souvent 2 ou 3 ans plus tard – recevait de l’Agence Juive la contrepartie en livres palestiniennes. L’accord concernait uniquement les Juifs qui disposaient de capitaux importants. (4) On notera qu’il s’agissait de clearing commercial et nullement d’échanger des Juifs contre des marchandises palestiniennes.

Des opérations de troc des mêmes marchandises allemandes contre des produits de Palestine se sont ajoutées aux opérations de clearing commercial. Toutes ces opérations se sont poursuivies, même après les Nuits de cristal du 8 au 10 novembre 1938, jusqu’à la Déclaration de Guerre en septembre 1939 selon Raul Hilberg (5) et jusqu’au milieu de la Guerre 1939-1945 selon Tom Segev. (6)

L’accord Haavara s’inscrit dans un important projet d’irrigation agricole en Palestine. Lévi Eshkol (à l’époque Lévi Shkolnik) a sans doute été le principal promoteur de l’accord. Il était un des fondateurs de la Histadrout – Fédération générale du travail – où il était le responsable de la promotion de l’agriculture coopérative. Au moment de la négociation et de la signature de l’accord, il était le représentant à Berlin d’une firme, Yachin (7), associée à la Histadrout. Selon la notice biographique diffusée par le Ministère des Affaires étrangères israélien : « En 1937, Levi Eshkol a joué un rôle central dans la création de la Compagnie des Eaux Mekorot et, dans ce rôle, il a contribué de façon décisive à convaincre le gouvernement allemand de permettre aux Juifs qui émigraient en Palestine d’emporter une partie de leurs fonds – principalement sous forme d’équipements fabriqués en Allemagne. Directeur général de Mekorot jusqu’en 1951, il a introduit un système national de gestion de l’eau qui a rendu possible une agriculture irriguée intensive. » (8) La compagnie Mekorot était associée à la Histadrout.

Il est évidemment significatif que le principal promoteur de l’accord Haavara soit un des plus hauts responsables de la communauté juive implantée en Palestine mandataire puis dans l’État d’Israël. Lévi Eshkol faisait partie du Haut Commandement de la Hagana, l’armée clandestine juive sous le Mandat britannique et, en 1950-1951, il est le directeur général du Ministère de la Défense. De 1949 à 1963, il est le chef du département de la colonisation de l’Agence juive. (9) En 1951, il devient Ministre de l’Agriculture et du Développement. Il est Ministre des Finances de 1952 à 1963. En 1963, il succède à David Ben Gourion à la fois comme Premier ministre et comme ministre de la Défense.

L’accord Haavara a suscité de vives oppositions parmi les Juifs de l’époque. Cet accord qui bénéficiait du soutien des plus hautes autorités nazies (10) et des plus hautes autorités sionistes (11), traduisait les intérêts complémentaires des nazis, qui voulaient que les Juifs quittent l’Allemagne, et des sionistes, qui voulaient qu’ils émigrent en Palestine. Or la plupart des Juifs allemands auraient préféré rester dans leur pays. L’idée d’un boycott économique et diplomatique international naquit aux États-Unis avec le soutien du Congrès juif américain. Il avait pour but d’essayer de forcer les nazis à mettre fin aux persécutions afin que les Juifs puissent continuer à vivre en Allemagne. (12)

Le débat entre l’incitation à l’émigration en Palestine et l’appel au boycott de l’Allemagne nazie s’inscrit dans l’opposition qui existait de longue date entre sionisme et assimilation, entre d’une part, la volonté de certains Juifs – une petite minorité – d’émigrer en Terre d’Israël et d’autre part, la volonté d’autres Juifs – une écrasante majorité – de rester dans leur pays ou d’émigrer ailleurs qu’en Israël, ce qui impliquait évidemment le désir que leurs droits humains soient respectés partout – notamment en Allemagne – et donc de combattre l’antisémitisme.

