WWIII : L'OCCIDENT FRANC-MACON ADORATEUR DE SATAN, CONTRE L'ORIENT CROYANT, TOUS ONT LA BIBLE, LES UNS POUR S'ASSOIR DESSUS, LES AUTRES POUR L'ETUDIER.
WWIII : L'OCCIDENT FRANC-MACON ADORATEUR DE SATAN, CONTRE L'ORIENT CROYANT, TOUS ONT LA BIBLE, LES UNS POUR S'ASSOIR DESSUS, LES AUTRES POUR L'ETUDIER.
Evangile de Marie-Madeleine:
"Ma mère m'a donné la vie, pour que je sois le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi". Les disciples ont demandé à Jésus de récuser Marie-Madeleine comme apôtre, et comme la plus importante d'entre nous. Mais il leur dit "Marie vaut bien mon attachement particulier à elle, car elle a reçu de moi l'enseignement le plus complet, que personne d'entrevous ne saurait donner", "Ma femme sera capable d'être mon meilleur disciple, elle est mon Eglise et j'habite avec elle pour la vie".
La 8ème Eglise de l'Apocalypse, non citée, l'Apôtre des Apôtres Marie Madeleine, l'Eglise du Christ apparaît en FRANCE, la fille aînée de l'Eglise.
Si vous désirez sauvez l'Eglise du Christ et de Sainte Marie-Madeleine, sa femme, à Saint Bauzille de Montmel, au Pic Saint Léon, à côté de Montpellier en FRANCE, inscrivez-vous à l'Association de Sauvegarde de l'Eglise Antique de Sainte Marie Madeleine à Saint Bauzille de Montmel, administrée par le second diplomate Russe en France.
Lorsque Marie-Madeleine oint le Seigneur et L’essuie de ses larmes, il faut y voir la préfiguration de Sa mise au tombeau et de Son embaumement ; d’ailleurs, pour couper court aux commentaires des apôtres, le futur Ressuscité s’écrie : "En vérité je vous le déclare, partout où sera proclamé l’Evangile dans le monde entier, on racontera aussi, en souvenir d’elle, ce qu’elle a fait". (Matthieu 26-13, Luc 2-1, Marc 14-9, Corinthiens, Thessaloniciens,...). Autrement dit, Il associe le plus solennellement possible Son œuvre avec une femme. Puis, après Sa résurrection, la façon qu’Il a de crier son nom Marie !... Ceux qui ignorent l’amour ne comprendront pas ; 2000 ans après les évènements l’on sent encore l’émotion, le frisson, la ferveur du Sauveur... Enfin et surtout le Christ - comme par hasard - choisit Béthanie, d’où est originaire Marie-Madeleine, pour remonter auprès de Son père. Tout est symbolique dans la vie du Messie - on ne peut que garder silence admiratif.
L'évangile apocryphe de Philippe (IIe siècle), texte gnostique, indique que Marie-Madeleine est la "koinonos" (compagne) de Jésus : « Ils étaient trois qui marchaient toujours avec l'Enseigneur : Marie sa mère, la sœur de sa mère et Marie de Magdala qui est connue comme sa compagne car Marie est pour lui une sœur, une mère et une épouse ».
L'évangile apocryphe de Marie, texte gnostique du IIe siècle, montre que Marie-Madeleine a reçu de Jésus un enseignement d'initié et que Pierre refuse de prêter foi à la parole de celle-ci : « Pierre ajouta : « Est-il possible que le Maître se soit entretenu ainsi, avec une femme, sur des secrets que nous, nous ignorons ? Devons-nous changer nos habitudes, écouter tous cette femme ? L'a-t-Il vraiment choisie et préférée à nous ?» Alors Marie pleura. Elle dit à Pierre : « Mon frère Pierre, qu'as-tu dans la tête ? Crois-tu que c'est toute seule, dans mon imagination, que j'ai inventé cette vision ? Ou qu'à propos de notre Maître je dise des mensonges ?» Levi prit la parole : « Pierre, tu as toujours été un emporté ; je te vois maintenant t'acharner contre la femme, comme le font nos adversaires. Pourtant, si le Maître l'a rendue digne, qui es-tu pour la rejeter ? Assurément, le Maître la connaît très bien. Il l'a aimée plus que nous. Ayons donc du repentir, et devenons l'être humain dans son intégrité ; laissons-Le prendre racine en nous et croître comme Il l'a demandé. Partons annoncer l'Évangile sans chercher à établir d'autres règles et d'autres lois en dehors de celle dont Il fut le témoin ». (pages 17-18).
Certains prétendent que Madeleine est l’épouse de Jésus, qu’ils ont 2 enfants, qu’ils s’installent dans la Narbonnaise et qu’ils construisent un temple souterrain dans la région.
Le baron d'Holbach, dans son Histoire critique de Jésus-Christ (1770), parle assez longuement de Madeleine, qu'il accuse d'avoir eu des "complaisances criminelles" pour Jésus. Il est vrai qu'il se décharge de l'accusation sur l'abbé de Labaume Desdonat, auteur de la Christiade, lequel à son tour s'en décharge sur les albigeois.
Dans un livre intitulé Mon Dieu… pourquoi ? coécrit avec le directeur du Monde des Religions, Frédéric Lenoir, et publié chez Plon en 2005, l’abbé Pierre (1912-2007), qui confie avoir eu des rapports sexuels avec des femmes, déclare à propos du mariage supposé de Jésus et de Marie-Madeleine : « Cette hypothèse ne trouble nullement ma foi. Autrement dit, je m’élève contre ceux qui affirment qu’il est impossible que Jésus ait eu des relations sexuelles au nom de sa divinité ».
Citations:
Ne me touchez pas, parce que je ne suis pas encore remonté vers mon Père. O Sainte femme (Marie-Madeleine, ndlr) qui avez saisi les pieds du Seigneur pour qu'il vous emporte vers le Père ! C'est une race nouvelle qu'il emportera : Eve qui désormais ne s'égare plus, mais saisit de toutes ses forces l'arbre de vie. Après cela le Christ l'envoie comme apôtre aux apôtres. O merveilleux renversement : Eve devient apôtre. (Hippolyte de Rome + 235)
Sur toutes les Eglises de l'Apocalypse seule celle de Pergame survivra? c'est là qu'est le trône de Satan…
(voir les Eglises de l'Apocalypse)
Il y a environ 2,000 ans, Jésus Christ construisit Son Église, et Il a promis qu’elle ne serait jamais détruite (Matt. 16: 18)!
Même Christ prédit qu’elle serait petite et persécutée, et qu’elle devrait passer à travers sept ères, cette Église, avec de fidèles leaders et des membres de tous les âges, endura et continua (persévéra) malgré tout. Et elle fut reconnue par ceux qui savaient ce qu’ils devaient regarder et rechercher pour l’identifier.
Où était donc cette Église, pour presque deux millénaires? Peut-elle être trouvée dans l’histoire et retracée aujourd’hui? Comment est-elle identifiée?
Aussi fascinant et captivant que vous n’avez jamais lu auparavant, voici l’étonnante, inspirante et véritable histoire de l’Église de Dieu!
Jésus Christ déclara: “...Je bâtirai Mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle” (Matt. 16: 18). Cette Église, Son Église, la véritable Église, fut prophétisée de ne jamais s’éteindre, de ne jamais mourir. Même si elle a semblée disparaître, comme elle déclinait et se relevait au cours des siècles, Christ, qui l’a activement guidée, S’est assuré qu’elle ait au moins quelques fidèles serviteurs, appelés et remplis avec Son Esprit, pour la garder vivante.
