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WWIII : Le Risque de Guerre Nucléaire est au plus haut, car il faut impérativement détruire les Puissances Nucléaires qui risquent de porter préjudice aux Puissances Nucléaires incontestées comme les USA. Depuis quelques années les USA déposent des arsenaux Nucléaires autour de la Russie et la Chine.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Le Risque de Guerre Nucléaire est au plus haut, car il faut impérativement détruire les Puissances Nucléaires qui risquent de porter préjudice aux Puissances Nucléaires incontestées comme les USA. Depuis quelques années les USA déposent des arsenaux Nucléaires autour de la Russie et la Chine. Les autorités US, surtout, Donald Trump ne cessent de menacer la Corée du Nord. Elles disent que toutes les options sont sur la table. Donald Trump estime que négocier avec la Corée du Nord est une perte de temps. Cela dit, il y a ceux parmi les analystes politiques qui disent que c'est la Chine qui est plutôt visée. Rôle d'Israël dans le cataclysme à venir en fin de page.

Éloge de Cassandre

Ou trois bonnes raisons de parler dans le vide, envers et contre tout !


Par Eric Werner – Le 1er octobre 2017 – Source antipresse.net

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On s’interroge souvent sur l’utilité des conseils. Alfred de Vigny disait : « L’expérience seule et le raisonnement qui sort de nos propres réflexions peuvent nous instruire. » 1. Les conseils aussi bien écrits que parlés ne servent donc à rien. Seule l’expérience nous instruit, articulée à la réflexion personnelle.

C’est le problème de Cassandre, mais pas seulement de Cassandre : de tous ceux, plus généralement encore, s’employant à dire la réalité. Ils la disent donc, mais personne ne les entend, ni seulement même, bien souvent, ne les écoute. Ils parlent donc dans le vide. Parfois aussi ils sont victimes de pogroms, de dénonciations publiques (dans les médias officiels, les réseaux sociaux, etc.).

À quoi bon, dès lors, parler, écrire, enseigner ? Autant se taire, rester à l’écart. Les gens ne veulent pas nous entendre ? Très bien, qu’ils fassent eux-mêmes leurs expériences. Elles risquent d’être douloureuses, mais après tout c’est leur choix. En temps voulu, on pensera à leur tendre un kleenex : les larmes, cela se sèche. Plus du Merfen en grande quantité pour désinfecter les plaies. La meilleure école de vie, c’est encore la réalité.

Car l’homme est ainsi fait qu’il vit au jour le jour. C’est ce que relevait déjà Platon. Mangeons et buvons, car demain nous mourrons. Les nuages ont beau s’accumuler à l’horizon, les gens préfèrent regarder ailleurs, penser à autre chose. Ils parlent de la parité hommes-femmes, du prochain remaniement ministériel, etc. Les avertissements ne leur font pourtant pas défaut : attention, vous courez à l’abîme. Des livres se publient : sur le changement climatique, l’immigration, l’islam, la mondialisation, etc. Oui, c’est intéressant. On en discute un moment. Il faut vraiment que l’orage éclate pour que les gens commencent à s’inquiéter. Et même. Ce n’est pas un orage, juste une légère brise. Attendons que cela se calme. Etc.

Alors que faire ?

À mon avis, continuer quand même. Et cela pour au moins trois raisons. D’abord parce qu’on se le doit à soi-même. « Fais ce que dois, advienne que pourra ». C’est la formule kantienne, elle est directement ici applicable. Ensuite, parce que parler, écrire, publier, c’est toujours, malgré tout, semer des graines. La plupart du temps, les graines se perdent, elles ne prennent pas racine. Mais parfois aussi, quand même, elles prennent racine. C’est rare mais cela arrive. Les enseignants le savent bien. On ne sait jamais ce que devient une parole une fois qu’elle a été articulée. Elle peut très bien se perdre. Mais parfois aussi faire son chemin. En ce sens, on ne parle jamais pour rien. C’est une erreur que de le penser.

