WWIII : Apocalypse Financière et complot des gouvernements.
En route vers l’apocalypse financière
Alors que les marchés continuent d’être toujours aussi incertains, aujourd’hui l’homme qui est devenu une légende pour ses anticipations de quantitative Easing(Planche à billets), dans les fluctuations des devises et sur des événements mondiaux majeurs vient d’expliquer sur kingworldnews que le monde se dirigeait tout droit vers l’apocalypse financière.
Egon von Greyerz fondateur de Matterhorn Asset Management & GoldSwitzerland
L’Or a bondi face à toutes les devises
Alors que le cours de l’Or est en pleine période de consolidation actuellement, et avant qu’il ne reparte vers de nouveaux sommets, il est bon de revenir un peu en arrière et de comprendre pourquoi l’Or s’apprécie de façon spectaculaire depuis 1 siècle et pourquoi cette tendance va se poursuivre pendant nombreuses années encore…
La plupart des gens ne savent pas ce qu’est réellement de l’argent. Ils croient que si ils détiennent 100 dollars ou 100 euros, que cela représente une valeur réelle et qu’elle sera durable dans le temps. Peu de gens se rendent compte que leur monnaie qu’ils appellent « argent » n’a absolument rien à voir en réalité avec de l’argent. Toutes les monnaies papier sont éphémères et retournent vers leur valeur intrinsèque à savoir « zéro ». Pourquoi ? Tout simplement parce que les gouvernements irresponsables s’accrochent au pouvoir en imprimant ou en empruntant des quantités astronomiques de billets parce qu’ils espèrent ainsi apaiser le mécontentement du peuple et que cela leur permettra d’être réélu. La monnaie papier comme son nom l’indique, ne sera jamais de l’argent réel. Il est délivré par décret et cette monnaie de singe ne repose sur rien d’autre que sur de l’endettement et du passif.
Le pouvoir corrompt et l’argent corrompt. C’est une combinaison néfaste qui détruit non seulement les gens, mais aussi les nations. Et malheureusement, nous avons maintenant atteint un moment dans l’histoire où les quantités illimitées de monnaie fiduciaire qui ont été créées détruiront également les continents. Pour comprendre ce que l’argent est et n’est pas, nous pouvons simplement regarder l’exemple détaillé ci-dessous.
La plupart des habitants du Zimbabwe ont cru que le dollar zimbabwéen était de l’argent et qu’il récompensait un travail et ou une production. Mais lorsque le régime irresponsable a commencé à manquer d’idées et d’astuces pour dissimuler leur complète incompétence dans la gestion de l’économie, ils ont dû imprimer des quantités infinies d’argent jusqu’à ce que le billet zimbabwéen de 100 milliards de dollars ne devienne totalement inutile à son tour, étant donné qu’il ne valait plus rien. L’inflation au Zimbabwe a augmenté de façon exponentielle. En 2008, l’inflation annuelle avait été estimée à 90.000 milliards de milliards de pourcent (soit 90^21, c’est à dire 90 avec 21 zéros derrière). Au cours de cette même période, le dollar américain a augmenté de 10^30 (10 avec 30 zéros derrière) par rapport au dollar Zimbabwéen.
Ce qui est arrivé au Zimbabwe montre parfaitement comment un pays qui était à l’origine prospère peut finir par être complètement détruit du fait d’une très mauvaise gestion de son économie. Le pays a un secteur agricole très performant, détenu principalement par des Britanniques depuis l’époque de la Rhodésie du Sud. Ce pays dispose également de ressources minérales considérables. Mais la valeur de ce pays a été détruite progressivement lorsqu’il est devenu indépendant. Et durant ce tragique déclin du Zimbabwe, des terres et domaines privés ont été expropriés et des entreprises ont été nationalisées.
Et par conséquent, le Zimbabwe illustre parfaitement comment on détruit une monnaie en tuant l’entreprise privée par de l’ingérence et un contrôle du gouvernement. Il existe de nombreux autres exemples dans l’histoire. La partition de l’Allemagne après la seconde guerre mondiale montre clairement comment un pays a été divisé en deux – avec une Allemagne de l’Ouest ayant une économie prospère et de libre marché face à une Allemagne de l’Est avec une économie communiste pauvre, planifiée et centralisée.
Le déclin du dollar américain a été beaucoup plus rapide que ce que la plupart des gens pensent. En clair, ils se sont rendus compte de rien ou presque. En 1971, le billet de 100 dollars américain (photo ci-dessus) équivalait à une barre d’Or de 100 grammes (environ 3 onces). Aujourd’hui, ce même billet de 100 dollars ne vous permettra d’acquérir qu’une petite pièce en Or ou 3% de cette même barre d’Or qui fait toujours 100 grammes.
Mais le dollar américain n’est pas la seule monnaie qui ne cesse de se déprécier. Toutes les principales devises sont en compétition dans une course sans fin à la dépréciation, comme pour l’euro, le yen, la livre, ainsi que pour toutes les autres monnaies.
Le graphique ci-dessous prouve que l’Or est la vraie monnaie et que son pouvoir d’achat reste stable (Sur le graphique ci-dessous, l’Or est représenté par une horizontale tracée à 100 $). La valeur de l’Or ne varie pas. L’Or joue le rôle que les différentes monnaies devraient tenir. L’Or est une valeur stable et l’est depuis des milliers d’années. Il y a 2000 ans, avec une once d’or on se procurait un beau costume, et c’est toujours le cas aujourd’hui. Et c’est exactement ce rôle qu’une monnaie doit jouer. Une devise devrait maintenir sa valeur au fur et à mesure du temps qui passe. Mais si nous examinons maintenant le graphique ci-dessous, nous voyons comment toutes les monnaies ont perdu de 97 à 99% de leur valeur face à l’or durant ces 100 dernières années.
Comme le montre le graphique ci-dessus, il ne reste plus qu’à parcourir de 1 à 3 % à la baisse avant que le dollar, l’euro, le yen et la livre n’atteignent leur valeur intrinsèque à savoir « zéro ». Cette chute finale est quasiment certaine et ce n’est plus qu’une question de temps avant que cela ne se matérialise. Avec une croissance exponentielle de la dette depuis 2006, nous pourrions très bien voir cette destruction finale des monnaies dans les 5 à 7 prochaines années. Et si la dette n’engendre pas un effondrement, les contreparties face aux 1.500.000 milliards de produits dérivés viendront à faire défaut.