Selon Ben Gourion, « les assimilationnistes ont toujours déclaré la guerre à l’antisémitisme. Aujourd’hui, cette guerre s’exprime par un boycott contre Hitler. Le sionisme, lui, a toujours plaidé pour l’indépendance du peuple juif dans sa patrie. Aujourd’hui, certains sionistes ont rejoint le chœur des assimilationnistes : « guerre » à l’antisémitisme. Mais nous devons donner une réponse sioniste à la catastrophe que subissent les Juifs allemands – transformer ce désastre en une occasion de développer notre pays, et sauver les vies et la propriété des Juifs d’Allemagne pour le bien de Sion. C’est ce sauvetage qui a priorité sur tout le reste. » Et Ben Gourion de conclure que se focaliser sur le boycott constituerait un « échec moral » d’une envergure sans précédent. (13)

À l’évidence, « sauver les Juifs » n’était pas la priorité de celui qui, 10 ans plus tard, sera le père fondateur de l’État d’Israël. Le 7 décembre 1938, un mois à peine après les Nuits de cristal, Ben Gourion déclare : « Si j’avais su qu’il était possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les transportant en Angleterre, mais seulement la moitié en les transportant en Palestine, j’aurais choisi la seconde solution – parce que nous ne devons pas seulement faire le compte de ces enfants, mais nous devons faire le compte de l’histoire du peuple juif. » (14) Il s’agit tout simplement d’ultranationalisme, de la primauté absolue du bien de Sion sur tout le reste, y compris la vie des Juifs.

Les opérations de clearing commercial de l’accord Haavara permettaient exclusivement le départ des Juifs fortunés. Or les nazis voulaient aussi et bien plus encore se débarrasser de tous les autres. Reinhardt Heydrich, chef de la police de sécurité du Reich, déclare le 12 novembre 1938, soit 2 jours après les Nuits de cristal : « Le problème n’était pas de faire partir les Juifs riches mais de se débarrasser de la racaille juive. » Ce féroce antisémite a même mis sur pied – en soutirant des fonds à des Juifs fortunés – diverses formes d’aide pour que des Juifs pauvres puissent se payer le voyage en Palestine. (15)

J’ai noté que, dans le cadre de l’accord Haavara, le troc entre marchandises allemandes – matériaux de construction, pompes et machines agricoles – et palestiniennes s’était ajouté aux opérations de clearing commercial. Il semble clair que les autorités sionistes n’ont jamais envisagé de troquer des Juifs sans fortune contre des produits de Palestine. En d’autres termes, les plus hautes autorités du mouvement sioniste – notamment celles de la communauté juive implantée en Palestine – ont préféré se procurer des instruments de colonisation plutôt que de permettre à des Juifs d’échapper au massacre nazi. Ce qui est parfaitement conforme au sionisme réel : la priorité absolue à la colonisation de la Terre d’Israël.

Les quelque 20 000 Juifs fortunés qui ont bénéficié de l’accord Haavava lui doivent plus que probablement la vie (16) puisque les 200 000 Juifs d’Allemagne et d’Autriche qui n’ont pas réussi à fuir parce qu’ils ne disposaient pas des capitaux nécessaires, ont pratiquement tous été assassinés.

En 1953, ces Juifs assassinés ont quand même pu contribuer au « bien de Sion » puisqu’ils ont permis à l’État d’Israël d’obtenir des « réparations » un peu plus plantureuses. En effet, le nombre des victimes juives du génocide a servi de base au calcul du montant des « réparations » allemandes. Au moment où elles négociaient ce montant, les autorités de l’État d’Israël – celles-là mêmes qui avaient négocié l’accord Haavara – ont envisagé, sans doute par gratitude, d’accorder la citoyenneté israélienne à titre posthume aux victimes du génocide. (17)

L’accord Haavara montre clairement qu’en pleine terreur antisémite, le but des autorités sionistes n’était pas de combattre l’antisémitisme – « sauver les Juifs » – mais de l’exploiter afin de coloniser la Palestine, Terre d’Israël. « La veille des pogroms de la Nuit de Cristal, Ben Gourion déclarait que la « conscience humaine » pourrait amener différents pays à ouvrir leurs portes aux Juifs réfugiés d’Allemagne. Il y voyait une menace et tira un signal d’alarme : « Le sionisme est en danger ! » (18)

Aujourd’hui, la machine de propagande israélienne – avec ses puissantes officines à l’étranger, telles l’AIPAC aux États-Unis, l’EIPA (Europe-Israel Press Association) et l’AJC Transatlantic Institute auprès des institutions européennes, le CRIF en France, le CCOJB en Belgique, ... – perpétue l‘exploitation de l’antisémitisme au service de l’État d‘Israël. La tâche est toutefois plus ardue qu’au temps des nazis car de nos jours, la haine meurtrière des Juifs est tout fait marginale. Dès lors, cette machine de propagande – avec l’efficacité que lui confère une odieuse invocation du génocide – ressasse que l’antisémitisme meurtrier est omniprésent, particulièrement chez les Palestiniens et parmi les immigrations musulmanes, et que les condamnations de la politique officielle de l’État d’Israël envers les Palestiniens n’expriment pas une révulsion face à des crimes contre l’humanité et à des crimes de guerre mais la volonté antisémite immémoriale de détruire les Juifs. De plus, cette machine de propagande proclame sans cesse que pratiquement tous les Juifs s’identifient à l’État d’Israël et soutiennent sa politique criminelle, ce qui constitue une incitation à l’antisémitisme bien plus efficace que les ignobles mensonges largement discrédités des négationnistes.

