WWIII : YEMEN : Ces célébrités qui appellent leurs bourreaux à être cléments pour se faire encore plus de publicité, tuez les car la guerre est inévitable.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Ces célébrités qui appellent leurs bourreaux à être cléments pour se faire encore plus de publicité, (avec le Pape qui n'a plus besoin de s'en faire et qui ne dit mot), tuez les car la guerre est inévitable, de façon qu'on puisse ensuite les aduler comme des Dieux que les Francs-Maçons savent si bien créer. Albert Pike n'a jamais été détrôné, ni Hitler qui a été réhabilité par Netanyahu. Selon ce dernier ce sont les Arabes qui ont fait le coup. On adore les sciences occultent qui disent l'inverse de ce qu'elles font.

La recherche du Franc-Maçon, ce pauvre couillon, au départ,  qui accepte de suivre un cheminement pour en devenir un esclave libre de s'être lié à une doctrine qui lui donne toutes les ambitions, et toutes les dérives pour en faire un adepte de la magie Noire et des faux sans blancs. Bien entendu il faut avoir au départ des dispositions pour accepter librement ce dont on ne connaît pas, et vendre son âme au Diable, comme si celui-ci en voulait, mais vendre son corps, c'est mieux encore.

L'esclavage des Noirs se faisait sur les mêmes rites et les esclaves étaient fiers d'être vendu, gage de manger à sa faim, de dormir sous un toit, d'avoir une vie décente et le regard du Maître qui honore ses efforts et donne des médailles et des accolades.

Ils en  appellent à MACRON le principal bailleur d'armes de l'Arabie Saoudite et le principal importateur  de terroristes de Daesh en France, financé par ce Monde Arabe Sioniste, qui veut la fin du Monde Arabe Musulman, tout comme TRUMP. Il faut qu'ils se dépêchent, tous ces vendeurs de misère, car le bon Salmane, qui a déjà de gros scandales à son actif, pourrait disparaître assez vite.

On peut les comprendre, ces Arabes ont dans leurs textes de l'Islam "religion criminogène de Paix et d'Amour", tous les ingrédients des Lisses lames, pour se faire battre, tout comme les Juifs avec le Talmud, les Chrétiens et les Gnostiques avec leurs évangiles, les Maçons avec leurs célébrations mortifères, et leurs remarques sur les autres religions. Le Démiurge a donc son mot à dire, dans ces religions qui tuent pour subsister, et les enfants sont les préférés de tous nos pédophiles préférés de la Franc-Maçonnerie, jusqu'à la barbarie de nos mangeurs de viande humaine, histoire de goûter l'esprit des autres.

Si on résume bien la situation, avec le Pape François, toutes les religions sont équivalentes, ce que l'on croit vraiment, car pour se faire de la viande, l'esprit ne peut qu'expliquer la manière rationnelle de s'en délecter. Pour l'Eglise du Christ, le Vatican n'est que la façade d'un cimetière de 6 millions de Chrétiens morts dans des arènes, dont le Pape tient l'entrée de sa collection de trophées.

La nature humaine est faite de contradictions et de profonds cynismes qui vont jusqu'à implorer le Diable, pour qu'il soit clément. Mais le Diable en lui-même, ne fait que suivre la tendance des Hommes pour ne pas se couper d'eux, d'après lui il faut garder le contact en espérant que cette race d'hominidés qui a accouché de lumières puisse enfin voir dans la Nuit des Temps.

Peine perdue selon lui, car dit-il, on s'est déjà fait dégager par le vrai D.ieu et la multiplicité des petits dieux Francs-Maçons et Maîtres de surcroit, ne pourra qu'aggraver les choses. Pour lui Satan-Lucifer, la lumière parmi les lucioles, il en a pris pour 1000 ans à se faire le gardien des enfers, mais le Pape vient à son secours en lui disant que ce n'est rien dans la vie d'un démon, que l'enfer est merveilleux face au paradis, d'un Dieu qui ne comprend plus les hommes, et  dont la porte du paradis est toujours fermée aux âmes perdues, comme dans l'histoire du Curé de CuCuGnan, alors que celle du Vatican, et toujours ouverte aux prostituées, migrants du Djihad et bonimenteurs de Satan.