Le Zimbabwe illustre parfaitement comment une monnaie qui était censée être de l’argent et conserver son pouvoir d’achat, s’est transformée en une promesse sans valeur qui ne pouvait même plus être utilisée lors de transactions. Dans les dernières étapes, le peuple zimbabwéen réclamait des dollars américains ou de l’Or.
Dans toute l’histoire, aucune des monnaies papier n’a jamais survécu. Par conséquent, il semble y avoir peu d’espoir à ce que l’on connaisse un jour un système avec une monnaie saine. Oui, il y a eu des périodes où cela a été le cas, mais ces moments ont rarement duré longtemps. Le pouvoir semble avoir un tel effet corrupteur sur tous ceux qui entre en politique et donne une envie irrésistible d’imprimer et de dépenser de l’argent qui n’existe pas.
La solution la plus simple consisterait d’abord à se débarrasser de toutes les banques centrales parce que c’est principalement à cause d’elles que les monnaies se déprécient continuellement et finissent par valoir moins que le bout de papier sur lequel elles sont imprimées. Les banques centrales ont deux fonctions principales: elles manipulent artificiellement les taux d’intérêt et elles impriment de la monnaie. En manipulant les taux d’intérêt, elles détruisent les lois naturelles de l’offre et de la demande. Si la demande est forte pour l’argent, dans un marché libre, les taux d’intérêt vont s’ajuster naturellement jusqu’à freiner la demande d’argent. De plus, des taux d’intérêts plus élevés compensent correctement les déposants pour les risques importants qu’ils prennent.
En route vers l’apocalypse financière
Ce qui se passe aujourd’hui, c’est tout le contraire d’un marché libre. La dette globale a augmenté plus de dix fois en 25 ans et les taux d’intérêt sont nuls voire négatifs. Cette répression financière est une manipulation d’une ampleur jamais vu de toute l’histoire. Elle détruit complètement le libre marché et sème les graines d’une apocalypse financière à venir. A chaque fois que les lois naturelles de l’offre et la demande ont été perturbés, il y a toujours eu des conséquences graves.
Une chose est sûre. Le système financier actuel ne survivra pas parce qu’il repose sur des principes qui ne sont pas tenables. Dans un tel système, il ny’ a pas de monnaie saine. Ce qui est certain, c’est que l’ or est la seule réelle monnaie, qui continuera de refléter la mauvaise gestion de l’économie mondiale ainsi que la dépréciation continuelle des monnaies jusqu’à ce qu’elles finissent par ne plus rien valoir dans les prochaines années ».
Source : kingworldnews
Trump a fait beaucoup de tort à la faction qu’il était supposé représenter. Les inquiétudes des Républicains quant à une économie politique qui maximise le potentiel d’escroquerie étaient bien fondées, et Trump est parvenu à les faire passer pour une clique de clowns sinistres. Cette caricature d’enfant de riche sans aucune retenue verbale a été incapable d’articuler leurs plaintes légitimes. Son comportement au cours des débats a frisé le psychotique. Si Trump perdait les élections, je me demande ce que feraient ses partisans. Je pense qu’ils opteraient pour la violence. Aussi pathétique que cela puisse paraître, Trump est aujourd’hui leur dernier meilleur espoir.
Je suis un peu plus confortable avec Hillary - bien que je ne voterai jamais pour elle – parce que son élection potentielle serait salutaire pour l’établissement en place. Si elle était élue, alors les bonnes personnes se trouveraient finalement accusées d’avoir endommagé les affaires nationales des Etats-Unis. Son gang élitiste mérite d’être chassé du pouvoir à la dure, portant sur son dos tout le fardeau de sa bassesse, sans personne vers qui pointer l’index. L’élection d’Hillary renforcerait la prise de conscience par le public du caractère criminel des pratiques financières et réglementaires qui ont marqué les huit années passées par les représentants désignés par Obama aux commandes du Département de la Justice et de la Commission de supervision des marchés financiers.
L’indice clé que nous ont offert les récents débats a été la diabolisation de la Russie – un exercice bien plus idiot que l’hystérie Maccarthiste du début des années 1950, puisqu’il n’existe aujourd’hui plus de conflit idéologique entre les deux pays, et que tout pousse à croire que l’état pitoyable de leurs relations ne soit que la faute des Etats-Unis, et notamment de leur rôle dans l’effondrement de l’Ukraine et la mobilisation de troupes de l’OTAN sur les frontières russes. Hillary est pleinement soutenue par l’établissement en charge des affaires étrangères dans ses efforts de faire résonner le tambour de guerre, bien qu’elle n’ait fournit aucune preuve quant au rôle de la Russie dans le piratage de sa boîte mail. Il semblerait que l’établissement adhère de tout cœur à la théorie de propagande de Joseph Goebbels : Plus le mensonge est gros, plus les gens y croient.
Les médias ne font que répéter tout ce qu’elle dit. Le New York Times a même amplifié les mensonges de l’établissement – ce qui est aux antipodes du rôle joué par ce même journal à l’approche de la guerre du Vietnam. Aujourd’hui (lundi), il est allé jusqu’à publier un édito expliquant pourquoi il est nécessaire pour Hillary de se montrer malhonnête : « En politique, l’hypocrisie et le double langage sont des outils communs ».Voilà qui est rassurant ! Bienvenue dans le Parc d’attraction George Orwell de la Démocratie.
Bien évidemment, ni Trump ni Hillary ne semble comprendre les problèmes auxquels font aujourd’hui face les Etats-Unis. Ils ne reconnaissent pas l’équation de base qui a rendu impossible pour les économies industrielles du monde de continuer de croître, ou encore les difformités du système bancaire et financier qui découlent des efforts officiels de faire face à ces conditions impossibles – une accumulation de dette pour résoudre le problème de surendettement.
La première réalisation à laquelle les Américains devront en venir pour pouvoir enfin sortir la tête de l’eau est que leur gouvernement fédéral est le plus gros obstacle qui se dresse aujourd’hui entre les Etats-Unis et les ajustements qu’impose notre monde changeant. Je suis convaincu que Trump serait renversé par un putsch militaire sous moins d’un an, ce qui représenterait un écrasement épique de notre machinerie politique, comparable à ce qui s’est passé à Rome en 44 avant JC. Hillary nous apporterait une discréditation plus mesurée du système, qui pourrait permettre à certaines de nos institutions d’être réhabilitées – et la cerise sur le gâteau : Hillary se trouverait éventuellement destituée pour nous avoir menti, un destin auquel son mari et le défunt Richard Nixon ont, Dieu seul sait comment, réussi à échapper.