Enfin il y a une troisième raison, la plus importante peut-être. Elle est en rapport avec la vertu d’espérance. Il faut l’entendre au sens large. Peu de place, aujourd’hui, est laissée à la vertu d’espérance. On sait plus ou moins vers quoi l’on va. C’est un avenir assez sinistre. On voit mal, en plus, ce qu’on pourrait faire pour se mettre en travers. C’est un rouleau compresseur. Et donc on se dit : « Pesé, compté, divisé ». Beaucoup de gens sont sur cette ligne. Eux ne fuient pas la réalité. Ils la regardent au contraire bien en face. Ils ne disent pas non plus : « Mangeons et buvons, car demain nous mourrons ». En règle générale, ils mènent des vies dignes. Mais ils se disent aussi : à quoi bon ? Pour quoi faire ? Comme il n’y a plus rien à faire (parce que cela ne sert à rien), le mieux encore est de ne rien faire. De laisser les choses se faire. C’est ce qu’ils se disent.

Sauf qu’en adoptant une telle attitude on contribue à renforcer un peu plus encore le rouleau compresseur. On ne dira pas ici qu’il n’y a pas de rouleau compresseur. Le rouleau compresseur existe. En sous-estimer la force serait une erreur. Mais le défaitisme à son endroit n’est pas non plus la bonne attitude. On voit bien l’intérêt qu’ont les dirigeants à laisser croire le contraire. Toute leur communication, on le sait, tourne autour de ça. À les en croire, l’histoire est écrite d’avance. Elle est écrite d’avance, et donc, les choses se feront. Elles se feront de toute manière, que cela vous plaise ou non. Vous aurez beau faire, vous ne les empêcherez pas. Tel est le message. Or, bien évidemment, l’histoire n’est jamais écrite d’avance : ce sont les hommes qui font l’histoire (même s’ils ne savent pas toujours l’histoire qu’ils font).

Et surtout, il y a l’espérance. C’est quelque chose de très ancré en l’homme. L’homme est ainsi fait qu’il ne peut jamais complètement se dire : il n’y a pas d’issue, tout est verrouillé. Des situations sans issue, il en existe parfois. Effectivement, tout est verrouillé. C’est ce qu’on constate. Pour autant, il est contraire à l’être profond de l’homme de dire (et de se dire) : il n’y a plus rien à faire. Il peut certes le dire (beaucoup le disent), mais s’il le dit, ce sera toujours en forçant quelque peu sa nature, en se faisant violence à lui-même. Même si, objectivement parlant, la situation est sans issue, réellement sans issue, l’homme, pour autant qu’il s’écoute lui-même, ne se lassera jamais de chercher quand même une issue. Donc, comme Cassandre, de parler, d’écrire et de publier. Il y a une dynamique, en l’homme, qui fait qu’il ne se résignera jamais à rien. A une vie d’esclave moins encore qu’à aucune autre.

 

Aujourd'hui il est impossible de savoir qui lance un missile à partir d'un sous-marin nucléaire, d'un poste mobile, d'un satellite , d'une fosse marine entièrement automatisée, et chacun peut attribuer à l'autre, le début d'un conflit majeur. Les systèmes d'interception de missiles marchent une fois sur trois, et sont sans effet sur les missiles hypersoniques qui volent à plus de 5000 km/h.

Préparez-vous à vous isoler au moins un mois sous terre, avec des vivres, des médicaments, de l'eau, un générateur électrique qui peut-être une source d'oxygène ou des plantes en milieu hydroponique sous lumière de croissance, des combinaisons NBC, des armes contre le pillage, et la guerre civile, car le gouvernement ne vous offrira aucune aide, comme les gouvernements de Russie, de Suisse, qui proposent à tous des abris nucléaires, et dans une moindre mesure les USA, les pays nordiques, la Corée du Nord.

Quelque 300 000 bunkers parsèment le sous-sol de la Confédération helvétique. Utiles en cas d’attaque atomique, ils n’offrent aucune protection adaptée en cas d’accident nucléaire, estiment les Verts. Mieux vaut opter pour une sortie rapide du nucléaire (qui ne se fera que par le haut, l'âge de pierre). 