Non reconnue et rejetée comme un culte ou une secte à l’extérieur du cercle du supposé Christianisme, l’Église de Dieu a enduré chaque épreuve et chaque tempête qu’elle a du confrontées. Ce livre, l’identifie, et il est le récit directement de l’histoire, de la véritable Église de Dieu.
Pour presque 2,000 ans, presque tous ont regardé dans la mauvaise direction pour l’Église de Dieu. La véritable Église fut appelée hors de ce monde, hors de ses religions, de ses croyances, de ses coutumes, de ses philosophies et de ses traditions. Le mot traduit à travers le Nouveau Testament pour “Église” vient du mot Grec ecclesia, signifiant être “appelé hors de”, et l’Église de Christ est/a sortit de ce monde. Cela a fait, que ce fut plus difficile pour les historiens traditionnels de la situer. Contrairement aux historiens dans l’Église, ils ne savaient tout simplement pas à/pour quoi regarder.
Puisque la Bible déclare que tout le monde est séduit (Apo. 12;9), aveuglé (II Cor. 4:4), et coupé de Dieu (És. 59: 1-2), il est évident que la civilisation entière ne pourrait jamais être grandement influencée par la vérité ou par la véritable Église qui l’a toujours soutenue. Cela aide à expliquer pourquoi si peu de gens se convertissent dans cet âge ou n’importe quel autre. En fait, il est évident que seulement ce prochain passage, que la véritable Église de Dieu ne serait jamais grande. Notez comment Christ S’adresse à Son Église dans Luc 12:32: “Ne crains point, petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume.”
Les églises respectées et acceptées de ce monde le sont parce qu’elles enseignent les doctrines et les traditions populaires familières aux gens. D’aucune façon que ces dénominations bien-connues soi-disant Chrétiennes, puissent être considérées un “petit troupeau.” Au lieu, plusieurs d’entre elles, sont composes de millions, ou même de centaines de millions de convertis et d’adhérents.
- Le message à l’église de Pergame. Apo 2 :12-17
1.1 La ville de Pergame. C’était la capitale de la province romaine d’Asie même si Ephèse était plus grande. En tant que capitale, c’était le siège du proconsul. Elle devait son existence à l’énorme acropole qui se dresse 300 mètres au-dessus de la plaine. Elle était recouverte de bâtiments publics, le plus notoire étant le théâtre creusé dans la colline. Il y avait une bibliothèque qui rivalisait presque celle d’Alexandrie. Le terme parchemin vient de Pergame, ce nouveau matériau étant développé dans la bibliothèque. Il y avait énormément de temples avec un gigantesque autel pour offrir des sacrifices à Zeus Sauveur. Au pied de l’acropole se trouvait l’Asclepion, centre médical bien connu dédié au dieu Asclépios le dieu de la guérison dont le signe est le serpent. Des gens venaient de partout à la recherche de la guérison. Et, tout en haut, se trouvait un temple dédié à l’empereur Trajan.
Dans cette ville se trouvait une église, vraisemblablement une église de maison compte tenu de la quantité de temples. L’église vivait à l’ombre spirituel de ces temples qui proclamaient que l’empereur était divin, que Zeus était sauveur et qu’Asclépios guérissait. L’église était un chandelier qui rendait témoignage à Dieu et à l’Agneau, le seul vrai Seigneur.
1.2 La description de Jésus – « celui qui a l’épée aiguë à deux tranchants ». Le symbole du pouvoir officiel était l’épée romaine à double tranchant. Or, Pergame en était la capitale, le siège du pouvoir romain. Le proconsul avait l’autorité de condamner les gens à la peine capitale – il pensait peut-être détenir toute autorité, mais non, il y en avait un qui avait une autorité plus grande encore ! Jésus ouvre les yeux de ses enfants pour qu’ils puissent voir l’invisible. Dans le monde visible, c’est Rome qui manie le glaive, mais dans le monde invisible, c’est Jésus !
1.3 Le message prophétique – vv.13-16.
- « Je sais où tu demeures, là où Satan a son trône ». Il y a eu beaucoup de spéculation à ce sujet. C’était peut-être l’autel de Zeus, ou le temple dédié à Trajan ou encore le centre dédié à Asclépios – ou peut-être une combinaison de tout cela plus les autres. En tout cas, Jésus sait où habitent ses enfants et il désire qu’ils continuent à briller au milieu de l’obscurité. Il aurait été facile pour eux de se décourager, entourés par tant de manifestations du paganisme et de l’idolâtrie, mais ils n’avaient pas renié leur foi – ils étaient restés fidèles.
- « Tu es fermement attaché à moi et tu n’as pas renié la foi en moi, même à l’époque où Antipas, mon témoin fidèle, a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure. » Antipas a été fidèle jusqu’à la mort ! Satan essayait d’intimider des disciples, de saper leur détermination à rester fidèle à Jésus en les attaquant de front. Là, ils n’ont pas abandonné ! Mais, tout n’allait pas bien ! Satan demeure plein de ruses ! Il a plus d’un tour dans son sac ! L’église n’a pas succombé à l’attaque frontale, Satan allait donc chercher autre chose – le compromis ! L’église était peut-être divisée : un groupe qui restait fidèle à Jésus et à son enseignement, mais tolérait la présence de ceux qui enseignaient que pour survivre, il fallait conclure des alliances avec le monde, participer aux fêtes, manger la nourriture sacrifiée aux idoles en se rappelant qu’une idole n’est rien. C’est là où Jésus les reprend !
- « Tu as là des gens qui maintiennent la doctrine de Balaam…de même, tu as des gens qui maintiennent la doctrine des Nicolaïtes. » L’église était restée fidèle face aux attaques de l’extérieur, mais elle tolérait l’erreur à l’intérieur ! Jésus identifie 2 sortes d’enseignement faux – l’enseignement de Balaam et celui des Nicolaïtes. Nous avons rencontré ces derniers dans l’église d’Ephèse, et là ils avaient été chassés, mais on les tolérait à Pergame. Le récit de Balaam et Balac se trouve dans Nom 22-24. En remontant la vallée du Jourdain par l’est, les Israélites avaient traversé le pays de Moab. Quand ils ont campé sur les rives du Jourdain en face de Jéricho, Balaq, le roi de Moab a sollicité l’aide de Madian et, ensemble ils ont envoyé des émissaires jusqu’à l’Euphrate engager un sorcier, Balaam. Balaq lui a offert une grosse somme s’il maudissait Israël – mais nous savons comment le Seigneur est intervenu pour transformer la malédiction en bénédiction. Balaam avait cependant envie de toucher le gros lot ! Il a donc suggéré une approche plus subtile. (Nom 31 :16), envoyer des femmes madianites et moabites dans le camp des Israélites. Ils se sont livrés à la débauche avec ces femmes qui les ont entraînés à offrir des sacrifices à leurs dieux. Ce que Balaq n’a pas pu faire par la menace et par la malédiction, il réussit subtilement en entraînant les Israélites dans le compromis.
