WWIII : La destruction d'Israël. Qui sont les Juifs ? GOG et MAGOG et Disparition des Chrétiens. Jérusalem et Tel-Aviv sous un champignon Nucléaire ?
WWIII : La destruction d'Israël. Qui sont les Juifs ? GOG et MAGOG et Disparition des Chrétiens. Jérusalem et Tel-Aviv sous un champignon Nucléaire ?
Tel-Aviv serait la prochaine cible de l'Iran qui sait dorénavant que ses accords de défense avec ses partenaires des Brics, lui permet pour la première fois de prendre des risques et de détruire également le Royaume des Saoud pour la suprématie au Moyen-Orient. Les USA ont d'ailleurs signé avec l'Iran un accord sur le Nucléaire que les Israéliens dénoncent comme liberticide.
De son côté le Président Poutine a repris la Crimée donnée par le président Nikita Khrouchtchev à l'Ukraine en 1954, pour en faire un territoire Juif des Khazars, comme il l'était à l'origine, et rendre la Palestine aux Palestiniens, puisque les Sémites ont disparu et qu'il n'y a plus de raison de redonner une terre perdue à des descendants Juifs issus des Khazars. Le Peuple sémitique de Moïse et d'Abraham n'existe plus pour avoir des prétentions à retourner en Palestine, sur des terres ou toutes les ethnies vivaient en paix et en bonne entente avant 1946, alors que maintenant c'est la haine et la barbarie qui règne en Maître.
À leur apogée, les Khazars, ainsi que leurs vassaux, contrôlent un vaste territoire qui pourrait correspondre à ce que sont aujourd'hui le sud de la Russie, le Kazakhstan occidental, l'Ukraine orientale, la Crimée, l'est des Carpates, ainsi que plusieurs autres régions de Transcaucasie telles l'Azerbaïdjan et la Géorgie.
Israël reconnaît secrètement que les Juifs ashkénazes sont en fait Khazars : Le plan secret pour renverser la migration en Ukraine !!! (times of Israël)
« Netanyahou est prêt à faire des sacrifices douloureux pour la paix, même si cela signifie renoncer à une partie de notre patrie biblique en Judée et en Samarie. »
L’Ukraine a fait cet arrangement sur la base des liens historiques et en échange d’une aide militaire dont elle a désespérément besoin contre la Russie. Cette tournure surprenante des événements avait une origine encore plus surprenante : la génétique, un domaine dans lequel les chercheurs israéliens ont longtemps excellé .
Les auteurs suggèrent que ces chromosomes pourraient rendre compte d'une contribution génétique provenant des populations est-européennes et qu'en particulier environ 12 % du patrimoine génétique paternel des Juifs ashkénazes pourrait provenir des Khazars. Cette hypothèse est aussi soutenue par D. Goldstein.
La conversion du royaume Khazar au judaïsme
LE DECLIN DES KHAZARS
ET L’EMERGENCES DES ASHKENAZES
Pourquoi le président Trump doit-il certifier un accord international? L’accord peut-il être «amélioré» comme le souhaitent les Américains? Dix questions pour tout savoir sur le plus bel exemple de diplomatie multilatérale de ce XXIe siècle en danger.
Pourquoi le président Trump doit-il certifier un accord international? L’accord peut-il être «amélioré» comme le souhaitent les Américains? Dix questions pour tout savoir sur le plus bel exemple de diplomatie multilatérale de ce XXIe siècle en danger
1 Pourquoi parle-t-on d’un accord historique?
De premières discussions avec l’Iran ont commencé avec trois pays européens dès 2002. Quand l’Iran, les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont officiellement annoncé un compromis le 14 juillet 2015 à Vienne, cela faisait deux ans que les délégations travaillaient quasiment à temps plein à un accord. Il s’agissait:
-Pour les Iraniens, d’obtenir la levée de sanctions économiques entravant depuis 2006 le développement du pays et provoquant des tensions internes, sans rien abandonner de leur souveraineté nationale, tout en maintenant leur programme nucléaire civil destiné à garantir leur indépendance énergétique dans un contexte géopolitique arabe hostile.Pour les Occidentaux, les Russes et les Chinois, de faire baisser le niveau des menaces nucléaires militaires et la prolifération d’armes dans la poudrière du Proche-Orient en s’assurant du caractère civil et pacifique du nucléaire iranien.
La particularité de la position américaine sous la présidence Obama a été de découpler le dossier nucléaire du dossier diplomatique, les Etats-Unis continuant parallèlement à dénoncer les activités «déstabilisatrices» de Téhéran (soutien au régime Assad en Syrie, au Hezbollah au Liban…).
Un premier accord intérimaire est intervenu à Genève en novembre 2013. S’en est suivi un marathon diplomatique exténuant, peuplé de crises et de nuits blanches, notamment dans les palaces de Genève, Montreux et Lausanne. On se souvient de la chute de vélo de John Kerry, le secrétaire d’Etat américain, lors d’un séjour à Genève pour une session diplomatique avec son homologue iranien, Mohammad Javad Zarif. Plusieurs fois promis puis reporté, un accord est annoncé en grande pompe le 14 juillet 2015 à Vienne, entre l’Iran d’une part, et les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne de l’autre (les membres permanents du Conseil de sécurité plus l’Allemagne).
2 Quel est le statut de cet accord?
Le JCPOA, pour Joint Comprehensive Plan of Action, le nom officiel de l’accord sur le nucléaire iranien, n’est pas un traité multilatéral, qui requerrait une ratification des pays signataires et donc notamment du Congrès américain ou, en face, du parlement iranien. C’est un accord de bonne foi, devenu aujourd’hui une résolution du Conseil de sécurité, qui a repris à son compte le JCPOA. Cette résolution 2231, adoptée par le Conseil de sécurité de l’ONU le 20 juillet 2015, lie l’ensemble des pays membres de l’ONU, comme toute résolution du Conseil de sécurité. C’est l’Agence internationale de l’énergie atomique, l’agence de l’ONU sur le nucléaire, qui est chargée de contrôler son application.
L’accord est officiellement entré en vigueur le 16 janvier 2016, le jour où le Conseil de sécurité a reçu le premier rapport de l’AIEA certifiant que l’Iran avait commencé à respecter sa partie de l’accord. Il est prévu pour durer jusqu’au 18 octobre 2025, soit dix ans à compter du jour de son adoption, 90 jours après la résolution du Conseil de sécurité.
3 Que contient l’accord?
En cent pages et cinq annexes, l’accord a pour but de rendre quasiment impossible pour l’Iran la fabrication d’une bombe atomique, tout en assurant à Téhéran, qui nie avoir jamais eu l’intention de se doter de la bombe, le droit de développer une filière nucléaire civile. L’objectif est de porter à un an, au minimum, et pendant au moins dix ans, le breakout time, soit le temps nécessaire à l’Iran pour produire suffisamment de matière fissile pour la fabrication d’une bombe atomique (on pense que ce délai était de deux à trois mois en 2015), et de rendre une telle démarche immédiatement détectable. En ce sens, les adversaires de l’accord ont raison de dire que celui-ci est limité dans le temps. Les détails figurent dans la déclaration de l’UE sur le JCPOA.