Ceux qui ne veulent pas d’une pièce vide chez eux s’en servent de débarras, d’atelier ou de remise à outils. En Suisse, avoir un abri antiatomique chez soi est aussi banal que posséder un salon ou un garage. “Les abris font partie de notre identité”, explique Silvia Berger, aujourd’hui historienne et spécialiste de cette tradition suisse. En Suisse, la peur se mesure au mètre carré : la confédération helvétique compte plus de 300 000 abris sur son territoire, soit près de 8,6 millions de places pour un pays de 7,6 millions d’habitants. Et ça n’est pas prêt de s’arrêter là.

Le 9 mars, vingt ans après la fin de la guerre froide, le Conseil fédéral mettait pourtant fin à l’obligation de posséder un abri. Deux jours plus tard, un tsunami détruisait la centrale nucléaire de Fukushima. Une vague d’inquiétude s’est alors emparé du pays et le parlement revint sur sa décision. Tandis que le gouvernement allemand se pressait de sortir du nucléaire, le Conseil fédéral suisse ordonnait non seulement le maintien mais également la construction de nouveaux abris. Ainsi survit une étrange tradition.

Demander à un Suisse s’il possède un abri antiatomique revient à peu près à lui demander s’il respire de l’air. Evidemment ! Les abris font partie de l’identité suisse au même titre que le fromage, les montres et le chocolat. Il y en a dans toutes les villes. Il en existe des petits, discrètement cachés dans la cave d’une maison familiale, et des grands, véritables forteresses de montagne proposant des centaines de places. Tous répondent à de strictes normes de sécurité : les portes blindées sont obligatoires, de même que des murs en béton d’au moins 50 centimètres d’épaisseur. Certains sont confortables, mais la plupart se contentent de murs nus, d’une lumière au néon et de conduits d’aération au sol ainsi que de lits superposés métalliques de l’armée. L’abri antiatomique n’a pourtant pas de connotation négative pour la plupart des Suisses. “Pour des Allemands, ce mot évoque la guerre et le retranchement. Les Suisses, eux, aiment les espaces souterrains, au moins depuis la construction du tunnel du Gothard”, explique Silvia Berger.

Un abri antiatomique au fond de votre jardin

Illustration représentant une famille dans leur abri antiatomique, équipé d'un compteur Geiger, périscope, filtre à air, etc., au début des années 1960. Pictorial Parade/Getty Images

On pensait l’abri inutile depuis la fin de la guerre froide. Il pourrait pourtant séduire beaucoup de Français angoissés par le nucléaire civil…

En France, pays du nucléaire civil, 58 réacteurs sont en service, répartis dans 19 centrales. La plupart date des années 1980, soit quarante années de fonctionnement. En théorie, ils approchent donc de leur fin de vie, et l’on dénombrerait seulement 600 abris militaires et 300 à 400 équivalents privés. Soit environ 1.000 abris pour 66,6 millions d’habitants. Le "taux de protection nucléaire" de la population serait ainsi proche de 0 %...

Extrêmes franco-suisses

Ce taux est de 40 % en Norvège et en Allemagne, de 50% aux Etats-Unis, de 70 % en Chine, en Suède et en Russie. Il avoisinerait les 100 % en Israël et, en Suisse, il est de 104 % ! Il faut dire que notre voisin a imposé leur construction par la loi, en 1963. Bien que cette installation ne soit plus obligatoire de nos jours, s’en dispenser implique le versement d’une taxe. De plus, sa fabrication reste soutenue par une aide gouvernementale… Pas étonnant dès lors que nos voisins helvètes soient les mieux couverts au monde en cas de guerre ou de catastrophe : la Confédération compterait entre 300.000 et 400.000 bunkers privés et publics capables d’accueillir plus de 8,6 millions d’individus.

Avec le terrorisme, la Turquie dans sa base d'Incirlik, a perdu une vingtaine d'ogive nucléaires américaines. Elle ne sont pas bien protégées, et le feu ravage régulièrement ces bases.

Le ministère russe de la Défense repère chaque semaine plusieurs avions de l'Otan qui opèrent des vols de renseignement près des frontières russes. L'expert militaire Dmitri Drozdenko a estimé dans une interview à Sputnik qu'une telle activité franchissait les bornes du raisonnable et faisait penser à l'époque de la guerre froide.

