WWIII : L’intelligentsia sioniste, est-elle responsable de la seconde et troisième guerre mondiales et le sera-t-elle pour la Guerre Nucléaire ?

Alors que la diffusion des armes nucléaires est strictement interdite par l'ONU, les USA par l'OTAN, déversent des stock de bombes nucléaires tout autour de la Russie et de la Chine. Trump s'emploie également auprès de Kim Jong UN et de la Corée du Nord à la dénucléarisation du continent Sud et Nord. La Turquie comme beaucoup d'autres Pays Européens et Asiatiques, l'Afrique également sont dépositaires de ces armes dans des bases de l'OTAN. Les Juifs ashkénazes sont très nombreux en Russie, issus des Khazars, on les retrouvent aux USA, en Europe et en Israël. Le Président Poutine ne peut pas tirer sur des frères en Israël et le gouvernement de Netanyahu en profite, sur cette faiblesse de Moscou. D'autre part suivre les altercations d'Israël serait s'engager dans une Guerre totale, c'est pour cela que la Grande Russie veut le calme au Moyen-Orient, comme le Président TRUMP, mais le Deep state et l'OTAN sont à la provocation. Toutes les Nations du Monde veulent désarmer l'arme Nucléaire sauf ceux qui pensent en avoir besoin, et que s'ils l'abandonnent ce serait pour se mettre sous le joux de ceux qui en ont.
La télévision russe a diffusé des installations militaires américaines que la Russie ciblerait par des frappes nucléaires, et a même affirmé que Moscou développait un missile hypersonique pouvant atteindre les cibles en moins de cinq minutes.
Les cibles comprennent le Pentagone et la retraite présidentielle de Camp David dans le Maryland, selon Reuters.
"Lors de l'émission du dimanche soir, Dmitry Kiselyov, présentateur de la principale émission de télévision hebdomadaire russe" Vesti Nedeli ", a montré une carte des États-Unis et a identifié plusieurs cibles que, selon lui, Moscou voudrait toucher en cas de guerre nucléaire", la sortie a rapporté.
La Russie a publié cette liste en réponse à des informations selon lesquelles le Pentagone pourrait envisager le déploiement de missiles nucléaires à portée intermédiaire en Europe après le retrait par les États-Unis du traité de 1987 sur les forces nucléaires à portée intermédiaire.
"Les États-Unis prétendent que Moscou a violé l'accord qui interdit la production, les essais et le déploiement de missiles de croisière et balistiques d'une portée de 310 à 3 410 milles en Europe", a rapporté le New York Post. "Dans son discours annuel sur l'état de la nation plus tôt mercredi, Poutine a promis de rester en phase avec les Etats-Unis sur le développement de nouvelles armes afin que la Russie soit prête à répondre à toute menace."
Un peu plus tôt, le président russe Vladimir Poutine a également déclaré que Moscou était prête à faire face à une nouvelle crise de type "missile cubain" si les tensions entre les deux pays augmentaient.
Les États-Unis ont depuis lors rejeté les propos vantards et déclaré qu'ils n'avaient pas l'intention de déployer des missiles en Europe dans l'immédiat.
"Certains analystes ont vu dans son approche une tactique pour tenter de réengager les États-Unis dans des discussions sur l'équilibre stratégique entre les deux puissances, ce que Moscou cherche depuis longtemps, avec des résultats mitigés", a rapporté Reuters.
En France les tensions sont exacerbées avec Macron, et les cibles seraient Paris et certaines villes de l'Est.

Le canular de Jussie Smollett et les impostures juives aux USA, en France et en Angleterre.
- » Qu'est-ce qu'on a bouffé, au dîner du CRIF?
- » Faut-il incarcérer les révisionnistes?
- » L'antisémitisme manié comme une arme

Ce texte, ainsi que d’autres publications peuvent être visionnés sur le site de la Revue de la Défense Nationale : http://www.defnat.com/revue-defense-nationale.php
Que faire du traité sur l’interdiction des armes nucléaires ?
Un traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN) a été adopté par 122 États le 7 juillet 2017 au siège des Nations unies à New York, après seulement trois semaines de négociations et sans les États principalement visés. En effet, aucun des États reconnus comme dotés d’armes nucléaires par le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni et Russie), ni aucun des autres États ayant acquis des capacités nucléaires militaires (Corée du Nord, Inde, Israël, Pakistan), n’ont participé à ces négociations. Ce qui leur est d’ailleurs reproché par certains tenants de l’abolition nucléaire. La conférence de négociation de ce traité leur était en théorie ouverte. Comme l’explique toutefois Béatrice Fihn, directrice de l’ONG International Campaign to Abolish Nuclear weapons (ICAN) : l’objectif était d’interdire les armes nucléaires « sans l’accord des États ayant l’arme nucléaire ». Le résultat est un nouveau traité bancal et lacunaire, pourtant jugé « historique » par ses promoteurs.
