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WWIII : Les IMAMS autoproclamés TARIQ RAMADAN, OUBROU et les autres, financés par toutes les Mairies de France pour les écoles Coraniques et les Mosquées SALAFISTES afin de former des DJIHADISTES qui iront bouter BACHARD AL ASSAD de DAMAS et son protecteur POUTINE.

Publié le par José Pedro, collectif des rédacteurs dans LAOSOPHIE sur Overblog

WWIII : Les IMAMS autoproclamés TARIQ RAMADAN, OUBROU et les autres, financés par toutes les Mairies de France pour les écoles Coraniques et les Mosquées SALAFISTES afin de former des DJIHADISTES qui iront bouter BACHARD AL ASSAD de DAMAS et son protecteur POUTINE.

Sous prétexte d'aider les religions à ne plus prier dans les rues, celles-ci obtiennent un financement complet et caché par des associations, pour des écoles coraniques et des Mosquées Salafistes, aidées également par l'Arabie Saoudite et le Qatar.

Vos impôts servent à payer les Guerres, la religion Islamique, et les réparations causées par les Djihadistes.

Les CATHOS ne sont pas en reste avec le PAPE LAVE PIEDS du NOUVEL ORDRE MONDIAL, les Eglises qui ne servent plus tellement sont mises à disposition de la première religion au Monde : L'ISLAM. La terre chrétienne donne ses Eglises alors qu'il est interdit d'en construire au Moyen Orient, et que les 6 Millions de Chrétiens de ces Pays, se sont fait soit expulsés, soit massacrés. Un Plan Diabolique ourdi par le Pape Franc-Maçon et illuminati, financé par ROTHSCHILD et les JUIFS, qui veulent se débarrasser des Arabes.... par les Arabes suivant leur Grand Maître Albert PIKE.

DIEU lui-même, n'a pas voulu se débarrasser d'Ismaël, alors pourquoi le PAPE le fait? réponse ce n'est pas un PAPE. 

ISLAM POLITIQUE DE TAREQ OUBROU, très attiré par le Divin Juppé.

Tariq Ramadan aurait usurpé ses titres universitaires

En novembre 2003, lors de l’émission 100 minutes pour convaincre, c’est le clash entre Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, et Tariq Ramadan. Pour paraître plus modéré que son frère Hani, favorable à la charia, le prédicateur propose un « moratoire sur la lapidation », provoquant la consternation dans le public comme chez les téléspectateurs. Au début de l’émission, pour le présenter, Olivier Mazerolle déclare : « Vous enseignez l’islam à Genève et la philosophie à Fribourg. » Or, ce n’est pas le cas, il enseigne le français dans le collège de Saussure à Genève.

Malgré la controverse, Tariq Ramadan tient à son moratoire. Dans la page « Débats » du Monde, il publie le 31 mars 2005 un long texte intitulé « Pour un moratoire sur l’application de la charia dans le monde musulman », et signe : professeur de philosophie et d’islamologie à l’université de Fribourg (Suisse). Face à d’autres prédicateurs parfois peu cultivés, cette carte de visite lui permet de se faire passer, en particulier dans les banlieues françaises, pour un éminent universitaire. Or, à cette époque, il ne l’est pas. Le 26 février 2018, le député Xavier Ganioz, vice-président du-parti socialiste fribourgeois, a demandé à l’université de Fribourg de s’expliquer sur les conditions d’arrivée de l’islamologue dans l’institution.

Une heure de cours bénévolement

Reprenant des informations parues dans les médias, l’élu écrit dans son interpellation : « L’accusation de “faux professeur“ est lourde de sens. Elle impliquerait que notre université ait pu se faire berner sur le statut académique de Tariq Ramadan. Elle impliquerait aussi et surtout que les étudiant-e-s qui ont été élèves dudit islamologue aient été trompé-e-s ». Le rectorat de Fribourg a déjà répondu qu’effectivement Tariq Ramadan n’était ni professeur ni même assistant à l’université. Il se serait contenté de proposer bénévolement, une heure par semaine, un exposé sur l’islam. « L’université de Fribourg n’est pas responsable des titres académiques qui ont été attribués à M. Ramadan après son départ en 2004 », ajoute le rectorat.

En 2005, alors qu’il a quitté l’université, Tariq Ramadan continue pourtant dans Le Monde de se présenter comme professeur. « Fribourg n’est qu’une ville de 38 000 habitants. L’université est une véritable institution. Il est important de savoir pourquoi Ramadan a pu exercer son enseignement sans poste officiel de professorat ou d’assistanat. Le contenu de son enseignement était-il connu de la direction de notre université ? » s’interroge Xavier Ganioz. Un recrutement pour le moins contestable.