En résumé: l’Iran s’est engagé à réduire le nombre de ses centrifugeuses (passé de 20 000 à 5060), à limiter sa production de plutonium, son stock d'uranium enrichi (à 300 kilos) et l’enrichissement d’uranium (pas au-delà de 3,67%, très loin des seuils nécessaires pour un usage militaire), et à accepter le renforcement des inspections internationales. C’était l’un des points les plus sensibles de la négociation.n/a
En contrepartie, l’ONU, les Etats-Unis et l’Europe se sont engagés à lever les six séries de sanctions internationales adoptées depuis 2006 via des résolutions au Conseil de sécurité en lien avec le nucléaire. Ces sanctions concernaient les secteurs de la finance, de l’énergie et du transport.
Ne font donc pas partie de l’accord: l’embargo sur les armes (les sanctions relatives aux missiles balistiques et aux importations d’armes offensives sont maintenues), les sanctions non liées au nucléaire mais au terrorisme ou au non-respect des droits de l’homme.
4 L’accord est-il bien respecté?
Oui, estime l’ONU, qui certifie que l’accord est respecté par le biais de son Agence internationale pour l’énergie atomique, basée à Vienne. Plusieurs centaines d’inspections ont eu lieu depuis la signature de l’accord et l’AIEA a produit huit rapports intérimaires attestant que Téhéran se conformait au texte. Pour le patron de l’agence Yukiya Amano, l’Iran fait l’objet «du régime de vérification nucléaire le plus solide au monde». La cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, qui préside la commission du suivi, a aussi souligné que le texte était jusqu’ici respecté par toutes les parties.
5 Pourquoi Donald Trump doit-il certifier l’accord nucléaire iranien?
Ce n’est pas l’accord lui-même qui demande cette certification, le texte étant placé sous le contrôle de l’AIEA; c’est bien une loi américaine. Le US Iran Nuclear Agreement Review Act (INARA), adopté en mai 2015 par un Congrès furieux d’avoir été «doublé» par Barack Obama, oblige le président américain à certifier tous les 90 jours que l’Iran respecte bien les conditions du JCPOA, et que l’accord est respecté et conforme aux intérêts vitaux des Etats-Unis. Le contexte est donc celui de la scène politique intérieure américaine.
6 Pourquoi Donald Trump n’a-t-il pas certifié l’accord cette fois? Donald Trump avait déjà certifié l’accord en avril et en juillet. Il a pourtant dit plusieurs fois qu’il le considérait comme «le pire de l’histoire américaine» en raison de «graves lacunes». Le 45e président américain accuse Téhéran de poursuivre son programme de fusées balistiques, de soutenir le Hezbollah et le Hamas – des organisations «terroristes» pour Washington – et de déstabiliser le Proche-Orient. Il reproche aussi à l’accord de laisser libre cours aux ambitions nucléaires iraniennes après 2025 (c’est un peu plus compliqué que cela). Les récents tests balistiques iraniens ont outré le président américain – le tir d’un missile Khorramshahr en septembre, avec sa portée de 2000 kilomètres, était en ce sens une véritable provocation, d’ailleurs aussi condamnée par les Européens. Il reste que ces tests (dont le programme dépend des Gardiens de la Révolution, non du gouvernement iranien) n’ont rien à voir avec l’accord, dont le but est de stopper un éventuel programme nucléaire militaire et la prolifération de ces armes.
7 L’accord nucléaire avec l’Iran est-il condamné?
Donald Trump n’a pas complètement «déchiré» l’accord en refusant de le certifier, vendredi 13 octobre 2017, et en renvoyant la balle dans le camp des élus du Sénat et de la Chambre des représentants. Ceux-ci ont 60 jours pour prendre position (selon une procédure accélérée) et décider de réimposer les sanctions de 2015 – ou pas. Ils récupèrent ainsi la responsabilité de faire capoter, ou pas, l’accord. Si le Congrès choisissait de ne rien faire, Donald Trump devrait alors décider d’ici à la mi-décembre s’il continue à suspendre les sanctions.
L’accord étant multilatéral, le retrait des Etats-Unis n’engage formellement pas les autres signataires. Mais le départ de la première puissance du monde aurait bien sûr des conséquences, ouvrant une période de fortes incertitudes, redoutée par les Européens. Quel intérêt pour l’Iran de rester dans l’accord si les Etats-Unis réinstaurent leurs sanctions et bloquent toute avancée économique conséquente? Les Européens aussi perdent de la visibilité, leurs entreprises qui feraient des affaires avec Téhéran pourraient-elles être pénalisées sur sol américain, comme cela a déjà été le cas par le passé lors des sanctions? Donald Trump a ouvert la boîte de Pandore.
L’Iran a fait savoir plusieurs fois qu’il était hors de question de toucher au texte si minutieusement élaboré. «Une brique enlevée et tout s’effondre», avait menacé Mohammad Javad Zarif dès les négociations en Suisse. «Il n’y a pas de conditions à [l’accord] et celui-ci doit être mis en œuvre conformément à ce qui a été convenu», a répété, après l’annonce américaine, Ali Akbar Velayati, le conseiller pour la diplomatie du guide suprême iranien. C’est d’autant plus improbable que les durs du régime iranien ont beau s’être inclinés devant les réformateurs au pouvoir, par nécessité, certains faucons nationalistes n’attendent qu’une occasion pour rendre sa «liberté» au pays. Les partisans de l’accord refusent donc toute réouverture d’un dossier déjà si compliqué à boucler.
Les Américains ne sont pourtant pas les seuls à vouloir préparer l’après-2025. Le président français, Emmanuel Macron – qui envisage de se rendre en visite officielle en Iran, ce qui serait une première depuis 1976 –, a clairement fait savoir qu’il fallait ouvrir le dialogue sur le programme balistique et la place de l’Iran dans la région.
La majorité des experts s’accordent pour dire que ces sujets doivent en effet être abordés mais en dehors de l’accord sur le nucléaire, qui doit rester en place.
9 L’accord a-t-il porté ses fruits en Iran?
Décevant ses attentes, l’accord n’a pas eu toutes les conséquences qu’espérait la population iranienne, en raison du maintien des sanctions non liées au nucléaire. Certes l’inflation a diminué, la production de pétrole est repartie (2,3 millions de barils de brut exportés par jour contre 1 million avant l’accord), le pays a regagné des parts de marché, plus de 10 milliards de dollars en cash sont arrivés en 2016 et les banques iraniennes ont réintégré la communauté mondiale Swift de paiements interbancaires. Le commerce entre Iran et l'UE était en hausse de 94% au 1er semestre 2017 par rapport à la même période en 2016. Parmi les gros contrats signés, on trouve Total, qui a signé en juin un accord de 5 milliards de dollars pour l’exploitation d’un gisement de gaz, en association avec le groupe chinois CNPC, Boeing, Airbus, Siemens, Peugeot-Citroën et Renault. La Chine est devenue le premier partenaire commercial de l’Iran, dont elle importe pétrole et gaz et où elle construit routes et infrastructures. Mais l’argent n’a pas ruisselé dans la population autant qu’elle l’espérait, beaucoup d’entreprises étrangères restant prudentes dans leurs investissements – ce qui ne va pas s’arranger avec la volte-face américaine.