[ Le vote démocratique n'est qu'un leurre ] [ Le véritable ennemi des français ] Liste de francs-maçons du Parti Socialiste.
[ Le vote démocratique n'est qu'un leurre ] [ Le véritable ennemi des français ] Liste de francs-maçons du Parti Socialiste
Les ministres et conseillers francs-maçons du PS :
– François Hollande (président de la république), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader.
– Jean-Marc Ayrault (premier ministre) : en 2008, maire de Nantes, il fait voter une subvention de 400 000€ destinée à la rénovation et à l’agrandissement du local servant aux réunions de 7 loges maçonniques
– Manuel Valls (ministre de l’intérieur), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Christiane Taubira (ministre de la justice), franc-maçonne membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Pierre Moscovici (ministre de l’économie et des finances), ancien membre de la LCR (Ligue Communiste Revolutionnaire) et Young Leader
– Najat Vallaud-Belkacem (ministre des droits des femmes), Young Leader
– Arnaud Montebourg (ministre du redressement productif), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader
– Michel Sapin (ministre du travail), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)
– Vincent Peillon (ministre de l’éducation nationale), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF), ancien membre du Comité communiste pour l’autogestion
– Jérôme Cahuzac (ancien ministre du budget), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Yves Le Drian (ministre de la défense), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Stéphane Le Foll (ministre de l’agriculture), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Marylise Lebranchu (ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique) franc-maçonne, ancienne membre du PCMLF (Parti communiste marxiste-léniniste de France)
– Anne-Marie Escoffier (ministre déléguée chargée de décentralisation), franc-maçonne membre du Parti Radical de Gauche et de la Grand Loge Féminine de France (GLFF)
– Fleur Pellerin (ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique), Young Leader
– Benoît Hamon (ministre délégué à l’économie sociale et solidaire et à la consommation), franc-maçon
– George Pau-Langevin, (ministre déléguée à la réussite éducative), franc-maçonne
– Michèle Delaunay (ministre déléguée aux personnes âgées et à l’autonomie), franc-maçonne
– Frédéric Cuvillier (ministre délégué aux transports), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Marc Mancel (conseiller de la ministre George Pau-Langevin), franc-maçon membre du Grand Orient de France (GODF)
– Christophe Chantepy (directeur de cabinet de Jean-Marc Ayrault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Simon (contrôleur général au ministère de l’économie), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Vidalies (Ministre en charge des relations avec le Parlement), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Aquilino Morelle (conseiller de François Hollande), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF) et Young Leader
– Cédric Lewandowski (directeur de cabinet de Jérôme Cahuzac), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Victorin Lurel (Ministre délégué en charge de l’Outre-Mer), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Renault Vedel (directeur adjoint de cabinet de Manuel Valls), franc-maçon membre de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Alain Bauer (conseiller officieux de Manuel Valls), franc-maçon haut gradé, ancien Grand Maître du Grand Orient de France (GODF)
– Yves Colmou (conseiller de Manuel Valls), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
Les francs-maçons du Sénat :
– François Rebsamen (président du groupe PS au Sénat), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Pierre Sueur (sénateur PS du Loiret et président de la commissions des lois), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Claude Domeizel (sénateur PS des Alpes-de-Haute-Provence), franc-maçon du Grand Orient de France
– Gérard Collomb (sénateur maire de Lyon), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Michèle André (sénatrice PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne, vice-présidente de Fraternelle Parlementaire et membre de la secte maçonnique du Droit Humain
– Robert Navarro (sénateur PS de l’Hérault), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
Les francs-maçons à l’Assemblée nationale et dans les collectivités locales :
– Henri Emmanuelli (député PS des Landes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Christian Bataille (député PS du Nord), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Pascale Crozon (députée PS du Rhône), franc-maçonne, vice-présidente de la Fraternelle Parlementaire
– Pascal Terrasse (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Oliver Dussopt (député PS de l’Ardèche), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Brigitte Bourguignon (députée PS du Pas-de-Calais), franc-maçonne
– Odile Saugues (députée PS du Puy-de-Dôme), franc-maçonne
– Patrick Menucci (député PS des Bouches-du-Rhône), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)
– Paul Giacobbi (député du PRG de la Haute-Corse), franc-maçon de la Grande Loge de France (GLDF)
– Jean Le Garrec (ancien ministre PS), franc-maçon, président du Cercle Ramadier, membre du Grand Orient de France (GODF)
– Philippe Guglielmi (premier secrétaire fédéral du PS de Seine-Saint-Denis), franc-maçon, ancien Grand Maître de la secte maçonnique du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Jacques Queyranne (président de la région Rhône-Alpes), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Philippe Foussier (rédacteur en chef de la revue de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains), franc-maçon du Grand Orient de France
– Jean Glavany (député PS des Hautes-Pyrénées), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Marie Cambacérès (député PS du Gard), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jean-Michel Baylet (sénateur PRG du Tarn-et-Garonne), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
– Jack Lang, franc-maçon
– Daniel Vaillant (député-maire à Paris), franc-maçon
– Harlem Désir (Premier Secrétaire du Parti Socialiste), franc-maçon du Grand Orient de France (GODF)
Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive
La France ne combat pas le terrorisme en Syrie
Français, votre Président ment. Votre diplomatie ment.
La France [de François Hollande] ne combat pas le terrorisme en Syrie.
La France, comme en Libye, a été au départ et à la pointe du combat mené contre l’Etat syrien par terroristes interposés. Cela lui a permis de conclure de juteuses affaires avec ceux qui financent les mosquées et le terrorisme : d’abord le Qatar, sous Sarkozy; et ensuite l’Arabie saoudite sous Hollande.
Le Quai d’Orsay cherche aujourd’hui à faire oublier qu’il a soutenu dès le début les djihadistes du Front al-Nosra, dont Laurent Fabius disait qu’il « faisait du bon boulot ». Et il se garde de préciser que ce sont ces mêmes djihadistes d’al-Nosra qui combattent aujourd’hui l’Etat syrien à Alep-Est, et qu’il cherche à sauver.