Les Israélites avaient été rachetés de l’esclavage en Egypte, Dieu s’était révélé à eux à Sinaï et avait conclu une alliance avec ce peuple, il avait pourvu à tous leurs besoins pendant leurs pérégrinations dans le désert et maintenant ils étaient sur le point de gagner la Terre Promise. Ils se trouvaient là, à la limite du territoire moabite – MAIS ils n’ont pas gardé leur distance. Ils ont oublié leur identité en tant que peuple à part. Au lieu de fixer leur regard sur la Terre Promise, ils ont commencé à regarder autour d’eux. Ils sont tombés dans le piège et se sont engagés dans l’immoralité et dans l’idolâtrie – les deux péchés qui constituaient des pièges majeurs pour les chrétiens du 1er siècle ! L’immoralité et l’idolâtrie caractérisaient l’Empire Romain, sauf parmi la population juive. Les Romains pensaient qu’il était tellement bizarre qu’ils n’adoraient qu’un seul Dieu qu’ils les appelaient ‘athées’ et misanthropes parce qu’ils refusaient de participer à la vie sociale de l’empire – et pour cause ! Une grande partie de cette vie sociale était liée aux temples, les prêtres et les prêtresses avaient un haut standing. Le bon citoyen se devait de participer, d’offrir des sacrifices aux dieux, de manger et de boire de la nourriture qui avait été offerte aux idoles !
Dans un premier temps, quand l’église n’était composée que de juifs messianiques, ses membres restaient en dehors de tout cela, mais avec l’arrivée des chrétiens d’origine païenne, il en était tout autrement. Un Concile a été organisé à Jérusalem pour débattre de la conversion remarquable des païens. Fallait-il exiger qu’ils deviennent juifs ? Non, mais ils ont mis des limites – voir Actes 15 :28-29 – s’abstenir de la viande sacrifiée aux idoles, du sang, de la chair des animaux étouffés et de l’immoralité ! Pas besoin de devenir juifs donc – l’église serait composée désormais de croyants juifs et non juifs – Dieu avait démoli le mur d’hostilité, faisant un peuple nouveau de juifs et de non juifs, mais tous devaient éviter toute participation dans la vie débauchée et idolâtre de l’empire romain !
Mais à Pergame, certains enseignaient tout le contraire, ils brouillaient la distinction nette entre l’église et le monde – et contrairement à l’église d’Ephèse, celle de Pergame tolérait cet enseignement. Certes, ça rendait la vie plus facile – les chrétiens pouvaient participer plus activement dans la vie de la ville, ils pouvaient participer aux activités des confréries des commerçants, évitant ainsi les critiques de leurs collègues et voisins, évitant la désapprobation des autorités qui désiraient que chaque citoyen manifeste sa loyauté à Rome – mais ils cessaient ainsi d’être une vraie église, une lumière qui brillait clairement dans l’obscurité.
- Jésus prononce donc un avertissement. v.16 Il appelle à la repentance, autrement il viendra en jugement sur les faux docteurs. L’église n’a pas à craindre le glaive du proconsul romain, celui qui a fait tuer Antipas, le témoin fidèle, non, elle doit craindre celui qui sort de la bouche de Jésus. Au chapitre 19, il apparaît monté sur un cheval blanc, jugeant les nations sans effort. L’église de Pergame s’était trompée de juge – au lieu de craindre Rome et de chercher à minimiser les risques d’une condamnation, il faudrait éviter tout compromis afin de ne pas être jugé par le juge véritable que fera tout pour sauvegarder la pureté de son église.
1.4 La Promesse au vainqueur v.17. Comme dans les autres messages, Jésus donne une promesse au vainqueur, à celui qui rejette cette fausse doctrine, qui refuse tout compromis avec le monde, qui résiste à la tentation d’emboîter le pas et de s’engager dans les rangs des confréries. A celui-là, Jésus promet 3 choses : de la manne cachée, un caillou blanc et un nom nouveau.
- La manne cachée. Les fidèles refusaient de manger de la viande sacrifiée aux idoles – c’était peut-être leur seule opportunité de manger de la viande. Mais Jésus leur promet de la manne, de la nourriture céleste comme dans l’AT. Elle est cachée, car le monde ne la voit pas – tout comme Daniel et ses compagnons ont refusé de se rendre impur en mangeant la même nourriture que le roi, ils ont demandé à l’intendant de les mettre à l’épreuve pendant 10 jours en ne mangeant que des légumes et que de l’eau à boire. Et bien, contre toute attente, à la fin de cette période, ils avaient meilleure mine et avaient pris plus de poids que leurs camarades qui n’avaient pas suivi ce régime. Jésus sait nourrir ceux qui lui sont fidèles !
- Un caillou blanc. Il y a eu énormément de suggestions : un jeton pour entrer à la Grande fête du roi, une représentation de l’Urim et Thummim de l’AT, un talisman ou un symbole de victoire. Compte tenu du contexte, il me semble qu’une autre interprétation avancée soit la plus appropriée. Dans les tribunaux de l’antiquité, un caillou noir indiquait une condamnation et un caillou blanc, l’acquittement ! Quand Paul se tenait devant le roi Agrippa, il dit que selon l’autorité dont il était investi par les grands prêtres, il avait mis beaucoup de chrétiens en prison, et quand on décidait de les supprimer, il apportait son suffrage – [lit. 'son caillou’]. Les autorités de Pergame pouvaient les condamner, mais Jésus leur donnerait son suffrage, l’acquittement !
- Un nom nouveau (gravé sur le caillou) que seul celui qui le reçoit peut le lire. Un nom, signifie notre identité. Au vainqueur à Philadelphie, Jésus promet 3 noms : le nom de son Dieu, le nom de la nouvelle Jérusalem, et le nom nouveau. (3 :12). L’identité du croyant reste en Dieu, en Jésus-Christ et dans la Nouvelle Jérusalem. Il avait fait d’eux de nouvelles créatures, il leur avait donné un nom nouveau. Leur identité ne résidait ni à Pergame, ni en Asie, ni à Rome. Ils étaient le peuple de Dieu.
2 Résister ! Comment pouvons-nous résister au compromis ? Je pourrais vous avertir de la colère divine et du risque de jugement. Vous pourriez partir avec un engagement renouvelé, un zèle tout nouveau, motivés peut-être par la peur de décevoir le Seigneur. Mais, d’ici quelques jours, nous nous trouverons tous de nouveau confrontés par le monde et des décisions à prendre. Comment décider ?
La solution la plus simple, et la moins efficace, c’est ce que beaucoup d’églises ont fait par le passé ! Etablir une liste de règles de ce qui est permis et ce qui ne l’est pas. Fumer, boire, danser, aller au cinéma ou en boîte, jouer aux cartes etc. Mais c’est du légalisme et l’Apocalypse ne suggère rien de la sorte ! Jésus ne donne pas une liste d’interdits, il ne fixe pas de barrière bien délimitée entre l’église et le monde dans le domaine de notre comportement quotidien. Non, ce qu’il fait, c’est qu’il donne à ces églises une double vision ! Une vision de leur identité et une vision de leur destinée !
2.1 Une vision de leur identité. Ce sont des chandeliers, des lampes, des lumières. Ce serait tellement plus facile si des chrétiens pouvaient fuir dans le désert, chanter des cantiques et méditer la parole de Dieu sans cesse, sans contact polluant avec le monde extérieur – mais ça ne marche pas comme ça ! Jésus voulait que cette église soit à Pergame, à l’ombre de l’acropole, au milieu de cette culture immorale et idolâtre – et là, elle doit briller. Il veut que l’église de la rue du Bras d’Or brille de tous ses feux à Boulogne. Dans l’Apocalypse, il y a deux groupes de personnes – celles dont la demeure est le monde et qui portent la marque de la bête. L’autre groupe vit dans le monde mais sa demeure est ailleurs ! Ses membres sont marqués du sceau de l’Agneau et ils sont destinés à régner avec lui.
