WWIII : FIN DU MONDE : CEUX QUI ONT ELUS DES MALADES NE DEVRAIENT PLUS POUVOIR VOTER. LE PAPE-MACRON-TRUMP A FOND POUR LES CHAMPIGNONS NUCLEAIRES. LA RECOLTE SERA BONNE.
WWIII : FIN DU MONDE : CEUX QUI ONT ELUS DES MALADES NE DEVRAIENT PLUS POUVOIR VOTER. LE PAPE-MACRON-TRUMP A FOND POUR LES CHAMPIGNONS NUCLEAIRES. LA RECOLTE SERA BONNE. ILS ONT DECLARE LA GUERRE A L'HUMANITE.
Macron-le-Magnifique:« piège narcissique » tendu par les USA au Jupiter de l’Elysée pour déclencher la guerre – Vidéo RMC Bourdin
Il avait déjà donné son désir de rencontrer le Pape François et le PAPE vient de lui donner le feu vert pour transformer la Terre en Feu Nucléaire dès 2018, car le Nucléaire c'est lui. La France, fille aînée de l'Eglise et bras séculier de François, lui-même à la tête de Illuminati, et du Nouvel ORDRE MONDIAL, a compris que son heure de Gloire était arrivée, par LUCIFER porteur de Lumière. L'ANTI PAPE BERGOGLIO DONNE SA BENEDICTION BELLUM EST ORBI.
L’Elysée étudierait la possibilité d’une visite au Vatican “avant l’été“ du président de la République française, Emmanuel Macron, selon le quotidien italien La Repubblica du 13 avril 2018. L’invitation du président au Collège des Bernardins à Paris le 9 avril dernier, par la Conférence des évêques de France, aurait ainsi été une “entrée en matière“ en vue d’une rencontre avec le pape François, avance encore le journal. Bien qu’aucune confirmation officielle de part et d'autre n’ait été donnée, des “discussions“ sont actuellement en cours.
De la fin du monde. Les « choses dernières » selon François
Dans le grand quotidien « la Repubblica » fondé parEugenio Scalfari, autorité incontestée de la pensée laïque italienne, ce dernier est revenu le 9 octobre dernier sur ce qu’il considère comme une « révolution » de ce pontificat, recueilli de la bouche même de François au cours de l’un des fréquents entretiens qu’il a eu avec lui :
« Le Pape François a aboli les lieux où les âmes sont censées aller après la mort : enfer, purgatoire et paradis. La thèse qu’il soutient, c’est que les âmes dominées par le mal et impénitentes cessent d’exister tandis que celles qui ont été rachetées du mal seront admises dans la béatitude de la contemplation de Dieu ».
Et d’ajouter immédiatement :
« Le jugement universel qui se trouve dans la tradition de l’Eglise devient donc privé de sens. Il se réduit à un simple prétexte qui a donné lieu à de splendides tableaux dans l’histoire de l’art. Rien de plus ».
On peut sérieusement douter que le pape François veuille liquider les « choses dernières » comme le décrit Scalfari.
Il y a cependant dans sa prédication des éléments qui tendent effectivement à éclipser le Jugement final et les destinées opposées des bienheureux et des damnés.
Mercredi 11 octobre, au cours de l’audience générale place Saint-Pierre, François a déclaré qu’il ne fallait pas craindre un tel jugement parce qu’ « au terme de notre histoire il y a Jésus miséricordieux. Tout sera sauvé. Tout. ».
Ce dernier mot, « tout », était imprimé en caractères gras dans le texte distribué aux journalistes accrédités auprès de la salle de presse du Vatican.
Dans une autre audience générale remontant à il y a quelques mois, celle du mercredi 23 août, François a dépeint une image totalement et uniquement consolatrice de la fin de l’histoire, évoquant une « demeure immense, où Dieu accueillera tous les hommes pour habiter définitivement avec eux ».