C’est pourquoi François Hollande évoque uniquement la menace que constitue Daech, et ne parle jamais de la menace directe, immédiate que constitue le Front al-Nosra pour le peuple syrien. Or, c’est bien le Front al-Nosra qui depuis fin 2011 a infiltré et détruit, en les transformant en zone de combat militaire, les villes syriennes comme Homs et Alep, pour ne parler que de celles-là. L’Armée syrienne libre (ASL), n’était qu’une vitrine commode pour les journalistes qui ont fréquenté les terroristes et pour Médecins sans frontières (MSF) qui les a rejoints dès le début de la guerre à Homs notamment.
C’est le Front al-Nosra qui a reçu l’armement de la France et le gros du financement. C’est le Front al-Nosra qui a commis des atrocités aussi terribles que celles montrées par les vidéos de l’EI.
La France, comme la Belgique, a laissé des milliers de jeunes rejoindre al-Nosra depuis le début de la guerre ; elle escomptait qu’ils renversent Assad. Daech n’existait pas jusqu’en 2014. Votre président ne vous dit pas ce que les services savent. Les jeunes qui sont partis en Syrie, c’est principalement al-Nosra qui les a accueillis et formés. C’est al-Nosra qui est le principal vecteur d’endoctrinement aujourd’hui en France et en Europe. Ce sont les vidéos d’al-Nosra qui ont retourné des milliers d’adolescents.
Les quelques 4’000 jeunes enregistrés comme « radicalisés » et résidant en France, parmi eux un grand nombre de convertis, ce n’est pas en regardant des vidéos de Daech qu’ils se sont fait endoctriner via Facebook, mais en regardant des vidéos de propagande particulièrement efficaces mises à leur disposition par le réseau al-Nosra et toujours visibles sur YouTube.
Sauver à tout prix al-Nosra à Alep-Est
L’Elysée panique depuis que, fin septembre, des rapports émanant du renseignement militaire indiquent que les « rebelles », à Alep, sont en difficulté et que la coalition qui soutient l’Etat syrien engagé dans un combat atroce contre les terroristes venus de partout faire le djihad en Syrie, était à deux doigts de sortir gagnante. Cela malgré les énormes stocks d’armes et de nourritures accumulés durant les trêves, fournis aux terroristes par les puissances qui les soutiennent tout en disant à leur bon peuple qu’ils les combattent.
L’Elysée panique à l’idée que le peuple français puisse découvrir que les « rebelles » que la France a soutenus, et sur qui elle comptait pour renverser le « régime Assad », soient vus pour ce qu’ils ont toujours été ; des terroristes.
La France et les médias paniquent à l’idée que la voix de cette autre Syrie légale qu’ils se sont employés à étouffer ne parvienne au public et que celui-ci découvre que, depuis 2011, les civils fuyaient la terreur des groupes armés et plaçaient toute leur confiance en Assad.
Pressentant que les choses prenaient une tournure qui pouvait mettre à mal sa narration sur le terrorisme, la diplomatie française s’est dépêchée de sortir de son chapeau le pâle et médiocre Jean-Marc Ayrault, porteur d’une résolution que la Russie a fort heureusement rejetée et qui, comme les précédentes, avait pour objectif de renverser la donne et de permettre aux djihadistes de l’emporter.
La France, aidée par la narration des médias, s’est montrée ces derniers jours prête à précipiter le monde dans la plus grande inconnue ; toute la propagande qu’elle distille revient à entretenir coûte que coûte la fable du dictateur sanguinaire qui tue son propre peuple et à rendre coupable la Russie qui le soutient.
Nos lecteurs qui suivent de près l’actualité ont sans doute immédiatement compris, en écoutant Hollande et Ayrault parler des victimes dont la Russie serait coupable, que la France est avant tout préoccupée de trouver un moyen d’aider les « rebelles » à tenir. S’ils perdent, la vérité va sortir. Elle doit retourner les faits de telle façon que les citoyens ne puissent découvrir que les vraies victimes n’ont jamais été les « civils » vivant dans la partie d’Alep-Est tenue par les « rebelles ». Que les vraies victimes sont les patriotes Syriens dont tout le monde, autorité, ONU, MSF, médias, ont occulté les immenses souffrances.
En clair. Les médias traditionnels, tout comme les gouvernements qui ont fait la part belle aux terroristes à l’insu du public, tremblent maintenant à l’idée que, si l’Etat syrien gagne et libère Alep, la voix des patriotes syriens qu’ils ont ignorée ne permette au public de comprendre qu’ils lui ont menti durant 5 ans. En clair. Que les gentils « rebelles modérés » étaient pour les Syriens aussi dangereux et menaçants que Daech.
Ils tremblent à l’idée de devoir, demain, rendre des comptes.
Silvia Cattori
Journaliste
La source originale de cet article est Arrêt sur Info
Le Plan secret des Illuminati ou l’antithèse du Manifeste Communiste
Thèse + Antithèse = Synthèse.
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"Mikhaïl Gorbatchev vient d'achever une tournée triomphale de deux semaines dans les Etats-Unis. Rien ne suggère qu'il soit un politicien retiré des affaires. Les Américains l'ont accueilli avec des ovations debout… Cette visite aux Etats-Unis était ostensiblement destinée à réunir des fonds et à prendre des contacts pour la Fondation Gorbatchev. Toutefois, elle lui a aussi permis de s'élever en douceur à la position peu fréquente d'un homme d'état chevronné dont les déclarations sont prises en considération dans le monde entier. Son thème favori est un corollaire de sa fameuse "perestroïka" : le monde a besoin d'être changé et réorienté… On n'a pas encore réussi à faire admettre à Gorbatchev que la théorie socialiste a échoué, ou que le communisme était mort. Mais il propose une alternative au capitalisme et au communisme, alternative qui est en train de poindre…"
La plupart d'entre vous hochent sans doute la tête d'étonnement en lisant cet article, mais sans comprendre qu'il contient l'une des informations les plus extraordinaires de l'histoire moderne ! Tous ceux qui sont au courant de la conspiration des Illuminati visant à instaurer un Nouvel Ordre Mondial auront toutefois immédiatement compris ce que voulait dire Gorbatchev lorsqu'il proposait "une alternative au capitalisme et au communisme, alternative qui est en train de poindre…"
Si nous considérons attentivement la déclaration de Gorbatchev, nous voyons qu'il a voulu dire qu’il y a trois systèmes de gouvernement : deux sont déjà opérationnels, et le troisième est encore à venir. Il a mentionné le communisme et le capitalisme, qui sont deux systèmes déjà présents dans le monde. Mais il annonce un troisième type de gouvernement à venir, qui ne serait ni communiste ni capitaliste. Il n'a pas précisé son nom.
