WWIII : PARIS-ROME DETRUITES. GENERATION GIGOLOS DU NOUVEL ORDRE MONDIAL, GUIADO, MACRON, TRUDEAU, RUBIO, ... ET EDOUARD PHILIPPE CELUI QU'ON A SORTI DU RUISSEAU DU HAVRE.

WWIII : PARIS-ROME DETRUITES. GENERATION GIGOLOS DU NOUVEL ORDRE MONDIAL, GUAIDO, MACRON, TRUDEAU, RUBIO, ... ET EDOUARD PHILIPPE CELUI QU'ON A SORTI DU RUISSEAU DU HAVRE. NOUS SOMMES DANS LA PERIODE DES 7 ANS DE TRIBULATIONS, LA FIN DES TEMPS, LE RETOUR DU CHRIST, L'ANEANTISSEMENT DES POPULATIONS DE GIGOLOS, DE PARASITES, D'ADORATEURS DE LA SYNAGOGUE DE SATAN, TOUT LE MONDE EST CONCERNE. SUIVEZ-LA PAS A PAS … ET LE PRESIDENT VLADIMIR POUTINE EN GARDIEN DE LA VERITABLE EGLISE ?
Qu’est-ce que la Tribulation? Comment savons-nous que la Tribulation dure sept ans?
La Tribulation est une période de 7 ans dans laquelle nous sommes, pendant laquelle Dieu termine de discipliner Israël et conclut son jugement de ce monde incrédule. l`Église, composée de tous ceux qui ont mis leur confiance en la personne et l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ pour les sauver du péché, ne sera pas présente pendant la Tribulation. L’Eglise sera retirée de la terre par un évènement nommé l’Enlèvement (1 Thessaloniciens 4:13-18 ; 1 Corinthiens 15:51-53). L’Eglise est sauvée de la colère à venir (1 Thessaloniciens 5:9). Au travers de la Bible, la Tribulation est désignée sous différents noms :
1) Le Jour du Seigneur (Esaïe 2:12 ; 13:6,9 ; Joël 1:15, 2:1,11,31, 3:14 ; 1 Thessaloniciens 5:2)
2) Jour du sacrifice ou de détresse (Deutéronome 4:30 ; Sophonie 1:1)
3) Grande Tribulation, qui fait référence à la seconde et plus intense moitié de la période de 7 ans (Matthieu 24:21)
4) Temps ou jour d’angoisse (Daniel 12:1 ; Sophonie 1:15)
5) Temps de détresse pour Jacob (Jérémie 30:7)
Comprendre Daniel 9:24-27 est nécessaire pour comprendre le dessein et la chronologie de la Tribulation. Ce passage de Daniel parle de 70 semaines qui ont été déclarées “contre ton peuple”. Le “peuple” de Daniel est le peuple juif, la nation d’Israël, et ce dont Daniel 9:24 parle est une période de temps que Dieu donne pour : “pour faire cesser la perversité et mettre un terme au péché, pour absoudre la faute et amener la justice éternelle, pour sceller vision et prophète et pour oindre un Saint des Saints.”. Dieu déclare que “70 semaines” suffiront à accomplir toutes ces choses. Il est important de comprendre que “70 semaines” ne sont pas les semaines de 7 jours que nous connaissons. Le mot hébreu (heptad) traduit comme semaine dans Daniel 9:24-27 signifie littéralement “7” et 70 semaines littéralement 70 sept (70 fois 7). La période de temps dont parle Dieu est en fait 70 fois sept années ou 490 années. C’est confirmé dans une autre partie du passage de Daniel. Dans les versets 25 et 26, il est dit que le Messie sera retranché “7 semaines et 62 semaines” (69 semaines en tout) après le début de la reconstruction de Jérusalem. En d’autres termes, 69 fois sept ans (483 ans) après le décret de reconstruction de Jérusalem, le Messie sera retranché. Les historiens bibliques confirment qu’il s’est bien écoulé 483 ans entre le décret de reconstruction de Jérusalem et la crucifixion de Jésus. La plupart des savants chrétiens, quelle que soit leur perspective eschatologique (évènements à venir), souscrivent à cette interprétation des 70 semaines de Daniel.
