WWIII : Les Sionistes responsables des 6 Millions de morts de la Shoah, jouent leur dernier va-tout. Ils préfèrent mettre le feu au Moyen Orient que de s'avouer vaincu. Ils accusent le Monde d'être Antisémite alors que seulement 5% des Juifs sont Sémites.
WWIII : Les Sionistes responsables des 6 Millions de morts de la Shoah, jouent leur dernier va-tout. Ils préfèrent mettre le feu au Moyen Orient que de s'avouer vaincu. Ils accusent le Monde d'être Antisémite alors que seulement 5% des Juifs sont Sémites.
Alors que la Russie de Poutine et la Chine de Xi-Jinping, marchent sur des œufs avec la Syrie et la Turquie, les Américains, les plus grands destructeurs de la planète pourraient rayer le Moyen-Orient des cartes, si jamais Israël devait renoncer au Grand Israël des Maîtres du Monde et des Rothschild (voir en fin de page).
Alors que la Palestine explose, que “l’intifada des couteaux” bat son plein, Netanyahou n’a pas hésité à accuser l’ancien Mufti de Jérusalem d’être responsable de la mort de 6 millions de juifs lors d’un discours devant le 37e congrès sioniste.
Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs à cette époque, il voulait expulser les Juifs. Et Haj Amin al-Husseini est allé voir Hitler et lui a dit : “Si vous les expulsez, il vont tous venir ici (en Palestine)”. “Alors que devrais-je faire d’eux ?”, a demandé Hitler. “Brûlez-les”, lui a-t-il répondu.”
Des propos extrêmement graves qui ont rapidement provoqué un tollé en Israël et dans le monde entier. Le chef de l’opposition, Yitzhak Herzog, a accusé le Premier ministre de “distorsion dangereuse de l’histoire” tout en exigeant qu’il revienne sur ses propos. Pour Mahmoud Abbas, chef de l’Autorité Palestinienne, les israéliens utilisent “leur histoire, les actes criminels qui leur ont été infligés” pour “accuser Haj Amin al-Husseini au lieu d’Hitler”.
A noter que les experts et historiens reconnus pour leurs travaux sur la Seconde Guerre Mondiale et l’Holocauste récusent ces accusations. Derrière ces propos, certains observateurs accusent le 1er Ministre israélien de vouloir déshumaniser le peuple palestinien, en l’accusant directement d’être à l’origine de la Shoah.
Les Sionistes avaient obtenu de Balfour la création de l'Etat d'Israël sur le papier et Hitler en 1933 l'a mis en application en créant l'Etat Juif. Le traité de transfert des Juifs Haavara en est le témoignage et la création d'Israël.
La déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte datée du et signée par Arthur Balfour, le Foreign Secretary britannique. Elle est adressée à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937), éminence de la communauté juive britannique et financier du mouvement sioniste, aux fins de retransmission.
« Cher Lord Rothschild,
J'ai le grand plaisir de vous adresser, de la part du Gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante, sympathisant avec les aspirations juives sionistes, déclaration qui, soumise au cabinet, a été approuvée par lui.
Le Gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un Foyer national pour le peuple juif et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte soit aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, soit aux droits et au statut politiques dont les Juifs disposent dans tout autre pays.
Je vous serais obligé de porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste (en). »
— Arthur James Balfour.
La déclaration est publiée dans le Times de Londres le 9 novembre, dans l'encart « Palestine for the Jews. Official Sympathy. »
Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un foyer national juif. Cette déclaration est considérée comme une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël[2]. En effet, la promesse qu'elle contient sera mise en œuvre durant la conférence de Paris (1919), préalable au traité de Sèvres (1920), confirmé par la conférence de San Remo (1920).
L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie d'Hitler, arrivé au pouvoir le 30 janvier 1933.
L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'État allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands. Les accords fonctionneront jusqu'en 1939.
L'accord Haavara (de Transfert) a été accepté par le gouvernement allemand de Hitler en 1933 pour permettre au mouvement sioniste, sous la forme de la société Hanotea, de transférer des biens d'Allemagne vers la Palestine, dans le seul but d'encourager l'émigration juive d'Allemagne. La société Haavara travailla sous un régime semblable à celui de l'entreprise Hanotea. Elle exigea que les immigrants paient au moins 1 000 livres sterling dans l'entreprise bancaire. Cet argent était alors utilisé pour acheter des biens d'exportation allemands pour l'importation vers la Palestine.