Une image qui n’est pas de lui mais qui est tirée du chapitre 21 de l’Apocalypse mais dont François s’est bien gardé de citer les déclarations du Christ qui suivent ce passage :
« Tel sera l’héritage du vainqueur ; je serai son Dieu, et lui sera mon fils. Quant aux lâches, perfides, êtres abominables, meurtriers, débauchés, sorciers, idolâtres et tous les menteurs, la part qui leur revient, c’est l’étang embrasé de feu et de soufre, qui est la seconde mort. »
Et à nouveau, en commentant la parabole de l’invité aux noces (Mt 22, 1-14) lu ce jour-là dans toutes les messes, au cours de l’Angelus du dimanche 15 octobre, François a soigneusement évité d’en citer les passages les plus inquiétants.
Notamment celui où « Le roi se mit en colère, il envoya ses troupes, fit périr les meurtriers et incendia leur ville ».
Mais aussi le passage dans lequel, voyant « un homme qui portait pas le vêtement de noce », le roi ordonna à ses serviteurs : « Jetez-le, pieds et poings liés, dans les ténèbres du dehors ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. »
Le dimanche précédent, le 8 octobre, c’est une autre parabole, celle des vignerons homicides (Mt 21, 33-43), qui avait subi le même traitement sélectif.
Au cours de l’Angelus, dans son commentaire de la parabole, le pape a omis de mentionner le sort réservé par le Seigneur de la vigne aux vignerons qui ont tué ses serviteurs avant de tuer son fils : « Ces misérables, il les fera mourir misérablement ». Tout comme il a évité de citer les mots de conclusion de Jésus, qui se désigne lui-même comme « la pierre d’angle » : « tout homme qui tombera sur cette pierre s’y brisera ; celui sur qui elle tombera, elle le réduira en poussière ».
Le Pape François a préféré défendre avec insistance Dieu de l’accusation qu’il puisse être vindicatif, allant presque jusqu’à tempérer les excès de « justice » décrits dans la parabole :
« Telle est la grande nouveauté du christianisme: un Dieu qui, même déçu par nos erreurs et par nos péchés, ne manque pas à sa parole, ne se ferme pas, et surtout ne se venge pas! Frères et sœurs, Dieu ne se venge pas! Dieu aime, il ne se venge pas, il nous attend pour nous pardonner, nous embrasser. »
Dans son homélie pour la fête de la Pentecôte, le 4 juin dernier, François a pointé du doigt, comme à son habitude, « ceux qui jugent ». et, citant les paroles de Jésus ressuscité à ses apôtres et implicitement à leurs successeurs dans l’Eglise (Jn 20, 22-23), il en a volontairement tronqué la moitié :
« Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ».
Passant sous silence la suite du texte : « à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. »
Le fait que ce n’est pas la première fois que François agit de la sorte prouve que cette censure est bel et bien intentionnelle. En effet, il avait tronqué de la même manière ces paroles de Jésus le 23 avril précédent, au cours du Regina Cæli du premier dimanche après Pâques.
Le 12 mai dernier, en visite à Fátima, François avait montré vouloir enlever à Jésus cette réputation de juge inflexible, à la fin des temps. Et pour ce faire, il a fait cette mise en garde illustrée par cette fausse image de Marie :
« Une Marie esquissée par des sensibilités subjectives qui la voit tenir ferme le bras justicier de Dieu prêt à punir : une Marie meilleure que le Christ, vu comme un juge impitoyable ; plus miséricordieuse que l’Agneau immolé pour nous. »
Il faut ajouter que la liberté avec laquelle François taille et raccommode les passages de l’Ecriture sainte ne concernent pas que le jugement dernier. Silence radio total, par exemple, sur la condamnation que Jésus fait de l’adultère (Mt 19, 2-11 et passages correspondants).
Coïncidence étonnante, cette condamnation figurait pourtant dans le passage de l’Evangile qu’on lisait dans les églises du monde entier précisément le dimanche d’ouverture de la seconde session du synode des évêques sur la famille, le 4 octobre 2015. Mais ce jour-là, le Pape François n’y a pas fait la moindre allusion ni dans son homélie ni pendant l’Angelus.
Tout comme il n’y a fait aucune allusion à l’Angelus du dimanche 12 février 2017, quand cette condamnation a de nouveau résonné dans toutes les églises.
Et ce n’est pas tout. Les paroles de Jésus contre l’adultère ne figurent nulle part dans les deux cent pages de l’exhortation post-synodale Amoris laetitia.