Comment expliquer l’apparition d’un instrument juridique visant un objectif tellement éloigné de la réalité ? Surtout, quel peut être l’apport de ce nouveau traité à la sécurité internationale ? Cet article propose des premières réponses à ces questions, en s’appuyant principalement sur une étude du texte du traité, sur les publications d’ICAN, les articles de chercheurs ayant une expérience des enceintes multilatérales traitant de questions de désarmement nucléaire, et les analyses juridiques du traité. Dans la continuité d’une note de l’Irsem[3], cet article s’inscrit dans le cadre d’un travail de recherche de long terme sur la « fabrique » du TIAN.
Généalogie et raison d’être du TIAN
Préoccupations de sécurité et enjeu politique : du TNP au TIAN
Retracer l’histoire du TIAN de manière objective requiert une approche scientifique à construire. En première lecture, l’observation du traitement de la question du désarmement nucléaire dans les enceintes multilatérales permet de raccrocher le TIAN aux demandes d’un certain nombre d’États non dotés de l’arme nucléaire (ENDAN) adressées aux cinq États dotés de l’arme nucléaire (EDAN), en particulier dans le cadre du processus d’examen du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). En effet, l’histoire de la régulation internationale des armes nucléaires à travers le TNP ainsi que la construction du texte de ce traité ont constitué le fondement d’une revendication persistante sur le thème du désarme- ment nucléaire. Tout particulièrement, la rédaction de l’article VI du TNP donne lieu à des interprétations différentes quant à la portée (moyen ou résultat) et quant à la nature de l’obligation (désarmement nucléaire uniquement ou dans le cadre du désarmement général). L’idée qu’il existerait une obligation de résultat conduit ainsi un bon nombre d’ENDAN à dénoncer le « non-respect » (non-compliance) des dispositions du TNP par les EDAN et l’absence de « progrès » en matière de désarmement nucléaire. Les mesures prises par certains des EDAN sont parfois prises en compte mais ne contentent pas ceux des ENDAN qui demandent en définitive l’abolition des armes nucléaires. Cet objectif affiché revêt aussi une dimension politique. La différence établie par le TNP entre EDAN et ENDAN a été acceptée par ces derniers lors de leur adhésion mais dénoncée depuis, et qualifiée de discrimination. Certains ENDAN entendraient ainsi, à travers la question nucléaire, remettre en cause les rapports de force et même de pouvoir, alors que, de fait, les cinq États qui possèdent un droit de veto au Conseil de sécurité des Nations unies sont des EDAN.
Une méthode éprouvée, une stratégie adaptée
Le sujet n’est donc pas uniquement nucléaire. En définitive, ce qui est fréquemment décrit comme une « frustration » des ENDAN a constitué un terreau idéal pour le lancement d’une campagne dite « humanitaire », sans laquelle ce TIAN n’aurait certainement pas vu le jour. Cette « campagne humanitaire » a pris place dans l’histoire longue des préoccupations liées à un possible emploi de l’arme nucléaire tant au regard de ses conséquences pratiques que sous l’angle du droit international humanitaire. Elle se singularise cependant dans cette histoire par le déplacement du sujet, depuis son cadre habituel des enceintes traitant de questions de sécurité (processus d’examen du TNP, conférence du désarmement, première Commission de l’Assemblée générale des Nations unies) vers celui d’une perspective strictement humanitaire.
La première manifestation d’envergure de cette campagne fut la conférence organisée par la Norvège à Oslo en mars 2013 sur le thème des conséquences humanitaires des armes nucléaires (secours aux victimes, reconstruction, etc.). Les deux suivantes (Nayarit en février 2014 et Vienne en décembre 2014) ont pris appui sur le constat de l’impossibilité de remédier aux conséquences de leur emploi pour révéler l’objectif de parvenir à l’interdiction des armes nucléaires, consacrant ainsi le tournant politique de la campagne. La succession de ces conférences (à un rythme relativement rapide rapporté à l’histoire des mouvements antinucléaires) et l’implication dans cette campagne de l’ONG ICAN[4] conduisent naturellement à faire le lien avec les processus d’Ottawa (mines antipersonnel) et d’Oslo (armes à sous-munitions), dans lesquels le rôle des ONG, affichant l’objectif d’interdiction d’une classe d’armes, a été majeur.