L'accord Haavara a été pensé par quelques membres des milieux diplomatiques allemands comme un moyen possible de débarrasser le pays de sa supposée « question juive ». Le chef de la division Moyen-Orient du ministère des Affaires étrangères, Werner Otto von Hentig (en), a soutenu la politique de concentration des Juifs en Palestine et la création d'un État juif. Hentig croyait que si la population juive était concentrée dans une seule entité étrangère, alors la politique étrangère diplomatique et de confinement des Juifs deviendrait plus facile. Le soutien d'Hitler à l'Accord Haavara varia tout au long des années 1930. Initialement, il critiqua l'accord, mais peu après changea d'avis, et le soutiendra, en dépit d'oppositions jusqu'en 1939.
Après l'invasion de la Pologne et le commencement de la Seconde Guerre mondiale en 1939, la poursuite pratique de l'accord Haavara devint impossible. En 1940, des représentants de l'underground du groupe sioniste Lehi rencontrèrent Hentig afin de proposer directement une coopération militaire avec les nazis et accélérer le transfert des juifs d'Europe vers la Palestine. Cette proposition, toutefois, ne produisit pas de résultats.
Sur 500 000 Juifs allemands et 200 000 autrichiens, seulement 50 000 émigrent en Palestine conformément à cet accord[
En avril 2016, l'ancien maire de Londres Ken Livingstone crée une polémique en affirmant qu'Hitler avait été sioniste, franc-maçon (avéré) et en accord avec les francs-maçons du B'nai B'rith Sioniste, organisme supranational qui en France est l'instigateur de la Politique. Netanyahu a également lavé Hitler de la Shoah en l'imputant au grand Mufti de Jérusalem de l'époque. Les Sioniste ont délibérément voulu atteindre l'Allemagne au portefeuille et obliger les nations à reconnaître un Etat que le Roi David avait lui-même conquis par les armes et perdu par les mêmes moyens. L'ETAT JUIF n'est qu'une illusion de ces états temporaires qui, un jour ou l'autre, subissent des renversements et des invasions qui éradiquent l'Etat précédent.
L’Ordre indépendant du B'nai B'rith (בני ברית, de l'hébreu : « Les fils de l'Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843, par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères, juifs émigrés d'Allemagne, qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain rôle dans l'élaboration de la Première Internationale (Association internationale des travailleurs). Ils voulaient fonder un système d'entraide pour les juifs arrivant aux États-Unis et devant faire face à des conditions de vie difficiles.
C'est à partir de cette base, d'aide humanitaire et de services, qu'un système de loges et chapitres fraternels grandit aux États-Unis, puis dans le monde entier en conquérant la finance et les marchés par les Banques Centrales des Rothschild et autres capitalistes Juifs, qui sont actuellement les Maîtres du Monde, et qui peuvent tout obtenir de par leurs réseaux Franc-Maçons et illuminatis.
Notre notion de Démocratie et de représentation du Peuple par des élus à l'Assemblée Nationale, intègre la soumission au Nouvel Ordre Mondial de Juif, avec comme dirait Attali, comme capitale éternelle Jérusalem. Bien entendu le D.ieu des Juifs, de Noé, d'Abraham, de Moïse, de David, d'Isaac et de Jacob, n'est pas du tout d'accord, comme les Juifs ultra-orthodoxe, notamment les Américains, qui ne veulent absolument pas aller en Israël.
Dans la période que nous vivons, celle du Grand Satan, et du Grand Israël, l'Apocalypse pour ne pas la nommer, ce sont encore les Juifs qui ne font pas de politique qui vont payer.
“Si j’avais su qu’il était possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les transportant en Angleterre, mais seulement la moitié en les transportant en Palestine, j’aurais choisi la seconde solution – parce que nous ne devons pas seulement faire le compte de ces enfants, mais nous devons faire le compte de l’histoire du peuple juif.“ Ben Gourion, décembre 1938 (un mois après les Nuits de cristal) (1)
Une représentation de l’État d’Israël semble généralement aller de soi pour le sens commun, les autorités politiques et judiciaires internationales et nationales et même très souvent le discours académique. Israël incarnerait la vocation à « sauver les Juifs » : foyer d’accueil pour les rescapés du Génocide et havre de sécurité pour les Juifs persécutés du monde entier.
Pourtant le sionisme réel est loin d’être conforme à cette représentation, en fait l’idéologie sioniste, mythe fondateur de l’État d’Israël. (2) Un accord signé entre les autorités sionistes et nazies me paraît particulièrement révélateur.