Tout comme n’apparaissent pas non plus les terribles paroles de condamnation de l’homosexualité rédigées par l’apôtre Paul dans le premier chapitre de la Lettre aux Romains.
Un premier chapitre lui aussi lu – autre coïncidence – aux messes de semaine de la seconde semaine du synode de 2015 (tout comme aux messes d’il y a quelques semaines). A vrai dire, sans que ces paroles ne figurent au missel mais en tout cas sans que le pape ou d’autres ne les citent jamais pendant qu’on discutait au synode du changement des paradigmes de jugement sur l’homosexualité :
« C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions déshonorantes. Chez eux, les femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature. De même, les hommes ont abandonné les rapports naturels avec les femmes pour brûler de désir les uns pour les autres ; les hommes font avec les hommes des choses infâmes, et ils reçoivent en retour dans leur propre personne le salaire dû à leur égarement. Et comme ils n’ont pas jugé bon de garder la vraie connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à une façon de penser dépourvue de jugement. Ils font ce qui est inconvenant ; ils sont remplis de toutes sortes d’injustice, de perversité, de soif de posséder, de méchanceté, ne respirant que jalousie, meurtre, rivalité, ruse, dépravation ; ils sont détracteurs, médisants, ennemis de Dieu, insolents, orgueilleux, fanfarons, ingénieux à faire le mal, révoltés contre leurs parents ; ils sont sans intelligence, sans loyauté, sans affection, sans pitié. Ils savent bien que, d’après le juste décret de Dieu, ceux qui font de telles choses méritent la mort ; et eux, non seulement ils les font, mais encore ils approuvent ceux qui les font. » (Rm 1, 26-32)
En outre, le Pape François prend parfois également la liberté de réécrire à sa manière les paroles de l’Ecriture sainte.
Par exemple, pendant l’homélie matinale à Sainte-Marthe le 4 septembre 2014, à un certain moment, le pape met textuellement les paroles suivantes dans la bouche de Saint Paul : « qui scandalisent » : « Je ne me vante que de mes péchés ». Avant de conclure en invitant également les fidèles présents à « se vanter » de leurs propres péchés, puisqu’ils sont pardonnés par la croix de Jésus.
Mais on aura du mal à trouver une telle expression dans aucune des lettres de Saint Paul. Par contre, l’apôtre dit de lui-même : « S’il faut se vanter, je me vanterai de ce qui fait ma faiblesse. » (2 Co 11, 30), après avoir énuméré toutes les épreuves de sa vie, des incarcérations aux coups de fouet en passant par les naufrages.
On encore : « D’un tel homme, je peux me vanter, mais pour moi-même, je ne me vanterai que de mes faiblesses. » (2 Co 12, 5). Et aussi « Mais il m’a déclaré : ‘Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse.’ C’est donc très volontiers que je mettrai plutôt ma fierté dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ fasse en moi sa demeure. » (2 Co 12, 9), en faisant encore une fois référence aux outrages, aux persécutions et aux angoisses qu’il avait soufferts.
En revenant au justement final, même le Pape Benoît XVI reconnaissait qu’ « à l’époque moderne, la préoccupation du Jugement final s’estompe ».
Mais dans l’encyclique « Spe salvi », entièrement écrite de sa main, il réaffirmait avec force que le Jugement final est « l’image décisive de l’espérance », une image qui « appelle à notre responsabilité » parce que « la grâce n’exclut pas la justice ». Au contraire, « la question de la justice constitue l’argument essentiel, en tout cas l’argument le plus fort, en faveur de la foi dans la vie éternelle » du fait « qu’il est impossible que l’injustice de l’histoire soit la parole ultime, la nécessité du retour du Christ et de la vie nouvelle devient totalement convaincante ».
Et encore : « La grâce ne change pas le tort en droit. Ce n’est pas une éponge qui efface tout, de sorte que tout ce qui s’est fait sur la terre finisse par avoir toujours la même valeur. Par exemple, dans son roman ‘Les frères Karamazov’, Dostoïevski a protesté avec raison contre une telle typologie du ciel et de la grâce. À la fin, au banquet éternel, les méchants ne siégeront pas indistinctement à table à côté des victimes, comme si rien ne s’était passé. »
Un article deSandro Magister, vaticaniste àL’Espresso.