10 Pourquoi la fin de l’accord serait-elle une catastrophe internationale?
Si les Etats-Unis dénoncent unilatéralement un accord unanimement reconnu comme efficace, même s’il a des limites, ils deviennent eux-mêmes un pays voyou, ne respectant pas sa parole, et il n’y a aucune chance d’attirer la Corée du Nord par exemple, autre point chaud actuel, à la table des négociations. Ensuite, les «durs» en Iran pourraient reprendre l’avantage sur les «modérés» (même si ces camps sont mouvants), l’anti-américanisme d’Etat trouvant ainsi un nouveau terreau; à ce propos, il faut noter la gaffe forcément volontaire de Donald Trump, qui, en mentionnant un golfe «Arabique» au lieu du traditionnel golfe «Persique», s’est immédiatement attiré un torrent de violentes critiques en Iran. Ensuite encore, même divisé en interne, l’Iran pourrait sortir de l’accord à son tour mais la tête haute, sa réputation sauve, et reprendre en solitaire son programme nucléaire controversé, loin de toute inspection et de tout contrôle. Un facteur d’instabilité supplémentaire dans une région déjà éruptive avec la guerre en Syrie, en Irak et au Yémen.La Russie a déploré la mise à mal d’un compromis qui avait pris tant d’années à être élaboré: plus généralement, le retrait américain marquerait aussi la fin d’un certain multilatéralisme, de la capacité de la communauté internationale à s’organiser pour régler des conflits. Un échec de la diplomatie, et un retour au «chacun pour soi».
QU’EST-IL ARRIVÉ AUX VRAIS JUIFS ?
Le Résultat des Croisades
Définition du terme ” juif “
Un Foyer National
Gog, Magog et les Ashkénazes
Les Protocoles des Sages de Sion par Mathieu Golovinski (1903) Traduction française du texte russe par Roger Lambelin (1912) Téléchargement : Protocoles des Sages de Sion (Format Adobe Acrobat - PDF - compressé dans le format ZIP) Protocoles des Sages de Sion (Format MS-Word - DOC - compressé dans le format ZIP) Introduction sur le Nouvel Ordre Mondial et les Guerres des Rothschild MAYER AMSCHEL ROTHSCHILD écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée à l'avenir. La fortune serait administrée par les hommes et ce serait l'aîné qui aurait le pouvoir décisif et trancherait en cas de désaccord. Toutes les tenues de compte devaient rester absolument secrètes, particulièrement pour le gouvernement. En l773, MAYER AMSCHEL ROTHSCHILD aurait rencontré en secret dans la maison des Rothshild, rue Juive à Francfort, douze bailleurs de fonds juifs aisés et influents (en fait les Sages de Sion) pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Aux dires de Herbert G. Dorsey, ces bailleurs de fonds auraient souligné, entre autres, le fait que de la fondation de la "BANQUE D'ANGLETERRE" avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise. Ils déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit. Selon les document de Dorsey et William Guy Carr "Pawns in the Game", ce plan aurait finalement été connu sous le nom de "PROTOCOLES DES SAGES DE SION". L'origine des Protocoles remonte, en fait, à des siècles en arrière, ils auraient été remaniés par ROTHSCHILD avant d'acquérir leur vraie signification. Adoptés par le Congrès sioniste juif mondial réuni à Bâle (Suisse) en 1897, les Protocoles des Sages de Sion furent gardés secrets jusqu'en 1901, date à laquelle ils tombèrent dans les mains du professeur russe S. Nilus. Celui-ci les publia sous le titre "le danger juif". Victor Marsden les traduisit en anglais en 1921 sous le titre "THE PROTOCOLS OF LEARNED ELDERS OF ZION" ("Les Protocoles des Sages de Sion"). — Pour en connaître davantage, voyez "Les sociétés secrètes et leur pouvoir au 20ième siècle". |
UNE PATRIE POUR GOG ET MAGOG
- Freedman, un juif riche homme d’affaires autrefois, est devenu désabusé par son héritage juif, après avoir appris leurs origines et leurs machinations politiques dans le monde entier. En rompant avec la juiverie organisée, il a dépensé la majorité de sa fortune dans les tentatives de révéler au monde la véritable force motrice de l’établissement de la nation d’Israël par l’Organisation des Nations Unies – ainsi que d’autres idées historiques erronées concernant les racines Khazare du judaïsme moderne .
Le reste, comme on l’a dit, n’est qu’histoire.
- Freedman, comme mentionné, était un juif ashkénaze. Dégoûté de ce dont il a été témoin de ses frères, il a utilisé un langage plutôt forcé décrivant leurs actions et leurs origines.
[1] Bury, J. B., A History of the Eastern Roman Empire, p. 120.
[2] George Vernadsky, A History of Russia, Vol. 1 (New Haven, CT: Yale University Press, 1948), p. 346.
[3] Brook, Kevin Alan, The Jews of Khazaria, (Jason Aronson, Inc. Northvale, NJ, Jerusalem), 1999.
[4] Omeljan Pritsak, The Khazar Kingdom’s Conversion to Judaism, pp. 278-9.
[5] Dunlop, D. M., The History of the Jewish Khazars, p. 90 (Princeton, 1954), al-Bakri (ob. 487/1094).
[6] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 58.
[7] Ibid.
[8] Bury, J. B., A History of the Eastern Roman Empire, p. 406.
[9] Ibid.
[10] Brook, The Jews of Khazaria, p. 126.
[11]Yehuda HaLevi, The Kuzari, trans. N. Daniel Korobkin (Northvale, NJ: Jason Aronson, 1998), p. 1.
[12] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 66.
[13] Ibid., p. 72-4.
[14] McEvedy, C., The Penguin Atlas of Mediaeval History (1961).
[15] Macartney, C. A., The Magyars in the Ninth Century (Cambridge, 1930).
[16] Dunlop, D. M., The History of the Jewish Khazars (Princeton, 1954).
[17] Baron, S. W., A Social and Religious History of the Jews, Vols. III and IV (New York, 1957).
[18] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 141, 144, 152.
[19] Cecil Roth, “Jews” in Enc. Britannica, 1973 printing.
[20] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 159.
[21] Ibid., p. 15, 16.
[22] A. N. Poliak, Khazaria — The History of a Jewish Kingdom in Europe (Mossad Bialik, Tel Aviv, 1951).
[23] Kutschera, Hugo Freiherr von, Die Chasaren (Wien, 1910), Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 169.
[24] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 172.
[25] Mieses, M., Die Jiddische Sprache (Berlin-Wien, 1924).
[26] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 179-80.
[27] Ibid., p. 17.
[28] Barker, F., “Crusades,” Enc. Britannica, 14th ed., p. 772, 1973.
[29] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 163.
[30] Baron, S. W., A Social and religious History of the Jews, Vols. III and IV (New York, 1957).
[31] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 164-7.
[32] Ibid., p. 182.
[33] Brook, The Jews of Khazaria, p. 300.