Le 7 août 1933 - quelques mois à peine après l’arrivée de nazis au pouvoir le 30 janvier 1933 - l’Accord Haavara (passage, transfert en hébreu, l’expression hébraïque est également utilisée dans les documents nazis) a été conclu entre les plus hautes autorités de l’État nazi et les plus hautes autorités du mouvement sioniste, notamment celles de la communauté juive implantée en Palestine (le Yichouv, de Hayichouv Hayehoudi beEretz Israël, l’implantation juive en Terre d’Israël).
Selon cet accord, les Juifs d’Allemagne qui émigraient en Palestine, avaient la possibilité exclusive – l’accord stipulait que seule cette destination pouvait en bénéficier – d’y transférer une partie de leurs capitaux. (3) Un « capitaliste » – terme utilisé dans l’accord – qui voulait s’installer en Palestine était autorisé à conclure un contrat avec un exportateur allemand pour l’expédition de marchandises dans ce pays. Les marchandises concernées étaient notamment du bois d’œuvre, des pompes et des machines agricoles. L’exportateur allemand était payé sur le compte bloqué du Juif émigrant qui après son arrivée – souvent 2 ou 3 ans plus tard – recevait de l’Agence Juive la contrepartie en livres palestiniennes. L’accord concernait uniquement les Juifs qui disposaient de capitaux importants. (4) On notera qu’il s’agissait de clearing commercial et nullement d’échanger des Juifs contre des marchandises palestiniennes.
Des opérations de troc des mêmes marchandises allemandes contre des produits de Palestine se sont ajoutées aux opérations de clearing commercial. Toutes ces opérations se sont poursuivies, même après les Nuits de cristal du 8 au 10 novembre 1938, jusqu’à la Déclaration de Guerre en septembre 1939 selon Raul Hilberg (5) et jusqu’au milieu de la Guerre 1939-1945 selon Tom Segev. (6)
L’accord Haavara s’inscrit dans un important projet d’irrigation agricole en Palestine. Lévi Eshkol (à l’époque Lévi Shkolnik) a sans doute été le principal promoteur de l’accord. Il était un des fondateurs de la Histadrout – Fédération générale du travail – où il était le responsable de la promotion de l’agriculture coopérative. Au moment de la négociation et de la signature de l’accord, il était le représentant à Berlin d’une firme, Yachin (7), associée à la Histadrout. Selon la notice biographique diffusée par le Ministère des Affaires étrangères israélien : « En 1937, Levi Eshkol a joué un rôle central dans la création de la Compagnie des Eaux Mekorot et, dans ce rôle, il a contribué de façon décisive à convaincre le gouvernement allemand de permettre aux Juifs qui émigraient en Palestine d’emporter une partie de leurs fonds – principalement sous forme d’équipements fabriqués en Allemagne. Directeur général de Mekorot jusqu’en 1951, il a introduit un système national de gestion de l’eau qui a rendu possible une agriculture irriguée intensive. » (8) La compagnie Mekorot était associée à la Histadrout.
Il est évidemment significatif que le principal promoteur de l’accord Haavara soit un des plus hauts responsables de la communauté juive implantée en Palestine mandataire puis dans l’État d’Israël. Lévi Eshkol faisait partie du Haut Commandement de la Hagana, l’armée clandestine juive sous le Mandat britannique et, en 1950-1951, il est le directeur général du Ministère de la Défense. De 1949 à 1963, il est le chef du département de la colonisation de l’Agence juive. (9) En 1951, il devient Ministre de l’Agriculture et du Développement. Il est Ministre des Finances de 1952 à 1963. En 1963, il succède à David Ben Gourion à la fois comme Premier ministre et comme ministre de la Défense.
L’accord Haavara a suscité de vives oppositions parmi les Juifs de l’époque. Cet accord qui bénéficiait du soutien des plus hautes autorités nazies (10) et des plus hautes autorités sionistes (11), traduisait les intérêts complémentaires des nazis, qui voulaient que les Juifs quittent l’Allemagne, et des sionistes, qui voulaient qu’ils émigrent en Palestine. Or la plupart des Juifs allemands auraient préféré rester dans leur pays. L’idée d’un boycott économique et diplomatique international naquit aux États-Unis avec le soutien du Congrès juif américain. Il avait pour but d’essayer de forcer les nazis à mettre fin aux persécutions afin que les Juifs puissent continuer à vivre en Allemagne. (12)
Le débat entre l’incitation à l’émigration en Palestine et l’appel au boycott de l’Allemagne nazie s’inscrit dans l’opposition qui existait de longue date entre sionisme et assimilation, entre d’une part, la volonté de certains Juifs – une petite minorité – d’émigrer en Terre d’Israël et d’autre part, la volonté d’autres Juifs – une écrasante majorité – de rester dans leur pays ou d’émigrer ailleurs qu’en Israël, ce qui impliquait évidemment le désir que leurs droits humains soient respectés partout – notamment en Allemagne – et donc de combattre l’antisémitisme.