Jacques Bude

Annexion du Golan: le SOS d'Israël

Annexion du Golan: le SOS d'Israël

Le ministre israélien de la Sécurité intérieure évoque les « menaces » auxquelles est confronté le régime de Tel-Aviv et déclaré qu’ "il faut profiter de l’ère Trump pour l’annexion officielle du Golan syrien occupé".

Gilad Ardan a insisté sur le fait qu’il fallait "profiter du catalyseur Trump pour l’annexion officielle du territoire syrien", rapporte mercredi la chaîne d’information turque TRT.

La zone syrienne de 1.154 km2 , occupée par Israël en 1967, représentait au départ un intérêt militaire pour Ie régime mais elle a un autre atout: elle présente aussi un intérêt économique crucial, puisqu'elle compte des terres agricoles fertiles et d'importantes ressources en eau.

En plus, une compagnie israélo-états-unienne a également exploité le pétrole du Golan et depuis la découverte de ces ressources, la pression diplomatique des occupants en faveur d'une reconnaissance officielle de l'annexion de ces territoires s’est intensifiée.

Pour Gilad Ardan, les États-Unis de Trump ont servi de « catalyseur » à l’agressivité politique et militaire de son régime, reconnaissant Qods comme la capitale du régime factice israélien, mais ce n’est toujours pas suffisant car il faut profiter de cette occasion pour une reconnaissance officielle de l’annexion du territoire syrien.

Accusant le chef de l’Autorité autonome palestinienne, Mahmoud Abbas, de vouloir internationaliser le conflit, le ministre israélien a qualifié de "dangereuse" son opposition au dialogue direct avec Israël.

"Abbas cherche à internationaliser le conflit israélo-palestinien et à mobiliser le monde pour boycotter Israël et porter atteinte à nos intérêts", a-t-il estimé avant de conclure que "les principales menaces qui pèsent aujourd’hui sur Israël sont l’intifada palestinienne et le boycotte mondial d’Israël".

L'annexion de quelque 70 % du plateau syrien par Israël n'a jamais été reconnue au niveau international, et le régime de Tel-Aviv et de Damas restent officiellement en état de guerre.  

USA et GB voulaient lancer des bombes atomiques sur les champs pétroliers du Moyen-Orient

Avec la fin de la Seconde Guerre mondiale et le rôle de premier plan joué par le pétrole brut dans ses résultats, les services secrets britanniques et américains ont élaboré des scénarios consistant à lancer des bombes atomiques sur les zones pétrolières arabes et iraniennes, si les Soviétiques essayaient d'envahir le Moyen-Orient.


Dans notre précédent article, Les troupes américaines et turques se dirigent vers une confrontation directe en Syrie, nous avons vu que les néocons américains préconisent aujourd'hui  d'attaquer massivement la Syrie, l'Iran, et leur allié russe, quitte à utiliser les bombes atomiques. Voici ce qu'ils préconisent  :

Problème
solution
1- Bases militaires russes. ...
 
2- Acceptation de Bachar al-Assad. ...
3- Désescalade  syrienne. ...
4- Le processus de "paix". ...
5- Iran et Al-Qaïda. ...     
 
1. les pulvériser par des bombes atomiques
2. le tuer
3. L’arrêter
4. On s’en fout
5. Les détruire totalement

Les États-Unis doivent faire face à la réalité en Syrie. Ils doivent reconnaître la menace que représente la Russie. Ils doivent reconnaître les limites de leurs partenaires actuels sur le terrain. Ils ne doivent pas croire en une mascarade diplomatique. Ils doivent mettre en œuvre une véritable stratégie contre al-Qaïda et l'Iran. Et ils doivent reconnaître la supériorité de l'action américaine sur la rhétorique américaine….