[34] Hugo Freiherr von Kutschera, in Die Chasaren: Historische Studie (Vienna: A. Holzhausen, 1910) — English translation.
[35] Shapiro, H., The Jewish People: A Biological History (UNESCO, Paris, 1953).
[36] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 177.
[37] Baron, S. W., A Social and Religious History of the Jews, Vols. III and IV (New York, 1957).
[38] Encyclopedia Americana, 1985 edition.
[39] Koestler, The Thirteenth Tribe, Appendix IV, p. 223.
[40] Koestler, The Thirteenth Tribe, Appendix IV, p. 224.
[41] JVIM International, http://www.jvim.com/IntelligenceBriefing/Dec1996/wars.html
[42] Josephus, Antiquities of the Jews, Book 1, Ch. 6.
[43] The Catholic Encyclopedia, Vol. VI, 1909, (Robert Appleton Company).
[44] Josephus, Antiquities of the Jews, Book 1, Ch. 2.
[45] Alexander A. Vasiliev, The Goths in the Crimea (Cambridge, MA: The Mediaeval Academy of America, 1936), p. 96.
[46] Jewish Travellers, ed. Elkan N. Adler (London: George Routledge & Sons, 1930), p. 83.
[47] Koestler, The Thirteenth Tribe, p. 24.
[48] Ibid., p. 81.
[49] Schultze, Das Martyrium des heiligen Abo von Tiflis, Texte und Untersuchungen fur Geschichte der altchristlichen Literatur, XIII (1905), The Thirteenth Tribe, p. 19, 20.
[50] E. G. White, The Great Controversy, (Pacific Press Publishing Company), 1888 edition.
Source : http://www.church-of-yehovah.org/KhazarConversion.html
Palestine : Les conséquences imprévues de la décision de Trump
Par Abdel Bari Atwan, 19 décembre 2017
Publié par Raï al-Yaoum sous le titre Unintended Consequences
En reconnaissant Jérusalem occupée comme la capitale de l’État d’occupation israélien, le président américain Donald Trump a mis une balle dans le pied de ses alliés « arabes sunnites » du Golfe arabe – principalement l’Arabie saoudite et l’Égypte.
Il a également allumé la mèche d’une intifada qui pourrait durer des mois, voire des années, et qui sera le prélude d’une guerre régionale qui remodèlera la carte de la région, l’équilibre des pouvoirs et les alliances.
Le pari de Trump, salué par le premier ministre israélien Binyamin Netanyahou et le lobby israélien à Washington, a marginalisé les deux principaux alliés arabes des Etats-Unis, l’Arabie Saoudite et l’Egypte, et a considérablement renforcé la position de deux Etats non arabes, l’Iran et la Turquie, qui sont en compétition avec à eux pour le leadership du monde islamique et de ses autorités religieuses.
Le fait que le commandant iranien Qassem Soleimani en appelle publiquement aux dirigeants des ailes armées des groupes palestiniens et offre tout son soutien aux forces de résistance contre Israël, montre l’émergence de l’Iran en tant qu’allié principal des Palestiniens et de leur intifada à un moment où la plupart de ses rivaux arabes du Golfe sont en train de normaliser leurs relations avec l’Etat israélien et de se rendre complices de Trump dans la judaïsation la ville sainte.
Soleimani a gagné toutes les campagnes qu’il a menées. Il est intervenu au Kurdistan irakien et y a contrecarré le référendum. Il a combattu aux côtés de l’armée syrienne pour aider l’État syrien à reprendre le contrôle de la majeure partie du pays. Il a fondé les Unités de Mobilisation Populaire (UMP) en Irak et les a aidées à reconquérir Mossoul et la plupart des autres villes irakiennes. Et le voilà maintenant qui commence à s’occuper d’Israël et de Jérusalem occupée, tandis que les potentats arabes ne font que dépenser leur argent en produits de luxe et engraisser leurs armées désœuvrées.
L’Arabie saoudite a misé sur la création d’une alliance arabo-islamique sunnite pour contrer l’expansion de l’influence chiite iranienne. Mais la crise actuelle sur Jérusalem a porté un coup dur à cette ambition, en favorisant l’émergence d’un front islamique qui inclut les deux Etats régionaux les plus puissants – la Turquie sunnite et l’Iran chiite – et qui s’unit aux peuples arabes, chrétiens inclus, sur une base non sectaire ou non confessionnelle pour affronter Israël et son allié Trump et pour obliger le monde à voir le conflit sous son vrai jour, à savoir celui d’un peuple opprimé par un Etat colonisateur raciste et sans merci. Ce n’est pas un changement qu’Israël et ses alliés de l’alliance « sunnite modérée » avaient anticipé.
La lutte contre le projet raciste de colonisation israélienne est maintenant au sommet des priorités irano-turques et arabo-musulmanes, comme en témoigne le sommet islamique convoqué cette semaine en Turquie pour discuter de Jérusalem. Il convient de noter que l’Arabie saoudite s’est dissociée à l’avance de la conférence et de ses travaux en se faisant représenter par son ministre des Affaires islamiques – le niveau de représentation le plus bas possible – et que l’Égypte n’envoie que son ministre des Affaires étrangères, ce qui signifie que les deux gouvernements jouent un rôle de moins en moins grand dans une question qui revêt une importance capitale pour le monde islamique.
Dans son discours de lundi soir, avant une grande manifestation dans la banlieue sud de Beyrouth, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a immédiatement tiré profit de ce revirement stratégique en déclarant que son parti et ses alliés allaient désormais se recentrer sur la cause palestinienne après leurs victoires remportées ailleurs dans la région (une allusion à la Syrie, à l’Irak et au Yémen).
La réalisation stratégique la plus importante des Iraniens dans la région a été la création d’organisations paramilitaires populaires et non officielles parallèlement aux armées officielles – comme la Garde révolutionnaire en Iran, les Unités de Mobilisation Populaire (UMP) en Irak, le Hezbollah au Liban, l’Ansarullah houthi au Yémen, le Hamas et le Djihad islamique en Palestine occupée – capables de mener une guérilla efficace et décisive, et à qui elle a fourni des missiles assez puissants pour dissuader leurs ennemis puissamment armés par les Etats-Unis.
Le soulèvement populaire palestinien qui a éclaté à Jérusalem l’été dernier et qui a forcé Netanyahou à abandonner sa tentative de fermer la mosquée al-Aqsa a cessé dès que les exigences immédiates des manifestants ont été satisfaites. C’est parce qu’il était spontané, non organisé, et qu’il ne recevait pas de soutien extérieur. Ce serait différent dans le cas d’une nouvelle intifada, car elle serait soutenue par un élan populaire arabe et islamique sans frontières, d’importantes organisations et de grands pays islamiques.
Trump mérite notre gratitude pour sa décision sur Jérusalem, car elle a uni le monde islamique et porté un coup mortel à la division sectaire entre les Sunnites et les Shiites. Elle a isolé ses alliés arabes qui normalisent leurs relations avec Israël et deviennent ses alliés ou ses amis. Il les a privés de la direction du monde islamique et a marginalisé leur rôle. Et, plus important encore, il a mis ses alliés israéliens dans une situation dangereuse qui devrait les inquiéter et les alarmer.