Selon Ben Gourion, « les assimilationnistes ont toujours déclaré la guerre à l’antisémitisme. Aujourd’hui, cette guerre s’exprime par un boycott contre Hitler. Le sionisme, lui, a toujours plaidé pour l’indépendance du peuple juif dans sa patrie. Aujourd’hui, certains sionistes ont rejoint le chœur des assimilationnistes : « guerre » à l’antisémitisme. Mais nous devons donner une réponse sioniste à la catastrophe que subissent les Juifs allemands – transformer ce désastre en une occasion de développer notre pays, et sauver les vies et la propriété des Juifs d’Allemagne pour le bien de Sion. C’est ce sauvetage qui a priorité sur tout le reste. » Et Ben Gourion de conclure que se focaliser sur le boycott constituerait un « échec moral » d’une envergure sans précédent. (13)
À l’évidence, « sauver les Juifs » n’était pas la priorité de celui qui, 10 ans plus tard, sera le père fondateur de l’État d’Israël. Le 7 décembre 1938, un mois à peine après les Nuits de cristal, Ben Gourion déclare : « Si j’avais su qu’il était possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les transportant en Angleterre, mais seulement la moitié en les transportant en Palestine, j’aurais choisi la seconde solution – parce que nous ne devons pas seulement faire le compte de ces enfants, mais nous devons faire le compte de l’histoire du peuple juif. » (14) Il s’agit tout simplement d’ultranationalisme, de la primauté absolue du bien de Sion sur tout le reste, y compris la vie des Juifs.
Les opérations de clearing commercial de l’accord Haavara permettaient exclusivement le départ des Juifs fortunés. Or les nazis voulaient aussi et bien plus encore se débarrasser de tous les autres. Reinhardt Heydrich, chef de la police de sécurité du Reich, déclare le 12 novembre 1938, soit 2 jours après les Nuits de cristal : « Le problème n’était pas de faire partir les Juifs riches mais de se débarrasser de la racaille juive. » Ce féroce antisémite a même mis sur pied – en soutirant des fonds à des Juifs fortunés – diverses formes d’aide pour que des Juifs pauvres puissent se payer le voyage en Palestine. (15)
J’ai noté que, dans le cadre de l’accord Haavara, le troc entre marchandises allemandes – matériaux de construction, pompes et machines agricoles – et palestiniennes s’était ajouté aux opérations de clearing commercial. Il semble clair que les autorités sionistes n’ont jamais envisagé de troquer des Juifs sans fortune contre des produits de Palestine. En d’autres termes, les plus hautes autorités du mouvement sioniste – notamment celles de la communauté juive implantée en Palestine – ont préféré se procurer des instruments de colonisation plutôt que de permettre à des Juifs d’échapper au massacre nazi. Ce qui est parfaitement conforme au sionisme réel : la priorité absolue à la colonisation de la Terre d’Israël.
Les quelque 20 000 Juifs fortunés qui ont bénéficié de l’accord Haavava lui doivent plus que probablement la vie (16) puisque les 200 000 Juifs d’Allemagne et d’Autriche qui n’ont pas réussi à fuir parce qu’ils ne disposaient pas des capitaux nécessaires, ont pratiquement tous été assassinés.