Charles Genequand, ancien doyen de la Faculté de lettres de Genève et spécialiste du monde arabe, avait refusé la thèse universitaire de Tariq Ramadan, consacrée à Hassan al-Banna, le fondateur des Frères musulmans égyptiens. Très remonté contre son ancien élève, Charles Genequand avait traité Tariq Ramadan dans la presse de « pseudo intellectuel », d’« opportuniste vaniteux ». « Ses idées ? poursuivait le professeur : une vision étriquée et assez rétrograde de l’islam. »

En France, le politologue et sociologue Gilles Kepel, spécialiste de l’islam et du monde arabe contemporain, n’était guère plus charitable : « Tariq Ramadan est un produit de consommation jetable (…) Ce n’est pas un universitaire, je ne le considère absolument pas comme un collègue », m’avait-il confié alors que j’écrivais La Vérité sur Tariq Ramadan. Sa famille, ses réseaux, sa stratégie (1).

Des réserves sur les cours de biologie

Le petit-fils d’Hassan al-Banna n’avait pas non plus que des amis parmi ses collègues de collège. En 1994, dans Les Musulmans dans la laïcité (2), Il écrivait que « les cours de biologie peuvent contenir des enseignements qui ne sont pas en accord avec les principes de l’islam. Il en est d’ailleurs de même des cours d’histoire et de philosophie ». Il ajoutait : « La gymnastique n’est pas « interdite en soi » aux jeunes musulmanes. Il faut, dans ce dernier cas, discuter des aménagements possibles qui permettraient que soient respectées les convictions des jeunes filles. »

Les professeurs de biologie du collège de Saussure à Genève s’étaient alors demandé dans Le Journal de Genève s’il était moralement possible, d’un point de vue déontologique, « d’enseigner dans une école tout en dénigrant l’enseignement d’une branche dispensée par une partie de ses collègues ».

Source

 

FrèreTariq Ramadan, l’autre procès

Frère Tariq Ramadan, l’autre procès Cette mise en examen de conscience concerne la complicité, voire la collaboration avec une formidable machine de guerre menée par lui au nom des Frères musulmans.

Cette époque est étrange. Il semble que l’intransigeance envers certain.es soit à la démesure de l’indulgence qui fut accordée à d’autres.

Comment s’offusquer de la propagation dans notre jeunesse d’une parole conspirationniste islamiste alors même que pendant près de 20 ans, des medias, des « intellectuels » l’ont encensée?

Tariq Ramadan sera jugé mais hélas, il ne le sera pas pour cela…

L’incroyable impunité dont les prédateurs sexuels ont pu jouir si longtemps appartient peut-être déjà au passé. Passant à côté d’un mouvement historique et politique, certains, en inversant les rôles n’ont cru y voir qu’un mouvement de « délation généralisée ».

Tariq Ramadan s’est retrouvé parmi les « victimes » de cette libération de la parole…

Quand on lit le récit glaçant des présumées proies de frère Tariq, on se dit qu’il nous faudra peut-être définitivement demander pardon aux porcs car, on ne reproche à aucun d’entre eux, je crois une telle bassesse, d’une telle cruauté.

L’autre procès

Ceux qui ont permis la gloire de ce prédicateur islamiste ignoraient peut-être sa haine pathologique et personnelle des femmes bien que celle-ci soit au centre de l’idéologie islamiste… Il aura pourtant fallu beaucoup de cette « indulgence hexagonale » pour la considérer comme « libertinage », un « libertinage » toutefois qui ne l’empêchait pas de réfléchir sérieusement au bien fondé de la « lapidation des femmes adultères »…

Ramadan est désormais mis en examen pour ces faits et la justice tranchera mais il y a pourtant un autre procès qu’on voudrait voir s’ouvrir même si celui-ci n’a pas sa place dans un tribunal.

Ce procès ou plutôt cette mise en examen de conscience concerne la complicité, voire la collaboration avec une formidable machine de guerre menée par lui au nom des Frères musulmans.

Il interroge l’abandon pour ne pas dire l’immolation d’une partie de notre jeunesse livrée pieds et poings liés à ces marchands de haine que sont les islamistes et dont Ramadan aura été la figure la plus subtile, la plus aboutie, la plus dangereuse.

Car aucun intellectuel digne de ce nom ne pouvait décemment méconnaître l’idéologie, la genèse, l’histoire des Frères musulmans, cette organisation politico-religieuse fasciste qui fut fondée en 1928 par Hassan El Banna et dont le petit fils Tariq ramadan a toujours fièrement revendiqué la filiation politique.

Leur alliance avec le fascisme et le nazisme, la diffusion par leur soins dans le monde arabe de « mein Kampf » et des « Protocole des sages de Sion ». Leur haine des Juifs, des femmes, des démocrates est inscrite au cœur de leur programme.