Jésus n'a-t-il pas pardonné à une certaine Madeleine pour prostitution, afin qu'elle s'en remette, mais qu'il n'a plus jamais revu ensuite, car trop occupé avec ceux qui voulaient s'en sortir, car depuis qu'il est venu, n'en déplaise à nos amis Juifs, il est le seul chemin pour aller au Père avec l'Esprit Saint, et Saul n'y peut rien, s'il n'aimait pas les Pharisiens, qui sont aujourd'hui la classe du Rabbinisme dont il était issu mais qu'il a fini, comme pour Jésus par détester. Les Rabbins Sionistes sont légions car ils remplacent D.ieu qui ne leur répond. Dans ce silence assourdissant d'un D.ieu absent, les Rabbins multiplient comme les Juges et les Avocats, les effets de manches, afin de faire croire que la brise s'est levée, et qu'on pourra bientôt sacrifier du poulet congelé taxé casher, à l'autel des sacrifices dans le temple des enfers.

Macron le protégé des Rothschild, élu sans que personne n'élève la voix, comme si son élection était naturelle et que les mauvais devaient rester les mauvais perdants. Il faut avouer qu'ils étaient mauvais en face de Macron, et que tous ces cons qui veulent gérer la France et non avoir une ambition pour la France, sont plutôt bien servi, et remis à leur juste place dans une démocratie qui n'en est pas, par le pouvoir de l'Argent facile pour les uns, et la privation pour les autres.

Comment pouvons nous décemment plaindre tous ces petits enfants, avec des larmes de crocodiles, alors que des dizaines de milliers de familles civiles sont mortes sous les bombes Françaises et Américaines au YEMEN, larguées par des avions Français, par des pilotes ayant reçu une formation Française, pour faire un maximum de dégâts dans ce milieu familial fragile, dont le but est d'amener la Démocratie à la mode Américaine et Franc-Maçonne, c'est à dire de laver les cerveaux malades par le feu, et de faire renaître des cerveaux sans vie, en leur déversant les produits manufacturés que le Monde Civilisé pourra leur apporté.

Bien entendu, nous allons donner pour le YEMEN comme pour toutes les bonnes causes qui sont financées par l'argent public et gratuit, les œuvres comme exigence liturgique, ordre politique et lien social que nos compatriotes dans la rue voient seulement à travers les télévisions qui se reflètent dans les vitrines des magasins, et le secours catholique, la Croix-Rouge, le croissant rouge, l'aumônerie protestante aux armées, ne croissent que dans les Guerres et les bains de sang, pour montrer l'innommable réalité d'une guerre des pansements et du marché des prothèses, afin de cacher celle de la férocité des âmes torturées que le Diable lui-même ne peut regarder.

Notre référence à Satan-Lucifer en remplacement du Christ dans l'Eglise, provient du fait qu'il est beaucoup plus proches de la nature humaine, que D.ieu a cessé de voir comme sa création, mais comme son abomination. "Comment ai-je pu engendrer pareil monstre, pareille déconvenue et pareille aliénation, alors que ces humains avaient l'intelligence, la créativité, l'amour que je leur ai donné, la reconnaissance de leur liberté à agir suivant les règles et lois que je leur ai inculqué, au libre arbitre des hommes et à leur reconnaissance envers le créateur et sa création, pour l'apprécier et non la défigurer, pour en jouir et non pour la pervertir, pour que chacun n'ait pas plus que l'autre et pas moins que son voisin, pour s'entre aider et non se tuer. Ils n'étaient rien, je leur ai donné la vie et l'espérance, ils ont créé la mort et le désespoir et ils jouissent non pas des richesses spirituelles, mais des bassesses de la chair et des biens matériels, et ils ont transformé l'humanité en troupeaux asservis par des bourreaux."

Pour résumer la situation et l'application des règles, les premiers seront les derniers et inversement, et je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des cieux. Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu. Les riches ayant compris la situation se sont déjà enterré dans des villes souterraines qui ne craignent ni l'eau ni le feu, et les Pauvres sont à la surface au dessus des riches, se faisant plus petits que des chameaux.

Des Rabbins inconscients exultent de joie sur la terre promise, à leurs ancêtres sémites, en espérant que ce qui est dit, est dit, et que rien ne peut reprendre, ce qui a été donné, et jubilent du nouveau Temple tout neuf, qui va s'ériger entre une esplanade des mosquées, que le D.ieu habite sur ce rocher, et qu'on va bientôt pouvoir lui donner à manger.

Au bout de 2000 ans d'abstinence D.ieu tout puissant, tu vas recevoir à nouveau, nos offrandes et recevoir à jamais nos grillades et entremets fumés.

En échange de quoi, nous Peuple de D.ieu, que tu as élu pour l'éternité, nous te ferons des simagrées, pour que tu reconnaisses enfin ceux que tu as dispersé parmi les Nations afin de les éduquer, et au passage de les plumer comme offrande à ta Sainteté.