Avec le recul, en particulier pour les jeunes générations, cela pourrait sembler excentrique, mais pas pour ceux qui se souviennent de la guerre froide et de la paranoïa qui sévissait alors, comparable aux délires anti russes que l'on voit aujourd'hui en Occident, surtout  en Grande Bretagne et en Amérique. 
Selon ZeroHedge, dans les années 50, les services de renseignement britanniques et américains étaient préoccupés par une possible expansion soviétique vers le Moyen-Orient, qui était à l'époque la principale source de pétrole brut pour les deux pays. Pas étonnant que la région ait été, déjà,  "un problème de sécurité"  prioritaire pour les deux principaux pays impérialiste.
Les plans ont d'abord été élaborés par le président américain Truman en 1949, écrit Sputnik, citant un certain nombre de documents récemment déclassifiés du Royaume-Uni et des Etats-Unis.


Surnommés «négationnisme pétrolier», les plans prévoyaient que le personnel occidental des compagnies pétrolières du Moyen-Orient saboterait leurs propres champs pétrolifères et leurs raffineries en cas d'invasion soviétique, dans l'espoir de restreindre l'accès des envahisseurs à cette denrée précieuse. On comprend pourquoi, un certain Khadafi, avait, dès son accession au pouvoir en Libye, avait commencer par "nationaliser" le personnel pétrolier, en renvoyant chez eux les Britannique et les Américains, et en les remplaçant par des Libyens, dans les années 70.

Selon les documents déclassifiés, les gouvernements iranien et irakien étaient particulièrement peu susceptibles de coopérer avec les compagnies pétrolières pour saboter leur propre industrie pétrolière.  La raison en était que le Royaume-Uni n'avait plus de présence monopolistique dans ces deux pays, malgré le coup d'État de 1953 dirigé par les États-Unis en Iran, qui a ramené le shah au pouvoir et BP à la tête de l'industrie pétrolière iranienne. BP était à la barre, c'est vrai, mais le gouvernement iranien contrôlait les raffineries et en construisait d'autres. Le scénario d'invasion soviétique impliquait non seulement des champs pétrolifères mais aussi des raffineries. Craignant que les gouvernements irakien et iranien ne se montrent réticents à jouer avec les plans de sabotage, la Grande-Bretagne ne disposait que de peu d'options pour, soi-disant, empêcher les Soviétiques de mettre la main  du pétrole. Les frappes aériennes étaient l'option la plus logique, mais il y avait aussi un problème: il n'y avait pas assez d'avions pour effectuer toutes les attaques nécessaires en cas d'invasion. 
 En conséquence, l'option nucléaire a été mise sur la table par un comité conjoint des chefs d'état-major au milieu des années 1950
Des discussions ont eu lieu entre les services secrets et les autorités militaires des Américains et de Britanniques sur l'utilisation conjointe des frappes nucléaires sur les raffineries contrôlées par le gouvernement en Irak et en Iran, mais aucun document  déclassé n'a donné l'état d'approbation du plan nucléaire. En tout cas, les frappes nucléaires américaines sur les installations pétrolières iraniennes étaient considérées comme «le seul moyen possible de refuser le pétrole» iranien à la Russie, malgré le fait que le shah était pro-occidental.
 
Plus de discussions ont suivi, et les armes nucléaires ont finalement été retirées de la table, grâce à George Prussing, un agent de la CIA, qui a été chargé de travailler avec les compagnies pétrolières du Moyen-Orient pour assurer le succès des plans de destruction du pétrole.
Prussing a conclu que la démolition au sol des champs et des installations était préférable et coûtait moins cher.  
Pourtant, il est bon que les Soviétiques n'aient jamais essayé de s'étendre au Moyen-Orient, car en si peu de temps après Hiroshima et Nagasaki, les armes nucléaires étaient encore très populaires en tant que solution de problèmes ultime. 
A l'époque comme aujourd'hui, des millions de morts  arabes ou iraniens importent peu aux Occidentaux, pourvu qu'ils contrôlent le pétrole et que personne d'autre n'en profite.

Les troupes américaines et turques se dirigent vers une confrontation directe en Syrie

Deux jours après que nous avions annoncé que la Turquie exigeait que les forces américaines évacuent les bases militaires du district syrien de Manbij, lorsque le ministre turc des affaires étrangères, Melet Cavusoglu, a déclaré qu'Ankara appelait les États-Unis à cesser tout soutien aux forces et aux milices kurdes syriennes. Lundi, un général américain a déclaré que les troupes américaines ne se retireraient pas de la ville de Manbij, au nord de la Syrie, rejetant les demandes d'Ankara de se retirer de la ville et risquant une confrontation potentielle entre les deux alliés de l'OTAN.
 