Cette campagne est progressivement parvenue à rallier un soutien important à l’idée de lancer des négociations au sein de l’ONU sur un traité d’interdiction des armes nucléaires. Par la force du nombre, cette initiative a abouti à l’adoption en 2016 d’une résolution de l’Assemblée générale demandant l’organisation d’une conférence de négociation en 2017. Celle-ci s’est effectivement tenue dans les délais prévus et a approuvé le texte du traité sur l’interdiction des armes nucléaires par 122 voix pour, 1 contre (Pays-Bas) et 1 abstention (Singapour). Si l’absence des États visés par ce traité lors des négociations n’est pas surprenante, celle d’un certain nombre d’ENDAN peut l’être davantage. En réalité, ces États dont la sécurité repose in fine sur la dissuasion nucléaire par le biais d’une alliance ou d’un accord avec un EDAN, soutiennent généralement la cause du désarme- ment nucléaire, mais par une approche progressive.
Le TIAN, le désarmement nucléaire et la sécurité internationale
Un traité bancal
Le traité sur l’interdiction des armes nucléaires reprend un certain nombre de dispositions du TNP, en interdisant la fabrication, l’acquisition, la possession et le stockage d’armes nucléaires (art. 1a) ; le transfert de ces armes ou de leur contrôle (art. 1b et 1c). Au titre des obligations nouvelles, le TIAN prévoit une interdiction d’emploi et de menace d’emploi de l’arme nucléaire (art. 1d), une interdiction d’assistance à se livrer à une activité interdite par le traité (art. 1e et 1f), une inter- diction d’autoriser l’implantation, l’installation ou le déploiement d’armes nucléaires ou autres dispositifs explosifs nucléaires sur son territoire ou en tout lieu placé sous sa juridiction ou son contrôle (art. 1g). Cette dernière disposition vise les arrangements de partage nucléaire de l’Otan qui comprennent le stationnement d’armes nucléaires américaines sur le territoire de certains États-membres[5].
La mise en œuvre des interdictions repose sur un mécanisme de déclara- tions (art. 2) et des garanties (art. 3 et 4) qui varient selon que l’État a possédé des armes nucléaires avant d’adhérer au TIAN, au moment de son adhésion, ou bien s’il héberge des armes nucléaires sur son territoire. Les États n’entrant dans aucune des catégories mentionnées à l’article 2 (États n’ayant jamais possédé des armes nucléaires) sont tenues de maintenir les obligations qui leur incombent déjà au titre des garanties de l’AIEA ou, s’ils ne l’ont pas déjà fait, de conclure un accord de garanties généralisées (INFCIRC/153). Pourtant, le modèle de garanties le plus récent et efficace est le « protocole additionnel » (INFCIRC /540) qui permet non seulement de vérifier le non-détournement des activités nucléaires civiles à des fins militaires, mais également l’absence de programme clandestin. Ce choix représente une première lacune importante du TIAN (la Suisse et la Suède auraient cherché à introduire cette référence lors des négociations mais le Brésil s’y serait opposé)[6]. S’agissant des États ayant possédé ou possédant des armes nucléaires au moment de leur adhésion, l’article 4 reste vague et fait référence à une « autorité internatio- nale compétente » s’agissant de la vérification de l’abandon « irréversible » des pro- grammes existants, reconnaissant implicitement que ce volet de l’élimination des armes nucléaires reste un point à travailler.
Vers une norme d’interdiction des armes nucléaires ?
Si le TIAN affiche l’objectif d’éliminer totalement les armes nucléaires, il n’en donne pas véritablement les moyens. Les promoteurs du TIAN n’ont pas caché que leur objectif n’était pas de proposer un traité opérationnel mais de conclure rapidement, un instrument juridiquement contraignant pour servir de fondement à une norme d’interdiction de l’arme nucléaire. La dénonciation d’un « vide juridique » (legal gap) a été l’un des points de rassemblement de la « cam- pagne humanitaire », comparant les interdictions totales mises en place par les conventions sur l’interdiction des armes chimiques et sur l’interdiction des armes biologiques, à la logique du TNP. Cependant, même si le traité entre en vigueur, la norme ne s’appliquera qu’aux États parties au traité, alors que les États dotés et possesseurs refusent d’y adhérer. Les promoteurs du TIAN n’ignorent pas cette réa- lité. Le raisonnement qui sous-tend l’initiative est l’idée qu’un traité crée une norme qui affecte le comportement des États, même lorsqu’ils ne le rejoignent pas[7] (à l’instar de la logique des processus d’Ottawa et d’Oslo).