«Des milliers de vies sur la conscience» : des célébrités interpellent Macron et Trump sur le Yémen
Source: AFP
Enfant yéménite souffrant de diphtérie traité dans un hôpital de la capitale Sanaa le 22 novembre 2017.

Plus de 360 personnalités internationales appellent à la paix au Yémen pour endiguer l'une des plus graves crises humanitaires au monde en lançant la campagne #YemenCantWait. Toutes les dix minutes, un enfant y meurt de faim ou de maladie.

S’émouvant des ravages du conflit armé au Yémen durant depuis 1 000 jours, plus de 360 célébrités ont lancé un appel à Theresa May, Emmanuel Macron et Donald Trump pour obtenir un cessez-le-feu immédiat dans le pays. Elles se réunissent sous la bannière d’un hashtag #Yemencantwait et ont fait paraître une tribune rédigée en français, anglais, et arabe, publiée en France le 18 décembre dans le quotidien Le Monde.

Toutes les dix minutes, un enfant meurt de faim ou de maladie au Yémen

L’enlisement du conflit au Yémen, où la faction rebelle chiite houthie est attaquée par une coalition militaire menée par l’Arabie saoudite, a créé la crise humanitaire la plus grave au monde. «Le pays est aujourd’hui au bord d’une famine historique, ravagé par des maladies habituellement contenues. Toutes les dix minutes, un enfant y meurt de faim ou de maladie», appuie le texte. Les signataires attirent l'attention sur le lourd tribut payé par les civils.

Parmi les signataires de cette campagne internationale, on retrouve de grands noms issus des milieux de la culture, des affaires, des ONG : Tawakkol Karman, journaliste et prix Nobel de la paix 2011, Mercedes Erra, la présidente d’Havas Worlwide, le musicien Peter Gabriel, l’actrice Juliette Binoche, Abby Maxman, présidente d’Oxfam America ... Nombre d'entre eux ont tweeté leur appel à l'action, comme Peter Gabriel : «Le Yémen a besoin de nourriture, de médicaments, d'essence et d'un cessez-le-feu. S'il vous plait agissez maintenant.»

Les signataires fustigent le blocus imposé par l’Arabie saoudite et les Emirats après l’interception à Riyad d'un missile attribué aux Houthis le 4 novembre. «Il a empêché l’acheminement de nourriture, de médicaments et de carburant, conduit à la fermeture d’hôpitaux et privé d’eau potable des villes entières», explique le texte.

Nous appelons Emmanuel Macron, Theresa May et Donald Trump, à prendre des mesures urgentes

Ils s’adressent à la France, aux Etats-Unis, et au Royaume-Uni «en tant que membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU et principaux fournisseurs d'armes de l’Arabie Saoudite et des Emirats arabes Unis».

Emmanuel Macron n'a pas été cité par hasard : en février 2015, moins d'un mois avant la création de la coalition contre les houthis, il s'était fait l'avocat à l'Assemblée de la vente d'armes par la France à l'Arabie saoudite contre l'avis des Allemands, restrictifs dans ce domaine.https://youtu.be/nlwQ2ao9iUI