Pendant près de vingt ans, des philosophes, des responsables associatifs et politiques, des chevaliers de la presse libre, des grands medias ont adoubé Tariq Ramadan. Celui qui fut étranger à toutes les luttes antiracistes de notre pays fut soudainement propulsé, encensé sur tous les plateaux télés et medias où la haine fait vendre. Avec l’argent du Qatar et la bénédiction ou le silence d’élus de tous horizons politiques qui ont cru pouvoir troquer la paix sociale contre un peu de religion, Ramadan et ses acolytes ont labouré nos banlieues, parlé à des jeunes à qui plus personne ne s’adressait.

Une alliance avec l’extrême droite islamiste

Ramadan fut même introduit dans les forums sociaux organisés par la gauche radicale et les altermondialistes où, pour la première fois, une idéologie d’extrême droite étrangère et hostile à tous les combats d’émancipation s’y voyait offrir une indécente tribune.

De l’université aux maisons de quartier en passant par des mosquées et les plateaux télé, partout cette parole mortifère a trouvé des relais, des complicités jusqu’aux plus hautes autorités morales et intellectuelles de notre pays.

Ceux-là pourtant ne souffraient d’aucune relégation sociale ou raciste, ils n’étaient pas comme la plupart des jeunes Maghrébins, pris dans un vertige identitaire, avides d’une parole déculpabilisante… Face aux crimes islamistes, Ramadan et ses complices leur offrirent ce cadeau empoisonné « ce n’est pas nous, c’est eux ! ».

La mésalliance qui, depuis près de vingt ans s’est nouée entre une partie de la « gauche radicale » et l’islamisme relève d’une trahison qui n’aura guère eu d’équivalent dans l’histoire.

Cette mésalliance eut un prix ; l’abandon des Juifs, des droits des femmes, des homosexuels, des démocrates du monde arabe. (On se souvient de l’indécente charge d’universitaires français contre Kamel Daoud). Il y eut aussi le sacrifice de l’intelligence et de la réflexion : plutôt qu’une critique du capitalisme, on opta pour une vision simpliste (tout est la faute de l’Amérique et d’Israël) si proche des thèses complotistes et antisémites.

Les résistant.es qui dénoncèrent l’imposture des islamistes furent la cible de calomnies puis de menaces. Charlie Hebdo en est mort.

Le droit de cité du conspirationnisme

Nombreux furent ceux qui refusèrent de respecter la minute de silence, ils n’étaient pas « Charlie » et, dans la même foulée, ne furent pas non plus « Juifs de l’hyperchacher »…

Bénéficiant de tribunes dans des grands journaux et autres medias, des philosophes, des intellectuels, de sociologues, des journalistes se mirent à recouvrir de leur propre chahut celui de jeunes qu’ils avaient contribué à déboussoler. L’Etat français était complice, l’islamophobie généralisée avait conduit à ces extrémités…

Pourtant, contrairement aux jeunes générations à qui l’on avait fait croire que « critiquer une religion c’était du racisme », eux savaient très bien qui étaient Wolinski, Maris, Cabu et Charb. C’est en toute conscience et à l’abri de leurs privilèges qu’ils abandonnèrent Charlie, les Juifs et tous les autres… *

Ces discours ont eu droit de cité, ils furent au plus haut niveau relayés.

Comment dès lors s’étonner qu’une partie de notre jeunesse en ait été contaminée?

La haine des Juifs au cœur du discours islamiste

Depuis près de 20 ans, l’explosion de la parole antisémite, des agressions puis des crimes ont fait l’objet d’une occultation. Elle le fut, sans surprise, par ceux-là même qui promouvaient Ramadan et son discours. Ce furent encore les mêmes qui crièrent à la liberté d’expression pour Dieudonné, relayant les insinuations antisémites du « deux poids, deux mesures ».

Lors des crimes antisémites (Ilan Halimi, enfants de Toulouse, clients de l’hypercacher) ) l’effroi national ne se transforma guère en mobilisation citoyenne. Partout où ils se trouvaient, les amis de Tariq Ramadan s’employèrent à scier les courroies de transmission de la solidarité à l’égard des Juifs. Si cette solidarité s’était manifestée, alors des milliers de familles juives n’auraient peut-être pas quitté le pays.

Désarroi à gauche

Abandon et trahison furent hélas le lot de nombreux militants politiques et associatifs. Pris en otage entre un souci louable de ne point stigmatiser encore les plus fragiles, (populations d’origine ouvrière et immigrée) et l’envie légitime d’en découdre avec la « vermine fasciste » et islamiste, ils se virent sommés de taire leur indignation. Certains, trop peu nombreux, ont osé protester ; dans les syndicats, les partis politiques, les associations, même au Mrap, (si joliment rebaptisé par Charb, le « Mouvement pour le Respect Au Prophète »). D’autres, désemparés, sont partis sur la pointe des pieds, le plus souvent.