483 ans étant passé entre le décret de reconstruction de Jérusalem et le retranchement du Messie, il reste donc 1 fois sept pour accomplir la prophétie de Daniel 9:24 pour : “pour faire cesser la perversité et mettre un terme au péché, pour absoudre la faute et amener la justice éternelle, pour sceller vision et prophète et pour oindre un Saint des Saints.”. Cette période finale de 7 ans est le temps de la Tribulation – un temps durant lequel Dieu jugera Israël pour ses péchés.
Daniel 9:27 nous donne des points-clé de cette période de Tribulation de 7 ans. Daniel 9:27 dit : “Il imposera une alliance à une multitude pendant un septénaire, et pendant la moitié du septénaire, il fera cesser sacrifice et oblation ; sur l'aile des abominations, il y aura un dévastateur et cela, jusqu'à ce que l'anéantissement décrété fonde sur le dévastateur.”. La personne dont parle ce verset est la personne dont Jésus dit “Quand donc vous verrez installé dans le lieu saint l'Abominable Dévastateur, dont a parlé le prophète Daniel, --que le lecteur comprenne ! --” (Matthieu 24:15) et qui est nommé la Bête dans Apocalypse 13. Daniel 9:27 dit que la bête fera une alliance pour une semaine (7 ans), mais qu’au milieu de cette semaine (3½ ans après le début de la Tribulation), il rompra l’alliance mettant fin aux sacrifices et offrandes de grain. Apocalypse 13 explique que la bête mettra une image de lui-même dans le temple et exigera que le monde l’adore. Apocalypse 13:5 dit que cela durera 42 mois, ce qui fait 3½ ans. Comme Daniel 9:27 dit que cela adviendra au milieu de la semaine et qu’Apocalypse 13:5 dit que la bête fera cela pour une période de 42 semaines, il est aisé de conclure que la durée totale est de 84 mois ou 7 ans. Remarquez aussi Daniel 7:25 où “une période, deux périodes et une demi-période” (une période = 1 an, deux périodes = 2 ans et une demi-période = ½ an ; total 3½ ans) fait aussi référence à la Grande Tribulation, la seconde moitié de la période de 7 ans de Tribulation quand “l'Abominable Dévastateur” sera au pouvoir.
Pour d’autres références sur la Tribulation, lisez Apocalypse 11:2-3 qui mentionne 1'260 jours et 42 mois et Daniel 12:11-12 qui mentionne 1'290 et 1'335 jours, toutes ces durées faisant référence à la moitié de la période de la Tribulation. Les jours additionnels dans Daniel 12 incluent peut-être le temps pour le jugement des nations (Matthieu 25:31-46) et le temps pour la mise en place du royaume millénaire du Christ (Apocalypse 20:4-6).
Les 10 Rois de l'Apocalypse avec le Grand Monarque SATAN-LUCIFER-JUPITER ? Pour le Moment l'ONU qui s'est transformée pour le Grand Satan, a divisé le Monde en 10 Zones:
L'ONU a divisé le monde en 10 régions: la prophétie des 10 cornes de Daniel ?

L'Agenda 21, plan d'action de l'ONU pour le 21ème siècle, est un contrat global qui lie les gouvernements du monde entier à un plan global qui a comme ambition, grossièrement, de permettre à un maximum de citoyens de la planète de manger, d'apprendre et de communiquer et d'optimiser la préservation de la Terre. Le concept du "développement durable" fait bien sûr partie du vocabulaire de l'Agenda 21, qui consiste en un renouvellement des ressources pour les générations futures.