Au cours de cette semaine, 17 avions ont été repérés près des frontières russes dont 15 ont mené des opérations de reconnaissance aérienne sur l'axe stratégique Ouest et deux dans l'Arctique, annonce le quotidien du ministère russe de la Défense, Krasnaïa Zvezda.

En outre, un avion de reconnaissance étranger a été intercepté par les chasseurs des Forces aérospatiales russes.

L'expert militaire Dmitri Drozdenko a commenté pour Sputnik cette activité militaire qui fait ressusciter le spectre de la guerre froide.

«S'il s'agissait de l'époque de la guerre froide, je dirais que c'est une situation normale, mais actuellement le nombre de manœuvres de renseignement que les pays membres de l'Otan et surtout les États-Unis effectuent près de nos frontières dépasse toutes les limites raisonnables. Nous, par exemple, nous ne survolons pas le large de la côte de San Diego où se trouve l'une des plus grandes bases navales américaines. Effectivement, les États-Unis mènent une grande et sérieuse activité, parfois provocatrice, près de nos côtes», a-t-il souligné.

Auparavant, le ministère russe de la Défense avait annoncé que 58 avions étrangers avaient mené des opérations de reconnaissance aérienne le long des frontières de la Russie au cours de la semaine dernière.

Des responsables israéliens disent constater une augmentation du nombre des forces de la Résistance en Syrie et du coup, ils ont qualifié d’intolérable la présence des alliés de l’Iran, au voisinage d’Israël. La guerre contre l’Iran en Syrie serait inévitable, disent les autorités israéliennes.

Selon le média de la Résistance, Aalam al-Harbi, lors d’une récente visite en Palestine occupée, le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou a rencontré des autorités israéliennes et lors de ces rencontres, les responsables de Tel-Aviv auraient jugé inévitable la confrontation avec l’Iran en Syrie !

Les deux parties ont pourtant insisté sur le renforcement de la convergence entre Moscou et Tel-Aviv. Les autorités israéliennes ont déclaré à Sergueï Choïgou que Tel-Aviv accepterait que la Syrie soit placée sous la tutelle de Moscou, à condition que les intérêts et les lignes rouges israéliens soient pris en compte. Le régime israélien qui continue d’occuper les hauteurs du Golan a averti ainsi qu’il resterait exigeant en ce qui concerne les lignes rouges, ajoute Aalam al-Harbi.

Le risque d'une guerre nucléaire augmente

  • Le risque d'une guerre nucléaire augmente

L'ex-secrétaire à la Défense américain signale la menace d'une guerre nucléaire qu'il sera obligé de déclarer, non pas à cause du Polichinelle de Service KIM JONG UN, qui est sous perfusion de la Russie et de la Chine, mais bien contre la Russie, car une attaque contre ce va-t'en-guerre ne risque pas de produire beaucoup de dégâts en retour contre les USA.

Le facteur humain ou une défaillance du système d'alerte avancée pourrait provoquer une guerre nucléaire, a affirmé William Perry, ex-secrétaire à la Défense américain, qui constate que de nouveaux dangers relatifs à la prolifération nucléaire ont récemment surgi. Une guerre nucléaire pourrait être déclenchée par le facteur humain ou une défaillance du système d'alerte avancée, a déclaré ce lundi William Perry, ex-secrétaire à la Défense américain, en marge du Forum international de Luxembourg sur la prévention d'une catastrophe nucléaire.

«Dans le monde moderne, le risque d'une catastrophe nucléaire augmente grandement. L'une des raisons pour lesquelles un conflit nucléaire pourrait être déclenché est une erreur humaine ou une éventuelle défaillance du système d'alerte avancée des États-Unis et de la Russie», a-t-il indiqué.

William Perry a rappelé que trois erreurs de ce type avaient été enregistrées durant les années de la guerre froide et s'est arrêté sur deux d'entre elles: celle de 1979 aux États-Unis et celle de 1982 en URSS.