La détresse des Juifs de notre pays, le désarroi de militants humanistes eut aussi pour corollaire la solitude voire l’abandon des Français issus de l’immigration africaine et maghrébine. Rebaptisés « musulmans », la plupart d’entre eux virent leur parole et leur identité confisquée, pris en étau entre le racisme de l’extrême droite et la terreur de voir leurs propres enfants basculer dans ce nihilisme meurtrier, le seul que dans leur immense compassion, leur amis autoproclamés leur offraient en guise d’avenir.

Le mot même « musulman » fut une prise de guerre sémantique et idéologique de l’islamisme, comme s’il y avait une « connivence culturelle » entre une Albanaise, un Ouïgour et un Malien….

Le discours islamiste porté par Ramadan et ses amis se fit ainsi le supplétif du retour de l’imaginaire colonial, (« musulmans » était le mot employé par l’administration coloniale). Imaginaire que dans le même mouvement, ils se firent un plaisir de dénoncer …

C’est ainsi que depuis près de 20 ans, des Français d’origines diverses se sont vu offrir une forme de débaptisation, une mise « hors la France » grâce à cette identité largement fantasmée.

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Alors même que nous avions tous et toutes besoin d’horizon, d’espoirs, d’utopies positives, une gauche égarée dans ses extrêmes se mit à renier les combats d’émancipation qui avaient fait son identité. Le coût pour les femmes et les filles allait aussi être colossal, jusqu’à certaines « féministes » d’un nouveau « genre » qui loin des combats de leurs ainées se mirent à « oser » le relativisme culturel ; la parité pour les unes, le voile pour les autres. Leur abandon assumé de leurs sœurs des cités, livrées aux lois des caïds puis à celle des islamistes est venue offrir une définition paradoxale de ce que peut être aujourd’hui le « féminisme blanc »…

La lâcheté et l’abandon auront été le formidable cadeau offert à l’extrême droite, renforcée par l’incroyable aubaine d’un discours identitaire désormais adoubé et partagé.

Charb, Tignous, Bernard Maris le répétaient: sur l’échiquier politique, l’islamisme se situe au bas mot à l’extrême droite. Or c’est à cette alliance contre nature que les amis de Ramadan ont œuvré pendant des années. De manière fort inédite dans l’histoire, une gauche dite « radicale » s’est acoquinée avec ceux qui prônaient l’esclavage des femmes, le refus, jusqu’au meurtre, de l’éducation des filles, l’assassinat des homosexuels, la haine des Juifs, le complotisme antisémite et le nettoyage ethnique.

Et pour avoir amarré cette terrible mésalliance à la volonté de justice sociale, à la défense intransigeante d’une presse libre et indépendante, à la révolte toujours nécessaire face aux malheurs du monde et celui si terrible qui touche aujourd’hui les réfugiés, pour avoir si durablement confondu les valeurs et sali encore une fois un idéal de fraternité déjà bien entamé par les trahisons du siècle, ceux-là devraient peut-être rendre des comptes.

Il est peut-être temps de répondre de frère Tariq.

*Brigitte Stora est l’auteure de « Que sont mes amis devenus : les Juifs, Charlie puis tous les nôtres » éditions le Bord de L’Eau

 

Le préfet des Bouches-du-Rhône a demandé l'expulsion de l’imam algérien de la mosquée salafiste de Marseille, El Hadi Doudi. La commission départementale d’expulsion des étrangers, composée de trois juges, a renvoyé l’audience au 7 mars 2018.

Les musulmans dans la mire du Qatar

Par Willy Le Devin
 
Projet initial de la grande mosquée de Marseille. Phoro AFPFacebook Twitter

Après l’immobilier et le foot, l’émirat investit discrètement dans l’islam hexagonal en finançant des mosquées et soutenant l’Union des organisations islamiques de France. C’est un tabou qui se lève peu à peu. Islam et Qatar, deux mots qui, accolés, suscitent de façon quasi épidermique en France fantasmes, peurs et polémiques. Pourtant, avec toute la mesure qui s’impose, il apparaît aujourd’hui que l’émirat dispose d’une stratégie bien rodée pour s’ingérer dans l’islam de France. Au même titre que le Maroc, l’Algérie ou l’Arabie Saoudite, mais avec un accent plus porté sur le prosélytisme, l’émirat joue sa carte auprès d’une communauté fragilisée économiquement et qui, de ce fait, n’a d’yeux que pour ce bienfaiteur richissime. Dès lors, pourquoi ne pas réconcilier foi et finance, deux axes majeurs dans la politique extérieure qatarie ?

Depuis les années 70, le Qatar, pays wahhabite, a passé une alliance objective avec les Frères musulmans. Celle-ci relève tout à la fois d’un opportunisme pour exister entre deux géants régionaux (l’Arabie Saoudite et l’Iran), d’une bienveillance des Frères à l’égard du capitalisme, ainsi que du côté panislamique de la confrérie, qui sied parfaitement à un Etat minuscule en mal de reconnaissance. C’est donc tout naturellement que le Qatar opère un entrisme insidieux, mais consenti, au sein de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), représentation hexagonale des Frères.