2.2 Une vision de leur destinée. Ceux qui auront été séduits par le dragon, le faux prophète et Babylone se trouveront engloutis par la seconde mort, le lac de feu où ils seront rejoints par le dragon, le faux prophète, même par la mort et par Hadès. Ils seront bannis de la présence de Dieu pour toujours. Les fidèles, les vainqueurs, sont destinés pour le nouveau ciel et la nouvelle terre, pour la Nouvelle Jérusalem où ils verront la face de Dieu et vivront éternellement dans sa présence – et c’est logique, c’est que c’est 2 groupes ont désiré depuis le début – les fidèles désirent ardemment le retour du Seigneur Jésus tandis que les autres passent leur temps à blasphémer son nom, essayant de vivre leurs vies totalement en dehors de sa présence.

Publié le 14 avril, 2018 | par Equipe de Pleinsfeux
LA VÉRITÉ BIBLIQUE ABSOLUE
Par The Berean Beacon ministry
En opposition au Catholicisme Romain

Le Seigneur Jésus-Christ a promis aux apôtres : « Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité. » (Jean 16:13) Toute la vérité signifie toute la vérité révélée, qui est enregistrée dans la Parole écrite. Cette promesse était précise : « Il vous conduira dans toute la vérité », et non pas toutes les vérités (au pluriel), mais plutôt, dans « toute la vérité ». La vérité de Dieu est un tout indissoluble, équilibré et harmonieux. Dans la Bible, nous avons « toute la vérité ». Ceci est clairement compris par l’inférence dans le dernier commandement biblique : « Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre. » (Apocalypse 22:18) L’écriture des Écritures dans un sens exclusif est la composition de l’Esprit Saint, « C’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. » (2 Pierre 1:21) L’Esprit est parfaitement adapté à ce travail parce qu’il est « l’Esprit de vérité ». Il a une connaissance parfaite de la vérité parce qu’il est Dieu, un avec le Père et le Fils. Le Saint-Esprit ne révèle rien au-delà de la Parole écrite, comme Jésus-Christ l’a dit : « C’est pourquoi j’ai dit qu’il prendra de ce qui est à moi, et qu’il vous l’annoncera. » (Jean 16:15) On peut comprendre ce que le Christ a enseigné par l’enseignement du Saint-Esprit. La révélation du Christ Jésus que l’Esprit de vérité a donné à travers ses apôtres est la définition ultime et définitive de la vérité concernant Dieu, l’homme et l’histoire de la rédemption. « Car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ. » (Jean 1:17) Les doctrines contenues dans les Écritures sont la source absolue de toute la vérité dont le croyant a besoin.

Le Saint-Esprit à travers les Écritures révèle le Christ et Sa justice aux croyants. La fonction unique du Saint-Esprit est de nous conduire dans toute la vérité en nous convaincant du « péché, de la justice et du jugement ». (Jean 16:8) Nous ne sommes pas gardés dans les ténèbres, mais, amenés à la lumière pour croire.
La foi dans le Christ Jésus seul est la grande et sûre marque de l’œuvre du Saint-Esprit dans votre âme, par laquelle vous êtes faits pour participer à l’héritage des saints dans la lumière. « Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu. » (1 Jean 5:1) Entraver cette foi en soutenant qu’il y a une source de confiance dans la Tradition qui équivaut à celle des Écritures, c’est empêcher les âmes de placer leur confiance dans le Seigneur. Ce qui est plus grave, c’est qu’un tel enseignement parle contre la personne même et l’œuvre du Saint-Esprit dans les Écritures. Avec une grande lourdeur du cœur, je m’adresse maintenant à la source de l’autorité de l’Église Catholique, en me souvenant de toutes les années où j’ai enseigné aux hommes, aux femmes et aux enfants la doctrine à suivre.
L’Église Catholique Romaine est catégorique en indiquant où se trouve sa certitude concernant la doctrine. Elle enseigne officiellement,
« En conséquence, l’Église Catholique Romaine, à qui la transmission et l’interprétation de la Révélation est confiée, ne tire pas sa certitude de toutes les vérités révélées des seules Écritures saintes. Les Écritures et la Tradition doivent être acceptées et honorées avec des sentiments égaux de dévotion et de révérence. »
La nature même de toute autorité est qu’elle est autonome. La vie de foi doit avoir une autorité souveraine. Si deux autorités gouvernent la foi, alors elle est vouée à l’échec parce qu’une autorité dominera l’autre. La prétention du Vatican d’une « dévotion et révérence » égale pour les Écritures et la Tradition n’est que l’équivalent ecclésiastique du principe d’autorité d’une fameuse basse-cour où l’on déclare que « tous les animaux sont égaux », mais, avec le qualificatif plus égal que les autres. Avec le Vatican, la Tradition est toujours le « président du comité » avec le vote décisif sur les questions d’autorité. C’est ainsi que Rome vit et applique continuellement ses règles. Par exemple, dans la « Profession de Foi » du Concile de Trente, la formule de soumission est donnée par ces mots,

« Les traditions apostoliques et ecclésiastiques, et toutes les autres observances et constitutions de cette même Église, je les admets et les embrasse avec le plus de fermeté. J’accepte également l’Écriture sainte selon ce sens que notre sainte Mère l’Église a tenu et détient, dont elle est chargée de juger de la vraie signification et de l’interprétation des Écritures sacrées ; Je ne les accepterai ou ne les interpréterai jamais autrement que d’après le consentement unanime des Pères. »
Le siège de l’autorité, ou la règle de la foi, est fermement entre les mains de la hiérarchie romaine. Les hommes qui composent la hiérarchie sont « la sainte Mère l’Église ». Ils siègent en jugement sur les Écritures. Le résultat final est que la personne catholique finit par ne pas croire le Dieu Tout-Puissant et Sa Parole écrite, mais plutôt, la sainte Mère l’Église et ses Traditions. Cette façon de penser est insérée par la force dans l’esprit des « fidèles catholiques ».
Un exemple de la manière dont la Sainte Mère gouverne se trouve dans le Catéchisme de l’Église Catholique : « En tant que mère qui enseigne à ses enfants à parler et à comprendre et à communiquer, l’Église notre Mère nous enseigne le langage de la foi pour nous introduire dans la compréhension et dans la vie de la foi ». Cependant, sur le sujet le plus important de la confiance dans le Christ seul, que les Écritures proclament comme le Sauveur tout-suffisant, la même autorité enseignante exige que les âmes se tournent vers ses soins maternels plutôt que de fixer leurs yeux sur le Christ Jésus seulement. Elle déclare officiellement,
« Croire est un acte ecclésial. La foi de l’Église précède, engendre, soutient et nourrit notre foi. L’Église est la mère de tous les croyants. Personne ne peut avoir Dieu comme Père s’il n’a pas l’Église comme Mère. »

L’enseignement du Vatican pour que les gens croient en elle en tant que « sainte Mère l’Église » est aussi fondamental que la vanité dans le cœur d’Ève, l’amenant à adhérer aux insinuations mauvaises, « Oui, Dieu a-t-il dit ? » et « Vous serez comme des dieux ». Pour cette raison, les Écritures disent : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive. » (Romains 1:18) En assimilant la Tradition aux Écritures, l’Église Catholique Romaine a, dans ses préjugés, retenu la vérité. L’élément même dans lequel et par lequel la vérité est connue et appréciée devient ainsi ténèbres, « Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres. » (Matthieu 6:23) Le Seigneur Christ Jésus a montré sa colère contre les Pharisiens pour la même offense parce qu’elle mine l’autorité même et la personne de Dieu. Il les a appelés « Serpents, race de vipères ! Comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne ? » (Matthieu 23:33) Parce que leur péché était semblable à celui de Satan qui a nié toute la suffisance de la Parole du Seigneur. La sévérité de la condamnation du Seigneur ne devrait pas être une surprise parce que le système des Pharisiens était la corruption des Écritures et qu’ils étaient l’ennemi fondamental de la saine doctrine. Le Christ avait l’intention d’effrayer son peuple afin qu’il puisse se garder d’une tromperie semblable. Traiter de cet abaissement d’une manière ou d’une autre, mais avec le plus grand sérieux, serait de manquer au Seigneur Jésus-Christ et de trahir les âmes des hommes. Faire de la tradition une partie de la règle de la foi subvertit l’autorité entière des Écritures et constitue un refus formel de la Seigneurie de Jésus-Christ.

