WWIII : La Guerre du Patrimoine religieux en France, pendant qu'il est remis en valeur en Russie, en France les Eglises sont détruites au profit des Madrassas Coraniques Wahhabites et Salafistes, et de l'invasion Musulmane dont tous les Maires de France inaugurent les premières pierres.

 

L’Arabie saoudite comme les Émirats arabes unis font partie des principaux clients de la France. Ils sont respectivement second et sixième client de la France.

Du véhicule blindé à l’avion de combat, en passant par les missiles

Selon le rapport annuel au Traité sur le commerce des armes (TCA), la France a livré à l’Arabie saoudite :

– En 2015, 115 véhicules blindés de combat multi-missions ARAVIS et 745 fusils de précision ;

– En 2016, 276 véhicules blindés de combat dont le modèle n’est cette fois pas indiqué (270 véhicules tactiques, et 6 véhicules de combat), un système d’artillerie de gros calibre de 90 mm et un autre de 105mm, et enfin 500 fusils de précision.

Selon le même rapport, la France a livré 29 missiles aux Émirats arabes unis en 2016.

L’utilisation d’armes françaises dans le conflit est établie via certains industriels comme Nexter, fabriquant du char Leclerc, ou Dassault, fabriquant du Mirage 2000-9, équipements qui ont été livrés avant le début du conflit. Malgré l’utilisation de chars Leclerc par l’armée émirienne et le risque que ces chars soient utilisés pour commettre ou faciliter des violations graves du droit international humanitaire, la France a continué à assurer la maintenance du matériel et vraisemblablement à livrer des munitions. De même pour l’entreprise Dassault qui assure la maintenance des Mirage 2000-9, alors que ces derniers sont engagés dans le dispositif militaire de la coalition.

De la même façon, l’exportation présumée de canons Caesar à l’Arabie saoudite en 2017 comme le révèle l’étude juridique interpelle alors que la France avait déjà reconnu les conséquences dramatiques du conflit : ces armes sont susceptibles de contribuer à la commission de violations graves du droit international humanitaire. Il en est de même pour les véhicules blindés de combat livrés en 2015 et 2016, tel que rapporté par l’étude, ou encore des systèmes de ciblages ou du matériel naval (intercepteurs, patrouilleurs, corvettes) pouvant être utilisé pour maintenir le blocus.

Des ventes quoi se comptent en milliards

En 2016, sur les 218 licences octroyées cette année-là ou les années précédentes, plusieurs ont abouti à la signature d’un contrat, correspondant à des prises de commandes représentant un volume de 764 millions d’euros. Cette même année, les entreprises françaises ont livré à l’Arabie saoudite pour 1,085 milliard d’euros de matériels militaires et pour près de 900 millions d’euros en 2015, année du début du conflit au Yémen. Cette année-là, 216 licences d’un montant global de plus de 16 milliards d’euros ont été délivrées.

Certes, les prises de commande ont été bien plus importantes en 2013 (1,9 milliard d’euros) et 2014 (3,6 milliards d’euros), les livraisons ont quant à elles été beaucoup plus importantes en 2015 et 2016 qu’en 2013 et 2014, alors que le conflit a démarré en mars 2015.

Concernant les Émirats arabes unis, 189 licences ont été accordées en 2016, pour un montant de plus de 25,6 milliards d’euros.

L’année précédente, alors que le conflit au Yémen avait déjà commencé, 256 licences avaient été délivrées pour un montant de plus de 9 milliards d’euros. En 2016, les entreprises ont enregistré des EAU des prises de commande d’un montant de 323 millions d’euros et pour 194 millions d’euros l’année précédente.

Elles ont livré pour près de 400 millions d’euros de matériel militaire et 293 millions d’euros en 2015, ce qui est bien plus qu’en 2014.

Des ventes inquiétantes qui bafoureaient engagements internationaux de la France comme le Traité sur le commerce des armes.

Source : Amnesty International

Mais Dieu n'est pas à vendre, ni à acheter, point de commerce avec lui, aussi ce qui est de son Ministère est sacré et doit être mis en valeur par déférence au Créateur de toutes choses et de tous êtres.

Le Ministère est, dans le Christianisme, le service qu'un croyant ou une croyante accomplit selon un appel particulier de Dieu. Il y a donc plusieurs ministères, mais les plus connus sont ceux du Missionnaire, du Pasteur, du Diacre et du Chantre. Les ministères sont au service de l'Eglise, mais aussi au service des autres (sans distinction de religion), dans des associations Humanitaire ou dans des services sociaux (écoles, hôpitaux, orphelinats, prisons, etc.). Dans certaines églises, il y a également la présence des ministères d'Apôtre, de Prophète, d'Evangéliste et d'enseignant. 

Aussi, le patrimoine  Historique  en France, en particulier le patrimoine  religieux,  les vraies reliques de l'Eglise Antique, et  celles de l'Eglise du Christ et de Marie-Madeleine, sa femme, sont en ruines, et sont détruites à petit feu, par des campeurs, des Vététistes  et du Motocross,  par l'Eglise Catholique  elle-même qui en organise, et la Municipalité de Saint-Bauzille de Montmel, qui préfère voir ces ruines sous terre, que mises en valeur, ou reconnues comme la demeure de la femme du Christ qui y a vécu de l'an 30 à l'an 50 de notre ère.

Le second diplomate Russe de France, Artem Studennikov, qui a été ému par cet abandon et qui tient à ce que ce Patrimoine  Mondial se perpétue, est devenu administrateur pour la Sauvegarde de l'Eglise Antique de Saint Bauzille de Montmel, au Pic saint Léon le Grand. Voir sur Facebook, le groupe : Sauvegarde  de l'Eglise Antique de Saint Bauzille de Montmel Pic Saint Léon.

La France et la Russie ne partagent plus les mêmes valeurs, et le sacré est délaissé en France, alors qu'en Russie il est en pleine croissance avec la foi de son Peuple et de son Eglise Orthodoxe.