Selon ZeroHedge:
S'exprimant sur CNN, le général Joseph Votel, chef du Commandement central des États-Unis, a déclaré que le retrait des forces américaines de la ville stratégiquement importante «n'est pas quelque chose que nous examinons».
La semaine dernière, les troupes turques sont entrées en Syrie pour pousser hors d’Afrin les Kurdes soutenus par les États-Unis. Dans le cadre de l'offensive turque, le président Erdogan a averti que l'offensive pourrait bientôt cibler les «terroristes» à Manbij, à quelque 100 km à l'est d'Afrin.
"Avec cette opération "Branche d’olivier ", nous avons encore une fois contrecarré le jeu de ces forces sournoises dont les intérêts dans la région sont différents", a déclaré M. Erdogan dans un discours aux dirigeants provinciaux à Ankara la semaine dernière. "A partir de Manbij, nous continuerons à contrecarrer leur jeu."
Mais pas si les États-Unis sont toujours là, car les États-Unis n'ont aucune intention de déménager. Donc, pour la première fois dans l'histoire, nous sommes, peut-être,  sur le point d'assister à une guerre entre deux membres de l'OTAN.
Le colonel Ryan Dillon, porte-parole de la coalition dirigée par les États-Unis, a déclaré aux médias kurdes dimanche que les forces américaines continueraient à soutenir leurs alliés kurdes - malgré les menaces d'Erdogan.
 
"La Turquie sait où sont nos forces à Manbij, et ce qu'elles font là-bas, et pourquoi elles sont là-bas : pour empêcher toute escalade entre les groupes qui se trouvent dans cette zone", a déclaré Dillon à Rudaw TV. "La Coalition continuera à soutenir nos forces démocratiques syriennes dans la lutte contre l'État islamique. Nous l'avons dit tout le temps, et nous l'avons dit avec les éléments kurdes du SDF. Nous leur fournirons l'équipement nécessaire pour vaincre ISIS. "
Cependant, dans une apparente contradictoire communication, le Conseiller à la Sécurité Nationale, H.R. McMaster, a déclaré un jour plus tôt que les États-Unis ne fourniraient plus d'armes aux combattants YPG ou au Parti de l'Union démocratique (PYD.
La dernière offensive turque en Syrie a encore tendu la relation déjà controversée entre Washington et Ankara. Un porte-parole de la Maison Blanche a fait remarquer la semaine dernière que l'opération "risque de provoquer un conflit entre les forces turques et américaines" en Syrie. Dans une mesure sans précédent, la présidence turque est allée, la semaine dernière, jusqu’à corriger le compte-rendu fait par la Maison-Blanche de la conversation téléphonique entre Trump et Erdogan, accusant explicitement Trump de mentir.
La campagne d'Afrin suit le vœu d'Erdogan d'étrangler la Force de sécurité frontalière (Border Security Force BSF) créée et soutenue par les États-Unis en Syrie. Comme discuté précédemment, la coalition dirigée par les États-Unis a annoncé en janvier qu'elle allait créer la BSF, forte de 30.000 personnes, à prédominance kurde.
En attendant, confirmant que la Turquie n'a pas l'intention de reculer, et si quelque chose continue à faire pression pour assurer une confrontation armée avec les États-Unis, Jenan Moussa de l'arabe Al Aan TV,  rapporte  que : "une énorme histoire se développe maintenant." A savoir, qu'un grand convoi de l'armée turque comprenant des APC (véhicules de transport de troupes) est conduit à travers Idlib contrôlé par la HTS (Hayat Tahrir al-Cham) en direction d'une ligne de front contrôlée par les rebelles avec les forces gouvernementales et les alliés syriens. Le convoi de l'armée turque a été escorté par le groupe HTS lié à Al-Qaïda. "
Moussa note que les avions russes étaient dans le ciel alors que le convoi turc traversait la province d'Idlib contrôlée par le HTS. Ils ont même bombardé à une distance de 15 kilomètres du convoi. "Une grande question se pose maintenant: est-ce que les Turcs se déplacent avec l'approbation ou au mépris des Russes?"
Pour l'instant, la réponse semble être non:
Il semble pour l'instant que les Russes ne vont pas permettre au convoi de l'armée turque de passer. D'après une source au sol, le convoi retournera en direction de la Turquie. Je suis en contact avec les sources sur le terrain dans Idleb et je me mettrai à jour au fur et à mesure que les nouvelles se développeront.
En raison des bombardements russes à proximité et des bombardements syriens, des témoins au sol disent maintenant que le convoi militaire turc a éteint ses lumières et qu'il attend dans la région. Nous essayons de savoir s'ils vont revenir en arrière ou continuer à avancer malgré les avertissements.
Erdogan sera-t-il assez fou pour entamer une bataille régionale contre les États-Unis et la Russie en même temps sur le sol syrien, ou bien la Russie va-t-elle se ranger du côté de la Turquie dans son "offensive défensive"? Nous allons le savoir dans un avenir immédiat.
Les néo-cons réclament une guerre de plus grande ampleur (Moon of Alabama)
La politique et les médias américains reconnaissent maintenant ce que nous avons rapporté le 21 décembre. L'annonce faite par les États-Unis de constituer une armée de 30.000 hommes du PKK dans le nord-est de la Syrie a été un désastre. Il a incité la Turquie à lancer son attaque contre les Kurdes des YPG / PKK à Afrin. La Turquie menace de quitter l'OTAN pour aller dans les bras ouverts de la Russie. Il donne aussi au gouvernement syrien un nouvel effet de levier contre les Kurdes syriens.
Sous les menaces turques d'attaquer les forces américaines en Syrie, l'administration Trump a dû se retirer - du moins dans sa rhétorique. Indépendamment de qui dirige la Turquie, le pays n'acceptera jamais une entité kurde armée à sa frontière sud. Les États-Unis auraient dû savoir cela.
Cet échec du plan de l'administration Trump a incité les propagandistes néoconservateurs à faire pression pour une guerre américaine complète contre la Syrie et ses alliés. Le magasin du lobby de la famille judéosioniste Kagan [1], l'Institut pour l'étude de la guerre, a eu son stylo personnel junior un mot d'ordre pour Foxnews pour plaider en faveur d'un nouvel objet d'étude:
Les États-Unis doivent rapidement modifier la façon dont ils exécutent la politique dans cinq domaines clés.
 