Dans le Catholicisme, la base de la vérité, bien qu’absolue, n’est pas l’autorité absolue de Dieu dans les Écritures ; C’est plutôt l’autorité d’un homme, le Pape de Rome. L’autorité ultime réside dans les décisions et les décrets du pape régnant. Ceci est vu dans la documentation des sources catholiques officielles, comme le déclare le droit canon du Vatican,
« Le Souverain Pontife, en vertu de sa fonction, possède une autorité enseignante infaillible quand, en tant que pasteur suprême et enseignant de tous les fidèles … il proclame avec une action définitive qu’une doctrine de foi ou de morale doit être tenue comme telle. »
La réponse obligatoire des « fidèles chrétiens » à cette autorité enseignante infaillible est énoncée dans le canon 752 : « Un respect religieux de l’intellect et de la volonté, même s’il n’est pas l’assentiment de la foi, doit être payé à l’enseignement que le Souverain Pontife … » Tout appel ou recours contre l’imposition totalitaire d’une prétendue infaillibilité est réduit au silence par le décret du Canon 333 Sec. 3, « Il n’y a aucun appel ou recours contre une décision ou un décret du Pontife romain. »
Selon les Écritures, cependant, l’infaillibilité est un attribut de Dieu et non celui d’un homme ou d’un groupe d’hommes. L’éternité, l’omniscience et l’infaillibilité font partie des attributs naturels incommunicables de Dieu, propriétés de Son Être qui ne peuvent être transmises ou déléguées à des créatures. Il y a certaines choses que Dieu déclare qu’il ne peut pas faire, il ne peut pas mentir, et il ne peut pas en créer un autre infaillible. La revendication papale de « l’autorité enseignante infaillible » est essentiellement une revendication à la divinité. La doctrine du Vatican soutient que le pape est « le Saint-Père ». Rien de plus frappant ne montre l’arrogance de la papauté que cette affreuse prétention à l’infaillibilité. Le Pape, en s’érigeant en suprême, a de facto nié l’autorité absolue de Dieu !
Qu’une puissance humaine puisse revendiquer l’infaillibilité d’être « comme Dieu » défie l’imagination. En sapant l’attribut de l’infaillibilité de Dieu, le système de Rome non seulement se moque de la Divinité et de Sa vérité, mais il nie aussi les faits historiques. Le Pape Honorius (625-638) a été condamné comme hérétique par le sixième concile œcuménique (680-681). Il a également été condamné comme hérétique par le Pape Léon II, ainsi que par tous les autres pape jusqu’au onzième siècle. Il y avait donc des papes « infaillibles » condamnant un autre pape « infaillible » comme hérétique. L’historien catholique, l’archevêque Bernard Hasler, écrit : « Mais le Pape Jean XXII ne voulait pas entendre parler de sa propre infaillibilité ; Il considérait cela comme une restriction injustifiée de ses droits en tant que souverain, et, dans la Bulle Qui Quorundam (1324), il condamnait la doctrine franciscaine de l’infaillibilité papale comme l’oeuvre du diable. » La déclaration d’infaillibilité du Vatican est réprimandée par le commandement du Seigneur : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » (Exode 20:2-3) On retrouve la même prétendue infaillibilité, quoique dans une terminologie différente, dans la déclaration de Rome que sa tradition est divinement inspirée.

Pour comprendre les traditions du Vatican, il faut apprécier son état d’esprit dans l’affirmation audacieuse que ses doctrines sont inspirées par le Saint-Esprit. Ainsi, elle dit : « Suivant l’enseignement divinement inspiré de nos saints Pères et la tradition de l’Église Catholique, nous savons que cette tradition vient du Saint-Esprit qui habite en elle … » En outre, le Vatican se dit ne pas être une « religion du livre », pas une religion de la « parole écrite et muette », mais plutôt, d’avoir la « Parole » de Dieu, incarnée et vivante. Ainsi, elle déclare officiellement : « Pourtant, la foi chrétienne n’est pas une « religion du livre ». Le Christianisme est la religion de la « Parole » de Dieu, pas une parole écrite et muette, mais, incarnée et vivante. » Seuls les hommes dépourvus du Saint-Esprit auraient pu écrire et publier une telle vision déformée des Saintes Écritures. Les Écritures, la Parole écrite de Dieu, montrent l’éclat de la vérité, de la sainteté, de la majesté et de l’autorité de Dieu, qui lui ont été données par son auteur, le Saint-Esprit. Les Écritures Saintes sont la marque de l’excellence de Dieu, les distinguant de tous les autres écrits. Elles sont rapides et actives, saisissant la conscience du pécheur, en le condamnant au cœur. Elles réconfortent le croyant et pansent les plaies de l’âme, « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants. » (Hébreux 4:12)
La prétention du Vatican à « l’enseignement divinement inspiré de nos saints Pères et à la tradition de l’Église Catholique » est une affirmation injustifiée de sanction divine pour sa tradition. Rome tente de se placer sur le trône de Dieu en déclarant que sa tradition est à égalité avec l’Écriture inspirée par Dieu. L’église de Rome ne s’arrête pas là. Dans un autre document, ses affirmations vont jusqu’à prétendre que la plénitude même de la grâce et de la vérité appartient à l’Église Catholique Romaine. De son documentaire officiel, Dominus Iesus, les mots exacts du Vatican sont,
« Par conséquent, la plénitude du mystère salvifique du Christ appartient aussi à l’Église Catholique, inséparablement unie à son Seigneur. » Et « Le Seigneur Jésus, le seul Sauveur, n’a pas seulement établi une simple communauté de disciples, mais, a constitué l’Église en tant que mystère salvifique : Il est lui-même dans l’Église … » Et, « la plénitude de la grâce et de la vérité confiées à l’Église Catholique. »

Les Écritures parlent d’un seul auquel a été confiée la plénitude même de la grâce et de la vérité, Son nom est le Seigneur Jésus-Christ. L’arrogance papale correspond bien à ce que l’Écriture a prédit pour de telles revendications : « Je monterai sur le sommet des nues, je serai semblable au Très-Haut. » (Ésaïe 14:14) Si le Christ Lui-même était identifié avec l’Église de Rome, Il aurait été responsable de toutes les tortures, meurtres, hérésies et intrigues de l’Inquisition de la part de l’inique Pape Innocent III, en 1203, jusqu’à sa dissolution définitive en Espagne et au Portugal en 1808. Le Christ de l’Écriture est séparé de toutes ces iniquités. Il est la source et les moyens de la grâce et de la vérité. Loin de s’identifier à elle, Il la révèle comme « cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus ». En tant que Seigneur de l’histoire, Il révèle le fruit pourri qui vient de sa soi-disant tradition « divinement inspirée ».