A quoi se réfère-t-il ? Pour le comprendre, il nous faut revenir au 1er mai 1776, au jour où Adam Weishaupt, un ancien Jésuite, fonda un groupe occulte qu’il appela : "Les Maîtres des Illuminati". ("Illuminati" veut dire : ceux qui ont reçu la lumière"). Pour organiser son groupe, il prit pour modèle l’ordre des Jésuites, qu’il connaissait bien. Les Maîtres des Illuminati étaient une société secrète, hermétiquement fermée au monde extérieur. Ils projetaient de renverser toutes les institutions religieuses et civiles ainsi que tous les gouvernements, pour les remplacer par un gouvernement mondial entièrement nouveau, que Weishaupt appela : "Le Nouvel Ordre Mondial".
Quelles étaient les grandes orientations de ce Nouvel Ordre Mondial ? Nesta Webster, dans son ouvrage "World Revolution" (Révolution Mondiale), dresse la liste des six buts des Illuminati :
- Abolir la monarchie et toutes les structures gouvernementales.
- Abolir la propriété privée.
- Abolir tout système d’héritage.
- Abolir le patriotisme.
- Abolir la famille, le mariage, la moralité ; les enfants doivent être élevés par l’Etat.
- Abolir la religion.
Weishaupt estimait qu’il ne pourrait atteindre ces buts que grâce à une puissance surnaturelle. Il lui fallait détruire la civilisation occidentale, qui était trop imprégnée de Christianisme. C’est pourquoi il établit ses Maîtres des Illuminati sur des bases occultes. Il prit pour son organisation le symbole de "l’œil qui voit tout", placé au sommet d’une pyramide inachevée, le tout dans un cercle au-dessus duquel figuraient les mots "Annuit Coeptus", ce qui signifie en Latin "Annonce de la naissance de…" Au-dessous du cercle, il était écrit : "Novus Ordo Seclorum" (Nouvel Ordre Mondial, en Latin). En d'autres termes, le symbole de Weishaupt annonçait la naissance d'un Nouvel Ordre Mondial.
Ce symbole nous est familier, car il figure sur tous nos billets de $1 ! Au pied de la pyramide figurent des chiffres romains, qui indiquent l’année 1776. Puisque la monnaie américaine porte ce symbole du Nouvel Ordre Mondial, nous devons en déduire que notre gouvernement, depuis 1776, travaille à établir le Nouvel Ordre Mondial ! Ceci est bien le cas, mais nous en reparlerons plus tard.
Weishaupt voulait renverser totalement tous les gouvernements, pour les remplacer par son système mondial. Il estimait que l’ennemi à abattre était surtout constitué par les nations de l'Europe Occidentale, parce qu'elles étaient fondées sur des principes judéo-chrétiens. Il pensait que l’on enrôlerait sans peine dans son plan les nations orientales, car leurs religions étaient enracinées dans un mysticisme occulte de même nature que celui qu’il professait. En vérité, à mesure que le monde se prépare à entrer dans le Nouvel Ordre Mondial, nous voyons s’établir aujourd’hui une unité spirituelle entre les religions orientales et les adeptes occidentaux du Nouvel Age.
L’obstacle principal pour Weishaupt venait donc des nations chrétiennes d’Europe Occidentale et du Nouveau Monde, qui allait bientôt devenir les Etats-Unis. Il établit donc son Plan en conséquence. Deux ennemis en particulier devaient être abattus : le catholicisme romain et le protestantisme.
Pour Weishaupt, le problème était le suivant : il voulait détruire froidement tous les gouvernements occidentaux, pour les remplacer par un seul gouvernement mondial, appelé Nouvel Ordre Mondial. Mais comment s’y prendre pour modifier toutes les caractéristiques de toutes ces nations occidentales, comment les faire passer par un glissement absolument imperceptible de la liberté à l’esclavage, sans qu’elles prennent jamais conscience du processus, sans qu’elles puissent identifier les auteurs du changement ? Sinon, elles pourraient contraindre leurs dirigeants à se retourner contre ces manipulateurs et à les détruire.
La première condition était d’entourer le Plan du secret le plus absolu. C'est la raison pour laquelle Weishaupt a organisé les Maîtres des Illuminati en société ultra secrète. Il ne fallait pas que les peuples qu'ils voulaient réduire en esclavage connaissent leurs secrets. Weishaupt sentit que la franc-maçonnerie pouvait être un allié intéressant. La franc-maçonnerie fut officiellement établie en occident en 1717. Elle enseignait alors qu’une évolution naturelle et spontanée conduirait peu à peu les hommes à adopter les mêmes valeurs, pour aboutir à une religion universelle. Tous les hommes devaient comprendre qu'ils sont frères. Les Francs-Maçons pensaient qu'ils seraient les moteurs de cette évolution vers une nouvelle conscience universelle. Ils pensaient que ce nouveau système était inévitable, et qu'il se manifesterait d'une manière naturelle et paisible.
Weishaupt rejetait cette conception. Pour sa part, il estimait que rien ne pourrait s’accomplir sans révolutions violentes. Lui et les membres de sa société commencèrent à s’infiltrer dans les loges maçonniques dès 1776. En 1789, il tenait déjà bien en main les loges européennes. Il se mit en devoir de gagner le cœur de nombre de maçons américains, et en 1830, il avait pris le contrôle des loges américaines.
Il manquait encore à Weishaupt une stratégie pour établir son Nouvel Ordre Mondial. Il lui manquait un plan de bataille qui préciserait de quelle manière les gouvernements d'Europe Occidentale seraient détruits. Cette stratégie devait lui être fournie en 1823 par un professeur de philosophie allemand du nom de Hegel (1770-1831). Selon Hegel, les gouvernements des sociétés fonctionnaient de la manière suivante :
- L’existence d’un certain type de gouvernement ou de société, qu’on pouvait appeler "Thèse", suscite l’apparition du type de gouvernement opposé, soit "l’Antithèse".
- Thèse et Antithèse entrent inévitablement en conflit l’une avec l’autre, car ce sont deux systèmes complètement opposés.
- Cette lutte se prolonge suffisamment sans qu’un côté parvienne à détruire l’autre. On finit donc par aboutir à un système hybride comportant certains aspects de la Thèse et certains aspects de l’Antithèse. Hegel a appelé ce nouveau système "Synthèse".