Source : http://www.diakonos.be/settimo-cielo/de-la-fin-du-monde-les-choses-dernieres-selon-francois/
AFP/THIBAULT CAMUS
Le chef de l'Etat a décidé d'aller à Rome recevoir son titre de chanoine de Saint-Jean-de-Latran et de DUPONT-LAJOIE.
Dans une lettre au chapitre de la basilique Saint-Jean-de-Latran, le président de la République française Emmanuel Macron a officiellement accepté son titre de « premier et unique chanoine honoraire » de cette basilique romaine, la cathédrale du pape.
Cette tradition remonte à Louis XI, en 1482, et avait été renouvelée en 1604 par Henri IV : après avoir renoncé au protestantisme, celui-ci décida en effet de faire don au Latran, la cathédrale du pape, de l’abbaye bénédictine de Clairac (Lot-et-Garonne), ainsi que de ses revenus.
Pour le remercier, le chapitre du Latran attribua ce titre canonial et s’engagea à célébrer chaque année la date anniversaire de sa naissance, le 13 décembre. Lors de cette messe de la Sainte-Lucie, l’ambassadeur de France près le Saint-Siège y est encensé et reçoit les honneurs liturgiques, en lieu et place du président de la République.
«Premier et unique chanoine honoraire de la basilique majeure de Saint-Jean-de-Latran», à Rome : le titre, honorifique et hérité de la royauté, revient de droit à tous les présidents de la République. Mais tous ne l'endossent pas officiellement... Emmanuel Macron, si.
Rien ne l'y oblige, mais, contrairement à son prédécesseur, François Hollande, qui avait refusé de se prêter à la cérémonie, Emmanuel Macron entend prendre possession de son titre à Rome. L'un de ses amis y voit la volonté de «s'approprier une histoire pluriséculaire au-delà de l'aspect cultuel», un autre «un signe de bienveillance» à l'adresse du monde catholique. «Si j'étais président, j'aurais accepté avec honneur ce titre. C'est une responsabilité qu'on doit assumer : celle de faire le lien entre les spiritualités et la République», se félicite Haïm Korsia, le grand rabbin de France, qui connaît bien le couple Macron
Trump & Macron : Laurel & Hardy, mais pas que SATAN-LUCIFER VEILLE… Ci-dessus Temple Satanique Franc-Maçon de Détroit, inaugurée avec la statue de SATAN-LUCIFER, leur DIEU.
" Les États-Unis ne se préoccupent plus des conflits de faible intensité. Ils ne voient plus l'intérêt qu'il y aurait à faire preuve de réserve, ni même de sournoiserie. Ils jouent cartes sur table, sans distinction. C'est bien simple, ils se fichent éperdument des Nations Unies, du droit international ou des voix dissidentes, dont ils pensent qu'ils n'ont aucun pouvoir ni aucune pertinence."
Harold Pinter (1)
Mutuellement, à tour de rôle…
Ils n’arrêtaient pas de se "papouiiller"… S’époussetant, se ventilant, s’étreignant de béatitude…
Trump et Macron, dans leurs récentes prestations présidentielles à Washington, me faisaient penser au duo de comiques Laurel & Hardy. Célèbres pour leurs aventures, séries de catastrophes hilarantes ; imperturbables de bonne volonté et solidarité réciproques.
Sauf, que nous ne sommes pas dans un film de divertissement.
Il n’y a pas la place pour le rire, quand on sait que destructions et pillages, massacres et tortures, accablent des millions d’innocents d’une simple signature de ces individus.
Deux polichinelles sans pouvoir, paradant devant micros et caméras de leurs appareils de propagande. Leur fonction : réciter et appliquer ce que le Deep State (l’Etat Profond) leur dicte ; dans l’autosatisfaction de leur irresponsabilité, de leur immaturité ou infantilisme.
Dans la "Bonne Conscience", tels des "Grands Prêtres de l’Axe du Bien" : répandre catastrophes et chaos dans des pays à piller. Pathologies mentales, des Croisades, aux invasions coloniales ou "politiques de la canonnière", dont les oligarchies occidentales n’arrivent pas à se détacher.
Cœur de cible actuel, prolongation du travail de fossoyeur, ou de prédation, de leurs prédécesseurs (2) : le Moyen-Orient. Et, plus particulièrement la Syrie.