Un message fort aux adeptes arabes de la normalisation qui soutiennent Trump et sont complices de sa décision provocatrice et raciste, a été adressé par les Palestiniens à la délégation du Bahreïn quand elle est arrivée en Israël cette semaine. Elle a été accueillie avec colère par les habitants de Jérusalem-Est : l’accès de la mosquée d’al-Aqsa lui a été refusé par les gardes locaux, et l’accès à la bande de Gaza lui a été interdit par des manifestants qui ont menacé de lancer des chaussures contre ses membres.
Tout cela montre que l’humeur d’une grande partie du public arabe a changé et que l’avenir nous réserve bien des surprises.
Abdel Bari Atwan
Traduit par Dominique Muselet/ Chroniques de Palestine
Partie I
Un « gorille historique de 400 kilos » hante l’arrière-plan de presque chaque incident militaire et diplomatique grave impliquant Israël, la Turquie, l’Iran, l’Arabie Saoudite, l’Irak, la Grèce, l’Arménie, les Kurdes, les Assyriens, et quelques autres acteurs au Moyen Orient et dans l’Europe du sud-est.
C’est un facteur qui est généralement seulement chuchoté dans les réceptions diplomatiques, les conférences d’information et les séances des « think tank », à cause de la nature explosive et controversée du sujet. Et c’est le secret attaché au sujet qui a été la raison de la si grande incompréhension concernant la récente rupture des relations entre Israël et la Turquie, le réchauffement croissant des relations entre Israël et l’Arabie Saoudite, et l’hostilité croissante entre l’Arabie Saoudite et l’Iran…
Bien que connue des historiens et des experts religieux, l’influence politique et économique séculaire d’un groupe connu sous le nom turc de « Dönmeh » ne fait que commencer à apparaître sur les lèvres des Turcs, des Arabes et des Israéliens qui hésitaient à discuter de la présence en Turquie et ailleurs d’une secte de Turcs descendant d’un groupe de Juifs sépharades qui avaient été expulsés d’Espagne par l’Inquisition espagnole aux XVIe et XVIIe siècles.
Ces réfugiés juifs d’Espagne furent autorisés à s’établir dans l’Empire ottoman et avec le temps ils se convertirent à une secte mystique de l’islam qui mélangea finalement la Kabbale juive et les croyances semi-mystiques soufies islamiques dans une secte qui finit par soutenir la laïcité dans la Turquie post-ottomane. Il est intéressant de noter que le mot « Dönmeh » ne désigne pas seulement les « convertis douteux » à l’islam en Turquie mais est aussi un mot turc désobligeant désignant un travesti, ou quelqu’un qui prétend être ce qu’il n’est pas.
La secte dönmeh du judaïsme fut fondée au XVIIe siècle par le rabbin Sabbataï Zevi, un kabbaliste qui croyait être le Messie mais qui fut contraint de se convertir à l’islam par le sultan Mehmet IV, le souverain ottoman. Beaucoup des fidèles du rabbin, connus sous le nom de sabbataïstes, mais aussi des « crypto-juifs », proclamèrent publiquement leur foi islamique mais pratiquèrent secrètement leur forme hybride de judaïsme, qui n’était pas reconnue par les principales autorités rabbiniques juives. Parce que c’était contre leurs croyances de se marier en-dehors de leur secte, les Dönmeh créèrent un clan assez secret à l’intérieur de la société.
LES DÖNMEH PRENNENT LE POUVOIR EN TURQUIE
Beaucoup de Dönmeh, avec des Juifs traditionnels, devinrent de puissants dirigeants politiques et commerciaux à Salonique. C’est ce groupe central de Dönmeh qui organisa l’organisation secrète des Jeunes Turcs, également connue sous le nom de Comité pour l’Union et le Progrès, les laïcistes qui déposèrent le sultan ottoman Abdülhamid II lors de la révolution de 1908, proclamèrent la République post-ottomane de Turquie après la Première Guerre mondiale, et qui lancèrent la campagne qui dépouilla la Turquie de la plus grande part de son identité islamique après la chute des Ottomans. Abdülhamid II fut traité de tyran par les Jeunes Turcs, mais il semble que son seul crime ait été de refuser de rencontrer le dirigeant sioniste Theodore Herzl durant une visite à Constantinople en 1901 et de rejeter les propositions financières sionistes et dönmeh en échange d’un contrôle sioniste de Jérusalem.
Comme d’autres dirigeants qui ont croisé le chemin des sionistes, le sultan Abdülhamid II semble avoir scellé son sort avec les Dönmeh avec cette déclaration devant la cour ottomane :
« Dites au Dr. Herzl de ne rien faire de plus concernant son projet. Je ne puis abandonner ne serait-ce qu’une poignée de terre de ce pays, car ce n’est pas le mien, il appartient à toute la nation islamique. La nation islamique a fait le djihad pour cette terre et l’a arrosée de son sang. Les Juifs peuvent garder leur argent et leurs millions. Si le Califat islamique est détruit un jour, alors ils pourront prendre la Palestine gratuitement ! Mais tant que je suis vivant, je me passerais une épée à travers le corps plutôt que de voir la terre de Palestine arrachée à l’Etat islamique ».
Après son éviction par les Dönmeh Jeunes Turcs d’Atatürk en 1908, Abdülhamid II fut emprisonné dans la citadelle dönmeh de Salonique. Il mourut à Constantinople en 1918, trois ans après qu’Ibn Saoud ait donné son accord pour un foyer juif en Palestine et un an après que Lord Balfour ait accordé la Palestine aux sionistes dans sa lettre au baron Rothschild.
L’un des dirigeants jeunes turcs à Salonique était Mustafa Kemal Atatürk, le fondateur de la République de Turquie. Quand la Grèce obtint la souveraineté sur Salonique en 1913, beaucoup de Dönmeh, ne parvenant pas à se faire enregistrer comme juifs, allèrent s’établir à Constantinople, plus tard renommée Istanbul. D’autres partirent pour Izmir, Bursa, et pour la capitale nouvellement proclamée d’Atatürk et futur siège du pouvoir de l’Ergenekon, Ankara.
Certains textes suggèrent que les Dönmeh dépassaient le nombre de 150.000 et se trouvaient principalement dans l’armée, l’administration et le commerce. Cependant, d’autres experts suggèrent que les Dönmeh représentaient peut-être 1,5 million de Turcs et étaient encore plus puissants qu’on ne le pensait généralement, et que leur pouvoir s’étendait à tous les secteurs de la société turque. Un Dönmeh influent, Tevfik Rustu Arak, était un ami proche et un conseiller d’Atatürk et fut le Premier Ministre de la Turquie de 1925 to 1938.