Sur le terrain, essentiellement dans les quartiers populaires, les premiers frémissements générés par l’irruption de ce nouveau partenaire commencent à se faire sentir. «Ce n’est pas un scoop, l’islam de France a de tout temps été instrumentalisé. Tout simplement parce que c’est une communauté jeune, abondante et volatile. Il était évident que le Qatar allait jouer un rôle, observe Naoufel Brahimi el-Mili, professeur à Sciences-Po Paris. Mais ce qui est différent avec ce pays, c’est qu’il investit, via l’UOIF, un champ primordial puisque cette organisation est celle qui compte le plus dans la réaffirmation identitaire des musulmans français. L’UOIF a une tendance expansionniste affirmée, ce qui suscite de nombreuses conversions.»

 A lire aussi :l'interview de Tariq Ramadan

Fracture. En outre, on assiste actuellement à une relative mise en sourdine des partenaires historiques de l’islam hexagonal que sont le Maroc et l’Algérie. S’ils restent d’opulents donateurs, qu’ils maintiennent des liens étroits avec les premières générations d’immigrés et qu’ils ont verrouillé des postes clés au sein du Conseil français du culte musulman (CFCM), ces deux pays voient leur influence s’étioler chez les plus jeunes. Il y a quelques années, l’islam français se structurait beaucoup autour de la recomposition de communautés «nationales» : les Algériens avec les Algériens, les Marocains avec les Marocains… Aujourd’hui, ces équilibres sont rebattus et une nouvelle ligne de fracture apparaît : l’opposition entre courants salafistes, prônant un islam littéraliste et soutenus par l’Arabie Saoudite, et courants «fréristes», se plaçant du côté du réformisme et encouragés par le Qatar.

Evidemment, l’émirat s’est lancé à toute allure dans la course au financement des mosquées françaises puisque la loi de 1905 ne permet pas à l’Etat de s’en occuper. Dans la plupart des cas, le Qatar investit logiquement dans des mosquées dont la gestion échoit à l’UOIF ou à ses satellites régionaux. Ainsi, la mosquée Assalam de Nantes, administrée par l’association islamique de l’Ouest de la France (AIOF), s’est vu en grande partie financée par le Qatar. Elle a coûté 4,4 millions d’euros. Même chose à Mulhouse, où la Qatar Charity a dépensé 2 millions d’euros. A Marseille, l’émirat payera 25% des 22 millions d’euros nécessaires à la future grande mosquée qui pourra accueillir entre 10 000 et 14 000 fidèles. Fatima Orsatelli, conseillère régionale PS de Paca et membre du conseil d’administration de l’association La Grande Mosquée de Marseille, avoue que le Qatar a été très prompt à aligner l’argent : «Ce n’est pas nous qui les avons approchés mais bien, eux, via leur ambassade. Ils sont bien informés, réactifs, et tellement riches… Toutefois, complète-t-elle, même s’ils sont au cœur d’une lutte acharnée, ils n’ont exigé aucune contrepartie. Multiplier les Etats donateurs est pour nous une bonne façon de limiter leur hégémonie.» Boubaker Labidi, responsable du chantier de la mosquée Assalam de Nantes, est lui plus affirmatif : «Le Qatar ? Aujourd’hui, ils sont incontournables. Bien plus que les autres Etats car ils ont un rapport affectif avec la France. Pour nous, c’est le partenaire qui monte, qui monte…»

Fatwas. Si le rapprochement avec l’UOIF a été possible, c’est avant tout autour d’une figure incontournable des Frères : le sulfureux cheikh Youssef al-Qaradaoui. Egyptien naturalisé qatari, en exil à Doha depuis 1971, il est le mufti officieux de l’émirat et l’ouléma de référence pour les sympathisants de l’UOIF. Consacré par Al-Jezira, chaîne sur laquelle il anime un talk-show très populaire intitulé la Charia et la Vie, Al-Qaradaoui était, il y a quelques années, l’invité de prestige de l’Institut européen des sciences humaines de Château-Chinon (école de formation des imams de l’UOIF, dans la Nièvre) et des rassemblements de l’UOIF au Bourget. Mais à la suite de propos intolérables sur la Shoah, il fut interdit de territoire français en 2012. Qu’importe, Al-Qaradaoui inonde l’Europe de ses fatwas depuis Dublin où il dirige l’European Council for Fatwa and Research. Au sein de cette organisation, très contestée du fait de sa radicalité, siège Ahmed Jaballah, le président de l’UOIF.