Problème
solution
1- Bases militaires russes. ...
 
2- Acceptation de Bachar al-Assad. ...
3- Désescalade  syrienne. ...
4- Le processus de "paix". ...
5- Iran et Al-Qaïda. ...     
 
1. les pulvériser par des bombes atomiques
2. le tuer
3. L’arrêter
4. On s’en fout
5. Les détruire totalement
 
Les États-Unis doivent faire face à la réalité en Syrie. Ils doivent reconnaître la menace que représente la Russie. Ils doivent reconnaître les limites de leurs partenaires actuels sur le terrain. Ils ne doivent pas croire en une mascarade diplomatique. Ils doivent mettre en œuvre une véritable stratégie contre al-Qaïda et l'Iran. Et ils doivent reconnaître la supériorité de l'action américaine sur la rhétorique américaine….
 
Il faudra du temps et une lutte acharnée pour parvenir à un résultat en Syrie, conforme à ce que les États-Unis acceptent de  vivre avec. Il est temps de s'y consacrer, de lui consacrer des ressources et de se préparer à le faire pendant longtemps.
"Pendant longtemps" me semble une occupation de plusieurs décennies sur le  champ de bataille syrien et les zones adjacentes. Je doute que tout politicien qui veut être réélu votera pour cela.
Un deuxième article néocon, celui de Josh Rogin, a été posté sur le blog de Jeff Bezos: L’équipe Trump doit faire correspondre son action à sa nouvelle rhétorique sur la Syrie.
Il n'est pas utile de citer tous les non-sens, mais voici quelques-unes des figures de rhétorique qu'il utilise:
    ... la volonté et l'influence nécessaires pour mener une solution à la crise syrienne - défendre les intérêts américains - face à la menace terroriste en cours - l'expansion iranienne - l'agression brutale de Bachar al-Assad - l'influence sur le terrain - l'effort herculéen - un contingent qui veut battre en retraite - un vrai plan - défaut fondamental - un manque de levier suffisant sur le terrain ...
Après avoir jeté les bases d'une occupation massive de la Syrie par les États - Unis, Rogin affirme que "personne ne préconise" une "forte augmentation des troupes américaines". Son conseil est alors de faire plus de choses qui ont tout simplement échoué: s'en tenir aux Kurdes, payer des tribus arabes (aka ancien ISIS), armer les rebelles (al-Qaïda) à Idleb. Mais alors vient la vraie gaffe:
    l'administration Trump devrait augmenter la pression sur Assad, la Russie et l'Iran, y compris par des sanctions, par une menace crédible de la force américaine et tout ce qui pourrait les persuader.
Maintenant, quelle est s'il vous plaît une "menace crédible de la force américaine" contre ces trois pays? Et ces pays pourraient-ils avoir en retour la capacité d’une menace crédible? Qui va gagner la guerre thermonucléaire sur la base du désert de Tanf dans le sud-est de la Syrie?
    Un an après la présidence de Trump, son administration affirme que les États-Unis ont un intérêt à long terme pour la Syrie. L'étape suivante consiste à faire correspondre ces mots avec l'action.
Je n'ai aucun doute que les deux articles ci-dessus ont été coordonnés. On en verra d’autres du même genre. Le thème commun est «action» et, même si ce n'est pas dit ouvertement, ils exigent une plus grande guerre américaine contre la Syrie. Les bénéficiaires non mentionnés d'une telle guerre, à côté des financiers producteurs d'armes qui financent ces écrivains, seraient Israël et l'Arabie Saoudite.
Les auteurs néoconservateurs et leurs éditoriaux devraient être ignorés. Mais la guerre en Irak a montré qu'il y avait un sérieux pouvoir politique derrière eux. Maintenant, quelqu'un à la Maison Blanche devra prendre ces arguments pour essayer de convaincre Trump de leur pertinence.