«En octobre 1979, j'ai été appelé par un général qui m'a informé du lancement de 200 missiles balistiques intercontinentaux à la fois et a précisé que c'était probablement une erreur. Nous avons vérifié notre système d'ordinateurs: tout fonctionnait. Il s'est avéré par la suite que l'opérateur avait introduit des données d'exercices et que celles-ci avaient été identifiées comme réelles par le système. Ce n'est que grâce au président qu'il a été possible d'éviter une guerre nucléaire. La décision a été prise en l'espace d'une dizaine de minutes», a-t-il poursuivi. Il a ajouté qu'un cas identique s'était produit en URSS en 1982, mais que le pire avait également pu être évité.

William Perry s'est déclaré «profondément inquiet» face à l'état actuel des relations russo-américaines, rejetant dans une certaine mesure la responsabilité sur Washington. Il a rappelé que lui-même n'avait pas soutenu l'élargissement de l'Otan ni le déploiement du bouclier antimissile américain en Europe.

Il a noté que la Russie était «l'unique pays capable de porter préjudice aux Etats-Unis, ce qui la rend d'office la nation à abattre».

«Aurions-nous oublié les coûts de la course aux armements dans le secteur nucléaire?», a-t-il lancé.

William Perry a également cité trois nouveaux dangers relatifs à la prolifération nucléaire, qui n'existaient durant la guerre froide: le terrorisme nucléaire, l'éventualité d'une guerre nucléaire régionale entre l'Inde et le Pakistan et un éventuel conflit avec la participation de la Corée du Nord. Bien qu'il ne soit plus dans le coup actuellement, il constate que le seul moyen d'échapper à la menace nucléaire sur son sol, c'est de détruire toutes les menaces existantes de façon préventive.

Corée : Londres se prépare à entrer en guerre

Corée : Londres se prépare à entrer en guerre

Le journal Daily Mail vient de révéler que Londres dessine en ce moment des plans de bataille pour se joindre à l'éventuelle guerre américaine contre la Corée du Nord et qu'il pourrait ainsi envoyer prochainement dans la péninsule coréenne, le nouveau porte-avions HMS Queen Elizabeth.

Un responsable du gouvernement britannique a en effet déclaré à Daily Mail : " Nous avons beaucoup de navires à envoyer; des destroyers de type 45, des frégates de combat de type 23 et en cas de besoin, le tout dernier porte-avions britannique sera également utilisé."

Une source de la marine britannique a rapporté aussi au journal : "À Falkland, nous devions réagir vite face à l'incident et c'est ainsi que le porte-avions HMS Illustrious est entré immédiatement en action. Il s'agissait d'une action urgente pour préserver le territoire britannique. Dans le cas présent (Corée du Nord), la Grande-Bretagne fera partie d'une alliance mondiale et nous fournirons tout support que nous pouvons fournir."

Le ministre britannique de la Défense, Michael Fallon a annoncé il y a peu que le Royaume-Uni a besoin d'accroître son budget-défense pour faire face aux menaces comme celle venant de la Corée du Nord. Le mois dernier, Fallon avait déclaré à BBC que le Royaume-Uni se trouvait sur la trajectoire des missiles nucléaires à longue portée de la Corée du Nord en indiquant :" l'Amérique est complètement engagée à défendre son territoire, ses bases et son peuple. Mais cette question nous concerne aussi parce que Londres est bien plus proche [d'un point de vue géographique] de la Corée du Nord et de ses missiles que Los Angeles."

Mon Oct 9, 2017 06:44PM
US Defense Secretary James Mattis delivers a keynote address during the Association of the United States Army's annual meeting and exposition at the Washington Convention Center, on October 9, 2017, in Washington, DC. (Photo by AFP)
US Defense Secretary James Mattis delivers a keynote address during the Association of the United States Army's annual meeting and exposition at the Washington Convention Center, on October 9, 2017, in Washington, DC. (Photo by AFP)

US Defense Secretary James Mattis has said that the United States Army “must stand ready” in the face of a North Korean threat in case a “diplomatically led” solution with the country does not work.

“It is right now a diplomatically led, economic sanctions-buttressed effort to try to turn North Korea off of this path,” Mattis said on Monday while speaking at the Association of the United States Army’s annual meeting in Washington, DC.