Jeanne-Paule Marie (dite Jeanine) Deckers, en religion Sœur Luc-Gabriel, de son nom de scène Sœur Sourire (The Singing Nun en anglais), puis Luc Dominique, née le 17 octobre 1933 à Bruxelles[1] et morte à Wavre le 29 mars 1985, est une religieuse et chanteuse belge des années 1960. Entrée chez les dominicaines en 1959, elle connaît un succès mondial en 1963 avec la chanson Dominique qu'elle écrit, compose et interprète au profit de son ordre. Ayant renoncé à la vie religieuse, poursuivie par l'administration fiscale belge, elle finit par se suicider de désespoir avec sa compagne en 1985. Sommaire [masquer] 1 Biographie 2 Un succès mondial 3 Une seconde carrière 4 Un destin tragique 5 Ses publications 6 Adaptation cinématographique 7 Notes et références 8 Bibliographie 9 Voir aussi Biographie [modifier] Jeanine Deckers est née à Bruxelles le 17 octobre 1933. Elle connaît une enfance et une jeunesse qu'elle décrit comme mornes, puis tente de devenir professeur de dessin sans vraiment y parvenir. Cherchant sa voie pour fuir l'autorité de sa mère, elle entre dans l'ordre catholique des dominicains en 1959, où elle devient Sœur Luc-Gabriel au couvent de Fichermont, à Waterloo. Très vite, elle se fait apprécier des autres sœurs du couvent pour ses compositions musicales. Sa hiérarchie décide de lui faire enregistrer un disque et négocie un contrat avec Philips. Ni son nom, ni son image n'apparaîtront sur les pochettes. Le pseudonyme Sœur Sourire, lui-même, dont elle dira plus tard qu'elle le trouvait ridicule, est choisi par un panel d'auditeurs-test ; il reste la propriété des contractants : son éditeur et son couvent. Les droits normalement dévolus à l'auteur-compositeur-chanteur reviennent au couvent. En vertu de ses vœux de pauvreté et d'obéissance, Jeanine signe. Un succès mondial [modifier] La chanson Dominique, dédiée à Dominique de Guzmán, fondateur de l'ordre dominicain dont elle fait partie, obtient un succès mondial. La fraîcheur de sa voix et de ses textes, la simplicité apparente de sa foi lui attirent la sympathie d'un public qui ne se limite pas aux catholiques. « Dominique-nique-nique s'en allait tout simplement, Routier pauvre et chantant. En tous chemins, en tous lieux, il ne parl'que du Bon Dieu, Il ne parl'que du Bon Dieu. » Son anonymat excite la curiosité de la presse et la rumeur lui prête une beauté proportionnelle à la pureté de son âme. Pendant tout le mois de décembre 1963, The Singing Nun est no 1 au Billboard Hot 100, le principal hit-parade national américain et, l'année suivante, Sœur Sourire passe au Ed Sullivan Show — ou, plus exactement, c'est Ed Sullivan lui-même et son équipe qui se déplacent au couvent de Fichermont. En 1966, un film américain, Dominique (The Singing Nun), est consacré à son histoire avec Debbie Reynolds dans le rôle-titre. L'actrice n'a que peu de ressemblance physique avec son modèle, dont le visage reste inconnu du plus grand nombre. À cette époque, Jeanine Deckers reprend les études et essaie, à grand peine, comme en témoigne son journal, de s'intéresser à la théologie en suivant des cours à l'Université catholique de Louvain. C'est peut-être cette parenthèse estudiantine qui l'amène à s'interroger sur le sens de sa vie. En juillet 1966, convaincue de son absence de vocation, et considérant la vie au couvent comme anachronique, elle quitte les ordres sans le moindre viatique. La postérité avait oublié assez vite la face B du célèbre 45 tours : Les Pieds des missionnaires, et encore plus les titres du disque suivant : Une fleur ou Cœur de Dieu. Une seconde carrière [modifier] Un contrat avec sa maison de disques lui interdit désormais d'utiliser le pseudonyme qui l'avait rendue célèbre. C'est sous le nom de Luc Dominique que Jeanine tente de poursuivre sa carrière avec des chansons comme La Pilule d'or, en 1967, qui est une ode à la pilule contraceptive. Elle écrit à cette époque des titres plutôt musclés par lesquels elle s'en prend aux mères, aux hommes (qu'elle juge violents et dominateurs), à l'Église catholique et au conservatisme (Les Con-conservateurs). Elle se passionne pour les nouvelles approches de la théologie (entre Vatican II et Mai 1968), cherche à inventer pour elle-même et pour sa compagne une nouvelle voie religieuse, qui se situe entre la vie régulière et la vie séculière. Elle refuse par ailleurs à l'époque de se considérer comme homosexuelle. Le succès de ses disques, très modeste, donne raison à un de ses titres de l'époque, Je ne suis pas une vedette. Dans la chanson Luc Dominique, elle explique que Sœur Sourire est morte[2] : « Elle est morte, Sœur Sourire, Elle est morte, il était temps. » Son niveau de vie, très irrégulier, est néanmoins suffisant : elle tire ses revenus dans ses écrits, ses disques, des cours de guitare ou encore un travail auprès d'enfants autistes (notamment). Ses problèmes avec l'administration fiscale transformeront cette situation précaire en un drame complet. En 1976, elle tente un come-back aux États-Unis, mais elle n'intéresse plus personne. En 1981, elle participe à la sortie de la version remixée de son tube Dominique pour le label Scalp Records dirigé par Gilles Verlant. Un destin tragique [modifier] Sœur Sourire (Jeanne Deckers) et sa compagne Annie Pécher sont enterrées ensemble au cimetière de Wavre.Les services fiscaux belges réclament alors à Jeanine Deckers les fortunes qu'aurait dû lui rapporter Sœur Sourire. Ils restent sourds à ses protestations. Elle fit appel à son ancien couvent et à son ancienne maison de production Philips. Les sœurs lui donnaient ce qu’elles estimaient être sa part. Philips, qui touchait les plus gros dividendes (95 % du total, le reste au couvent) ne l’a jamais aidée, tandis que les religieuses se sont montrées généreuses, l'ayant notamment aidée à acquérir son appartement de Wavre, à la condition qu’elle cesse de dénigrer la congrégation et qu’elle signe un document selon lequel la congrégation ne lui devait plus rien, ce qu’elle fit. Confrontée à une dette monstrueuse (et les intérêts accumulés), Jeanine et sa compagne, Annie Pécher, thérapeute d'enfants autistes, sombrent dans une dépression que l'alcool et les médicaments ne font qu'aggraver. Toutes deux finissent par se suicider ensemble le 29 mars 1985. Ironie du sort, le jour de son suicide, et à son insu, la SABAM avait récolté 571 658 francs belges, soit largement plus que sa dette de 99 000 francs belges.