Après avoir examiné la revendication d’une « tradition qui vient du Saint-Esprit », il est nécessaire d’évaluer ce que cette tradition implique. L’Église de Rome déclare,

« En suivant l’enseignement divinement inspiré de nos saints Pères et de la tradition de l’Église Catholique, car nous savons que cette tradition vient du Saint-Esprit qui habite en elle, nous définissons avec justesse et exactitude que, comme la figure de la précieuse croix, et des saintes images vénérables de notre Seigneur, Dieu et Sauveur, Jésus Christ, notre Dame inviolée, la Sainte Mère de Dieu, et les anges vénérés, tous les saints et les justes, qu’ils soient peints ou en mosaïque ou un autre matériau approprié doivent être exposés dans les saintes églises de Dieu, sur les vases sacrés et les vêtements, les murs et les panneaux, dans les maisons et dans les rues. »
C’est de l’idolâtrie, purement et simplement, et condamnée par le Seigneur Dieu. Les Écritures indiquent clairement que Dieu déteste l’idolâtrie et interdit une représentation dans l’art de ce qui est divin (Exode 20:4-6). Faire des images pour représenter Dieu corrompt ceux qui les utilisent (Deutéronome 4:13, 15-16). Les images enseignent des mensonges sur Dieu (Habacuc 2:18-20). Dieu ne peut pas être représenté dans l’art et tous ceux qui pratiquent l’idolâtrie doivent se repentir (Actes 17:29-30). Le Saint-Esprit ordonne dans le Nouveau Testament comme Il l’a fait dans l’Ancien Testament, « Petits enfants, gardez-vous des idoles. » (1 Jean 5:21)
Les traditions du Catholicisme apportent au culte de Dieu une eau impure mêlée d’huile et de sel, les odeurs du charbon et de l’encens, les vies des hommes et des femmes célibataires frustrés, et pire encore, elle introduit l’idolâtrie que Dieu déteste. Avec de telles « images de notre Seigneur et de notre Dieu », Rome commande l’exposition des « anges vénérés, de tous les saints et des os des saints », qui sont vénérés comme de saintes reliques. Cet enseignement et ce comportement ridiculisent le Saint-Esprit, que l’Église de Rome revendique comme la source de sa tradition. Elle se moque de Dieu quand elle prétend que ces traditions viennent du Saint-Esprit.
Pour maintenir ses pompes, ses cérémonies et ses sacrements, Rome déclare officiellement que sa Tradition est sacrée,
« La Tradition Sacrée et les Écritures Saintes sont donc étroitement liées et communiquent l’une avec l’autre. Pour les deux, sortant de la même source divine, se réunissent d’une manière ou d’une autre pour former une seule chose et avancer vers le même but. »
Rome prétend non seulement que la Tradition Sacrée forme « une chose » avec la Parole écrite de Dieu, mais aussi, que sa Sainte Tradition transmet la Parole de Dieu. Elle déclare :
« L’Écriture Sainte est le discours de Dieu tel qu’il est écrit dans le souffle du Saint-Esprit. Et la Sainte Tradition transmet dans son intégralité la Parole de Dieu qui a été confiée aux apôtres par le Christ, le Seigneur et le Saint-Esprit. Il la transmet aux successeurs des apôtres afin que, éclairés par l’Esprit de vérité, ils puissent la préserver fidèlement, la révéler et l’étendre à l’étranger par leur prédication ».

Un tel enseignement déshonore le Saint Nom de Dieu et est une profanation contre Sa Parole Sainte. L’Écriture enseigne que la Parole écrite de Dieu ne peut être mélangée à autre chose. Le Seigneur Jésus-Christ lui-même a dit : « L’Écriture ne peut pas être anéantie. » (Jean 10:35) « Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Éternel, et comme un marteau qui brise le roc ? » (Jérémie 23:29) L’affirmation catholique que « la Sainte Tradition transmet dans son intégralité la Parole de Dieu » est littéralement un blasphème contre le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit communique Sa Parole aux croyants. C’est son dessein de transmettre Sa Parole à Son peuple. Ce n’est pas l’effort du Saint-Esprit de transmettre une Tradition impie qui soutient l’idolâtrie, la superstition et la nécromancie. « Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche ; Elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. » (Ésaïe 55:11) C’est la vrai foi que l’Esprit de Dieu scelle dans le cœur des croyants, comme Lui seul est l’Esprit de vérité. Par sa propre lumière divine, son efficacité et sa puissance, le témoignage du Saint-Esprit est donné à tous les croyants dans la Parole écrite. La communication par le Saint-Esprit de sa propre lumière et de son autorité dans les Écritures est la preuve de son origine. Le Saint-Esprit apporte sa Parole aux croyants.
La déclaration du Vatican selon laquelle « la Sainte Tradition transmet intégralement la Parole de Dieu » dénigre non seulement la Personne divine du Saint-Esprit, mais focalise aussi l’esprit sur la Tradition plutôt que sur la Personne divine du Saint-Esprit pour lui ouvrir la Parole. Que ce soit le désir même de Rome est souligné par elle au moyen de l’utilisation de l’italique au début du Paragraphe 113 du Catéchisme de l’Église Catholique, « Lisez les Écritures dans la Tradition vivante de toute l’Église ». Rome va jusqu’à réprimander ceux qui s’égarent parce qu’elle déclare qu’il y a « … la tendance à lire et à interpréter les Saintes Écritures en dehors de la Tradition et du Magistère de l’Église. » Ainsi, l’Église de Rome dans sa « Tradition et Magistère », laisse la place pour payer les honneurs divins aux supposées reliques des martyrs, pour ériger des autels, pour brûler de l’encens, pour consacrer des images et des temples, et faire des prières et des louanges à l’honneur des saints disparus. Ce culte démoniaque est le paganisme ressuscité.
Cependant, les croyants convaincus par le Saint-Esprit reçoivent, embrassent, croient et se soumettent aux Écritures à cause de l’autorité de Dieu qui nous les a données. Le système de Rome diffame le Saint-Esprit en affirmant que « la Sainte Tradition transmet intégralement la Parole de Dieu ». C’est en fait un truc très utile employé par les dictateurs, la « loi » étant ce que le dictateur dit aujourd’hui. Puisque la loi n’est pas nécessairement écrite, elle peut être contredite en toute impunité chaque fois que le dictateur choisit. La tradition, utilisée de cette façon, est un outil très pratique dans la réserve catholique. En l’utilisant ainsi, elle nie les moyens mêmes par lesquels une personne est sauvée de son péché. L’enseignement du Vatican est littéralement une âme accablante, selon les paroles du Seigneur, « Malheur à vous, docteurs de la loi ! Parce que vous avez enlevé la clef de la science ; Vous n’êtes pas entrés vous-mêmes, et vous avez empêché d’entrer ceux qui le voulaient. » (Luc 11:52)

L’apôtre Paul exhorte le croyant à se tourner vers la « …démonstration d’Esprit et de puissance, afin que votre foi fut fondée, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu. » (1 corinthiens 2:4-5) Juste comme une nouvelle source de manne a été donnée chaque jour aux Israélites dans le désert, de sorte que l’Esprit de Dieu rompt de nouveau les Écritures à ceux qui ont faim et soif de justice. Par conséquent, il incombe à tous ceux qui aiment les Catholiques de les éloigner fidèlement des paroles des hommes, et vers les Écritures où ils trouveront Celui qui a dit : « Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture. » (Jean 7:38)
Sous le titre « La tradition apostolique » et le sous-titre « … continué dans la succession apostolique », Rome déclare ce qui suit,
« Afin que l’Évangile complet et vivant puisse toujours être préservé dans l’Église, les apôtres ont laissé les évêques comme leurs successeurs. Ils leur ont donné « leur propre position d’autorité enseignante ». En effet, la prédication apostolique, qui s’exprime d’une manière spéciale dans les livres inspirés, devait être préservée dans une ligne continue de succession jusqu’à la fin des temps. Cette transmission vivante, accomplie dans le Saint-Esprit, s’appelle la Tradition, puisqu’elle est distincte des Écritures Saintes, bien qu’étroitement reliée à celle-ci. »
Nulle part dans les Écritures, y a-t-il une référence à « une lignée continue de succession » (ce qui revient à « succession apostolique »). Dans le Nouveau Testament, les apôtres ne nommaient pas d’autres apôtres, mais plutôt, des anciens et des diacres.