En 1953, ces Juifs assassinés ont quand même pu contribuer au « bien de Sion » puisqu’ils ont permis à l’État d’Israël d’obtenir des « réparations » un peu plus plantureuses. En effet, le nombre des victimes juives du génocide a servi de base au calcul du montant des « réparations » allemandes. Au moment où elles négociaient ce montant, les autorités de l’État d’Israël – celles-là mêmes qui avaient négocié l’accord Haavara – ont envisagé, sans doute par gratitude, d’accorder la citoyenneté israélienne à titre posthume aux victimes du génocide. (17)
L’accord Haavara montre clairement qu’en pleine terreur antisémite, le but des autorités sionistes n’était pas de combattre l’antisémitisme – « sauver les Juifs » – mais de l’exploiter afin de coloniser la Palestine, Terre d’Israël. « La veille des pogroms de la Nuit de Cristal, Ben Gourion déclarait que la « conscience humaine » pourrait amener différents pays à ouvrir leurs portes aux Juifs réfugiés d’Allemagne. Il y voyait une menace et tira un signal d’alarme : « Le sionisme est en danger ! » (18)
Aujourd’hui, la machine de propagande israélienne – avec ses puissantes officines à l’étranger, telles l’AIPAC aux États-Unis, l’EIPA (Europe-Israel Press Association) et l’AJC Transatlantic Institute auprès des institutions européennes, le CRIF en France, le CCOJB en Belgique, ... – perpétue l‘exploitation de l’antisémitisme au service de l’État d‘Israël. La tâche est toutefois plus ardue qu’au temps des nazis car de nos jours, la haine meurtrière des Juifs est tout fait marginale. Dès lors, cette machine de propagande – avec l’efficacité que lui confère une odieuse invocation du génocide – ressasse que l’antisémitisme meurtrier est omniprésent, particulièrement chez les Palestiniens et parmi les immigrations musulmanes, et que les condamnations de la politique officielle de l’État d’Israël envers les Palestiniens n’expriment pas une révulsion face à des crimes contre l’humanité et à des crimes de guerre mais la volonté antisémite immémoriale de détruire les Juifs. De plus, cette machine de propagande proclame sans cesse que pratiquement tous les Juifs s’identifient à l’État d’Israël et soutiennent sa politique criminelle, ce qui constitue une incitation à l’antisémitisme bien plus efficace que les ignobles mensonges largement discrédités des négationnistes.
Jacques Bude
Annexion du Golan: le SOS d'Israël
Le ministre israélien de la Sécurité intérieure évoque les « menaces » auxquelles est confronté le régime de Tel-Aviv et déclaré qu’ "il faut profiter de l’ère Trump pour l’annexion officielle du Golan syrien occupé".
Gilad Ardan a insisté sur le fait qu’il fallait "profiter du catalyseur Trump pour l’annexion officielle du territoire syrien", rapporte mercredi la chaîne d’information turque TRT.
La zone syrienne de 1.154 km2 , occupée par Israël en 1967, représentait au départ un intérêt militaire pour Ie régime mais elle a un autre atout: elle présente aussi un intérêt économique crucial, puisqu'elle compte des terres agricoles fertiles et d'importantes ressources en eau.
En plus, une compagnie israélo-états-unienne a également exploité le pétrole du Golan et depuis la découverte de ces ressources, la pression diplomatique des occupants en faveur d'une reconnaissance officielle de l'annexion de ces territoires s’est intensifiée.
Pour Gilad Ardan, les États-Unis de Trump ont servi de « catalyseur » à l’agressivité politique et militaire de son régime, reconnaissant Qods comme la capitale du régime factice israélien, mais ce n’est toujours pas suffisant car il faut profiter de cette occasion pour une reconnaissance officielle de l’annexion du territoire syrien.
Accusant le chef de l’Autorité autonome palestinienne, Mahmoud Abbas, de vouloir internationaliser le conflit, le ministre israélien a qualifié de "dangereuse" son opposition au dialogue direct avec Israël.
"Abbas cherche à internationaliser le conflit israélo-palestinien et à mobiliser le monde pour boycotter Israël et porter atteinte à nos intérêts", a-t-il estimé avant de conclure que "les principales menaces qui pèsent aujourd’hui sur Israël sont l’intifada palestinienne et le boycotte mondial d’Israël".
L'annexion de quelque 70 % du plateau syrien par Israël n'a jamais été reconnue au niveau international, et le régime de Tel-Aviv et de Damas restent officiellement en état de guerre.