La clé de la stratégie est d’obtenir un conflit incessant, ou du moins une menace de conflit. Selon la théorie de Hegel, "le conflit aboutit au changement, et le conflit planifié aboutit au changement planifié". Dans toute les Universités européennes, cette théorie fit pendant un temps l’objet de discussions passionnées ! Par la suite, d’autres modes intellectuelles la remplacèrent, mais les Illuminati, et les Francs-Maçons qui leur emboîtaient le pas, avaient d’ores et déjà leur plan de bataille.
Définissons à présent ces termes, en les appliquant au Plan de Weishaupt :
La Thèse, c'est-à-dire le système européen dominant à la fin du XVIIIe siècle, impliquait, sur le plan économique, l’entreprise privée, sur le plan politique, la monarchie ou la démocratie, et sur le plan religieux, le judéo-christianisme.
L'Antithèse est le système opposé, qui devait, en théorie, combattre la Thèse pendant une période assez longue, avant d'aboutir à un nouveau système appelé Antithèse. En 1776, toutefois, il n’existait pas encore de véritable Antithèse au système dominant à l'époque.
Que faire, si ce système opposé ne s'établissait pas spontanément ? Si j'avais été chargé de la mise en œuvre du Plan du Nouvel Ordre Mondial, et si j'étais un partisan de la théorie de Hegel, je suppose que je me serais efforcé de créer un système qui soit exactement l'opposé de la Thèse. Un auteur catholique, Piers Compton, a étudié en 1846 la création de cette Antithèse, qui était l’exacte contrepartie de la Thèse occidentale. Il écrivit ceci : "Il y a comme du changement dans l’air, un changement qui s’étend bien au-delà des limites de l’Eglise et transforme bien des aspects de l’existence." Deux ans plus tard, un corps d’élite d’initiés secrets, qui avait pris pour nom : "La Ligue des Douze Justes des Illuminati", finança Karl Marx pour permettre à ce dernier de rédiger " Le Manifeste Communiste ".
Sous sa forme théorique, l’Antithèse vit donc le jour en 1848, avec la parution du Manifeste Communiste de Karl Marx. Gary Kah, un auteur chrétien, découvrit un secret le jour où on lui remit un lot de vieux ouvrages francs-maçons tirés d’une cachette. A la page 94 de son livre "En route to Global Occupation" (Vers l’occupation planétaire), Kah reproduit un tableau extrait de ces ouvrages secrets, démontrant les liens historiques qui remontent du mouvement du Nouvel Age aux Rosicruciens, en passant par les Francs-Maçons et les Illuminati, et de là aux Templiers, à la Gnose et à la Kabbale, jusqu’à la source commune à tous ces mouvements, c'est-à-dire les anciennes croyances mystiques égyptiennes et babyloniennes. Ce tableau indiquait aussi des groupes dérivés des Francs-Maçons et des Illuminati. Un de ces groupes est relié par une flèche aux Francs-Maçons et aux Illuminati : c’est le Marxisme. De toute évidence, les Francs-Maçons et les Illuminati ont créé le Communisme pour pouvoir opposer une Antithèse à la Thèse existante, pour que la théorie de Hegel pût prendre corps.
Du point de vue économique, le Communisme accordait à l’Etat seul le droit de propriété et le droit de planifier l’économie. Du point de vue religieux, il était athée. Du point de vue politique, il s’agissait d’une dictature. Il s’oppose donc à la Thèse occidentale sur toute la ligne. Ceci est normal, puisque le Communisme a été conçu dans ce but.
La Synthèse est le nouveau système hybride qui doit émerger du conflit entre Thèse et Antithèse. Cette Synthèse, sur le plan économique, est prévue pour être fasciste. Les moyens de production et le système de distribution des biens seront confiés à des entreprises privées, mais c’est le gouvernement qui dicte les quantités à produire et le nombre d’entreprises autorisées à fabriquer un produit donné. Sur le plan religieux, il est prévu que la synthèse soit d'inspiration satanique, le satanisme étant l’hybride issu de la thèse judéo-chrétienne et de l’antithèse athée. On sait depuis longtemps que cette Synthèse s’appelle : " Le Nouvel Ordre Mondial ".
Tel est le Plan qui guide l’action des Illuminati depuis les années 1820. Thèse et Antithèse sont les deux adversaires qui devaient demeurer en conflit politique et verbal pendant de longues années, menaçant de déclencher une guerre mondiale. Cependant, le Plan demande que ni l’un ni l’autre des adversaires ne soient détruits par des moyens militaires, mais que de part et d’autre la mentalité populaire évolue peu à peu, jusqu’au jour où la Synthèse pourra finalement être mise en place. Cette Synthèse n'est autre que le Nouvel Ordre Mondial.
Suivez-moi bien, car nous allons bientôt comprendre tout le déroulement de l'histoire depuis le début des années 1800, et tout particulièrement pendant tout le XXe siècle.
Lors de la fondation des Maîtres des Illuminati en 1776, cet ordre s’était donné pour objectif d’atteindre les six buts que nous avons énumérés en page 1. On est stupéfié de constater que ces six buts correspondent à la lettre aux objectifs du Communisme organisé, ce concept que Marx a commencé à propager vers 1850. Pas de place pour le doute ici : ce sont bien les Maîtres des Illuminati qui sont à l’origine du Communisme. Nesta Webster le démontre clairement dans son ouvrage "World Revolution : Plot Against Civilization" (La révolution mondiale, complot contre la civilisation), écrit en 1921.
Regardons de plus près cette philosophie qui est à la fois celle des Maîtres des Illuminati et du Communisme. En voici les dogmes essentiels :
- L’homme est foncièrement, intrinsèquement bon.
- Tous les problèmes de l’homme sont imputables à un environnement défectueux. Par conséquent, il suffit de modifier cet environnement pour remédier aux problèmes des hommes. (Note : C’est au nom de cette doctrine qu’on a massacré 200 millions de personnes depuis 1917. En effet, le moyen le plus simple de modifier l'environnement est de tuer tous ceux qui résistent à l’instauration de l’ordre nouveau. Cette doctrine est essentielle aussi pour les adeptes du Nouvel Age, celui de l'Antichrist. Les quatre cavaliers de l’Apocalypse n’approchent-ils pas au galop ?)
- La raison humaine est la référence suprême ; si on l’affranchit des dogmes religieux, elle sera en mesure d’instaurer un "paradis" sur la terre.