Néanmoins, Rome tente de défendre sa position au nom d’une lignée de succession continue des Apôtres. Si l’on veut utiliser le concept de « succession apostolique », les vrais successeurs des Apôtres sont les saints de la maison de Dieu qui « sont bâtis sur la base des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ étant lui-même la pierre angulaire principale ». Si ce fondement doctrinal est détruit, on n’a pas la foi apostolique ; Il y a plutôt l’apostasie. La « succession apostolique » sans la doctrine apostolique est une fraude. Ce n’est que la doctrine biblique qui rend sage le salut par la foi en Jésus-Christ.
Si l’on étudie réellement la « succession » selon les termes du Catholicisme, l’évidence d’une séquence de la Rome païenne est ce qui semble évident. Ceci est documenté par l’un des savants célèbres du Vatican, le cardinal John Henry Newman, lorsqu’il a écrit au sujet de l’origine païenne de nombreuses pratiques catholiques,

« Eusèbe nous dit de diverses manières que Constantin, pour recommander la nouvelle religion aux païens, y a transféré les ornements extérieurs auxquels ils avaient été habitués dans leur propre … utilisation des temples, et ceux dédiés à des saints particuliers, et ornés à l’occasion de branches d’arbres ; Avec l’encens, les lampes et les bougies ; Des offrandes votives pour guérir d’une maladie ; De l’eau bénite ; Des asiles ; Des fêtes et saisons ; De l’utilisation de calendriers, de processions, de bénédictions des champs ; Les vêtements sacerdotaux, la tonsure … Les images à une date ultérieure, peut-être le chant ecclésiastique, et le Kyrie Eleison, sont tous d’origine païenne, et sanctifiés par leur adoption dans l’Église. »
Une telle succession dans la tradition de l’encens, des bougies, des offrandes votives, des eaux bénites, des processions, des huiles bénies, des palmiers, des cendres et des interdictions de se marier et de l’abstinence de certains aliments est, selon l’Apôtre, « une forme de piété, mais reniant la puissance de celui-ci ». Le même apôtre a parlé de la détérioration à suivre ; Tel est en fait la succession du Vatican. « Je sais qu’il s’introduira parmi vous, après mon départ, des loups cruels qui n’épargneront pas le troupeau. » (Actes 20:29)
1Lorsque le tumulte eut cessé, Paul réunit les disciples, et, après les avoir exhortés, prit congé d'eux, et partit pour aller en Macédoine. 2Il parcourut cette contrée, en adressant aux disciples de nombreuses exhortations. Puis il se rendit en Grèce, 3où il séjourna trois mois. Il était sur le point de s'embarquer pour la Syrie, quand les Juifs lui dressèrent des embûches. Alors il se décida à reprendre la route de la Macédoine. 4Il avait pour l'accompagner jusqu'en Asie: Sopater de Bérée, fils de Pyrrhus, Aristarque et Second de Thessalonique, Gaïus de Derbe, Timothée, ainsi que Tychique et Trophime, originaires d'Asie. 5Ceux-ci prirent les devants, et nous attendirent à Troas. 6Pour nous, après les jours des pains sans levain, nous nous embarquâmes à Philippes, et, au bout de cinq jours, nous les rejoignîmes à Troas, où nous passâmes sept jours.
7Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu'à minuit. 8Il y avait beaucoup de lampes dans la chambre haute où nous étions assemblés. 9Or, un jeune homme nommé Eutychus, qui était assis sur la fenêtre, s'endormit profondément pendant le long discours de Paul; entraîné par le sommeil, il tomba du troisième étage en bas, et il fut relevé mort. 10Mais Paul, étant descendu, se pencha sur lui et le prit dans ses bras, en disant: Ne vous troublez pas, car son âme est en lui. 11Quand il fut remonté, il rompit le pain et mangea, et il parla longtemps encore jusqu'au jour. Après quoi il partit. 12Le jeune homme fut ramené vivant, et ce fut le sujet d'une grande consolation.
13Pour nous, nous précédâmes Paul sur le navire, et nous fîmes voile pour Assos, où nous étions convenus de le reprendre, parce qu'il devait faire la route à pied. 14Lorsqu'il nous eut rejoints à Assos, nous le prîmes à bord, et nous allâmes à Mytilène. 15De là, continuant par mer, nous arrivâmes le lendemain vis-à-vis de Chios. Le jour suivant, nous cinglâmes vers Samos, et le jour d'après nous vînmes à Milet. 16Paul avait résolu de passer devant Ephèse sans s'y arrêter, afin de ne pas perdre de temps en Asie; car il se hâtait pour se trouver, si cela lui était possible, à Jérusalem le jour de la Pentecôte.
17Cependant, de Milet Paul envoya chercher à Ephèse les anciens de l'Eglise. 18Lorsqu'ils furent arrivés vers lui, il leur dit: Vous savez de quelle manière, depuis le premier jour où je suis entré en Asie, je me suis sans cesse conduit avec vous, 19servant le Seigneur en toute humilité, avec larmes, et au milieu des épreuves que me suscitaient les embûches des Juifs. 20Vous savez que je n'ai rien caché de ce qui vous était utile, et que je n'ai pas craint de vous prêcher et de vous enseigner publiquement et dans les maisons, 21annonçant aux Juifs et aux Grecs la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus-Christ. 22Et maintenant voici, lié par l'Esprit, je vais à Jérusalem, ne sachant pas ce qui m'y arrivera; 23seulement, de ville en ville, l'Esprit-Saint m'avertit que des liens et des tribulations m'attendent. 24Mais je ne fais pour moi-même aucun cas de ma vie, comme si elle m'était précieuse, pourvu que j'accomplisse ma course avec joie, et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, d'annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.
25Et maintenant voici, je sais que vous ne verrez plus mon visage, vous tous au milieu desquels j'ai passé en prêchant le royaume de Dieu. 26C'est pourquoi je vous déclare aujourd'hui que je suis pur du sang de vous tous, 27car je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher. 28Prenez donc garde à vous-mêmes, et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis évêques, pour paître l'Eglise du Seigneur, qu'il s'est acquise par son propre sang. 29Je sais qu'il s'introduira parmi vous, après mon départ, des loups cruels qui n'épargneront pas le troupeau, 30et qu'il s'élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux. 31Veillez donc, vous souvenant que, durant trois années, je n'ai cessé nuit et jour d'exhorter avec larmes chacun de vous. 32Et maintenant je vous recommande à Dieu et à la parole de sa grâce, à celui qui peut édifier et donner l'héritage avec tous les sanctifiés. 33Je n'ai désiré ni l'argent, ni l'or, ni les vêtements de personne. 34Vous savez vous-mêmes que ces mains ont pourvu à mes besoins et à ceux des personnes qui étaient avec moi. 35Je vous ai montré de toutes manières que c'est en travaillant ainsi qu'il faut soutenir les faibles, et se rappeler les paroles du Seigneur, qui a dit lui-même: Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.