Atatürk, dont on dit qu’il était lui-même un Dönmeh, ordonna que les Turcs abandonnent leurs noms arabo-musulmans. Le nom du premier empereur chrétien de Rome, Constantin, fut effacé de la plus grande ville turque, Constantinople. La ville devint Istanbul, après que le gouvernement d’Atatürk ait rejeté le nom traditionnel en 1923. De nombreux bruits ont circulé sur le nom d’Atatürk lui-même, puisque « Mustapha Kemal Atatürk » était un pseudonyme. Certains historiens ont suggéré qu’Atatürk adopta ce nom parce qu’il était un descendant de Rabbi Zevi en personne, le Messie autoproclamé des Dönmeh ! Atatürk abolit aussi l’usage de l’écriture arabe en Turquie et força le pays à adopter l’alphabet occidental.
LA TURQUIE MODERNE : UN ETAT SIONISTE SECRET CONTROLE PAR LES DÖNMEH
Les fortes racines juives suspectées d’Atatürk, sur lesquelles toutes les informations furent supprimées pendant des décennies par un gouvernement turc qui interdisait toute critique du fondateur de la Turquie moderne, commencèrent à refaire surface, d’abord en-dehors de la Turquie et dans des publications écrites par des auteurs juifs. Le livre publié en 1973, The Secret Jews, par le rabbin Joachim Prinz, affirme qu’Atatürk et son ministre des finances, Djavid Bey, étaient tous deux des Döhmeh ardents et qu’ils étaient en bonne compagnie, car « trop de jeunes Turcs dans le Cabinet révolutionnaire nouvellement constitué priaient Allah, mais avaient leur propre prophète [Sabbataï Zevi, le Messie de Smyrne] ».
Dans The Forward du 28 janvier 1994, Hillel Halkin écrivit dans le New York Sun qu’Atatürk récitait le « Sheema Israël » (« Écoute, Ô Israël ») juif, disant que c’était « ma prière aussi ». L’information est tirée d’une autobiographie du journaliste Itamar Ben-Avi, qui affirme qu’Atatürk, à cette époque jeune capitaine de l’armée turque, révéla qu’il était juif dans le bar d’un hôtel de Jérusalem lors d’une nuit pluvieuse durant l’hiver 1911.
De plus, Ataturk suivit les cours de l’école primaire Semsi Effendi à Salonique, dirigée par un Dönmeh nommé Simon Zevi. Dans l’article du New York Sun, Halkin parla d’un e-mail qu’il avait reçu d’un collègue turc : « Je sais maintenant – je sais (et je n’ai jamais eu le moindre doute) – que la famille du père d’Atatürk était en fait de souche juive ».
Kemal Atatürk au centre faisant le signe maçonnique de la main
C’est l’appui d’Atatürk et des Jeunes Turcs au sionisme, la création d’un foyer juif en Palestine, après la Première Guerre mondiale et durant la domination nazie en Europe, qui fit apprécier la Turquie par Israël et vice-versa.
Un article du 8 mai 2007 dans The Forward révéla que les dirigeants turcs, dominés par les Dönmeh « du président aux principaux diplomates… et une grande partie des élites militaires, culturelles, académiques, économiques et professionnelles de la Turquie », écartèrent la Turquie d’une alliance avec l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, et privèrent Hitler de la route turque vers les champs pétrolifères de Bakou. Dans son livre, The Donme: Jewish Converts, Muslim Revolutionaries and Secular Turks, le professeur Marc David Baer écrivit que beaucoup d’entre eux parvinrent à des positions élevées dans les ordres religieux soufis.
Israël a toujours été réticent à décrire le massacre des Arméniens par les Turcs en 1915 comme un « génocide ». On a toujours pensé que la raison de la réticence d’Israël était la crainte de compromettre les liens militaires et diplomatiques étroits entre Israël et la Turquie. Cependant, on découvre toujours plus de preuves que le génocide arménien fut largement l’œuvre des dirigeants dönmeh des Jeunes Turcs.
Des historiens comme Ahmed Refik, qui servit comme officier de renseignement dans l’armée ottomane, affirma que c’était le but des Jeunes Turcs de détruire les Arméniens, qui étaient chrétiens pour la plupart. Les Jeunes Turcs, sous la direction d’Ataturk, expulsèrent aussi les chrétiens grecs des villes turques et tentèrent de commettre un génocide à plus petite échelle contre les Assyriens, qui étaient aussi principalement des chrétiens.
Un Jeune Turc de Salonique, Mehmet Talaat, était le dirigeant qui mit en œuvre le génocide des Arméniens et des Assyriens. Un mercenaire vénézuélien qui servit dans l’armée ottomane, Rafael de Nogales Mendez, nota dans ses annales du génocide arménien que Talaat était connu sous le nom de « l’Hébreu renégat de Salonique ». Talaat fut assassiné en Allemagne en 1921 par un Arménien dont toute la famille avait disparu durant le génocide ordonné par l’« Hébreu renégat ». Certains historiens du génocide pensent que les Arméniens, connus comme de bons commerçants, furent ciblés par les Dönmeh doués pour le commerce parce qu’ils étaient considérés comme des rivaux commerciaux.
Ce n’est donc pas le désir de protéger l’alliance israélo-turque qui a poussé Israël à éviter de rechercher les raisons du génocide arménien, mais la connaissance par Israël et les Dönmeh que c’est la direction dönmeh des Jeunes Turcs qui non seulement assassina des centaines de milliers d’Arméniens et d’Assyriens mais qui supprima aussi les coutumes et les habitudes musulmanes traditionnelles de la Turquie.
La connaissance que c’est les Dönmeh, dans une alliance naturelle avec les sionistes d’Europe, qui furent les responsables de la mort des chrétiens arméniens et assyriens, de l’expulsion hors de Turquie des chrétiens orthodoxes grecs, et de l’éradication culturelle et religieuse des traditions islamiques turques, aurait fait surgir une nouvelle réalité dans la région. A la place des Chypriotes grecs et turcs vivant sur une île divisée, des Arméniens menant une vendetta contre les Turcs, et des Grecs et des Turcs se querellant pour des territoires, tous les peuples attaqués par les Dönmeh auraient compris qu’ils avaient un ennemi commun qui était leur véritable persécuteur.
LE DÉFI AU RÈGNE DES DÖNMEH : LE COMBAT DE LA TURQUIE CONTRE L’ERGENEKON
C’est la purge contre les fidèles kémalistes d’Atatürk et de son régime dönmeh laïc qui est le motif de l’enquête sur la conspiration de l’Ergenekon en Turquie. La description de l’Ergenekon cadre complètement avec la présence dönmeh dans la hiérarchie diplomatique, militaire, judiciaire, religieuse, politique, académique, commerciale et journalistique de la Turquie.
L’Ergenekon tenta de stopper les réformes mises en œuvre par les dirigeants turcs non-dönmeh successifs, incluant la réintroduction des coutumes et rituels islamiques turcs traditionnels, en préparant une série de coups d’Etat, certains réussis comme celui qui déposa le gouvernement islamiste du Refah (Bien Public) du premier Ministre Necmettin Erbakan en 1996 et certains manqués, comme l’OPERATION SLEDGEHEMMER, qui visait à déposer le Premier Ministre Recep Tayyip Erdogan en 2003. Certains réformistes de tendance islamiste, incluant le Président turc Turgut Ozal et le Premier Ministre Bulent Ecevit, moururent dans des circonstances suspectes. Le Premier Ministre démocratiquement élu Adnan Menderes fut déposé et pendu en 1961, après un coup d’Etat militaire.