Mais derrière ce beau grand discours "super-héros-écolo" se cache des réglementations extrêmement restrictives comme l'inacessibilité à des territoires "préservés", l'inacessibilité à certaines ressources parce que détenues par le patrimoine mondial, l'ultra conservatisme des ressources au nom de la sauvegarde mondiale, etc. Autrement dit, et pour faire court, l'ONU va devenir le dépositaire mondial de la Terre et de toutes ses ressources et va ainsi contrôler l'énergie, l'eau, la nourriture, l'agriculture et tous les aspects de la création! Le réchauffement climatique, doctrine de scientifiques à la solde des "maîtres à penser" de la gouvernance mondiale, est un enjeu majeur parmi les stratégies de l'ONU et de son Agenda 21. "Il faut lutter contre le réchauffement climatique et fournir les efforts visant à réduire les émissions causées par l'homme", blablabla!
Une des priorités de l'ONU, de l'Assemblée générale, est la paix globale et la sécurité mondiale. Prenez note de ces mots-clé, ils forment à eux seuls l'essence même de la mise en place d'un gouvernement mondial...
Dans le rapport, publié en 2009, intitulé "Les objectifs du Millénaire pour le développement", on trouve les objectifs stratégiques du développement durable. À la page 55 du document, on voit une illustration des continents ayant subi quelques modifications: le monde a été divisé en 10 régions. Ce schéma des 10 "groupes régionaux" a été créé par les Nations Unies pour des raisons pas très élaborées dans le document (libre-échange, partenariat commerciaux?), mais il est permis d'associer la création de ces "royaumes" à la prochaine gouvernance mondiale.
Sur le site de la Commission
Européenne, http://ec.europa.eu/world/where/index_en.htm, on peut aussi voir que les pays du monde appartiennent à 10 grandes régions.
Voyons maintenant ce que l'on trouve dans le Livre de Daniel (chapitre 7) concernant la gouvernance mondiale qui doit être constituée de 10 gouvernements ou "rois":
Après cela, je regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, il y avait un quatrième animal, terrible, épouvantable et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait ; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes. (...)
Il me parla ainsi : Le quatrième animal, c'est un quatrième royaume qui existera sur la terre, différent de tous les royaumes, et qui dévorera toute la terre, la foulera et la brisera. Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois.
Maintenant, dans le Livre de l'Apocalypse (chapitre 17):
Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. (...)
Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. (...)
Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête.
Ils ont un même dessein, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête. (…)
il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. (...)
Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre.
Pour ceux qui voudraient approfondir sur ces prophéties, je vous invite à lire l'excellent article de Joseph Sakala:
Mystère : Babylone la Grande

Proférant des menaces vides et insensées contre la Russie, essayant de déclencher partout des guerres, une génération de gigolos m’as-tu-vu soignant leur apparence et prenant de grands airs, mais tombant en pâmoison à la vue d’une goutte de leur sang, ont émergé dans le monde occidental.
D’où sortent tous ces fichus héros en chambre ? Ne trouvez-vous pas qu’ils ressemblent à des clones de Marco Rubio ? La CIA pondrait-elle des clones à Langley ?
À Paris, un président prétentieux, Emmanuel Macron, dépense des millions d’euros pour s’entourer de splendeurs plus dignes d’un Louis XIV que d’un dirigeant démocratiquement élu du XXIe siècle. Pendant ce temps, des centaines de milliers de gens battent toujours le pavé du pays lors des manifestations de Gilets Jaunes contre la grave austérité qu’il persiste à faire subir aux Français.
À Londres, le secrétaire à la Défense, Gavin Williamson, insulte des personnalités de France et d’Allemagne, sans parler de celles de Russie et de Chine, pendant que le Royaume-Uni part en quenouille autour de lui.
De façon grotesque, Juan Guiado continue de se prétendre président du Venezuela, bien que les groupes politiques qu’il prétend représenter n’aient obtenu qu’un cinquième des voix aux dernières élections.
Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau, qui donnait des conférences au reste du monde sur les fumeuses valeurs démocratiques à suivre, a dû faire une pause à cause d’un sordide et embarrassant scandale d’influence politique ayant entraîné la démission de son Cabinet.
Et aux États-Unis, le sénateur Rubio, figure emblématique du gigolo, s’est montré sous son vrai jour en éructant des menaces horribles, voire obscènes, contre Nicolas Maduro, le président vénézuélien légitimement élu. S’il ne démissionnait pas, s’il ne cédait pas la place à Guaido, Rubio l’a menacé de le zigouiller en le sodomisant avec un tesson de bouteille.
Ces personnages présentent tous d’étonnantes similitudes. À part Guaido, le gamin qui à seulement 35 ans, tous ont la quarantaine. Tous peuvent passer pour des adolescents. Tous donnent l’impression de saines valeurs morales classiques et d’idéalisme sérieux ; ce qui se révèlent totalement frauduleux au vu de leurs antécédents.
Parmi ces gigolos, aucun ne s’est jamais distingué dans les affaires internationales ou n’a favorisé son pays de progrès constructifs. En revanche, tous désirent soutenir les troubles civils dans le monde ou imposer des politiques aptes à dépecer leur pays (Macron, Williamson et Guiado).
Bien que peu convaincants, tous cherchent à exhiber l’image de dirigeants de qualité, fermes, dynamiques et courageux. Or, pathétiquement, tous dépendent de l’armée des États-Unis ou de la bonne volonté du gouvernement étasunien à soutenir leur position et politique, en intervenant cyniquement dans leurs propres affaires intérieures.
Il est parfois difficile d’oublier que Rubio n’est au Sénat que depuis deux ans ; on dirait qu’il y a toujours été.
Williamson au Royaume-Uni, Macron en France et maintenant Guaido au Venezuela, tous sont sortis de nulle part, de rien de plus superficiel que leur volonté de se conformer à la même ligne de parti internationaliste, libérale et libre-échangiste, à laquelle ils sont tous tenus.
D’après les merveilleuses paroles de Alice Roosevelt Longworth, prononcées en 1948 pour écarter le candidat Tom Dewey de la présidence des États-Unis, ce à quoi ressemblent le plus tous ces gigolos, c’est au petit marié de sucre qui trône sur les gâteaux de mariage géants.
Encore plus que le sérieux, c’est l’impression de sincérité qu’ils cherchent tous à donner trompeusement – à la manière du vendeur de tacots le moins scrupuleux –, qui révèle le vide intérieur de tous ces ridicules ‘dirigeants’ nommés.
Ces gigolos marquent les derniers jours du consensus libéral occidental, trois quarts de siècle après son apothéose en 1945 ; sauf que la victoire fut en réalité remportée grâce à la vie, au sang et au sacrifice de millions de soldats soviétiques.
Cette rapide ascension concomitante vers la grandeur et la renommée des gigolos dans le monde occidental, signifie-t-elle quelque chose ? C’est fort crédible.
Il y a un quart de millénaire, Edward Gibbon, le grand historien du déclin et de la chute de l’empire romain, constata que, quand la classe dirigeante avait perdu tout reste de décence et de confiance aux yeux du public, elle nommait à sa tête des zèbres insignifiants, car seuls ces êtres dérisoires, dénués d’indépendance, ne la menaceraient pas.
Rubio et l’actuelle légion de fort peu convaincants gigolos, conviennent parfaitement à cette exigence. Nous avons là les successeurs naturels de Romulus Augustulanus, l’ineffable dernier empereur de Rome, dont le règne dura moins d’un an, en 475 après JC. Comme disait Gibbon, « Les princes douteux favorisent souvent le dernier des hommes. »
Martin Sief
Article original en anglais : The ‘Boy Toys’ Who Dream of Leading the West, Strategic Culture, le 26 mars 2019
Traduction Petrus Lombard
Version française publiée par le Réseau International