 

Pink nectarine trees in the Golan Heights region of northern Israel

  
“In days to come Jacob shall take root, Israel shall blossom and put forth shoots, and fill the whole world with fruit.”  (Isaiah 27:6)
 
 Shalom to you,
 
Today, Israelis are celebrating a new year (Rosh Hashanah) — one of the four new years on the Hebrew calendar:  Rosh HaShanah La’Ilanot — New Year for Trees.
 
It is more commonly known as Tu B’Shvat, which means the 15th of the calendar month, Shevat.
 
In Israel, the Jewish People dedicate this day to the reviving of the Land by planting trees — an idea close to God’s heart, for He Himself planted trees!
 
“Now the LORD God had planted a garden in the east, in Eden; and there He put the man He had formed.”  (Genesis 2:8)
 
People of all ages, especially farmers and kibbutz dwellers, young adults and school children, will plant tree saplings all over the Land of Israel today.
 
Let's discover why the planting of trees is so important to God and to the nation of Israel.
 

In 1908, the Association of Hebrew Teachers adopted tree planting as a

national endeavor.  Today on this holiday, school children throughout Israel
are planting trees.

 
New Year for Trees
 
Today is not a Biblical holiday; however, it began as a way to fulfil the Biblical commandment to tithe produce.
 
Leviticus 19:23 says that fruit from a tree may not be eaten during the first three years of its life.  “In the fourth year all its fruit will be holy, an offering of praise to the LORD.” (v. 24)
 
So, how would an early Israelite calculate when a tree is four years old in order to bring its fruit to the Temple as an offering?
 
The first century Rabbi Hillel appointed the 15th day of Shevat to be the day a tree ages one year (as recorded in the Mishna, Tractate Rosh HaShannah).
 
What happens on Tu B’Shvat, however, now that the Temple no longer exists?
 

 

Vegetables were also tithed and brought to the Temple as a
thank offering unto the Lord (Deuteronomy 26:1–11). 
(Providence Lithograph Company)

 
Tu B’Shvat in Exile
 
After the Romans laid siege to Jerusalem in AD 70, destroying the Temple, no more fruit offerings could be made.
 
Moreover, the Jewish people were scattered throughout the world and for almost 1,900 years, no one was taking care of the trees in the land.
 
In 1867, Mark Twain described its barrenness in The Innocents Abroad:
 
“[Israel is a] desolate country whose soil is rich enough, but is given over wholly to weeds … a silent mournful expanse …. a desolation. … We never saw a human being on the whole route. … hardly a tree or shrub anywhere.  Even the olive tree and the cactus, those fast friends of a worthless soil, had almost deserted the country.”
 

 

Jerusalem in the early 1900s (Source: US Library of Congress)

 
Even in the last few years, Arab arsonists have destroyed large parts of  beautiful forests in Israel; if only they knew the Bible and God’s heart for His creation — the trees.
 
“When you lay siege to a city for a long time, fighting against it to capture it, do not destroy its trees.”  (Deuteronomy 20:19)
 
With no Temple in Jerusalem where fruit offerings can be made, Tu B’Shvat has come to represent the return to the Land that God gave the Jewish People for an everlasting possession.
 
“The whole land of Canaan, where you now reside as a foreigner, I will give as an everlasting possession to you and your descendants after you; and I will be their God."  (Genesis 17:8; also 48:4)
 
Returning to our God-given inheritance comes with responsibilities to replenish the land with trees.
 