Pour gagner les consciences des musulmans de France, le Qatar a également compris qu’il devait se doter d’habiles communicants. C’est pourquoi, depuis quelques années, l’émirat s’est rapproché de Tariq Ramadan (lire ci-contre). Son audience et l’écoute dont il dispose sur le terrain n’ont pas d’égales en France. Mais, en fins stratèges, les Qataris ont également investi tout un pan du champ associatif luttant contre l’islamophobie. L’émirat tisse ainsi des relations avec le Collectif des musulmans de France, dirigé par le nébuleux Nabil Ennasri, le Comité contre l’islamophobie en France ou le centre culturel Tawhid, à Saint-Denis, où interviennent des intellectuels proches des Frères. On y voit défiler Rached Ghannouchi, fondateur du parti tunisien Ennahda, ou le frère de Tariq Ramadan, Hani, supposé plus radical. Régulièrement, ce centre, assez fédérateur en Seine-Saint-Denis, organise des levées de fonds dans les pays du Golfe. Et le Qatar est, de l’aveu même de plusieurs membres, la destination la plus juteuse.

Willy Le Devin

Alain Juppé a-t-il promis un ministère à l’imam Tareq Oubrou, membre des Frères Musulmans ? et comment a-t-il cramé les caisses de Bordeaux?

Alain Juppé a-t-il promis un ministère à l’imam Tareq Oubrou, membre des Frères Musulmans ?

Omar Djellil est actuellement responsable associatif à Marseille et par ailleurs très impliqué au sein de la communauté musulmane de la ville. Avant son installation sur la canebière, ce dernier a longtemps milité dans la région bordelaise. Responsable local de SOS Racisme, militant pendant dix ans au Parti Socialiste, il fréquenta assidument la mosquée de Bordeaux et son imam Tareq Oubrou.

En janvier 2016, celui-ci publiait une lettre ouverte à son ancien mentor dont nous avions publié de larges extraits (« Ce sont tes enseignements qui nous avaient poussés à haïr le Juif » (…) « C’est de tes propres mains que nous recevions des magazines faisant l’apologie d’un certain Ben Laden que tu nous présentais comme un milliardaire islamiste charismatique »).

Lire aussi >> Amine Elbahi quitte l’équipe de campagne d’Alain Juppé en l’accusant de travailler avec les dirigeants et imams salafistes de l’UOIF

Celui-ci publiait également également le témoignage vidéo dans lequel il dénonçait l’antisémitisme de Tareq Oubrou, l’imam protégé du candidat Alain Juppé.

Suite aux attentats de Nice, et à la réaction du maire de Bordeaux, Omar Djellil (photo) écrivait en juillet une lettre ouverte à Alain Juppé où il évoque notamment des tractations entre son entourage et l’UOIF (branche issue des frères musulmans) afin de donner un poste ministériel à Tareq Oubrou !

marseille-omar-djellil

Lettre ouverte d’Omar Djelil (publié sur sa page facebook)

« Alors que je venais à peine de me remettre du témoignage bouleversant et poignant d’un père dont la fille avait été tuée lors de l’attentat de Nice, qu’elle ne fut pas ma surprise de vous entendre, vous, l’actuel maire de Bordeaux et candidat déclaré à la primaire « Les Républicains » briser le silence de mort qui entoure le deuil des Niçois pour donner des leçons de morale à la nation et au gouvernement socialiste de François HOLLANDE. 

Accusant le gouvernement d’avoir perdu du temps face à la menace terroriste et le sommant de passer à la vitesse supérieure, vous avez indécemment, comme d’autres, tenté d’instrumentaliser le drame tragique qui s’est joué à Nice. La palme de l’indécence revenant à cette désunion nationale qui s’est transformée en cacophonie politique où chacun expliquant à l’autre qu’il aurait mieux fait en matière de lutte contre le terrorisme. 

Alors que l’identification des corps n’est même pas terminée et que nombre de familles continuent à chercher leurs proches disparus, votre prise de position s’inscrit plus dans l’optique de votre course à la présidence du parti « Les Républicains » plutôt que dans une véritable démarche compassionnelle à l’égard de nos compatriotes.  

Vous avez certes raison de pointer les carences de nos services de renseignements, faudrait-il encore que vous assumiez le fait que c’est le gouvernement SARKOZY qui a fait fendre les effectifs comme neige au soleil. Vous avez certes raison de rappeler que la menace reste persistante et qu’il faut réévaluer le niveau de vigilance. Mais faudrait-il encore que vous soyez prêt à reconnaître que le langage ultra-sécuritaire du gouvernement SARKOZY ne reposait que sur des effets d’annonce sans lendemain ?   

Même si la douleur qui a frappé les habitants de Nice est mienne, ce n’est pas le propos de mon interpellation.

En fait, Monsieur Alain JUPPÉ, avant de fustiger les uns les autres, vous devriez expliquer aux familles des victimes comment vous êtes devenu le premier soutien de l’Union des Organisations Islamiques de France, organisation qui exhorte les musulmans à rejeter vos valeurs républicaines, qui exalte l’esprit du Jihad en direction des masses musulmanes et qui banalise les attentats-suicides dans le monde arabo-musulman.