Les politiciens et les journalistes américains, dont la connaissance de l’histoire de pays comme la Turquie et l’Empire ottoman précédent est souvent gravement lacunaire, ont dépeint la friction entre le gouvernement d’Israël et le gouvernement turc du Premier Ministre Erdogan comme étant basée sur la dérive de la Turquie vers l’islamisme et le monde arabe.
Loin de là, Erdogan et son Parti pour la Justice et le Développement (AKP) semblent avoir finalement trouvé un moyen de se libérer de la domination et de la cruauté des Dönmeh, que ce soit sous la forme des fidèles kémalistes d’Atatürk ou des comploteurs nationalistes de l’Ergenekon. Mais avec le « Jour de l’Indépendance » de la Turquie, le vitriol est venu de la part des Dönmeh et de leurs alliés naturels en Israël et du lobby israélien aux Etats-Unis et en Europe. La Turquie comme membre de l’Union Européenne convenait très bien à l’Europe tant que les Dönmeh demeuraient au pouvoir et permettaient que la richesse de la Turquie soit pillée par les grandes banques, comme cela s’est passé en Grèce.
Quand Israël lança son attaque sanglante contre le vaisseau d’aide turque pour Gaza, le Mavi Marmara, le 31 mai 2010, la raison n’était pas vraiment le passage du navire à travers le blocus israélien de Gaza. La brutalité des Israéliens pour abattre des Turcs désarmés et un citoyen turco-américain, certains à bout portant d’après un rapport de l’ONU, indiquait qu’Israël était motivé par quelque chose d’autre :
La vengeance et les représailles après la répression du gouvernement turc contre l’Ergenekon, la purge contre les Dönmeh dans les hauts postes de l’armée et du renseignement turcs, et l’inversion des politiques religieuses et culturelles antimusulmanes instaurées par le fils favori des Dönmeh, Atatürk, quelque quatre-vingt-dix ans plus tôt.
En effet, l’attaque israélienne contre le Mavi Marmara était en représailles contre l’emprisonnement par la Turquie de plusieurs haut-gradés militaires, journalistes et académiques turcs, tous accusés de faire partie du complot Ergenekon pour renverser le gouvernement de l’AKP en 2003. Derrière le complot de l’Ergenekon, le fait caché est que les Dönmeh et l’Ergenekon sont liés par toute leur histoire en tant que kémalistes, ardents laïcistes, pro-israéliens et pro-sionistes.
Avec les crises de colère éclatant maintenant entre l’Iran d’un coté et Israël, l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis de l’autre, en résultat d’une affirmation douteuse par la police US que l’Iran préparait l’assassinat de l’ambassadeur saoudien aux Etats-Unis sur le sol américain, la relation de longue date, étroite mais secrète, entre Israël et l’Arabie Saoudite arrive maintenant au premier plan. La connexion israélo-saoudienne avait fleuri durant l’OPERATION TEMPÊTE DU DESERT, quand les deux pays furent la cible des missiles Scud de Saddam Hussein.
Partie II
Ce qui surprendra ceux qui ont peut-être déjà été surpris par les liens des Dönmeh avec la Turquie, c’est les liens des Dönmeh avec la Maison des Saoud en Arabie Saoudite.
Un rapport top-secret des Mukhabarat irakiens (Directorat du Renseignement Militaire Général), « L’émergence du wahhabisme et ses racines historiques », daté de septembre 2002 et publié le 13 mars 2008 par l’Agence américaine de Renseignement pour la Défense [U.S. Defense Intelligence Agency] en traduction anglaise, indique les racines dönmeh du fondateur de la secte wahhabite saoudite de l’islam, Muhammad ibn Abdul Wahhab.
Une grande partie des informations sont tirées des mémoires d’un « Mr. Humfer » (ainsi orthographié dans le rapport de la DIA, mais orthographié « Mr. Hempher » dans les archives historiques), un espion britannique qui utilisait le nom de « Mohammad », et qui était soi-disant un Azéri parlant le turc, le persan et l’arabe et qui prit contact avec Wahhab au milieu du XVIIIe siècle avec l’idée de créer une secte de l’islam qui provoquerait finalement une révolte arabe contre les Ottomans et qui préparerait la voie pour l’introduction d’un Etat juif en Palestine. Les mémoires de Humfer sont citées par l’auteur et amiral ottoman Ayyub Sabri Pacha dans son ouvrage de 1888, The Beginning and Spreading of Wahhabism.
Dans son livre The Dönmeh Jews, D. Mustafa Turan écrit que le grand-père de Wahhab, Tjen Sulayman, était en fait Tjen Shulman, un membre de la communauté juive de Bassora en Irak. Le rapport des Renseignements irakiens dit aussi que dans son livre, The Dönmeh Jews and the Origin of the Saudi Wahhabis, Rifat Salim Kabar révèle que Shulman s’établit finalement dans le Hedjaz, dans le village de al-Ayniyah dans ce qui est aujourd’hui l’Arabie Saoudite, où son petit-fils fonda la secte wahhabite de l’islam. Le rapport des Renseignements irakiens dit que Shulman avait été banni de Damas, Le Caire et La Mecque à cause de son « charlatanisme ». Dans le village, Shulman engendra Abdul Wahhab. Le fils d’Abdul Wahhab, Muhammad, fonda le wahhabisme moderne.
Le rapport irakien fait aussi quelques affirmations stupéfiantes sur la famille des Saoud. Il cite le livre d’Abdul Wahhab Ibrahim al-Shammari, The Wahhabi Movement: The Truth and Roots, qui dit que le roi Abdul Aziz Ibn Saoud, le premier monarque du Royaume d’Arabie Saoudite, descendait de Mordechai ben Ibrahim ben Moishe, un marchand juif également originaire de Bassora. Dans le Nedjd, Moishe rejoignit la tribu des Aniza et changea son nom en Markhan ben Ibrahim ben Moussa. Finalement, Mordechai maria son fils, Jack Dan, qui devint Al-Qarn, à une femme de la tribu des Anzah du Nedjd. De cette union naquit la future famille Saoud.
Le document des renseignements irakiens révèle que le chercheur Mohammad Sakher fut l’objet d’un contrat de meurtre des Saoudites à cause de ses recherches sur les racines juives des Saoud. Dans le livre de Said Nasir, The History of the Saud Family, il est affirmé qu’en 1943, l’ambassadeur saoudite en Egypte, Abdullah ben Ibrahim al Muffadal, paya Muhammad al Tamami pour forger un arbre généalogique montrant que les Saoud et les Wahhab étaient une seule famille qui descendait directement du Prophète Muhammad.
Au commencement de la Première Guerre mondiale, un officier britannique juif d’Inde, David Shakespeare, rencontra Ibn Saoud à Riyad et conduisit plus tard une armée saoudite qui vainquit une tribu opposée à Ibn Saoud. En 1915, Ibn Saoud rencontra l’envoyé britannique dans la région du Golfe, Bracey Cocas.