Dans le mensonge, la plus cynique des fourberies.
Personne n’est dupe des gesticulations de ce duo de comédie, à commencer par Russes et Iraniens.
Dans le meilleur des cas, il leur semble se retrouver dans les sempiternelles séries policières avec leurs deux personnages inamovibles : le "Bad cop" & le "Good cop" - le bon flic et le méchant. Les deux n’ayant, dans des styles différents, que le même objectif : "faire tomber" le coupable, ou présumé tel.
Car, les masques tombent vite… En une fraction de seconde.
A la bonhommie de Laurel et Hardy, se substitue le rictus de cruauté d’Al Capone et Lucky Luciano. Si Trump & Macron passent leur temps, rigolards, à s’épouiller mutuellement, tels des chimpanzés de Madagascar, ils deviennent subitement féroces dès l’injonction reçue de s’attaquer à ceux qui ne se soumettent pas à la règle du clan occidental.
Idéologie, doctrine, doxa, restent les mêmes ; leur impitoyable application se poursuivant d’un gouvernement à l’autre. Pour le Moyen-Orient, plus précisément, c’est l’application du plan Oded Yinon de 1982 : s’emparer des immenses richesses de son sous-sol, dans la dislocation, destruction, éradication, des Etats, Nations et Peuples de la région.
D’où les trois principales obsessions du délire colonial qui afflige les oligarques occidentaux :
1 - Faire "lâcher prise" à la Russie, en lui interdisant toute implantation militaire ou commerciale dans les pays du Moyen-Orient et du Maghreb.
Avec les trois vecteurs que tout observateur observe jusqu’à saturation :
=> Propagande russophobe d’une extrême violence dans le matraquage continuel auprès des opinions publiques occidentales, sur fond de mensonges et de mises en scène truquées (attaques aux poisons ou armes chimiques, etc.).
=> Pressions et agressions "armées" à ses frontières, de la Mer Baltique à la Mer Noire et méditerranée : troupes de l’OTAN massées dans les pays limitrophes, avec coups d’Etat hostiles (Ukraine) ou, carrément, coups de force militaires (Géorgie).
=> Pression et agressions "économiques", sous forme de "sanctions" à répétition pour entraver son développement et ses relations avec les autres pays qui souhaiteraient coopérer sur ce plan.
2 - Détruire et démembrer la Syrie, en perpétuant chaos et destructions, sous divers prétextes ; de préférence les plus "nobles", ou les plus "vendeurs", à l’égard des opinions.
Nous ne reviendrons pas sur le déroulé de ce crime colossal : tout le monde le sait (pour peu qu’on veuille s’affranchir de la propagande), et nous y avons consacré un dossier dans ce blog (3).
Soulignons au passage, que nos forces armées se déploient en Syrie. Question : où est la défense de notre Souveraineté Nationale dans la contribution à la destruction d’un pays qui ne nous a rien fait ?... Voir nos forces armées s’engluer, au XXI° siècle, dans une aventure coloniale, infâme de cruauté et de perversité, donne à tout citoyen français, soucieux de la dignité et de l’indépendance de sa Nation, l’envie de vomir… (4)
3 - Pulvériser l’Iran. La remise en cause du traité International, avalisé par l’ONU, sur le nucléaire iranien n’est que la préparation de la guerre qui va être déclenchée pour détruire à nouveau l’Iran. Comme cela avait été accompli lors de la guerre ente l’Irak et l’Iran, de 1980 à 1988.
Son invasion étant militairement impossible, trop fort, trop grand, la pulvérisation de ce pays sera effectuée par bombardements massifs (les bombardements nucléaires "tactiques" sont même envisagés publiquement). Du moins, c’est le souhait et le projet, ou le délire, de nos oligarques…
Le ministre de la Défense des USA, le général Mattis, vient de l’annoncer officiellement : « Un conflit direct Israël-Iran est plus que probable ». (5)
Voir : L'Iran ripostera, soyez-en sûrs
Mais, comme Laurel & Hardy, le duo Trump & Macron, ira de ratages en ratages. De fiascos en fiascos… Leur dernière équipée, avec leurs missiles "beaux, nouveaux et intelligents", l’a démontré.