Sages and Rabbis of the Diaspora (dispersion among the nations) exhorted the Jewish People, “When you first come into the Land of Israel you are to engage in no other work than planting.”  (Midrash Rabba, Lev. 25)
 
Rabbi Yochanan ben Zakkai even said, “If a seedling were in your hand and you were told the Messiah is at hand, come and plant the seedling and then go and greet him.”  (Avot D’Rabbi Nathan)
 

The Jerusalem mountains have been repopulated with lush tree life.
 
Tu B'Shvat Back in the Land
 
Israel is Messiah’s country and was created to be a blessing to the whole world.
 
Today, the land that was once barren and lifeless is now an exporter of fruits and flowers to the world, as foretold in Isaiah 27:6:
 
“In days to come Jacob shall take root, Israel shall blossom and put forth shoots, and fill the whole world with fruit.”
 
Exports of fruits and vegetables in 2016 totalled $740 million.  (IsraelAgri)
Date palms in northern Israël
 
The early Jewish pioneers in the late 19th and early 20th centuries followed the words of the Rabbis as they bravely repopulated the land.
 
Additionally, the Jewish National Fund (JNF) was established in 1901 by Theodore Herzl, a leading figure of the early Zionist movement, to oversee land reclamation and development.
 
The JNF effectively stopped an outbreak of malaria in the Hula Valley (north of the Sea of Galilee) by planting eucalyptus trees.
 
In 1905 olive groves were planted in memory of Herzl and with this, the JNF embarked on the new venture of establishing forests.
Entrance to Forest of the Martyrs.  Six million Mediterranean and native

Israeli trees were planted by the JNF and B’Nai Brith International (an Israel
advocacy group) along the banks of the Kisalon River in the Jerusalem
corridor.  Each tree commemorates a victim of the Holocaust.

 
Every year, the JNF schedules major tree-planting events in Israel, with over a million Israelis taking part.  Since 1905, the JNF has planted around 250 million trees!
 
“The wilderness and the dry land shall be glad, the desert shall rejoice and blossom; like the crocus it shall blossom abundantly, and rejoice with joy and singing.”  (Isaiah 35:1)
 
Who would have thought that Israel could be regathered again as a nation after 2,000 years and blossom as Isaiah foresaw, for the LORD’s sake?
 
“Instead of the thorn shall come up the cypress; instead of the brier shall come up the myrtle; and it shall be to the Lord for a memorial, for an everlasting sign that shall not be cut off.”  (Isaiah 55:13)
Blossoming almond trees:  “The next day Moses entered the tent and

saw that Aaron’s staff, which represented the tribe of Levi, had not
only sprouted but had budded, blossomed and produced almonds.”
(Numbers 17:8)

Torah, Trees, and Messiah
 
Tu B'Shvat also has deep spiritual significance.
 
The Torah (first five books of the Bible) is considered a Tree of Life in the Jewish community, a source of divine nourishment and sustenance.
 
Because of this, when the Torah scroll is returned to the ark (its protective cabinet) during a synagogue service, the congregation recites Proverbs 3:18:
 
“She is a tree of life to those who take hold of her; those who hold her fast will be blessed.”
 
The Apostle John tried to help the Jewish People understand that this tree of life — the Word of God they tenderly hold in their arms  — cannot be contained to a piece of parchment housed inside a protective case.
 

A boy carries a Torah scroll inside a silver tik (case) on his Bar Mitzvah at the Western (Wailing) Wall
 That Tree of Life manifested in human skin!
 
“In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. … The Word became flesh and made His dwelling among us.  We have seen his glory, the glory of the one and only Son, who came from the Father, full of grace and truth."  (John 1:1, 14)
 
As the Word of God in flesh, Yeshua (Jesus) spent much of His time explaining through words and miraculous encounters (even raising the dead) that He is the source of everlasting life.
 
“My sheep listen to my voice; I know them, and they follow me.  I give them eternal life, and they shall never perish.”  (John 10:27–28)
Yeshua Teaches People by the Sea, by James Tissot
 The Jewish People are trying to enter eternal life by producing fruit on their own merit, without their Messiah.
 
But Yeshua said, I am the vine; you are the branches.  If you remain in me and I in you, you will bear much fruit; apart from me you can do nothing.” (John 15:5)
 
Will you partner with us as we introduce the Jewish people to their Messiah Yeshua, the source of everlasting life and divine fruitfulness?
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