Cocas fit la proposition suivante à Ibn Saoud : « Je pense que c’est une garantie de votre durabilité autant que c’est dans l’intérêt de la Grande-Bretagne que les Juifs aient un foyer national et une existence [nationale], et les intérêts de la Grande-Bretagne sont, par tous les moyens, dans votre intérêt ».
Ibn Saoud, le descendant des Dönmeh de Bassora, répondit : « Oui, si mon acceptation est si importante pour vous, j’accepte mille fois d’accorder un foyer national aux Juifs en Palestine ou ailleurs qu’en Palestine ».
Deux ans plus tard, le Secrétaire britannique aux Affaires Etrangères Lord Balfour, dans une lettre au baron Walter Rothschild, un dirigeant des sionistes britanniques, déclara : « Le gouvernement de Sa Majesté regarde avec faveur l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif… ».
Le pacte avait l’appui tacite de deux des acteurs majeurs de la région, tous deux descendants des Juifs dönmeh qui soutenaient la cause sioniste, Kemal Atatürk et Ibn Saoud. La présente situation au Moyen Orient devrait être vue sous ce jour, mais pour des raisons évidentes l’histoire de la région a été expurgée par certains intérêts religieux et politiques.
Sir Percy Cox en compagnie d’Abdelaziz Ibn Abderrahmane Al Saoud, premier roi d’Arabie saoudite, dans le désert d’Arabie lors de la Grande révolte arabe de 1916.
Après la Première Guerre mondiale, les Britanniques facilitèrent l’arrivée au pouvoir du régime des Saoud dans les anciennes provinces du Hedjaz et du Nedjd de l’Empire ottoman. Les Saoud établirent le wahhabisme comme la religion d’État du nouveau Royaume d’Arabie Saoudite et, comme les Dönmeh kémalistes en Turquie, commencèrent à s’opposer à d’autres croyances et sectes islamiques, incluant les sunnites et les chiites.
Les Saoud wahhabites accomplirent ce que les Dönmeh kémalistes avaient réussi à accomplir en Turquie : Un Moyen Orient fracturé qui était mûr pour les desseins impérialistes occidentaux, et firent le travail préparatoire pour la création de l’État sioniste d’Israël.
États profonds et Dönmeh
Durant deux visites en Turquie en 2010, j’eu l’occasion de discuter de l’« État profond » [appareil clandestin] de l’Ergenekon avec d’importants officiels turcs. Il était plus qu’évident que des discussions sur le réseau de l’Ergenekon et ses connexions « étrangères » sont un sujet hautement sensible. Cependant, un important officiel turc des Affaires étrangères me glissa aussi qu’il y avait d’autres « États profonds » dans les nations voisines, et les noms de Égypte, de l’Arabie Saoudite, de la Jordanie et de la Syrie furent mentionnés.
Au vu des liens entre l’Ergenekon et les Dönmeh en Turquie et des liens étroits dans le domaine militaire et dans celui du renseignement entre les Saoud descendants des Dönmeh et les wahhabites en Arabie, les rapports évoquant des liens étroits entre l’ex-président égyptien Hosni Moubarak et son chef des renseignements Omar Suleiman et le gouvernement de Binyamin Netanyahu en Israël peuvent être vus sous un jour entièrement nouveau…
Le Premier ministre turc Erdogan, devant le «fondateur» de la Turquie
Et cela expliquerait le soutien d’Erdogan à la révolution égyptienne : en Turquie, c’est une révolution démocratique qui réfréna l’influence des Dönmeh. L’influence des salafistes wahhabites dans le nouveau gouvernement de la Libye explique aussi qu’Erdogan avait hâte d’établir des relations avec les rebelles basé à Benghazi – pour aider à supplanter l’influence des wahhabites, les alliés naturels de ses ennemis, les Dönmeh (l’Ergenekon) de Turquie.
Le désir d’Erdogan de remettre les pendules à l’heure en restaurant l’histoire expurgée par les kémalistes et les Dönmeh lui a valu des déclarations au vitriol de la part du gouvernement d’Israël, comme quoi il serait un néo-ottomaniste qui aurait l’intention de former une alliance avec les Frères Musulmans dans les pays arabes. Il est clair que les Döhmeh et leurs frères sionistes en Israël et ailleurs craignent que le révisionnisme historique dönmeh et sioniste, incluant leur rôle dans le génocide des Arméniens et des Assyriens, et leur négation du génocide, soient révélés.
En Égypte, qui était autrefois un royaume ottoman, c’est une révolution populaire qui chassa ce qui pourrait être l’équivalent des Dönmeh concernant le régime Moubarak. Le « Printemps arabe » égyptien explique aussi pourquoi les Israéliens se hâtèrent de tuer six policiers égyptiens peu après que neuf passagers turcs aient été tués à bord du Mavi Marmara, certains quasiment exécutés, par des soldats israéliens. La doctrine dönmeh est remplie de références aux Amalécites de l’Ancien Testament, une tribu nomade qui fut attaquée par les Hébreux d’Egypte sur l’ordre du Dieu juif, pour faire place aux partisans de Moïse dans la région sud de la Palestine.
Dans le Livre des Juges, Dieu ordonne sans succès à Saül : « Maintenant va et frappe Amalek et voue à la destruction tout ce qu’ils ont. Ne les épargne pas, mais tue les hommes, les femmes et les enfants, les bœufs et les moutons, les chameaux et les ânes ». Les Dönmeh, dont la doctrine est aussi présente dans la secte hassidique et dans d’autres sectes orthodoxes du judaïsme, semblent n’avoir aucune difficulté à remplacer les Amalécites par les Arméniens, les Assyriens, les Turcs, les Kurdes, les Égyptiens, les Irakiens, les Libanais, les Iraniens et les Palestiniens pour mener leurs agressions militaires et leurs pogroms.
Avec des gouvernements réformistes en Turquie et en Égypte beaucoup plus désireux d’examiner le passé de ceux qui ont divisé le monde islamique, Atatürk en Turquie et Moubarak en Égypte, les Saoud sont probablement tout à fait conscients que c’est seulement une question de temps avant que leurs liens, à la fois modernes et historiques, avec Israël soient pleinement révélés.
Ceci explique que les Saoud aient réussi à mettre en œuvre un complot douteux impliquant des agents du gouvernement iranien pour tenter d’assassiner l’ambassadeur saoudite à Washington, dans un restaurant non-nommé de Washington D.C. Le rapport des renseignements irakiens aurait pu faire allusion aux sionistes et aux Dönmeh lorsqu’il déclarait : « cela vise… [au] meurtre des musulmans, à la destruction, et à favoriser l’agitation ». En fait, le rapport des renseignements irakiens parlait des wahhabites.
Une liberté nouvelle existant en Turquie et en Égypte pour examiner leur passé, Israël et ses partisans, ainsi que les Saoud, ont des raisons supplémentaires de dissimuler la véritable histoire de l’Empire ottoman, de la Turquie laïque, des origines d’Israël, et de la Maison des Saoud. Divers acteurs recherchant maintenant la guerre avec l’Iran, la vraie histoire des Dönmeh et leur influence sur des événements passés et actuels au Moyen Orient devient plus importante.