Vol privé à 350 000 euros entre Tokyo et Paris : Edouard Philippe «assume complètement» ou quand les Parvenus montrent leur véritable visage.

Vol privé à 350 000 euros entre Tokyo et Paris : Edouard Philippe «assume complètement» © Benoit Tessier Source: Reuters
Le Premier ministre Edouard Philippe

Matignon n'avait pas caché l'argument du confort pour justifier la location d'un A340 de luxe pour le vol Tokyo-Paris de la délégation ministérielle. Edouard Philippe souligne lui les deux heures de gain de temps qu'offrait l'appareil.

Pour rentrer de Nouvelle-Calédonie – où il était arrivé par un vol commercial – le Premier ministre Edouard Philippe a mobilisé le 5 décembre un A340 de l'armée de l'air. Mais, lors de l'escale à Tokyo, le chef du gouvernement accompagné de sa délégation a décidé de changer d'appareil, et a embarqué sur un A340 version luxe, loué à l'entreprise AeroVision.

Une opération qui a coûté à l'Etat 350 000 euros, comme l'a confirmé Matignon auprès de l'AFP : «La délégation du Premier ministre, composée de 60 personnes, a fait le vol Tokyo-Paris sur un vol loué pour la somme de 350 000 euros, soit 6 000 euros par personne.»

Pourquoi un tel changement, alors que l'avion de l'armée est rentré quasiment à vide ? Matignon a avancé deux arguments pour justifier son choix. Le premier concerne le confort : l'avion de l'armée étant «assez ancien et sans sièges business», il ne serait d'habitude pas utilisé pour «transporter des autorités militaires ou des membres du gouvernement en long courrier et de nuit». En l'absence de l'A330 présidentiel, il a été utilisé «exceptionnellement» par le Premier ministre entre Nouméa et Tokyo «justement pour faire des économies», a-t-on plaidé à Matignon. L'avion loué à AeroVision dispose lui de 100 sièges de type première classe, de quoi voyager nettement plus confortablement.

Deuxième argument : cet avion de location, qui s'est posé le 6 décembre à 7h30 à Orly, a permis au chef du gouvernement – dans de meilleures conditions de confort – de gagner deux heures, celui de l'armée s'étant posé à 9h30 à Roissy. Or, ces deux heures ont permis au Premier ministre de revenir «dans les temps impartis», alors qu'Emmanuel Macron s'apprêtait à décoller pour l'Algérie et qu'un Conseil de Défense était prévu à l'Elysée à 8h00.

Edouard Philippe «assume»

Face à la polémique naissante, c'est sur ce point qu'Edouard Philippe a choisi d'appuyer sa défense. Invité de RTL le 20 décembre, Edouard Philippe a assuré qu'il «assum[ait] complètement» ce choix.

«C'est compliqué et cher de déplacer le Premier ministre, je comprends parfaitement la surprise. On savait qu'il fallait rentrer pour un élément impératif qui est que le président de la République partait en Algérie. Et la règle, c'est qu'on essaye de faire en sorte que le Premier ministre ou le Président soit sur le territoire national», a-t-il déclaré.

En effet, même si la règle souffre de nombreuses exceptions, en l'absence du chef de l'Etat, le Premier ministre doit normalement se trouver en métropole.

Pourquoi les globalistes ont besoin d’une guerre, et vite

Par Brandon Smith – Le 6 décembre 2017 – Source alt-market.com


Il est difficile d’évaluer et de comprendre les événements géopolitiques et économiques sans comprendre d’abord le fait qu’une grande partie de ce qui se passe dans le monde est conçue pour se produire avec un objectif global et précis en tête. Si vous souscrivez à la théorie selon laquelle tout est un « chaos » aléatoire et que les résultats sont circonstanciels ou coïncident, alors vous serez toujours perdu dans le noir face à ces événements. Si vous pensez qu’une « conspiration » de mondialistes nécessiterait « trop de contrôle » ou d’anticipation, je soulignerais que les conspirations organisées par les gens au pouvoir représentent la tradition historique, pas une théorie. Si de telles cabales étaient répandues par le passé, il est plutôt stupide de rejeter la réalité qu’elles prévalent aujourd’hui.