“What does the future hold? Neither you nor I can say, so there is one thing the US Army can do. And that is you have to be ready to ensure that we have military options that our president can deploy if needed,” he stated.

Mattis’s remarks come as tensions between the United States and North Korea are at a new high following Donald Trump’s United Nations General Assembly address in September, where the US president warned  the North Korean leader that the US would “totally destroy” his country of 26 million people if necessary.

In response, Kim said Trump will “pay dearly” for threatening to destroy North Korea. He added that Trump is "a rogue and a gangster fond of playing with fire," who is "unfit to hold the prerogative of supreme command of a country."

Meanwhile, Mattis said that war with North Korea would be “catastrophic.”

“What we want to do is be so ready and be very much aware that we fight the way we come, that everybody in the world wants to deal with Secretary [Rex] Tillerson and the Department of State, not the Department of Defense and the United States Army,” the former Marine Corps general said.

North Korea has conducted several nuclear tests and missile test-launches in response to US threats against the country.

The North Korean leader ordered the production of more rocket warheads and engines in August, shortly after the United States suggested that its threats of military action and sanctions were having an impact on Pyongyang’s behavior.

Pyongyang says it will not give up on its nuclear deterrence unless Washington ends its hostile policy toward the country and dissolves the US-led UN command in South Korea. Thousands of US soldiers are stationed in South Korea and Japan.

Analysts say the Trump administration’s threats against North Korea are counterproductive and justify Pyongyang's nuclear weapons and missile programs that it insists are for self-defense. They say the threats could have an opposite effect, intensifying the deteriorating situation in the Korean Peninsula.

Rôle d’Israël dans le cataclysme à venir

israel_armageddon
Grâce à un article de Foreign Policy écrit par Jonathan Spyer, le squelette a fini par sortir du placard du printemps arabe. Israël est en guerre pour dominer totalement le Moyen-Orient et, selon le chercheur principal de Global Research in International Affairs Center (Rubin Center) et le chroniqueur du Jerusalem Post, Tel-Aviv est sur le point de s’engager en Syrie pour affronter l’Iran.

Tout ce que je puis dire, c’est que si le directeur de l’un des centres de recherche israéliens situés à l’Interdisciplinary Center a raison, il se pourrait que le coup d’envoi de l’Armageddon soit imminent. Depuis quelques mois, mes recherches et articles sur la Syrie et les crises plus larges dans les affaires mondiales, tournent autour du rôle d’Israël.

C’est pourquoi, avec cette révélation, il paraît évident qu’on ne prendra plus de gants là où Israël instigue des crises. La réunion de Netanyahou et Trump à Washington, le rôle de l’AIPAC faisant pression pour des sanctions contre la Russie, l’Iran et la Corée du Nord, et le rôle géostratégique provocateur joué par le gouvernement Netanyahou, sont des preuves indirectes écrasantes de la responsabilité de la minuscule nation dans le chaos au Moyen-Orient. Voici une citation de Spyer :
Pensant que l’Iran gagne la compétition pour la domination du Moyen-Orient, des responsables israéliens se mobilisent pour contrecarrer le réalignement régional qui menace de suivre. Le but de la campagne militaire et diplomatique d’Israël est la Syrie.

De mon point de vue, je ne puis décider quelle incidence de cette information fait le plus peur : Le fait évident que les principaux analystes israéliens ne se soucient guère de l’opinion publique ; ou bien la possibilité que l’Israël nucléaire s’oppose vraiment à l’Iran.