Vous pourriez dire aux familles endeuillées que votre protégé Oubrou continue de mener conjointement des conférences avec Tareq Ramadan que vous ne cessez de dénoncer comme un ennemi de la République et un extrémiste religieux. Vous devriez rappeler que c’est avec beaucoup d’insistance auprès du Premier ministre Manuel VALLS, que vous avez fait obtenir à Tareq Oubrou, maître à penser de l’UOIF, sa légion d’honneur. Pourquoi ne dites-vous pas que l’un de vos élus, Marik Fethou, fait dans un mélange des genres douteux (conflit d’intérêts) en étant élu municipal, secrétaire général du CAPRI, centre de « déradicalisation » initié par Tareq Oubrou, et attaché de presse improvisé de l’autoproclamé Grand Mufti de Bordeaux.

Pourquoi ne reconnaissez-vous pas que des tractations sont menées actuellement entre certains de votre entourage et l’UOIF afin, qu’en cas d’élection à la présidence française, des membres de cette organisation radicale puissent obtenir des postes décisionnaires voir un poste ministériel pour Tareq Oubrou ? 

Pourquoi ne dites-vous pas aux Bordelais que, malgré vos déclarations publiques, vous continuez secrètement à défendre la construction d’une grande mosquée cathédrale UOIF à Bordeaux ?  

oubrouIl y a quelques mois, j’ai adressé une lettre ouverte à Tareq Oubrou, pour laquelle j’attends toujours le droit de réponse, où je lançais une série de graves accusations dont celle d’avoir insufflé le radicalisme religieux chez nos jeunes et d’avoir soutenu les différentes factions qui constituent la nébuleuse du terrorisme islamique. Sans réponse du concerné, j’ai décidé de me lancer dans la rédaction d’un livre-témoignage pour retracer mes dix ans d’endoctrinement par Tareq Oubrou et ses sbires de la Fédération des Musulmans de la Gironde (FMG). La sortie est prévue pour la rentrée prochaine.  À  ce titre, je me suis rendu à trois reprises à Bordeaux et j’ai pu obtenir une vingtaine de témoignages accablants corroborant mes accusations contre Tareq Oubrou de soutiens au terrorisme islamique. Des témoignages à visage découvert, où les témoins donnent leur nom sans avoir peur de braver l’omerta qui entoure les liaisons dangereuses qui vous lient à l’UOIF. Vous y apprendrez, de la bouche d’anciens disciples et d’anciens cadres de la FMG, comment votre dauphin OUBROU est un aficionado des Talibans, des Shebabs somaliens, du FIS algérien, du HAMAS et de BEN LADEN.   

Durant mes investigations, j’ai découvert que des imams de la FMG étaient impliqués dans des affaires de mœurs impliquant de très jeunes filles. Des faits qui se sont déroulée dans les mosquées de Tareq Oubrou et dans les locaux professionnels appartenant à un de ses imams. 

Pour rappel, l’un de ses imams vient d’être auditionné cette semaine par la police pour des accusations de viols portés à son encontre par une ancienne fidèle de la mosquée El-Houda. Paradoxalement,  alors que l’UOIF avait voté, par dépit, une mesure d’exclusion avec effet immédiat contre cet imam en décembre 2015, l’imam Tareq Oubrou a refusé d’exécuter cette décision et a permis à cet imam de continuer à officier dans la mosquée. Rappelant aussi que plusieurs victimes s’étaient rendues dans le bureau de Tareq Oubrou en espérant y trouver du réconfort ou que ce dernier saisisse la police ou le procureur de la République de Bordeaux. Rien, pas de signalement, juste des reproches adressés aux filles abusées qui seraient, selon Tareq Oubrou, victimes d’un Jinn Baïd (démon blanc). Évidemment, toutes ces affaires de mœurs sont passées sous silence pour ne pas parasiter les bonnes relations que le super imam de la République frériste entretien avec vous.   

Auriez-vous le courage de continuer à soutenir aux familles des victimes que Tareq Oubrou est un imam « républicain » qui consacre son temps à défendre la République alors qu’il a fait scolariser toutes ses filles au Maroc pour ne pas qu’elle s’imprègne de la culture française. N’est-ce pas un point commun fondamental entre Tareq Oubrou et les terroristes qui attaquent notre pays parce qu’ils ne partagent pas notre vision de la société française  ni les grands principes qui fondent notre nation ? 

Tout comme j’ai du mal à comprendre votre silence alors que Tareq Oubrou et ses lieutenants passent leur temps à orchestrer des OPA sur tous les lieux de culte de Bordeaux et d’Aquitaine nuisant à la tranquillité publique dans nos mosquées. Très pesant votre silence sur ce qui se passe au sein du CRCM-Aquitaine où les chantres du terrorisme des Frères musulmans s’adonnent aux malversations et multiplient les atteintes aux règles les plus élémentaires de la démocratie. Campagnes de calomnies, de diffamations et de discrédits de la part de Tareq OUBROU contre tous les acteurs musulmans de Bordeaux mais cela ne semble aucunement vous déranger.   