 

Dans mes articles « Explications sur la fin du jeu économique » et « La fin du jeu économique se poursuit » j’énonce des preuves sérieuses étayant la conclusion suivante : les financiers internationaux et les marionnettes politiques dans les pays occidentaux et orientaux partagent une idéologie profondément enracinée appelée « globalisme » ou « nouvel ordre mondial ». Cette idéologie exige une centralisation totale de l’économie et du gouvernement, aboutissant à une autorité financière globale unique, à un système monétaire mondial unique et à une structure de gouvernance mondiale unique. De toute évidence, une telle entreprise devrait prendre beaucoup de temps et nécessiter une planification. C’est un projet à long terme, avec des périodes de changements accélérés.

Les globalistes se réfèrent à ce processus de changement intentionnel comme la « réinitialisation économique mondiale ». Une remise à zéro des processus économiques du monde n’est pas aussi loin que les sceptiques aiment le dire. Quand un groupe organisé d’idéologues maintient le contrôle sur la production monétaire et les taux d’intérêt de la plupart des pays de la planète, il n’est guère difficile de manipuler les politiciens, de manipuler la législation ou même d’invoquer scientifiquement les bulles financières et les effondrements. Par extension, il devient également simple de déclencher des conflits internationaux si nécessaire.

Mais pourquoi la guerre serait-elle un ingrédient nécessaire de la globalisation ?

La guerre est la distraction ultime, le diviseur ultime et, peut-être ironiquement, le vecteur ultime de consolidation. Au siècle dernier, la guerre a toujours semblé suivre ou coïncider avec des crises économiques qui se révèlent plus tard comme le produit des élites bancaires et de leurs politiques monétaires agressives. Et à la suite de ces guerres, des institutions supranationales sont souvent fondées (comme la Société des Nations, les Nations Unies, la Banque des règlements internationaux et le Fonds monétaire international) comme « solutions » pour empêcher que ces tragédies de masse ne se reproduisent. La guerre est un stéroïde social favorisant les mutations, habituellement d’une manière malsaine.

Ces dernières années, le concept de « guerre mondiale » a cédé la place à une tendance plus insidieuse de guerres régionales sporadiques mais provoquant une tension constante. Dans la plupart des cas, ces guerres régionales ont contribué à la ruine constante des États-Unis en raison de l’accumulation de dettes nationales et de la méfiance ou de la haine internationales. En fait, on pourrait conclure que si nous regardions l’image globale de la vaste gamme de guerres régionales perpétrées par les globalistes, nous verrions que toutes ces guerres combinées constituent une sorte de guerre mondiale sous une forme différente.

Cela dit, les globalistes auront besoin d’un catalyseur nouveau et beaucoup plus grand pour leur reset, et vite. Pourquoi ? Parce qu’une distraction importante est essentielle à la prochaine phase de l’effondrement en cours. Un bouc émissaire omniprésent est nécessaire ; celui qui peut être blâmé pour presque n’importe quel scénario négatif. Cela détourne l’attention du public des globalistes eux-mêmes, en tant que responsables de la crise financière, peut-être au point qu’il faudra des décennies avant que le grand public s’interroge sur ce qui s’est réellement passé, si jamais il finit par le faire.

La peur générée par une guerre incertaine agit également comme une forme d’alchimie psychologique, transmutant l’état d’esprit public collectif pour accepter une centralisation qu’il n’aurait jamais accepté autrement.

Voici la question en jeu : les banques centrales cherchent une réinitialisation monétaire plus que toute autre chose. Un rééquilibrage monétaire exige une dette massive, suivie d’une relance massive, suivie d’un resserrement budgétaire, puis d’une inflation massive, suivie d’une implosion monétaire ouvrant la porte à une structure de remplacement (très probablement sous forme des blockchains et des crypto-monnaies). La crise du crédit de 2008 a commodément fourni au moins deux de ces éléments jusqu’à présent, une vaste dette et des mesures de relance. Aujourd’hui, nous commençons à assister à la phase de resserrement budgétaire de ce processus.