L’Histoire avance lentement, peut-être, mais inexorablement ; indifférente aux bricolages mensongers, agitations frénétiques, fanatismes criminels et propagandes liberticides, des oligarques du moment.
NOTES
- Citation extraite du discours de réception de son Prix Nobel de Littérature 2005. Un des derniers grands intellectuels juifs, épris de Justice et de Liberté, luttant avec courage contre toutes les dérives impériales ou coloniales "occidentales", sur tous les continents ; y compris en Palestine.
Cf. : Georges Stanechy, Harold Pinter : The Go-Between, 12 février 2009,
http://stanechy.over-blog.com/article-27844632.html
2. Georges Stanechy, Hollande : Le Naufrage d'un Nul, 25 avril 2017,
http://stanechy.over-blog.com/2017/04/le-naufrage-d-un-nul.htm
3. Syrie : le Délire Colonial,
http://stanechy.over-blog.com/tag/syrie%20:%20le%20delire%20colonial/
4. 27 avril 2018,
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Des-soldats-francais-ont-ete-envoyes-en-renfort-en-Syrie-revele-Jim-Mattis-50708.html
5. Mattis : Direct Israel-Iran Conflict 'Very Likely', 28 avril 2018,
https://sputniknews.com/middleeast/201804281063982142-mattis-israel-iran-conflict-likely/
L'Iran ripostera, soyez-en sûrs
Toute nouvelle contrainte empêchant de réagir à une agression israélienne ne fera qu’encourager davantage d’atteintes contre l’Iran et les Iraniens. L’Iran ripostera en légitime défense
« Le fardeau de l’homme blanc » – ou devrait-on dire « le fardeau qu’est l’homme blanc » – est probablement le plus grand joug de l’histoire de l’humanité. Interrogé sur ce qu’il pensait de la civilisation occidentale, le Mahatma Gandhi aurait répondu : « ce serait une très bonne idée. »
Bien que les intellectuels occidentaux critiquent les politiques mondiales de leurs gouvernements, les échecs sont trop souvent attribués aux partis politiques, à un leadership médiocre, à des stratégies inefficaces, à un financement insuffisant, aux armes ou à la « volonté ». Mais aventurez-vous un instant à envisager que le problème soit plus fondamental – que la construction « occidentale » du savoir soit elle-même entachée d’insuffisances troublantes.
Trop peu d’intellectuels traditionnels sont même prêts à accepter l’idée que, peut-être, les structures sociales occidentales et leur épistémologie sous-jacente des valeurs sont si irrémédiablement faussées qu’elles font des régimes politiques occidentaux un lourd fardeau pour l’existence humaine.
Hégémonie occidentale
La notion de grave culpabilité morale et idéologique occidentale est difficile à saisir pour beaucoup, et plus encore à embrasser. Se demander si la géographie imaginaire appelée Occident est vraiment exceptionnelle, ou si le monde « libre » ou « civilisé » est véritablement civilisé, n’est pas une tâche simple, surtout quand la troisième sorcière shakespearienne – les Orientaux orientalisés, les sahibs bruns, les « gharbzadegi » et les « nègres de maison » – réagit avec fureur en rivalisant avec ses deux étranges sœurs, la néo-conservatrice et l’interventionniste humanitaire néolibérale.
Ainsi, il est généralement entendu que quelles que soient les lacunes, la civilisation occidentale préconise des idées, des idéaux et des normes qui sont les principaux composants de toute boussole morale légitime. Ainsi, dans ce récit, l’hégémonie et la hiérarchie occidentales deviennent à la fois morales et légitimes.
Trop peu d’intellectuels traditionnels sont même prêts à accepter l’idée que, peut-être, les structures sociales occidentales et leur épistémologie sous-jacente des valeurs sont si irrémédiablement faussées
Avec le soutien indéfectible apporté à des acteurs brutaux et génocidaires, le choc et l’horreur, l’occupation, la torture, l’assujettissement, le réchauffement climatique, la marchandisation et la sexualisation des femmes, et l’injustice sociale croissante, Barack Obama affirme que ces choses ne reflètent pas « qui nous sommes », alors que c’est exactement le cas.