Sans viser l’universalité, ICAN recherche cependant le plus grand nombre d’adhésions au TIAN pour atteindre son objectif. L’ONG poursuit d’autres actions concourant à l’objectif de délégitimer les armes nucléaires, notamment par le biais de « Don’t bank on the bomb », une campagne de désinvestissement prise en charge par l’ONG PAX. L’ONG espère établir un standard de nature à renforcer la pression internationale, en dénonçant les institutions financières qui investissent dans le capital des entreprises identifiées comme participant à la production ou à la maintenance des armes nucléaires. Enfin, ICAN espère peut-être faire progresser cette norme sur le plan juridique par une nouvelle saisine de la Cour internationale de justice (CIJ) dont l’avis consultatif sur la licéité de la menace ou de l’emploi d’armes nucléaires, rendu en 1996, n’avait pas satisfait les abolitionnistes. Une telle initiative risquerait une nouvelle fois de ne pas répondre à leurs objectifs car le TIAN seul ne permettra pas de conduire à un avis différent[8].
Conclusion : fausse route et vrais risques
Le jour de la cérémonie de signature du traité, 50 États l’ont signé (3 l’ont ratifié). Six mois plus tard, le traité compte un total de 56 signatures dont 5 ratifications (Cuba, Guyana, Mexique, Saint-Siège, Thaïlande). Ainsi, 45 ratifications sont encore nécessaires pour permettre son entrée en vigueur qui ne paraît cependant pas hors d’atteinte, si l’on considère le nombre de votes en faveur de l’adoption du TIAN à la fin de la conférence de négociation (122). Cette étape ne devrait pas modifier le paysage nucléaire. L’inverse serait d’ailleurs inquiétant. Comment imaginer qu’une telle décision (portant en définitive sur un volet fondamental de la sécurité d’un État ou d’un groupe d’États) soit prise en raison d’une pression normative en totale inadéquation avec la réalité stratégique ? Ainsi, on voit mal comment le TIAN à court, moyen ou long terme, pourrait contribuer à créer les conditions permettant une évolution en matière de désarmement nucléaire.
En revanche, le risque est bien réel de détourner l’attention du processus d’examen du TNP et d’affaiblir ce qui est devenu, en un demi-siècle, un pilier de l’architecture internationale de sécurité. Peut-on espérer un accord entre les parties au TNP lors de la prochaine conférence d’examen du TNP (2020) ou doit-on redouter la production d’artifices et de stratégies concertées destinées à faire porter la responsabilité d’un échec de cette conférence sur les EDAN ? Hors des enceintes diplomatiques, les évolutions des arsenaux et des doctrines nucléaires incitent à relancer la réflexion sur la maîtrise des armements au sens large, en particulier dans la perspective de restaurer/maintenir le dialogue et la confiance.
La dernière Grande Idée de Trump, qui est opérationnalisée par son gendre Kushner [1], c’est le transfert de capacités nucléaires vers les amis de l’Arabie Saoudite. Un certain nombre d’articles à ce propos ont été publiés, notamment sur CounterPunch le 20 février 2019. Cette question du “nucléaire saoudien” ainsi posée de façon très “opérationnelle” si l’on a l’esprit le rôle important de négociateur secret pour Trump que Kushner tient en général, devient pour de nombreux commentateurs la question de “l’Arabie armée de nucléaire éventuellement pour frapper l’Iran”.
Dans son texte de CounterPunch, Charles Pierson rappelle que MbS (Mohammed ben Salman) déclarait le 18 mars 2018 dans une interview sur CBS, dans l’émission 60 Minutes :« L’Arabie Saoudite ne veut pas acquérir de bombe nucléaire, mais sans aucun doute si l’Iran développait une bombe nucléaire, nous suivrions la même voie aussi vite que possible. »
Syrie. Pourquoi les S-300 ne sont-ils pas utilisés contre Israël?
Un aspect crucial des opérations aériennes israéliennes est leur utilisation du trafic aérien civil ainsi que les opérations de la coalition dirigée par les États-Unis pour protéger leurs avions des défenses anti-aériennes syriennes. Il convient de noter que les frappes de missiles de croisière russes, par exemple, sont invariablement précédées de notifications internationales et de la fermeture de l'espace aérien afin de prévenir les tragédies.