L’article de Foreign Policy révèle aussi les motifs ayant poussé les Israéliens à fomenter des incidents internationaux.
Par exemple, dans l’épisode psychotique initial avec les Etats-Unis, à propos des armes chimiques que le gouvernement Assad était censé avoir utilisé contre son propre peuple, les « craintes envers ces armes » n’avaient rien à voir avec les Syriens.
Spyer relève en particulier les opérations israéliennes contre les installations d’armes chimiques à Masyaf. Soyons réaliste, Israël ne lance pas des raids aériens pour sauver des Arabes en danger.
Mais le cuisant problème du régime israélien n’est plus Assad. Comme avec l’aide russe et iranienne, l’armée syrienne a presque éradiqué l’État islamique, Tel-Aviv s’inquiète des répercussions de sa pagaille en Syrie. Et de ses précieuses hauteurs du Golan. Citons à nouveau Foreign Policy :

Les forces iraniennes restent désormais présentes à proximité ou en face de la partie du plateau du Golan contrôlée par Israël et du passage de Quneitra qui la sépare de la partie de territoire contrôlée par la Syrie. Tout au long de la guerre en Syrie, Israël a remarqué le désir des Iraniens et de leurs clients du Hezbollah de faire de cette région une deuxième ligne de front active contre l’État juif, en plus du Sud-Liban.

L’expert israélien continue à prétendre que « la Syrie n’existe guère aujourd’hui », et proclame « maîtres » du pays déchiré par la guerre l’Iran et la Russie.

L’article de Foreign Policy expose en termes clairs, bien que l’auteur n’en ait pas l’intention, l’essentiel de la façon de voir les choses d’Israël et la stratégie qu’il déploie indifféremment contre ses ennemis et ses alliés. En montrant ce qu’Israël craint le plus, et en énumérant de manière convaincante les contrepoids géopolitiques et militaires de Tel-Aviv, Spyer trahit les intentions réelles d’Israël.

Voyez comment Israël travaille avec les rebelles en Syrie :
Israël a développé des relations de travail pragmatiques avec les groupes rebelles locaux qui contrôlent toujours à l’heure actuelle la plus grande partie de la frontière, comme le groupe Fursan al-Joulan. Cette coopération se focalise sur le traitement des combattants et des civils blessés, et fournit de l’aide humanitaire et financière. Il y a sans doute eu de l’assistance dans le domaine du renseignement, mais il n’a encore émergé aucune preuve d’approvisionnement direct en armes ni d’engagement direct des forces israéliennes pour le compte des rebelles.

Enfin, en examinant les articles et la propagande du site Internet du Rubin Center, on constate que le groupe israélien ne se focalise pas uniquement au niveau régional.

D’abord, nous trouvons ce type, Spyer, avec les yeux braqués sur l’Ukraine et la communauté juive qui s’y trouve, dans un article du Jerusalem Post qui dépeint les factions pro-russes comme des nazies. Ensuite, je trouve intéressant que le Caucase et la Géorgie soient abordés en profondeur. Un article de septembre 2014, intitulé « Sud-Caucase : Fiasco du nouveau départ d’Obama avec la Russie et doctrine de Poutine en pratique », écrit par Mahir Khalifa-zadeh (un vétéran de la mission de l’OSCE au Kosovo en 1999), révèle la géostratégie israélienne au cœur des calamités les plus lointaines.

Toute personne pragmatique pourrait maintenant poser cette question: « Israël a-t-il réinitialisé les relations entre les États-Unis et la Russie ? »
La réponse nous conduit vers de nouvelles idées à propos de « qui » est derrière la division actuelle entre l’Ouest et l’Est. Voici une citation de l’article :
Depuis 2009, sous le mandat du Président Barack Obama, les États-Unis ont appliqué une politique de «réinitialisation avec la Russie» promettant un nouveau départ à l’opposé des relations tendues antérieures. Mais cette politique n’a pas permis d’améliorer les intérêts étasuniens, en particulier dans la région Sud-Caucase, qui est stratégiquement importante pour la politique israélienne et étasunienne à l’égard du Grand Moyen-Orient et de l’espace post-soviétique.

Cet article de l’expert azerbaïdjanais aborde la sécurité énergétique des États-Unis et d’Israël, qui renvoie aussi au principal catalyseur des crises dans ces régions. Nous ne lisons et n’entendons pas souvent parler du fameux contrat du siècle entre l’Azerbaïdjan et les gros poids lourds occidentaux, mais cette citation cadre bien la question :

La découverte dans cette région des gisements pétroliers azéris, Chirag et Guneshli, a considérablement encouragé la politique et la diplomatie étasuniennes à faire de la région une importante source d’énergie non moyen-orientale. Les immenses réserves de pétrole et de gaz azéries ont aussi soulevé le problème des routes d’acheminement de l’énergie contournant la Russie.