- Ces objectifs admirables justifient tous les moyens qui s’avéreront nécessaires pour les atteindre. Même le massacre de populations entières se justifie s’il permet l’avancement de cette noble cause.
C’est donc un fait avéré : les Maîtres des Illuminati ont bien créé le Communisme afin de susciter l’Antithèse exacte du capitalisme occidental. Quand Karl Marx et Friedrich Engels ont publié le Manifeste Communiste en 1848, les conditions politiques étaient dorénavant réunies pour commencer le conflit entre la Thèse et l'Antithèse. D’ailleurs, les capitalistes occidentaux étaient disposés à financer ce nouveau système autant qu’il le faudrait, afin de promouvoir la Synthèse tant désirée, le Nouvel Ordre Mondial. En 1911, un numéro du quotidien Le St. Louis Dispatch (alors que le Tsar était encore au pouvoir en Russie, et que le Communisme n’existait qu’à l’état de théorie) montre
Karl Marx déambulant dans les environs de Wall Street, avec, sous le bras gauche, sa thèse sur le Socialisme, qu’on appelle aujourd’hui Communisme. Tout au fond on aperçoit l’Empire State Building. Une foule en liesse acclame Marx, et G. Perkins, l’associé de J.P. Morgan, lui serre la main avec effusion. Derrière Marx, la main tendue, se tient Andrew Carnegie. Les milliardaires J.P. Morgan et John D. Rockefeller attendent leur tour de serrer la main de Marx. Juste derrière Marx et Perkins se tient Théodore Roosevelt.
Ce dessin ne faisait que représenter correctement pour quelle raison ces capitalistes occidentaux soutenaient avec enthousiasme le Communisme de Karl Marx. Pourquoi donc ? Parce qu'ils venaient de créer la parfaite Antithèse à la Thèse occidentale, ce qui allait enfin permettre l’émergence de leur système hybride, la Synthèse, mieux connue sous le nom de " Nouvel Ordre Mondial ".
Cette Synthèse devait être un système planifié comme une économie fasciste. Les moyens de production et de distribution de tous les biens devaient être contrôlés par l'industrie privée. Mais c'est le Gouvernement qui devait contrôler la répartition des tâches entre les sociétés privées, et la quantité des biens produits. Pour que ce nouveau système favorise le secteur industriel privé, il importait qu’à la tête du gouvernement on place un homme d’affaires. Le nouveau système des affaires sera source de bénéfices phénoménaux, pour plusieurs raisons :
- La concurrence, dans le domaine économique, doit être complètement supprimée. Par exemple, au lieu d’une douzaine de fabricants d’automobiles dans le monde, il ne doit y en avoir qu'un seul.
- Un gouvernement planétaire ne doit jamais permettre à un dirigeant politique local de saisir les avoirs d’une multinationale, comme les Arabes ont saisi en 1972 et 1973 les avoirs des multinationales du pétrole sur leurs territoires, perte qui s’est chiffrée en milliards de dollars.
- Un gouvernement mondial doit garantir la paix, sans laquelle les affaires ne peuvent prospérer. Mais ce sera aux dépens des libertés individuelles. Aucun dirigeant du Nouvel Ordre Mondial ne se soucie le moins du monde des libertés individuelles. La paix mondiale doit engraisser les profits.
N’oublions pas les paroles de Paul dans 1 Timothée 6 :10 : "L’amour de l’argent est une racine de tous les maux." Sous le règne de l’Antichrist, l’impiété atteindra son comble. Rien d’étonnant, donc, si les profits financiers atteignent également leur comble à ce moment-là.
Revenons au début du XXe siècle. Pour que ce concept puisse être appliqué avec succès, il fallait que le gouvernement d'une grande nation soit renversé, pour être remplacé par un gouvernement communiste qui incarnerait l'Antithèse. Puisque les Etats-Unis étaient, à n’en pas douter, à la tête des nations représentant la Thèse (le capitalisme), il fallait que la nation phare de l’Antithèse fût dotée également de vastes territoires, d’une population nombreuse, et de ressources naturelles. Les meneurs de l’Ordre Mondial décidèrent, peu après 1900, que la Russie était tout indiquée. Lénine reçut de l'Occident un flot constant de ressources financières destinées au renversement du régime tsariste. Nesta Webster démontre que les Illuminati utilisèrent les autorités allemandes pour soutenir la révolution léniniste. Une fois les communistes au pouvoir, ce fut le soutien politique et financier de l’Occident qui évita au pouvoir communiste de s’effondrer en raison de ses failles et de ses incohérences grossières.
Après la prise de pouvoir par les communistes en Russie, on passa à la phase suivante du Plan, le conflit incessant entre l'Amérique et la Russie, sans toutefois que l’un des adversaires ne remportât de victoire militaire sur l’autre. Après la deuxième guerre mondiale, la Russie accéda au statut de super-puissance, grâce à l'aide occidentale. Les relations entre l’Amérique (la Thèse) et la Russie (l’Antithèse) ne furent qu’une succession de crises. Mais maintenant que l’heure de la Synthèse a sonné, les dirigeants du Communisme participent au projet de création du Nouvel Ordre Mondial et militent loyalement dans ce sens.
Ce scénario s'écarte tellement des idées reçues que vous pouvez demeurer incrédule, même si vous êtes choqué. Permettez-moi toutefois de vous citer une déclaration d'Alice Bailey, écrivant sous la dictée de son esprit guide. Elle déclare dans son ouvrage "L’Extériorisation de la Hiérarchie" qu’à Yalta, en 1944, "trois hommes formant un triangle se rencontrèrent dans la bonne volonté envers tous, et s’efforcèrent de poser les fondements des événements à venir dans le monde"
Quels ont été les participants de cette Conférence de Yalta, au cours de laquelle les puissances occidentales ont accordé aux Russes d'incroyables concessions ? Il s’agissait du Président américain Franklin Roosevelt, du Premier Ministre britannique Winston Churchill, et du dictateur communiste de Russie Joseph Staline.
L'esprit guide d'Alice Bailey avait déclaré que ces trois hommes étaient trois dirigeants mondiaux qui s'efforçaient conjointement de faire entrer le monde dans le Plan du Nouvel Ordre Mondial !
On voit là le lien qui relie le communisme au Mouvement du Nouvel Age, en passant par la Société de Théosophie fondée par Madame Blavatsky en 1875. C'est pour cette raison que l'on voit Gorbatchev, depuis 1986, employer régulièrement la terminologie habituelle du Nouvel Age !