Étant un état voyou, Israël n'a pas suivi et n’a pas l’intention de suivre les mêmes procédures et a fréquemment envoyé ses avions de combat dans l'espace aérien utilisé par des avions de ligne civils au-dessus de la Méditerranée et du Liban.
Compte tenu de la «réaction internationale» qui aurait inévitablement suivi si un avion de ligne civil était abattu par la défense aérienne syrienne ou russe, il est plutôt probable que les règles d'engagement utilisées par les forces de la coalition dirigée par la Russie en Syrie prévoient des interdictions strictes avant d’engager des tirs de S-300 contre des aéronefs hostiles quand il y a un danger même lointain pour les aéronefs civils. La perte du russe Il-20 avec tout son équipage par un missile de défense aérienne syrien montre clairement les dangers d'engager des cibles lointaines dans un espace aérien saturé.
Le paillasson libanais
L’intelligentsia sioniste, est-elle responsable de la seconde et troisième guerre mondiales ?




.
Mais l’histoire ne se répète-t-elle pas ?
La France n’est-elle pas aussi, noyautée par des gens qui cachent une étrange double nationalité..
Eric Raoult du Raincy par exemple , président de l’Association des élus amis d’Israël (ADELMAD), qui regroupe environ 800 politiciens français et qui organise pour eux des voyages dans ce pays, ne sera absolument pas gêné de placer le problème de retraite des français après celui d’Israël ! Et avec une cravate bleue plutôt que l’écharpe tricolore…Et Julien Dray trouvera normal qu’un jeune homme français Gilad Shalit, fasse son devoir de citoyen en Israël !
http://www.youtube.com/watch?v=JjycBpVft58&feature=related
Strauss Kahn alors qu’il était ministre français confirmait à la radio: « “qu’il considérait que tout Juif dans la diaspora, et donc en France, devait partout où il le pouvait, apporter son aide à Israël. Aussi était-il important que des Juifs prennent des responsabilités politiques” (Entretien à Passages, 1991) ; et dans Tribune Juive il ajoutait que : “Chaque matin, il se levait en se demandant comment il pouvait être utile à Israël”.
Sarkozy de son côté était certainement un « Sayanim » : Il fut accusé de travailler pour les renseignements israéliens. Déjà avant ses élections, une lettre envoyée au responsable de la police française révélait que Sarkozy avait été recruté comme espion israélien pour le compte du Mossad. Dès 1978, le premier ministre
Menahem Begin avait ordonné l’infiltration de l’encadrement du parti gaulliste.
On citait aussi Patrick Balkany, Patrick Devedjian et Pierre Lellouche… Le propre grand-père maternel de Sarkozy, Aaron Mallah, était originaire de Salonique et a du exercer une influence considérable sur son petit-fils. Mais on a vu récemment qu’en Europe il n’était pas le seul. Rien qu’en Grande Bretagne il y a Cameron et avant Tony Blair.
C’est le film de Polansky « Ghost writer » qui le dévoila. Sans doute la raison pourquoi fut ressortie contre lui une grave erreur de jeunesse.
http://www.dailymotion.com/video/xbx218_the-ghost-writer-de-roman-polanski_shortfilms
Jacques Attali par contre, « voyait Jérusalem comme capitale du gouvernement mondial« . Et non pas en France qui n’était pour lui qu’un hôtel ! De plus, les non-juifs sont-ils des êtres humains ? Il ne semble pas en être persuadé !
http://www.youtube.com/watch?v=bVFBNhrWGqo&feature=player_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=KtrtDS8vRKk
D’où sa vision d’un monde futur où tout le monde sera pucé :
http://www.youtube.com/watch?NR=1&v=AI6jiTy1lsM&feature=endscreen
B. H. Lévy fit son coming out communautaire, reconnaissant s’être engagé contre le colonel Kadhafi, en raison notamment de son appartenance religieuse : « Je suis le représentant de la tribu d’Israël. » Bien entendu il finit par reconnaître une intervention israélienne en Libye ! Le soulèvement ne fut donc pas spontané ! Cela ne l’a pas empêché d’en faire un film à la première personne comme tout mégalo qui se respecte :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=EpEJP0LUgG0
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=YKaM2MzSfHY#!