Court-circuitant la Russie et l’Iran, réduisant la Syrie à un terminal de fourniture d’énergie, anéantissant tout semblant de résistance à la puissance israélienne dans la région, consolidant la domination des États-Unis dans le système mondial, ces accords et stratégies montrent les compromis à l’origine des énormes crises. Et les sionistes qui dirigent Israël sont au beau milieu de tout cela. Ce n’est plus discutable. Il reste la question : « Que pouvons-nous y faire ? »

La réponse à la question n’est pas positive, car à l’Ouest le jeu est singulièrement pipé. Les citoyens sont soit absorbés par les crises locales, soit ignorants et apathiques à l’égard de la géopolitique mondiale. Bref, nous ne sommes pas prêts de faire quelque chose. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous voyons des magazines mondialistes, comme Foreign Policy, et même des politiciens de premier plan, qui n’ont pas peur d’étaler les plans au grand jour.
Ces révélations sous nos yeux sont la conséquence de notre propre indifférence, et pour les gens, les solutions aux abus israéliens ou étasuniens ne sont pas faciles à accepter.

En ce qui concerne Tel-Aviv, la force est la seule médiation qui attire son attention. À mon avis, jusqu’à ce que la communauté internationale (ou peut-être la Russie) remette Israël à sa place (et durement), ces crises ne feront que s’amplifier.
Israël a joué le rôle clé dans le printemps arabe et dans le changement de régime visant Assad et la Syrie. En conséquence, des millions de gens sont maintenant déplacés ou pire. Il est grand temps pour ces autocrates sionistes, de faire face aux conséquences. Autrement, ce sera un cataclysme.

par Phil Butler : chercheur politique et analyste, politologue et expert en Europe de l’Est, exclusivement pour le magazine en ligne New Eastern Outlook.

Source : journal New Eastern Outlook; Traduction Réseau international

L'USS Michigan (SSGN-727)
Le sous-marin nucléaire US Michigan met le cap vers la péninsule coréenne
© AP Photo/ Jun Dumaguing International
URL courte 161663724

Sur fond de tensions extrêmes entre Pyongyang et Washington, le sous-marin nucléaire américain Michigan (SSGN-727) entrerait dans le port de Busan, en Corée du Sud, d’ici la fin de la semaine, annonce le journal sud-coréen Chosun Ilbo.

L'USS Michigan de l'US Navy aurait été dirigé vers le port de Busan, dans le sud-est de la Corée du Sud, déclare le quotidien sud-coréen Chosun Ilbo se référant à ses sources militaires. 

USS Ronald Reagan

Selon le média, un groupe d'attaque composé de navires de guerre américains conduit par le porte-avions USS Ronald Reagan sera envoyé dans la péninsule coréenne la semaine prochaine, comme mesure préventive en cas de nouveaux essais de missiles balistiques en Corée du Nord.

Le sous-marin Michigan est équipé de 154 missiles Tomahawk qui peuvent réaliser «une frappe sur les sites nucléaires et de missiles de la Corée du Nord et du palais de Kim Jong-un», note le journal.

Le Chosun Ilbo suggère que le séjour du sous-marin nucléaire à Busan serait un signal d'avertissement de l'administration de Donald Trump à l'encontre les autorités nord-coréennes.

«À partir de la semaine prochaine, le sous-marin SSGN-727 fera preuve d'une ferme détermination à repousser les provocations de missiles nucléaires en Corée du Nord conjointement avec un groupe opérationnel des porte-avions nucléaires qui conduiront des exercices militaires américano-sud-coréens en mer, au large des côtes de la péninsule coréenne», indique le journal citant une source militaire.

Les informations du Chosun Ilbo confirment les paroles d'un fonctionnaire de la Défense sud-coréen qui avait annoncé qu'à la mi-octobre un groupe aéronaval de la marine américaine conduit par le porte-avions USS Ronald Reagan participerait à des manœuvres conjointes américano-sud-coréennes au large des côtes est de la Corée du Nord.

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