La dissonance cognitive est criante : les valeurs et les actions semblent être complètement séparées les unes des autres, et de pures excuses écartent le fait qu’il n’y a jamais eu de valeurs nobles guidant le moteur destructeur de la « civilisation » occidentale.
Anticolonialiste, anti-apartheid
Depuis sa création, la République islamique d’Iran repose sur deux objectifs moraux et politiques clés : les mouvements de résistance anticolonialistes et anti-apartheid en Afrique du Sud et en Palestine. Bien que cela ait été magiquement effacé du discours public occidental aujourd’hui, à l’époque, l’ANC et Nelson Mandela ont été déclarés terroristes par les dirigeants occidentaux et désignés comme tels par la loi américaine.
Les libéraux et les gauchistes tolérés par l’establishment et qui se lamentent – comme leurs homologues contemporains hypocrites et opportunistes – n’auraient « toléré » ni la violence ni la « brutalité » de la résistance, et depuis la perspective et la sécurité « morale » de leurs tours d’ivoire bien financées, déclaraient les deux parties presque autant corrompues l’une que l’autre.
Des touristes visitent la place historique Naqsh-e Jahan à Ispahan, le 12 avril 2018 (AFP)
Ils étaient, et continuent d’être, des défenseurs des « droits de l’homme » acceptés par l’establishment et souvent primés, mais en vérité, en tant qu’auto-apologistes « innocents », ils ont régulièrement entravé toute résistance efficace face à un empire puissant. Des gardiens de la vertu, pour ainsi dire.
Néanmoins, grâce à la résistance et à leurs « apologistes », l’apartheid institutionnel s’est effondré en Afrique du Sud et le champ de bataille moral vital s’est totalement déplacé en Palestine.
Malgré des années de propagande occidentale, de désinformation des médias et de menaces israéliennes répétées, l’Iran n’a jamais menacé d’initier un conflit militaire avec Israël
En raison de son indépendance et de son soutien à la résistance à l’occupation en Palestine et au Liban – ou de son « antisémitisme » et son « terrorisme » selon la métropole qui contrôle l’histoire –, les Iraniens ordinaires ont vécu pendant des décennies l’ingérence, la diabolisation, les sanctions, la guerre, des attaques chimiques massives et répétées soutenues par l’Occident, et l’attaque d’avions de ligne civils par la marine américaine et l’armée de l’air de Saddam Hussein.
Les médias et think-tanks privés et publics occidentaux peuvent caricaturer sans fin l’Iran et la République islamique, mais les Iraniens reconnaissent massivement que leur indépendance, leur dignité et leur sécurité résident dans leur capacité à empêcher les puissances hégémoniques implacables et leurs clients de prendre le dessus dans la région.
Apologistes de l’empire
Soutenir l’extrémisme en Afghanistan et son invasion subséquente, soutenir Saddam, puis la destruction de l’Irak et plus tard de la Libye, affamer le Yémen et Gaza, écraser Bahreïn, répéter leur politique des années 1980 au Nicaragua en Syrie, l’extrémisme religieux remplaçant les Contras, et le coup d’État en Turquie sont tous liés à cet objectif.
Bien après que des organisations de renseignement étrangères ont facilité l’émergence de dizaines de milliers de combattants étrangers en Syrie, le Hezbollah (2013) et les forces iraniennes (2015) sont entrés en Syrie en nombre significatif et à la demande du gouvernement syrien.
Ignorant les apologistes de l’empire ainsi que les libéraux triomphalistes, les Iraniens comprenaient que l’objectif américain en Syrie n’était pas « la liberté et la démocratie », mais d’ébranler la Syrie pour blesser l’Iran et soutenir le régime israélien.
Lorsque le chef des renseignements militaires israéliens déclare que son pays préfère l’État islamique au président syrien Bachar al-Assad, que l’ancien chef du Mossad admet avoir traité des militants blessés d’al-Nosra parce que son régime n’est pas « spécifiquement visé par al-Qaïda », et que l’ancien ministre israélien de la Défense explique comment les combattants de l’EI occupant la frontière avec la Syrie ont eu la gentillesse de « s’excuser » auprès des Israéliens, il est clair que le choix se portait entre le drapeau syrien ou le drapeau noir.