Bertrand Delanoë, maire de Paris, est de même complice de la politique israélienne. Quelquefois à ses dépends, comme à Bourg-en-Bresse où il fut fraichement accueilli lors d’une réunion du PS. Free Palestine.
http://www.dailymotion.com/video/xf92cn_bds-bertrand-delanoe-sanction_news#from=embed
Il avait oublié que de nombreux jeunes commencent à être anti franc-maçon, anti Nouvel ordre Mondial :
http://www.youtube.com/watch?v=h9vl606o6eo&feature=player_embedded
Et n’acceptent pas cette horrible division du monde entre « peuple élu et non élu » :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=nCpFmBsHsjA
Ni son noyautage excessif des médias :
http://www.youtube.com/watch?v=KKcFUDP7afE&feature=player_embedded
Bien sûr, l’attitude de nos politiciens en France ressemble à celle de nombreux autres collègues des pays occidentaux. Ann Lewis, la conseillère d’Hillary Clinton, ne confiait-elle pas que «Le rôle du Président des USA est de soutenir les décisions qui ont été prises par le peuple Israël » ? Et Ariel Sharon (ancien premier ministre) ne disait-il pas un peu la même chose le 3 octobre 2001 « Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique. Et les Américains le savent. »
Cynthia McKinney, dévoilait comment ce contrôle se faisait auprès des élus américains au moyen du serment de l’AIPAC :
http://www.dailymotion.com/video/xj3kql_cynthia-mckinney-sur-le-serment-de-l-aipac-s-t_news#from=embed
Cela n’empêcha pas Benjamin Netanyahu d’avouer ce qu’il pensait des chrétiens sionistes ! « De la racaille. Mais ne leur dite pas, nous avons besoin de tous les idiots utiles en ce moment ».
Comment donc l’Amérique en est-il arrivé à être aux ordres d’Israël ? Tout simplement parce que ses médias sont contrôlés par le lobby sioniste :
http://www.pakalertpress.com/2009/03/16/six-jewish-companies-own-96-of-the-worlds-media/
« Vous savez très bien, et les Américains stupides le savent tout aussi bien, que nous contrôlons leur gouvernement, indépendamment de qui est assis à la Maison Blanche. Tu vois, je le sais et vous le savez qu’aucun président américain est en mesure de nous contrer.. Que peuvent-ils (les Américains) nous faire? Nous contrôlons le congrès, nous contrôlons les médias, nous contrôlons le show-biz, bref nous contrôlons tout en Amérique. On peut critiquer Dieu, mais vous ne pouvez pas critiquer Israël … » porte-parole israélien, Tzipora Menache
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=0Q0nvM8NzEo#!
Certains remarquent toutefois que leurs mensonges dans les médias sont de plus en plus découverts et qu’ils pourraient perdre la guerre de l’info ( Hillary Clinton) :
http://www.dailymotion.com/video/xparns_alex-jones-nous-gagnons-la-guerre-de-l-info-infowars-com-prisonplanet-tv-v-o-s-t-fr_news
Mais du côté des juifs sémites (ceux cités jusqu’à maintenant ne l’étant pas), de nombreux jeunes commencent à s’offusquer de la politique anti palestinienne. Même s’ils se font tabasser par la police :
http://www.dailymotion.com/video/xj8pc2_jeune-juif-pro-palestinien-se-fait-brutalement-arreter-sous-titre_webcam#from=embediframe
D’autres personnages connus osent avec beaucoup de courage avouer publiquement qu’ils sont antisionistes comme Rony Brauman face à un Arno Klarsfeld très militant :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=c-XHyKxB-BQ#!
Et particulièrement méprisant envers les autres, allant jusqu’à verser un verre d’eau sur Robert Ménard lors d’un débat TV :
http://www.dailymotion.com/video/xbr96u_le-militaire-arno-klarsfeld-face-a_news
Mais aussi le remarquable Jacob Cohen qui sauve l’honneur des vrais Juifs sémites :
http://www.youtube.com/watch?v=3Y0h3kFwMrw&feature=player_embedded
.
Mais pourquoi donc cette attitude des sionistes ?