Comme je l’ai déjà dit avant la baisse de l’assouplissement quantitatif de la Fed, la tendance de la banque centrale entraînera la suppression des mesures de relance, ce qui portera un coup mortel aux marchés des obligations et des actions. Maintenant, fait intéressant, la Banque des règlements internationaux a encore lancé un avertissement alors que 2017 arrive à son terme. Il convient de noter que ce n’est pas la première fois que la BRI met en garde contre un accident imminent ; elle avait aussi prédit le pire juste avant que le crédit et ses dérivés ne s’écroulent en 2007. C’était, bien sûr, trop peu et trop tard pour que les masses réagissent de manière positive.

Son dernier avertissement arrive dans le bon tempo avec la réunion de décembre de la Réserve fédérale, au cours de laquelle on s’attend à ce que la banque centrale hausse à nouveau les taux d’intérêt tout en franchissant la prochaine étape vers la réduction de son bilan. Beaucoup d’économistes traditionnels et alternatifs doutaient de la baisse du QE et doutaient de la hausse des taux d’intérêt. Ils avaient tort. Tout comme les doutes sur les réductions du bilan de la Fed sont infondés. Les effets de ces mesures vont invariablement frapper négativement les obligations et les actions. Le temps est compté.

Mais, les élites bancaires ont pris des mesures. Par exemple, elles ont mis en place une distraction parfaite avec l’administration Trump. Avec Trump, fier et heureux d’assumer un rôle moteur dans la course haussière de la bourse cette année, qui pensez-vous que le public va blâmer lorsque ces mêmes marchés vont être mis par terre quand la banque centrale va tirer le tapis ? Probablement pas la Fed ou les banques de l’establishment.

Trump a également créé, de façon étrange, la raison parfaite pour la Fed pour justifier ces augmentations de taux d’intérêt et mettre fin à l’argent bon marché qui nourrit les marchés depuis si longtemps. Avec le passage du plan de réforme fiscale de Trump, la Fed peut maintenant prétendre que les taux d’intérêt DOIVENT être augmentés afin de créer des incitations pour l’investissement vers les bons du Trésor pour payer les programmes de travaux publics prévus par Trump et ses objectifs d’expansion militaire. Ce qui veut dire que la Fed peut prétendre qu’elle n’est pas coupable des effets négatifs en retirant de la table les capitaux bon marché parce que la politique de Trump l’exigeait.

Je voudrais également souligner que dans la plupart des cas, la Fed a abaissé les taux d’intérêt immédiatement après les réductions d’impôt et les réformes. Elle l’a fait après les réformes fiscales de Reagan en 1981 et en 1986, ainsi qu’après les réformes fiscales de George W. Bush en 2001. Pensez à cela en 2018, au moment où la Fed entend continuer à augmenter les taux d’intérêt à la suite des réformes fiscales de Trump. Elle fait l’inverse de ce qu’elle a souvent fait par le passé. Il y a là matière à réflexion…

Le plan fiscal de Trump lui-même est largement une distraction face au vrai problème. Tout d’abord, lorsque l’on compare les tranches d’imposition de l’année passée aux tranches d’imposition prévues pour l’année prochaine dans le cadre des réformes Trump, il n’y a pratiquement aucun changement pour l’Américain moyen. Les seules réductions importantes de taxes sont, sans surprise, des réductions d’impôt pour les entreprises ; il y a une réduction du plafond de l’impôt sur les sociétés de 35% à 20%. Au mieux, il s’agit d’une mesure de ruissellement, et non une solution à un problème auquel le public et le pays sont confrontés en ces temps agités pour l’économie.

Deuxièmement, pourquoi parlons-nous de « réforme » de l’impôt sur le revenu alors que nous devrions parler d’abolir l’impôt sur le revenu et la Réserve fédérale ? Qu’est-il arrivé à ce dialogue ? Il a disparu dans le trou de la mémoire.

Le plan fiscal de Trump ne fera rien pour ralentir ou défaire la crise économique actuelle parce que la crise découle directement des politiques monétaires des banques centrales et des manipulations des taux d’intérêt. La réforme fiscale est de loin trop modeste et intervient beaucoup trop tard. Elle se présente comme rien de plus que de maigres os, lancés aux conservateurs pour les garder tranquilles pendant un moment. C’est ce que la réforme fiscale de Trump fait très bien. Elle rallie les conservateurs autour de Trump, peu importe si cela les aide réellement ou non. Tout comme le projet de loi universelle sur les soins de santé d’Obama, qui s’est avéré être un désastre total dans la pratique, mais qui a plutôt bien réussi [politiquement, NdT] au moment de son adoption en ralliant la base libérale. Trump va certainement avoir besoin d’une base de soutien public s’il veut lancer une grande campagne militaire.