La chronologie du Nouvel Ordre Mondial s’établit comme suit :
1776 : Création des Maîtres des Illuminati, avec leur vision du Nouvel Ordre Mondial.
1823 : Théorie de Hegel : "Thèse + Antithèse = Synthèse".
1848 : Création par Karl Marx du communisme, parfaite Antithèse du capitalisme.
1875 : Création du Mouvement du Nouvel Age, appelé à l'époque Société de Théosophie (Société secrète).
1917 : Le communisme devient le système de gouvernement de la Russie. Mise en place de l’Antithèse à la Thèse occidentale, dont l’Amérique était le leader.
1917-1945 : Les puissances occidentales aident l’URSS à acquérir le statut de superpuissance.
1945-1989 : L’URSS entretient un conflit potentiel avec les USA, exploitant en particulier la menace de la guerre nucléaire. En fait, le conflit n’éclate pas.
1975 : Les esprits guides ordonnent à la Société de Théosophie de se manifester au grand jour, et d’adopter à présent le nom de "Mouvement du Nouvel Age".
1990 : Le Président George H. Bush fait publiquement mention du "Nouvel Ordre Mondial" au mois d’août suivant l’invasion du Koweït par l’Irak.
1990 : Le communisme change d’habit pour s’aligner sur le Nouvel Age, et entame son auto-dissolution planifiée.
D’ici peu, Orient et Occident vont fusionner, les USA et la Russie mettront en place un Gouvernement Mondial unifié, grâce à l’ONU.
Nous voyons à présent le sens de cette déclaration si révélatrice de Gorbatchev : "Une alternative au capitalisme et au communisme est en train de poindre…" Si nous remplaçons dans sa déclaration "capitalisme" par "Thèse" et "communisme" par "Antithèse", il aurait dit : "Une alternative à la Thèse et à l'Antithèse est en train de poindre…" Quelle est donc cette alternative ? Tout simplement, le Nouvel Ordre Mondial ! Ce jour-là, Gorbatchev a presque lâché le morceau. En fait, il envoyait sans doute un signal à tous les initiés, à tous les adeptes des sociétés secrètes du monde entier, comme pour dire : "Patientez encore un peu, car le Plan est en bonne voie et sur le point d’aboutir…"
La dissolution de l’URSS n’est donc pas à mettre sur le compte des aléas de l’histoire ni de la politique du Président Reagan. Cela fait tout simplement partie du Plan ! Alors que le monde se prépare à s’unir sous la bannière du Nouvel Ordre Mondial, il faut maintenant que l’un des protagonistes disparaisse, que le rideau tombe sur l’interminable conflit qui a fait l’objet de la mise en scène, car on entre à présent dans la Synthèse.
Dans notre précédent article, nous avons montré que l’ALENA constituait la première Super Nation dans le plan du Nouvel Ordre Mondial, le monde devant être restructuré pour former 10 unités supranationales, d’abord sur le plan économique, ensuite sur le plan politique. Un ouvrage publié en 1974 fait référence à ce plan concernant les dix Super Nations. Il s’intitule "Mankind at the Turning Point" (L’Humanité au Grand Virage). La Super Nation N° 5 y était appelée : "L’Europe de l’Est, y compris la Russie." Mais en 1974 la Russie n’était qu’une province de l’URSS ! Et l’URSS était alors une superpuissance. Le respect du protocole aurait exigé que la Super Nation N° 5 s’appelle : "L’URSS, y compris l’Europe de l’Est". Pourquoi donc avoir mis : "la Russie" ? Tout simplement parce que les auteurs du livre, adeptes du Nouvel Age, connaissaient bien le Plan. Ils ont donc utilisé le terme qui ne devait effectivement être employé qu'environ 20 ans plus tard.
Chers amis chrétiens, la Bible tout entière nous apprend que depuis le commencement Lucifer tente d’arracher à Dieu le contrôle du monde et de se faire adorer comme s’il était Dieu. Les prophéties bibliques des deux Testaments annoncent clairement que Satan va manipuler les hommes et les nations, susciter des complots dans les ténèbres, et réorganiser le monde pour former 10 Super Nations, œuvrant au travers de tout ce qui est "impudent et artificieux", (littéralement : "des paroles des ténèbres", c'est-à-dire de la sorcellerie). Leur travail terminé, ces hommes remettront tout simplement le monde à l’Antichrist. Tout cela correspond exactement à l’action des adeptes du Nouvel Age, et au Plan pour le Nouvel Ordre Mondial.
"Et Hitler dans tout cela ?" demanderez-vous peut-être. Son projet, qu’il appelait aussi "Nouvel Ordre Mondial", était de même nature que le Plan actuel. Son système de gouvernement correspondait exactement à celui qui doit être mis en place avec le Nouvel Ordre Mondial, et il se considérait comme l’Antichrist. Pourtant, tout l’Occident, représenté par les Alliés, s’est retourné violemment contre lui, le détruisant avec son "Ordre Mondial" nouveau-né. Et les principaux responsables économiques et politiques l’avaient activement soutenu et généreusement financé, par l’intermédiaire de la Suisse, restée " neutre ". Pourquoi donc ?
C’était clair ! Ils projettent d’établir leur Nouvel Ordre à l’échelle de la planète. Il était donc parfaitement logique de mener une expérience préliminaire sur une échelle restreinte, afin d’étudier les diverses modalités d’application et de mettre au point des solutions à toutes les difficultés susceptibles de se présenter. Alors, quand l’Antichrist véritable se lèvera, il pourra établir son système en toute tranquillité. L’économie fasciste hitlérienne a correctement fonctionné, mais Hitler a dû lui apporter plusieurs modifications en cours de route. Il a établi efficacement sa dictature sur l’Allemagne et appris à anéantir ses ennemis. Il a remporté également un succès spirituel en tant que grand prêtre d’une religion ouvertement sataniste, hypnotisant des millions d’Allemands et les transformant en adeptes fanatiques.
Aujourd’hui les Illuminati savent que leur système est viable et projettent en toute confiance de l’étendre au monde entier. Hitler ne se doutait pas du rôle qui lui avait été réellement dévolu. Il ne savait pas qu’il était utilisé, et qu’on le détruirait une fois sa mission terminée. Ne permettez à personne de vous séduire, de vous leurrer.