Désinformation des médias
De manière semblable aux frappes illégales de missiles américaines, britanniques et françaises sur la Syrie, l’attaque israélienne sur la base aérienne T-4 syrienne et le meurtre de sept soldats iraniens étaient liés à cette politique de renforcement des extrémistes. Les Iraniens étaient légalement stationnés là-bas pour aider l’armée arabe syrienne à libérer les poches restantes occupées par les terroristes.
Malgré des années de propagande occidentale, de désinformation des médias et de menaces israéliennes répétées, l’Iran n’a jamais menacé d’initier un conflit militaire avec Israël. Cependant, le dévoué et cerné Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a maintenant fait une mauvaise évaluation et une grave erreur.
Les États-Unis inculpent sans établir de mobile pour le défendeur, frappent sans attendre les inspections, et détruisent sans expliquer l’absence mystérieuse d’armes chimiques. Par l’exceptionnalisme occidental, la loi de la jungle prévaut, ne laissant aucun espoir de justice institutionnelle.
Toute nouvelle contrainte empêchant de réagir à une agression israélienne ne fera qu’encourager davantage d’atteintes contre l’Iran et les Iraniens. L’Iran ripostera en légitime défense.
Son orientalisme mis à part, Voltaire soulignait à juste titre : « Dieu n’est pas du côté des gros bataillons, mais du côté de ceux qui tirent le mieux. »
- Seyed Mohammad Marandi est professeur de littérature anglaise et d’orientalisme à l’Université de Téhéran.
Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que leur auteur .
Traduit de l’anglais (original) par VECTranslation.
La Russie et l'Iran veulent se passer du dollar pour les paiements pétroliers
« La Russie envisage de remplacer le dollar américain pour les paiements de pétrole brut dans les accords avec la Turquie et l’Iran », a déclaré le ministre de l’Énergie Alexander Novak, cité par RT.
Selon Novak, « il est entendu que nous devons nous diriger vers l’utilisation des monnaies nationales dans nos contrats. Il y a un besoin pour cela et c’est aussi le souhait des parties. Cela concerne à la fois la Turquie et l’Iran − nous envisageons une option de paiement en monnaie nationale avec eux. Cela nécessite certains ajustements dans les secteurs financier, économique et bancaire. »
L’Iran, sous la menace du retour des sanctions américaines a décidé, il y a deux mois, d’abandonner le billet vert en tant que devise pour ses importations. Une directive du ministère de l’Industrie, du Secteur minier et du Commerce a ordonné aux commerçants de cesser de passer des commandes d’importation en dollars américains. L’argument à l’appui de la décision était que l’Iran n’avait pas accès aux transactions en dollars à cause des sanctions et que le supprimer comme monnaie de paiement à l’importation lui rendrait la vie bien plus facile.
Le pays a émergé comme un allié fort de la Russie, d’autant plus que les deux partagent la douleur des sanctions. En novembre dernier, rappelle RT, l’ayatollah Ali Khamenei a exhorté le président Vladimir Poutine à se joindre à lui pour quitter le dollar comme monnaie de transaction et le remplacer par des monnaies nationales pour « isoler les Américains ».
La quête de l’Iran contre le dollar a également abouti l’an dernier à un accord bilatéral entre les banques centrales d’Iran et de Turquie pour le commerce des devises nationales. La Russie est actuellement en négociations avec Téhéran pour faire de même, bien qu’il y ait des sceptiques qui pensent que passer du billet vert aux monnaies nationales est plus facile à dire qu’à faire.
En outre, « l’avènement des cryptomonnaies pourrait faciliter l’éloignement du dollar en tant que monnaie de règlement du commerce international du pétrole », a récemment déclaré un analyste. Dans une note de décembre 2017, Stephen Brennock, de PVM Oil Associates, a déclaré que les cryptos pourraient aider les pays producteurs de matières premières à passer du dollar aux cryptomonnaies pour réduire leur dépendance au billet vert. « Dans le même temps, a-t-il dit, cela réduirait leur exposition aux risques de mouvement du dollar et aux effets des sanctions, qui ont typiquement pour effet de couper l’accès du pays ciblé au financement international. »
Par Irina Slav – Le 9 Avril 2018 – Source oilprice.com