Selon ces juifs, il faut que la promesse du Talmud soit accomplie : « Les juifs à l’arrivée du messie, posséderont la clé des richesses de tous les peuples de la terre. » C’est ce que soulignait déjà Baruch Levy dans une lettre à Karl Marx ! (La Revue de Paris», p.574 1 Juin 1928) « Et le travail final de cette génération est d’aller à la guerre terminale du Golus pour conquérir et pour purifier toutes les nations Gentilles. » (Rabbin Menachem, Mendel Schneersen)
Voir aussi Esaïe 60 et 61ème chapitres : « Le prophète rêve qu’à la fin, toutes les richesses des Gentils (non juifs) seront livrés aux Juifs ! » A Esaïe 60:12 « Nation et Royaume qui ne te serviront pas périront, les nations seront totalement dévastées. » A Esaïe 60:16 « Les Juifs suceront le lait des Gentils. » A Esaïe 61:5 « Les Gentils feront paître vos troupeaux…et seront vos laboureurs et vos vignerons…Vous mangerez la fortune des nations. »
Bien entendu les Juifs n’auront pas forcément à combattre. Comment s’y prendront-ils alors ? Un grand rabbin de Jérusalem, Rav Ron Chaya, nous l’explique : « Ils feront en sorte que les occidentaux se battent contre les musulmans. »
http://www.youtube.com/watch?v=7mu__U16EbA&feature=player_embedded
L’une des méthodes, exciter les Américains contre les Musulmans. Adam Gadahn était appelé l’américain d’Al Qaida. Il tenait le rôle d’un musulman féroce, qui en voulait aux Américains. Malheureusement pour lui, sa supercherie fut découverte. Il se nomme en fait Adam Pearlman et est juif. Il est même petit-fils d’un membre du fameux Conseil de l’ « Anti Defamation League » qui à l’époque soutenait sous couverture les Américains nazis. Ce groupe ne comprenait que 6 membres et pourtant, il bénéficia de nombreux articles des médias. Etant découvert, Adam fut remplacé par un autre soi-disant musulman effrayant : Yusuf Al-Khattab.
Dans sa website, il proclame que l’Amérique appartient aux musulmans. En fait, là aussi, son véritable nom est Joseph Cohen
. Mais ces faux musulmans permirent au gouvernement américain de mettre petit à petit en place un régime surveillé et d’ intervenir avec l’armée dans les pays musulmans.
http://www.dailymotion.com/video/xj9deo_al-qaida-et-le-mossad_news#from=embediframe
Autre supercherie découverte, l’égérie du printemps syrien ! C’est ainsi que les médias alignés s’étaient officiellement émus de la disparition inquiétante de l’égérie du Mouvement, qui se présentait comme lesbienne syrienne, s’appelant Amina, qui aurait été enlevée par les autorités syriennes prétendument sanguinaires, qu’elle défiait soit-disant sur son blog : « A gay girl in Damascus ».
http://ww.youtube.com/watch?v=VFNTPtCrT-c&feature=player_embedded
Mais les activistes syriens avaient trouvé cette affaire et cette disparition très étranges, et étaient parvenus à identifier l’adresse IP de la prétendue bloggeuse gay syrienne. En fait, il s’agissait tout simplement d’une énième propagande de guerre menée par un intellectuel étasunien installé en Ecosse, opposé au Président syrien Hassad, qui s’était même rendu très récemment en Turquie pour participer à un colloque anti-Hassad, appelant à une intervention de l’Otan en Syrie…
Autre moyen : Transformer les partis d’extrême droite non plus en antisionistes mais en sionistes. Dans les manifestations, des drapeaux israéliens commencent à se voir. Marine Le Pen en France, fait partie maintenant de l’association pro Israël du parlement européen…
Quelques citations de juifs célèbres donnent une idée du projet d’avenir juif : « leur plan c’est d’obtenir un Nouvel Ordre Mondial. Ce qui avait si bien marché en Russie va devenir réalité dans le monde entier… »
http://www.youtube.com/watch?v=atkLLNCOhy4&feature=related
Il faut avouer que le Talmud est particulièrement dur envers les non juifs :
http://www.youtube.com/watch?v=xPzV8jLdDFI&feature=fvw
Principalement envers les chrétiens :
http://www.codeig.net/Pranaitisfr.pdf
Ce qui n’empêche pas un B. H. Lévy ahurissant d’affirmer que les Musulmans devraient suivre le Talmud :
http://www.dailymotion.com/video/xmzjzv_le-talmud-par-la-botule_news
Et de cosigner avec Pierre Bergé cette affirmation : « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref franchouillard ou cocardier, nous est étranger, voire odieux ». (Voir article du fondateur du « Globe » en 1985 J. M. Benamou)
Et la Torah qui est, selon le judaïsme, l’enseignement divin transmis par Moïse .. appelle pourtant au meurtre et au racisme. Ainsi, selon la Torah du roi, l’exécution des non-juifs est permise !