La Corée du Nord continue d’être le baril de poudre le plus probable pour le prochain événement de distraction. Deux mois de calme ont conduit les gens ayant une courte période d’attention à rejeter cette idée, et peut-être que certains d’entre eux continueront dans leurs dénégations, mais il devient de plus en plus difficile de l’ignorer jour après jour. Je dirais que la Corée du Nord est l’option la plus viable simplement parce que presque personne ne s’attend à une guerre avec une nation isolée. Le niveau de complaisance malgré tous les signaux contraires est palpable.

Les États-Unis ont mis en scène trois groupes de porte-avions dans la région pour la première fois en une décennie. Des exercices de combat majeurs sont en cours, sous le nom de « Vigilant Ace 18 » spécialement conçus pour simuler une invasion de la Corée du Nord avec plus de 230 avions et 12 000 soldats américains y participant. La Corée du Nord a averti des conséquences possibles, une « guerre nucléaire ».

La Corée du Nord a peut-être la capacité de suivre, au moins sur une échelle limitée, car elle a récemment fait ce qui semble être un énorme bond dans la technologie des missiles – un ICBM capable de transporter plusieurs ogives et de frapper la côte Est des États-Unis. Comment les Nord-Coréens en sont-ils venus à posséder cette technologie si rapidement ? C’est une question que tout le monde devrait se poser.

En réponse, la rhétorique de guerre a été amplifiée. Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, H.R. McMaster, a déclaré que la Corée du Nord est la plus grande menace immédiate pour les États-Unis, affirmant que son potentiel de guerre « augmente chaque jour ». Lindsay Graham, une belliciste et un ennemi de la Constitution, a déclaré que les familles des militaires américains devraient quitter la Corée du Sud pour leur propre sécurité et que « nous approchions du conflit militaire ».

Alors, à quelle distance en sommes-nous ? Je maintiens que la guerre avec la Corée du Nord est probable d’ici le deuxième trimestre de 2018. Je maintiens aussi que les globalistes continueront la stratégie des multiples conflits régionaux et d’une guerre économique mondiale plutôt qu’un désordre nucléaire global unique qui effacerait des milliers de milliards de dollars et des décennies d’efforts consacrés aux infrastructures et aux réseaux de surveillance.

Ce serait avantageux pour les globalistes s’ils prévoient de poursuivre les hausses de taux d’intérêt et l’élimination des mesures de relance par les banques centrales dans monde entier. Cela aiderait à masquer les effets des réductions de bilan sur les marchés actions et pourrait accélérer la chute du dollar alors que les nations de l’Est et en Europe appliquent des alternatives comme le système du panier des DTS du FMI en réponse à la dette massive provoquée par un bourbier militaire pour les États-Unis. En d’autres termes, les développements budgétaires catastrophiques, qui allaient déjà se produire en raison du sabotage des banques centrales, seront entièrement attribués à la crise géopolitique plutôt qu’aux véritables coupables.

Enfin, l’Est interviendra-t-il militairement pour empêcher un conflit en Corée du Nord ? La Chine a déjà déclaré que si la Corée du Nord attaque en premier, alors elle ne fera pas obstacle au changement de régime par les États-Unis.

Cela va à l’encontre de ceux qui croient au faux paradigme Est / Ouest. La Chine a laissé la porte ouverte à un conflit potentiel. Si les globalistes veulent une guerre en Corée du Nord, ils vont créer une guerre en Corée du Nord, et les Chinois ont publiquement admis qu’ils vont rester l’arme au pied pour que cela se produise. Une attaque sous faux drapeau est probable. Augmenter le niveau des provocations menant à une réponse violente de la part de la Corée du Nord serait également plutôt facile à faire. Jusqu’à présent, la Corée du Nord reste le meilleur événement de type Choc et Effroi pour cacher une situation économique qui se désintègre à l’échelle globale. Les globalistes vont-ils laisser passer une opportunité comme celle-ci ? Il n’y a aucune raison pour eux de le faire.

Note spéciale : Le discours de Moriarty sur « l’inévitabilité de la guerre » est une représentation assez précise de l’état d’esprit globaliste – rationalisant l’ingénierie artificielle des conflits parce que la « nature humaine » dicte que de tels événements « arriveront de toute façon », alors pourquoi n’en profiteraient-t-ils pas ? Bien sûr, si la nature humaine était un allié fiable des courtiers en puissance, alors ils n’auraient pas besoin d’inventer d’abord ces crises. Telle est la logique circulaire insensée de ces psychopathes bien organisés.

Brandon Smith

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