Non, monsieur Alain JUPPÉ, vous n’avez pas le droit de nous donner des leçons de morale, vous grand défenseur, non plus du gaullisme social, mais de l’islamisme internationaliste des Frères Musulmans. Vous parlez de compassion à l’égard des familles mais, en sous-main, vous négociez avec des individus dont l’idéologie à biberonné tous les groupes terroristes y compris DAECH. Auriez-vous le courage d’aller regarder droit dans les yeux les parents des victimes en leur disant que depuis plusieurs années vous considérez qu’il faut parlementer avec les groupes islamistes ?

Leur diriez-vous que dans les années 90 vous étiez favorable à un maintien du FIS au pouvoir en Algérie . Leur diriez-vous que lorsque vous étiez ministre des affaires étrangères, lors d’un colloque initié par le Quai d’Orsay sur les événements survenus dans le monde Arabe, vous prôniez l’ouverture d’un dialogue avec les islamistes : « Je souhaite qu’il s’ouvre (dialogue) sans complexe aux courants islamistes  ». Leur diriez-vous que vous vous êtes rendu, en 2011, au Caire pour rencontrer les responsables des Frères Musulmans, ceux-là même qui appellent aux attentats-suicides et qui mènent des opérations conjointes avec DAECH dans le Sinaï ?   

Quand Christian ESTROSI dénonce l’émergence d’une cinquième colonne “musulmane”, je serais tenté de lui répondre de commencer par laver les écuries d’Augias de son parti. Qu’il dénonce l’initiative d’Yves FOULON, député-maire « Les Républicains » d’Arcachon, qui avait convié Tareq Oubrou à venir promouvoir sa propagande mensongère. Qu’il dénonce les déclarations de Nicolas SARKOZY qui avait affirmé qu’ « il vaut mieux avoir l’UOIF de notre côté que contre nous », une hérétique infamie. De plus en plus d’élus « Les Républicains » offrent une tribune et une respectabilité à l’UOIF, ceux-là même dont le maître spirituel, Youssef Qardaoui, est venu nous expliquer que les attentats en France étaient des « opérations martyrs » et que de tuer des civils faisaient aussi partie du « Jihad ».   

Mon seul point de convergence avec Christian ESTROSI, c’est qu’il faut dissoudre l’UOIF comme l’a fait le gouvernement avec certains groupes qu’il considérait comme des radicaux nationalistes. Étrangement, le pouvoir politique s’était fortement mobilisé contre les JNR et Troisième Voie après la mort d’un seul militant d’extrême gauche, Clément MÉRIC, mais adoube des personnalités dont l’idéologie est à l’origine de centaines de milliers de morts à travers le monde.  

L’Angleterre vient de réviser sa position sur le mouvement des Frères Musulmans en l’inscrivant sur sa liste noire des groupes terroristes. Il semblerait que les partisans du Brexit aient plus de lucidité que nos dirigeants quand il s’agit de stopper la progression mortifère des extrémistes religieux dans leur pays. Monsieur Alain JUPPÉ, vous ne pouvez pas vous identifier aux victimes des attentats tout en apportant votre appui à l’UOIF et à Tareq OUBROU. En tant que citoyen français de confession musulmane, votre élection à la présidence de la République incarnerait, si vous ne modifiez pas votre attitude à l’égard de Tareq Oubrou et de l’UOIF, une remise en cause du pacte républicain et un affront national pour tous nos soldats et nos policiers qui sont engagés dans une lutte acharnée contre le terrorisme et dont certains l’ont payé de leurs vies. Votre élection symboliserait le recul de la France solidaire face à des groupes de pressions qui nous ont longtemps expliquaient que BEN LADEN était le nouveau SALADIN tant attendu par le monde musulman. Pourriez-vous dire aux victimes et à leurs familles que vous adoubez un homme, Tareq OUBROU, qui lors des attentats du 11 septembre m’enlaçait dans une étreinte à me couper le souffle en guise de satisfaction ?   

Je ne voterai pas pour vous par respect pour les centaines de nos compatriotes tombés sous les balles et les explosions des terroristes. J’invite les dignitaires musulmans et les électeurs à ne pas vous apporter leurs suffrages en boycottant votre candidature à la primaire ouverte « Les Républicains ».   

Non, la guerre contre le terrorisme ne se gagnera jamais à coups de compromissions avec nos ennemis mais en rassemblant tous les Français autour de l’idéal républicain et de la fraternité nationale »

Omar Djellil

Source

http://www.europe-israel.org/2016/10/alain-juppe-a-t-il-promis-un-ministere-a-limam-tareq-oubrou-membre-des-freres-musulmans/

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