http://www.dailymotion.com/video/xjtwev_israel-culture-d-appels-au-meurtre-et-au-racisme-au-nom-de-la-torah_news#from=embediframe
Bien entendu, Jésus quand il est venu, a prêché tout le contraire. Ce qui a beaucoup déplu à Judas qui s’est suicidé ! La vraie gloire s’obtient pour Jésus par un renversement des valeurs du monde. Le monde dit : « Jouissez, accumulez, soyez orgueilleux, violents, sans cœur, haïssez pour vaincre, mentez pour triompher, soyez cruels pour dominer. » Alors que Jésus : « Soyez modérés, continents, ne soyez pas assoiffés de chair, d’or, de puissance. Soyez sincères, honnêtes, humbles, charitables, patients, doux, miséricordieux. Pardonnez, aidez les autres… Et surtout aimez ! »
Pourtant l’ère de l’Antichrist, symbolisée par la Bête armée à dix cornes (les 10 serviteurs de satan) qui se croiront rois, verra les « saints » de Dieu se faire piétiner, l’église du Christ se faire persécuter pendant 3 ans et demi. Ce sera l’horreur régnant sur le monde !
Puis la Bête sera jetée dans l’abîme.
L’idée donc de ces banksters, est de créer une banque mondiale privée, qui prêterait de l’argent à partir de rien, mais moyennant un intérêt. On sait que la création monétaire provient des prêts. Mais on oublie souvent que l’argent permettant de payer les intérêts des prêts n’a pas été créé. Les pays s’endettent ainsi de plus en plus, les obligeant de privatiser leurs richesses pour les vendre aux banksters pour une bouchée de pain. Pour que les gens ne voient pas la supercherie, les medias sont noyautés, les hommes politiques achetés, pris dans un chantage ou complices. Pour que le peuple à la fin ne puisse se révolter on les obligera de s’injecter une puce. Aucune réaction de leur part ne sera plus possible étant donné que cela pourra influencer leur comportement. Nos banksters domineront enfin le monde et seront propriétaires de toutes les richesses de la terre.
Ce plan machiavélique des sionistes fut dénoncé il y a bien longtemps si l’on en croit certaines citations de personnages :
Benjamin Franklin (1787). Débats préliminaires de la Constitution américaine : « Dans tous les pays où les Juifs se sont installés en nombre, ils ont abaissé le niveau moral, discrédité l’intégrité commerciale, ils ont fait bande à part sans s’assimiler jamais aux autres citoyens. Ils ont tourné la religion chrétienne en ridicule et tenté de la miner… Ils ont bâti un État dans l’État et quand on leur a opposé de la résistance, ils ont essayé d’étrangler financièrement le pays… Si vous ne les excluez pas des États-Unis dans cette constitution, en moins de deux-cents ans ils y fourmilleront en quantités si considérables qu’ils domineront et dévoreront notre patrie et changeront la forme du gouvernement… Si vous n’interdisez pas aux Juifs l’accès de ce pays, en moins de deux-cents ans, vos descendants travailleront la terre pour pourvoir à la subsistance d’intrus qui resteront à se frotter les mains derrière leurs comptoirs. »
Thomas Jefferson ( 1743-1826) :« Même dispersés, les Juifs forment encore une nation, étrangère au pays dans lequel ils vivent. » (Jefferson cité par D. Boostin dans « Les Américains »)
Louis Farrakhan, leader noir américain : « Je crois qu’au regard du petit nombre de Juifs aux États-Unis, ils exercent une énorme influence sur les affaires du gouvernement. Oui, ils exercent un contrôle extraordinaire, et le peuple noir ne sera jamais libre dans ce pays, à moins qu’il ne se libère de ce genre de contrôle…. J’ai dit la vérité sur l’implication des Juifs dans la traite des esclaves » ( Farrakhan dans sa Conférence de presse du 14 avril 1997).
Jimmy Carter : « Mais je comprends les pressions politiques sur n’importe quels candidats aux Etats-Unis qui sont dans la course à un poste de membre du Congrès et de sénateur, de gouverneur ou président. Ils n’ont pas la possibilité d’approuver quoi que ce soit de mon action que désapprouve le gouvernement d’Israël. »
(Jimmy Carter, entretien télévisé, 23 avril 2008).
A lire aussi :
https://effondrements.wordpress.com/2012/08/11/lhorrible-genocide-sioniste-contre-les-juifs-sepharades/
https://effondrements.wordpress.com/2012/05/19/leffarante-histoire-du-sionisme/
Source : https://effondrements.wordpress.com/2012/06/06/lintelligentsia-sioniste-responsable-de-la-seconde-et-troisieme-guerre-mondiale/