36Après avoir ainsi parlé, il se mit à genoux, et il pria avec eux tous. 37Et tous fondirent en larmes, et, se jetant au cou de Paul, ils l'embrassaient, 38affligés surtout de ce qu'il avait dit qu'ils ne verraient plus son visage. Et ils l'accompagnèrent jusqu'au navire.
C’est le Seigneur Christ Jésus qui parle dans les Écritures. En cela, son Saint-Esprit nous dit qui Il est et ce que nous sommes. Il nous dit qu’Il est venu pour nous sauver de nos péchés et, à cette fin, le Père l’a envoyé dans le monde. Afin de mener à bien ce travail chez les hommes, le Saint-Esprit applique la vérité des Écritures au croyant individuel. Il conduira son peuple à la religion du « paganisme baptisé » incarné dans l’Église de Rome. Pour toutes les habitudes imaginatives de la tradition, ses enseignements, son culte et ses expériences émotionnelles pseudo-spirituelles qui proviennent de l’extérieur des Écritures ne sont que des tromperies vagabondes et des déceptions volontaires. « Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde,et non sur Christ. » (Colossiens 2:8)

L’examen franc de la doctrine de l’autorité de l’Église Catholique faite ici mène à la conclusion que son autorité n’est pas simplement sans fondement biblique véritable, mais elle est aussi une tentative d’usurper complètement l’autorité divine du Seigneur Dieu dans Sa Parole écrite. La « Sainte Mère l’Église » en termes bibliques n’est ni sainte ni à proprement parler une église. Elle est plutôt le successeur clair de l’Empire romain impérial, qui est incarné dans son arrogance de la loi, des traditions et des coutumes païennes.
Attribuer ses traditions à l’inspiration et à la direction du Saint-Esprit, et supposer présomptueusement des prétentions aussi absurdes que l’infaillibilité papale, est, au sens strict du terme, un blasphème contre le Saint-Esprit. C’est pourquoi il ne peut jamais y avoir de négociation, de compromis ou d’alliance entre le Vatican et l’Épouse du Christ. La « Curie du Temple » des Pharisiens, à l’époque du Seigneur, s’identifiait à tout ce qui était bon, droit et saint. Il n’y avait aucune question dans leur esprit, mais que Dieu travaillait entièrement dans, par et à travers leurs enseignements et leurs administrations. Mais le Christ Jésus a prouvé qu’ils étaient « semblables à des sépulcres blanchis qui paraissent beaux à l’extérieur, mais, à l’intérieur sont pleins d’ossements et d’impuretés. » De la même manière, les fiers privilèges et prétentions du système romain d’être le porte-parole de Dieu sont démontrés par la Parole du Seigneur comme étant des « esprits séducteurs et des doctrines des démons ».
MARC 12-28Un des scribes, qui les avait entendus discuter, sachant que Jésus avait bien répondu aux sadducéens, s'approcha, et lui demanda: Quel est le premier de tous les commandements?
Jésus répondit: Voici le premier: Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur; 30et: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. 31Voici le second: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-là. 32Le scribe lui dit: Bien, maître; tu as dit avec vérité que Dieu est unique, et qu'il n'y en a point d'autre que lui, 33et que l'aimer de tout son cœur, de toute sa pensée, de toute son âme et de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, c'est plus que tous les holocaustes et tous les sacrifices. 34Jésus, voyant qu'il avait répondu avec intelligence, lui dit: Tu n'es pas loin du royaume de Dieu. Et personne n'osa plus lui proposer des questions.

«Et l’un des scribes (חכם, un Chakam) est venu, et les ayant entendus en argumentant ensemble, et en apercevant que Jésus leur avait bien répondu, lui a demandé: Quel est le premier de tous les commandement?
Et Jésus lui répondit: Le premier de tous les commandements commence ainsi:
«Écoutez, Israël; יהוה Iod-Chavah notre Elohim est un יהוה Iod-Chavah.»
Le mot écouter est שמע shema en Hébreu, et est associé à la capacité de comprendre (השם HaShem) le nom יהוה Iod-Hei-Vav-Hei de Elohim. En ce qui concerne cette compréhension, le livre de l’Apocalypse déclare:
«Quiconque a des oreilles, qu’il écoute ce que l’Esprit dit aux églises.»
L’esprit mentionné ici est Mi מי, l’énergie créatrice de יהוה Iod-Hei-Vav-Hei (le Saint-Esprit, la Sephirah Binah) qui circule dans le système endocrinien. Le prophète Osée a déclaré:
«Qui, חכם Chokmah et lui (Tiphereth-Israel) comprendront cela. Le sage les connaîtra. car les voies de יהוה Iod-Hei-Vav-Hei sont vrais, et (les ישרים Ishrim) les droits marcheront en elles; mais les transgresseurs y tomberont.» – Osée 14: 9
Même le témoignage historique montre que ce système a été un instrument de persécution de la vraie foi biblique et un outil d’assimilation par lequel les sanctuaires païens et les artefacts sont devenus des grottes de Marie et des images de sa personne. La religion romaine et sa forme de piété sont devenues un manteau pour couvrir son paganisme. Sa base de tout ceci est l’argument selon lequel sa Tradition doit être également honorée comme la Parole écrite du Seigneur pour la destruction des « fidèles », en « interdisant de se marier, et commandant l’abstention de la viande, ce que Dieu a créée pour être. » Ses bases imparfaites dans la Tradition lui ont permis de construire un empire mondial où elle impose sa volonté à plus de 814.779 femmes qui sont ses sœurs, 57.813 hommes qu’elle appelle frères religieux, et 404.626 hommes qu’elle appelle ses prêtres.
Le Saint-Esprit, prévoyant toutes ces choses, comme guide et consolateur de la vraie Église, celle du Christ et de Marie-Madeleine, a gracieusement fourni une réponse divine à ce système dangereux, omniprésent et trompeur de Rome et à sa base d’autorité fabriquée. Dieu Lui-même, qui a commencé l’écriture de la Parole de son propre doigt, nous a parlé ces derniers jours « par son Fils ». Ce Fils a authentifié les écrits de l’Ancien Testament et, comme l’Alpha et l’Oméga, toute autorité dans le ciel et sur la terre, a autorisé le Nouveau Testament et a commandé son écriture de ses paroles à l’apôtre Jean, « Ce que tu vois, écris-le dans un livre. » (Apocalypse 1:11) L’Esprit et les conseils du Seigneur Jésus-Christ viennent aux croyants dans les Écritures. Les Écritures sont données comme un soulagement miséricordieux et inébranlable contre tout ce qui est confusion, obscurité et incertitude, y compris l’Église Catholique Romaine. Dans notre précieux Seigneur, nous louons vraiment Dieu pour le trésor et la confiance que nous avons dans les Écritures, qui sont la vérité, et que « Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre. » (2 Timothée 3:16-17)
Source : Berean Beacon