USA et GB voulaient lancer des bombes atomiques sur les champs pétroliers du Moyen-Orient
Dans notre précédent article, Les troupes américaines et turques se dirigent vers une confrontation directe en Syrie, nous avons vu que les néocons américains préconisent aujourd'hui d'attaquer massivement la Syrie, l'Iran, et leur allié russe, quitte à utiliser les bombes atomiques. Voici ce qu'ils préconisent :
Problème | solution |
1- Bases militaires russes. ... 2- Acceptation de Bachar al-Assad. ... 3- Désescalade syrienne. ... 4- Le processus de "paix". ... 5- Iran et Al-Qaïda. ... | 1. les pulvériser par des bombes atomiques 2. le tuer 3. L’arrêter 4. On s’en fout 5. Les détruire totalement |
Les États-Unis doivent faire face à la réalité en Syrie. Ils doivent reconnaître la menace que représente la Russie. Ils doivent reconnaître les limites de leurs partenaires actuels sur le terrain. Ils ne doivent pas croire en une mascarade diplomatique. Ils doivent mettre en œuvre une véritable stratégie contre al-Qaïda et l'Iran. Et ils doivent reconnaître la supériorité de l'action américaine sur la rhétorique américaine….
Surnommés «négationnisme pétrolier», les plans prévoyaient que le personnel occidental des compagnies pétrolières du Moyen-Orient saboterait leurs propres champs pétrolifères et leurs raffineries en cas d'invasion soviétique, dans l'espoir de restreindre l'accès des envahisseurs à cette denrée précieuse. On comprend pourquoi, un certain Khadafi, avait, dès son accession au pouvoir en Libye, avait commencer par "nationaliser" le personnel pétrolier, en renvoyant chez eux les Britannique et les Américains, et en les remplaçant par des Libyens, dans les années 70.
Selon les documents déclassifiés, les gouvernements iranien et irakien étaient particulièrement peu susceptibles de coopérer avec les compagnies pétrolières pour saboter leur propre industrie pétrolière. La raison en était que le Royaume-Uni n'avait plus de présence monopolistique dans ces deux pays, malgré le coup d'État de 1953 dirigé par les États-Unis en Iran, qui a ramené le shah au pouvoir et BP à la tête de l'industrie pétrolière iranienne. BP était à la barre, c'est vrai, mais le gouvernement iranien contrôlait les raffineries et en construisait d'autres. Le scénario d'invasion soviétique impliquait non seulement des champs pétrolifères mais aussi des raffineries. Craignant que les gouvernements irakien et iranien ne se montrent réticents à jouer avec les plans de sabotage, la Grande-Bretagne ne disposait que de peu d'options pour, soi-disant, empêcher les Soviétiques de mettre la main du pétrole. Les frappes aériennes étaient l'option la plus logique, mais il y avait aussi un problème: il n'y avait pas assez d'avions pour effectuer toutes les attaques nécessaires en cas d'invasion.
En conséquence, l'option nucléaire a été mise sur la table par un comité conjoint des chefs d'état-major au milieu des années 1950.
Des discussions ont eu lieu entre les services secrets et les autorités militaires des Américains et de Britanniques sur l'utilisation conjointe des frappes nucléaires sur les raffineries contrôlées par le gouvernement en Irak et en Iran, mais aucun document déclassé n'a donné l'état d'approbation du plan nucléaire. En tout cas, les frappes nucléaires américaines sur les installations pétrolières iraniennes étaient considérées comme «le seul moyen possible de refuser le pétrole» iranien à la Russie, malgré le fait que le shah était pro-occidental.
Plus de discussions ont suivi, et les armes nucléaires ont finalement été retirées de la table, grâce à George Prussing, un agent de la CIA, qui a été chargé de travailler avec les compagnies pétrolières du Moyen-Orient pour assurer le succès des plans de destruction du pétrole.
Prussing a conclu que la démolition au sol des champs et des installations était préférable et coûtait moins cher.
Pourtant, il est bon que les Soviétiques n'aient jamais essayé de s'étendre au Moyen-Orient, car en si peu de temps après Hiroshima et Nagasaki, les armes nucléaires étaient encore très populaires en tant que solution de problèmes ultime.
A l'époque comme aujourd'hui, des millions de morts arabes ou iraniens importent peu aux Occidentaux, pourvu qu'ils contrôlent le pétrole et que personne d'autre n'en profite.
Les troupes américaines et turques se dirigent vers une confrontation directe en Syrie
S'exprimant sur CNN, le général Joseph Votel, chef du Commandement central des États-Unis, a déclaré que le retrait des forces américaines de la ville stratégiquement importante «n'est pas quelque chose que nous examinons».
Problème | solution |
1- Bases militaires russes. ... 2- Acceptation de Bachar al-Assad. ... 3- Désescalade syrienne. ... 4- Le processus de "paix". ... 5- Iran et Al-Qaïda. ... | 1. les pulvériser par des bombes atomiques 2. le tuer 3. L’arrêter 4. On s’en fout 5. Les détruire totalement |